Une journée imprévisible

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nonobound
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Re: Une journée imprévisible

Message par nonobound »

quelle fin sublime un vrai délice ^^

ça conclut aussi ton autre histoire si clara est arrêtée?

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dizzy22
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Re: Une journée imprévisible

Message par dizzy22 »

Quelle fin !
Bonne route à Nina dans sa nouvelle vie :-)

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foulards6384
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Re: Une journée imprévisible

Message par foulards6384 »

Une très jolie fin et quel conclusion
Nina en à fini de se faire kidnappé ou la retrouveront peut un jour
J'ai beaucoup aimé cette histoire
:gagged:
je bouge pas :police: je ne regarde pas :bandeau: je ne parle pas :gagged:

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Mad Hatter
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Re: Une journée imprévisible

Message par Mad Hatter »

:bravo: :) :bravo: :) Image Très très bonne fin.
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham


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les synonymes de fou sont intéressants Image

Nina

Re: Une journée imprévisible

Message par Nina »

Bonjour à tous, je vais pas faire très long aujourd'hui, je passe juste une petite info, pour ceux qui suivaient mes récits "Une journée imprévisible" je vais recommencer à publier une nouvelle saison de cette histoire. Je posterai le premier épisode le 28 juin. J’essaierai de poster un nouvel épisode chaque semaine. Bonne journée à tous :smiley:

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dizzy22
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Re: Une journée imprévisible

Message par dizzy22 »

Merci Nina, au plaisir de lire tes prochaines histoires :D

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elias_
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Re: Une journée imprévisible

Message par elias_ »

Petit bonnet de cotillon de circonstances ! :boufon:

Nina

Re: Une journée imprévisible

Message par Nina »

Bonjour tout le monde,

Chose promise chose due, voici le tout premier épisode de cette nouvelle saison (si je puis dire ^^)

Bonne lecture à tous ;)


Investigation

Nous sommes mardi, il est 08h40. Je suis sous la douche. Mon réveil a sonné il y a 40 minutes de cela, même n’étant pas du matin, je n’ai ressenti aucune difficulté à me lever aujourd’hui, sans doute parce que je suis sûr une affaire très importante, pour laquelle je me sens très concernée.
Il y a un mois de cela, ce fut un vendredi, je m’en souviens comme si c’était hier. Je rentrais du travail, ma vie était tellement plus calme depuis presque un an que le geôlier, autrement dit Evelyne est morte et que l’entreprise de Soumarov a été détruite. Ce même vendredi, m’apprêtant à rentrer chez moi, j’ai reçu un appel. J’ai décroché et la première phrase de mon interlocuteur a commencé à me faire peur :
- « Bonjour, je suis le docteur Malone, des soins intensifs de l’hôpital central de Paris, vous êtes bien Mademoiselle Averine ? »
- « Bonjour » je répondis « Oui c’est bien moi, que se passe-t-il ? »
- « Je suis au regret de vous informer que votre ex-fiancé, Yuri, est dans un état très grave. Il a été blessé par quatre balles, en ce moment même nous faisons tout pour essayer de le sauver. Nous allons bientôt l’opérer, votre nom figurait dans les personnes à appeler dans le cas où l’agent Yuri serait en danger. »
Je n’avais plus revu Yuri depuis des mois, mon téléphone m’est tombé des mains. J’étais allée directement à l’hôpital. Les médecins ont fait leur maximum et, la bonne nouvelle était qu’ils ont pu le garder en vie. La mauvaise nouvelle, Yuri était resté dans le coma, et les docteurs ignorent si il en sortira un jour. Il est toujours dans le coma en ce moment même, l’hôpital dans lequel il se trouve est tenu secret pour sa sécurité. Malheureusement personne ne sait qui a tiré sur Yuri. Néanmoins, Yuri était en train d’enquêter sur une secte, connue sous le nom de MEHDCA, acronyme de « Mouvement de l’éducation de l’humanité et de défense contre l’anarchie ». La secte est tenue très secrète, et il est très difficile d’en extorquer des informations, car hélas, le gouvernement l’a classée comme étant un mouvement religieux officiel. Mais beaucoup de rumeurs sinistres découlent de cette secte et leur gourou suprême. Ce dernier, Carle von Hildou, aurait fondé le mouvement en 1983 en France. Ce dernier affirme être revenu d’un monde parallèle, qui ne serait autre que le paradis, ce même monde serait occupé par les Leoh, les êtres surnaturels de ce monde parallèle, qui lui auraient appris l’ultime vérité. La secte regroupe des centaines de disciples aujourd’hui. Je n’arrive pas à comprendre comment autant de gens peuvent croire à des telles idioties. Sans doute des gens vraiment désespérés, qui sont prêt à croire en des choses totalement imaginaires afin d’échapper à une triste vie sans avenir. Selon beaucoup de rumeurs, les abus sexuels sont monnaies courant dans la secte. Hélas, personne n’a la moindre preuve et personne ne sait où se déroulent les actions de la secte. Heureusement en un mois j’ai réussi à trouver l’adresse du bâtiment principal d’administration de la secte. C’est déjà un bon début. J’ai déjà l’intention de démasquer la personne qui a tiré sur Yuri et de rendre public les crimes de la secte. J’ai postulé pour un poste de secrétaire au sein du bâtiment, je pourrai entrer à l’intérieur de l’administration, puis en fouillant un peu, je pourrai sans doute en savoir plus sur le ou les autres lieux où la secte opère. Mon entretien d’embauche est aujourd’hui, dans une heure, je sors de la douche et commence à m’habiller.
J’enfile une jupe noire, courte, moulant mes fesses. Je mets également une chemise blanche, bien assorti à ma taille, je rentre ma chemise dans ma jupe. J’enfile également des bas noirs, et des talons de la même couleur avec une bride aux chevilles. Mes cheveux sont longs, légèrement ondulés. J’enfile également ma montre argentée à mon poignet droit et un bracelet pandora en argent, comprenant différents motifs. Je mets du rouge à lèvre. Me voilà prête.
Je prends ma voiture et me dirige vers l’administration. Je me garde dans le parking public et me dirige à l’entrée du bâtiment, je m’annonce auprès de la sécurité :
« Bonjour je m’appelle Aria Galva, j’ai un entretiens d’embauche dans 10 minutes avec M. Bourbier »
« Oui, nous sommes au courant de votre entretiens. Entrer je vous en prie, je vais vous accompagner à la pièce où se déroulera votre entretiens » me répond l’un des agents de la sécurité. Les agents proviennent de SECURITY, une société de sécurité privée des plus fiables et des plus sérieuses opérant dans toute la France. Je dois dire que je suis impressionnée, l’administration semble professionnelle et très sérieuse. J’entre et suis l’agent.
Je n’aime pas beaucoup mentir au gens, mais je ne pouvais pas donner mon vrai nom. Dans mon CV j’avais mentionné une entreprise fictive dans mon ancien emploi, et dans les références j’ai donné le un faux nom et le numéro de téléphone d’un ami à moi qui était prêt à se faire passer pour mon directeur si jamais la secte l’appelais. Et ce fut le cas, il leur a ainsi dit que je travaillais correctement. Nous arrivons maintenant dans la pièce, l’agent m’ouvre la porte et me fait :

«Installez-vous je vous en prie, M. Bourbier ne va pas tarder »
Je m’assieds sur une chaise et sorts quelques feuilles et un stylo de mon sac à main afin de prendre des notes. Autant jouer mon rôle le mieux possible. Heureusement qu’ils ont mandaté SECURITY, tous les agents respectent strictement la loi, je ne risque pas d’avoir d’ennui. Mais je suis prête à parier que ce sera différent dans les centres tenu secret par la secte. Soudain deux hommes pénètrent dans la pièce, probablement M. Bourbier et un assistant. L’un deux me fait :
« Bonjour mademoiselle Averine, je suis Olivier Bourbier, responsable de la communication et je vous présente également M. Léonard Borel, responsable des RH »
« Bonjour » je réponds « ravie de faire votre connaissance »
M. Bourbier porte un costard, mesure près d’un mètre quatre-vingt avec des cheveux noirs courts. M. Borel est également en costume, mesure près d’un mètre soixante-dix, et est chauve.
« Bien » reprend M. Bourbier « pourriez-vous commencer par nous parler de l’entreprise, vos connaissance sur notre société ? »
« Bien sûr » je réplique « MEHDCA, le Mouvement de l’éducation de l’humanité et de défense contre l’anarchie est un mouvement religieux fondé par Carle von Hildou en 1983. L’organisation a été reconnue comme religion officielle par le gouvernement en 2002, et est principalement active dans les domaines de l'éducation, et dans l’agriculture. J’ai pu parcourir le livre de M. von Hildou, concernant la religion. Hélas, je n’ai pas plus d’information, je ne vous cache pas que beaucoup d’éléments semblent confidentiels et difficile à obtenir»
« C’est un très bon résumé de l’entreprise » reprends M. Bourbier « Oh je vous rassure, vous n’êtes pas obligée d’être une adepte et pratiquante de notre religion, vous devez juste connaître notre philosophie. Très bien, maintenant je voudrais vous demander, pourquoi avez-vous travaillé en tant que secrétaire, et pourquoi postuler vous pour ce poste, qu’attendez-vous de ce travail ? »
« Je trouve qu’il est très important pour une entreprise, d’avoir une bonne gestion des rendez-vous, réservation et d’une bonne communication par téléphone pour toutes informations. Cela donne une image sérieuse et professionnelle pour toute entreprise ».
« Très bien, je vous approuve totalement. Tout à l’heure vous aviez mentionné quelques choses d’important, que beaucoup d’information sont confidentielle. Je vais insister sur ce point : lors de votre travail, vous apprendrez certaines informations sur notre entreprise qui ne doivent pas être rendue publique. Il est primordiale, de ne pas divulguer ces mêmes informations, vous me suivez ? »
« Parfaitement » je réponds avec un sourire et un regard de charme« c’est là même l’étymologie du mot secrétaire, qui vient du mot secret ! »
« Oui, j’approuve totalement vos dire M. Garcia » répond M. Bourbier qui sourit et commence presque à rougir. J’ai l’impression que les deux hommes ne sont pas mécontent de me regarder, M. Bourbier poursuit « Euhm..euhhh…ah oui… pourriez-vous me donner un exemple d’une situation difficile au cours de votre vie, une chose qui vous a posé problème ou pour laquelle vous avez rencontré des difficultés? »
« Oh je…c’est peut-être un peu banal mais…je pense que c’est lorsque j’ai dû quitter mon ex-fiancé. En effet, je m’étais aperçu qu’il se droguait et je ne voulais pas épouser un droguer. Ce fut tout de même un choc pour moi et cela était très difficile. » je réponds en passant ma main dans mes cheveux délicatement.
« Cela n’a rien de banal je pense, cela a dû être difficile et malgré ça vous avez pris la bonne décision, je suis sûr que vous êtes une femme très sensée » me répond M. Borel cette fois. « Comment avez-vous surmonté cette épou…euh…cette épreuve ? »
« Oh, eh bien, je me suis investi au maximum dans mon travail, et je crois que c’est important quand il nous arrive quelques chose de difficile, d’aller de l’avant. »
« C’est une très bonne façon de penser » me répond M. Bourbier qui ne me quitte plus des yeux. « Bien j’ai été vraiment très ravi de m’entretenir avec vous, M. Garcia. Nous vous rappellerons au plus tôt. En général je n’ai pas vraiment le droit de le dire maintenant mais…je peux déjà vous garantir que nous sommes prêts à vous engager. Mais ne le crier pas encore sur les toits, d’accord ? »
« Entendu, merci beaucoup, je suis très heureuse de vous connaître également » je termine en leur serrant la main.
« Vous saurez retrouvez l’entrée principale ? » me demande M. Borel.
« Oui bien sûr, ne vous en faites pas pour ça, bonne journée, merci beaucoup et à bientôt ! »
« Ce fut un plaisir M. Garcia, à bientôt » termine M. Bourbier.
Je ressors de la pièce. Bien c’est maintenant que je vais pouvoir en profiter. Pour l’instant je me promène comme si je travaillais dans l’entreprise, plus je serai naturelle, moins j’éveillerai les soupçons. Je dois juste faire attention à ne pas tomber une nouvelle fois sur M. Bourbier ou Borel.
Je me déplace dans le couloir, regardant les différents postes de bureau. Soudain j’aperçois un poste inoccupé, reste dans le couloir, faisant semblant d’écrire un message avec mon portable. Je reste 10 minutes à attendre. Personne, si dans les 5 prochaines minutes personnes d’autres ne vient, je pourrai tenter de me connecter. Cinq minutes de plus passe, toujours personne, je vais pouvoir m’y introduire. Je m’assieds au poste et allume l’ordinateur. L’écran me demande un nom d’utilisateur et un mot de passe, je me dirige vers un autre poste et demande à l’un des employés :
« Bonjours, excuser moi, je suis nouvelle ici et..mon identifiant ne marche pas très bien, pourriez-vous m’aider ? »
« Bien sûr, montrer moi votre poste, je vous offre mon aide avec grand plaisir » me répond l’employé.
Nous entrant dans le poste de travail ou je me trouvais, je tape un faux nom et un faux mot de passe et je fais :
« C’est bizarre que cela ne marche pas, je suis pourtant sûr que c’était mon bon mot de passe ».
« Oh, je comprends que c’est embarrassant » réplique l’employé « J’ai une solution pour vous »
Il tape son nom d’utilisateur et son mot de passe et me fait :
« Voilà, pour l’instant vous pouvez rester connectée sur ma cession. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, n’hésitez pas d’accord »
« Oh merci beaucoup !! » je réplique.
« Mon nom est Alphonse, ravi de faire votre connaissance » me fait-il avec un sourire.
« Oh merci, Mon nom est Aria, très heureuse de vous connaitre également »
« Euhm…eum…est-ce que ça vous dirais, si vous n’avez rien d’autre de prévu bien sûr, que l’on dine ensemble un de ces prochains soirs, je pourrai vous parler un peu de l’entreprise et ça me ferait très plaisir d’accueillir une si charmante nouvelle employée ! »
« Oh, merci avec plaisir. Je n’ai pas mon agenda sous les yeux mais, prêtez moi votre téléphone, je vais ajouter mon numéro, puis je prendrai le vôtre également, je vous communiquerai mes disponibilité »
« Oh oui avec grand plaisir ! »
Nous échangeons nos numéros, je lui remets un faux numéro et un faux nom. Puis il retourne à son poste. Je vais pouvoir commencer mes recherches.
Je fouille de dossier en dossier. Il y a des tonnes de dossier, et difficile de savoir à quoi correspond chaque document. J’écris « confidentiel » dans le moteur de recherche du bureau. Parmi les titres ressortant de la recherche je tombe sur « centre d’éducation général » sous un sous-dossier nommé intitulé « confidentiel ». J’ouvre le document. Il s’agit d’information sur ce qui semble être le centre d’éducation principale de la secte, il est mentionné que Carle von Hildou siège dans ce même centre. Le centre se trouve au Maroc, dans l’Erg Chebbi en plein désert, les coordonnées GPS sont indiquées. C’est parfait ! J’imprime le document et le range immédiatement dans mon sac à main. Je quitte le poste de bureau, et me dirige vers l’ascenseur. Je regarde les étage, au premier il est indiqué « usine et production » autant essayé, je pourrai peut-être y trouver quelques chose d’intéressant. Je descends au premier. Je sors de l’ascenseur et observe divers machine de production. J’ignore à quoi elles servent exactement. J’avance à travers l’étage, je vois une autre porte vitrée, dans l’autre salle il y a d’autres machines et des ouvriers. Une autre porte intitulée « Staff only » se trouve sur la gauche. Autant essayer. Quelle chance, la porte n’est pas verrouillée. Je vois divers conteneurs et casiers. Qu’y a-t-il à l’intérieur. Hélas les casiers sont verrouillés sous clé. Je me dirige vers l’un des conteneurs pour voir si il y a un moyen de l’ouvrir. Soudain, j’entends deux personnes parler, ces derniers semblent s’approcher de la pièce dans laquelle je me trouve. Je me dirige vers une armoire, je l’ouvre, c’est une armoire pour les balais, je m’y cache et referme la porte, tout est noir là-dedans. Les deux personnes entre dans la salle, je les entends discuter :
« Putain, vivement mon jour de congé, j’en ai marre de patrouiller encore et encore, faut que je me change les idées un peu »
« Haha, toi t’as vraiment besoin de vacance. »
Ce sont des agents de la sécurité. Je les entends parler de tout et de rien. Espérons qu’ils ne vont pas ouvrir l’armoire dans laquelle je me suis cachée. Pendant qu’il patrouille dans la salle je les entends dire :
« Sérieusement, ça te fait jamais un peu flipper, les rumeurs qui courent sur MEHDCA ? »
« Ecoute, on ne peut pas se fier à des rumeurs, nous ont fait notre job dans le respect de la loi, et pour le moment il y a rien d’illégal ici même. Leur petit secret, on n’en sait rien, et ce n’est pas notre problème. »
Ils continuent de patrouiller, mais semble repartir. Je n’y vois vraiment rien là-dedans. Et c’est vraiment inconfortable. Je tente de me redresser. Soudain, je heurte quelque chose de ma tête, quelque chose tombe dans l’armoire.
« T’as entendu ? » fais l’un des agents. Oh zut, je crois bien qu’ils vont me trouver. Ils se dirigent vers l’armoire dans laquelle je suis cachée. Respire Nina, ces agents ne sont pas dangereux, ils font juste leur travail en respectant la loi, tu n’as rien à craindre. La porte de l’armoire s’ouvre, l’un des agents fait :
« Eh bien bonjour mademoiselle. On a bien failli repartir sans remarquer votre présence ! »
Je ressors de l’armoire sans rien dire. L’autre agent me fait :
« J’imagine que vous n’avez aucun badge ? »
« Non, en effet. Je suis désolée, je…je me suis perdu » je réponds.
« Vous vous êtes perdu en entrant dans une salle réservée au personnel et vous vous êtes cachée dans une armoire quand on est arrivé, plutôt que de simplement nous demander de vous orienter. S’il vous plait madame, je veux bien admettre qu’on sort pas de l’université, mais ne nous prenez pas pour des imbéciles ! »
Je ne sais pas quoi répondre. L’autre agent reprend :
« Charles, je transmets les infos, jette un coup d’œil dans son sac. »
« Ouais, ça marche. Veuillez ouvrir votre sac à main mademoiselle, je dois m’assurer que vous n’avez rien volé à l’entreprise »
Je lui donne mon sac. Il commence par trouver mon portemonnaie, il me le tend puis me fait :
« Je ne vais pas fouiller dans votre porte-monnaie, par contre j’ai besoin que vous me présentiez votre pièce d’identité »
Je ressors ma pièce d’identité et la lui donne. Pendant ce temps l’autre agent est en train de dire par radio :
« J’annonce à tous les agents, une jeune femme s’est introduite dans l’usine, description, jeune femme brune, cheveux longs, yeux bruns, ayant la vingtaine. La femme porte une chemise blanche, une jupe noire et des talons noirs. » Après quelques secondes, j’entends une réponse par radio :
« C’est l’entrée principale qui parle. Positif, une jeune femme du nom de Aria Garcia avait un entretien avec M. Bourbier et M. Borel. Contacter M. Bourbier pour plus d’information.
« Compris, merci, terminé. »
Pendant que le même agent commence un appel avec son portable, Charles est en train de noter les informations de ma pièce d’identité sur un papier. L’autre agent reprend parole au téléphone :
« Oui, M. Bourbier………….Je vous appel parce que nous venons d’appréhender une jeune femme avec qui vous avez eu un entretien, Mme Arial Garcia………………….oui elle était en train de fouiller dans l’usine on l’a retrouvée cachée dans une armoire……. »
« Eh Kalvin, son nom n’est pas Aria Garcia sur sa carte, mais Nina Averine » fait Charles.
« Attendez, mon collègue vient contrôler son identité, elle se nomme Nina Averine, pouvez-vous me décrire avec précision la fille que vous avez eus en entretiens pour m’assurer qu’on parle bien de la même………………oui………………..c’est ça oui…………oui, c’est sûr……..oui, oui aucun doute c’est bien elle. Ça veut dire qu’elle vous a donné un faux nom.»
Au même moment, Charles met la main sur le papier que j’ai imprimé, il regarde quelques secondes et je replie en le mettant dans sa poche. Kalvin continue de parler :
« Oui…..d’accord on vous l’amène………….d’accord entendu la salle 412 au quatrième. On arrive dans 10 minutes. » Kalvin raccroche et s’adresse à moi :
« On va vous accompagner vers M. Bourbier pour que vous lui expliquiez pourquoi vous étiez en train de fouiner dans l’entreprise. Vous allez nous suivre calmement ? Ou il faut qu’on vous tienne le bras ? »
« Je vais vous suivre sans poser de problème » je réponds.
Nous ressortons de la pièce et nous dirigeons vers l’ascenseur. Nous montons au quatrième étage, puis nous nous dirigeons vers la salle 412. J’entre escortée par les deux agents, M. Bourbier et M. Borel sont également dans la pièce. Ils m’invitent à m’assoir, je m’assieds sur une chaise en bois. Charles leur remet le papier que j’ai imprimé en disant :
« Elle avait ce document dans son sac à main, j’ai à peine vu le logo de l’entreprise et l’indication confidentiel que j’ai replié le document, je n’ai rien lu du tout` ! »
« Merci beaucoup agent Charles, vous pouvez nous laisser seule avec mademoiselle Averine et reprendre vos rondes » réplique M. Bourbier.
Les deux agents ressortent de la pièce. Je suis assise face à M. Bourbier et Borel, M. Bourbier me fait :
« Transmettre une fausse identité pour pénétrer et fouiller dans l’entreprise, votre situation est plutôt fâcheuse Nina ! Qu’est-ce que vous cherchez exactement ? Qui êtes-vous réellement ?»
« Etant donné les rumeurs qui court sur MEHDCA je ne pense pas que je suis la seule à avoir enfreint la loi ! » je réponds
Soudain le téléphone de M. Bourbier sonne, il décroche et fait :
« Oui allo ?..................oui tu as quoi alors sur Nina Averine…………………journaliste tu dis…………….quoi ??..................okay d’accord. Bon je te rappelle »
En même temps Borel était en train de regarder le document que j’avais imprimée, Bourbier lui fait :
« Borel, c’est une journaliste qui a l’habitude d’espionner et faire plier des organisations ! Elle a fait fermer un centre en Roumanie, et remis à la police un grand nombre de malfrats et d’organisations criminelles »
« Ben ça sent vraiment pas bon, elle sait où se trouve le centre général, c’est ça qu’elle avait imprimé !! » je leur fais :
« Maintenant ça suffit votre petit jeu, j’appelle la police et je m’expliquerai avec eux !! »
Avant que je me lève, M. Bourbier me saisis les épaules et me fait :
« Restez assise !! »
« Non, me toucher pas, laissez moi maintenant » je réplique. Bourbier me maintient aux épaules, m’empêchant de me lever, je commence à crier :
« ça suffit, AU SECOURS !! A L’AI..GGGGGMMMMMMMHHHHHH !!!! »
Borel s’est mis derrière moi et maintient sa main sur ma bouche m’empêchant de parler. Je saisis son poignet essayant de dégager sa main…mais je n’y arrive pas je n’ai pas assez de force. Borel utilise son autre bras pour saisir mon torse, me maintenant assise, puis il réplique à Bourbier :
« Je la tiens, jette un œil dans le couloir vite !! »
« GGGMMMHHHH…MMMMMMHHHHH..MMMMHHHH » je n’arrive pas à prononcer un mot. Bourbier ouvre la porte et regarde dans le couloir, il fait :
« La sécurité s’apprête à passer dans le couloir, maintiens là fermement !! Surtout empêche la de parler, n’enlève pas ta main de sa bouche !! »
« GGGGMMMHHHHHH..MMMMHHHMMHHHHH..GGGGGGMMMHHHHH !!! » je fais toujours incapable de parler. Mes mains tiennent toujours le bras de Borel, m’empêchant toujours de parler, je suis toujours maintenu assise. Bourbier sort un taser d’un tiroir, il presse quelques secondes, faisant partir une décharge dans l’air et me fait :
« Arrête de gémir, où c’est avec ça qu’on va t’endormir !!! »
Je garde le silence, ma bouche étant toujours maintenue par la main de Borel.
Nous restons silencieux. Nous attendons quelques minutes. Bourbier colle le taser contre moi. Nous entendons la sécurité passer dans le couloir. Puis ils semblent repartir. Nous attendons quelques minutes de plus, puis M. Bourbier fait à Borel :
« Maintient là, je vais voir si ils ont bien quitté l’étage.. »
Bourbier se déplace, alors que Borel me maintient assise, sa main sur ma bouche, mes mains saisissent toujours son bras, bien que je n’arrive toujours pas à dégager son bras. Il va vraiment falloir que je trouve un moyen de m’enfuir au plus vite !! Mais pour l’instant c’est mal parti !! Après quelques minutes, Bourbier reviens dans la pièce, referme la porte en la verrouillant à clé et fait :
« C’est bon, la sécurité à quitter l’étage ! Maintenant Nina, M. Borel va enlever sa main de votre bouche, mais si jamais j’entends un seul cri, j’utilise le taser sur vous, c’est clair !? »
Je fais oui de la tête. Borel relâche ma bouche et mon torse mais reste près de moi, je réplique :
« Je m’étais pas trompée, vous avez bien des choses à cacher !! »
« La ferme » réplique Bourbier, puis il s’adresse à Borel « Je pense qu’on sait tous les deux ce qu’on va faire d’elle, mais avant d’appeler Gaston on va prendre nos précautions ».
Il ouvre un tiroir et ressort des cordes, je leur fais :
« Non mais attendez, vous êtes quand même pas sérieux là !!? Vous êtes cinglé ou quoi !!? » Borel me réponds :
« Laisse toi faire, tu sais à quoi t’attendre autrement ! » je soupire en faisant :
« Non mais je rêve, c’est pas possible, vous êtes complètement dérangé !! » puis je croise mes mains derrière le dos en restant assise.
Borel commence à enrouler la corde autour de mes poignets, croisant mes mains derrière le dossier de la chaise. En même temps, Bourbier est en train d’attacher mes chevilles, pendant qu’il me ligote je leur fait :
« La prochaine fois que vous mènerez un entretien d’embauche, prévenez leur que vous êtes sadomaso !! J’espère que ça vous excite bien de m’attacher au moins » je leur fait sur ton sarcastique. Ils ne disent rien. Les nœuds sont serrés. Mes mains et mes pieds sont solidement ligotés. Bourbier se sert d’une autre corde pour attacher la corde entravant mes pieds à une barre reliant les deux pieds de la chaise. En même temps, Borel est en train d’attacher mon torse sans les bras au dossier de la chaise, passant la corde au hauteur du nombril. Je continue de les provoquer en faisant :
« Alors quoi !! ça vous fait rien !!?? Pas de honte, pas de culpabilité d’attacher une jeune femme, et de la garder illégalement prisonnière !!? Je suis sûr que vous y prenez tellement de plaisir que vous éprouvez même plus de honte ni de culpabilité !! »
Ils ne disent toujours rien. Cela faisant longtemps que je n’avais plus été attachée, mais je dois dire que je n’avais pas oublié cette sensation, hélas ! Les nœuds sont serrés. Mais ce n’est pas fini : Bourbier attache mes jambes ensemble, passant la corde juste au-dessus de mes genoux, alors que Borel commence à attacher le haut de mon torse au dossier de la chaise, passant la corde autour de mes bras cette fois-ci, passant la corde au-dessus et au-dessous de mes seins. Ils ne disent toujours rien. Presque un an que je n’avais plus été ligotée, même si j’y avais pris du plaisir par le passé, c’est une sensation qui m’avais vraiment pas manqué. Ils ont serrés les nœuds. Mes mains sont attachées ensemble derrières le dossier de la chaise, le bas de mon torse est ligoté au dossier, puis le haut de mon torse incluant également les bras et aussi ligoté au dossier de la chaise. Mes chevilles sont ligotées ensemble, une autre corde les fixes à une barre entre les pieds de la chaise, m’emêchant même de boucher mes deux jambes ensembles, et mes jambes sont également ligotées, les cordes sont enroulées justes au-dessus de mes genoux. Je réplique :
« C’est quoi la suite !!? Vous allez me violer, alors que je suis attachée et impuissante !! Vous voulez aussi rajouter une catégorie « violeur » à votre CV ? » Bourbier réplique :
« Ben tu vois, je dois dire que t’es à la fois une sacré emmerdeuse, et une bien sexy jolie petite minette. Du coup ça me donne très envie de faire du sexe avec toi, et en effet, je vais pas avoir honte de le faire, parce que tu m’agaces et tu m’excites carrément tu vois !! Et si l’envie me prend de te violer, tu vas faire quoi de toute façon au juste hein ma jolie !!?? »
Je reste silencieuse, Borel reprends :
« Alors quoi ? T’as plus rien à dire tout d’un coup !!?? Plus de réflexion sarcastique ??!!»
Je reste encore silencieuse. Bourbier me fait :
« Ouais, c’est bien ce qu’il me semblait tu vois !! Alors maintenant tu ferais mieux de fermer un peu ta gueule et d’arrêter de jouer la maligne !! »
Bourbier reprends parole :
« Je vais appeler Gaston ! » je réplique
« Que comptez-vous faire de moi ? »
« On t’expliquera dès qu’il aura fini le coup de fil Nina » me répond Borel. Je réplique :
« Hello les gars, désolé d’être curieuse, mais je suis juste attachée sur une chaise, j’aimerais s’il vous plait que vous me disiez pourquoi et qu’est-ce que vous avez prévu pour moi ! »
Bourbier réplique :
« Putain elle me saoule là, Borel, bâillonne-la ! ».
Ce dernier prend un petit chiffon et un long tissus blanc. Je fais :
« Bon, d’accord, c’est bon je vais me taire, désolé, mais me bâillonner pas, s’il-vous plait..promis, je vais rester sage, j’arrête de parler….ggggmmmhhhmmhhh !! »
Borel vient d’enfoncer le chiffon dans ma bouche. Il fait à bourbier :
« Tu peux soulever ses cheveux, que je puisse la bâillonner correctement ? »
Ce dernier tiens mes cheveux en l’air, pendant que Borel passe un foulard blanc par-dessus ma bouche, puis l’attache derrière ma tête. Ceci fait, Bourbier relâche mes cheveux. L’arrière de mon bâillon est couvert par mes cheveux. Borel réplique :
«Tu l’as cherché ma mignonne !! »
« ggggmmmhhhh !! » je fais bâillonnée.
Bourbier est en train de passer son téléphone. Il fait :
« Oui Gaston…….non t’inquiète pas pour ça elle va pas aller loin……………….oui…..d’accord, attends un peu, je vais devoir changer de pièce……oui je te rappelle dans 5 minutes » il raccroche et fait à Borel
« On change de pièce pour le coup de fil, faut pas que la journaliste entende, et de toute façon elle va pas s’envoler maintenant, vient avec moi, je mettrai Gaston sur haut parleur. »
Les deux hommes quittent la pièce, avant de fermer la porte Borel me fait :
« Attends ici bien sagement, surtout tente rien !!! » puis il referme la porte en verrouillant par clé, me laissant seule dans la pièce, bâillonnée et attachée sur cette chaise.
J’attends quelques instants. Qu’est ce qu’ils comptent faire de moi !!? Tout ce qu’’il y a de plus inquiétant en tout cas ! Je peux pas rester là à attendre ! Raah mais qu’est-ce que je suis conne, j’aurais dû partir dès que j’avais imprimé le document sur le centre général. Bon peu importe Nina, maintenant tu peux pas revenir en arrière, tu es belle et bien prisonnière, va falloir réfléchir, trouver un moyen de m’échapper !!
Après 10 minutes de plus, je n’entends toujours rien, Bourbier et Borel ont peut-être quitté l’étage, avec un peu de chance la sécurité pourrait m’entendre, je tente de crier :
« GGGGGMMMMMHHH !!!MMMMMHHHH !!! »
Rien, mais je continue :
« GGGMMMHHHHH !!!GGGGGGGGMMMMHHHMMMHHHH !!! »
Personne ne m’entend bien sûr. J’essaie de remuer ma tête afin de dégager mon bâillon…j’y mets toute mon énergie…non rien à faire, je n’arrive pas à l’enlever. Je tente alors de me débattre…oh ciel, ils m’ont sacrément bien ligotée…je redouble d’effort…impossible, les nœuds ne vont pas céder, et les cordes sont bien serrées. Non ne désespère pas Nina, essaye encore !! J’y mets encore toute mes forces !!! Rien à faire, ils m’ont trop bien attachée !!
Je commence alors à regarder autour de moi. Rien qui puisse m’aider à couper mes liens. Et de toute façon je vois pas comment je pourrais me déplacer. Il y a tout de même le téléphone sur la table. Autant essayer. Je tente de remuer pour faire bouger la chaise. J’arrive à la faire bouger de quelques millimètres, c’est toujours mieux que rien. Je continue, en faisant tout de même attention. Oh c’est vraiment trop long, j’essaie de redoubler d’effort, mais la chaise commence à basculer, oh non…ouf, je ne vais pas tomber, la chaise est de nouveau stable. Je suis épuisée, je reste calme quelques instant.
Il va falloir faire très attention, si la chaise bascule, je peux vraiment me faire mal ! Une chance que leur appel soit assez long. Allez assez perdu de temps, cela fait bientôt une heure qu’ils sont partis, je recommence à remuer pour faire bouger la chaise en direction du téléphone. Même si je n’avance pas beaucoup, j’ai quand même une chance de m’en sortir. Je continue. Les pieds de la chaise grince à chaque fois que je parviens à la faire bouger de quelques millimètres. Je continue me rapprochant progressivement du téléphone.
Soudain, la porte s’ouvre, Bourbier et Borel sont de retour, ils s’empressent de refermer la porte à clé, puis Borel viens vers moi en faisant :
« Où est-ce que tu essayes d’aller comme ça ma jolie ?? Le téléphone bien sûr, heureusement qu’on est revenu avant que tu puisses composer le numéro de la police ! » puis il s’empresse de débrancher le téléphone de la pièce pour le ranger dans un tiroir qu’il ferme à clé. Puis il sort son téléphone portable puis prends quelques photos de moi puis fait :
« Voilà , un bon petit souvenir de ce moment très plaisant !! »
Puis Bourbier se rapproche de moi en me disant :
« Dommage que tu postulais pour de faux, je t’aurais bien prise comme secrétaire !! Tu sais que tu es sacrément mignonne toi dans ton genre !! »
J’essaie de me débattre, sans succès évidemment il poursuit :
« Oooh, mais je pense que c’est un mal pour un bien, parce que pour l’instant tu es à nous ma jolie. Au fait je dois t’avouer quelques chose. Pendant l’entretient j’ai…après 10 minutes, j’étais en train de bander !! Et là de savoir que tu es à ma merci…ben je dois t’avouer que je suis vraiment en pleine extase par cette situation !! »
«Oli » reprend Borel « va falloir qu’on rentre revoir chez nous comme si de rien n’étais. Si nos famille nous revoient pas, ça va éveiller les soupçons ! » Bourbier reprend :
« Chier, t’as raison malheureusement ! Putain la vie est vraiment cruelle quand même, regarde cette bombe sexuelle qu’on a sous la main et on va même pas pouvoir en profiter !! »
« Relax Oli » reprend Borel avec un sourire« On fini de bosser dans une heure, on a encore un peu de temps. Et il y a demain encore ! » Bourbier réponds :
« Ohhh, voilà qui est mieux !! »
Puis il commence par caresser ma joue. Mon rythme cardiaque augmente. Je ressens la même peur que j’ai éprouvée autrefois, la peur d’être à la merci de personne voulant me violer. La main de Borel descend le long de mon cou. Puis il effleure mes seins, je commence à gémir :
« GGGMMMHHHH !!!! »
« Alors ma jolie, quelles beaux seins tu caches derrière ce beau chemisier hein ?? » me fait-il.
Puis il continue de ploter mes seins. Espèce de pourriture, je suis sûr qu’il en avait envie dès que je me suis présentée pour l’entretien d’embauche !!
« Ouais, tu fais une vraiment…très…très belle secrétaire sexy !! »
Puis il commence à m’embrasser sur le visage un peu partout, sa respiration s’accélère. Si seulement Yuri n’était pas dans le coma, je suis sûr qu’il me sauverait et qu’il tuerait ce pervers !!Et je suis obligée de subir tout cela !
Après quelques minutes de plus, Borel fait :
« Hey Oli, tu m’en laisses un peu !!?? »
Après quelques minutes encore, Bourbier enlève ses mains de mes seins en lui fait :
« Ohhh, ciel, c’est tellement bon !!! D’accord, c’est ton tour, fais toi plaisir !! »
Borel se met accroupi. Il comment par caresser mes chevilles en parcourant mes liens. Puis il continue en caressant mes talons. En me faisant :
« Regardes toi ma mignonne, tout es tellement parfait chez toi !!! ».
Il…il embrasse mes jambes !! Bon ça pourrait être pire. Je reste calme, de toute façon je ne peux rien faire du tout !
Voilà près de 10 minutes qu’il caresse et embrasse mes jambes. Le voilà qui remonte progressivement, il commence à caresser mes cuisses. Sa main caresse ma jupe, il me fait :
« Tout est vraiment parfait chez toi Nina. Un visage magnifique, de si belle forme, des beaux seins bien généreux, tes fesses…oh ciel, ton cul est plus beau que le visage d’une top model !! »
Dans d’autres occasions j’aurais peut-être apprécié des compliments. Les hommes sont vraiment tous les mêmes décidément. Mais voilà que sa main se faufile sous ma jupe, je fais :
« GGGMMHHHH !!!GGGMMMHHH !!MMMHHH ».
« Relax ma chérie » me fait Borel « on prend juste un peu de bon temps toi et moi ».
Sa main continue de glisser à l’intérieur de mes cuisses. Oh non, pas ça, non, non, non, non, nononononononononon !!! Mais sa main caresse mon string. Oh non, pitié, arrêtes en là !! Soudain le téléphone de Bourbier retenti, alors que Borel ne bouge plus, Bourbier décroche et fait :
« Oui allô ! Quoi, maintenant !! Okay on arrive !! Oui pas de problème……à tout de suite ! »
Puis il fait à Borel
« Faut qu’on y aille, il y l’apéritif de départ de la stagiaire, j’avais complètement oublié d’ailleurs. La sécurité ne patrouille pas à cet étage, ni au 3ème en dessous, on peut la laisser là, il faut juste s’assurer qu’il n’y a rien dans la pièce qui puisse l’aider à couper ses liens !! »
Borel retire sa main et me fait :
« Ohhh c’est dommage, on était bien parti !! »
Puis les deux hommes fouille la pièce et retire tous les objets coupant des tiroirs. Pour une fois j’ai quand même eu de la chance.
Après avoir tout fouillé les deux hommes quittent la pièce en verrouillant à clé. Oh quelle poisse, je vois vraiment pas comment je pourrais m’en sortir cette fois !! Je reste calme, reprend ma respiration, ce qui n’est pas facile étant bâillonnée, et je reprends peu à peu mes esprits…
Voilà une heure que je suis toute seule, ligotée !! Il doit être passé 18h00 je pense. Ohh quelle poisse. Et qu’est-ce qu’ils vont faire de moi maintenant !!?? Peut-être vont-ils me garder dans un autre endroit pour abuser de moi quand ils le voudront !!! Ou alors !!!?? Non je préfère ne pas imaginer les pires scénarios, j’ai déjà eu assez de mal à reprendre mon calme.
J’utilise le peu d’énergie qu’il me reste pour essayer de me débattre….allez, Nina !!! Si seulement ces salés de cordes pouvaient céder !!! Encore un effort allez….non c’est vraiment impossible, et de toute façon je savais bien que je ne pourrais pas me détacher.
« GGGGMMMMMHHHHH !!! » Je tente de faire bâillonnée….
« GGGMMMHHHH !!!MMMMMHHHH !!MMMMHHHHHHHHH !!!GGGMMMMHHHHH !!! »
Rien à faire. La sécurité ne m’entendra pas ! Si seulement je n’étais pas bâillonnée et…ces saloperies de cordes….oh mais qu’est-ce que j’en ai marre d’être attachée. Et de savoir que ces deux pervers vont encore abuser de moi !!
Bon vaut mieux que je reprenne mon calme, même si j’ai toute les raison de paniqué ou d’être furieuse, ça ne mènera à rien, et je n’arriverai pas à me libérer cette nuit. Autant attendre…
Je pense à Yuri. Inconscient, entre la vie et la mort. Je jure que je ferai mettre celui qui lui a tiré dessus en prison pour le restant de ses jours. Vu leur comportement, Bourbier et Borel doivent en savoir beaucoup sur les activités de MEHDCA. Est-ce seulement des abus sexuels qui sont tenus secret auprès de la secte ? Qu’est ce que MEHDCA pourrait bien cacher d’autre ??
Toutes ces émotions, l’énergie vaine que j’ai donnée en essayant de me libérer, je suis tellement épuisée maintenant. De toute façon il n’y a rien d’autre à faire. Et la fatigue se fait vraiment sentir. Je n’arrête pas de penser, qu’est ce qui va se passer demain, que vont-ils faire de moi. Je sens toujours tous mes membres solidement ligotées, ma bouche bâillonnée….je…….je commence progressivement à m’endormir………..

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Re: Une journée imprévisible

Message par fredchl »

Ah Nina Averine !
Ses célèbres scènes de douches !
Sa garde-robe bien fournie !
Son côté fouineuse de journaliste insolente !
Son côté moustique qui ne sévit que l'été, pour notre plus grand plaisir !
Ca me manquait ?... Pas vous ?...
:langue:

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foulards6384
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Ce que je déteste : Les bâillon boule,ne pas avoir de partenaire pour les scéances de ligotages, tout ce qui hard
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Re: Une journée imprévisible

Message par foulards6384 »

La jolie Nina est de retour :)
C'est que sa nous manqué de ne plus suivre ses aventures
Et il faut dire qu'elle n'a pas l'air d'avoir changé, chercher qui est les méchants qui a ce jeter dans la gueule du loup pour finir ligoté et bâillonner :lol: .
je bouge pas :police: je ne regarde pas :bandeau: je ne parle pas :gagged:

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