Une journée imprévisible

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Mad Hatter
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Re: Une journée imprévisible

Message par Mad Hatter »

Elle n'est pas passée loin du grand voyage. :conduit:
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eric
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Re: Une journée imprévisible

Message par eric »

J'ai beaucoup apprécié cette histoire pleine de rebondissements.
Merci

Nina

Re: Une journée imprévisible

Message par Nina »

Merci :) !! Le grand voyage viendra,mais une autre fois ;)

Episode suivant, bonne lecture!!



Les retrouvailles

Il est 18h00, vendredi soir. Je suis encore dans ma tenue de travail, chemise blanche et jupe noire. Ce soir je sors avec Yuri, j'ai gagné deux billets pour un opéra. Je n'ai jamais été une grande fan de ce genre de soirée, mais c'est une excellente occasion de passer une soirée avec Yuri. Mais avant je reçois une jeune femme, que Yuri a convaincu de me voir pour un petit entretien. Une voiture arrive devant chez moi, une femme descend, ce doit être ma contact. Je lui ouvre la porte, elle me fait :

"Bonjour, je suis Evelyne, vous devez être Nina ? "

"C’est exact" je répond "merci beaucoup d’avoir accepté de me voir, je vous promet que je ne serai pas trop longue. "

Nous nous asseyons sur le fauteuil. Evelyne a des cheveux blonds vénitiens, longs et ondulés. Elle porte un top rose, une jupe en jeans et des bottes rose. Je commence :

"L’inspecteur Yuri m’a expliqué que vous aviez été enlevée par cet étrange criminel que l’on nomme le geôlier. " Evelyne baisse le regard vers le sol, après quelques secondes elle réplique d’une voix faible :

"Oui !...Je rentrais de mon travail, j’allais dans le parking où se trouvait ma voiture, et d’un coup, une personne m’a attrapée et a collé un mouchoir contre ma bouche. Je ne pouvais plus crier, et en à peine une minute, je me suis endormie. Ensuite, je me suis réveillé dans une pièce sombre, sans aucune fenêtre. Et je…je…."

Evelyne est sur le point de fendre en larme, je réplique :

"Evelyne, je comprends que ce soit difficile. J’ai moi-même déjà été kidnappée, ligotée et bâillonnée, à la merci de personnes dangereuses. Si vous voulez terminer cet entretien maintenant je comprendrais parfaitement".

"Tous mes membres étaient immobilisés par des cordes !! " reprends Evelyne en sanglotant Je ne pouvais même pas parler, un scotch bâillonnait ma bouche !! Et deux autres filles étaient dans la même pièce, aussi ligotée et bâillonnée comme moi. Je les entendais gémir, je gémissais aussi, on ne pouvait que se regarder, on ne pouvait même pas nous parler. "

"Avez-vous vu cette personne, le geôlier ? " je poursuis

"Non, pas une seule fois je l’ai vu. Ni même entendu. Tout ce dont je me souviens, c’est que pendant que j’étais prisonnière, le geôlier, c’est personne s’était tenue derrière moi, je sentais ses doigts toucher et caresser mes liens, ainsi que mes bras. Puis ensuite ses mains caressaient mes cheveux. Cela c’est produit plusieurs fois. Ensuite, après deux jours de captivité, j’ai à nouveau sentie ce mouchoir, collé contre ma bouche, et cette même odeur…je me suis endormie. A mon réveil, j’étais chez moi, allongée dans mon lit. D’abord je me suis demandé si ce n’étais pas un simple cauchemar. Mais dès que j’ai regardé mes poignets, les traces de liens encore présentent mon tout de suite fait comprendre que ce n’était pas le cas. "

"Lorsque qu’il vous a caressé" je réplique "si vous en avez le courage, comment décrieriez vous ces gestes ? Comment était son touché ? "
"Eh bien" reprend Evelyne "ses mains étaient tellement douce. Sa façon de me caresser l’était aussi, tellement tendre. Malgré ma captivité, je…c’est très bizarre, mais j’ai aimé quelque peu…cela….qu’est ce que j’ai honte !!! "

"Je vous remercie pour votre témoignage Evelyne. Je ne vais pas vous retenir d’avantage, merci encore mille fois pour votre aide".

"Si vous voulez me rendre la pareil, trouvez qui c’était, je voudrais le savoir" réplique Evelyne.

"Je ferai tout ce que je peux pour démasquer cette personne, je vous en donne ma parole" je termine.

Evelyne quitte ma maison et repart en voiture.

Il est 20h00 désormais. Il faut que je me prépare pour ce soir. Tout
d'abord, j’ôte mes vêtements, pour prendre une bonne douche. Me regardant dans le miroir, nue, je me sens tellement belle. Prête pour retrouver Yuri. Puis je commence à m'habiller. Tout d'abord, j'enfile des collants bruns. Ensuite je des sous vêtements noirs, ceux-ci ajoute une très bonne touche à mes atouts. Puis j'enfile ma tenue, un blazer bleu clair avec une jupe assortie de la même couleur. Je commence par enfiler cette jupe, la taille est parfaite, pas trop longue, juste au dessus des genoux. Puis j'enfile un débardeur blanc, très serré, moulant mon torse. Puis je mets mon blazer, il me serre un peu, afin de mouler mon corps. Puis j'enfile trois bracelets joncs argentés à ma main droite, puis ma montre argentée à ma main gauche. Mes cheveux sont longs, et très légèrement ondulés. Puis je termine en enfilant des talons blancs, avec une bride à mes chevilles. Me voilà prête!

Je prends ma voiture, et je passe chercher Yuri. J'espère être belle à ses yeux. J'arrive devant chez lui, il m'attend déjà. Il ouvre la porte et me dit:

-"Bonjour Nina! Ouaouh, tu es vraiment magnifique. Les autres hommes seront très jaloux de me voir avec une aussi splendide femme".

-"Merci Yuri. Je dois te dire, cela me fait très plaisir de passer ma soirée avec toi, même pour un opéra", je réplique.

-"Ca me fait très plaisir Nina. Et qui sait, peut-être que tu aimeras cette pièce, on ne sait jamais. Puis, après l'opéra, la suite sera peut-être bien plus intéressante".

-"Je m'en réjouis déjà, Yuri!!".

Nous arrivons à l'Opéra. Tout en avançant vers le spectacle, je me remémore le moment où j'ai trouvé ces billets. Yuri me ramenait chez moi, je jetais un œil à mon courrier, quand soudain je suis tombé sur les deux billets hors de prix. La lettre me disait que je l'avais gagné à un concours pas sms, je ne m'en souviens pourtant même pas, c'est peut-être dû à une erreur. Yuri me dit "Oh tu en as de la chance. Ces places sont vraiment chers" avant que je lui réponde "Oh tu sais, je suis pas une grande fan d'opéra, pour honnête je déteste ça, mais vu que j'ai ces billets gratuits, ce serait dommage de les gaspiller. J'ai une idée, si on y allait tous les deux", puis il me répondit "Tu m'invites? Ca me fait très plaisir, je viens très volontiers avec toi, même si je n'aime pas l'opéra plus que toi", et je lui ai répondu "hihi, comme ça on sera deux avec les mêmes idées". Ce fut vraiment une chance finalement d'obtenir ces billets, pour me rapprocher de Yuri.

Nous sommes déjà assis, il est 22h00, le spectacle commence. Différentes personnes sont maquillées comme des zoombies, en train de chanter étrangement. Avec beaucoup de difficulté, je parviens à déterminer que c'est de l'allemand. C'est aussi pitoyable que ce dont je m'attendais. Puis après une demi heure, soudain un homme déguisé en perroquet en train de chanter, je pars en fou rire. Mon dieu, impossible de résister, je ris, tout en
essayant de me retenir, puis Yuri me voyant, éclate de rire lui aussi. Cela continue pendant presque une heure. Puis quand nous nous reprenonsYuri prends ma main. J'apprécie beaucoup, je me saisis de la sienne. Sa main est très douce. Je voudrais tant l'embrasser, mais je ne peux pas le faire dans cette foule en plein milieu du spectacle. Après deux heures, arrive l'entracte. Yuri me dit:

-"ouf, j'ai tellement ris que je dois aller au toilette"

-"Sérieusement, tu dois aller faire un besoin quand tu rigole trop? C'est trop mignon" je réplique.

Soudain mon téléphone sonne, je décroche.

-"Allô, c’est la sécurité de l’institution?" Je ne comprends pas très bien, l'appel n'est pas très bon, je réponds tout de même.

-"Oui, que puis-je pour vous" je réplique.

-"Je viens de tomber sur votre véhicule. Vous êtes garée sur une place réservée, il faudrait que vous déplaciez votre voiture".

-"Oh je ne savais pas. Oui je viens tout de suite".

-"Très bien, à tout à l'heure madame".

-"Je dois déplacer ma voiture, elle est sur une place privée" je dis à Yuri.

-"Tu veux que je t'accompagne?" me répond-il.

-"Non, ce ne sera pas long, je te retrouve tout à l'heure dans la salle principale".

-"D'accord, à tout à l'heure Nina".

Je me dirige vers ma voiture. Décidément, les indications sont mal fichues, je ne me souviens pas avoir vu une inscription indiquant que la place était réservée. Me voilà dans le parking, je vois déjà ma voiture. C'est bizarre, il n'y personne à proximité. Je continue d'avancer.

Soudain, je sens qu'on m'attrape au corps, et une main se pose sur ma bouche, je tente de crier:

-"MMMMHHHH" la main m'empêche de prononcer un mot. Puis une voiture arrive, l'homme qui me tient m'emmène de force à l'intérieur.
Aussitôt la voiture démarre, sa main m'empêche toujours de parler. Puis j'entends une voix familière.

-"Rebonjour, ma chère Nina, ça faisait longtemps".

Je reconnais cette voix. C'est celle de Frank, l'homme qui m'a enlevée la première fois alors que je tentais de les dénoncer après leur vol à l'épicerie. Frank est celui qui a tenté de me violer. Il se trouve sur le siège passager, avec ses deux complices dans la voiture Marc et
Yann qui vient de retirer sa main de ma bouche. Les trois voyous qui m’avaient déjà capturée !! Je réplique.

-"Lâchez-moi bande de salos, vous ne pouvez pas m'enlever".

-"Ecoute la, elle croit qu'elle va nous dire nos droits cette pute" réplique Marc.

-"J'ai tellement attendu ce moment, ma beauté" réplique Frank. "Pendant tous ces jours en prison je n'ai fait que penser à toi, à cette nuit.vJ’étais tellement proche du but, tellement proche de me saisir de ton corps à ma guise, de me faire plaisir. Cette fois, j'aurais enfin mon opportunité. "

-"Comment êtes-vous sorti de prison? Et comment m'avez-vous trouvée?!!" je réponds

-"Nous avons bénéficié d'une réduction de peine pour bonne conduite" me répond Frank. "Puis j'ai eu cette superbe idée de t'envoyé des billets hors de prix pour cet opéra, ça me semblait être ton genre. Ensuite, il n'y avait plus qu’à t'attirer seule dans le parking, en me faisant passer pour l’autorité de l’opéra. Et maintenant tu es à nouveau à nous, ma beauté".

-"On est arrivé ma poulette, après toi".

La voiture s'arrête, Marc remet sa main sur ma bouche et saisi mon corps, pendant que Yann tient mes mains. Puis ils me sortent et m'emmènent de force dans un immeuble, dans un endroit qui semble isolé. Je tente de crier:

-"MMMMMHHH...GGMMMMHHH...MMmmmhhh".

-"Personne peut t'entendre salope, inutile de te fatiguer", me dit Frank.

Nous montons au 3ème étage de leur immeuble, puis entrons dans leur appartement. La porte est si épaisse, probablement insonorisée. Yann la
referme et Marc enlève sa main de ma bouche. Je crie:

"Bande de pervers, laissez moi partir ou vous aller le payer!!!"

Les trois hommes m'emmènent dans un chambre et m'assois sur une chaise. Frank apporte aussitôt des cordes et un foulard blanc et dit:

"Allez les gars, attachons-la, et solidement cette fois. Met tes mains derrière le dos ma poupée"!

Alors que je suis assise, Frank attache mes poignets à l'arrière, croisant mes mains, alors que Marc est en train d'attacher mes chevilles. Ils serrent les nœuds, leurs cordes sont vraiment très serrées. Puis Yann m'attache mes jambes juste au dessus des genoux, pendant que Frank
m'attache au torse, passant la corde par-dessus mes bras et le dossier de la chaise, pendant que Marc attache mes chevilles aux pieds de la chaise. Ils serrent les nœuds. Me voilà à nouveau ligotée. Puis Frank me bâillonne avec le foulard.

"Oulala. My god, comme elle est bonne!! Ça valait le coup d'attendre tout ce temps" réplique Marc.

"Ca m'excite tellement de la voir attachée. Surtout de lui passer les cordes, ça me fait encore plus jouir" répond Yann.

"Tu l'as dit, c'est vraiment le bonheur. J'adore cette tenue en plus. Merci de t'être fait belle pour nous Nina" me dit Frank.

"Mmmmhhh...Grrmmhhh", je fais, toujours bâillonnée.

"Hahahaha. Tu me plais trop ma jolie" me lance Frank.

"Les gars, il faut qu'on planifie le coup d'aujourd'hui encore" réplique Yann.

Puis les trois hommes vont dans une autre pièce, pendant que je suis bâillonnée et attachée sur cette chaise. J'essaie de défaire mes liens aux poignets, je sens les cordes par dessus mes bracelets. Rien à faire, ces cordes sont trop serrées. J'essaie avec mes bras, mes jambes, mes
chevilles... Mais impossible, les cordes sont trop bien serrées, sur tout mon corps. Ces pervers m'ont encore capturée. Que vont-ils me faire, cette fois ils vont me violer, je suis une prisonnière à leur merci. Si seulement je pouvais me dégager de ces saletés de cordes. Je les
entends toujours discuter, pendant que je suis captive. Puis quelques minutes plus tard encore, Frank reviens vers moi et me dit:

"On va passer du bon temps ensemble ma poupée. Mais aujourd'hui on a encore du travail. Ce sera pour ce soir. Si tu savais comme je suis impatient, comme je vais savourer ce moment. J'ai déjà vu des filles sexy, mais toi, tu es unique dans ton genre poupée. On t'a bien attachée, alors te fais pas d’illusion, cette fois tu ne pourras pas t'enfuir. Allez à ce soir poupée!!"

Puis il quitte l'appartement avec les trois autres. Mes membres sont serrés, j'essaie de tirer, mais impossible de défaire ces liens. Les salos, ils m'ont bien ligotée. Puis je n'arrive pas à me déplacer, je suis attachée à cette fichue chaise. Impossible d'atteindre de quoi pour couper ces liens. Ils m'ont également privée de mon téléphone portable. Je ne peux rien faire d'autre que d'attendre. Que vais-je devenir. Et pendant que j'essaie de me débattre je sens bien ces cordes, qui font de moi leur captive. Pendant que je suis attachée, je pense à Yuri. Si seulement tu pouvais être là, Yuri. Comment ai-je pu me faire avoir, j'aurais du me douter que ces billets offerts avaient quelque chose de louche, maintenant me voilà à nouveau dans de beaux draps.

C'est déjà la fin de l'après midi, je suis restée prisonnière tout la journée. J'entends le bruit de la porte, elle s'ouvre, je tente alors de hurler:

"GGMMMHHHH...MMMMMMHHHH.MMMMMMMHH.."

"Héhé, notre petite prisonnière est toujours là cette fois" réplique Frank.

Mes trois ravisseurs se changent et viennent vers moi.

"Alors chacun son tour les gars, et c'est moi qui commence" dit Frank.

"Ca marche, épuise la pas trop, on va aussi la savourer après" réplique Mark.

Frank me parle :"Nous y voilà enfin Nina! Le moment tant attendu!! Je vais vraiment adorer crois-moi!!!"

Puis aussitôt il commence à m'embrasser et me lécher partout sur le visage, tout en attouchant mes jambes. Je ne peux m'empêcher de crier:

"MMMMMHHH, MMMMMH, GGMMMMMHH..." mais il continue. Il me tripote les seins, sans que je puisse faire quoi que ce soit. Puis aussi mes cheveux. Et là, il passe sa main sous ma jupe. Je tente d'hurler toujours bâillonner pendant qu'il réplique:

"Oh oui, oh oui!!!"

Puis il enlève sa main. Maintenant il enlève sa ceinture et défait son pantalon. Cette fois c'est fini, il va me violer pour de bon. Il commence à enlever son pantalon, alors que je suis toujours attachée sur cette chaise, je vois déjà qu'il est en érection comme un animal, même si il porte encore son calçon.

Soudain, j'entends crier:

"Lâchez tout de suite ce couteau!! Non" puis deux coups de feu se font entendre. C'est la voix de Yuri. Miracle je vais être sauvée. Yann arrive dans la pièce et dit à Frank:

"Frank, faut qu'on se tire!! Un taré!! Il a déjà tué Marc, vite l'échelle incendie!!!"

Les deux hommes descendent aussitôt par l'échelle, alors que Yuri arrive déjà dans la pièce. Je les entends alors sauter. Yuri arrive à la fenêtre, mais ils ont déjà fait tomber l'échelle. Il tire des coups de feu dans leurs direction, puis j'entends un bruit de moteur et une
voiture qui s'enfuie. Yuri lance:

"C'est pas vrai, ils ont pu s'enfuire!" puis aussitôt viens vers moi : "Mon dieu Nina, tu vas bien, je vais te l'enlever" puis il enlève mon
bâillon, aussitôt je lui répond:

"Yuri, je suis tellement heureux que tu aie pu me trouver, c'était horrible, il était en train de me toucher..."

"Je les tuerai, je te le jure Nina!! Je vais te délivrer!!"

Puis il défait mes cordes aux chevilles. Ah !! détachées, puis les jambes, puis défait les cordes de mes bras. Je peux déjà me lever, pendant qu'il détache mes cordes aux poignets. Ah me voilà enfin libre. Je lui dis:

"Yuri, sans toi, je serais...je suis tellement heureux de te voir... Yuri....Je..."

Puis aussitôt je l'embrasse de toute mon énergie, c'est tellement intense!! Puis enfin quand nos bouche se séparent il me répond:

"Moi aussi j'ai envie de toi Nina, mais il faut d'abord qu'on aille tout de suite à la police, il faut te mettre en sécurité".

"Oui, on continuera ça plus tard" je réplique.

Puis nous allons à la police, je signale mon enlèvement. Je dors là-bas, ce serait de la folie de rentrer chez moi. Mais je suis à l'abri
maintenant. Quelle soirée, cette fois j'ai bien cru qu'ils me violeraient, heureusement que Yuri m'a sauvée.

Le lendemain matin, je retourne chez moi. C’est tellement paisible, un beau soleil éclaire cette journée. J’oublie déjà très vite ce cauchemar. Je tourne la clé de ma porte, j’entre dans ma demeure. En avançant, dans le salon, je remarque qu’une enveloppe se trouve sur le canapé. Sur l’enveloppe, seuls mon noms et mon prénom son inscrit. Etrange, comme cette enveloppe est arrivée ici, je l’ouvre, ce que je vois me fait sursauter. Je remarque un premier la signature tout en bas, deux cercles joints par un trait, le symbole du geôlier. Sur cette lettre il est inscrit :

« Chère Mademoiselle Nina,

J’ai découverts que vous menez actuellement beaucoup de recherche et posiez énormément de question à mon sujet. Votre rencontre récente avec Evelyne m’oblige à vous envoyer ce petit message. Ne vous attachez pas trop à moi, Mademoiselle Averine, ou c’est moi qui vous attacherai ! »

nonobound
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Re: Une journée imprévisible

Message par nonobound »

cette petite lettre laisse présager bien des idées :)

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Re: Une journée imprévisible

Message par Mad Hatter »

Pour l'opéra ça me fait penser à Intouchables :lol: Tu as énormément d'imagination Nina et tu arrives à la coucher sur écrit :bravo: :)
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Nina

Re: Une journée imprévisible

Message par Nina »

Perspicace Mad Hatter, en effet je me suis bien inspirée d'intouchable pour ce passage :) .

Voici la suite des évènements, bonne lecture à tous!!






Une revanche serrée

Il est 18h00. Je me rends à une petite soirée du travail ce soir, celle-ci est très importante pour moi, car je enfin pouvoir récupérer la preuve de Clara et ainsi la dénoncer. Il s'agit du bal
de la boîte. Yuri est à l'étranger, et je n'ai envie de personne d'autre, le bal en soi n'a donc aucune importance à mes yeux, la seule chose qui m'importe est mon plan. Clara sera au bal, tout comme mon patron, c'est toujours à ce moment là que Clara fait son chantage pour obtenir ses promotions. Chaque année, elle grade quelques jours après le bal. Elle aura forcément son dvd avec elle, et j'en profiterai pour le lui dénicher. D'abord je me prépare: comme d'habitude une bonne douche, ensuite ma tenue. Tout d'abord, j'enfile un soutiens gorge blanc crème. Je mets ensuite cette jolie robe rouge, assez courte. Je porte également
des talons noirs, puis je met 4 bracelets joncs argentés à ma main gauche, mon autre main porte un bracelet manchette rigide en forme de fleur. Je ne porte pas de bas, mes jambes sont entièrement épilées. Je suis prête pour ce soir. Je cache encore un mouchoir
en tissu et une bouteille de chloroforme dans mon sac à main, pour la suite des évènements.

Je prends ma voiture et me rend au bal. J'ai beau être venu avec aucune intention de séduire qui que ce soit, je suis parmi les filles les plus éblouissantes de la soirée. C’est également le cas de Clara, elle est vêtue d'une jupe blanche ondulée, et d'une veste rose, et porte des bottines également roses, arrivant juste au dessous de ses genoux, ses cheveux ne sont pas attachés, arrivant légèrement à la hauteur des épaule, elle porte des boucles d'oreilles en forme d'étoile. Soudain un homme en costume que je n'ai jamais vu m'accoste:

-"Bonjour, mademoiselle, vous me semblez bien seule, permettez-vous que je vous offre un verre".

-"Bonjour, c'est très gentil à vous, mais malheureusement, j'attend mon petit ami d'un instant à l'autre. Merci quand même" je réplique.

-"Oui je comprends" répond-il. "Dommage, les plus belles sont toujours prises... bonne soirée".

-"A vous aussi" je termine.

Une voix, cette fois familière s'adresse à moi:

-"Nina, je vois que ton charme est toujours aussi impressionnant" me dit Gwenne.

-"Gwenne, je suis content de te voir" je réponds. Gwenne porte une robe noir et des talons de la même couleur, tout comme sa chevelure.

-"J'espère que tu va bien Nina. Je me fais du souci pour toi. Ces hommes ont abusés de toi à nouveau, et maintenant deux d'entre eux sont encore en fuite!"

-"Oh ne t'en fais pas Gwenne. Des policiers tournent régulièrement à ma maison, et maintenant je reste sur mes gardes, il ne m'enlèveront plus".

-"Tant mieux. Je suis contente que tu ailles bien malgré tout" me répond Gwenne.

Je vois Clara se diriger vers les toilettes, il faut que j'en profite.

-"Excuse moi Gwenne, je dois te laisser, je te retrouve tout à l'heure" je lui adresse.

-"Bien sur, à plus tard Nina" me répond elle.

Je me dirige vers les toilettes. Il n'y a absolument personne à l'intérieur à part Clara. Même si je suis bien préparée, j'ai tout de même des frissons pour mon coup. Aller je me lance:

-"Hey, bonjour Clara, tu es là ce soir" je lui lance.

-"Nina, heureuse de te voir, fille sexy. Tu sembles ne plus m'en vouloir, ça me fait plaisir... ou alors tu caches bien ton jeux, qui sait"

-"Oh, Clara, je te trouve beaucoup moins séduisante quand tu fais ta parano. Cela fait longtemps, je suis prête à passer l'éponge. D'ailleurs, je vais te dire un petit secret: moi aussi j'ai aimé ce baiser que tu m'as donné!"

-"Serais-tu sincère, fille sexy?"

-"Laisse moi te le prouver Clara. Ferme les yeux, et laisse moi te surprendre".

Clara tombe dans le piège sans se douter de quoi que se soit, aussitôt elle ferme les yeux et me dit:

-"Ohhh, j'aime ce genre d'initiative, je suis sûr que tu sauras me surprendre..."

Sans perdre une minute, je verse le chloroforme dans le mouchoir, et le lui colle contre sa bouche. Elle se débat et essaie de crier:

-"MMMMMMHHHHHHH" mais mon mouchoir l'en empêche. Après quelque secondes, elle se débat de moins en moins fort, et commence à fermer les yeux.... la voilà endormie.

Je la fouille aussitôt, à commencer pas son sac à main. J'y trouve du rouge à lèvre, son portable, ses clés de voiture et... ahh, une clé usb, c'est probablement là qu'est contenu son film. Je m'empare de la clé et sort du bal me dirigeant dans ma voiture. Puis je retourne chez moi. Je monte dans ma chambre, puis je fais une copie du film sur mon ordinateur, avant de cacher la clé à l'intérieur d'un vieux lecteur cassette usagé. Maintenant je dois retourner au bal, pour ne pas éveiller les soupçons.

Je reprends ma voiture et arrive à nouveau à destination. Je retourne dans la salle, il y a encore plus de monde. Mais je ne vois plus Clara. Depuis le temps, elle a du se réveiller. Peu importe
j'ai obtenu ce que je voulais. Je peux tout de même profiter de la soirée. Je retrouve des collègues, on bavarde, on danse, on fait de tout et de rien. A vrai dire, j'ai un peu de difficulté
avec cette musique trop forte, tout comme les éclairages. Je passe tout de même un bon moment. Plusieurs personnes sont complètement saoul, c'est très drôle de les observer, ils tiennent à peine debout, cette soirée est finalement amusante, dommage que Yuri ne soit pas là.

Il est déjà 23h30, j'ai passé ma soirée à bavarder avec des collègues, à observer des hommes en état d'ébriété, et à éblouir des gens dans ma belle tenue. Mais je commence à m'ennuyer, je vais y aller. Je me dirige vers le parking. A l'intérieur je vois deux hommes, assez robustes dans des costars noirs. Je ne me sens pas très rassurée à les voir, je me dirige vers ma voiture, mais ils viennent vers moi. Soudain, l'un d'entre eux sort un pistolet et me parle:

"Nina, venez avec nous, n'essayez pas de vous enfuir, les risques n'en valent pas la peine".

"Oui...d'accord, ne vous énervez pas" je réponds et les suis dans leur voiture. J'ai de bonne raison de penser que Clara a quelque chose à voir dans tout ça, je ne me sens vraiment pas rassurée.
La voiture s'arrête devant la maison de Clara. Aucune doute cette fois, c'est bien elle qui les a envoyé à mes trousses. Ils me sortent de la voiture, je marche devant les mains en l'air. J'entre
dans la maison de Clara, avec les deux hommes derrière moi. Nina prend la parole:

"Bon travail messieurs, l'avez-vous fouillée".

"Non, on s'en charge" répond l'un des hommes. L'un fouille mon sac à main, ressortant la boîte de chloroforme et mon mouchoir, tandis que l'autre fouille mon corps. Mais je sens que qu'il plote mes seins et mes fesses, mais hélas je n'ose rien dire...

"Non elle n'a pas de clé usb ni d'autre matériel informatique sur elle" réplique l'un des hommes.

"C'est dommage, mais peu importe, j'arriverai à mes fin" répond Clara.

"Bien, tout ça c'est bien beau, mais on a fait ce que vous vouliez" répond l'autre homme. "Vous avez jusqu'à lundi effectué le virement sur notre compte, salut".

Avant que les hommes partent Clara les rattrape:

-"Attendez, avant de partir, j'ai encore un petit travail à vous demander: attachez-la, ses mains derrière le dos".

-"Très bien, mais après on s'en va. Mettez vos mains derrière le dos ma jolie".

Je croise mes mains à l'arrière, pendant que l'homme m'attache avec une corde, je m'adresse à l'autre homme:

-"Combien vous paie-elle? Laissez-moi partir je vous paierais le double!"

-"Oui, oui bien sûr. Tait toi maintenant" me répond-il. L'autre homme sert le nœud. Me voilà attachée les mains dans le dos.

-"Je vous remercie messieurs, le paiement sera effectué, à une prochaine" réplique Clara.

Les deux hommes sont partis, et je suis seule à la merci de Clara. Elle me parle:

-"Bien, fille sexy. Je dois dire que tu m'as bien eue tout à l'heure. Mais maintenant c'est moi qui te tiens."

-"Bon que compte tu faire de moi Clara" je réponds.

-"Dis-moi où tu as caché ma clé usb Nina".

-"Laisse-moi partir d'abord"

-"Tu n'es pas en position de me donner des ordres fille sexy. Je répète: ou est ma clé usb."

Je ne réponds pas, Clara reprend:

"Bien, je vais devoir te garder dans ce cas".

Elle me saisit au bras et m'emmène dans une autre pièce. Pendant que je marche je tente de me dégager des cordes. Mais elles sont trop serrées, impossible. Clara me dirige vers cette perche. Elle a pris d’autres cordes, elle commence par m'attacher les chevilles. Puis une fois que mes pieds sont attachés, elle les attache à la
perche. Je lui dit:

"Clara, arrête ça, je te rendrai ta clé usb, d'accord, mais laisse moi partir."

"Ne me pose pas de condition" me répond Clara."Dis-moi simplement où est la clé!".

Je ne réponds pas.

"Très bien. De toute façon tu es ma prisonnière maintenant." Puis elle m'attache maintenant les bras, passant les cordes au dessus et au dessous de mes seins. Puis elle m'attache à la taille à cette fichue perche. Puis elle fait de même au niveau des jambes. Je suis totalement ligotée, debout à cette perche. Puis elle saisi un morceau de scotch gris. Je lui fait:

"Tu ne t'en tireras pas cette fois Clara et je..mmmmhhh". Me voilà bâillonnée maintenant.

"Ouaou, je dois dire que tu es encore plus belle que d'ordinaire, dans cette robe. Toute sexy. Tu sais, j'ai vraiment beaucoup de plaisir à te grader ma captive. Je vais te laisser mijoter un peu. Je reviens dans quelques heures, prends le temps de bien réfléchir".

Clara me laisse seule dans cette pièce, je suis ligotée et bâillonnée. Je tente de crier: "MMMMHHH...MMMMHHHHH" rien à faire. Je tente de me dégager des cordes...impossible, Clara m'a déjà attachée une fois, je n'ai jamais pu me libérer, elle sait très bien ligoter. Je suis debout, attachée à cette fichue perche. Et il n’y a hélas rien que je puisse faire d’autre…

Après une heure Clara reviens dans la pièce. Elle tient un pistolet
et une sorte de taser. Elle vient vers moi et me prend à la taille me disant:

"Alors, ma jolie prisonnière, je commence par la douceur". Clara me plote les fesses, et m'embrasse sur le scotch. Puis elle descend ses mains à mes jambes, en me faisant de douces caresses. Ensuite elle s'éloigne et prend son taser et me dit:

"Après la douceur, viens la douleur. Dis-moi où est cette clé usb Nina."

Je ne dit rien, mais je commence à vraiment être effrayée. Puis elle prend son taser et l'allume tout près de moi. Je ne peux pas me retenir de crier:

"-MMMMMMMHHH!!!!!"

"Dis moi où elle est, où tu auras une terrible punition!!.....Bon très bien, ça va faire très mal"

Elle est sur le point de m'envoyer une décharge, je fais alors signe de la tête que je vais parler.

"AAhh, voilà qui mieux Nina" me répond Clara en m'enlevant le scotch.

"Tu es complètement folle Clara. Me kidnapper une seconde fois, m'attacher et me torturer, quelle femme es-tu." je réplique aussitôt.

"Tu dois me dire où est la clé Nina, si tu ne veux pas souffrir"

"D'accord, elle est chez moi, dans ma maison, pitié, ne me fais pas de mal Clara".

"On va y aller ensemble, fille sexy" puis elle me remet le scotch me bâillonnant à nouveau.

Clara me détache mes chevilles, mes jambes, les cordes qui me maintiennent à la perche, ainsi que mes bras. Mes poignets sont toujours attachés dans le dos, et je reste bâillonnée. Elle m'emmène dans sa voiture.

Pendant que nous roulons, et que je suis toujours attachée, prisonnière, je me demande ce qu'il va m'arriver. Va-elle me tuer, elle a prise son arme. J'aurais du rester chez moi après
avoir pris la clé, quelle conne d'être retournée, me voilà une fois de plus kidnappée.

Nous arrivons chez moi, Clara me fait descendre de la voiture et me fait entrer. Je ne peux que la suivre, je ne peux appeler personne au secours, à cause de fichu scotch sur ma bouche. Nous entrons chez moi, Clara me dit.

"Maintenant amène moi vers la clé, fille sexy".

Je marche les mains attachées dans le dos vers le vieux lecteur cassettes. Clara s'empare de la clé usb et me dit aussitôt:

"Très bien, maintenant laisse moi t'annoncer la suite, je vais d'abord prendre du bon temps avec toi Nina. Ensuite, je te tuerais en faisant passer ton meurtre pour un suicide. Tu ne pensais tout de même pas t'en tirer comme ça!"

"MMMMMHHH" je réplique terrifiée. La police est sensé arriver pour leur ronde, que font-ils! Nina me jette sur mon lit.

"A nous deux, fille sexy!"

Aussitôt, le bruit de la porte s'entend, une clé est en train d'ouvrir, c'est la police qui vient faire sa ronde. Clara aperçoit le policer de la fenêtre et me dit:

-"Ah, sale garce! Très bien, je vais te détacher, ne dit absolument rien, j'ai toujours mon arme, je te tuerais si tu lui dis quoi que ce soit."

Elle m'ôte le scotch et détache enfin mes mains. Nous allons vers le policier, Clara tient toujours son arme, dissimulé avec son sac à main. Le policier m'adresse la parole.

"Bonjour Nina, vous avez de très belle amies dites-moi"

"Oui, officier, mais malheureusement pour vous, Clara doit justement s'en aller, n'est pas Clara" je réplique

"Oui, hélas" me répond elle. "Mais tu vas tout de même m'accompagner Nina"

Nous sortons près de sa voiture, avant de partir, Clara me dit : "Tu ne perds rien pour attendre, fille sexy!" et s'en va.

Elle est persuadée qu'elle a récupérée sa preuve, mais elle ignore que j'ai toujours ma copie sur mon ordinateur. Cette fois, j'ai l'avantage sur elle.

Floxy
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Re: Une journée imprévisible

Message par Floxy »

Très excellent, j'adore
Belle écriture, très bien détailler
Un vrai règale :D

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Mad Hatter
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Re: Une journée imprévisible

Message par Mad Hatter »

Clara résout ces problèmes de manière assez expéditives, enfin elle essaie
Tu sais, j'ai vraiment beaucoup de plaisir à te grader ma captive.
en effet Nina risque de prendre du grade de journaliste à cadavre :lol: . Faire attention; la fille sexy pourrait présenter Clara à un rouleau de corde :twisted:
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham


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les synonymes de fou sont intéressants Image

Nina

Re: Une journée imprévisible

Message par Nina »

Clara reviendra, mais plus tard. Et pour le moment voici la suite des évènements. Merci déjà à tous ceux qui ont suivi mon histoire :) :) :)
Bonne lecture à tous!!




Complot au delà des flots

Nous sommes vendredi matin, 08h00, mon réveil sonne. Je voudrais bien rester au lit plus longtemps, le voyage m'a tellement épuisée, mais je dois vraiment me lever aujourd'hui. J'ai été envoyée par mon travail à une exposition de peinture à St-Tropez, je dois prendre des clichés et préparer un article sur l'exposition, je suis partie avec ma voiture hier vers 18h00 pour parvenir à St-Tropez, le voyage a duré près de 5 heures, et m'a complètement épuisée. Et ce lit est tellement confortable, de plus la chambre est payée par mon travail. Mais je dois me lever maintenant. Je commence comme d'habitude par une douche. J'apprécie ressentir l'eau sur mon corps, nettoyer mes atouts, ma peau... Ensuite je me prépare. Tout d'abord j'enfile des sous-vêtements blancs crème. Je mets ensuite des collants également blancs et dentelés. Ensuite, j'enfile cette courte jupe molletonnée également blanche, celle-ci moule bien mes hanches. Ensuite je mets un corset blanc très serré. J'attache mes cheveux, faisant une queue de cheval, laissant deux franges à l'avant. Je mets des talons blancs, avec une bride à mes chevilles. Puis j'enfile des gants blancs mi-long, couvrant la première moitié de mes avants bras. Par dessus, j'enfile un bracelet doté de trois rangs de perles à mon poignet gauche, puis 4 bracelets joncs argentés à mon autre poignet. Me voilà prête.

Il s'agit d'une tenue haut de gamme, proportionnée à l'exposition. Celle-ci comporte des tableaux des plus célèbres, et des plus chers au monde. Je me rends à l'exposition. Devant la porte se trouve deux hommes en costards, probablement la sécurité. Des forces de polices sont également présente tout autour. J'avance vers la porte, l'un des hommes m'interpelle:

"-Puis-je avoir votre nom madame?"

"-Bien, sûr!" je réplique" Nina Averine, je suis la journaliste envoyée par le journal L'INSTANT."

L'homme regarde sur une tablette numérique. Puis me confirme:

"-Vous êtes bien dans la liste, je vous en prie, entrez".

"-Merci messieurs".

A peine suis-je entrer que j'entends les sécurités s'adresser à quelqu'un d'autre:

"Vous pouvez entrer Monsieurs Ducour, nous savons qui vous êtes, je vous souhaite une excellente visite".

"Merci mon brave" répond l'homme en question.

Pas étonnant qu'il le reconnaisse, il s'agit de Gustave Ducour, un millionnaire relativement reconnu, j'ai également été informée de sa présence. Il porte un costar blanc, et est accompagné de deux hommes, l’un d'un costar gris, et l'autre en costar noir.
Je commence la visite, je prends des clichés. Des explications sont données par les guides sur les différents tableaux. C'est incroyable, tout ce que l'on peut ressortir d'un simple tableau, ces théories vont trop loin pour moi. Il y beaucoup de visiteurs, la plupart sont des gens fortunés. Mais cette visite est longue, je m'assieds quelques minutes sur un banc. Puis ces tableaux, tout cela est bien beau, mais je m'en lasse vite, puis je n'appartiens pas vraiment à ce milieu, même si je sais mettre une tenue qui me permet de me fondre dans la masse. Je peux observer les hommes de Monsieur Ducour discuter avec les employés de la sécurité. Par contre je ne trouve pas Gustave. Enfin, peu importe, je n'ai pas besoin de cliché de lui. Je vais pouvoir continuer.
Soudain, une alarme retenti. Les gens sont tous paniqué, et les agents qui étaient avec les hommes de M. Ducour courent vers la droite. Un tableau n'est plus là, il s'agit du Portrait d'Adèle Bloch Bauer, de Gustav Klimt. Celui ci vaut plus de 150 millions d'euros. L'un des deux agents donne le message par radio:
"-A toute les équipes, le tableau volé est le portrait d'Adèle Bloch Bauer, verrouillez toutes les issues, le voleur est forcément encore dans l'expo."
Impossible de continuer la visite, c'est la folie partout dans l'expo. Puis les agents reçoivent un message par radio, puis courent en direction des toilettes. Je les suis, il faut que je prenne des clichés de l'intervention. En ouvrant la porte, ils tombent sur le voleur, le tableau derrière lui, mais ce dernier tient en otage Monsieur Ducour, avec un pistolet. Je parviens à prendre une photo à distance. Au moins une dizaine d'agents de sécurité et de polices sont présents. L'un des policiers crie:
"-Lâchez votre arme, toutes les issues sont bouclées, vous n'avez aucune chance. Si vous le tuez vous subirez la pénalité d'un meurtre, réfléchissez y!".

"-Non tirez pas" réplique le voleur. "C'est bon je me rends, je pose mon arme" ce qu'il fait instantanément.

"-Embarquez-le" réplique le policier. Puis il se dirige vers Gustave.

"-Désolé, Monsieur Ducour, tout va bien".

"-Oh, j'ai eu une de ces frousses, mais tout va bien maintenant, merci mon brave. Je vais rentrer, afin de reprendre mes esprits, merci pour votre intervention, c'était excellent."
"-C'est notre travail Monsieur, reposez-vous bien.
Le tableau est à nouveau accroché, je dois le prendre en photo avant qu'il y ait un autre incident. La photo est prise. Mais c'est curieux, maintenant que je la regarde, cette peinture ne semble pas très vieille. Pourtant ce tableau date de plus de cent ans. Puis quand j'y pense c'est tout même curieux, les hommes de M. Ducour discutaient avec la sécurité, comme si ils souhaitaient les éloigner du tableau, puis M. Ducour est lui-même interpellé par le voleur. Il faut que j'en sache plus. Les deux hommes sont avec Gustave maintenant, et semblent dire au revoir aux agents de sécurité. C'est le moment pour moi. J'accoste discrètement l'homme en costar gris:
"- Ouaouhh. Vous avez vu ça. Incroyable, le Portrait d'Adèle Bloch Bauer, de Gustav Klimt a failli être volé."
"- Oui, j'ai vu toute la scène, incroyable comme vous dite. Cet homme était complètement fou, il n'avait aucune chance de s'enfuir" il me répond.
"-Oui, c'est fou n'est-ce pas." je réplique en le regardant droit dans les yeux. Je sens qu'il tombe sous mon charme, il me répond.
"-Cela a dû être effrayant pour vous".
"-Oh, oui, vous n'imaginez pas, j'ai tellement eu peur. Je n'ai pas l'habitude voir ce genre de menace. J'ai un peu honte, mais j'en tremble encore".
"-Vous n'avez pas à avoir honte, mademoiselle, tout cela doit être éprouvant pour une jolie jeune femme comme vous".
"-Oui. Ohh vous êtes tellement gentil. Continuez-vous la visite?".

"-Non, hélas, nous partons ce soir. Mais je serais ravi de vous revoir, nous organiseront dans deux semaines une petite fête sur notre bateaux, à nouveau à St-Tropez, pourrais-je avoir votre numéro, je serai ravi de pouvoir vous inviter.

"-Ohh, un bateau, c'est magnifique, oui je bien sûr, donnez-moi votre portable s'il vous plaît."

L'homme me prête son téléphone. Gagné, j'ajoute un faux numéro, puis j'y installe une application qui m’a déjà servi autrefois. Cela agit comme un dispositif d'écoute. Tous ses appels peuvent être écoutés à partir de mon propre téléphone portable. Je lui rends son téléphone.
"- Vous trouverez mon numéro sous le nom de Nina Averine, à bientôt bel homme."
"- Je m'en réjouis déjà, au revoir" me répond-il.
Je rentre dans ma voiture, et allume mon portable. Le dispositif me permet d'écouter tous ses appels. Tout en rentrant, je le laisse allumé. L'exposition n'a plus d'importance, j'ai déjà assez de clichés, puis si je parviens à dénicher un éventuel complot, cela me fera un article en or. Arrivé près de l’hôtel, avant que je ne sorte de la voiture, un appel retenti de son téléphone, j'écoute tout:
-"Albert, c'est moi, tout est réussi, il est dans le bateau".
-"Très bien" réplique mon homme qui apparemment s'appelle Albert. "On fait comme prévu, a tout de suite".
Zut, il n'a pas parlé du tableau, mais c'est tout de même bien possible. Je pourrai me rendre au port, et vérifier par moi même. Allons-y!! Je sais déjà où leur bateau a accosté, là où les plus fortunés accostent tous leur bateau. Je sais que son nom est "l'étoile des mers", je n'aurai aucun mal à le trouver. Ma tenue à fait son effet, l'homme s'est fait avoir par mon charme. J'aime ce pouvoir que je peux exercer sur les hommes. Je parque ma voiture près du port, je n'oublie pas mon appareil photo, pour prendre des clichés comme preuve. J'aperçois leur bateau. Personne ne le surveille, je monte sur le pont. Il faut que parvienne à ouvrir la grande cabine. Coup de chance, la porte n'est pas verrouillée. J'entre... L'intérieur du bateau est grand, il y a plusieurs pièces. Je parviens à ce qui semble être le salon, la pièce est tout de même grande. Puis je rentre dans ce qui semble être la cabine de Gustave. Gagné, le tableau est ici. Je prends immédiatement une photo, montrant toute la pièce avec le tableau à l’intérieur. Ils ont probablement échangé le véritable tableau par un faux, lors de ce faux vol, il leur suffisait de lancer le vrai par la fenêtre avec quelqu’un pour le réceptionner, le faux tableau servant à leur faire croire que le véritable tableau était toujours à l’expo afin de ne pas éveiller de soupçons. L'affaire était bien pensée. Ma photo servira de preuve pour leurs vols, je ressors de la cabine.
Soudain, dans le salon, je tombe sur Albert. Il coure vers moi en passant par la gauche de la grande table, je passe de l'autre côté en courant, puis je parviens à sortir du salon, pendant qu'Albert me crie:
"- Revenez! Revenez ici toute de suite espèce de fouineuse!!".
Je prends la porte qui me permet d'accéder à l'extérieur. Je cours près du pont pour rejoindre la terre. Horreur, Gustave se trouve à l'autre bout du pont et braque une arme sur moi, en me retournant, je vois Albert et l'autre homme. Gustave avance pendant que je recule sur le bateau les mains en l'air. Là je suis vraiment mal. J'arrive près de la porte, Albert me fait:
"-Je vous en prie, après vous ma chère".
L'arme de Gustave est toujours braquée sur moi, puis les deux hommes me suivent côte à côte. Nous allons dans le salon. Gustave range son arme et me dit:
" Asseyez-vous mademoiselle Averine".
Je m'assieds, face à eux trois également assis. Gustave m'adresse la parole:
"Nous savons que vous avez mis en place un dispositif d'écoute sur le téléphone de Albert. Ceci est de l'espionnage mademoiselle, vous savez que c'est très grave."
"Comment osez-vous ? " je réplique, "vous venez de me menacer avec un pistolet. Et vous avez volé le Portrait d'Adèle Bloch Bauer, le remplaçant par un faux lors de ce vol bidon. Vous avez volé un tableau des plus chers au monde. Lorsque la police le saura, c'est vous qui en répondrez."
"Chef, elle en sait trop" dit l'homme en costar noir.
"On ne va pas la tuer, c'est une trop jolie femme" réplique Albert. "Attachons-la et gardons-la!!"
"On peut" demande l'homme ne costar noir à Gustave. Gustave répond:
"Allons-y!!". Les trois hommes sortent des cordes et un foulard blanc et se dirigent vers moi, je crie.
"Mais vous n'avez pas le droit!! Lâchez-moi !!..MMMMmmmhhh!!!!". Albert viens de me bâillonner avec le foulard, je ne peux déjà plus parler. L'homme en costar noir me tiens mes mains à l'avant, pendant que Gustave m'attache les poignets ensemble, à l'avant, mes mains étant serrées l'une contre l'autre. La corde est enroulée autour de mes gants blancs, puis il serre un nœud.
Ensuite, Albert me tient les bras, pendant que l'homme en costar noir passe les cordes par dessus mon corps et mes bras au tour de la chaise. Je sens directement ma corde sur mes bras, dégagés, puis il serre le nœud m'attachant à la chaise. En même temps, Gustave était déjà en train d'attacher mes chevilles ensemble. Je ne peux pas bouger, j'essaie de me débattre, mais ces trois hommes sont sur moi. Mes chevilles sont aussi ligotées à présent. Puis il passe une autre corde justes au dessous de mes genoux, attachant mes jambes ensembles, et serrent le nœud. Puis ils m'attachent encore avec une autre corde au dessus des genoux. Me voilà ligotée et bâillonnée à cette chaise, les mains attachées ensembles à l'avant. Gustave réplique.
"Bon travail, maintenant nous allons lever l'ancre". Puis ils partent à leurs postes pour faire partir le bateau. J'essaie de leur crier non:
"MMMMHHH...MMMMHHHH...GGMMMMHHH!!!" rien à faire, je suis bâillonnée.
J'essaie de me dégager, hélas, les cordes sont bien serrées, ce sont des marins, ils faire des nœuds. Je n'ai jamais été attachée les mains en avant, il n'empêche que je suis tout de même bien ligotée, puis les cordes autour de mes bras m'empêche d'atteindre mon bâillon, je reste attachée. Puis le bateau est déjà parti. Me voilà prisonnière sur la mer.
Les 3 matelots viennent vers moi. Je croise mes doigts, de mes mains ligotées ensembles.
"Que va-t-on faire d'elle chef" demande l'homme en costar noir.

"Nous allons accoster à Nice, puis nous la garderons à ma résidence secondaire, là-bas, elle pourra encore nous servir" répond Gustave.
"Je sais déjà ce qu'on pourra en faire, elle vraiment mignonne, il y a de quoi se régaler" répond Albert.
"Plus tard Albert. Pour l'instant, il faut diriger le bateau sur Nice. Quand nous y serons, nous pourrons nous amuser un peu".
Pendant qu'ils parlent, je ne peux toujours pas bouger, je ne peux même pas parler, je suis toujours prisonnière. De temps en temps, j'essaie de me dégager, ou de crier, mais cela ne donne rien. Je suis en détresse, à leur complète merci et toute attachée…
Cela fait désormais plus de 24 heures que nous voguons, pendant que je suis toujours ligotée. Albert viens vers moi, et me caresse les épaules:
"-Nous aurons notre soirée, Nina" me dit-il. "Elle sera différente que ce tu attendais je suppose, mais je t'assure que je vais y prendre beaucoup de plaisir".
Je ne peux que me laisser faire, espérant que ces attouchements n'iront pas trop loin. Que calvaire d'être attachée, je peux rien faire, et tout le monde peut me toucher ou me ploter à sa guise.
Ils me nourrissent régulièrement, ce sont les rares fois où je n'ai plus mon bâillon, mais une fois fini, avant que je prononcer un mot ils me re bâillonnent. Etant donné leur façon de me regarder, je crois que ça les excite de me voire attachée et bâillonnée. Quelle bande de pervers. Si seulement je pouvais me dégager de mes cordes. Quelle poisse tout de même, ils n'ont confisqué que mon appareil photo sans prendre le temps de me fouiller. Si je n'avais pas oublié mon portable dans ma voiture, j'aurais pu envoyer un appel à la police. En criant bâillonnée, ils auraient compris que j'étais en danger.
Nous sommes arrivés à Nice, nous avons voyagé pendant deux jours, deux jours que je suis restée attachée sur cette chaise.
Les trois hommes se rassemblent:
"Très bien, nous la laissons la, d'abord nous transportons le tableau, ensuite on reviendra la prendre" explique Gustave.
Ils partent tous, sauf Albert qui vient vers moi, mettant ses mains autour de mes joues et me disant:
"J'ai hâte de notre petite soirée, Nina". Pendant ce temps, je parviens à voler un canif qui se trouvait sa poche. Il n’a rien remarqué. Puis il m'embrasse sur la joue. Je déteste ça!!! Puis il s'en va également.
C'est le moment, je sors le canif et tente de couper les cordes autour de mes poignets. C'est difficile, ce petit couteau ne coupe pas très bien. Mais je continue, c'est ma seule chance. Je scie progressivement ces cordes...oh…oui, elle est coupée. Je dégage la corde autour de mes mains. Maintenant je coupe les cordes autour de mes bras, cela prend beaucoup de temps, elles sont très serrées et solides. Mais j’y arrive également.
Et voilà, mon cors est libre, il reste mes jambes, je détache les nœuds, cela ira plus vite.... déjà les cordes au dessus de mes genoux sont détachées... Puis celle au dessous également, il ne reste plus que mes chevilles.... et voilà je suis détachée, j'enlève mon bâillon...
"-Ahhh, libre enfin" après deux jours ligotées et bâillonnée je suis enfin libre. Je me saisis immédiatement d’un téléphone portable qu’ils ont oublié. J'appelle la police:
"-Bonjour, je m'appelle Nina Averine, j'ai été enlevée par Gustave Ducour, il a volé Portrait d'Adèle Bloch Bauer, de Gustav Klimt à l'exposition de St-Tropez, après il m’a kidnappée parce que j'avais découvert le complot, vite, il faut l'appréhender!"
"-Madame Averine, nous savons déjà tout. La police de St-Tropez a trouvé votre téléphone dans votre voiture près de port, nous avons entendu votre enregistrement. Nous sommes en relation avec eux. Nous avons déjà appréhendé Gustave et l'un de ses hommes. Où êtes-vous en ce moment ? " me demande la police.
"Je suis encore dans leurs bateau, je viens à l’instant de me libérer" je réplique.
"Quittez immédiatement les lieux, et rendez vous au poste" réplique la police.
"-Oui bien, sûr, je vous retrouve tout de suite". Puis je raccroche, Je coure vers la sortie.
Soudain la porte s'ouvre, Albert est entré face à moi. Il s'acharne sur moi et me saisi les deux bras.
"Ahh, sale peste, tu as failli t'échapper, mais je t'ai eu."
"-Lâches moi espèce de pervers, tout est fini".
"Tu n'es pas sorti ma jolie...Donne moi tes mains !!!"
"Non, lâche-moi, maintenant!"
Puis Albert croise mes mains dans le dos, m'attachant les mains avec une corde, cette fois à l'arrière. Puis il m’emmène dans la cabine de pilotage. Il ferme la porte puis effectue les manœuvres pour quitter le port. Si seulement la police pouvait intervenir avant. Je sens encore ces fichues cordes me rendant prisonnière, cette fois à l'arrière. Hélas, Albert a pu faire partir le bateau avant que la police ne nous retrouve, puis il me prend par le bras, j'avance les mains attachées dans le dos. Il me dit:
"Tu es à nouveau ma prisonnière ma jolie. Cette fois je vais me faire plaisir."
Il avance vers la télé, moi le suivant, toujours attachées les mains à l'arrière, nous regardons les nouvelles et voyons la police interpellant Gustave et son homme.
Puis nous repartons vers la cabine de pilotage. Albert me prends partout avec lui, moi étant toujours prisonnière avec mes mains attachées avec cette fichue corde. Je suis debout à côté de lui pendant qu’il effectue des manœuvres de pilotage. Cela fait plusieurs heures que nous sommes partis. Après une demi-heure encore je lui demande:

"Où est-ce que l'on va"

"Direction Italie, le mandat n'a pas pu être lancé au delà de la France".
"Mais il annonce de la tempête dans cette direction, tu ne crois pas que c'est trop dangereux"
"Non, ne t'inquiètes pas, j'ai essuyé des tempête plus importante".
"Je ne savais pas qu'on pouvait manœuvrer seul un bateau de cette taille" je réplique.
"J'ai beaucoup d'expérience. Pour moi c'est un jeu d'enfant."
"La police a récupéré le tableau" je réponds.
"Oui, pour ça tout est foutu" me fait Albert.
"Alors relâche moi, je dirai à la police que tu as coopéré, s'il te plait", je lui dis, étant toujours attachée les mains dans le dos.
"Non, j'ai encore envie de toi ma jolie, d'ailleurs assez parlé! Suis-moi maintenant !!" répond-t-il.
J'avance avec lui, lui me tenant par le bras. Nous traversons le salon, puis nous nous dirigeons dans une pièce que je n'ai pas encore vue. Nous arrivons dans une chambre à couché, avec un lit double. Albert me lance sur le lit et me fait.
"On va prendre du bon temps maintenant Nina" puis colle sa bouche contre la mienne, avant que je puisse prononcer un mot. J'essaie de le repousser, mais impossible avec mes mains ligotées. Dès que sa bouche se sépare de la mienne, je lui crie :
"Espèce de malade, comment oses-tu ?!!"
"Je veux plus t'entendre salope", répond-il, puis il prends un tissus blanc et me bâillonne à nouveau.
"Voilà, comme ça tu es encore plus mignonne" répond-il.
Il plote mes seins et mes fesses aussi, je tente de crier: "MMMMMHHHHHHH". Mais il n'y entend rien, il est acharné sur moi. Puis il se lève et enlève sa veste et sa chemise. Je ne le trouve pas beau en plus, et me voilà à sa merci. Puis il enlève son pantalon, je le vois en slip, son organe génitale droit en l'air, il bande comme un cerf. Je suis horrifiée.
Soudain. La porte est défoncée: "Police, écartez vous tout de suite".
La police est sur les lieux, ils arrêtent immédiatement Albert et me détachent.
"-Mon dieu, tout va bien Madame?" me demande l'un des policiers.
"-C'était horrible, mais maintenant oui, ça va" je réponds en pleurant.
"-On prend l'hélicoptère, vous passerez la nuit au poste, et on vous ramènera chez vous le lendemain"

"-D'accord, merci pour tout".
Nous prenons l'hélicoptère, puis j'arrive au poste. Je discute avec le commandant. Il m'affirme que les trois hommes écoperont de la perpétuité, je suis sauvée, plus jamais ils ne m'approcheront. Me voilà enfin tirée d'affaire, et libre!!!

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Ce que je déteste : ce que je déteste je ne sais pas encore en fait, vu que je n'ai que très peu d'expérience
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Re: Une journée imprévisible

Message par nonobound »

toujours aussi intéressante ton histoire :)

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