Le loup-garou attacheur

[Pearl99]

Merci de vos encouragements !
Sans plus tarder, la suite !

[Pearl99]

Rappel : 1ere partie : Damien est le maitre du jeu, Armand est Cupidon, Lucas est le salvateur, Jean et Amandine sont les kidnappeurs, Sebastien est la sorcière, Mélanie est la voyante, Chloe est la maire (connue de tous). Laure, Typhaine, Jonathan et Chloé sont attachés, Mélanie et Amandine aussi.



Elle dénoua le foulard vert qu'elle portait autour du cou, et en enveloppa les seins de sa proie, donnant une touche très sensuelle a leur échange. Elle caressa et pelota la poitrine de la belle asiatique a travers le tissu soyeux, joua avec les tétons en poussant des petits soupirs érotiques. Les tetons que l'on pouvait deviner a travers la soie, pointant férocement rendait compte du plaisir partagé par la captive, si jamais on ne remarquait pas ces yeux clos et ses petits gémissements franchissant à peine la barrière presque hermétique de son bâillon. Elle continua ce petit jeu pendant un certain temps, avant de se baisser et de jouer avec le sexe de Amandine, tout en continuant à la caresser avec le foulard. Finalement, elle attacha celui-ci aux hanches de la captive, faisant comme une sorte de jupe en soie, puis passa sa tête en dessous avant de lui effectuer un cunnilingus dans les formes, ou du moins c'est ce que l'on pouvait essayer de deviner car le tissu masquait tout le spectacle qui avait lieu. Neanmoins, vu la gestuelle que la jolie prisonniere effectuait, cela devait être pratiquer avec une grande maîtrise. C'etait a se demander comment les liens ne cassaient pas tant les mouvements de la belle femme était soudain et violents.
Sébastien, excité comme tout par le comportement de sa copine, tout en sachant qu'elle faisait principalement cela pour jouer avec lui. Elle connaissait tres bien les limites de ce qu'elle pouvait faire, et elle s'arretait allègrement dessus, piétinant coquinement sur la ligne rouge. Elle ne perdait rien pour attendre, et allait même payer très vite. La seule chose qu'il regrettait était de ne pas pouvoir l'attacher lui-même, mais il faisait confiance a Damien pour imaginer quelque chose d'intéressant.
En attendant, elle continuait ses préliminaires malgré les deux orgasmes violents successifs que sa captive avait ressenti. Elle finit par sortir sa tête de la jupe soyeuse après avoir regardé avec un regard de braises Damien, filmant depuis le début. Puis s'éloigna après avoir repris le foulard vert pour le remettre autour de son cou, en mode cow-boy, non sans avoir glisser quelques mysterieux mots dans l'oreille de la belle asiatique.
Après avoir arrêté la caméra, Damien se ressaisit, il était le maitre du jeu tout de même !
Il fallait continuer le jeu, on en était qu'à la première partie après tout ! Mais il s'avoua intérieurement que le spectacle dont il avait l'un des témoins était émoustillant !
-Bon allez, trêves de plaisanterie, faut que vous alliez vous recoucher tous !
Il observa les "survivants" : Jean, le dernier kidnappeur, Armand, Lucas, Léa, Eleanore et Sebastien. Ca en faisait un certain nombre ! Ca promettait quelques surprises...
- Le village se rendort ! Dit-il, avant de se rattraper. Non, non attendez en fait ! J'ai complètement oublié mais Chloé doit faire une passation de pouvoir car elle était maire! En se rapprochant d'elle, il lui demanda qui voulait elle choisir. Mais avec le bâillon, tout ce qu'il put entendre fut :
-Mmmmmmhg ! Mmmmmf....!
- Bon, je ne sais pas trop ce que cela veut dire, fit il avec un air amusé. On va donc refaire un vote pour savoir !
Ayant des doutes sur Armand et Jean qui paraissaient louches de toutes facons, ils décidèrent de voter pour Sébastien ou Eleanore. Damien decida que c'etait le bon moment pour que Chloé ait une petite pause de vibromasseur pour souffler un peu ! Aussitôt, l'un des gémissements qui constituait le fond sonore de la pièce s'arrêta, laissant sa place à des hâletements, des tentatives bruyantes de reprendre le plus de contenance pendant ce qu'elle imaginait être un interlude, une simple entracte.
Finalement, ce fut Sébastien qui fut élu maire. Il commençait a se dire qu'il pouvait réellement avoir le beurre, l'argent du beurre et la crémière en fin de compte...
"Le village se rendort !" Cela sonnait un peu comme une litanie toutes ces répétitions.
De nouveau dans le silence et l'obscurité, chacun se demandait qui il resterait quand ils ouvriraient les yeux, ou si eux-mêmes n'allaient pas tout simplement être attachés pendant cette période.
"Le salvateur se réveille ! "
Et Lucas, une nouvelle fois, se choisit lui-même pour être protégé. Damien sourit, amusé par le fait que chacun des participants cherchait a être le dernier du jeu pour s'occuper des autres.
"Le kidnappeur se réveille !"
Jean, le dernier des Mohicans, réfléchit afin de déterminer la meilleure stratégie a adopter, vu la situation précaire dans laquelle il se trouvait. Choisir Lucas n'était pas la bonne option, il n'avait que rarement accusé, ne participait pas trop, et était donc relativement invisible. Sa "disparition" ne changerait pas grand chose. En réalité, il pensait charger ses principaux détracteurs, en comptant sur le fait que cela dérouterait les autres car attaquer ceux qui l'ont accusé était une stratégie risquée pour un kidnappeur. Il avait donc le choix entre Sébastien, Eleanore ou Armand. Le plus virulent étant Armand, il le désigna.
Aussitôt dit, aussitôt fait, Damien alla chercher une camisole de force, une cagoule en latex et un bâillon boule absolument gigantesque. Bon joueur, Armand aida Damien a rapidement le contraindre et il se retrouva donc en moins de temps qu'il ne faut pour le dire dans la camisole. La sensation était vraiment particulière, enserré dans ce vêtement, les bras en croix sur le devant, collés à la hanche opposée. Armand n'arrivait vraiment pas a déterminer s'il aimait cela ou pas. Il n'avait jamais essayé le bondage et la sensation de ne pas pouvoir bouger, d'être maîtrisé, de ne pouvoir que subir était interessante. Sauf que le matériau dans lequel l'avait emmitouflé le maitre du jeu n'était pas très agréable comparé a ce qu'il avait appréhendé vis a vis des cordes, foulards ou même menottes en métal. Il attendait la suite, qui vint rapidement, sentant le métal froid se refermer sur ses chevilles l'empêchant de pouvoir marcher normalement s'il le voulait. On lui retira ensuit son bandeau. La lumiere soudaine le fit cligner des yeux quelques secondes avant que l'obscurite se refasse, une cagoule sans autre trou que pour le nez et la bouche lui recouvrant désormais la tête. Il ne s'attendait absolument pas à cela et, gêné par cette issue, il voulut protester énergiquement. Ouvrant grand la bouche, ce fut l'ouverture espérée pour Damien qui lui enfonça le grand bâillon boule afin de le réduire a l'impuissance totale. Il ne restait plus a Armand qu'à gigoter sans espoir de libération.
Il restait toujours la sorcière qui possédait tous les pouvoirs disponibles, car tel un écureuil, Sébastien avait patiemment attendu l'hiver pour pouvoir les utiliser. Enfin, les utiliser... il ne libera pas Armand, mais point le pouce baissé ( il utilisait donc sa potion de "mort) vers Eleanore tout en adressant un sourire complice a Damien pour qu'il la punisse bien. Il savait même quel rôle elle avait, ou du moins selon son attitude il était quasiment sûr de la carte qu'elle avait reçu.
Le maitre du jeu lui adressa un clin d'oeil, attenda qu'il ait remis ses obstructeurs et alla chercher dans sa malle le nécessaire. Il savait qu'elle adorait la soie, chose qui lui avait été remémorée par sa tenue puis par son spectacle avec Amandine. Il sortit donc la quasi totalité de ce qu'il lui restait comme foulards, dans la boîte en carton au fond de la malle pour qu'ils ne s'abiment pas. Il avait décidé de l'emmitoufler dans d'innombrables foulards. Enfin, peut etre dans un second temps, vu qu'ils allaient surement dire le bon rôle...
Pour l'instant il alla chercher une chaise avec des roulettes dessous, mais qui était tout de même pratique car possédant de nombreux endroits a même d'être utilisés pour faire des noeuds. Il arriva lentement derrière la nouvelle victime, enfila une grosse balle en latex au centre d'un des foulards et après avoir pincé une hanche d'Eleanore pour lui faire ouvrir la bouche, il l'enfourna dans celle-ci, étouffant quasiment intégralement le cri naissant.
-Mmmmmmmmhhhhhhhffff ! Fut le seul son qui fut audible réellement, tellement le bâillon était efficace. Il rajouta ensuite un autre foulard a plat sur le premier pour plus d'esthetisme puis la souleva par une aisselle. Il la fit s'asseoir sur la chaise puis mit ses mains dans le dos avant de prendre un premier foulard pour lier ses poignets, puis un second foulard pour envelopper les mains dans cette soie avec une corde pour refermer et maintenir, tel un sac, le foulard sur les mains. On ne voyait plus que des bras se finissant sur un vaste tissu soyeux. Ensuite il prit une corde et colla la taille de la jeune femme a la chaise, tout en faisant plusieurs tours en dessous et au dessus des seins pour les faire sortir d'autant plus. Le tissu satiné du chemisier de la prisonnière, tendu sous la pression exercée par la poitrine, offrait une vision particulièrement excitante. Mais ce n'était pas tout ! Il croisa les chevilles de la belle, les lia avec un autre foulard, puis utilisa une autre corde afin de relier étroitement en les tirant vers l'arrière les chevilles de la demoiselle. Satisfait de son travail, il fit rouler la chaise un peu plus loin, ce qui eut pour effet de faire naitre un gémissement au coin des lèvres bâillonnées d'Eleanore.
-Mmmmmmmmmmhfff !
Mais finalement, Damien trouvait que le bandeau en cuir n'allait pas avec l'ensemble. Il dénotait. Il l'enleva donc pour mettre a la place un beau foulard rouge rubis avec des motifs bleus sur les yeux. La captive n'avait eu que quelques secondes de repit et de vue, mais de ce qu'il avait pu voir dans son regard, pour elle aussi c'etait une expérience très plaisante que d'être ligotée.
Et pour cause ! Eleanore était aux anges ! Elle avait manoeuvrer expressément pour enrager Sebastien afin qu'ils choisissent de l'attacher. Car il était la sorcière, cela elle en était sûre, et il n'avait pas encore utilise ses pouvoirs. Et maintenant qu'elle était sur cette chaise, emprisonnée dans la soie, chaque mouvement faisant tourbillonner la chaise, les yeux aveugles et les oreilles sourdes, le monde s'etait restreint a ses seules sensations. Des qu'elle tournait la tête, elle pouvait sentir la soie scellant sa bouche frotter légèrement contre sa peau, sa douceur excitant ses sens. Des qu'elle essayait de bouger les mains, celles ci rencontraient la barrière infranchissable de la soie, les enfermant dans un cocon de douceur et de restrictions. Elle aurait bien voulu qu'il rajoute un crotchrope de soie pour la sentir sur ses parties les plus sensibles... mais peut être que cela allait venir vu qu'elle avait le simple rôle de paysanne, rôle le plus aisé à deviner.
Damien admira son oeuvre et sa captive qui gigotait légèrement, testant et ressentant chaque lien la clouant a la chaise. Il regarda ensuite Amandine qui, debout, se tortillait aussi et semblait couver Eleanore d'un regard d'envie. Si seulement ils devinaient justement le role d'Eleanore, il avait une bonne petite idée derrière la tete qui impliquerait les deux coquines...

[Pearl99]

Une grande suite pour m'excuser de la longue attente :p


Rappel : 1ere partie : Damien est le maitre du jeu, Armand est Cupidon, Lucas est le salvateur, Jean et Amandine sont les kidnappeurs, Sébastien est la sorcière, Mélanie est la voyante, Chloé est la maire (connue de tous). Laure, Typhaine, Jonathan et Chloé sont attachés, Mélanie et Amandine aussi, Armand et Eleanore désormais.



« Le village se réveille ! ».
Damien adorait ce moment, lorsque tous les convives restants, après avoir enlevé les liens qui les maintenaient dans l’ignorance, découvraient le sort réservé aux perdants. Sort qu’il se faisait une joie d’être original. Lorsqu’ils découvrirent Armand, puis Eleanore, les vétérans -soit Jean, Sébastien, Lucas, et Léa lâchèrent tous un sourire jovial, avant de se reconcentrer rapidement sur l’enquête pour la découverte du kidnappeur. Enfin, pas tous. Sébastien s’amusa d’abord avec la chaise roulante sur laquelle était clouée sa moitié.
La faisant tournoyer, dans un concert de protestations étouffés, il la taquina allègrement en la chatouillant à de nombreux endroits – par de simples pressions rapides sur les endroits sensibles qu’il connaissait très bien tandis qu’elle tournait rapidement sur elle-même – déclenchant une ire encore plus prégnante. Il la fit se déplacer jusqu’à sa place, afin qu’ils puissent jouer avec elle tout en étant en train de débattre pour décider de la teneur du kidnappeur.

Il ne restait plus grand monde, mais il devait réussir à être le dernier à en réchapper. Il avait des soupçons vis-à-vis de Jean, qui avait été l’un des seuls à défendre Amandine, mais il n’était pas sûr que les autres aient pu déceler comme lui son antagonisme. Enfin, il avait de sérieux doutes à ce propos avec Lucas…
- Je trouve franchement que Léa est louche, dit l’idiot.
- Quoi ? Mais qu’est-ce que tu racontes ? Tu te bases sur quoi pour pouvoir dire une chose pareille ? répondit l’accusée.
- Ben, je ne sais pas, t’as l’air kidnappeuse depuis le début. Tu parles pas, tu ne fais pas grand-chose, tu parais vouloir être invisible. C’est ce que je ferais personnellement si j’étais kidnappeur, je le dis tout de suite !

Et Sébastien se surpris à penser que malgré tout, son raisonnement tenait la route. Léa n’avait absolument rien dit depuis le début, ni rien fait. Elle ne s’était amusée avec aucun convive attaché. Même avec Typhaine et Jonathan, attachés comme ils étaient, elle n’avait absolument pas profité de la situation avantageuse. Le grand musclé avait véritablement implanté une graine du doute en lui, qui avait rapidement crû… Il ne savait plus que penser, était-ce Jean ou Léa ? Surtout que Léa ne pouvait pas accuser Lucas, vu que l’on savait tous que celui-ci serait facilement décelable si jamais il était l’entité.

- Et pourquoi pas Sébastien ? Il avait l’air particulièrement content que sa copine soit attachée pendant la nuit ! On ne sait pas si ce sont les kidnappeurs ou la sorcière qui a fait cela ! se défendit Léa.
Comme toujours, un long débat commença, oscillant entre Léa, Jean et Sébastien pour l’antagoniste. Sébastien, sentant la pente glissante qui s’échinait à apparaître devant lui alors que les autres débattaient, préféra choisir Léa et se ranger à l’avis de Lucas. Surtout que s’ils jouaient bien, il était possible qu’il finisse comme dernier survivant, son objectif recherché. Lucas, soupçonneux malgré tout, émis l’idée qu’il voterait pour Jean au tour prochain si jamais ce n’était pas Léa, celui-ci étant vraiment tout autant louche. Le vote s’amorça donc et, en sa qualité de maire, Sébastien put faire pencher la balance sur Léa, alors que Jean et celle-ci votaient pour lui. Elle fut donc la nouvelle captive.

Ayant une nouvelle idée, Damien alla chercher de nombreuses paires de collants, complétés par de multiples bandes de tissus blancs. Les derniers survivants se jetèrent sur la nouvelle captive, avec les outils donnés par le maître du jeu. Ils enfoncèrent la captive dans d’innombrables collants, les bras dans le dos attachés grâce à 3 bandes de tissus (une pour les poignets, une autre pour le dessous du coude et une dernière pour le dessus), la bouche bâillonnée par un épais tissu fourré dans la bouche, qu’une autre bande venait refermer en OTM, la tête recouverte d’un collant gris, lui-même recouvert par un collant noir. En fin de compte, la pauvre se trouvait complètement saucissonnée, incapable de faire le moindre mouvement, son corps recouvert de nombreux collants se plaquant impitoyablement contre son corps, enserrant ses bras, collant ses jambes jusqu’à les unir en une seule. Une nouvelle bande de tissu, plus satinée et plus jolie que les autres recouvrait une nouvelle fois sa bouche, par-dessus les collants. Pour faire bonne mesure, ils avaient rajouté de nouveaux tissus pour ligoter les endroits stratégiques de la prisonnière, une nouvelle fois. Les chevilles, genoux, bras et yeux furent toujours plus entravés. Il ne restait au final qu’un asticot, mélange de collants et de bandes de tissus, essayant vainement de se mouvoir en rampant.

- Mmmhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhffffffffffffff ! Protesta l’asticot avec ce gémissement étouffé possédant néanmoins une brise affriolante.

Damien leur rappela encore une fois que malgré toutes ces réjouissances, il fallait continuer et deviner leurs différents rôles à chacun. Choses qu’ils essayèrent, avec fort peu d’enthousiasmes finalement car ils n’avaient pas vraiment essayé de deviner la plupart des rôles.
Armand, par exemple, était le détenteur d’un rôle mystérieux dont ils n’avaient aucun début d’indice pour essayer de le deviner. Ils parièrent donc de manière originale et risquée : cet homme était très certainement un paysan. Sauf que, et ils s’en aperçurent lorsque Damien releva la carte d’Armand, il n’était pas un paysan mais bel et bien le Cupidon, seigneur de l’Amour. Celui-ci allait donc rester dans son armbinder et ses menottes, sans aucun changement.
Pour Eleanore, ils furent tentés de proposer un autre rôle, enfin Jean et Lucas furent tentés car Sébastien le savait très bien en réalité. Il réussit finalement à les conforter dans leur première « intuition » et ils se décidèrent pour accuser Eleanore d’être une paysanne. Chose qu’elle était réellement, à la joie générale, empressés qu’ils étaient de découvrir ce qu’avait bien pu imaginer leur maître du jeu.

Celui-ci, son idée précisément mûrie et polie tel un diamant, il la débuta par le détachement d’Amandine, la belle captive attachée debout. Il la libéra de tous ses liens puis la fit s’allonger par terre, le dos contre le parquet froid de sa maison. Nue comme elle était, les yeux et la bouche enfin libres, elle semblait se régaler de l’aura de mystère dont Damien enveloppait sa future œuvre de ligotage, attendant impatiemment la suite. Damien alla alors libérer la belle Eleanore, en partie du moins. Il retira les liens qui la retenait à la chaise, enleva ceux qui lui liaient les jambes, puis après avoir consulté Sébastien du regard, fit disparaître sa jupe et sa culotte.
Il la mena ensuite vers la douce Amandine pour finalement la faire s’écrouler en position inverse sur celle-ci -c’est-à-dire la tête vers les jambes, et ses jambes vers la tête de la jolie asiatique. Aveugle comme elle était, car Damien n’avait pas retiré ce lien, elle n’avait aucune once de début d’idée de la personne qui se trouvait en dessous d’elle.
Malgré cela, ses bras furent soudés aux jambes -lui apparaissant comme des jambes féminines, vu le peu de poils existants- par d’épais foulards habilement changés en liens, tandis que ses chevilles étaient collées solidement aux poignets de l’inconnue. Peu à peu, d’autres foulards s’entremêlèrent, dansant autour de leurs jambes, cuisses, molets et coudes pour, à partir de deux entités, n’en faire plus qu’une.

Amandine, qui ,elle, voyait clairement car n’ayant plus la vue restreinte, se délectait du moment où elle pourrait, à la surprise de sa belle seconde peau, lui donner du plaisir grâce à sa langue, sa tête étant désormais savamment placé à côté de l’organe sexuel de la jeune femme soyeuse. Au bout d’un moment, leurs tortionnaires eurent enfin fini de les attacher l’une à l’autre, les deux corps habilement collés. Lorsqu’Eleanore bougeait un bras, elle sentait que la jambe de l’inconnue suivait. De plus, elle avait très bien compris ce qui se trouvait non loin de sa bouche…

Soudain, après un temps d’adaptation où tout semblait s’être figé, les deux filles testant les liens, les réactions de l’autre suite à tel mouvement, Eleanore fut surprise par un déploiement humide sur son clitoris. Expert, cet appendice aqueux appuyait précisément aux bons endroits, avec la bonne pression, tel un voleur cambriolant dans l’ombre en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Rapidement, elle sentit son pouls et sa respiration s’accélérer.
Elle ne devait pas s’ouvrir à cela, Sébastien n’en prendrait que trop de plaisir à la voir dans cette situation. Car cela devait être lui qui avait aidé à orchestrer tout cette exposition. Vu comment elle l’avait taquiné précédemment, elle se doutait que la personne en dessous d’elle ne devait qu’être la magnifique asiatique qu’elle avait précédemment follement séduite, Amandine.
Elle ne devait pas céder à ces ondes de plaisir qui s’emparaient d’elle, ne céder aucun pouce de terrain à la félicité. Mais c’était tellement bon… Ah ! Elle savait y faire ! Pour achever le tout, elle bloquait ses membres avec les siens, plus puissants, l’empêchant de faire le moindre mouvement, ne pouvant donc que subir et apprécier. Car c’était un combat perdu d’avance, et le plaisir fut le grand vainqueur au terme de cette lutte. Il la laissa haletante, après avoir échoué à réprimer les gémissements et signes de son extase. Une fois qu’elle eut repris un peu de contenance, Eleanore se mit à faire subir le même traitement à sa belle attachée, qui ne se méprenant pas, recommença-t-elle aussi, dans une position de 69 plutôt excitante. Entre les gémissements, Damien réussit à ramener l’intérêt des derniers survivants sur la fin de partie.

Et pourtant ! Ce n’était plus simple de se concentrer ! Entre Laure gigotant dans ses liens avec son crotchrope, Chloé en proie à des ondes de gémissements lorsque le maitre du jeu le voulait, les deux amants, Typhaine et Jonathan, collés l’un à l’autre, Mélanie, et ces deux-là, même lui, Damien, malgré son calme stoïcien avait bien du mal à penser à autre chose.
Néanmoins il réussit à leur faire remettre leurs boules quies et bandeaux pour qu’ils se rendorment.
Lucas choisit Sébastien pour être « sauvé ». Une fois le tour du kidnappeur, Jean, celui-ci hésita, conscient qu’il avait vraisemblablement perdu. L’un des deux était la sorcière, une sorcière avec une potion de vie. Plus vraisemblablement Sébastien, le plus dangereux des deux derniers survivants, et maire qui plus est. S’il attaquait Lucas, ils se retrouveraient l’un en face de l’autre et en sa qualité de maire, il gagnerait. S’il attaquait Sébastien, il se redonnerait la vie, mais Lucas ne semblait malheureusement vraiment pas enclin à voter pour lui, il y avait même toutes les chances pour qu’il vote pour lui. Il savait aussi que Sébastien l’avait repéré et ne changerait pas de choix. C’était tout simplement fini pour lui, mais il voulait amener le plus de monde avec lui en « enfer ». Et c’est pourquoi il finit par choisir Lucas.

Damien avait déjà préparé tout l’attirail, des ceintures souples mais résistantes, grâces auxquelles il ligota rapidement le grand musclé, tirant largement sur les ceintures afin de le restreindre le plus possible. La position hogtie convenait très bien dans cette situation pour Damien, le grand bien bâti réduit à l’une des positions les plus humiliantes. Le tout avec un bâillon boule à trou par lequel il baverait était exemplaire. L’opprobre parfaite. Une fois ceci fait, Sébastien, avec un sourire somme toute assez sadique, choisit de ne pas le détacher en n’utilisant pas sa potion de vie.

Le débat se lança une fois de plus, final explosif tant attendu… car il ne dura pas plus de cinq secondes. Chacun sachant parfaitement qui avait gagné. Damien amena donc à Jean une sorte de costume, où fin comme il était, qu’il fut obligé de porter. C’était une combinaison entière en latex, avec cagoule assortie sans yeux et de nombreuses boucles en métal sortant aux bons endroits (poignets, coudes cuisses et chevilles) afin de pouvoir y attacher solidement des cordes. De plus, cette combinaison n’avait pas de sortie pour les mains, qui se trouvaient donc complètement immobilisées dans une sorte de moufles complètes et empêchant tout contact avec l’extérieur pour celles-ci. Les cordes furent nouées, le corps fut ligoté, les tensions furent exercées, et la position en balltie fut obligée. Un plug-gag fut rajouté pour un côté esthétique, avec le corps tout de noir vêtu, ne laissant transparaître que les quelques couleurs des cordes.
Sébastien fulminait : il allait pouvoir s’occuper de ce beau monde pendant un petit moment ! Ses yeux tournés vers Eleanore et Amandine, il savait qui il allait aller voir en premier. Elles en profitaient largement à ce qu’il pouvait voir, oubliant tout ce qu’il se passait autour d’elles, profitant seulement de leur immobilité partielle dont le seul appendice se mouvant conduisait à l’orgasme. Alors qu’il allait se diriger vers les belles captivées par leurs ébats, un mouchoir imbibé d’un liquide sentant très fort se plaqua sur sa bouche et son nez, un bras lui enserrant impitoyablement les deux siens, l’empêchant d’effectuer tout début de réaction. Alors qu’il sentait ses forces s’évanouir, il ne put que protester avec un léger :

- Mhhmmmmmmmmhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhfffff…….

La langue pâteuse, le crâne bourdonnant, Sébastien se réveilla, d’abord inapte à la moindre pensée construite, puis rapidement incapable de dire durant combien d’heures il avait été plongé dans le sommeil.
La sensation qu’il pouvait ressentir dans tout son corps était assez étrange, celui-ci semblant léviter dans les airs… Oui, à la réflexion, son corps ne touchait pas le sol et c’était des cordes qui le maintenaient dans cet état-là. D’ailleurs, ses bras retenus en arrière, solidement collés à son dos en témoignaient. Bâillonné comme il était, avec ce qu’il semblait être une large boule de tissu dans sa bouche recouverte par une autre étole en ballgag, avec un foulard - il en était quasiment certain vu la douceur de l’étoffe- à plat par-dessus, il ne pouvait émettre que des sons extrêmement atténués.
De plus, un bandeau qui semblait en cuir l’empêchait de se repérer dans l’espace, et surtout <de pouvoir observer la position dans laquelle il était ainsi que le ligotage dont il était très certainement la victime. Il essaya de tester les liens, mais la moindre pression était très difficile, le faisant légèrement tournoyé sur lui-même dans l’air, sans autre forme de succès. Il essaya d’appeler, ne pouvant entendre aucun bruit car des bouchons en cires avaient été solidement enfoncés dans ses oreilles, réduisant sa capacité auditive à 0. Malheureusement, son appel étouffé n’était que faiblement audible.
Il se demandait vraiment où il était exactement dans la maison, et surtout ce qu’il s’était passé pendant qu’il était ko. Il ne s’était pas vraiment pas attendu à ce que Damien utilise du chloroforme sur lui… Et en plus il était tout seul maintenant avec des prisonniers et gens ligotés qui ne pouvaient absolument rien faire si jamais il lui venait d’avoir des idées plus perverses… Merde ! Il avait confiance en lui, mais le fait qu’il l’ait endormi de cette manière le faisait vraiment douter là ! Pourquoi voulait-il être tout seul ? Tant de questions, et le voilà qui était complètement incapable de faire quoi que ce soit…

[moimoi2]

La suite est sympa à lire ^^ Damien a t-il un plan en tête avec tout ce beau monde ligoté ?

[nonobound]

très sympathique en effet.
qu'est ce que son petit cerveau nous prépare

[stephanie]

Super histoire.
On aimerait être à la place de chacun, ou presque des protagonistes, y compris à la place de Damien qui a sous ses yeux 12 personnes ligotées des manières les plus diverses. Bravo,
Stéphanie