Camping Paradis.

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sdc
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Camping Paradis.

Message par sdc »

La prise en charge.

Oh le minou, il mange tout : ce que l’on peut être gaga devant un simple chat même derrière une vitre. Je me déplace pour le nourrir et monsieur attend que je parte pour avaler son repas 3 étoiles à base de croquette et d’eau. On dit souvent que les chats sont les plus heureux mais ils ont vraiment une bouffe de merde : du saumon voir du lapin compacté en croquettes. Les chats passent leur temps à chasser des lézards, des oiseaux, des souris et on leur file du saumon. Du pâté de rats ou de moineaux serait plus adapté mais cela ne serait pas très vendeur. Pas le temps d’établir un plan marketing pour Sheba, il est temps d’envoyer le petit SMS de réconfort à la propriétaire du matou tout en regagnant ma voiture : j’arrive à faire 2 choses en même temps aujourd’hui, je suis en veine. Par contre je ne tente pas le diable et je range mon portable dans une des poches de mon treillis pour la descente des escaliers menant directement au parking. C’est quand même plaisant la vie en montagne : toujours en plein air, des fontaines un peu partout, du calme,…et des petits parkings. Un peu trop petit celui-ci car une camionnette est garée vraiment proche de ma voiture. En m’approchant je me dis que je vais passer par le côté passager pour rentrer dedans, c’est pratique.
Il y a 2 vélos de courses posés sur le porte-vélos de cette camionnette blanche. Un porte-vélo sur une camionnette…ben voyons ! La porte latérale qui donne sur ma voiture est ouverte et j’aperçois 2 têtes : une tête blonde féminine et une tête brune masculine qui ont l’air de transpirer. Je vais quand même essayer de passer par là, au pire je vais me rincer l’œil sur le corps qui tient cette tête blonde. Et je ne suis pas déçu en arrivant : elle est en cuissarde de cycliste rouge avec un haut tout aussi moulant blanc qui laisse ressortir une petite poitrine. Béni soit le lycra. Petit plus elle est pieds nus et je bloque dessus comme un pervers. Ils sont plutôt grands et les veines sont vraiment saillantes. Elle se rend compte de mon bug et m’interpelle.
- Ca va bien ?
- Oui ca va mieux.
C’est bien de ne pas réfléchir avant de répondre.
- Vous voulez quelque chose ?
- Oui, juste rentrer dans ma voiture.
- C’est vrai que je me suis collé un peu trop.
La tête brune parle aussi. Le gars est en combi bleu et bizarrement le lycra ne me fait pas du tout le même effet. Sans doute à cause de la couleur, on va dire ça.
- Pas de problème je vais passer par le côté passager, changez-vous tranquillement.
- Vous ne voulez pas nous donner un coup de main avant ?
- Non Lise pas ici.
Lise…j’aime bien. Elle pourrait s’appelait Gertrude elle serait toujours aussi attirante. Et pourquoi pas ici ?
- Oui volontiers.
Elle se rapproche du gars en le poussant légèrement et me montre du doigt l’intérieur de la camionnette tout en posant son pied gauche sur le rebord.
- On a toujours du mal pour rabattre le coffre intérieur, à trois ce sera plus facile.
- Non je te dis, écoutes moi un peu !
- Si à 3 c’est plus simple alors…
Je l’entends parler mais je vais faire comme Lise : je ne vais pas l’écouter.
Elle me sourit et monte dans la camionnette. Je la suis comme un toutou qui vient de donner à manger au minou tout en me mettant dos à ma voiture. Depuis l’entrée de la camionnette j’aperçois un tapis de sol bleu avec une barre métallique fixée juste au-dessus et qui longe toute la longueur du sol. Je monte délicatement.
- Le coffre est là mais vous vous allez sur le tapis.
- Quoi ?
Le gars vient plaquer sa main sur ma bouche et repli mon bras droit dans mon dos. Je ne bouge plus. Je tente quelque grognement en vain. Mes yeux se tournent vers un petit coffre en fer au fond de la camionnette. Lise sourit toujours et ouvre celui-ci. Je gigote un peu et mon bras droit remonte dans mon dos.
- MMMMMMM….mmmmmmmppphhh
- Calmes toi l’ami. Mais putain Lise tu ne m’écouteras donc jamais ? Bouges toi de sortir le matos qu’on dégage d’ici !
- T’aimes pas l’imprévu et pourtant c’est là que l’on s’amuse le plus.
Elle ouvre le coffre et elle en sort 2 paires de menottes ainsi qu’une espèce de harnais en cuir avec une boule rouge. J’essaie de mettre des coups de pieds mais le gars me fait chuter sur le tapis de sol. Sa main se retire de ma bouche et je lâche un « Oh » de surprise assez ridicule vu le contexte avant qu’il ne repasse à l’action sur mon bras droit.
- Ferme là ou je te pète le bras, compris ?
Je ne réponds même pas, la pression sur mon bras suffit. Les pieds de Lise sont en face de moi, à quelques centimètres.
- Alors ils te plaisent mes pieds ? Tiens sens les un peu.
Elle me passe ses pieds l’un après l’autre sous le nez et me caresse le visage avec. Je me laisse faire.
- Tu apprécies ?
- Bouges toi bordel, tu joueras avec plus tard !
- T’es plus comme avant Marc, vraiment. Ca va je me dépêche.
Elle s’agenouille et m’enfonce la boule dans la bouche en premier avant de fixer les lanières du harnais sous mon menton et derrière ma tête. Elle s’attarde sur les 2 sangles qui passent chacune d’un côté de mon nez et qui viennent un peu m’obstruer la vue.
- Tu vas y voir plus clair au moins. On se tutoie maintenant, d’accord ?
Merci c’est gentil, garce. Avec mon bras dans le dos je me laisse faire, je n’ai pas le choix. Et puis j’ai une vue sur l’entrejambe bien trempée de Lise, le rouge du cuissard est un peu plus foncé. La sueur après des efforts sur une selle, ou autre chose.
- mmmmmmmpphhhh gggrrrmmmpppfffoooooo
- C’est trop serré ? Pas assez ? Je ne comprends pas désolé !
- Mmmmmooooppppppfffff
- Bouges toi !
- Tiens fini le travail puisque tu es si pressé.
Elle lui donne les menottes et il s’empresse de m’attacher les poignets autour de cette barre. Pareil pour les pieds sauf qu’il serre un peu plus sur les chaussettes. Je tire directement sur mes poignets et mes pieds pour tester cette barre de fer. Je m’excite comme un damné tout en grognant à travers la boule. A part baver il ne se passe rien d’autre : la barre est vraiment bien fixée. Et niveau confort ce n’est pas top avec ce tapis de sol un peu trop fin. Lise et Marc me regardent me dandiner le long de la barre. Je les regarde de temps en temps durant mes phases de gigotage.
- Le poulet est sur la broche lança Marc.
- Mmmmmmmmoooooooopppppppaaaaaa
- Il est vaillant quand même pour sa petite carrure. Récupère les clefs de sa voiture Lise pendant que je fini de rentrer le matos de la balade.
- Avec plaisir.
Marc descend et Lise s’agenouille sur un petit bout de tapis. Ses cuisses ressortent vraiment de ce cuissard. Je bouge 2 fois plus, le bruit des chaines des menottes résonant plus fortement.
- Tu te fatigues pour rien, gardes tes forces pour plus tard. Il y a un tas de babioles amusantes dans le coffre tu sais.
Et elle me lance un clin d’œil tout en fouillant ma première poche…et c’est la bonne mes clefs sont dans celle-ci. Elle les retire et remet sa main dedans. Elle caresse doucement mon sexe à travers mon treillis et mon slip. Oui je mets des slips.
- Ca gonfle bien dis donc !
- Mmmmmmmpffffffffff
J’essaie de pousser la boule avec ma langue mais rien à faire, elle est bien plaquée avec ce maudit harnais et ses multiples sangles. Marc revient, jette un sac encore ouvert. Lise retire sa main de ma poche.
- Allez on rentre au camping. Tu prends sa voiture ou le van ?

sam22

Re: Camping Paradis.

Message par sam22 »

Bonne entrée en matière, j'ai hâte de découvrir ce qui va arriver à la victime du kidnapping!

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Mad Hatter
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Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
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Re: Camping Paradis.

Message par Mad Hatter »

Je dirai même plus ^^
Bonne entrée en matière, j'ai hâte de découvrir ce qui va arriver à la victime du kidnapping!
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Ce que je déteste : les obsédés, les curieux mal intentionnés, les trolls, les prétentieux et les pédants
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Re: Camping Paradis.

Message par Emma »

J'aime bien aussi :)
:gagged: :bandeau: L'art si attachant du bondage :bandeau: :gagged:

sam22

Re: Camping Paradis.

Message par sam22 »

Je serais hyper frustré de ne pas voir la suite mdr!

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Mad Hatter
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Re: Camping Paradis.

Message par Mad Hatter »

Je serais hyper frustré de ne pas voir la suite mdr!
Moi je serai surtout frustré que la suite soit baclé :mrgreen:
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sdc
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Re: Camping Paradis.

Message par sdc »

La suite arrive: faut juste patienter, je suis pas toujours motivé. Ou alors je vous donne directement la fin vu que c'est sorti en même temps que l'intro...je crois que vous allez pas être d'accord !

jeana1fr
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Re: Camping Paradis.

Message par jeana1fr »

j'attendrai tout simplement ton retour de motivation....

sam22

Re: Camping Paradis.

Message par sam22 »

L'attente est un supplice héhé

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sdc
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Re: Camping Paradis.

Message par sdc »

Le trajet.

On vient juste de démarrer avec Lise en conductrice. Je ne sais pas trop s’ils se rendent compte de la situation : nous sommes dans un coin reculé de la vallée, il y a 4 ou 5 campings je crois, mais surtout nous autres autochtones connaissons toutes et tous les véhicules qui trainent dans le coin toute l’année. Et la mienne, bien qu’ayant une couleur grise passe-partout, possède des autocollants bien particuliers et donc facile à reconnaitre. J’ai un peu d’espoir malgré le fait que je me rende bien compte de ma situation : je suis kidnappé, menotté, bâillonné avec une conductrice qui me jette des coups d’œil et des sourires de temps en temps. Ses yeux dans le rétro sont encore plus flippants que face à face : putain de galère c’est pas possible. Et ce rétro intérieur est uniquement utile pour garder un œil sur l’invité vu qu’il n’y a aucune vitre à l’arrière. Misère.
Je tourne du mieux que je peux autour de cette barre afin d’avoir une petite vision de l’endroit où nous allons, en espérant que le terme « camping » soit bien un camping et non un campement sauvage qui réduirait mes chances d’être repéré à défaut d’être secouru. J’ai la barre le long de la colonne vertébrale, c’est un peu douloureux mais mes mains et mes pieds posés au sol me permettent de me surélever un peu.
- Tu veux voir la route ?
J’aperçois ses lèvres bouger dans le rétro.
- Je te mettrai bien devant mais c’est pas équipé pour.
Quel humour. Je lui sors un petit gémissement, je tente même de sourire avec cette boule dans la bouche : mes dents sont sans doute visibles en mordant la boule, mon sourire doit être digne d’une star recevant un oscar. Au moins.
- Mords là bien, tu as tout compris. Tu veux un peu de musique ?
Non merci. Ou plutôt « Mmmmmmmmooooooooonnnnnnnnpppppppfffffffff ».
- Ok.
Le courant passe bien entre nous. J’ai bien remarqué la croix du Puy sur les hauteurs de droite car en partant du parking nous avons tout de suite pris à droite : nous n’allons pas au fond de la vallée, nous en sortons. Du coup il reste 2 ou 3 campings, je crois. Je relève un peu plus la tête en basculant un peu sur la droite afin de voir un peu mieux mais je ne fais que m’écrouler sur le tapis. Cette maudite barre fait bien son travail : me voilà donc à nouveau entrain de regarder la porte par laquelle je suis rentré, un filet de bave coulant sur ma joue. J’essaie de tirer à nouveau sur la barre : les chaines des menottes s’enroulent convenablement autour, je tire un peu plus et je n’obtiens qu’une douleur importante aux poignés. Je lâche l’affaire et je recule un peu. Je me colle latéralement contre la barre. Elle me regarde encore : on va finir par se planter si elle continue ! Je tire mes bras au maximum en arrière, ils ne vont pas bien loin. Je fais pareil pour mes pieds…ils vont plus loin, ça fait du bien. Ils vont plus loin, vraiment plus loin, je touche la ferraille du van. Mes pieds touchent la paroi latérale. Oh, en voilà une bonne nouvelle. Mettre la barre depuis le milieu du siège conducteur n’était donc pas une si bonne idée apparemment. L’excitation monte rapidement depuis qu’un mince espoir de me faire remarquer est à ma portée. Il faut juste de ne pas rater pas le coche.
- Tu t’étires ? Ne t’inquiètes pas tu vas avoir droit à d’autres positions au camping !
Si on y arrive ma chère Lise, si on y arrive.
- Tu veux voir des moutons ? C’est quand même plaisant la montagne : y’a pas de feux rouges ou de rond-point mais y’a des moutons pour ralentir.
Le coche est là. Elle ralentit. Elle ne me regarde plus trop. J’imagine qu’elle doit faire gaffe avec le troupeau, les patous, les bergers et accessoirement du monde qui pourra entendre mes coups sur la carrosserie. Elle ralentit encore et fini par stopper le van. Je donne mon premier coup rapidement, puis un deuxième, un troisième, je ne m’arrête plus. Elle se retourne et me dévisage. Et oui ma belle, tu m’excites mais pas autant que ma liberté.
- Mmmmmmmmmmmoooooooooppppfffffeeeeeeeeecccccccooooooouuuuurrrrrr ! Mmmmmmmmmmmmmmmmmmpppppfff !
- Espèce d’imbécile.
Elle tourne le volant à droite en avançant lentement. Elle coupe le contact, enlève la ceinture de sécurité et vient me rejoindre en passant entre le fauteuil conducteur et passager. Je continue de taper comme un malade, en hurlant du mieux que possible à travers la boule. « Mmmmmoooooooooooooooopppppppffff…..aaaaaaaaaaoooooo. » Je m’arrête net car elle serre le point sensible de mon anatomie : mes testicules.
- C’est très malin je l’avoue. Tu veux des félicitations ? Et bien félicitation tu es le premier à me faire ce coup là. Pour être honnête aucune femme ou homme ne nous l’avait fait, bravo c’était très bien tenté. Sauf que tu es en avance d’au moins 6 voitures : nous n’avons pas encore traversé le troupeau gros malin !
Je ne suis pas le premier à être dans cette position, je m’en doutais un peu. Beaucoup même. Et j’ai raté le coche, je m’en doutais un peu aussi. Beaucoup même car la chance m’a bien quitté depuis que…je suis dans ce van. Elle me serre encore plus fortement les testicules et les relâche aussi sec. Ma vision se trouble par la douleur. Elle va ouvrir le fameux coffre pour en ressortir je ne sais pas trop quoi. Le temps de revoir correctement, la voici agenouillée à mes côtés, toujours dans ce lycra si excitant. Tiens, il me semble qu’elle ne soit plus pieds-nus. Elle me montre un petit mousqueton et en abaissant sa tête souriante, elle me chuchote: « Rien qu’avec ça tu vas me foutre la paix pour la fin du covoiturage. ». Les différents sites de covoiturage ne proposent pas ce genre de service, ou alors j’ai du raté une option lorsque j’en utilise un. L’option kidnapping doit être bien cachée. Elle va relier les chaines entre elles c’est trop facile. Putain ma seule chance s’envole. Alors que je me prépare à cette solution, la voilà qui me resserre mes testicules. Je ne m’y attendais pas.
- Tu vas reculer jusqu’au bout. Pardon : tu vas ramper comme tu peux jusqu’au bout puis tu vas te mettre comme tu as fais tout à l’heure, pour voir le paysage.
Les femmes nous mènent à la baguette par une simple pression sur nos couilles. Je m’exécute et me voici la tête contre le bout arrière du van. Elle appuie fortement et me voilà comme il y 10 minutes : pieds et mains sur le tapis en essayant de me surélever au maximum, la barre entre les fesses. Elle appuie de nouveau d’un coup sec et relâche de suite. Je sens qu’elle tripote le harnais, elle le tire sur le dessus et je sens du métal qui s’enfonce sur mon crâne rasé. Puis j’entends un clic suivi d’un bruit de chaine. « Mmmmmmmmmmmmoooooooonnnnnnnnnn ». Elle tire sur ma tête et j’entends à nouveau un clic. La boule rentre encore plus dans ma bouche. Je ne peux plus bouger ma tête vers le bas : celle-ci est maintenue en haut et je suis obligé de rapprocher mes pieds de mes mains pour avoir un meilleur confort. Enfin surtout pour éviter cette barre au niveau de mon rectum. Là c’est vraiment la merde : mes genoux sont sévèrement pliés, mes bras sont tendus, ma tête ne bouge pas des masses, si je relâche ma nuque je sens le rond du mousqueton s’enfoncer dans mon crâne mais pire encore cette position lui fait plaisir. A Lise, pas à ma tête.
- Voilà ce qui arrive à mon petit malin préféré. Pour te faire patienter jusqu’au camping je vais te donner un petit quelque chose.
Avec sa main gauche elle vient me caresser la joue droite. Elle approche son visage et viens délicatement poser sa langue sur la boule emplit de ma bave. Elle la lèche langoureusement comme une boule de glace dans un cornet. Si ma position n’était pas si inconfortable j’en profiterai, voir même je banderai. Et elle continue jusqu’à m’embrasser totalement. Enfin embrasser la boule. En se retirant lentement un long et dense filet de bave se crée et s’étire jusqu’à se rompre. Elle a de la bave sur sa poitrine recouverte par le lycra blanc. C’est douloureusement excitant.
- Une petite chaine et un mousqueton. Tu aimes ? dit-elle la tête penchée devant moi comme une ado demandant à son chéri s’il l’aime.
A mon tour de lui faire un petit cadeau : « Vvvvvvoooooooooooooooppppppppfffffff ! ». J’ai expiré du mieux que j’ai pu et, malgré cette boule, j’ai réussi à envoyer un joli flot de salive sur sa jolie petite gueule d’ange.
- On va dire que oui !
Elle s’essuie avec le bas de son haut blanc en le remontant sur son visage, ce qui laisse apparaître un petit ventre plat avec un minuscule nombril. Je donne un coup d’entre jambe afin de trouver une position plus adéquate pour mon cul. L’avantage du treillis c’est qu’il a plein de poche, dont celles sur les cuisses qui en plus peuvent se fermer par bouton. Il faut juste penser à fermer la poche juste après y avoir fourré son portable, par exemple. Pas tout à fait par exemple car mon portable vient juste de tomber de ma poche droite. Elle remet en place son petit haut et hoche la tête en rigolant. J’essaie de croiser son regard tant que je peux avec ma tête surélevée.
- Ton téléphone est tombé à portée de tes mains. Avec un peu de chance tu aurais pu faire l’appel d’urgence ou prévenir quelqu’un si celui-ci serait tombé en cours de route. Avec de la chance tu aurais pu…ne pas être ici, tout simplement. Mais tu as quand même de la chance d’être tombé sur moi.
Elle récupère mon téléphone et embrasse à nouveau la boule en léchant mes lèvres cette fois-ci. Je rage intérieurement, je m’en veux à mort d’être allé nourrir ce foutu chat à ce moment précis, d’avoir bloqué sur les pieds de cette salope et surtout de n’avoir vraiment pas de chance. J’ai hâte que mon bâillon dégage que je puisse insulter cette tarée et son homologue qui doit être au volant de ma caisse. Elle a raison je n’ai pas trop de chance alors j’abandonne pour le moment. Et en plus elle a mon téléphone, c’est pas croyable.
- Allez, on repart. De toute façon on y est presque.
Elle repasse au volant et reprend la route tranquillement. Les bas-côtés sont larges sur cette route, pratique si on est en panne et moins si on est kidnappé.
On finit par traverser le troupeau de mouton.
- Il y a des béliers dans le troupeau. Tu entends leurs cornes sur la tôle ? C’est marrant, non ?! Ils te préviennent qu’ils sont libres, eux.
Effectivement j’entends des coups sur la tôle et ça n’a rien de drôle. Ma rage monte encore plus, si tu savais tout ce que je vais te dire ma belle. C’est officiel : avec cette position j’ai mal au cul, au dos, à la nuque, aux bras, aux jambes, bref de partout. En moins de 15 minutes j’ai bousillé une bonne partie de mon espoir de sortir de cette situation. La chance est du côté de cette salope pour le moment. Traces ta route Lise, la chance finira bien par tourner.
- Et voi-là ! dit-elle en tournant à gauche.
Elle vient de couper la route, je sais donc à quel camping nous sommes ce qui est vraiment très utile dans ce cas précis : immobile sans mobile et bâillonné. Avec un peu de chance l’autre taré est rentré avec ma voiture au camping.

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