Elle et Moi.

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IlloRobby
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Ce que j'adore : Fétichiste des pieds féminin ( :S )
Attacher ma partenaire, la bâilloner avec passion
Être attaché ... parfois

Le reste est assez long et ennuyeux.
Ce que je déteste : L'étroitesse d'esprit.
La violence gratuite.

Elle et Moi.

Message par IlloRobby »

Attention, pour ce qui est de ce qui va suivre j'aurais tout d'abord plusieurs points à éclaircir! Premièrement, c'est mon premier écrit, il n'est pas parfait et je le sais. Ensuite, si des choses peuvent vous choquer merci de m'en avertir je tâcherai d'en prendre note ^^
Enfin, tout ce qui va suivre est évidemment une histoire imaginaire, où chaque protagoniste (bien qu'imaginaire) est consentant ... plus ou moins.


Je regarde ma montre face à ce grand immeuble un matin d’hiver. Il est 12h08. Elle devrait être sortie. Nous avions convenu de nous retrouver à midi devant son lieu de travail pour aller déjeuner ensemble.
Commençant à m’impatienté, je me perdis dans mes idées, repensant à ce que je devrais faire dans l’après-midi, à mes impératifs de la semaine à venir et bien entendu à la soirée qui s’annonçait.
Soudain, je fus tiré hors de ce monde imaginaire par une sorte de lueur à l’horizon. Inconsciemment je l’avais repérée aux travers de mes pensées sans forcément l’avoir vue.
Puis, ma vision revenant peu à peu à la réalité, je vis se dessiner une silhouette qui m’était familière à travers cette foule quelque peu compacte qui sortait du grand bâtiment.
Elle portait une paire de converses noirs aux lacets blancs et un pantalon en jeans moulant. Son blouson en cuir cachait tout son haut. Sa tenue était complétée par une paire de gants et une écharpe assortis.
Il faut dire que dans nos environs l’Hiver est loin d’être une saison propice à la drague. Et puis c’était un garçon manqué, elle n’aimait pas trop se féminiser, elle l’assumait et pouvait même aller jusqu’à s’en vanter.
Lorsqu’elle arriva jusqu’à mon niveau, nous nous embrassâmes, ses lèvres étaient froides avec une touche de chaleur, c’était à croire que ces 20 mètres parcourus les pieds dans la neige et le reste du corps bercé dans l’atmosphère hivernale avaient suffi à lui donner cette fraicheur.

Puis, après un bref débriefing de nos matinées respectives, nous nous sommes lancés à la poursuite d’un tramway pour nous rendre sur la place centrale,de là, nous avons gagné un restaurant où j’avais précédemment pris une réservation. Nous nous sommes parlé au fil des plats, de tout et de rien, principalement de rien mais ce genre de conversation ne m’était pas désagréable.
Nous avons échangé plus précisément nos diverses péripéties du matin, jusqu’à l’arrivée du dessert. Là nous nous sommes quittés, il était déjà tard et nous devions chacun retourner à nos occupations.
Elle repartirait dans ce grand immeuble tandis que moi je retournerais chauffer les bancs de l’Université pendant une longue après-midi.
Nous nous sommes donc séparés, non pas sans nous montrer notre amour l’un envers l’autre encore une fois, et je repris ma route vers ce lieu intellectuel et culturel qui m’attendait pour une après-midi d’études. Il était 13h45.

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Je regarde ma montre durant cette dernière heure de cours. Il est 19h08. Encore 7 petites minutes à endurer ce cours de fin de journée que personne n’apprécie du fait de son horaire mais aussi du thème qu’il aborde. Il n’est en rien inintéressant mais son sujet est trop poussé et cerné pour intéresser une foule d’étudiants qui n’ont pas forcément les mêmes affinités.

Je regarde à nouveau ma montre. 19h15. Le maître de conférences devrait nous laisser partir mais il tient à terminer son propos. Nous voyons donc, mes collègues et moi, 5 minutes supplémentaires se dérouler très lentement sous nos yeux. Presque tous les regards étaient rivés sur les montres. En plus d’être un soir, nous étions un vendredi soir ! Comment garder son attention tout en sachant cela ?
Nous sommes finalement sortis dans une cohue infernale car évidemment, notre instructeur n’était pas le seul à avoir voulu terminer son propos en retard. Mais cet univers universitaire fait que, contrairement au lycée et au collège, ce genre de ruée est très rapidement rendu fluide.
J’arrive chez moi après un quart d’heures de marche. Elle n’était pas encore là. Nous avions tous deux bloqué notre week end de façon à n’être dérangé par personne.
Je commençais donc à faire les préparatifs, j’allais chercher le ruban adhésif, les foulards et cachait tout cela sous le lit. C’était la première fois que j’allais pratiquer, je n’avais donc pas vraiment d’équipement ni d’expérience dans les nœuds je jouais surtout la sureté.
Nous avions parlé de cette soirée et elle était consentante. Il ne devrait donc pas y avoir de problème.
Il était 20h à l’horloge lorsque j’entendis un bruit sourd cadencé sur le palier de la porte d’entrée. Une clé s’insérant dans la serrure, la porte s’ouvrit et je la vis apparaitre. Elle se dépêcha d’aller prendre une douche, de se rhabiller pendant que je préparais le repas. Pour être certain de mon action future, je préparais une poignée de somnifère, que je mettrais plus tard dans sa boisson, pensant que cette quantité ne ferait que la rendre plus docile.
Nous avons donc pris notre repas et nous sommes rapidement mis devant un film. Le film bientôt fini je lui ai proposé un thé qu’elle n’a pas refusé puis nous sommes allés nous installer sur le lit.
A peine entré dans la chambre je la saisie et l’emmena sur le lit. Elle ne semblait pas se refuser à cette action. Elle portait un T-shirt moulant, un legging noir et des chaussettes blanches. Ses cheveux étaient d’un brun sombres, mis long et détachés.
Je me collai à elle et en un simple coup de bras je lui avais retiré son haut, la laissant en sous-vêtements. Nous ne cessions de nous embrasser, de nous caresser.
Tout d’un coup je la fit basculer en arrière sur le martelât et la mit sur le ventre. Je pris ses bras et les serras dans son dos.
Elle commençait à se débattre farouchement, assis sur elle, tout en maintenant ses poignets d’une main, je me saisis de mon matériel préalablement préparé et, munis de mon duct tape gris, je fis plusieurs fois le tour de ses poignets en tentant de ne pas trop serrer. Elle gloussait, parlait fort, me disant de faire attention et se débattait comme si sa vie en dépendait. Puis je m’attaquai aux coudes, je les serrais très forts l’un contre l’autre et les enroulais de ruban adhésif. Lorsque j’en eu fini avec les bras, je commençais à tirer le ruban adhésif pour attacher le tout au corps. Je l’ai donc soulevée en l’attrapant par la poitrine, non pas sans en profiter, et ai passés un, deux puis trois tours de duct tape en dessous de sa poitrine.
Son poids se faisait de plus en plus sentir mais je recommençais, un, deux et trois tours au-dessus de la poitrine.
Puis, lorsque j’eu fini, je la retourne pour l’embrasser; elle dormait.

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J’avais trop chargé la dose de somnifères et je m’en voulais. Mais je ne pouvais plus faire marche arrière; en espérant qu’elle se réveil rapidement, je me saisis de ses chevilles et comme nous l’avions convenus je ne lui ai pas retiré le legging. J’enroulais les chevilles d’une dizaine de tours de duct tape et m’attaqua aux genoux. Elle demeurait inconsciente. Je fis donc plusieurs fois le tour de ses genoux puis fis de même avec ses cuisses.
Ayant fini mon paquet, je demeurais à la regarder gisant inconsciente sur le lit, toute attachée qu’elle était. J’attendis longtemps qu’elle se réveil, ayant mis la radio pour l’aider à se réanimer, je la sentis finalement bouger à minuit et demis, elle se réveillait après deux heures de sommeil.
Elle fut d’abord surprise de ce qui venait de se passer, consciente que je l’avais droguée, elle me jeta un regard noir. Puis, lorsqu’elle se rendit compte qu’elle ne pouvait plus bouger comme elle le voulait, elle commença à me demander l’inimaginable :
- Déta…
Mais ayant anticipé ce malheur, je m’étais précipité sur elle, lui apposant ma main sur la bouche. Surprise et frustrée, voulant à tout prix faire passer son message (qui d’ailleurs était très bien passé) elle commença à me lécher la paume de la main pour que je la retire.
Je me saisis donc d’une de ses chaussettes encore chaussée, en fit une boule tant bien que mal avec une main et retira mon autre main de sa bouche. Lorsqu’elle tenta de reprendre sa phrase, j’ai vite eu fait de profiter d’une ouverture pour lui enfoncer la boule blanche, que je venais de faire, dans la bouche.
- Mmmh … gn... mnh… gmn… !
Je maintenais ce bâillon d’un doigt et me saisis de l’autre chaussette qu’elle portait, la laissant ainsi pieds nus, pour en faire une autre boule que je lui enfonçai à la suite de la première dans la bouche.
- Mh … nnnnmh …. Mmnh !
Ses gémissements se faisant de moins en moins entendre, je me saisis ensuite du duct tape pour en découper trois bandes et les coller sur le bâillon. Une sous le nez, une autre au centre de la bouche et une troisième destinée au bas des lèvres et au menton.
Je pris ensuite un des foulards que j’avais caché et me mis à recouvrir le tout pour finir par un jolie nœud derrière le crane.
- Mmmh… nnnh !!
- Qu’y a-t-il ma belle ? nous avions un accord, non ? Je t’aime tu le sais bien, je ne te ferais aucun mal ne t’en fais pas.
Elle me jeta un second regard noir dont je ne compris pas la signification … était-ce un « je vais te tuer » ou un « je te hais ».
- Que me fais-tu là ? Attend nous allons remédier à cela.
Je pris alors un second foulard, que je mis d’ailleurs un peu de temps à trouver dans la cachette. Je me mis à le plier de manière à ce qu’il ne soit pas trop large et j’entourais ses magnifiques yeux brun avec.
Elle était maintenant privée de parole, de mouvement et de vue, j’étais aux anges. J’en pris d’ailleurs une photo avec mon portable… en silencieux évidemment. Elle continuait de se débattre sur le lit, avec précaution puisqu’elle ne savait plus où elle était. Je la voyais tel quel, ses pieds nus bouger frénétiquement, ce corps de déesse se mouvoir non pas sans grâce avec ses liens. Et soudain je pensais.
- Mais il manque quelque chose !
- Mnnh.. ?!
Je suis alors aller chercher ses chaussures et en ai défait les lacets blancs. J’en pris un pour lier maladroitement ses pouces, et, voyant qu’il y avait du mou, je l’utilisa pour lier ses autres doigts entre eux.
- Mnnnummh… Mmmnh !
Elle se débattait de plus en plus fort. Je fis de même avec ses orteils, à la différence que ce qui restait de lacet après les avoir attachés, je l’utilisais pour relier le tout aux liens des chevilles l’obligeant ainsi à garder les pieds plus ou moins immobiles.
Je pris ensuite le tout en photo et commença à filmer… en silence.
Puis, au bout d’une petite demi-heure, elle se fatiguait, j’ai donc pris les choses en mains et ai commencé à la chatouiller. J’entendais des gloussements, des rires étouffés lorsque je passais mes ongles sur la plante de ses pieds…

Au moins elle riait !

Yopo1

Re: Elle et Moi.

Message par Yopo1 »

J'apprécie beaucoup l'ironie du discours de l'histoire tel que :
était-ce un « je vais te tuer » ou un « je te hais ».
ou bien encore la phrase finale :
Au moins elle riait !

J'attends la suite ! 8-)

moimoi

Re: Elle et Moi.

Message par moimoi »

Elle est bien sympa ton histoire ^^ C'est "soft" comme j'aime bien, ça change de certains scénarios.

J'attend la suite ;)

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IlloRobby
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Ce que j'adore : Fétichiste des pieds féminin ( :S )
Attacher ma partenaire, la bâilloner avec passion
Être attaché ... parfois

Le reste est assez long et ennuyeux.
Ce que je déteste : L'étroitesse d'esprit.
La violence gratuite.

Re: Elle et Moi.

Message par IlloRobby »

Yopo1 a écrit :J'apprécie beaucoup l'ironie du discours de l'histoire tel que :
était-ce un « je vais te tuer » ou un « je te hais ».
ou bien encore la phrase finale :
Au moins elle riait !

J'attends la suite ! 8-)
haha! C'est une des composante de mon style d'écriture :-) merci !
moimoi a écrit :Elle est bien sympa ton histoire ^^ C'est "soft" comme j'aime bien, ça change de certains scénarios.

J'attend la suite ;)
Merci pour vos retours :-) effectivement je suis plus axé sur le soft !

Malheureusement je ne me pense pas être écrivain dans 'âme et j'écris en fonction de mon inspiration, ... Celle ci peut venir d'ici quelques minutes comme ....jamais :/ Je n'ai pas prévut de suite mais qui sait, j'ai tout de même essayé de laisser une ouverture possible restez attentif! ^^

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