Désir de cordes
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- Amateur(trice) de JdL
- Messages : 130
- Inscription : 04 juin 2015, 08:24
- Pratique : Oui
- Ligoté(e) :
- Ce que j'adore : Beaucoup de choses en fait, même si je suis une fan des blouses nylon et de la soumission. Surtout être ligotée strictement et bâillonnée, à la merci d'un maître ou une une maîtresse exigeant(e), avec caresses et punitions alternées. Mais j'aime aussi dominer et avoir à mes pieds une soubrette attendant mon bon plaisir.
- Ce que je déteste : Les relations uro-scato, la violence non consentie, la vulgarité, les a priori sur les autres.
Désir de cordes
Ce matin je suis partie au boulot après avoir bouclé ma ceinture de chasteté. Je l'ai sentie et elle m'a stimulée toute la journée. Je suis allée plusieurs fois aux toilettes pour tenter de me faire jouir mais sans succès. Le dispositif est bien au point. C'était excitant et frustrant à la fois.
Et ce soir dès 20H45, au lieu de 22H30, j'ai enfilé blouses en nylon et jupe entravée, niqab et gants, et me voici en servante voilée devant mon écran.
Je me rêve ligotée dans mes blouses, de la tête aux pieds, les mains menottées dans le dos, la bouche scellée par plusieurs tours de ruban adhésif, une cagoule aveuglante sur la tête, avec seulement un trou pour le nez.
L'ice timer contenant les clés des cadenas de mes menottes en aurait pour des heures à fondre. Aveuglée, saucissonnée, j'en perdrais la notion du temps, abandonnée à mes sensations, réduite à caresser le nylon de mes blouses du bout de mes doigts à travers mes gants de niqabi, à rouler sur moi-même pour exacerber ou soulager la douleur que m'inflige les pinces que j'ai posées sur le téton de mes seins. Et puis, le temps passant, le sentiment d'impuissance prendrait le dessus, l'inconfort de la situation, ces bras qui restent obstinément tirés dans le dos, ces jambes soudées l'une à l'autre, et ce glaçon que je ne vois pas, qui ne fond pas. Incapable de me délivrer, je vis pleinement les sensations que me procurent les cordes qui compriment mon corps, les élancements qui partent de mes seins, le bruissement de mes blouses, cette cagoule qui m'oppresse et m'oblige à contrôler ma respiration.
Soudain il me semble entendre des pas. Je m'immobilise, les sens en alerte. Plus rien. Aurai-je rêvé ? Je sursaute quand une main me saisit le bras, je gémis quand cette main me fait rouler sur le ventre sollicitant les pinces sur mes seins, je tente de protester quand je sens une corde s'entourer autour de mes poignets, les soudant l'un à l'autre en ôtant la faible marge de manoeuvre que me laissait les menottes. On me roule au sol, un noeud est serré sur mon ventre ; c'est celui de la corde qui maintient désormais mes poignets plaqués derrière dans mon dos. La femme tronc que je suis devenue est levée, maintenue debout dans un équilibre précaire. J'essaye de bouger mes poignets mais rien à faire. On m'enfile quelque chose, une longue blouse que l'on boutonne par devant et qui descend le long de mes bras, recouvre mes mains et offre son nylon aux caresses de mes doigts. Puis un nouveau saucissonnage, de haut en bas. Je suis comme dans un cocon, emballée dans une gangue de nylon dont je ne peux me défaire. On me manipule, on me fait mettre à genou puis allongée. je sens le bruit d'une chaine, de cadenas qui se ferment, une sensation au niveau de mes chevilles. Les bruits de pas qui s'éloignent et le silence qui revient. J'essaye de bouger mais dans un cliquetis caractéristique la chaîne se tend et stoppe mon mouvement. Au prix de nouveaux élancements causés par mes pinces à sein, j'explore tant bien que mal à travers le nylon de la blouse les objets qui s'offrent à mes doigts. Avec effroi je reconnais le pied de ce meuble : je suis désormais ligotée de l'autre côté de ma chambre. A supposer que le ice-timer soit encore en place, ce serait un miracle qu'en tombant les clés parviennent jusqu'à moi. Et à quoi bon, comment les ferai-je passer à travers la blouse que l'on m'a enfilé ? Et comment atteindre les cadenas maintenant que mes poignets sont liés l'un à l'autre par de nombreux tours de corde ? Je suis dans l'incapacité totale de me délivrer, à la merci de l'inconnu(e) qui m'a ainsi ligotée.
Mmmmmmph...
Et ce soir dès 20H45, au lieu de 22H30, j'ai enfilé blouses en nylon et jupe entravée, niqab et gants, et me voici en servante voilée devant mon écran.
Je me rêve ligotée dans mes blouses, de la tête aux pieds, les mains menottées dans le dos, la bouche scellée par plusieurs tours de ruban adhésif, une cagoule aveuglante sur la tête, avec seulement un trou pour le nez.
L'ice timer contenant les clés des cadenas de mes menottes en aurait pour des heures à fondre. Aveuglée, saucissonnée, j'en perdrais la notion du temps, abandonnée à mes sensations, réduite à caresser le nylon de mes blouses du bout de mes doigts à travers mes gants de niqabi, à rouler sur moi-même pour exacerber ou soulager la douleur que m'inflige les pinces que j'ai posées sur le téton de mes seins. Et puis, le temps passant, le sentiment d'impuissance prendrait le dessus, l'inconfort de la situation, ces bras qui restent obstinément tirés dans le dos, ces jambes soudées l'une à l'autre, et ce glaçon que je ne vois pas, qui ne fond pas. Incapable de me délivrer, je vis pleinement les sensations que me procurent les cordes qui compriment mon corps, les élancements qui partent de mes seins, le bruissement de mes blouses, cette cagoule qui m'oppresse et m'oblige à contrôler ma respiration.
Soudain il me semble entendre des pas. Je m'immobilise, les sens en alerte. Plus rien. Aurai-je rêvé ? Je sursaute quand une main me saisit le bras, je gémis quand cette main me fait rouler sur le ventre sollicitant les pinces sur mes seins, je tente de protester quand je sens une corde s'entourer autour de mes poignets, les soudant l'un à l'autre en ôtant la faible marge de manoeuvre que me laissait les menottes. On me roule au sol, un noeud est serré sur mon ventre ; c'est celui de la corde qui maintient désormais mes poignets plaqués derrière dans mon dos. La femme tronc que je suis devenue est levée, maintenue debout dans un équilibre précaire. J'essaye de bouger mes poignets mais rien à faire. On m'enfile quelque chose, une longue blouse que l'on boutonne par devant et qui descend le long de mes bras, recouvre mes mains et offre son nylon aux caresses de mes doigts. Puis un nouveau saucissonnage, de haut en bas. Je suis comme dans un cocon, emballée dans une gangue de nylon dont je ne peux me défaire. On me manipule, on me fait mettre à genou puis allongée. je sens le bruit d'une chaine, de cadenas qui se ferment, une sensation au niveau de mes chevilles. Les bruits de pas qui s'éloignent et le silence qui revient. J'essaye de bouger mais dans un cliquetis caractéristique la chaîne se tend et stoppe mon mouvement. Au prix de nouveaux élancements causés par mes pinces à sein, j'explore tant bien que mal à travers le nylon de la blouse les objets qui s'offrent à mes doigts. Avec effroi je reconnais le pied de ce meuble : je suis désormais ligotée de l'autre côté de ma chambre. A supposer que le ice-timer soit encore en place, ce serait un miracle qu'en tombant les clés parviennent jusqu'à moi. Et à quoi bon, comment les ferai-je passer à travers la blouse que l'on m'a enfilé ? Et comment atteindre les cadenas maintenant que mes poignets sont liés l'un à l'autre par de nombreux tours de corde ? Je suis dans l'incapacité totale de me délivrer, à la merci de l'inconnu(e) qui m'a ainsi ligotée.
Mmmmmmph...
- Utten
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Re: Désir de cordes
C'est très très évocateur presque réel. Ca l'est?
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Re: Désir de cordes
Hélas non, pas pour le moment en tout cas.
Il va être dur de s'endormir...
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- Mars34230
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Re: Désir de cordes
Hâte la suite :p
“Ligote tes sentiments d'une formule, Emprisonne ta douleur d'une ceinture, Le loup qui ne montre jamais son sang Par l'autre loup sera laissé vivant.”
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Re: Désir de cordes
Curieux de voir comment ça va la suite des éléments va se dérouler.
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham
les synonymes de fou sont intéressants
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Re: Désir de cordes
Le pb est que je n'ai pas prévu de suite pour cette histoire et que j'en ai plusieurs autres en cours…
Désolée.
Désolée.