Hébergement "bondage" (histoire d'Anne)

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Bouya2

Hébergement "bondage" (histoire d'Anne)

Message par Bouya2 »

Voici une nouvelle d'Anne un peu plus longue que la moyenne. C'est aussi l'une de ses histoires que je préfère.
Bonne lecture !

Hébergement « bondage » - 2010/05/02

Cette fois-ci, nous avons rendez-vous à une maison d’hôtes dans la région de Durbuy.
L'endroit est tenu par un couple de propriétaires. Lui est un ami de mon copain, mais on ne connaît pas sa femme. Tout ce qu'on sait est qu'elle elle est moins âgée que lui qui a 45 ans. C'est un passionné de bondage qui a appris récemment que j’étais spécialement souple. Le fait de joindre les coudes sans effort l’intéresse au plus haut point. De plus, il fantasme sur les grandes blondes minces, sur les longues jambes et les fortes poitrines. Autrement dit, je dois être à ses yeux une sorte de fantasme incarné !
Le deal est qu’il nous offre le gîte pour le week-end et qu’en échange, il m’attachera à sa guise pour réaliser son fantasme.
Nous sommes dans la voiture, sur la route de Durbuy. Nous nous demandons en riant s’il pratique avec sa femme. J’ai laissé mes cheveux libres et ai choisi de porter une tenue sexy puisque nous allons chez un fantasmeur. Je porte un pantalon très moulant en spandex métallisé de couleur bordeaux et des bottes de cuir noires arrivant sous le genou, serrantes et à talons aiguilles. Un petit blouson de PVC noir très fin et serrant, fermé par un zipper complète le tout. Dessous, je porte un minuscule bikini, string et soutien de latex. Il est rare que je porte un soutien, mais fantasme oblige. Ce pantalon est élastique et tellement serrant qu'il me donne une impression de seconde peau. C'est comme si je me promenais nue.
Arrivés sur place, la voiture s'arrête dans un crissement de gravier sous les pneus. La maison est un peu en retrait. Elle semble dater du début du siècle. Il y a six chambres réparties sur deux étages. Nous sommes accueillis par une asiatique d'une très grande beauté. La jeune femme s'appelle Lucy. Elle mesure environ 1m65 et ses longs cheveux noirs tombent sur les épaules. Son sourire est éclatant et elle parle parfaitement le français quoique avec un léger accent. Cette magnifique japonaise vit avec le garçon qui nous invite.
Elle est vêtue d’une étroite et très sexy minijupe de PVC noir. Les manches de son très serrant chemisier satiné blanc sont retroussées au-dessus des coudes. Elle a laissé les trois premiers boutons ouverts, offrant une vue vertigineuse entre ses seins compressés par un soutien gorge probablement d'une taille trop juste. Elle chausse de petits souliers vernis à très hauts talons aiguilles qui lui donnent une démarche sautillante. Le galbe de ses longues jambes attire l'œil. De plus, elle est dotée d'une poitrine généreuse, contrairement aux autres asiatiques que je connais. Ses yeux marron et très légèrement bridés sont rieurs. La suivant dans le couloir, nous entendons le claquement de ses talons sur le carrelage cadencé au rythme des secousses de sa chevelure. Son déhanchement évocateur met en évidence la féminité de ses formes. Le regard de mon copain ne ment pas. Il faudra que je le mette au pas, et cette aguicheuse aussi !
Pendant qu’elle nous conduit à l’intérieur, mon copain se moque un peu en lui demandant si le shibari est bien une coutume répandue en orient. Elle dit que oui. Elle est en Belgique depuis cinq ans et en a 26 à présent. Mais chez elle, le shibari est une pratique courante, presque une coutume qui ne choque personne. L'influence de cette pratique ancestrale est bien présente et fait souvent partie du quotidien.
Il lui demande si son copain l’attache de temps en temps et elle répond par la négative. Elle explique que s'il aime attacher les filles, c'est son droit, mais qu'elle n'aime pas cela. Il insiste en demandant s’ils pratiquent quand même un peu car avec ses formes, ce serait du gâchis de ne pas le faire, mais elle se contente de répondre par un sourire.
Le copain arrive et ce sont les présentations. Il mesure environ 1m75 et est svelte mais manifestement très sportif. Ses cheveux blonds sont bouclés et ses yeux sont bleu clair.
A l'étage, nous sommes dans notre chambre, face à celle de la jeune femme. Celle du type est juste à côté et communique avec la sienne. Nous posons nos bagages et mon copain sort le sac de matériel de bondage qu'il jette négligemment sur le lit sous le regard de Lucy toujours souriante.
- Notre matériel. Annonce-t-il. Si vous voulez, je vous ferai une démonstration. Ajoutet-il en regardant la jeune femme dans les yeux.
- Si cela vous fait plaisir, c'est d'accord. Répond-elle en souriant.
- Vous êtes sérieuse ?
- C'est promis.
Le type m'invite à le suivre et nous traversons le couloir vers la chambre de l'homme. Lucy et mon copain nous emboîtent le pas, mais l'homme jette un regard vers Lucy qui retient mon copain par le coude. - Venez par ici, je vais vous aider à vous installer comme chez vous pendant qu'ils font connaissance. Ce sera autant de temps gagné.
- Avec plaisir, répond mon copain sous le charme de l'Asiatique.
Et ils retournent dans notre chambre pendant que l'homme me précède dans la sienne.
Nous sommes seuls, face à face. Je suis nettement plus grande que lui. Avec mes talons, je fais environ 1m85. Tout en parlant et en s'extasiant sur ma chevelure et la manière dont mon pantalon et mes bottes mettent ma féminité en valeur, l'homme tourne autour de moi et teste ma souplesse. Il saisit mes coudes et les joint avec ravissement. Pour voir sa réaction, je fais quelques exercices de danse devant lui et termine en me mettant en grand écart. Il est émerveillé.
Nous avançons vers le milieu de la pièce, près du lit. Je vois des cordes préparées bien rangées sur les couvertures. Il en prend une.
- On y va ?
- Allons-y !
Il m'attache les bras avec un ravissement manifeste, coudes joints, poignets serrés. Puis, mes bras sont soigneusement attachés à mon corps avec de multiples tours de corde fixant mes poignets à ma taille. D'autres cordes attachant mes coudes à mon torse sont méticuleusement serrées sous mes seins qu'il me semble effleurer plus souvent que par hasard. Et enfin une autre corde m'enserrant les épaules est étroitement serrée au-dessus des seins. A chaque fois, la corde forme une sorte de ruban de cinq centimètres de largeur. Cela fait beaucoup plus de corde que nécessaire mais l'esthétique a ses lois.
Le type prend un plug gag doté d'une balle de deux pouces un quart et me confie à l'oreille que mon copain lui a dit que j'acceptais ce format. A y regarder de plus près, je constate que cette balle a la forme d'un œuf et s'enfonce donc plus profondément dans la bouche qu'une balle sphérique habituelle.
J'ouvre docilement la bouche et la balle y est enfoncée délicatement. Elle est volumineuse et une résistance se fait sentir, mais après quelques petits mouvements rotatifs, elle entre subitement en totalité. Je constate qu'elle pénètre bien plus profondément qu'un bâillon boule ordinaires. Ma langue est parfaitement immobilisée et le diamètre de la boule est tel qu'il ne m'est pas possible d'ouvrir davantage la bouche.
Il serre la sangle au plus juste et contrôle que ma bouche est parfaitement scellée par le panneau de cuir souple qui est implacablement pressé sur mes lèvres. La forme est étudiée et très confortable. Ce doit être une fabrication artisanale. J'essaie de lui poser la question mais aucun son ne parvient à sortir !
- …
- Oui ?
- …
J'essaie de souffler mais l'air ne passe vraiment pas. J'ouvre de grands yeux surpris en réitérant l'expérience, mais le bâillon est résolument hermétique.
Nous entendons soudain un bruit et un grognement provenir de la chambre d'en face.
- Tout va bien ? Crie le garçon inquiet.
- Ce n'est rien, nous déplaçons un meuble. Répond la voix de Lucy par la porte restée entrebâillée.
Encore un frottement indistinct.
- Voilà, c'est réglé. Ne vous en faites pas. Ajoute la voix de Lucy.
Rassuré, le garçon se tourne vers moi me penche doucement la tête en avant pour serrer la sangle du bâillon d'un cran supplémentaire.
- mmmh…
Il me fait pivoter face à lui et descend lentement le zipper de mon petit blouson et en écarte les pans tout en prenant soin de les maintenir très tendus par la pression des cordes. Mon petit soutien de latex qui, tendu à l'extrême, a bien de la peine à contenir ma poitrine, se trouve exposé aux regards autant qu'aux mains.
Puis une corde passe entre mes seins, suivie d'une autre et le tout se resserre graduellement, faisant ressortir de plus en plus ma poitrine tout en séparant les seins de manière qu'ils pointent littéralement comme des obus. Les pointes durcies trahissent mon excitation en ressortant très distinctement à travers le fin latex du soutien.
Je commence à être moins à l'aise. Le type est agréable et prend son temps pour placer chaque corde mais je me demande ce que mon copain peut bien fabriquer avec cette Asiatique. Je suis de plus de plus impuissante et sa présence me rassurerait.
L'homme prend une longue corde et la noue autour de ma taille, puis la passe entre mes jambes. Il tâte méticuleusement le terrain en faisant courir ses doigts sur le tissu brillant de mon entrecuisse afin de positionner le nœud fait dans la corde très précisément sur mon sexe.
Il passe derrière moi avant de la faire passer autour de celle qui lie mes poignets, puis il tend brusquement cette corde en tirant vigoureusement dessus. Surprise par la soudaine pression de la corde et du nœud sur mon sexe, je saute sur place et pousse un gloussement étouffé en me tortillant. Mais, imperturbable, il continue à tendre davantage ce lien avant de le glisser une nouvelle fois entre mes jambes.
Au troisième passage de la corde entre mes jambes, il fait revenir la corde au-dessus de chaque hanche, formant au final une sorte de "V" étroitement serré, très fermement ancré avec mon sexe pour base. Chaque corde est très tendue et, avec l'effet métallisé du pantalon serrant, l'effet obtenu est remarquable.
Je n'ose plus remuer et lui lance un regard affolé. Le moindre mouvement provoque un effet violent.
Une nouvelle corde est serrée par trois fois autour du haut de mes cuisses, passant juste sous les fesses. Ce lien est soigneusement sécurisé, ce qui force le garçon à m'effleurer intimement plusieurs reprises en me faisant sursauter en miaulant à chaque fois.
Il me pousse vers le lit et m'assied sur le bord. Il prend mes jambes et les pose sur le lit, me faisant pivoter. Je suis assise sur le lit et il commence à m'attacher minutieusement les jambes.
La porte s'ouvre et Lucy entre. Elle est seule, toujours sexy et souriante. La jeune femme réajuste sa coiffure.
- Ça a été ? Questionne le type.
- Je l'ai très bien installé. Crois-moi, il ne viendra pas te déranger pendant que tu joues avec sa belle. Et on ne risque pas de l'entendre non plus. Ajoute-t-elle en riant.
- Oh ! Je vois. Continue pendant que je vais jeter un coup d'œil. Dit-il en lançant la corde à Lucy.
Il quitte la pièce tandis que la belle Asiatique s'approche de sa démarche agile, cordes à la main. Elle saisit fermement mes chevilles et les croise avant de les attacher solidement. Elle procède vraiment très vite. Les tours de corde s'additionnent autour de mes chevilles. Elle sécurise le lien, puis elle commence à m'attacher au-dessus des genoux. Après avoir placé une bande de corde de cinq centimètres et sécurisé très soigneusement ce lien, elle fait immédiatement de même avec une nouvelle corde ajustée sous mes genoux.
Impuissante, je vois cette jeune femme à l'apparence si douce et sexy prendre de nouvelles cordes pour revenir m'attacher les mollets à mi-hauteur entre genoux et chevilles. Une fois ce lien scrupuleusement sécurisé, elle passe au suivant qu'elle positionne à mi-cuisse, très étroitement serré.
Elle procède sans un mot. Très appliquée, elle est penchée sur mes jambes et son visage disparaît dans ses cheveux tombants qu'elle repousse de temps à autres. Chaque nœud qu'elle fait est ponctué d'une secousse brusque. Elle y met tout son cœur et je vois sa poitrine sauter à chaque secousse qu'elle donne.
Elle attache à présent les cordes entre elles de manière qu'elles soient forcées de demeurer exactement à leur place sur mes jambes et qu'aucune d'entre elles ne puisse glisser. Je constate qu'elle conserve une féminité parfaite à travers tous les mouvements qu'elle fait pour me ligoter. Je gigote en tentant une nouvelle fois de me redresser, ce qui me donne une vue plongeante sur son magnifique décolleté juste avant qu'elle ne me repousse sur le lit.
Elle achève de m'attacher solidement les chevilles au pied du lit quand son copain entre dans la chambre.
- Et bien tu ne l'as pas raté, son copain ! Elle lève la tête vers lui en souriant.
- Il me prenait pour une femme objet ! Et tu sais ce que ça coûte quand je n'aime pas cela.
- Oui, et au Japon, les arts martiaux sont enseignés bien plus largement qu'ici.
Ils sont occupés à parler entre eux pendant qu'elle s'affaire à mon ligotage comme si j'étais un objet sans la moindre importance !
Je tente une nouvelle fois de me redresser mais d'une bourrade, elle me repousse à nouveau sur le lit.
- Oh mais… ceci va la calmer !
Elle prend une nouvelle corde et m'attache le cou à la tête du lit, me contraignant à rester passivement allongée. Il s'est assis et la regarde faire.
- Mais quand même, il est ligoté comme un cochon prêt à rôtir. Il ne manque plus qu'un citron dans la bouche et ce serait complet !
Elle prend une nouvelle corde et entreprend de peaufiner le ligotage de mes seins qui se fait de plus en plus serré, provocant une sensation démentielle à travers tout mon corps.
- Je n'ai rien trouvé d'autre que ce bâillon boule orange dans tout son attirail. C'est joli hein ? Il voulait me faire une démonstration et je l'ai pris au mot.
La jeune femme continue imperturbablement à serrer les liens autour de mes seins.
Ouh ! Je sens chaque nouvelle secousse et chaque nouveau tour de lien autour de ma poitrine. Mes seins sont exposés comme deux globes rigides et pointus qui écartent les pans de mon blouson. Je vois ma poitrine se soulever au rythme de ma respiration saccadée. Mon petit soutien de latex satiné épouse la forme que lui imposent les multiples cordes qui m'enserrent.
Elle passe la main sur mes seins sans que je puisse remuer d'un millimètre. Elle les tâte et en flatte les pointes raidies du bout des doigts. Elle semble satisfaite et lève la tête vers son compagnon.
- Voilà, amuse-toi avec elle pendant que je vais prendre soin de son copain. Tu peux me croire, si tu lui tripote les seins, ligotée comme cela, ça lui fera un effet grandiose. Dit Lucy en quittant la pièce.
Le type s'approche de moi et tourne autour du lit en se rinçant l'œil. Il pose les mains de part et d'autre de la corde qui presse sur mon sexe et la parcourt lentement. Ma respiration s'arrête un instant et je couine pendant qu'un frisson parcourt tout mon corps.
- mmmh…
Une main se pose sur mes seins et les caresse de la base vers les pointes en insistant sur ces dernières et en les flattant au passage. Oooh ! Un nouveau frisson me parcourt et je laisse échapper un grognement étouffé. Quelle sensation !
Il plonge son regard dans mes yeux verts.
- Tu es très souple ! C'est extraordinaire !
Je ne peux rien faire de plus qu'un bruit de volaille quand il me roule sur le ventre pour contempler mes bras et mes coudes.
Il a pris une bonne vingtaine de photos de moi sous tous les angles avec un appareil sorti d'un tiroir. Plusieurs gros plans et un bon nombre de vues d'ensemble. Il me tournait sur le ventre, puis sur le flanc. Au bout d'un moment, il m'a demandé si j'étais partante pour un hogtie très strict. C'est justement ce que mon copain travaille sur moi. J'ai approuvé d'un hochement de tête.
Après m'avoir détachée, il m'a demandé d'ôter mon blouson ainsi que mon pantalon. Je me suis donc trouvée en petite tenue, vêtue uniquement de mon minuscule string et d'un tout petit soutien de latex à fines bretelles élastiques. Il aurait aimé que j'aie des escarpins au lieu de bottes. Or il se trouve que j'en ai apporté et qu'ils sont dans mes bagages. Il m'a donc demandé d'aller les chercher.
Je traverse le couloir et entre dans ma chambre. Des cordes sont éparses sur le lit, mais je ne vois pas mon copain. Je prends mes escarpins et retourne dans le couloir. Avisant la porte entrebâillée de la chambre de Lucy, je passe la tête et vois la belle Asiatique allongée lascivement sur le lit, occupée à feuilleter un magazine féminin en balançant les pieds.
Puis, sur le côté, je vois mon copain, totalement nu, ligoté en hogtie ultra strict, les jambes pliées au maximum, les talons pressés contre ses fesses, sévèrement bâillonné avec notre bâillon boule orange serré au plus juste. Il bave abondamment sur la surface transparente de la desserte à roulettes qui le supporte. Il grogne en secouant la tête comme un forcené et en tirant sur ses liens, mais aucun son ne me parvient tant le malheureux est parfaitement bâillonné. De plus, de solides liens tendus comme des cordes à violon l'attachent très rigoureusement à la table par les genoux, les épaules et la taille.
-Oh ! Mon biquet !
J'entre et m'approche de lui, mais j'entends Lucy lancer :
- Pas touche, ma jolie ! Il est "au secret".
- Mais que s'est-il passé ?
- Il est interdit qu'il communique avec qui que ce soit tant que mon homme joue avec toi. J'ai du prendre des mesures pour l'empêcher de vous perturber, et comme j'en connais un rayon en aïkido et les cordes font partie de mon éducation, voilà le résultat.
La jeune femme s'est levée et a traversé la pièce en disant cela. Elle est venue s'accroupir près de la desserte sur laquelle elle a ligoté mon copain et passe tendrement la main dans les cheveux du garçon. Elle lui lance de petits bisous pendant qu'il lutte vainement contre son bâillon en tirant de toutes ses forces sur ses liens.
- Que c'est mignon ! Et quelle énergie ! Dit-elle d'un ton attendri.
- Mais…
- J'aime les garçons sages et silencieux comme celui-ci. Ils sont tellement décoratifs dans une chambre de fille. Tu ne trouves pas ? Ajoute-t-elle en me regardant avec un large sourire.
J'ai donc chaussé mes escarpins et suis donc retournée dans l'autre chambre où le garçon a immédiatement entrepris de me ligoter très minutieusement. Il m'a à nouveau attaché les bras très étroitement en commençant par les poignets, puis au-dessous des coudes joints et enfin au-dessus. A chaque fois la corde formait une bande blanche de cinq centimètres, comme si c'était sa signature.
J'ai ensuite été à nouveau soigneusement bâillonnée, très exactement comme la fois précédente. Il m'a ensuite assise sur une chaise et a attaché mes jambes nues au-dessus des genoux, puis au-dessous, en terminant par les chevilles non croisées.
Il a fait des photos de chaque étape du ligotage et a fini par me mettre debout en me demandant de me tortiller en bikini, "faisant mine" de lutter contre mon bâillon. Facile à faire puisque c'est réel !
Ceci fait, il m'a allongée sur le sol et a attaché une nouvelle corde à cella de mes chevilles. Il l'a fait passer entre mes épaules et a tendu le lien de manière à me cambrer graduellement. Au bout de quelques tractions, mes mains ont rejoint mes talons.
- Encore un effort ma jolie. Encore quelques tractions et me voilà cambrée au point qu'il peut attacher directement le lien de mes chevilles à celui de mes poignets !
Cette position est supportable mais il ne faudrait pas que cela dure des heures ! Je suis réellement cambrée à l'extrême. Il prend alors quelques photos en me demandant de me tortiller sur le sol. Ce n'est pas facile quand on est ligotée aussi étroitement !
Il me dit qu'avec le latex, et le tapis à dominante rouge, l'effet du flash est sensationnel. Il se penche et me donne un bisou dans le cou tout en flattant les pointes de mes seins. Il note avec intérêt leur durcissement rapide. - On dirait que tu es ce qui s'appelle une "émotive", Anne !
Ensuite est venu le moment rituel. Lui ne le sait pas mais c'est ce que font tous les mecs qui m'attachent ! Sa main descend lentement de mes seins vers mon bas ventre. Puis, je sens ses doigts écarter doucement l'élastique de mon string et s'insinuer lentement sous le petit vêtement.
Puis, je l'entends murmurer :
- Je me suis toujours posé la question.
Le string descend légèrement et je l'entends conclure :
- Mais oui. Nous avons là une véritable blonde !
Un doigt circule sur mon sexe en une série de douces caresses, ce qui a pour effet de me faire me trémousser en miaulant.
- Lucy ! Au bout de quelques secondes, l'Asiatique apparaît.
- Elle demande son copain, tu veux aller le chercher ?
Quelques instants plus tard, la jeune femme entre dans la chambre en poussant la desserte portant mon copain tout ligoté. Elle place la petite table sur le côté de la pièce et je la vois se pencher sur le garçon attaché de manière à lui mettre son décolleté sous le nez, en lui disant.
- Voilà un garçon qui sera bien sage pour assister au spectacle.
- Mmmh !
- Sinon je devrai l'attacher encore plus rigoureusement et j'irai le ranger dans sa chambre !
Elle place une chaise près de la desserte et s'assied en croisant les jambes de la manière la plus sensuelle qui soit pour reprendre sa lecture tout en excitant au maximum le garçon totalement impuissant.
Suite à cela, il m'a détachée du hogtie et m'a placée dans un balltie avec les genoux pressés contre la poitrine et les talons contre les fesses.
Après une petite séance de photos, ils sont sortis tous les deux pendant une dizaine de minutes, nous laissant là, moi sur le tapis, gloussant comme une dinde, et mon copain toujours sur la table, grognant par saccades. De ma position basse, j'avais une vue directe sur son sexe en érection à travers la vitre de la table. Il avait beau grogner, ni lui ni moi ne pouvions remuer un tant soi peu. Nous ne pouvions émettre que des grognements et gloussements indistincts en nous trémoussant de notre mieux.
Inutile de dire que nous en étions toujours rigoureusement au même point quand le couple est revenu.
Lucy tenait à la main ma minijupe la plus courte, celle en cuir noir qui ne fait que 27 centimètres de la taille à la base, mes bottes cuissardes et mon tee-shirt blanc à courtes manches.
- Dis donc Anne, cette jupe est vraiment peu banale ! Je n'avais encore rien vu d'aussi court. Je serais très curieuse de te voir la porter ! Dit Lucy.
J'adore cette jupe extraordinaire. Étroite, et moulante au possible, elle est fine et tellement courte qu'il n'est presque pas possible de s'asseoir avec. De plus, elle est fendue sur l'avant sur plusieurs centimètres et semble être fermée grâce à des boutons pression factices. Elle est réellement particulièrement sexy et provocante.
Il s'est mis à me détacher pendant qu'elle posait les vêtements sur le lit.
- Bon, tu enlèves ton soutien, et tu mets ces vêtements avec ton petit blouson.
Une fois libre, j'ai fait quelques pas pour remettre la mécanique en route. Quelle après-midi ! J'ai enfilé ces vêtements et j'ai aussitôt été bâillonnée avec un énorme bâillon boule rouge à fine sangle de cuir, comme je les aime. La boule est de même dimension que celle du plug gag. Lucy me l'enfonce dans la bouche sans ménagement et s'occupe de boucler très rudement la sangle. Là, c'est si strict que je ne parviens même plus à glousser. J'écarquille les yeux avec surprise.
Cette fois-ci, c'est Lucy qui s'occupe de m'attacher, et elle y va bien plus rondement que son compagnon ! Comme si elle y mettait un point d'honneur. C'est incroyable.
Je suis à présent assise sur une chaise, littéralement ligotée comme un saucisson. Elle a mis des cordes de manière esthétique mais très étroitement serrées au-dessus et au-dessous de mes seins. Ligotée de cette manière, mon décolleté large donne une vue absolument imprenable sur ma poitrine. Mes coudes sont à nouveau jointifs et mes bras sont attachés au corps au niveau des coudes et de la taille. Mes poignets sont très rigoureusement attachés ensemble et je ne peux absolument plus remuer les bras du tout.
Son copain tourne autour de nous en prenant des photos sous tous les angles.
Elle m'attache méthodiquement les jambes au-dessus et au-dessous des genoux, toujours avec beaucoup de corde, puis elle attache mes chevilles croisées. Je vois cette splendide jeune femme en minijupe et au profond décolleté tourner autour de moi, impitoyable, cordes à la main, très concentrée sur mon ligotage.
Très perfectionniste et méthodique, elle sécurise rigoureusement chaque lien. Tantôt accroupie, occupée à tendre minutieusement un lien, tantôt penchée sur moi et occupée à finaliser un solide nœud, elle agit et se déplace rapidement tout en demeurant très féminine et sexy.
Impuissante, je vois Lucy tourbillonner autour de moi et additionner les cordes étroitement serrées qui m'immobilisent davantage à chaque instant. Elle va si vite qu'elle donne le vertige. Je ne vois plus que ses cuisses, son décolleté et son sourire. J'entends le cliquetis de ses talons sur le sol. Soudain, tout est redevenu calme. Lucy s'est arrêtée !
Cette jupe est étourdissante. Avec mes bottes cuissardes, et le décolleté vertigineux de mon tee-shirt sous le blouson ouvert, le mec est en train de faire des photos de pin-up ! Le crissement du cuir de mes bottes l'une sur l'autre se fait entendre chaque fois que je me tortille.
Lucy pose à côté de moi pour plusieurs vues, comme si j'étais son gibier. Une main sur mon épaule, les bras amoureusement passés autour de mes épaules et sa tête pressée contre la mienne, penchée sur moi en tenant mon menton dans sa main, une main sur ma cuisse, puis sur un sein. Au terme d'une nouvelle séance photo, Lucy a dit à son copain qu'elle avait envie de faire un petit extra.
Elle est allée chercher une seconde desserte qu'elle a placée à côté de celle de mon copain. Puis elle a détaché la corde au-dessus de mes genoux et m'a fait sautiller vers la table. J'ai été allongée sur la seconde desserte et placée en hogtie très strict. Elle a attaché mes chevilles à mes cuisses et m'a attachée solidement à la table, comme mon copain, par les épaules, les genoux et la taille.
- Je suis curieuse de voir si tu pourras te libérer. C'est toujours comme cela quand je peux attacher une nana plus sexy que moi ! Me chuchote-t-elle à l'oreille.
Une fois mon ligotage terminé, Lucy, satisfaite de son travail, a poussé les deux dessertes l'une après l'autre et nous a reconduits dans notre chambre. Elle a placé les tables côte à côte et s'est campée devant nous en passant la main dans nos cheveux.
- Voilà un très joli couple d'amoureux !
Je vous souhaite un bon séjour. En s'éloignant vers la porte, elle a lancé :
- Le repas du soir est à dix-sept heures, dans un quart d'heure.
Et la porte s'est refermée derrière elle, nous laissant là totalement ligotés et bâillonnés sur les dessertes. En réalité, ils sont revenus nous libérer quelques minutes plus tard. Nous nous sommes habillés normalement et sommes descendus manger.
Cela mis à part, le séjour a été très tranquille.

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