Une journée imprévisible

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Nina

Re: Une journée imprévisible

Message par Nina »

Merci :) :) :) voilà de quoi satisfaire ta curiosité!! La suite :)


...........................

mmmmm, je me réveille gentiment, mais je me sens épuisée. Mon kidnaping, était-ce un rêve? Je reviens à moi et ressens le scotch sur mes mains, mes bras mes jambes mes pieds et ma bouche. Non je n'ai pas rêvée, et je suis toujours captive. Je suis à nouveau sur la banquette arrière, ils ont du passer la frontière. J'ignore combien de temps je suis restée endormie.

"Ah, tu te réveilles" me lance Alicia, elle reprend:

"Ne t'en fais, pas, nous sommes bientôt arrivé chez nous, plus qu'une petite heure".

Mon dieu, nous sommes déjà en Roumanie. Je reste là à l'arrière à attendre, je ne peux rien faire d'autre de toute façon.

Voilà presque une heure de plus que nous roulons la voiture semble se garer vers une maison, nous sommes arrivés.

"Enfin, on est arrivé, je vais manger un truc et dormir, on la livrera demain" dit Alicia.

"Il faudra aussi la nourrir, elle risque de s'évanouir autrement" réplique Tad.

Mes deux ravisseurs sortent de la voiture, Tad me porte au dos et Alicia me porte les jambes. Ils m’emmènent dans leur maison, et me dépose dans une petite pièce sur un matelas. Me voilà toute seule dans cette pièce. Je pourrais tenter de trouver quelque chose de coupant ici et de me détacher. Alicia revient avec de la nourriture et une bouteille d'eau. Elle me dit:

"N'essaie pas de crier, personne ne vas te sauver ici, c'est compris?" j'acquisse de la tête, et elle m'enlève aussitôt mon bâillon.

"-Alicia, s'il te plait, je te paierait tout ce que tu veux mais laisse moi partir, je t'en supplie" lui dis-je pendant qu'elle me nourrit.

"-Ne perd pas ton temps, ma jolie, je t'avais prévenue, tu ne peux t'en prendre qu'à toi même. Et vu la beauté que tu es, tu ne trouveras jamais autant d'argent que ce que tu vas nous rapporter."

Aussitôt que j'ai finie, Alicia me re bâillonne avec son scotch. Puis elle m'amène vers un pilier de la pièce et m'y attache, passant le scotch à ma taille. Je suis toujours sur le matelas, elle me met un coussin derrière le dos.

"-Bonne nuit ma jolie" me lance-t-elle. Puis elle referme la porte en fermant à clé. Décidément ils prennent vraiment leurs précautions. Aussitôt je tente de me dégager de mes liens. J'y mets toute mes forces... je tire... mais rien à faire, je suis trop bien attachée. Impossible de me déplacer et de me saisir d'un objet, étant attachée à ce pilier. Décidément je suis vraiment mal. Quand je pense à la vitesse à laquelle tout s'est passé. Tout est allé tellement vite depuis que Tad à débarquer. Puis plus le temps avançait, plus mes chances de m'en tirer s’affaiblissaient. Lors de ce barrage, j’ai pourtant vraiment crue que j’allai être sauvée, comme à chaque fois. Hélas, c’était un faux espoir. Je ne peux pas partir, impossible de me libérée, je suis victime et contrainte à mon triste sort. Je ne peux que m'endormir.

Nous sommes déjà le lendemain, il déjà 13h00 de l'après midi, nous sommes rentré tellement tard que nous avons tous dormis toute la matinée. Alicia ouvre la porte et me fait:

"Et voilà ma jolie, on va y aller".

Elle a une paire de ciseaux avec elle. Elle me détache mes pieds, mes jambes, mes bras, et me détache du pilier, mais mes mains restent toujours attachées et je suis toujours bâillonnée.

Elle me fait marcher jusqu'à la voiture, et me remet sur la banquette arrière. Tad prend le volant, nous repartons.

La voiture arrive dans un complexe, il y a un homme armé d'une kalachnikov qui garde la grille d'entrée. Il ouvre la grille, nous entrons. Mon dieux, mais c'est une véritable forteresse ou ils m’emmènent. Ils garent la voiture et me refont sortir. Alicia me tiens au bras et me fait marcher dans le bâtiment. Nous entrons dans une pièce, elle semble être tenue par un mac et un garde.
-"Bonjour Iglow" fait Alicia. "Voici notre fille, qu'est ce que tu en dit."
-"Ohoh. C'est une vraie beauté, elle va me rapporter beaucoup d'argent. Très bon travail les jeunes, nous allons dans mon bureau pour discuter affaire, mais je peux vous dire que je suis prêt à vous payer une très belle sommes pour ce canon."

-"J'arrive Iglow, allez y déjà, je veux dire un petit au revoir à ma marchandise.

Seul le garde reste avec nous, Alicia me fait:

"- Et voilà Nina, c'est ici que nos chemins se sépare. Merci encore tu viens de me faire gagner beaucoup d'argent, ma mignonne. Bien plus que les 15'000.- que je comptais te voler à la base. " Puis elle s'approche de moi et m'embrasse sur la joue. Elle me fait encore:

-"Bye bye ma jolie, éclate toi bien!" et s'en vas.

J'attends avec le garde, je peux ne pas m'enfuir. Il se passe environ 1 heure, puis le mac de toute à l'heure viens vers moi avec un autre homme, un vieux dans un costard blanc. Le mac me fait:

-" Allez ma jolie, tu vas commencer à payer ton loyer ! qu'est ce que t'en dis alors?" l'autre homme réplique:

-"Un vrai canon, cette nouvelle est vraiment sexy comme une chienne!! Met là dans la chambre 35, je te paie et je m'y rends tout de suite".

Le garde me prend par le bras et m'emmène. Dans le couloir, j'entends d’autres femmes se faire violer dans d'autre pièce. Je suis vraiment en enfer. Le garde me fait entrer dans une petite pièce avec un lit et des menottes partout. Il me pose sur le lit, détache mes liens et attache aussitôt mes poignets à l'avant en haut avec des menottes, passant les chainettes entre des barres du lit. Puis il attache également mes chevilles avec une autre paire de menottes, passant la chaine sur une barre du lit en bas. Je suis attachée, forcée d’être allongée sur ce lit. Puis il remplace mon scotch par bâillon boule rouge. Puis il me laisse seule.

Par pour si longtemps, à peine 10 minutes plus tard, l'homme en costard blanc arrive dans la pièce. Il a une arme avec lui. Et ce pervers commence:

"Aha, toi tu es vraiment une bombe" aussitôt il s'étale sur moi, commençant par me ploter les seins comme un obsédé. Je crie:

"MMMMHHHHHHHH!!!"

"Hahahahaha!!! Ma mignonne, inutile de crier, personne ne va t'entendre ici. Je vais t'apprendre dès maintenant ta nouvelle vie!!" Puis je sens qui plote maintenant mes fesses!

Il pose son arme sur une table de nuit juste à côté de moi et me dit: "Tu sais j'ai pu voir que tu avais un très joli cul, ma jolie, on va commencer par ça. Tu vas voir quand mon gros engin sera dans ton petit cul sexy, tu seras totalement soumise. Puis il baisse mon pantalon.

"Montre-moi ton joli cul maintenant salope!" Puis il détache mes menottes dans le but de me retourner. Aussitôt qu’il ôte mon poignet droit, j'attrape ses parties génitales, en serrant et tirant de toutes mes forces, l'homme hurle de douleur.

"OUAAAAAAAHHH!!" Puis tombe du lit. Aussitôt je sais le pistolet sur la table et enlève mon bâillon. Je lui dis tout de suite.

"Fermes la gros porc, je sais tirer, pas un mot ou je te met une balle dans la tête!!".

"Non, me tue pas, c'est bon, je vais me calmer, me fait pas de mal!!", réplique ce pervers.

"Lance-moi les clé de toutes mes menottes, tout de suite" je réplique.

"Les voilà, t'énerve pas" me dit il en me les donnant.

"Éloigne toi, met toi dans le coin maintenant" lui dis-je, lui m'obéissant.

Je détache aussitôt mes chevilles. Me voilà enfin libre. Je reprends:

"Tu vas me sortir d'ici enfoiré, ou je te jure que je te tue".

"D'accord, d'accord, écoute, on peut passer, les gardes sont tous au bureau, il y a personne dans les couloirs"

"Très bien, on y va, si tu essaie de me doubler, je te tue immédiatement" je réplique.

Nous sortons de la pièce et traversons le couloir, moi braquant son arme sur lui. Nous sortons et prenons la voiture, il conduit, alors que je le tiens en joue sur siège passager. Nous arrivons
à la grille, je me baisse en disant:

-"Mon arme est pointé sur toi, si tu préviens le garde, je te tire droit dans les poumons, j'espère que c'est claire".

-"C'est clair, ne tirer pas, s'il vous plait". me répond-il.

Il arrive, le garde lui demande d'ouvrir la vitre et lui dit:

-"Déjà fini, héhé, tu tiens pas longtemps mon vieux".

-"Oui, je ne suis pas très en forme aujourd'hui, je dois vraiment y aller". lui répond mon violeur.

-"Haha, t'es barges toi! je t'ouvre".

Puis nous quittons le complexe, je me redresse et lui dit:

"Maintenant emmène moi à l'aéroport tout de suite"

"Très bien, on y va, ne t'énerve pas." me répond-t-il.

Une chance qu'Alicia leur ai remis mon portefeuille, j’ai pu le ramasser sur la table avant de partir.Après une demi heure de route nous arrivons devant l'aéroport.

"Range-toi vers la station service ici" elle dispose d'un immense parking, je le fait aller tout au fond.

"Très bien, maintenant tu vas poser ta tête contre le siège, fermer les yeux et compter jusqu'à 100, si tu fais ce que je te dis, je te laisse la vie sauve, et tu ne me verras plus.

"D'accord, merci, merci, je vais le faire" Il exécute ma demande et commence à compter:

"un..deux...trois...quatre" Puis je lui tire dans la tête. J'ai utilisé un coussin du siège pour étouffer le coup de feu, personne ne l'as entendu, je laisse l'arme et le cadavre dans la voiture et je m'enfuis aussitôt.

Je parviens à l'aéroport, je prends immédiatement un vol pour la France. J'appelle Yuri, lui explique la situation et lui demande de me prendre à l'aéroport de Lyon.

Je suis déjà dans l'avion, à la fois sous le choc et soulagée. Je ne pensais vraiment pas que je m'en sortirais cette fois, j'ai vraiment cru que j’allais pourrir, enfermée pour toujours
chez ces proxénètes. Le voyage dure deux heures. Mon dieu, mais qu’est ce que c’était que cet enfer. Et dire que d’autres filles pourrissent encore là-dedans !!

Je suis déjà à Lyon, j'ai retrouvé Yuri, nous sommes en route pour chez moi. Malgré une de mes pires histoire, je m'en suis tirée, je suis à nouveau libérée et libre!!!

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fredchl
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Re: Une journée imprévisible

Message par fredchl »

Un sacré épisode avec de l'action, des rebondissements, bon petit récit ;)
On verra si ses prochaines aventures se passent avec toujours autant de malchance ! :D

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dizzy22
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J'adore autrement voyager, découvrir de nouveaux horizons et parler avec des gens.
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Re: Une journée imprévisible

Message par dizzy22 »

Avec un coup de chance, Nina va se retrouver prochainement au pays du shibari, le Japon, lol :P

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Mad Hatter
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Re: Une journée imprévisible

Message par Mad Hatter »

Donc voyons: tentative d'extorsion de fonds, meurtre ça ne rigole plus du tout dans cet univers.
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham


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fredchl
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Re: Une journée imprévisible

Message par fredchl »

dizzy22 a écrit :Avec un coup de chance, Nina va se retrouver prochainement au pays du shibari, le Japon, lol :P
Ah, kidnappée par des yakuzas, cela pourrait être une idée de scénario. :-)

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Gwenboyfriend
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Re: Une journée imprévisible

Message par Gwenboyfriend »

Heureusement que Nina peut compter sur la stupidité de certains de ses ravisseurs.
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nonobound
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Re: Une journée imprévisible

Message par nonobound »

toujours aussi détonnante ton histoire :)

Nina

Re: Une journée imprévisible

Message par Nina »

Bonjour à tous. L'idée des Yakuzas est effectivement intéressant, je pense que je l'utiliserai lors d'un prochain épisode.

Voici la suite des aventures de Nina. Bonne lecture à tous :) :) :)




Prise d'otage

Nous sommes mercredi, encore un fichu jour de boulot. Il est 06h00 du matin, et mon réveil est déjà en train de me casser les oreilles. Mais bon, j'ai congé cet après-midi, alors autant se motiver.
Je me traine encore à moitié endormie sous la douche. Le contact de l'eau me fait reprendre progressivement mes esprits, mais il s'agit tout de même de ne pas trainer. Je sors et je commence à
me changer.

J'enfile cette jupe noire, courte, m'arrivant à la moitié des hanches. Je mets ensuite un top gris argenté, avec des petits motifs de fleurs, il est très serré, et décote bien mes seins. J'enfile ensuite une veste, noire en cuir, assez courte, je laisse la fermeture ouverte, afin de laisser ressortir mon décoté. Je mets des talons noirs, assorti à cette jupe. J'enfile encore un collier de petites chaines argentées, puis j'enfile ma montre de la même couleur à ma main droite, puis un bracelet en chainette argenté à mon autre poignet. Mes cheveux ne sont pas attachés, et légèrement ondulé. Me voilà prête.
Je me rends au bureau. Encore de la fichue paperasse. Mais peu importe, c'est toujours mieux que de se faire enlever. Par ailleurs Yuri est encore à l'étranger, à peine je me suis remise de ma dernière mésaventure qu'il a disparu, en m’avertissant à peine. Peu importe je vais déjà beaucoup mieux, malgré le fait que j'ai tué un homme. D'ailleurs, ce pourri le méritait. Pourtant, je ne peux pas oublier tout ça. Sachant que des filles sont encore ligotées et violées dans ce centre infernal dans lequel j’ai été livrée, je dois faire quelque chose. Mais pour l’instant je n’ai pas le temps. Je consacre tout mon travail sur la recherche d’Evelyne. Aucune nouvelle, pas le moindre indice. Mais je ne baisserai pas les bras, je ferai tout pour retrouver Evelyne et arrêter le geôlier.
Le nouveau chef arrive vers moi et m'adresse la parole:

"-Bonjour, Nina, comment allez-vous?"

"-Bonjour Alphonse, tout va bien et vous" je réponds.

"-Oui, très bien. Je suppose que votre après-midi de congé vous réjouis d'avantage."

"-Oui, en effet, ça me fait une courte journée de travail. Je voulais vous demander justement, si vous étiez satisfait de mon travail, de manière générale" je réplique.

"-Absolument, aucun problème" me répond-t-il. "A vérité, je venais pour vous demander si vous aviez besoin de plus de congé pour vous remettre de votre...votre enlèvement. A première vue vous semblez être en forme, mais ce genre de chose ne laisse pas les gens indifférent, et si vous avez encore besoin de temps je comprendrais".

"-C'est gentil, mais je ne pense pas que ce soit nécessaire. J'ai pris le temps de m'en remettre, et maintenant tout est fini. Mais merci quand même" je réponds.

"-Pas de problème, très bien, à plus tard Nina" termine Alphonse.

Quand j'y pense, je me suis tout de même retrouvée chez cette fille, Alicia, je pourrai bien retrouver son domicile. Heureusement que j'ai déménagé avec Yuri, cela aurait été dangereux de garder une adresse qu'elle connaissait déjà. Peu importe, je réfléchirai à tout cela plus tard, en attendant j'ai encore du travail. Il faut que je consulte les données sur le geôlier.

Soudain, j'entends un homme crier dans le bureau:

"-PERSONNE NE BOUGE, TOUT LE MONDE A GENOUX, LES MAINS SUR LA TÊTE. FAITE CE QUE JE VOUS DIS OU JE N'HESITERAI PAS A TIRER!!"

Je m'agenouille immédiatement en mettant mes mains sur la tête, terrifiée. Tous les collaborateurs ont fait de même. Il y a 5 hommes tous armé et masqué d'une cagoule. Deux d'entre eux ont un fusil à pompe, deux autre sont équipée de mitraillette et l'homme qui a crié est tient un pistolet. Il reprend la parole:

"-Bien, il n'y a pas lieu de s'énerver. Nous ferons ce que nous avons à faire, et si vous collaborer, nous partiront et personne ne sera tué ni blessé. Tout d'abord, je vais vous demander à tous d'envoyer vos téléphone portable".

Les hommes cagoulés prennent les téléphones de tous les collaborateurs. L'homme qui a crié passe vers moi, je lui remets mon portable. Une fois que tous les téléphone ont été confisqué, le même homme reprend la parole.

"-Très bien, je sais que vous avez un coffre dans derrière la pièce de la direction. Je suis également au courant de la somme qui est abrité. Je veux que le directeur vienne vers moi. Tous les autre se mettent au fond contre le mur. Mes homme vont s'occuper de vous, coopérer et personne ne sera blessé!".

Je rejoins les autres contre le mur. 2 des malfrats sont en train d'attacher les employé aux poignet à l'avant et aux pieds avec des attaches en plastique, pendant que deux autre nous tiennent en joue. L'un d'entre eux arrive vers moi et me dit:

"- A ton tour ma jolie."

Je joins mes mains à l'avant alors que l'homme me les attache à l'avant. Ensuite il me fait assoir au sol, et ligote également mes chevilles. Je suis prisonnière, mais au moins pas seul cette fois, tous les collaborateurs sont dans le même état, à l'exception du directeur. Gwenne et juste derrière moi, je tente de lui parler doucement:

"-Gwenne, tout va bien?"

"-Nina, oui, je suis un peu sous le choc, mais je pense que ça va bien se passer, il n'en veulent qu'à l'argent."

"-Tu as sans doute raison. Comment savent-ils que notre coffre abrite une fortune, on est pourtant pas une banque" je réplique.

"-C'est sans doute quelqu'un qui a déjà travaillé ici, c'est comme ça qu'ils doivent être au courant" me répond Gwenne.

L'un des hommes cagoulé intervient:

"SILENCE! Tenez-vous tranquille, je ne veux plus entendre un mot les piplettes!!!" dit-il.

Je consens à ne plus parler. De toute façon ils n’en auront pas pour longtemps. Au fond ce n'est pas si grave, une fois terminé, nous serons tous sain et sauf.

Voilà environ une heure que nous sommes retenus, seuls deux hommes sont resté vers nous, les autres sont en train de revenir avec des sacs pleins de billets et le directeur.

L'homme qui avait pris la parole reçoit un coup de téléphone:

"-Allo...oui on a terminé, on sera en bas dans 10 minutes....quoi...d'accord, je te rappelle, tient toi prêt surtout!" dit-il. Puis il réplique à ses hommes:

"-Fouillez tout le monde, les flics attendent devant, allez bougez-vous".

Les cagoulés se mettent à fouillez tous les employés... L'un deux arrives vers moi, le même qui m'a attachée, je suis sûr qu'il va encore me ploter. Soudain un autre cagoulé réplique:

"-C'est bon je l'ai trouvé, il avait un autre portable avec lui" fait-il.

Ouf, sauvé, les fouilles se sont arrêtées, je n'y suis pas passée. C'est un des comptables qui avait encore son téléphone, l'homme au pistolet vient vers lui, et dit:

"Fait moi voir ça. Appel police secours sur hautparleur!! Enfoiré!!!"

Puis il tire deux balles dans sa tête. Tout le monde crie, je ne peux m'en empêcher également, horrifiée. L'homme réplique:

"Silence tout le monde, fermez la ou je tue quelqu'un d'autre!!!".

Tout le monde se calme. Il se concerte avec ses hommes:

"On fait quoi maintenant! Les flics vont pas hésiter à tirer si on sort!" dit l'un de ses hommes. L'homme au pistolet réplique:

"On va prendre un otage avec nous, on pourra quitter les lieux librement".

Il s'avance vers la foule. Tout le monde est sous le stress, moi-même également. Mon dieu, faite que ce ne soit pas moi! Je ne sais pas où il est, j'ai baissé les yeux, il ne faut surtout pas attirer son attention, il ne faut pas que je le regarde dans les yeux. Soudain j'entends sa voix:

"Toi, ma jolie, tu viens avec nous!"

Je redresse la tête, c'est bel et bien à moi qu'il parlait. Il coupe mes liens aux pieds, et me met debout, je suis terrifiée, je n'ose même pas prononcer un mot. Puis il prend un rouleau de scotch noir, je tente de lui parler:

"Je vous en pri....mmmmhhhhh!!" me voilà bâillonnée, le scotch est sur ma bouche. Je ressens toute sorte d'émotion actuellement, je suis la seule à être enlevée en détresse, parmi tous les autres. L'homme donne ses ordres:

"Aller les gars on bouge, tenez vos armes, je reste avec la fille!".

Voilà que nous partons, l'homme au pistolet se tient derrière moi, me tenant par le bras, m'emmenant au milieu de ses hommes. Nous arrivons devant la porte, mon ravisseur colle son canon contre ma tête, horrifiée je ne peux m'empêcher de crier:

"MMMHHHHH!!". L’homme me répond:

"-Ne t'en fait pas ma jolie, ils ne risqueront pas la vie d'un otage, surtout une belle minette comme toi, tu viendras gentiment avec nous".

Nous sortons, les quatre hommes braquent leurs armes sur la police qui les tiens également en joue, pendant que je me trouve devant mon ravisseurs, qui me tient au corps de son bras gauche et me braque son canon sur la tête de sa main droite. Cette scène me fait ressentir quelque chose de bizarre, comme si j'étais la femme en détresse mis en valeur, vue de tous. Un policier prend parole:

"-Que voulez-vous. Nous ne voulons pas la mort de cette jeune femme, alors dites-nous ce que vous voulez". L'homme qui me tient réplique:

"-Je veux pas sa mort plus que vous, alors écoutez attentivement: Un minibus noir va arriver dans un instant, je veux que vous lui laissiez le passage, n'essayez pas de lui tirer de cette, ou je tue cette jolie femme. Une fois que le véhicule sera vers nous, nous rentrerons, vous nous laisserez partir, personne ne sera blessé, tout ce que je veux, c'est l'argent!"
"-Très bien, mais alors vous relâchez la fille dès que vous serez dans le véhicule" réplique le policier. Mon ravisseur répond:

"-Je ne suis pas idiot, à cet instant, vous ouvrirez le feu. La fille vient avec nous, ce n'est pas négociable. On la relâchera dans deux kilomètres plus loin, à condition que vous renonciez à nous suivre, nous la relâcherons indemne, elle ne sera pas blessée. Comme je vous l'ai dit, tout ce que je veux c'est l'argent."

Le policier semble hésiter. Après quelque minute il reprend parole:

"Très bien, mais vous relâchez la fille, dès que nous ne serons plus en vue et que vous serez suffisamment loin!".

"Marché conclu" répond mon ravisseur. "Passe l'appel" dit-il à un de ses homme, lequel dit au téléphone:

"Tu peux venir, les flics te laisseront passer, et on pourra partir, magne toi!".

Nous attendons l'arrivée du petit bus, je suis toujours attachée les poignets à l'avant par cet attache en plastique, et bâillonnée d'un scotch noir. Après 10 minutes, la voiture semble arriver.
Les polices laissent le passage libre, nous entrons, mon ravisseur me tenant toujours en joue, il est assis sur une des banquette arrière à côté de moi. Il réplique.

"Démarre, on y va, les flics vont pas nous suivre!!".

Une fois que nous sommes éloignés, il reprend la parole:

"Dirige toi vers notre camion, on changera de véhicule, sinon les flics nous retrouveront" dit-il.

"Dommage qu'on doive la relâcher", dit l'un des hommes, "elle est sacrément canon celle-là". Mon ravisseur réplique:

"Qui parle de la relâcher? Je la prends avec nous! A ton avis pourquoi je l'ai pris elle comme otage. Elle est carrément sublime, ce serait vraiment con de pas en profiter. En plus les flics ne nous trouveront pas, ils chercheront le mauvais véhicule, pi en prime, on aura la minette pour nous!" dit-il. Un autre homme s'écrie:

"T'es un génie Jo, haha! Moi aussi j'étais déçu de me séparer d'elle sans pouvoir en profiter! Mais là tu m'as remonté le moral!! En plus d'un succès, on va passer une soirée inoubliable!!"

Oh non, mon dieu, mais c'est pour ça que c'est moi qu'il a choisi, ils comptent également me violer. Mon dieu, je suis encore plus effrayée. Quel cauchemar encore.

"On est arrivé les gars, changement de véhicule" dit le chauffeur.

Jo, me sors de la voiture, me tenant toujours par le bras, il m'emmène à l'arrière de leur camion, deux banquettes se trouvent sur les côtés, le camion est équipé de divers matériaux. Je suis assise avec Jo, et deux de ses hommes. Les deux autre sont à l'avant du camion. Nous partons. Que faire, il a raison, la police ne nous trouvera pas, vu que nous n'avons plus le même véhicule.
Et puis ce camion passera inaperçu. Les 4 hommes ont déjà enlevé leurs cagoules. Mais j'y pense, ils s’appellent par leurs prénoms, et j'ai vu leur visage, ils vont me tuer, ils me violeront et me tueront juste après. Il faut que je tente quelque chose, peu importe si c'est risqué, je dois essayer. L'homme en face de moi est équipé d'une mitraillette, elle n'est pas très grande, surement facile à manier. Jo et l'autre homme sont un peu plus loin dans le camion, l'homme en face de moi est moins vigilent que Jo. Je vais essayer. Mon dieu faites que j'y arrive!!

A SUIVRE...



La suite ce soir ou demain ? Comme vous voudrez :)

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fredchl
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Re: Une journée imprévisible

Message par fredchl »

Eh bé ! Elle n'a vraiment pas de chance Nina !
Un braquage, il faut que ça tombe sur sa boite ! Forcément !
Je trouve risqué l'idée qu'elle tente de s'emparer de la mitraillette, avec sa poisse légendaire...
Y'a plus qu'a attendre la suite de ses mésaventures... :lol:

Nina

Re: Une journée imprévisible

Message par Nina »

Bonsoir, voici la suite, bonne lecture :) :) :)







Je donne un grand coup de pied dans les parties de l'homme en face de moi. Il semble s'éffondrer, je me saisis immédiatement de sa mitraillette. Mais je sens qu'on m'attrape au bras, l'autre homme m'a privée de la mitraillette, pendant que Jo me tenait. Oh non, c'est raté. Jo s'écrie:

"Imbécile, t'es sensé la surveiller, elle aurait pu tous nous tuer!!!"

"-Désolé Jo, elle m'a surprise, cette pute" répond-t-il.

"Ferme-la! Attache-la les mains dans le dos maintenant" réplique Jo.

"-Mais j'ai plus d'attache en plastique "

Jo prend un sac dans le camion et ressort des cordes et réplique:

"On fera avec ça, je vais m'en occuper, toi tient la en joue" répond Jo.

Jo coupe mes liens en plastique, mais ramène mes poignets derrière le dos, pendant que son homme me tient en joue. Je sens les cordes enliasser mes poignets, il les serres suffisamment. Me voilà attachée les mains derrière le dos. Puis il saisit une autre corde et attache mes bras, passant les cordes au-dessus et au-dessous de me seins. Il serre le nœud. Cette fois je ne peux plus rien faire. Nous continuons la route, tout le haut de mon corps est ligoté et immobilisé, et les hommes me surveille bien mieux. Les cordes sont bien serrées, impossible de se détacher. Nous continuons notre route. Là je suis vraiment paniquée, je ne vois pas encore comment je pourrais m'en tirer.

L'homme que j'ai agressé tout à l'heure vient vers moi, il me dit:

"-Tu m'a fait très mal tout à l'heure espèce de salope. Mais tu me revaudras ça, quand on sera arrivé, tu vas me rembourser tout ça en plaisir" me dit-il.

"-Plus tard, contente toi de la surveiller pour l'instant, on ne sait jamais" réplique Jo.

Environ un quart d'heure plus tard, la voiture s'arrête devant une vieille maison, tout à fait isolée, il n'y a rien d'autre dans les environs. Jo me prend par le bras et me fait:

"Terminus ma jolie, on descend" et m'emmène hors du camion.

Nous rentrons avec les six hommes à l'intérieur, Jo leur dit:

"Attendez moi au salon pour les comptes, je vais attacher la minettes en haut, j'arrive dans quelque minutes".

Il me m'emmène à l'étage supérieur, dans une chambre à coucher, il me fait assoir sur une chaise. Il utilise d'autre corde pour attacher mes chevilles, il enlace les cordes...voilà mes pieds attachés, puis il passe aux jambes, passant les cordes juste au-dessus de mes genoux...il sert le nœud. Puis il termine en m'attachant à la chaise, passant les cordes à ma taille, pendant qu'il me dit:

"-Tu es vraiment mignonne toi. Dès que je t'ai vu, quand je t'ai pris ton téléphone, je t'ai tout de suite désirée, ma mignonne. J'attendais ce moment avec une telle impatience. Plus que quelques minutes, le temps de faire les comptes en bas, et après tu seras tout à moi, ma jolie!".

Puis il finit de serrer le dernier nœud, et rejoint les autres en bas. Je sais que c'est inutile, mais je tente tout de même de me dégager des cordes...j'y mets toutes mes forces, mais rien à faire, elles sont trop serrées. Je n'essaie même pas de crier, mon bâillon m'en empêche, et il n'y a personne dans les environs. Que faire, je ne peux pas me déplacer non plus, impossible d'obtenir quoi que ce soit pour couper mes cordes. Je suis prisonnière, et dire qu'ils vont non seulement me violer comme jamais, mais aussi sans doute me tuer. Je ne vois vraiment pas comment je m'en sortirais cette fois. Serait-ce la fin de mon existence? Quand je pense à tout ce que je laisse derrière moi.

Cela fait environ une demi-heure que je suis attachée sur cette chaise, lorsque deux des hommes montent, mon dieu, ils vont abuser de moi cette fois, l'un d'entre eux dit:

"Regarde-moi ça, comme elle bonne, ça va être inoubliable cette nuit".

"Je dirais même hallucinant, c'est la plus belle journée de toute ma vie!"

"T'inquiète ma beauté, on n’est pas encore prêt, on va d'abord prendre deux trois verres, ensuite quand on sera bien chaud, tu vas nous faire jouir comme jamais!".

Puis les quatre autres arrivent également, ils transportent des packs de bière, de la vodka et toute sorte d'alcool fort. Ils sont assis sur un matelas par terre, face à moi, et commence à boire,
Jo leur dit:

"Alors les gars, c'est bien clair, on attend encore 10 minutes, d'ici là je veux qu'on ait fini toutes les bières, et qu'on ait pris au moins 10 verres de fort chacun, comme ça on sera tous bienchaud, pis dans 10 minutes, on se prive plus de rien!!".

Terrifiée je tente de crier:

"GGGMMMMMHHHHHHHHHH!!!!!!!"

Les autres s’écrient:

"Ouaiiiiis!!!" l'homme que j'avais agressé sort son portable et dit :" je mets le compte à rebours, attention.....10 minutes à partir de maintenant, buvez au maximum, on sera encore plus chaud, c'est parti!!!"

Bon, au moins j'ai encore 10 minutes de répits, mais après ça, j'aurais six pervers en manque acharné sur moi. Oh mon dieu, c'est pire que l'enfer, je crois que je préfèrerai encore être tué avant.
Les hommes boivent comme des alcooliques, ils seront complètement fous. Ils sont déjà en train de me terrorisé:

"Ahhh, moi je vais commencer par les seins, ça me donne tellement envie, je vais avoir de la peine à tenir les 10 minutes!!"

"Moi je commence par son cul, non de dieu, j'ai jamais rien vu d'aussi beau, ça va être la fête, hahaha!!!"

"Moi je te dis que quand elle va recevoir ma grosse queue dans le minou, elle va crier...Oh putain, je jouis rien qu'en y pensant!!"

Je vois déjà deux minutes sur le compte à rebours, mon dieu, ils déjà tous complètement ivre, et ils continuent à boire!! Et ils continuent:

"Moi celle-là, c'est dans le cul que va sentir mon colosse, oh putain, je vais kiffer"

"Les gars, regardez je suis déjà en érection, haha, énorme!" l'homme qui parle à déjà baisser son pantalon, son slip va presque casser tant il bande. Mon dieu, au secours pitié.

"Eh, attend tu viens de me donner une idée" fait un des hommes. "Attendez moi, je vais chercher une surprise".

Où va-t-il, qu'est ce qu'il va chercher encore!!? Le voilà qui revient:

"La surprise du chef, du viagras, on en prend tous!!!"

"Mais j'ai pas besoin de ça, moi"

"Attend, ça va être encore plus sensationnel"

"Bon ok, aller c’est parti pour l’extase!!"

Et voilà qu’ils prennent leurs pastillent en buvant de l'alcool, il manquait vraiment plus que ça!! Mais ça va être absolument horrible. Jo reprend la parole:

"Héhéhé, 5 minutes déjà, les gars, aller boivez encore plous, ça va être enourmeuh, ouhou"!

Ils sont complètement ivre, et je peux rien faire, je suis toujours prisonnière, si seulement je pouvais me libérer. Et ils continuent:

"Moi je vais déchirer sa jupe, d'un coup, ouais comme une chienne, une putain de chienne, t'entends!!"

"On va la mettre à poil, on la fera tourner comme un manège, ouais un manège de taré!!!"

J'essaie de me dégager de toutes mes forces, ces saletés de cordes m’immobilisent totalement!!Je m'efforce pendant quelque minute....jusqu'à ce que je m'épuise. Le compte à rebours est bientôt
Terminé, c'est fini pour moi. Ils reprennent:

"HAHA, 9 MINUTES ECOULEES, PLUS QU'UNE, HAHAHAHAHA!!!"

Et voilà, je vais finir violée de la pire façon et tuée, mon aventure s'arrête ici, quel triste sorte, je pense encore à Yuri.

Soudain, j'entends défoncer la porte et crier:

"-POLICE, RENDEZ VOUS!!!" ils courent vers ma chambre, mon dieu, un vrai miracle je suis sauvée, les voilà qui arrive dans la chambre, en grand nombre et surarmé:

"-ELOIGNER VOUS DE LA FILLE ET POSER CES BOUTEILLES TOUT DE SUITE!!", l'un des hommes leur dit:

"-Eh non les gars, attendez, juste au moine oune heure, allez, ya plus que 30 euh, 20 secondes!!" un autre saisi une bouteille et fait:

"-Trou dou coup de flic de fils de pute de merde" et s'avance vers les polices.

L'un des policiers lui tire dans la jambe, il hurle de douleurs, les autres sont calmé et immédiatement embarqué. On enlève mon bâillon pendant qu'ils me demandent:

"-Mon dieu, madame, vous allez bien, ils vous ont fait du mal".

"-Non, grâce au ciel, vous êtes arrivés juste à temps, je n'ai rien heureusement, juste eu la peur de ma vie" je réponds.

Puis ils me détachent, commençant par mes poignets...enfin libérée, puis les cordes de mes bras, puis de mes jambes, mes chevilles.... Puis ils me détachent de la chaise... Enfin, me voilà libre et sauve.

Les hommes sont emmenés au poste, d'abord dans une cellule de dégrisement, puis ensuite ils seront sans doute au tribunal, avant de passer le reste de leur vie en prison. Gwenne avait raison, leur chef, Jo était bien quelqu’un qui avait travaillé au journal avant de se faire licencier, les polices ont pu enquêter sur lui et on retrouver ma trace de cette façon. La police va me ramener à ma voiture, je suis saine et sauve !!
Les polices me dépose au parking de mon bureau, ils me font :
"Vous êtes sûr que ça va aller Mademoiselle Averine ? "
"Oui, ne vous en faites pas, dans le fond, je crois que j’ai connue pire".
"Bon très bien, je suis en relation avec la patrouille à votre domicile, il vont rester devant votre maison cette, vous pourrez dormir sur vos deux oreilles"
"Merci mille fois encore" je termine. Leur voiture repart. Je m’apprête à entrer dans la mienne, mais mon téléphone sonne, je viens de recevoir un message.
Je regarde : il s’agit d’une image, c’est une photo d’Evelyne, elle est attachée avec des cordes et bâillonnée avec du scotch !!! Ce doit être le geôlier qui m’envoie ça !!! Puis un message écrit suit la photo :
"Bonjour Nina,
Je vous ai manqué de peu la dernière fois, dommage, Enzo avait bien joué son rôle. Tout cela ne vous a visiblement pas empêché de mener des recherches sur Evelyne. Je dois avouer que j’admire votre persévérance ! Ainsi, pour vous récompenser, je vous offre un très beau cadeau : vous allez pouvoir retrouver Evelyne ! "
C’est bien le geôlier, il faut que j’avertisse Yuri, espérons qu’il sera joignable.
Soudain, quelqu’un colle un mouchoir contre ma bouche, et me saisit à la taille, je sens du chloroforme dans ce mouchoir, je tente de crier :
-"GGGMMMMMMMHHHHH !!!MMMMMMHHH !!!MMMMMMHHH !! "
Personne ne m’entend, je tente de me débattre, mais cette personne qui m’a surprise maintient le mouchoir contre ma bouche, m’empêchant de crier. Cette odeur, je sens… la fatigue…
"GGGggmmmmhhhhhhhhhhhhhh………………………………..
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