Le neveu (histoire inédite d'Anne)

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Bouya2

Le neveu (histoire inédite d'Anne)

Message par Bouya2 »

Et voici une des nouvelles histoires d'Anne, une des dernières qu'elle a écrite. Je l'aime beaucoup celle-là.
Le prélude en italique a été écrit par Anne.
Bonne lecture !

Le neveu – 2015/07/05

Cette histoire-ci est réelle à la base, mais enjolivée pour le plaisir de la lecture. Plus précisément, le neveu existe bel et bien... malheureusement. Et il flashe sur les nanas dans mon genre.
Et donc durant ce week-end bien réel, j'ai demandé à mon copain de m'attacher et il a oublié de me prévenir que son neveu était là aussi. C'est comme cela qu'il m'a trouvée toute ligotée sur une chaise et a eu enfin l'occasion de me toucher les seins, ce qu'il attendait depuis longtemps.
Par contre il n'a pas été aussi loin que dans l'histoire qui suit et il n'y a pas eu de selfie non plus.


Mon copain a loué un chalet dans la région de Hastière, une petite ville le long de la Meuse, pour un week-end prolongé en amoureux. C’était une idée intéressante en ce début d'été mais comme il n'y avait plus de petit chalet il en a choisi un moyen avec deux chambres. Tant pis, cela nous donnera d'autant plus d’opportunités pour nos jeux.

Nous nous étions donné rendez-vous sur place et chemin faisant, je songeais aux dernières semaines. La route sinuait et mes talons ne facilitaient pas la conduite. J'étais contente de m'éloigner de Bruxelles car le neveu de mon copain commençait à s'incruster un peu trop à mon goût. C'est un jeune homme de dix-huit ans, bien bâti mais tellement arrogant que je l'avais rapidement trouvé insupportable. Il avait pour habitude de se promener en tout petit maillot de bain croyant que toutes les filles devaient nécessairement être folles de lui ! De plus, il est très attiré par les blondes de manière générale, par les talons aiguilles, les minijupes et les jolies poitrines.

Ce petit cochon a déjà tenté à plusieurs reprises de me mettre la main aux fesses ou de me toucher un sein quand mon copain n'était pas là, ce qui lui avait déjà valu un violent coup de pied et deux solides claques qui lui avait laissé la joue rouge pendant un long moment.

La voiture gravissait le chemin menant au chalet et je vis la voiture de mon copain déjà arrivé stationnée devant l'un des chalets. J'ai vu mon copain qui me regardait arriver par une fenêtre. J'ai souri en me disant : « Mon ami, tu ne vas pas être déçu ! »
Il m'a regardée descendre de voiture par la fenêtre et j'ai vu son expression en voyant que je portais une tenue qu'il ne connaissait pas. A part mon chemisier, je venais de l'acheter. C'était d'ailleurs la raison de mon retard.

J'arborais une minijupe noire de cuir fin, très moulante et boutonnée sur le devant en plus d'être légèrement fendue sur l'arrière. Pour être honnête, elle est vraiment ultra courte en fait. C'est le genre de jupe que j'adore et qui ne touche pas la chaise lorsque je m'assieds. De plus, les plis produits par la boutonnière lorsque je suis assise font qu'elle s'entrouvre légèrement après le dernier bouton.
Mon chemisier légèrement satiné dont j'avais retroussé les manches était expressément choisi d'une taille trop étroite de manière à mettre ma poitrine en évidence. Et comme j'avais laissé ouverts les trois premiers boutons, le décolleté offert était vraiment impressionnant. Ma poitrine tendait le fin tissu et mettait ostensiblement la boutonnière sous tension. L'idéal pour mettre mon copain dans de bonnes dispositions !
Je chaussais de nouvelles bottes de cuir blanches très sexy m'arrivant sous le genou dont les talons aiguilles faisaient douze centimètres. J'avais eu du mal à les trouver mais elles sont merveilleuses.

J'ai pris mon sac et fermé la voiture. J'ai secoué ma crinière blonde et me suis dirigée vers le chalet. Mon copain me regardait avec avidité pendant que je marchais vers le chalet.
Après une longue embrassade pendant laquelle je l'ai senti me caresser sensuellement pour vérifier si je portais un soutien, j'ai jeté un regard rapide à la chambre. Une porte fermée donnait sur la seconde chambre. Il y avait un grand lit, une jolie garde robe de bois foncé, une table et deux chaises assorties. Parfait, notai-je, les chaises sont robustes et à barreaux !

J'ai posé mon sac et me suis tournée ingénument vers lui.
-Oh ! Mon biquet... Tu sais ce qui me ferait plaisir ?
-Un resto ?
-Non... je voudrais que tu me ligotes vraiment très serré, sur cette chaise.
-Ah ? Directement en arrivant ?
-Le trajet m'a énervée. Cela me calmerait...
-Bon, si tu veux...
-Oui, mais je voudrais réellement du sérieux ! Je voudrais être ligotée franchement comme tu sais si bien le faire quand tu captures une proie et que tu veux vraiment qu'elle soit complètement immobilisée... très très solidement ligotée, très serré, avec plein de cordes très tendues. Puis tu bâillonnes ta proie pour qu'on ne puisse même plus l'entendre à deux mètres, et tu la laisses là.
-Bien, dit-il en prenant le sac avec le matériel.
-Chouette ! J'en ai vraiment très envie...

Il a donc pris de jolies cordes blanches et m'a donc attaché les poignets, il a fait un solide harnais dorsal et m'a attaché les bras très étroitement sous les coudes puis au-dessus. C'était vraiment très tendu et mes coudes étaient franchement pressés l'un contre l'autre. Il mettait beaucoup de corde, une dizaine de tours. Ravie, j'ai constaté qu'il y allait rigoureusement et que mes bras étaient réellement parfaitement immobilisés ! Il m'a ensuite assise sur la chaise. J'ai vu son regard quand je me suis penchée et que mon décolleté s'est offert à sa vue, avec mes bras tirés en arrière et mes coudes joints, mes seins poussés en avant donnaient un spectacle impressionnant. Ma jupe aussi a accroché son regard avec sa boutonnière qui semblait prête à sauter.

Il m'a croisé les chevilles et les a attachées solidement avec une bonne quinzaine de tours de jolie corde bien serrés, puis il a passé la corde sous mes talons aiguilles et a soigneusement serré le tout. Là je ne pouvais quasiment plus bouger les pieds. Bonne chance pour remuer malgré tous les efforts. On entendait un peu les crissement du cuir des bottes l'une contre l'autre, mais sans plus. Assise je regardais le garçon serrer les sévèrement cordes, les sécuriser énergiquement et terminer résolument par un solide nœud étroitement serré. Il faisait des nœuds très compliqués et les serrait visiblement de toutes ses forces. Avec ce genre de lien : pas de danger que je me libère !
-Ah tu veux du solide... fit-il en m'attachant les cuisses juste au-dessus des genoux.

Il appliqua de nombreux tours de corde très tendue qui formait au final une jolie bande blanche de cinq centimètres au moins. Il sécurisé étroitement le lien et a serré le énergiquement nœud sur le dessus de manière que je le voie parfaitement. Il m'attacha ensuite la jambes juste sous les genoux, de manière identique et avec la même rigueur. Il plaçait intentionnellement les nœuds bien en vue. C'est très frustrant de voir tous les nœuds quand on se tortille vainement dans les liens sans pouvoir en atteindre aucun.
-Ma nouvelle jupe te plaît ?
-Elle est splendide... tu es érotique ! Mais c'est la même que celle de la voisine non ?
-Salopard !!!
J'avais à peine dit cela qu'un énorme bâillon boule m'était vigoureusement enfoncé dans la bouche et vigoureusement serré. La balle s'est enfoncée profondément. La sangle m'entrait dans les joues. Surprise, j'ai ouvert de grand yeux en poussant un gloussement aigu.
-mh... gmphhh !!!
-Ha, ha, ha ! Là on dirait que je t'ai eue ! Tu devrais voir ta tête !

Mais loin d'avoir terminé, il a pris un rouleau d'adhésif extra fort et est revenu me scotcher la bouche. Il serrait vraiment très fort et a appliqué plusieurs tours autour de ma tête. L'adhésif poussait incroyablement le bâillon dans ma bouche et comprimait formidablement mes joues. Là il tenait promesse et faisait vraiment quelque chose de très rigoureux.

Je pensais qu'il en avait terminé mais il est revenu avec de nouvelles cordes et m'a poussée contre le dossier, les bras passés derrière. J'étais forcée de me tenir très droite, avec les bras dans cette position ma poitrine était mise en évidence d'une manière extrême. Puis il m'a attaché les bras rigidement aux barreaux, me condamnant à rester collée au dossier. Souriant, il m'a solidement attachée au dossier par la taille, puis avec une corde serrée alternativement sous et dessus les seins.

Enfin il s'est à nouveau consacré à mes jambes et m'a attaché les chevilles au barreau horizontal entre les pattes du siège. Mes pieds étaient tirés en arrière au point de ne plus toucher le sol et mes chevilles étaient pressées contre le barreau. Il a arrimé solidement le tout puis a attaché étroitement mes cuisses au siège de manière que je ne puisse plus les faire aller de droite à gauche. C'était véritablement très serré et efficace.
-Voilà ma belle. Tu es satisfaite ?
-Mmh... mmphh... mh !
Je hochai la tête en soufflant faiblement. Je testai les liens avec satisfaction. C'est qu'il sait vraiment bien bien s'y prendre pour ligoter solidement une nana ! Il n'est pas marin pour rien !
-Je vais prendre une bière et rentrer les bagages. Sois bien sage ma jolie... Ha, ha, ha...
-mh... ... mmh... ... muhmhh...

Il a quitté la pièce.
Au bout de quelques minutes à tenter de remuer et à tirer sur mes liens en agitant la tête avec des gloussements étouffés, j'entendis un bruit sur le côté. Mes cheveux se hérissèrent en voyant la porte de l'autre chambre s'ouvrir ! Il y avait quelqu'un d'autre dans cette chambre !
Et le neveu de mon copain est entré, habillé de son minuscule maillot de bain.

J'ai sursauté en rougissant et je me suis agitée comme un animal pris au piège, grognant comme je pouvais. Je ne pouvais pas me douter qu'il était là aussi et mon copain avait oublié de me prévenir.
-ghhh... ... mghhh... ... ... mgnh... ...
-Tiens, Anne ! Salut poupée... dis donc tu as une jolie jupe ma fille ! Et de fameuses bottes aussi... c'est vraiment très sexy ! A mon avis tu es encore plus excitante comme cela qu'avec ton mini maillot de l'autre jour.
-hmphh... ... mgnnh...

Hilare, il s'est approché et m'a embrassée sur le front, ce dont j'ai vraiment horreur ! J'ai poussé un grognement sourd et essayant de secouer la tête mais sans parvenir à l'arrêter.
En se penchant il a reluqué mes cuisses et ma poitrine poussée en avant, dévorant mon décolleté des yeux. Il a émis un petit sifflement admiratif.
Et bien dis donc, tu sais t'habiller ! Que portes-tu la dessous ? Tu veux bien que je te touche un peu les seins ?
-Sans attendre, il avait déjà tendu la main et m'avait effleuré un sein !
-Mmhhm... mh !!! ... ... mgnnh !!!
-Ah, tu es gentille...

Faisant mine de croire que j'étais d'accord, il s'est mis à palper minutieusement ma poitrine offerte ! Je gloussais frénétiquement et secouant la tête mais il continuait imperturbablement son exploration. Mon copain m'avait ligotée vraiment très solidement et je ne pouvais absolument rien faire pour arrêter le garçon. Véritablement collée à la chaise, j'agitais les doigts et secouais la tête en miaulant. Les doigts du garçon continuaient imperturbablement de courir sur mes seins en testant leur consistance.
-mghh !!!... … mh... … … mgnh !...
-Oh mais... tu n'as pas de soutien, petite coquine !
-mh... ... mh !!!
-Chouette poitrine ! Vraiment... très ferme et massive en même temps. Oooh... tu as vu comme tes tétons pointent tout d'un coup ? Fameux !!!

Je baissai les yeux, furieuse de lui présenter malgré moi les seins de cette manière, je l'ai vu tendre les mains et il m'a légèrement pincé les tétons entre ses pouces et index, puis il m'a caressé les cuisses et passé la main sous la jupe malgré mes couinements aigus. Je me démenais furieusement en soufflant dans mon bâillon mais mon copain n'avait pas fait les choses à moitié en m'attachant. Je frétillais lamentablement sous les mains du garçon.
-Ah ben ça valait vraiment la peine... Depuis le temps, je me disais bien qu'un jour tu me laisserais gentiment tâter un peu tout cela... Hé, hé... c'est que tu ne peux réellement pas remuer du tout ! Il t'a vachement bien ligotée... !
-mmph !!!... muhh !!!...
-Oui, oui, Anne... tu es très jolie. Très sexy aussi.

Il est alors allé chercher son smartphone.
-Tu donnes un si joli spectacle... Ca ne t'ennuie pas de faire un petit selfie avec moi pour garder un souvenir ?
Horrifiée je l'ai vu commencer à me filmer avec lui notamment pendant qu'il me soupesait les seins et qu'il me caressait les cuisses. Il commentait la scène comme si il était un reporter qui avait découvert une otage et constatait la rigueur du ligotage et l'efficacité du bâillon tout en feignant de se demander si la malheureuse parviendrait à se libérer.

Mon copain est revenu et a assisté à cela. Il lui a simplement dit de me laisser tranquille et de ne pas publier ce qu'il avait filmé. Le neveu a promis et est reparti dans sa chambre.

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Utten
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Re: Le neveu (histoire inédite d'Anne)

Message par Utten »

MMmmm... Très bon. Amusant même.

rocame
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Re: Le neveu (histoire inédite d'Anne)

Message par rocame »

Là aussi une des plus belles histoires d'Anne, rigoureusement ligotée et bâillonnée sur cette chaise, elle a dû passer un sacré moment.

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