La secrétaire (histoire d'Anne et d'Alexia)

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Bouya2

La secrétaire (histoire d'Anne et d'Alexia)

Message par Bouya2 »

Vous vous souvenez quand j'avais dit que dorénavant il n'y aurait plus que des histoires d'Anne qui n'avaient jamais été publiées ? J'ai fait une petite erreur. En fait, peu de temps après qu'Anne ait quitté Lovebound, elle a tout-de-même entrepris une collaboration avec une autre membre de Lovebound qui se faisait appeler Alexia. C'est Alexia qui a posté leur histoire commune.
C'est une histoire par chapitres, qui sera donc publiée en plusieurs fois. Chaque chapitre porte seulement le pseudo de l'auteure qui l'a écrit.
Voici l'introduction, rédigée par Alexia. Bonne lecture !

La secrétaire – 2013/01/10
Alexia


Depuis quelques temps, j’étais secrétaire dans un bureau. Un travail très loin d’être fascinant mais la paye était correcte et ce n’était que temporaire. Bien évidemment ce que l’on me demandait de faire était tout ce qu’il y avait de rébarbatif et ne nécessitait pas un remarquable quotient intellectuel.
« Vas cherche ça. Fais ceci ».

Non franchement je prenais mes responsabilités par dessus la jambe et profitait de mon temps de travail pour baguenauder sur le net ou m’amuser des réactions de mes collègues masculins vis-à-vis de mes tenues classes mais sexy.

J’ai toujours adoré montrer mon physique ou tout du moins le mettre en avant. Aguicheuse ? Peut-être ? D’un autre coté à quoi bon être jolie si l’on ne peu pas le montrer. C’est peut être très prétentieux comme façon de penser mais si je me base sur les regards que me lançaient les mâles cela ne semblait pas déplaire à tout le monde.
C’est pour cela que je me promenais dans les bureaux en jupe très courte et bottes en cuir et que mon chemisier avait ses boutons du haut détachés.

Je n’étais néanmoins pas la seule, ma patronne était dotée d’un physique plus qu’admirable et le moins qu’on puisse dire c’est qu’elle savait l’effet qu’elle avait sur les hommes. Ses tenues courtes et provocantes rivalisaient avec les miennes. A la différence qu’elle était une magnifique blonde plantureuse et moi une brune, non moins plantureuse certes mais bien moins autoritaire qu’elle.
Car elle était de l’autre coté du bureau. J’entends par là, qu’elle possédait le pouvoir et semblait apprécier le montrer à tout le monde. Elle tyrannisait les hommes, persécutait les femmes bref si je n’étais pas polie et bien éduquée je l’aurai traitée de s….

Elle semblait encore plus me détester que les tous les autres collaborateurs réunis. Je ne sais pas pourquoi elle mettait un point d’honneur à rendre mes journées insupportables. Par contre force est de constater qu’elle était magnifique !!
En d’autres temps et lieux nous aurions certainement été bonnes copines, voire même bonnes amantes. En effet j’adorais sa gestuelle, ses vêtements et le parfum qu’elle exhalait. Seulement son caractère de bourgeoise prétentieuse et autoritaire m'exaspérait. De ce fait, je fis ce que n’importe qui aurait fait à ma place…. Lui rendre la vie impossible.
Puisqu’elle persécutait les autres, je fis en sorte de me comporter comme la travailleuse jolie et sympathique envers tout le monde, me plaignant sans cesse de ses mauvais traitements. Je m’arrangeais pour perdre des dossiers ou des pièces de dossier pour la mettre en rage. Et surtout… je me comportais en sa présence comme si c’était un mal lambda.

Si elle croyait que je n’avais pas remarqué ses regards … elle se trompait. Je ne sais pas si elle me regardait parce que je lui plaisais, ou parce qu’elle me jalousait ou tout simplement parce que je l’excédais. Ce que je savais c’est qu’il y avait une certaine forme d’agacement à chaque foi qu’elle posait les yeux sur moi. Par conséquent j’en profitais.
Je n’étais pas insolente... Pas ouvertement en tout cas. Au contraire je cachais mon insolence derrière une attitude faussement respectueuse. C’était encore pire. Bien entendu j’étais loin de penser que tout cela allait se retourner contre moi et d’une manière que je n’imaginais pas. Mais alors pas du tout.

beaugosse
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Ce que je déteste : que cela dure trop longtemps

Re: La secrétaire (histoire d'Anne et d'Alexia)

Message par beaugosse »

On a hâte de savoir comment va se dérouler la suite des événements, ça risque d'être prometteur ! :langue:

Bouya2

Re: La secrétaire (histoire d'Anne et d'Alexia)

Message par Bouya2 »

Et voilà la suite ! Le personnage qu'Anne joue est assez différent de celui de ses histoires habituelles.
Bonne lecture !

Anne

Bon sang, ce qu'elle peut m'énerver ! Cette petite dinde ne pense décidément qu'à se dandiner et minauder devant les hommes et cela devient horripilant. Je me demande qui a recruté cette fille ! Alexia. Elle ne vaut vraiment pas grand chose comme secrétaire. Jamais à l'heure, il manque toujours une pièce aux dossiers et qui plus est elle en perd des morceaux. Mais chaque fois que je m'en plains, elle a une chance incroyable et s'en sort.
Je suis persuadée qu'elle couche avec le patron. Que lui trouvent-ils donc tous ?

Je fais les cent pas dans mon bureau, nerveuse en attendant mon dossier de réunion. Normalement, tout est fait pour que je sois à l'aise. Le bureau très design est grand et joliment meublé. Un bureau et trois fauteuils trône d'un côté un salon avec une table basse, un canapé et deux confortables fauteuils de l'autre, et en face on trouve une grande table de réunion avec six sièges autour.
Les murs sont décorés d’œuvres abstraites dont personne n'a jamais connu exactement l'intention mais desquelles émane une étonnante harmonie de couleurs. Deux grandes fenêtres offrent une vue dégagée sur le boulevard et illuminent la pièce. Les tentures ont juste l'opacité voulue pour conserver de l'intimité.

Je sursaute. On frappe à la porte. Enfin ! Ce doit être elle, il était temps. Elle aurait fini par me mettre en retard.
-Alexia, entre ma chérie !
-Votre dossier, mademoiselle.
-Merci, pose-le sur mon bureau.
Je la regarde passer devant moi. Quelle sale petite aguicheuse ! Avec ses cuissardes luisantes à talons aiguilles, sa minijupe de cuir tellement moulante et son chemisier trop étroit spécialement étudié pour accrocher le regard des mâles. C'est d'un vulgaire fini !

Cette petite sotte se tourne vers moi avec un large sourire. Son chemisier est hyper tendu par sa poitrine au point qu'on voit même distinctement les pointes de ses seins à travers. Cette petite gourde a même oublié de fermer les trois premiers boutons, ce qui offre une vue vertigineuse dans son décolleté. Elle n'a décidément aucun goût.
Non, je ne supporte définitivement pas cette petite dinde. Elle m'énerve et je suis persuadée qu'elle le fait exprès. Ce doit être l'objectif principal de sa vie.
Le plus fort est qu'elle ne fait rien pour cela en apparence. Elle semble avoir développé une manière d'être sélectivement horripilante pour moi.

Elle se dirige vers la porte et je la suis du regard. Elle se déhanche en marchant. Avec une minijupe aussi courte et serrante, elle pourrait aussi bien aller faire le trottoir !
Cela dit, elle a de beaux cheveux noirs qui ondulent dans son dos et couvrent ses épaules.
Je me mords les lèvres en me remémorant une petite phrase d'un collègue qui avait surpris mon regard lors d'un passage d'Alexia. Il avait plaisanté stupidement sur une question de jalousie ! Me dire cela à moi ! Comme si, avec ma fonction nettement plus élevée, je pouvais être jalouse d'une petite sotte comme Alexia. C'est sa vulgarité et cette obsession d'attirer les regards qui m'indispose. Quand une personne pratique de la sorte, on a tout dit de sa moralité.

A peine a-t-elle quitté la pièce, je me précipite et ouvre le dossier. Pour ma réunion, je porte une fort jolie minirobe noire satinée du plus bel effet. Boutonnée sur l'avant, elle est moulante à souhait et, très courte, elle couvre moins du tiers de la cuisse. J'adore cette robe à manches courtes avec sa large ceinture de cuir noir. Elle est très sexy et s'harmonise parfaitement avec mes bottes de cuir à talons aiguilles qui m'arrivent sous le genou. C'est qu'en réunion, il n'y a que des hommes et cela me donne un avantage en plus d'être dans une tenue que j'affectionne.
De plus, j'ai mis un joli foulard orné de motifs dorés autour de mon cou. Un de mes collègues qui sera présent m'a confié qu'il adore ce foulard.

J'ouvre machinalement les deux premiers boutons de ma robe en feuilletant le dossier. Un peu de décolleté, c'est tout de même nettement plus esthétique.

Je jure intérieurement. Évidemment, cette petite peste d'Alexia a de nouveau oublié une pièce du dossier ! Je suis persuadée qu'elle veut me faire passer pour une gourde ! Oui, ce doit être cela... elle mérite une bonne leçon. Oui, une bonne leçon.
Parcourant rapidement le dossier, je songe à la manière de punir cette petite dinde. Les pièces du dossier se succèdent sous mes yeux. Ah... tiens non, la pièce manquante est là... elle a de la chance, c'est incroyable.
Oui, c'est certain, elle a voulu me faire croire que cette pièce manquait pour me faire passer pour une gourde devant la direction ! Je la hais.

Je prends le dossier sous le bras et avec un sourire presse un bouton d'appel sur le bureau.
Quelques instants plus tard, la porte s'ouvre et un colosse entre. Jacques est un homme de quarante ans bâti comme un athlète et qui sert d'homme à tout faire dans la société. Chauffeur, manutentionnaire, jardinier même, il cumule efficacité et discrétion. Il a l'allure de l'ancien légionnaire, le dur à cuire qui a déjà tout traversé.
-Mademoiselle ?
-Bonjour Jacques. Tu connais Alexia, la petite secrétaire ?
-Oui, bien sûr.
-Je trouve que c'est une peste. Nous sommes d'accord n'est-ce pas ?
-Euh... c'est évident, mademoiselle.
-Je crois que tu as appartenu à un service de sécurité ?
-En effet, j'ai fait cela une dizaine d'années en Afrique. En fait, c'était plus précisément un groupe d'intervention.
-Et bien je vais aller en réunion toute l'après-midi et mon bureau sera libre. Tu vois cette table ?
-Bien sûr.
-Je voudrais te proposer un pari. La boîte sur la table basse contient tout le matériel nécessaire. Je suis sûre, et je parierais là-dessus, qu'il est impossible qu'à mon retour de la réunion, j'aie la surprise de trouver cette petite dinde sexy servie sur cette table, complètement ligotée et aussi sévèrement bâillonnée que possible.
-Euh... c'est très inhabituel... mais si vous le voulez, mademoiselle. Pari tenu ! dit-il en relavant la tête après avoir inspecté le contenu de la boîte.
-Mais attention, fais cela discrètement et je veux que ce soit réellement très rigoureux. Elle ne doit pas pouvoir émettre le moindre son, pas de gloussement ni de grognement ni remuer en aucune façon. Elle m'attendra très sagement là, au milieu de la table, comme un vulgaire petit paquet, un objet décoratif. Tu te sens capable de faire cela ?
-Oh... oui, cela ne pose aucun problème mademoiselle, ce sera fait comme vous le désirez.
-Et ensuite, une fois notre jolie petite dinde soigneusement ficelée et muselée, tu viendras me prévenir discrètement et ensuite tu oublies cette affaire.
-Ce sera fait, mademoiselle, discrètement et proprement. Vous serez satisfaite.

Satisfaite, je quitte le bureau en souriant et me dirige vers la salle de réunion. Tout le monde est déjà là et je m'assieds en posant le dossier devant moi.
Bien, la réunion peut commencer, dit le Président. Abordons d'emblée le sujet des projets de recherches transversales.
Je cherche dans mon dossier. C'est le document avec lequel Alexia a essayé de me tendre un piège... ah ? Tiens, finalement il était à sa place. Le hasard fait qu'il est lié au point précédent. Cette dinde a une chance invraisemblable !

Bouya2

Re: La secrétaire (histoire d'Anne et d'Alexia)

Message par Bouya2 »

Et voici la suite. Retour à Alexia, et début du ligotage. Bonne lecture !

Alexia

On peut vraiment dire que je m’ennuyais profondément derrière mon bureau pendant que que ma chef participait à une réunion à laquelle je n’étais évidemment pas conviée, je fus sortie de ma rêverie par l’homme à tout faire de la boite.

L’immense Jacques se tenait devant moi, ni sympathique ni antipathique, cet homme était sculpté dans du bois brut, près de 2 mètres de haut et un corps composé pratiquement que de muscles, il s’occupait de maintenir le bâtiment en état tel Atlas avec le monde.
-Tu n’as pas l’air débordée.
-Pas particulièrement non
-Tu peux m’aider ? J’ai un truc à faire dans le bureau de ta chef.
-Mettre la pagaille ?
Il sourit.
-Rien d’aussi amusant non.
-Dommage.
-C'est pour mettre de l'ordre au contraire, mais ça pourrait t'amuser.

Je le suivi vers le bureau de la belle Anne. Une fois à l’intérieur, il referma posément la porte derrière nous. Tout s'est passé très vite. Je n’ai pas eu le temps de me retourner que ses gigantesques bras se refermèrent sur moi. Il immobilisait mes membres avec les siens, je n’eus pas le temps de crier car une boule vient se loger entre mes lèvres. Je sentis la sangle se refermer derrière ma nuque et se serrer inexorablement !
Un ballgag !!! Où a-t-il dégoté ça ?
-Nous serons plus tranquilles avec ça. Ta voix est douce mais je préfère de petits gémissements tout doux et sensuels.
-Hmmfmmmm...
-Voilà... C’est exactement ce que je disais.

Impossible de me libérer, il était bien plus fort que moi et il le savait. Il m'immobilisait d'une main malgré mes gloussements étouffés. D’un geste rapide il dégrafa ma jupe qui se retrouva à terre, mon chemisier l’accompagna tout de suite après. Je me retrouvai prisonnière de ses bras en string bas et bottes. Ma poitrine nue durcissait à vue d’œil, lui offrant alors le spectacle de mon excitation manifeste.
-Pas de soutien... Et la situation n’est pas pour te déplaire on dirait petite coquine.
-Hfmmm !! fis-je excédée.

Il me plaqua contre le grande table de réunion au milieu du bureau et me lia fermement les mains avec de la corde, il joignit mes coudes et passa une corde sous ma poitrine désormais tendue à l’extrême vers l’avant. Sans se soucier de mes piaillements, il attacha minutieusement mes chevilles puis mes cuisses avant de se redresser face à moi.
Stupéfaite, je vis le colosse poser simplement les mains sur mes seins offerts et se mettre à les palper. Au bout d'un moment il glissa franchement la main entre mes cuisses et se mit à me caresser intimement. Solidement ligotée, debout devant lui, je ne pouvais que me trémousser faiblement en gémissant.
-humpf !!!... mmhmghh !!!
-Simple petit test du bâillon. Je voulais être sûr.

Il m'a alors empoignée et m’a allongée sur la table.
-Tu seras très bien sur cette table. Et puis c'est la première chose que l'on voit en entrant.

Mais pourquoi faisait-il ça ? Pourquoi ici ? Anne était-elle le commanditaire ? Que va-t-il me faire ? Impuissante, j'agitais frénétiquement la tête.
-HMMMFMMM ??

Il ne prit pas la peine de répondre et continua implacablement sa besogne en terminant par un hogtie très strict qu'il prit le temps de tendre à la limite de me souplesse. Il recula alors pour contempler son œuvre.
Il me bascula calmement sur le coté afin de contempler ma poitrine. Il flatta chacun de mes seins et pinça me tétons puis les roula entre ses doigts.
-Hmmm… Fis-je très excitée.
-Tu es plutôt bonne tu sais ? Mais tu n’es pas pour moi.
-HMMMffff !!!
Si je pouvais parler j’aurai été tout sauf polie.

Il passa une main sur mon string ce qui me fit gémir à nouveau.
-Allons allons, au vue de l’humidité ambiante, ta situation ne te dérange pas tant que ça. Dit-il amusé.
-Hmmmfmmmm !!!!!!!
-Bon je vais te laisser.
Il me tourna le dos et sortit en me laissant seule complètement ligotée et bâillonnée dans le bureau de mon tyran.

Bouya2

Re: La secrétaire (histoire d'Anne et d'Alexia)

Message par Bouya2 »

Et voilà la suite. Bonne lecture !

Anne

Mon cher voisin de réunion m'amuse beaucoup en lançant des regards qui se voudraient discrets dans mon décolleté et sur mes cuisses. Histoire de voir sa réaction je me penche pour déposer une feuille devant lui et mon sein s'écrase sur la main qu'il avait posée sur le bord de la table. Il a rougi et s'est mis à bafouiller.
La réunion dure depuis près d'une heure et vu qu'aucun point ne m'intéresse directement, je commence à trouver le temps long.
La porte s'entrouvre et je vois passer la tête de Jacques qui me cherche du regard. Il m'adresse un petit signe de la tête.
Je souris et mon regard retourne à la réunion pendant que la porte se referme.
Exceptionnellement, certaines décisions stratégiques doivent être prises. C'est pour cela que la réunion sera suivie d'une conférence de presse. Il est donc impératif que je sois présente à la fin de la réunion.
Quelques minutes plus tard, prétextant qu'il me manque un document, je quitte momentanément la réunion. Je n'y tiens plus... je suis trop curieuse de voir ma surprise.

Après avoir parcouru le long couloir conduisant à mon bureau, je jette un regard pour m'assurer qu'il n'y a personne à proximité et j'entre.
Je traverse la pièce d'un pas assuré, comme si tout était normal.
-mffhhh... mh... !!!

Ah ! Alexia est bel et bien sur ma table, très étroitement ligotée dans un hogtie très impressionnant. La jeune femme est remarquablement bâillonnée par un énorme bâillon boule profondément enfoncé dans sa jolie bouche largement ouverte. Elle agite désespérément la tête en soufflant pitoyablement.
Je constate que ce coquin de Jacques a proprement déshabillé la jeune femme. Sa jupe et son chemisier sont soigneusement pliés sur la table. La belle se trouve topless, en string mais toujours chaussée de ses bottes.
-gh... hh... ... mh !!!
-Voyons Alexia, tu risques de prendre froid. C'est la première fois que je surprends une exhibitionniste durant le travail ! Il faudra que tu m'expliques à quoi tu joues... et dans mon bureau qui plus est ! Dis-je en prenant un autre dossier.
-mhh...
Je retourne à la réunion. En attendant mon retour, tu peux appeler la sécurité... le téléphone est là. Sinon, tu as intérêt à avoir une bonne explication, ma belle !

La regardant, je constate que ses liens sont indiscutablement très serrés et qu'elle ne peut vraiment plus remuer du tout. Ce n'est qu'à grand peine qu'elle parvient encore à se tortiller faiblement sur la table. Je remarque au passage qu'elle a de très jolis seins.
Heureusement que ses liens sont solides et que son redoutable bâillon est parfaitement serré car la jeune femme semble littéralement hystérique et prête à exploser.
Passant près d'elle, je ne résiste pas à lui caresser un sein. Alexia sursaute silencieusement.

J'entends un glissement derrière moi. Jacques vient d'entrer.
-Et bien j'ai perdu mon pari, Jacques !
-Vous en doutiez ?
-Pas vraiment... et c'est du beau boulot... vraiment ! Je parie que tu l'as pelotée un peu, tant que tu y étais.
-Euh... un tout petit peu, en effet. Mais il me semblait logique de la mettre à l'aise... et comme elle ne portait pas de soutien, voilà le résultat.
-Elle est mignonne, fis-je en regardant Alexia. Et ses seins sont splendides.
-Oui... et je suis curieux en fait... je dois l'avouer.
-Ah fis-je en tournant la tête. Curieux de quoi ?

La puissante main de Jacques s'est brusquement posée sur ma bouche, me bâillonnant complètement tandis qu'il avait saisi mes bras par les coudes et les maintenait fermement derrière mon dos.
-Je me demande depuis longtemps ce que vous portez sous votre jolie robe... et puis jeter un petit coup d’œil sur vos seins ne serait pas pour me déplaire.
-h... ... hh... ... mh... !
En deux temps trois mouvements, il m'avait profondément enfoncé un autre bâillon boule dans la bouche et l'avait sanglé au plus serré.
Bâillonnée et les bras immobilisés derrière mon dos, j'étais totalement impuissante et je tentais de me tortiller dans ses bras.
Sa grosse main s'est posée sur mes seins et les a palpés minutieusement.
-Aaah... c'est très bien aussi ! Vous avez une poitrine plutôt généreuse mademoiselle, mais très ferme aussi !
-gh... mh... hhh... !!! Je soufflais vainement en agitant la tête.
Sans le moindre égard, il a attrapé le bord de ma robe et l'a retroussée pour jeter un coup d’œil dessous.
-Oh ooh ! Que vois-je ? Mais c'est du latex ! Très joli !
-gm... hhh... h...
Il a calmement passé les doigts sur le latex, me pelotant intimement sous les yeux d'Alexia.
Le colosse m'a alors fermement coincée contre le meuble et a posément défait un à un les boutons de ma petite robe. Il m'a délicatement ôté ma robe qui a glissée sur le sol, me laissant en string et bottes, exposée à sa vue.
-Aah oui, c'est très mignon aussi.
-mh... hh !!! ... mh !!!

Sans mot dire, il m'a attaché solidement les coudes joints, puis a rapidement attaché mes poignets derrière mon dos.
Il s'est ensuite posément consacré au ligotage de mes jambes. J'étais debout devant lui et était contrainte de la regarder passivement faire.
En quelques minutes, il m'avait réduite à la plus totale impuissance, très expertement ligotée sur ma table dans un hogtie identique à celui d'Alexia.
-Voilà un très mignon duo.
-hh... mpf... mhmh !! ... hhh... ... mhf... !!
Un concert de faibles grognements lui répondit tandis qu'il saisissait de nouvelles cordes dans la boîte.

Basculées sur le flanc, le colosse nous a mises face à face puis poussées l'une contre l'autre. Je sentais le parfum d'Alexia et son visage était contre le mien. Mes seins se sont écrasés contre les siens. A l'aide de ses cordes, il nous a attachées solidement l'une à l'autre dans cette position.
Une fois satisfait, il nous a regardées un moment. J'ai du constater qu'attachées comme cela, il est rigoureusement impossible de bouger.

Je l'ai alors vu prendre un objet en main. Un vibromasseur !
-Désolé mesdemoiselles, il n'y en a qu'un seul. Vous devrez vous le partager.

Nous étions à ce point collées l'une à l'autre que ce n'est qu'avec difficulté qu'il est parvenu a le glisser entre nous. Pour ce faire, il ne se privait pas de nous peloter toutes les deux. Je sentais Alexia se raidir et sursauter violemment chaque fois que le coquin la touchait intimement.
Aussi impitoyablement ligotées et rigoureusement bâillonnées, nous étions totalement impuissantes, exposées sur la table. Impossible de crier ou de tenter quoi que ce soit pour nous soustraire aux mains inquisitrices de Jacques !

C'est donc en nous pelotant de la manière la plus inconvenante et irrévérencieuse qui soit qu'il est parvenu à coincer fermement l'appareil dans la corde qui pressait sur nos sexes. Il nous a regardées avec un sourire avant de mettre l'engin en fonction.
Le colosse est sorti de la pièce en refermant la porte derrière lui, nous laissant ligotées sur la table en proie aux vibrations silencieuses de l'appareil !

Je sentais les seins d'Alexia devenus tout durs dont les pointes frottaient sur ma poitrine. Chacun de ses mouvements et sursauts faisaient encore monter mon excitation. Je gloussais sourdement dans mon bâillon en me trémoussant de mon mieux.
Aucun lien ne bougeait et je sentais Alexia frétiller à chacun de mes mouvements.

stephanie
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Ce que je déteste : Les relations uro-scato, la violence non consentie, la vulgarité, les a priori sur les autres.

Re: La secrétaire (histoire d'Anne et d'Alexia)

Message par stephanie »

J'aurais préféré que l'une domine l'autre.
Mais bon, là on en sait pas qui va se faire virer…
Merci pour ces belles histoires, qui donnent envie de s'y remettre.
Bises,
Stéphanie

Bouya2

Re: La secrétaire (histoire d'Anne et d'Alexia)

Message par Bouya2 »

Et voilà la suite. Bonne lecture !

Alexia

« Et bien voilà qui est inédit ! »

Bien que la situation fût particulièrement humiliante pour moi, elle connaissait à présent un retournement tout à fait inattendu.

Lorsque je vis ma patronne débarquer dans le bureau alors que j’étais quasiment nue et ligotée je me suis sentie parfaitement idiote. Je savais que cette histoire était de son initiative, elle me nargua quelque peu et profita de mon infortune.

Mais cela ne dura pas bien longtemps, l’immense Jacques se retourna subitement contre elle et fit montre de la même expertise pour la museler sans qu'elle n'ait pu pousser le plus petit cri, pour la dénuder et la ligoter ensuite topless en serrant très solidement les liens. Il lui fit prendre la même position que moi sur le bureau, le hogtie était aussi sévère que le mien.

Je souris intérieurement, le piège s’était refermée sur elle, même si nous étions victimes toutes les deux à présent, je me réjouissais à la vue de la surprise dans ses yeux.

Jacques n’en resta pas là, il se débrouilla pour nous ligoter l’une à l’autre, personnellement cela ne me dérangeait qu’à moitié, Anne avait beau être une garce de première son physique ne me laissait pas indifférente.

Ses seins étaient écrasés contre les miens, mon visage était enfoui dans sa chevelure blonde et son parfum m’enivrait. J’étais à la fois énervée de me retrouver dans une situation pareille et incroyablement excitée.

Lorsque Jacques nous imposa la présence d’un vibromasseur, Anne écarquilla les yeux, pour ma part j’essayais de supplier Jacques du regard. Mais il nous ignora royalement et nous retrouvâmes avec un vibro. Il nous laissa seules avec notre honte.

Anne, me regarda et gigota dans ses liens en marmonnant, ses mouvements ne servirent à rien mis à part à m’exciter. Ses seins se frottaient contre les miens, je me mis à marmonner à mon tour mais plus par plaisir qu’autre chose.
-Hmmmm…..

Anne me regarda énervée et sidérée,
-Gffmmm ??

Je continuais à sourire intérieurement, le vibro nous rappela bientôt sa présence. Bientôt, ses effets se firent sentir, Anne commença à devenir rouge et à gémir doucement.

Nous commençâmes à transpirer abondamment, je réfugiais mon visage dans la nuque de ma patronne et en profita pour sentir sa peau et son odeur. Le vibro me transforma en machine à gémir, je poussais de plus en plus de petit gémissement qui ne semblaient pas déplaire à ma chef.

Au bout du compte j’éclatais en un terrible orgasme, Anne m’accompagna rapidement. Je croisais son regard et vit son désir. Je me suis alors approché d’elle pour l’embrasser malgré nos baillons, elle ne résista pas et se laissa faire.

Au fond cette journée n’est pas si mal, j’appréciais de partager se moment avec une fille aussi sexy, ce qui me déplaisait par contre, c’est de ne pas pouvoir me détacher toute seule, ou de dépendre d’une personne en qui je n’avais pas confiance.

J’avoue avoir été énervée qu’Anne commande mon ligotage. A présent j’avouais que ma journée n’était pas si mal. Les gémissements de ma patronne étaient un délice pour les oreilles.

Malgré tout, je commençais à trouver le temps long, je tirais sur mes liens mais rien ne venait. Impossible de me détacher.

Qu’allions nous faire ?

stephanie
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Ce que j'adore : Beaucoup de choses en fait, même si je suis une fan des blouses nylon et de la soumission. Surtout être ligotée strictement et bâillonnée, à la merci d'un maître ou une une maîtresse exigeant(e), avec caresses et punitions alternées. Mais j'aime aussi dominer et avoir à mes pieds une soubrette attendant mon bon plaisir.
Ce que je déteste : Les relations uro-scato, la violence non consentie, la vulgarité, les a priori sur les autres.

Re: La secrétaire (histoire d'Anne et d'Alexia)

Message par stephanie »

La suite mais non pas la fin…
J'en salive d'avance, même sans bâillon.
Bises,
Stéphanie

Bouya2

Re: La secrétaire (histoire d'Anne et d'Alexia)

Message par Bouya2 »

Et voilà le dernier chapitre. Il est indiqué que c'est le point de vue du directeur général, mais c'est Anne qui l'a écrit en fait.
Alexia et elle ont décidé de garder une fin ouverte. L'histoire s'arrête bien de cette manière, elle n'a pas été sauvagement amputée, c'est pour que le lecteur imagine ce qu'il veut qu'il se passe ensuite.
Bonne lecture !

Le Directeur général

La réunion terminée, le Directeur général se leva et s'adressa à sa secrétaire.
-Bien, vous pouvez faire entrer la presse.
-Oui, mais nous avons un léger problème, Monsieur. Cette salle est déjà réservée et nous sommes en retard.
-Ah ? Et bien nous trouverons une autre salle... Combien y a-t-il de journalistes ?
-Huit.

Il jette un regard à la ronde.
-Anne... où est Anne ? Elle doit être à la conférence de presse.
-Elle a quitté la réunion pour une urgence.
-Oui... elle est sans doute dans son bureau. C'est impossible qu'elle ait oublié la conférence de presse.
-Au fait Monsieur, elle dispose d'un grand bureau doté d'une grande table de réunion. Vous pourriez peut-être y faire la conférence de presse.
-Excellente idée, mademoiselle. Conduisez-y donc la presse et faites les s'installer. Je vous rejoins.
-Bien Monsieur.

La secrétaire s'éloigne vers la porte et s'adresse aux journalistes.
-Messieurs s'il vous plaît. Suite à un très léger contretemps, la conférence de presse se tiendra dans une salle voisine. Veuillez me suivre.
Ils ramassent leurs sacs et matériel et s'engouffrent dans le couloir à la suite de la secrétaire.
Quelques dizaines de mètres plus loin, la jeune femme arrête son pas rapide devant la porte du bureau de Anne et fait face à la meute de journalistes. Affichant un large sourire, elle pousse la porte et s'efface en leur faisant signe d'entrer.
-Installez-vous. Monsieur le Directeur général va vous rejoindre.

rocame
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Re: La secrétaire (histoire d'Anne et d'Alexia)

Message par rocame »

A mon avis la plus réussie des histoires d'Anne. Je me verrai bien à la place d'Alexia, travesti en jupe de cuir, cuissardes et chemisier avant d'être littéralement neutralisé par Jacques........

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