Re: Le contrat du centre équestre
Publié : 12 avr. 2017, 14:47
Merci pour vos commentaires. Voilà une petite suite (elle risque d'être moins intéressante que le reste de l'histoire)
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Stella
J'avais écouté toute la conversation et su que le moment était venu. On s’était mis d'accord tout à l'heure avec Alex, il retiendrait la fille juste avant qu'elle ne sorte du club-house et moi j'en profiterai pour l'attraper.
La jeune cavalière ouvrit la porte, mais devant elle à quelques mètres se trouvait Alex.
- Vous l'avez trouvée ? demanda t-il
- Oh que oui ! Je ne la connaissais pas comme ça je vous l'avoue mais chacun son truc comme on dit. Je l'ai laissée sur sa chaise. Une question, quel âge avez vous ? Vous avez l'air bien plus vieux que Jessica.
Alex sourit.
- J'ai seulement 4 ans de plus. C'est pas si vieux 29 ans !
Avant qu'elle ne puisse répondre je me jetais sur elle. Je commençais par la bâillonner de mes mains en lui enserrant ses bras au passage. Rapidement, Alex révéla le rouleau de tape et fit plusieurs tour sur les cuisses de la jeune fille, continua au-dessus des genoux. Non sans mal, il réussit à lui enlever les bottes pour enrouler son tape sous les genoux de notre victime et sur ses chevilles. Une fois ses jambes immobilisées, on porta la cavalière dans le club house pour la jeter sur le canapé. Elle réussis à réaliser quelques cris avant qu'on ne la retourne sur le ventre et qu'on lui empoigne les bras à l'arrière de son dos sévèrement. La douleur la fit hoqueter. On lui colla les bras ensemble, on lui relia ses coudes du mieux que nous pouvions pour ensuite croiser ses poignets et les relier à leur tour. Ses gants en cuir ne nous gênèrent absolument pas. Une fois immobilisée, il fallait la faire taire. Je la bâillonna de mes mains en attendant qu'Alex sorte son bâillon préféré (le bâillon qu'il adore poser sur ses victimes). C'était un bâillon boule un peu spécial. Devant la boule se trouvait une large plaque en cuir mais ce n'était pas tout. Une petite tige pouvait être vissée au milieu de la plaque. Ceci servait à gonfler la boule pour l'augmenter de volume. Voyant cela, je sentis que la fille fermait sa bouche. Je lui bouchais donc le nez.
Elle tint tout de même une vingtaine de secondes. Une fois qu'elle en pouvait plus on lui inséra de force le bâillon, Alex le serra assez fort puis il gonfla l'intérieur. A force que la boule prenait de l'ampleur, la fille essayait de se soustraire à son traitement.
-- Mpphmm !
Alex le gonfla encore.
- ****
- Et voilà, enfin silencieuse la petite ! dit-il fièrement.
Pour finir, je la redressa en position assise et je me saisis du rouleau pour attacher ses bras à son dos. Je fis 3 premiers tours dans le sens horaire. Ensuite, 3 tour dans l'autre sens. Alex aussi l'avait scotchée de cette manière pour ses jambes et ses bras. C'est pour cette raison que le tape était très serré et qu'elle n'arriverai jamais à s'en sortir ! Je ramassais sa cravache tombée à terre et par le bout je luis caressais son corps :
- Je ne pensais pas que tu aimais ce genre de choses petite coquine, on est surprise parfois !
Je voyais dans ses yeux gris qu'elle reconnaissait ses propres paroles, elle me jeta un mauvais regard.
- *** !
Pendant ce temps Alex était allé chercher Jessica. Il lui avait laissé les jambes libres mais pour la guider il lui mis une boucle de corde très épaisse qu'il tenait par l'autre bout. Intelligent !
- Je promène ma jument ! dit-il pour rigoler en lui tapotant son fessier.
Pour toute réponse je levais les yeux au ciel mais je pu voir que ce n'était pas du tout du goût de la monitrice qui essaya de lui donner un coup de boule, Alex évita le coup malhabile.
- Tu peux me prêter ta cravache ? Je sens qu'elle est réticente.
Je savais qu'il plaisantait et je décidais de rentrer dans son jeu. Je lui tendit la cravache pour qu'il la prenne.
Il la montra bien en évidence à sa captive :
- Encore une fois et tu sentiras ce que tu fais à ton cheval, compris ?
Elle hocha la tête, honteuse d'être dans cette situation.
Il me donna la corde et alla porter dans ses bras l'autre cavalière.
- N'es tu pas heureuse d'être secourue par un preux chevalier ?
- Mmpphm !
- Ça doit surement dire oui. On y go !
Je tirais sur la corde pour faire avancer Jessica. Une fois dehors, on rejoignit nos 3 complices qui étaient en train de mettre le cheval de notre nouvelle captive dans le box. L'une d'elles s'approcha vers nous :
- Dès que j'ai reçu ton message on est venu aussi vite qu'on le pouvait. C'est là qu'on a trouvé les affaires de Célia, un sac de cours et son sac à main. Oui, celle que tu tiens dans tes bras Alex s'appelle Célia Rodriguez. C'est une étudiante espagnole qui est venu en France pour avoir une licence. Elle a de la famille à proximité mais elle habite seule dans un studio. On aura aucun soucis avec elle.
- A la bonheur ! s'exclama Alex. Tu entends ça ma douce ? Tu vas pouvoir rester avec nous plus longtemps que prévu ! Seulement un coup de genoux rageur (et raté) lui répondit.
-Tu verras si tu vas encore faire ta maligne ! Pour le moment tu es bien trop libre de tes mouvements. Choppez là !
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Narrateur
Et c'est ainsi que les 2 jeunes filles furent emmenées. Leurs ravisseurs installèrent Célia dans le coffre d'une BMW X6 alors que la monitrice était installée à l'arrière de la voiture, Alex s'assit à côté d'elle sans oublier de lui bander les yeux. Celui qu'on appelle le chauffeur démarra la voiture à la plaque d'immatriculation verte. Ils partirent vers une destination inconnue.
Stella et une de ses complices récupérèrent le 4*4 dans lequel Stella était arrivée et les 2 autres choisirent leur camionnette. Elles avaient toutes comme destination l'habitation de Pauline.
Will et Maeva ne tarderont pas à avoir une petite visite ...
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Will
Malgré mes douleurs aux jambes, je fut quand même chez Pauline en un peu moins de 20 minutes de route. Maeva devrait être là normalement. Je sortais de ma voiture et sonnais à la grille.
- Oui ?
- Salut Maeva ! C'est Will, je viens ramener une bricole à ta sœur et il faut charger le portable de Jessica, elle viendra elle aussi un peu plus tard.
- Je t'ouvre, le bip retentit et je pénétrais dans le jardin.
J'arrivais à la porte d'entrée lorsque celle-ci s'ouvrit, Maeva était derrière la porte.
- Je suis étonnée ! Je te voyais plus te précipiter dans ta chambre pour jouer à ton ordi.
- Ce n'est qu'une légende !
- C'est toi qui le dit !
Elle ressemblait beaucoup à sa sœur Pauline. Malgré qu'on soit né que de quelques mois d'écart (elle avait 19 ans et moi 20) elle mesurait environ la même taille que sa sœur et elle avait les mêmes cheveux cuivrés. Cependant ses yeux étaient de couleur noisette et avait le teint plus foncé que sa sœur, elle ressemblait plus au père qu'à la mère.
Je trouvais qu'elle était plutôt bien habillée pour un jour comme celui-ci, elle portait un chemiser blanc enfoncé dans une jupe noir lui arrivant jusqu'aux genoux. Elle portait des collants de même couleur qui lui galbait bien ses jambes. Je voyais dans un même temps qu'elle s'était douchée, ses cheveux étaient humides. Ils lui arrivaient aux épaules.
- Tu dois sortir ? lui demandais-je en lui faisant la bise.
- Oui ! Après on doit aller boire un verre avec Pauline et Thibaut. Si tu veux tu pourras venir. Par contre excuse moi mais va te doucher s'il te plaît, on peut pas dire que ton odeur est des plus agréables !
- Désolé j'ai pas d'affaire de rechange. Et au pire Thibaut va bientôt arriver non ?
- Je m'en fous tu y vas tout de suite ! Tu as oublié tes affaires de sport la dernière foi, ils sont lavés tu n'as qu'à mettre ça en attendant. Avant d'y aller, on ira chez toi pour que tu puisses te changer.
- Chef oui chef !
A bien y réfléchir il était vrai que je devais sentir le fennec. Entre mon odeur de transpiration, l'odeur du cheval et le purin ... A sa place j'aurais aussi un peu râlé. Je me dépêchais tout de même. Je me dirigeais donc vers la chambre d'ami ; je retrouvais vite mes affaires et rentrais précipitamment dans la salle de bain. En jetant un coup d’œil à la fenêtre, je vis une camionnette qui se garait non loin de la maison. Je ne sais pas pourquoi mais ce détail me préoccupait. Je haussais les épaules avant de me déshabillé et d'entrer dans la douche.
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Maeva
Parfois j'ai envie de le secouer celui-là ! Il pensait vraiment attendre ici puant presque la merde ? Depuis 15 ans que je le connais, il n'a pas changé sur ce point, il est toujours aussi peu préoccupé sur l'impression qu'il donne aux autres. Je remontais à l'étage. Je devais chercher un peigne dans la salle de bain. Quand je rentrais, j'entendis une protestation :
- Et ! C'est privé !
- Je suis chez moi je fais ce que je veux. Et depuis le temps qu'on se connait tu peux pas dire que je t'ai jamais vu à poils ! En plus on peut pas voir au travers les vitres de la douche, c'est dommage ! ou pas ...
- C'est pas une raison pour débouler comme ça. Tu peux toquer non ?
- Nan. Je passe rapidement. Tu m'en voudras pas si je met tes affaires dans un sac plastique ? J'ai pas envie que tu enfumes la maison.
- Comme tu veux !
- J'espère bien !
Une fois mon peigne récupéré et ses vêtements dans le sac, je descendis. Pendant que je me peignais, j'entendis la sonnette de la grille. Intriguée, je ne m'attendais pas à ce que Thibaut vienne si tôt. J'allais voir sur la caméra et décrocha :
- Bonsoir, C'est pour quoi ? C'était une livreuse.
- Bonsoir, désolé pour l'heure tardive mais on a deux colis pour Pauline LUTTI.
- Ah ? je ne savais pas qu'elle avait commandé des articles. Il faut une signature ?
- Oui, juste pour dire que les colis sont bien arrivés.
- Très bien, je vous ouvre !
Curieuse de voir ce que c'était, j'ouvris la porte d'entrée. Je voyais les livreuses arrivées.
- On peut entrer ? Il y a 2-3 papiers à remplir.
- Bien-sûr ! je vais chercher un stylo.
Je rentrais dans le salon et alla chercher un stylo, une fois revenue, je voyais que la porte était refermée. La première me donna un colis, c'était bien au nom de ma sœur mais rien sur le carton pouvait me renseigner sur l'expéditeur. Je ne fis plus attention à la seconde employée. Elle se mit derrière moi et fouilla dans son sac. Surement pour me donner le deuxième colis ou un autre papier. J'allais leur demander où signer lorsque quelque chose m'en empêcha.
- Où on doit sign*** ??!
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Stella
J'avais écouté toute la conversation et su que le moment était venu. On s’était mis d'accord tout à l'heure avec Alex, il retiendrait la fille juste avant qu'elle ne sorte du club-house et moi j'en profiterai pour l'attraper.
La jeune cavalière ouvrit la porte, mais devant elle à quelques mètres se trouvait Alex.
- Vous l'avez trouvée ? demanda t-il
- Oh que oui ! Je ne la connaissais pas comme ça je vous l'avoue mais chacun son truc comme on dit. Je l'ai laissée sur sa chaise. Une question, quel âge avez vous ? Vous avez l'air bien plus vieux que Jessica.
Alex sourit.
- J'ai seulement 4 ans de plus. C'est pas si vieux 29 ans !
Avant qu'elle ne puisse répondre je me jetais sur elle. Je commençais par la bâillonner de mes mains en lui enserrant ses bras au passage. Rapidement, Alex révéla le rouleau de tape et fit plusieurs tour sur les cuisses de la jeune fille, continua au-dessus des genoux. Non sans mal, il réussit à lui enlever les bottes pour enrouler son tape sous les genoux de notre victime et sur ses chevilles. Une fois ses jambes immobilisées, on porta la cavalière dans le club house pour la jeter sur le canapé. Elle réussis à réaliser quelques cris avant qu'on ne la retourne sur le ventre et qu'on lui empoigne les bras à l'arrière de son dos sévèrement. La douleur la fit hoqueter. On lui colla les bras ensemble, on lui relia ses coudes du mieux que nous pouvions pour ensuite croiser ses poignets et les relier à leur tour. Ses gants en cuir ne nous gênèrent absolument pas. Une fois immobilisée, il fallait la faire taire. Je la bâillonna de mes mains en attendant qu'Alex sorte son bâillon préféré (le bâillon qu'il adore poser sur ses victimes). C'était un bâillon boule un peu spécial. Devant la boule se trouvait une large plaque en cuir mais ce n'était pas tout. Une petite tige pouvait être vissée au milieu de la plaque. Ceci servait à gonfler la boule pour l'augmenter de volume. Voyant cela, je sentis que la fille fermait sa bouche. Je lui bouchais donc le nez.
Elle tint tout de même une vingtaine de secondes. Une fois qu'elle en pouvait plus on lui inséra de force le bâillon, Alex le serra assez fort puis il gonfla l'intérieur. A force que la boule prenait de l'ampleur, la fille essayait de se soustraire à son traitement.
-- Mpphmm !
Alex le gonfla encore.
- ****
- Et voilà, enfin silencieuse la petite ! dit-il fièrement.
Pour finir, je la redressa en position assise et je me saisis du rouleau pour attacher ses bras à son dos. Je fis 3 premiers tours dans le sens horaire. Ensuite, 3 tour dans l'autre sens. Alex aussi l'avait scotchée de cette manière pour ses jambes et ses bras. C'est pour cette raison que le tape était très serré et qu'elle n'arriverai jamais à s'en sortir ! Je ramassais sa cravache tombée à terre et par le bout je luis caressais son corps :
- Je ne pensais pas que tu aimais ce genre de choses petite coquine, on est surprise parfois !
Je voyais dans ses yeux gris qu'elle reconnaissait ses propres paroles, elle me jeta un mauvais regard.
- *** !
Pendant ce temps Alex était allé chercher Jessica. Il lui avait laissé les jambes libres mais pour la guider il lui mis une boucle de corde très épaisse qu'il tenait par l'autre bout. Intelligent !
- Je promène ma jument ! dit-il pour rigoler en lui tapotant son fessier.
Pour toute réponse je levais les yeux au ciel mais je pu voir que ce n'était pas du tout du goût de la monitrice qui essaya de lui donner un coup de boule, Alex évita le coup malhabile.
- Tu peux me prêter ta cravache ? Je sens qu'elle est réticente.
Je savais qu'il plaisantait et je décidais de rentrer dans son jeu. Je lui tendit la cravache pour qu'il la prenne.
Il la montra bien en évidence à sa captive :
- Encore une fois et tu sentiras ce que tu fais à ton cheval, compris ?
Elle hocha la tête, honteuse d'être dans cette situation.
Il me donna la corde et alla porter dans ses bras l'autre cavalière.
- N'es tu pas heureuse d'être secourue par un preux chevalier ?
- Mmpphm !
- Ça doit surement dire oui. On y go !
Je tirais sur la corde pour faire avancer Jessica. Une fois dehors, on rejoignit nos 3 complices qui étaient en train de mettre le cheval de notre nouvelle captive dans le box. L'une d'elles s'approcha vers nous :
- Dès que j'ai reçu ton message on est venu aussi vite qu'on le pouvait. C'est là qu'on a trouvé les affaires de Célia, un sac de cours et son sac à main. Oui, celle que tu tiens dans tes bras Alex s'appelle Célia Rodriguez. C'est une étudiante espagnole qui est venu en France pour avoir une licence. Elle a de la famille à proximité mais elle habite seule dans un studio. On aura aucun soucis avec elle.
- A la bonheur ! s'exclama Alex. Tu entends ça ma douce ? Tu vas pouvoir rester avec nous plus longtemps que prévu ! Seulement un coup de genoux rageur (et raté) lui répondit.
-Tu verras si tu vas encore faire ta maligne ! Pour le moment tu es bien trop libre de tes mouvements. Choppez là !
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Narrateur
Et c'est ainsi que les 2 jeunes filles furent emmenées. Leurs ravisseurs installèrent Célia dans le coffre d'une BMW X6 alors que la monitrice était installée à l'arrière de la voiture, Alex s'assit à côté d'elle sans oublier de lui bander les yeux. Celui qu'on appelle le chauffeur démarra la voiture à la plaque d'immatriculation verte. Ils partirent vers une destination inconnue.
Stella et une de ses complices récupérèrent le 4*4 dans lequel Stella était arrivée et les 2 autres choisirent leur camionnette. Elles avaient toutes comme destination l'habitation de Pauline.
Will et Maeva ne tarderont pas à avoir une petite visite ...
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Will
Malgré mes douleurs aux jambes, je fut quand même chez Pauline en un peu moins de 20 minutes de route. Maeva devrait être là normalement. Je sortais de ma voiture et sonnais à la grille.
- Oui ?
- Salut Maeva ! C'est Will, je viens ramener une bricole à ta sœur et il faut charger le portable de Jessica, elle viendra elle aussi un peu plus tard.
- Je t'ouvre, le bip retentit et je pénétrais dans le jardin.
J'arrivais à la porte d'entrée lorsque celle-ci s'ouvrit, Maeva était derrière la porte.
- Je suis étonnée ! Je te voyais plus te précipiter dans ta chambre pour jouer à ton ordi.
- Ce n'est qu'une légende !
- C'est toi qui le dit !
Elle ressemblait beaucoup à sa sœur Pauline. Malgré qu'on soit né que de quelques mois d'écart (elle avait 19 ans et moi 20) elle mesurait environ la même taille que sa sœur et elle avait les mêmes cheveux cuivrés. Cependant ses yeux étaient de couleur noisette et avait le teint plus foncé que sa sœur, elle ressemblait plus au père qu'à la mère.
Je trouvais qu'elle était plutôt bien habillée pour un jour comme celui-ci, elle portait un chemiser blanc enfoncé dans une jupe noir lui arrivant jusqu'aux genoux. Elle portait des collants de même couleur qui lui galbait bien ses jambes. Je voyais dans un même temps qu'elle s'était douchée, ses cheveux étaient humides. Ils lui arrivaient aux épaules.
- Tu dois sortir ? lui demandais-je en lui faisant la bise.
- Oui ! Après on doit aller boire un verre avec Pauline et Thibaut. Si tu veux tu pourras venir. Par contre excuse moi mais va te doucher s'il te plaît, on peut pas dire que ton odeur est des plus agréables !
- Désolé j'ai pas d'affaire de rechange. Et au pire Thibaut va bientôt arriver non ?
- Je m'en fous tu y vas tout de suite ! Tu as oublié tes affaires de sport la dernière foi, ils sont lavés tu n'as qu'à mettre ça en attendant. Avant d'y aller, on ira chez toi pour que tu puisses te changer.
- Chef oui chef !
A bien y réfléchir il était vrai que je devais sentir le fennec. Entre mon odeur de transpiration, l'odeur du cheval et le purin ... A sa place j'aurais aussi un peu râlé. Je me dépêchais tout de même. Je me dirigeais donc vers la chambre d'ami ; je retrouvais vite mes affaires et rentrais précipitamment dans la salle de bain. En jetant un coup d’œil à la fenêtre, je vis une camionnette qui se garait non loin de la maison. Je ne sais pas pourquoi mais ce détail me préoccupait. Je haussais les épaules avant de me déshabillé et d'entrer dans la douche.
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Maeva
Parfois j'ai envie de le secouer celui-là ! Il pensait vraiment attendre ici puant presque la merde ? Depuis 15 ans que je le connais, il n'a pas changé sur ce point, il est toujours aussi peu préoccupé sur l'impression qu'il donne aux autres. Je remontais à l'étage. Je devais chercher un peigne dans la salle de bain. Quand je rentrais, j'entendis une protestation :
- Et ! C'est privé !
- Je suis chez moi je fais ce que je veux. Et depuis le temps qu'on se connait tu peux pas dire que je t'ai jamais vu à poils ! En plus on peut pas voir au travers les vitres de la douche, c'est dommage ! ou pas ...
- C'est pas une raison pour débouler comme ça. Tu peux toquer non ?
- Nan. Je passe rapidement. Tu m'en voudras pas si je met tes affaires dans un sac plastique ? J'ai pas envie que tu enfumes la maison.
- Comme tu veux !
- J'espère bien !
Une fois mon peigne récupéré et ses vêtements dans le sac, je descendis. Pendant que je me peignais, j'entendis la sonnette de la grille. Intriguée, je ne m'attendais pas à ce que Thibaut vienne si tôt. J'allais voir sur la caméra et décrocha :
- Bonsoir, C'est pour quoi ? C'était une livreuse.
- Bonsoir, désolé pour l'heure tardive mais on a deux colis pour Pauline LUTTI.
- Ah ? je ne savais pas qu'elle avait commandé des articles. Il faut une signature ?
- Oui, juste pour dire que les colis sont bien arrivés.
- Très bien, je vous ouvre !
Curieuse de voir ce que c'était, j'ouvris la porte d'entrée. Je voyais les livreuses arrivées.
- On peut entrer ? Il y a 2-3 papiers à remplir.
- Bien-sûr ! je vais chercher un stylo.
Je rentrais dans le salon et alla chercher un stylo, une fois revenue, je voyais que la porte était refermée. La première me donna un colis, c'était bien au nom de ma sœur mais rien sur le carton pouvait me renseigner sur l'expéditeur. Je ne fis plus attention à la seconde employée. Elle se mit derrière moi et fouilla dans son sac. Surement pour me donner le deuxième colis ou un autre papier. J'allais leur demander où signer lorsque quelque chose m'en empêcha.
- Où on doit sign*** ??!