Re: Nouvelles règles ...
Publié : 05 août 2016, 17:49
Voilà la suite !
(et la fin je pense). Par conte la vraie histoire est beaucoup moins palpitante
——————————————————————————————
Après ce qui sembla durer une éternité, les deux filles purent sortir de la limousine. Elle furent porter par 2 hommes qui réussirent à ne pas être déstabilisés par leur gesticulation. Après un court moment, elles furent placés sur un matelas posé à terre, leur bandeau fut enlevé ainsi que les boules quies de Natascha.
- Bien dormi ? demanda la professeur de danse
Seulement des bruits étouffés lui répondirent.
- On voulait seulement parler à Aurélie mais on dirait qu’une petite imprudente soit venue de son plein gré. C’est parfait ! On avait besoin de deux volontaires pour tester quelques petites choses … Sors la caméra ! dit-elle en direction de sa collègue. Les deux captives essayèrent de protester mais leur bâillon était trop efficaces. Elles virent par la suite dans quelle sorte de salle elles étaient présentes, un studio. Des appareils photos étaient placés dans toute la salle, des fonds blancs et vert et surtout, tout un attirail et tenues bien particulier. Elles eurent plus peur en voyant tout ce matériel :
- Mmpphmmm !!
- Chhuut mesdemoiselles, ce n’est plus le moment de danser ! Ça tourne !
S’ensuivit une séance inoubliable pour les jeunes danseuses. Elles furent attachées par toutes les manières inimaginables, une fois en hogtied en mettant involontairement leur forme en évidence, une fois en frogtied, d’autres fois debout reliées par des chaînes etc… À chaque position, une vidéo différente était filmée, un coup, un ravisseur apparaissait à l’écran en touchant les jeunes filles de toutes parts et en leur claquant les cuisses et les fesses fermement mais sans leur faire de mal; l’autre coup, c’était une ravisseuse avec des équipements plus … particuliers. Après 3 petites heures de prises photos, prises vidéos, elle furent attachés l’une contre l’autre, dos à dos et debout en équilibre de par leur liens qui tiraient leur poignets vers le plafond. C’est tout en sueur et rouge de fatigue qu’elles entendirent leur ravisseurs revenir. L’homme qui portait l’une des deux filles auparavant s’encombrait d’une camisole de force et son acolyte, la professeur portait une tenue verte à son bras.
Sans un mot ils détachèrent et maitrisèrent Aurélie. Le géant l’obligea à rentrer dans la camisole de force pendant que la jeune ravisseuse menaçait sa camarade de sa petite canne rigide si elle n’obéissait pas. Une fois ses bras immobilisés et croisés dans l’équipement, l’homme lui enleva son bâillon, le foulard de soie s’enleva ainsi que la boule glissée à l’intérieur, son collant faisant aussi partit du bâillon partit comme par magie. Elle put enfin cracher pour enlever le goût désagréable et respirer librement. D’un coup elle se retrouva avec une bouteille d’eau à ses lèvres et les mâchoires serrées dans une poigne de fer.
- Bois, ce sera pas de si tôt que tu en auras l’occasion.
Elle le fit, l’homme lui fit couler l’eau avec une douceur surprenante, une fois rassasiée elle fit un signe de tête à son ravisseur. Elle n’eu pas le temps de parler qu’un bâillon boule rouge lui cloua une nouvelle fois le bec. La boule se logea bien au fond et les sangles serrés au maximum. Elle fut allongée sur le matelas trainant à terre avec ses chevilles menottées malgré quelques gémissements trahissant sa fatigue.
- Au tour de la brunette !
Même mode opératoire à un détail près. Elle fut entièrement libre de ses mouvements mais encore bâillonée.
- Je te propose de mettre cette tenue en lycra. Tu peux aller te changer derrière dans la petite pièce juste à côté. Si je soupçonne le moindre de tes gestes , on sera plus brusque et ta copine aura le droit à quelques coups de cannes. À toi de voir.
En larmes mais résignée, elle obéit à numéro 4. Une fois la tenue enfilée elle rentra dans la pièce. Elle fut prise directement en étau et fut ligotée en quelques secondes aux côtés d’Aurélie. Numéro 4 lui remit par la même occasion des boules quies et un bandeau.
- C’est le moment de vous séparer, on a beaucoup à se dire Aurélie … mais avant je vais m’occuper de ta copine, on va la remettre là ou on la trouvait dit-elle d’un air malicieux.
Dès que le géant la remit sur son épaule, Natascha prit peur et se débattit… pour rien encore une fois. Ils laissèrent Aurélie seule, dans l’impossibilité de se sortir de sa situation.
Cette fois, pas de limousine, l’homme mit la jeune fille dans le coffre et ils filèrent vers le club de danse. Numéro 4 avait une idée derrière la tête.
Une fois arrivé à destination, ils se garèrent dans le parking privé (il était désert car à cette heure-ci, il n’y avait pas de cours avant au moins 3 bonnes heures) et remontèrent à la salle de danse.
- On va la poser dans ces vestiaires indiqua le ravisseuse.
Elle dévérouilla la porte, et prépara le nécessaire. La salle était disposée de telle sorte que les bancs soit alignés contre le mur, formant ainsi un carré. Une porte au fond de la pièce marquait le début des douches, un grand tuyau était visible traversait le plafond. Ils installèrent la jeune fille au beau milieu, nouèrent les poignets croisées , passèrent le reste des cordes au dessus de la tuyauterie et serrèrent un maximum. Ceci a eu pour effet de soulever la danseuse jusqu’à la pointe des pieds. Les cordes étant souple, elles ne lui coupaient pas la circulation et ne faisaient pas de marques sur la peau. Avant de partir, ils lui lièrent ses chevilles pour faire bonne mesure (croisées aussi) et passèrent plusieurs tour de corde au dessus des genoux, elle était pur ainsi dire totalement saucissonnée et incapable de bouger. Ses boules quines furent enlevés et ses gémissements faiblirent un petit peu. Son bandeau se souleva sur son front et elle put voir où elle était.
- Voilà une belle présentation ! Je vais laissé une feuille sur la porte regarde !
Il y était écrit « entrez sans faire de bruit et admirez le spectacle, ne me dérangez sous aucun prétexte. On viendra me libérer sous peu ».
En voyant ces mots elle essaya de se sortir de là, cette vision plu beaucoup à numéro 4.
- Je me demande de ce que vont penser les garçons qui seront les prochains à faire cours ! Tu es bien jolie sous cette tenue. Je te remet ce bandeau, je te met des boules quies moins performantes pour que tu essayes de comprendre ce qui se dit. Je leur dirait que tu t’es faite avoir par quelques unes de tes amies. Pas un mot sur notre rencontre ou Aurélie le paiera. À toi de voir. Sur ce, je te souhaite une bonne soirée !
Une fois tout remis à sa place, elle accrocha le mot sur la porte des vestiaires et avec son camarade, ils s’en allèrent en laissant la jeune fille sous ses gémissements et cris bien étouffés. Elle se félicita de son travail car on entendait aucun son à moins d’être devant la porte grande ouverte.
——————————
Une fois ses ravisseurs partis et ses efforts vains, Natascha se rappelle les paroles de la professeur : « Je me demande de ce que vont penser les garçons qui seront les prochains à faire cours ! ». Que voulait-elle dire par là ? En réfléchissant quelques secondes, elle comprit et son coeur se glaça. Elle ne se trouvait pas dans les vestiaires réservés aux filles, mais celui des garçons ! C’est pour ça qu’elle n’avait pas reconnu tout de suite la couleur de la peinture. En sachant cela, elle fit tout pour se libérer. Certains garçons étaient très joueurs et elle savait que certains n’hésiteraient pas à la laisser comme tel. Par désespoir elle cria :
- MMphmmmm !!!!
Mais comme auparavant, presque aucun son ne sortit …
(et la fin je pense). Par conte la vraie histoire est beaucoup moins palpitante
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Après ce qui sembla durer une éternité, les deux filles purent sortir de la limousine. Elle furent porter par 2 hommes qui réussirent à ne pas être déstabilisés par leur gesticulation. Après un court moment, elles furent placés sur un matelas posé à terre, leur bandeau fut enlevé ainsi que les boules quies de Natascha.
- Bien dormi ? demanda la professeur de danse
Seulement des bruits étouffés lui répondirent.
- On voulait seulement parler à Aurélie mais on dirait qu’une petite imprudente soit venue de son plein gré. C’est parfait ! On avait besoin de deux volontaires pour tester quelques petites choses … Sors la caméra ! dit-elle en direction de sa collègue. Les deux captives essayèrent de protester mais leur bâillon était trop efficaces. Elles virent par la suite dans quelle sorte de salle elles étaient présentes, un studio. Des appareils photos étaient placés dans toute la salle, des fonds blancs et vert et surtout, tout un attirail et tenues bien particulier. Elles eurent plus peur en voyant tout ce matériel :
- Mmpphmmm !!
- Chhuut mesdemoiselles, ce n’est plus le moment de danser ! Ça tourne !
S’ensuivit une séance inoubliable pour les jeunes danseuses. Elles furent attachées par toutes les manières inimaginables, une fois en hogtied en mettant involontairement leur forme en évidence, une fois en frogtied, d’autres fois debout reliées par des chaînes etc… À chaque position, une vidéo différente était filmée, un coup, un ravisseur apparaissait à l’écran en touchant les jeunes filles de toutes parts et en leur claquant les cuisses et les fesses fermement mais sans leur faire de mal; l’autre coup, c’était une ravisseuse avec des équipements plus … particuliers. Après 3 petites heures de prises photos, prises vidéos, elle furent attachés l’une contre l’autre, dos à dos et debout en équilibre de par leur liens qui tiraient leur poignets vers le plafond. C’est tout en sueur et rouge de fatigue qu’elles entendirent leur ravisseurs revenir. L’homme qui portait l’une des deux filles auparavant s’encombrait d’une camisole de force et son acolyte, la professeur portait une tenue verte à son bras.
Sans un mot ils détachèrent et maitrisèrent Aurélie. Le géant l’obligea à rentrer dans la camisole de force pendant que la jeune ravisseuse menaçait sa camarade de sa petite canne rigide si elle n’obéissait pas. Une fois ses bras immobilisés et croisés dans l’équipement, l’homme lui enleva son bâillon, le foulard de soie s’enleva ainsi que la boule glissée à l’intérieur, son collant faisant aussi partit du bâillon partit comme par magie. Elle put enfin cracher pour enlever le goût désagréable et respirer librement. D’un coup elle se retrouva avec une bouteille d’eau à ses lèvres et les mâchoires serrées dans une poigne de fer.
- Bois, ce sera pas de si tôt que tu en auras l’occasion.
Elle le fit, l’homme lui fit couler l’eau avec une douceur surprenante, une fois rassasiée elle fit un signe de tête à son ravisseur. Elle n’eu pas le temps de parler qu’un bâillon boule rouge lui cloua une nouvelle fois le bec. La boule se logea bien au fond et les sangles serrés au maximum. Elle fut allongée sur le matelas trainant à terre avec ses chevilles menottées malgré quelques gémissements trahissant sa fatigue.
- Au tour de la brunette !
Même mode opératoire à un détail près. Elle fut entièrement libre de ses mouvements mais encore bâillonée.
- Je te propose de mettre cette tenue en lycra. Tu peux aller te changer derrière dans la petite pièce juste à côté. Si je soupçonne le moindre de tes gestes , on sera plus brusque et ta copine aura le droit à quelques coups de cannes. À toi de voir.
En larmes mais résignée, elle obéit à numéro 4. Une fois la tenue enfilée elle rentra dans la pièce. Elle fut prise directement en étau et fut ligotée en quelques secondes aux côtés d’Aurélie. Numéro 4 lui remit par la même occasion des boules quies et un bandeau.
- C’est le moment de vous séparer, on a beaucoup à se dire Aurélie … mais avant je vais m’occuper de ta copine, on va la remettre là ou on la trouvait dit-elle d’un air malicieux.
Dès que le géant la remit sur son épaule, Natascha prit peur et se débattit… pour rien encore une fois. Ils laissèrent Aurélie seule, dans l’impossibilité de se sortir de sa situation.
Cette fois, pas de limousine, l’homme mit la jeune fille dans le coffre et ils filèrent vers le club de danse. Numéro 4 avait une idée derrière la tête.
Une fois arrivé à destination, ils se garèrent dans le parking privé (il était désert car à cette heure-ci, il n’y avait pas de cours avant au moins 3 bonnes heures) et remontèrent à la salle de danse.
- On va la poser dans ces vestiaires indiqua le ravisseuse.
Elle dévérouilla la porte, et prépara le nécessaire. La salle était disposée de telle sorte que les bancs soit alignés contre le mur, formant ainsi un carré. Une porte au fond de la pièce marquait le début des douches, un grand tuyau était visible traversait le plafond. Ils installèrent la jeune fille au beau milieu, nouèrent les poignets croisées , passèrent le reste des cordes au dessus de la tuyauterie et serrèrent un maximum. Ceci a eu pour effet de soulever la danseuse jusqu’à la pointe des pieds. Les cordes étant souple, elles ne lui coupaient pas la circulation et ne faisaient pas de marques sur la peau. Avant de partir, ils lui lièrent ses chevilles pour faire bonne mesure (croisées aussi) et passèrent plusieurs tour de corde au dessus des genoux, elle était pur ainsi dire totalement saucissonnée et incapable de bouger. Ses boules quines furent enlevés et ses gémissements faiblirent un petit peu. Son bandeau se souleva sur son front et elle put voir où elle était.
- Voilà une belle présentation ! Je vais laissé une feuille sur la porte regarde !
Il y était écrit « entrez sans faire de bruit et admirez le spectacle, ne me dérangez sous aucun prétexte. On viendra me libérer sous peu ».
En voyant ces mots elle essaya de se sortir de là, cette vision plu beaucoup à numéro 4.
- Je me demande de ce que vont penser les garçons qui seront les prochains à faire cours ! Tu es bien jolie sous cette tenue. Je te remet ce bandeau, je te met des boules quies moins performantes pour que tu essayes de comprendre ce qui se dit. Je leur dirait que tu t’es faite avoir par quelques unes de tes amies. Pas un mot sur notre rencontre ou Aurélie le paiera. À toi de voir. Sur ce, je te souhaite une bonne soirée !
Une fois tout remis à sa place, elle accrocha le mot sur la porte des vestiaires et avec son camarade, ils s’en allèrent en laissant la jeune fille sous ses gémissements et cris bien étouffés. Elle se félicita de son travail car on entendait aucun son à moins d’être devant la porte grande ouverte.
——————————
Une fois ses ravisseurs partis et ses efforts vains, Natascha se rappelle les paroles de la professeur : « Je me demande de ce que vont penser les garçons qui seront les prochains à faire cours ! ». Que voulait-elle dire par là ? En réfléchissant quelques secondes, elle comprit et son coeur se glaça. Elle ne se trouvait pas dans les vestiaires réservés aux filles, mais celui des garçons ! C’est pour ça qu’elle n’avait pas reconnu tout de suite la couleur de la peinture. En sachant cela, elle fit tout pour se libérer. Certains garçons étaient très joueurs et elle savait que certains n’hésiteraient pas à la laisser comme tel. Par désespoir elle cria :
- MMphmmmm !!!!
Mais comme auparavant, presque aucun son ne sortit …