Exercice antigang (histoire d'Anne)

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Bouya2

Exercice antigang (histoire d'Anne)

Message par Bouya2 »

Voici l'histoire d'Anne du jour. Elle est assez courte. Bonne lecture !

Exercice antigang – 2011/02/25

Seule dans l'appartement, j'attendais le retour de mon copain, feuilletant un magasine, vautrée sur le lit quand j'ai entendu un bruit à la porte, comme un frottement.
Je suis allée voir. Comme je pensais que c'était lui, je n'ai pas pris la peine de passer une jupe ou un pantalon et j'étais donc à moitié nue. Contente de le voir revenir, j'ai rapidement chaussé les premiers souliers que j'ai attrapés, ceux-là sont ajourés à fines sangles et à talons aiguilles. Je ne portais qu'un minuscule string de latex et un tout fin tee-shirt blanc moulant sous lequel j'étais seins nus. J'ai traversé rapidement le couloir, clic clac, clic clac… Seulement, arrivée à la porte, j'ai du constater que ce n'était pas lui et qu'en fait il n'y avait personne.
J'ai regardé par l'œil espion mais le couloir était sombre et on n'entendait rien. Intriguée, j'ai ouvert la porte pour jeter un coup d'œil. Ne voyant rien de spécial, j'ai fait demi-tour pour rentrer dans l'appartement, et c'est à ce moment qu'une main gantée venue de nulle part s'est fermement plaquée sur ma bouche pendant que je me suis sentie happée par des mains puissantes. J'ai été littéralement transportée à l'intérieur en un clin d'œil et la porte s'est promptement refermée derrière nous. Ils étaient deux et portaient des cagoules noires, des gants noirs et étaient habillés tout de noir. Celui qui plaquait ma tête contre son épaule en me bâillonnant de la main avait capturé mes coudes de son avant-bras et me maintenait très solidement. En fait, il me maintenait tellement bien que je ne touchais quasiment plus le sol et que mes pieds gesticulaient dans le vide.
Sans perdre une seconde, l'autre m'a enfoncé un bâillon gonflable dans la bouche et je l'ai senti gonfler monstrueusement en un instant pour m'emplir totalement la bouche. Il n'a pourtant pressé la poire que quelques fois ! Puis il s'est penché et a pris des cordes dans le sac de cuir qu'il avait laissé tomber au sol. Et bien, ce bâillon n'était pas fixé mais simplement bien gonflé, mais je n'étais pas capable d'ouvrir une suffisamment grande bouche pour le recracher tant il était énorme ! J'avais été parfaitement muselée en deux coups de cuiller à pot. Ils m'ont ensuite croisé les chevilles et les ont attachées vite fait, puis les poignets, puis les coudes joints, puis les cuisses au-dessus des genoux. Ça ne traînait pas et ils y sont allés très rudement en serrant les cordes.
Enfin, ils m'ont attaché les poignets à la taille et les coudes au buste avec des cordes passées alternativement sous mes seins et puis au-dessus. Avec un tee-shirt très fin comme celui-là, le spectacle est garanti ! Ils ont tendu la corde suivante de manière qu'elle se croise très étroitement entre mes seins. La manière dont ils ressortaient à travers le fin tissu hyper tendu du tee-shirt me donnait vraiment la sensation d'être totalement nue. Je n'ai eu à aucun moment l'occasion d'émettre un son. Ils m'ont complètement ligotée sans un mot, sans un bruit.
Ensuite, leur étreinte s'est relâchée et j'ai été allongée sur le carrelage du hall où ils m'ont laissée me tortiller en silence. Ils ont inspecté l'appartement et ont constaté que mon copain n'était pas encore là. J'essayais de me tortiller, mais le carrelage est une surface glissante en plus d'être froide. Allongée sur le ventre, soulage les bras, mais cela pose un problème pour les seins, et s'asseoir quand on est ligotée comme cela n'est pas aisé.
Alors ils sont revenus. L'un d'eux s'est penché et m'a prise dans ses bras, toute ligotée. Avec l'effet cumulé des cordes serrées sur autour de ma poitrine, des frottements dus à mes contorsions et de la température du sol, mes seins durcis pointaient d'une manière insensée à travers le tissu élastique du tee-shirt tendu comme une seconde peau, et il est allé me déposer sur mon lit. Jetée serait un terme plus adéquat.
Toute échevelée, je suis parvenue après plusieurs tentatives, à m'asseoir sur le lit et, penchée en avant, je tentais de reprendre mon souffle. Ma poitrine se soulevait au fil de ma respiration sous l'œil de mon geôlier, tandis que mes grognements et gloussements divers étaient implacablement étouffés par mon bâillon. Je secouais la tête en tentant d'éclaircir ma vue en rejetant mes cheveux épars en arrière. Puis nous avons attendu mon copain.
Les deux types étaient des collègues à lui et ils jouaient dans le cadre d'un petit exercice. Ils faisaient, sans m'avoir prévenue, une "simulation" de prise de contrôle d'une place occupée par des suspects. Je les entendais.
- Ça a été ?
- La suspecte a été neutralisée en douceur... Elle est au secret dans la chambre… Elle n'a pas offert de résistance.
La porte s'est ouverte et les trois garçons sont entrés et ont continué à parler entre eux alors que je m'agitais sur mon lit.
- Dis donc, si elle a une sœur aussi mignonne qu'elle, il faudra me la présenter !
Ils me regardaient, j'étais toute rouge et échevelée, en sueur, et le poids de ces regards mâles faisait à nouveau pointer mes seins !
- Eh ! Vous avez vu ses seins ? Elle est déjà très excitée rien qu'en la regardant !
- Ouais. Pas de remords, elle aime visiblement ça.
Ils sont enfin partis, non sans m'embrasser gentiment, et nous ont laissés, mon copain et moi.

rocame
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Re: Exercice antigang (histoire d'Anne)

Message par rocame »

Voilà un ligotage efficace !

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