Le Défi de Christelle (histoire d'Anne)

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Bouya2

Le Défi de Christelle (histoire d'Anne)

Message par Bouya2 »

La Fête de la Musique est passée, je peux reprendre le rythme de publication habituel. Voici donc l'histoire d'Anne du jour. Bonne lecture !
Au fait, cette histoire date de décembre 2009. Les commentaires dont Anne parle au début du récit ont donc disparu depuis.

Le défi de Christelle – 2009/12/03

Suite au commentaire que j'avais récemment posté sur ce forum, je me suis demandée si Christelle était capable d'attacher mon homme de force. Persuadée que c'était dans ses possibilités, je l'ai mise secrètement au défi. Cette idée l'a amusée et nous avions convenu qu'elle vienne chez moi après le boulot. Mon copain devait venir en début de soirée. Je lui avais bien spécifié qu'il ne pouvait pas y avoir de triche. Tout devait être loyal.
Je revenais de la danse et étais toujours habillée en conséquence. C'est une tenue que j'aime beaucoup. Il s'agit d'un mini short de cuir noir très moulant et d'un très fin tee-shirt à courtes manches, blanc et serrant, dont le large décolleté égare les regards. Ma tenue était complétée par des bas résilles et des bottes de cuir noir à talons aiguilles, serrantes, arrivant sous le genou. J'avais noué mes cheveux en une longue queue de cheval blonde. Tant que j'y étais, j'avais agrémenté le tout d'un joli foulard à dominante bleue et or noué à mon cou.
On frappe. C'est déjà Christelle, songeai-je en trottant vers la porte. La porte s'ouvre sur la belle black tout sourire.
- Tu es en avance ! Lançai-je en la faisant entrer.
- Non. J'ai réfléchi à la stratégie. Fit-elle en rangeant son blouson de cuir noir dans la penderie.
Elle entre dans le salon et pose son sac sur la table basse, à côté de la boîte renfermant mon matériel. Elle aussi porte des bottes de cuir noires à talons aiguilles. Elle est habillée d'un pantalon ultra moulant satiné noir vraiment très sexy, et d'un pull très fin de couleur moutarde. Sa démarche féline lui donne une allure de panthère noire. Elle est mince et sportive tout en ayant des formes très féminines. Taille fine, longues jambes, forte poitrine et très jolies fesses. Chaque pas agite son épaisse chevelure.
- Il ne peut y avoir aucune tricherie. C'est bien cela ?
- En effet.
- De ta part non plus alors ?
- Bien entendu ! Quelle idée.
- Dans ce cas, tu dois être incapable d'alerter ton copain. Il faut donc que je m'occupe de toi d'abord.
- Euh… en effet, je dois admettre que c'est logique.
- Bien, viens là. Dit-elle en prenant des cordes.
Je remarquai qu'elle les choisissait plus longues que d'ordinaire. Sans attendre, elle commença à confectionner un harnais tendu, passant la corde autour de mes épaules et la croisant entre mes omoplates. Puis elle attacha mes bras au-dessus des coudes, faisant plusieurs tours. Mes coudes se touchèrent sans problème, je ne suis pas danseuse pour rien. Mes bras furent ensuite attachés sous les coudes de nombreux tours de corde méticuleusement sécurisée, puis elle remonta sécuriser le lien situé au-dessus des coudes et remonta enfin fixer le tout au harnais entre mes omoplates.
Pendant qu'elle attachait mes poignets avec une nouvelle corde, je compris qu'elle en mettait plus que d'habitude de manière à couvrir une surface plus grande et mieux répartir la pression de la corde. Il est vrai que c'est confortable ! Je passais d'un pied sur l'autre pendant que ma ravisseuse tournait avec souplesse autour de moi.
Mes bras étaient vigoureusement tirés vers l'arrière, ce qui me forçait à bomber le torse. Mes seins tendaient le fin tissu et les pointes ressortaient très nettement. Il était clair que je ne portais rien sous ce tee-shirt. Christelle avait déjà attaché mes poignets à ma taille par une ceinture de corde, passant juste au-dessus de mon mini short, admirablement serrée et très rigoureusement sécurisée.
A l'aide d'une longue corde, mes bras furent étroitement attachés à mon torse. Elle appliquait la corde sous mes seins, puis au-dessus, et à nouveau dessous. Enfin, elle sécurisa méticuleusement le lien derrière mon dos avant de l'attacher soigneusement au harnais.
- Ouh ! Tu y vas fort !
- Je ne veux courir aucun risque avec une anguille comme toi !
- Mais mes bras sont totalement immobilisés ! Je ne peux vraiment plus bouger ! Et tu as comprimé ma poitrine en serrant tes cordes.
- Ça met tes seins en évidence, pin-up ! Ça t'apprendra à porter des décolletés pareils ! Et puis tu as vu ton short ?
- Qu'est-ce qu'il a ce short ?
- On dirait une pute !
Elle avait ouvert son sac et brandit un énorme bâillon boule noir.
- Deux pouces et demi ! Dit Christelle en souriant. Il faut bien cela pour une bavarde comme toi !
- Mais…
Je n'ai pas eu l'occasion de continuer, elle pressait le bâillon sur mes lèvres. Ma bouche était toute grande ouverte, mais ce n'est qu'en faisant jouer l'énorme balle de latex noir par petits mouvements rotatifs qu'elle finit subitement par s'engouffrer d'un seul coup dans ma bouche.
Mais c'est énorme ! Même sans être fixée, cette balle serait difficile à recracher sans s'aider des mains ! Je roulais de grands yeux affolés en gloussant, mais Christelle poussait ma tête vers l'avant en serrant impitoyablement la sangle de cuir. Je sentis la lanière se tendre brusquement et entrer dans mes joues. Christelle y mettait tout son cœur, elle serrait ce bâillon comme une tigresse ! Enfin, la tension se stabilisa quand elle eut sanglé le bâillon au dernier cran possible. Je bavais immédiatement.
J'essayais de souffler mais la balle était tellement immense que je ne parvenais même pas à faire passer de l'air entre mes lèvres et la balle qui m'obstruait la bouche. Je roulais de grands yeux surpris.
- Là, c'est quasi hermétique ! Commenta ma ravisseuse avec satisfaction. Cette fois-ci ma jolie, tu seras bien forcée de te taire.
Elle me fit asseoir au milieu du sofa. Aussitôt, elle entreprit d'attacher solidement mes chevilles, puis ce fut au tour de mes jambes au-dessus des genoux, et enfin cette diablesse utilisa un autre lien pour m'attacher sous les genoux. Chaque lien était minutieusement sécurisé et formait une large bande blanche sur mes jambes.
- Et pour être certaine que tu me laisseras tranquille, un dernier lien ! Lança gaiement Christelle déchaînée.
Elle eut tôt fait d'attacher mes épaules au dossier du sofa en se servant de mon harnais dorsal. Elle tendit le lien et mes épaules furent tirées en arrière jusqu'à se trouver pressées sur le dossier. Elle utilisa une dernière corde pour amener mes chevilles près de la barre inférieure du sofa.
- Nous voilà prêtes pour attendre Monsieur. Rit Christelle penchée sur moi, appuyée sur un genou à côté de moi, l’autre pied au sol, les jambes largement écartées.
Elle passa pensivement l'index sur mes lèvres, puis pressa son pouce sur la balle de latex comme pour vérifier la rigidité de son œuvre.
Je me tortillais en tous sens afin d'examiner mes liens. Je bavais abondamment sur mon teeshirt et on n'entendait que le crissement du cuir de mes bottes l'une sur l'autre. Je secouais la tête et bombais le torse, mais ce n'est pas évident de remuer quand on est attachée de cette manière.
Se désintéressant de moi et du spectacle que je lui offrais par mes petits soubresauts, elle se leva et prit dans son sac un petit sac de cuir souple accroché à une ceinture de cuir. Elle le fixa à sa taille et rangea dedans un peu de matériel, quelques cordes, un gros bâillon boule. Se jugeant parée, elle finit par venir s'asseoir à mes côtés, telle une panthère. Elle posa la main sur ma cuisse.
- La jolie demoiselle va assister très sagement au spectacle. Ne perds pas une miette de ce qui va arriver à ton mâle !
Plus tard, nous entendîmes des pas gravir l'escalier.
- On dirait que voilà ton homme, ma jolie… sois sage. Chuchota ma ravisseuse en se levant d’un mouvement souple.
Elle traversa silencieusement la pièce pour se poster en embuscade près de l'entrée du salon, dissimulée derrière l'imposante penderie. Je songeai en la regardant s’éloigner avec sa démarche tellement féminine, qu’un pantalon aussi moulant devrait être interdit quand on a de telles jambes et fesses. Et c’est moi qu’elle traitait de pin-up !
La clé joua dans la serrure et la porte s'ouvrit. Nous l'entendîmes se refermer. Trois pas, un bruit, il posait probablement quelque chose. Un froissement, il accrochait son manteau. Christelle était tendue comme un ressort, prête à bondir. Je m’agitais sur le sofa en regardant la scène, mais elle m’avait vraiment très bien bâillonnée. Il est entré dans la pièce et a fait deux pas qui l'ont amené à côté de Christelle à l'affût. Je me tortillais frénétiquement en soufflant vainement. J’essayais de hurler.
La jeune femme a bondi comme un félin, et a saisi à eux mains son poignet le plus proche, lui tordant immédiatement le bras dans le dos. Le garçon n’a pas eu le temps de régir, déséquilibré par la vigueur de cette attaque soudaine, et Christelle continuait de lui tordre le bras vigoureusement. Elle l’a amené à tomber sur le flanc et s'est laissée tomber derrière lui. Par cette manœuvre rapide, elle était parvenue à coincer sous elle les deux bras dans le dos du garçon allongé et elle les maintenait aisément entre son coude appuyé au sol et son propre corps. Ses deux mains étaient libres et le garçon stupéfait était incapable de se redresser ou de pivoter.
Mais Christelle finissait déjà de fixer solidement la sangle de cuir du gros bâillon boule qu'elle venait de lui enfoncer brutalement dans la bouche. Elle y allait très rudement. Mon copain commençait à grogner mais, utilisant tout son poids pour maintenir fermement les bras du garçon, elle avait passé la main sur son torse et déboutonnait la chemise du garçon.
D'un mouvement rapide, elle roula le garçon sur le ventre et s'assit à califourchon sur son dos, serrant les bras du malheureux entre ses cuisses. Si elle n’avait pas fait ce mouvement à l’improviste et aussi rapidement, je pense que mon copain aurait pu avoir une réaction. Elle tira brutalement la chemise de sa victime jusqu'aux coudes et lui passa immédiatement une corde autour des bras, au-dessus des coudes. Je voyais les pieds de mon copain gesticuler et j'entendais ses grognements étouffés. Mais Christelle avait déjà attaché ses coudes aussi serré que possible. Cette seule corde immobilise déjà fort bien.
Très rapidement, la belle chasseresse passa la corde autour du torse du garçon à deux reprises avant de la nouer très solidement entre ses coudes.
- Oooh ! Mais c'est qu'il essaie de me peloter ! S'écria Christelle
Elle recula en prenant appui un bref instant sur ses mains et enleva complètement la chemise de mon copain qui tentait de résister.
Je m’agitais comme une folle en poussant des gloussements inintelligibles dans mon bâillon, mais j’étais extrêmement bien ligotée et ne parvenais pas à bouger du moindre centimètre. Elle prit une nouvelle corde dont elle enserra rapidement les poignets du garçon, avant de la passer par deux fois autour de sa taille et de la sécuriser entre ses poignets. Cette garce est en train de réaliser quelque chose de rudement précis !
Le garçon redoublait ses tentatives de crier, mais il ne parvenait à émettre que de faibles gloussements étouffés pendant qu'il gigotait vainement les pieds et la tête. Imperturbable, la belle black assise sur son dos achevait de serrer d'une traction sèche le nœud entre ses coudes. L'énergie qu'elle mettait à finaliser les nœuds était incroyable au point que je voyais chaque fois un sursaut la secouer entièrement ! Cela devait donner une sensation extraordinaire à sa victime. Elle mit soudain le garçon sur le flanc et s'assit à califourchon sur ses genoux.
- Il est rebelle, le bel étalon ?
Elle se pencha et défit la ceinture de sa victime, ouvrit le pantalon qu'elle descendit sans ménagement. Il soufflait dans son bâillon en se tortillant comme un ver, mais sa futile tentative de résistance ne ralentissait même pas la jeune femme dans son travail implacable. Le slip suivit le même chemin dans l'instant suivant. Immédiatement, elle entreprit d'attacher étroitement les cuisses nues du garçon dont elle maintenait solidement les jambes entre ses cuisses. Elle recula encore un peu et fit encore descendre pantalon et slip sous les genoux. Une nouvelle corde servit à attacher les jambes sous les genoux. Déterminée, elle continuait d’appliquer les cordes méthodiquement.
Elle mit le garçon sur le ventre et sauta littéralement sans perdre un seul instant à califourchon sur les chevilles de sa proie, tournée vers les pieds. Je la vis dénouer les lacets et ôter les chaussures de mon compagnon, puis ses chaussettes, et enfin elle fit passer le pantalon puis le slip ! Mon copain s’est trouvé complètement nu sur la moquette, et Christelle s'était levée pour aller chercher une corde sur la table. Elle marchait calmement en se déhanchant et j’entendais ses talons sur le sol. Avant d'avoir compris ce qui se passait, le garçon sentit qu'elle lui attachait les chevilles ensemble malgré toutes ses gesticulations.
Elle s'est à nouveau levée et est venue posément prendre une nouvelle corde. Sa chevelure ondulait au gré de ses pas. Elle revint lentement vers le garçon et s’accroupit pour passer le nouveau lien autour de ses épaules. Elle lui confectionna en deux temps trois mouvements un solide harnais dorsal.
Elle se déplaça souplement et récupéra la corde serrée au-dessus des genoux du garçon pour la passer dans le harnais. La corde fut passée entre les chevilles du malheureux et Christelle tira vigoureusement sur le lien. Malgré sa résistance, les jambes du garçon finirent par plier et elle le plaça dans un hogtie aussi tendu que possible. Mais ce n'était pas encore terminé.
Elle déplaça le garçon d'un peu plus d'un mètre, le faisant pivoter pour me faire face. Christelle enjamba le garçon et se mit paisiblement à ramasser les vêtements épars qui jonchaient le sol et les plier méticuleusement avant de les ranger sur la basse, devant moi. Il me faisait face, complètement nu, solidement bâillonné et en hogtie strict. Il voyait Christelle circuler lentement en lui souriant. La jeune femme apporta la boîte de cordes près du garçon. Elle s’accroupit devant lui et inspecta méticuleusement chaque lien, les renforçant au passage. Une fois satisfaite, la belle black écarta ses cheveux de la main, se pencha un peu en tendant les bras et roula mon copain sur le flanc de manière à l’exposer totalement !
Elle se retourna vers moi en souriant, triomphante
- Voilà, il est dompté et très sage, ton étalon ! Regarde comme il se sent bien, Anne !
Elle se leva et fit le tour du garçon impuissant en le regardant sous toutes ses coutures. Mon copain poussait des grognements étouffés tirait furieusement sur ses liens. Les talons des bottes de Christelle venaient de s’arrêter juste devant son visage. Il vit la magnifique black s’accroupir et se pencher vers lui. Elle passa doucement la main sur le visage du garçon.
Enfin, elle vint s’asseoir à mes côtés dans le sofa, pour contempler mon copain qui grognait en tentant de se rouler sur le ventre, ce qui ne semblait pas chose aisée.

rocame
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Re: Le Défi de Christelle (histoire d'Anne)

Message par rocame »

Un double bondage très rigoureux, j'adore !

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