Jeux de Liens

Un nouveau petit jeu qui consiste à "fabriquer une phrase sans fin" toujours en rapport avec les liens. A chacun de vos passages, vous avez droit à écrire dix mots maximum. C'est certain qu'à un moment donné, la phrase n'aura peut-être ni queue ni tête, mais elle devrait arrivée à nous faire rire malgré tout. Par exemple, je commence par:

Il avait croisé son regard dans les escaliers du métro...

Pour plus de facilité de compréhension du texte, recopiez à chaque fois les débuts. c'est juste pour éviter de nous fatiguer à remonter aux premières phrases :

Il avait croisé son regard dans les escaliers du métro, subjugué par son allure fière, douce, et rebelle...

A vous

Il avait croisé son regard dans les escaliers du métro, subjugué par son allure fière, douce, et rebelle.
Comme un ange, elle survolait les marches dans sa robe ....

Il avait croisé son regard dans les escaliers du métro, subjugué par son allure fière, douce, et rebelle, comme un ange, elle survolait les marches dans sa robe, il n'avait qu'une idée en tête, ...

Il avait croisé son regard dans les escaliers du métro, subjugué par son allure fière, douce, et rebelle, comme un ange, elle survolait les marches dans sa robe, il n'avait qu'une idée en tête,( ) qu'elle lui appartienne, douce captive, pieds et mains liées ...

Il avait croisé son regard dans les escaliers du métro, subjugué par son allure fière, douce, et rebelle, comme un ange, elle survolait les marches dans sa robe, il n'avait qu'une idée en tête,( ) qu'elle lui appartienne, douce captive, pieds et mains liées, avec comme seul habit des liens pour sublimer ces formes .....

Il avait croisé son regard dans les escaliers du métro, subjugué par son allure fière, douce, et rebelle, comme un ange, elle survolait les marches dans sa robe, il n'avait qu'une idée en tête, qu'elle lui appartienne, douce captive, pieds et mains liées, avec comme seul habit des liens pour sublimer ces formes, caresser son corps et la regarder s'abandonner à lui...

Il avait croisé son regard dans les escaliers du métro, subjugué par son allure fière, douce, et rebelle, comme un ange, elle survolait les marches dans sa robe, il n'avait qu'une idée en tête, qu'elle lui appartienne, douce captive, pieds et mains liées, avec comme seul habit des liens pour sublimer ces formes, caresser son corps et la regarder s'abandonner à lui, la voyant à nouveau devant lui, son corps se raidit...

Il avait croisé son regard dans les escaliers du métro, subjugué par son allure fière, douce, et rebelle, comme un ange, elle survolait les marches dans sa robe, il n'avait qu'une idée en tête, qu'elle lui appartienne, douce captive, pieds et mains liées, avec comme seul habit des liens pour sublimer ces formes, caresser son corps et la regarder s'abandonner à lui, la voyant à nouveau devant lui, son corps se raidit, plongeant son regard noir dans le sien, elle resta figée, ne bougeant pas d'un cil , soutenant son regard les yeux grands ouvert , sure d'elle même , impassible , n'offrant à lire sur son visage que le carmin de son rouge à lèvre,...

Il avait croisé son regard dans les escaliers du métro, subjugué par son allure fière, douce, et rebelle, comme un ange, elle survolait les marches dans sa robe, il n'avait qu'une idée en tête, qu'elle lui appartienne, douce captive, pieds et mains liées, avec comme seul habit des liens pour sublimer ces formes, caresser son corps et la regarder s'abandonner à lui, la voyant à nouveau devant lui, son corps se raidit, plongeant son regard noir dans le sien, elle resta figée, ne bougeant pas d'un cil , soutenant son regard les yeux grands ouvert , sure d'elle même , impassible , n'offrant à lire sur son visage que le carmin de son rouge à lèvre,... une douce chaleur l'envahit, se sentant étroitement attirée par les hanches comme s'il tirait une corde autour d'elle...

Il avait croisé son regard dans les escaliers du métro, subjugué par son allure fière, douce, et rebelle, comme un ange, elle survolait les marches dans sa robe, il n'avait qu'une idée en tête, qu'elle lui appartienne, douce captive, pieds et mains liées, avec comme seul habit des liens pour sublimer ces formes, caresser son corps et la regarder s'abandonner à lui, la voyant à nouveau devant lui, son corps se raidit, plongeant son regard noir dans le sien, elle resta figée, ne bougeant pas d'un cil , soutenant son regard les yeux grands ouvert , sure d'elle même , impassible , n'offrant à lire sur son visage que le carmin de son rouge à lèvre,... une douce chaleur l'envahit, se sentant étroitement attirée par les hanches comme s'il tirait une corde autour d'elle, inexorablement , il sentait son corps se rapprocher d'elle , inexorablement à chaque pas qui le rapprochait , ses jambes étaient plus lourdes , incapables de porter son propre poids