Les aventures de Katy Stone

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Gwenboyfriend
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L'adaptation de Gwendoline par just jaeckin
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Re: Les aventures de Katy Stone

Message par Gwenboyfriend »

Le van

Marc change d’attitude. A un mouvement de recul.
- Désolé, ma mignonne, mais c’est trop tard pour passer du bon temps. Notre moyen de transport arrive.
- Dis moi que ce ne sont pas les convoyeurs de tout à l'heure.
- Malheureusement si.
- Oh non, ils vont me violer.
- Pas tant que je serai là et que je leur montrerai que je te maîtrise.
- Qu'est-ce que ça veut dire?

Pour toute réponse Marc reprend le rouleau de sparadrap.
- Non ! Tu n’as pas besoin de me bâillonner.
- C’est indispensable. Sinon, ils vont se douter de quelque chose.

La jeune femme comprend qu'elle n'a pas le choix mais qu'elle doit maintenir le lien qui s'est créé entre eux.
- Tu les connais. Je te fais confiance. De toutes façons je n'ai pas le choix.

Elle a mis tout ce qu'elle pouvait de sensualité dans sa voix. A désigné ses liens du regard. Elle voit le trouble de ce crétin. Malheureusement, il est un peu trop préoccupé par le besoin de cacher à ses complices ce qui s'est passé en son absence.
- Je n'ai plus de chiffon. Tant pis, on va faire avec ce qu’on a.

Tout en parlant, il brandit le slip de sa victime qui prend un air horrifié.
- Tu ne vas pas me bâillonner avec ma petite culotte.
- Pas le temps de trouver autre chose. Et je te conseille de te laisser faire. Ils vont être là d’un instant à l’autre. Et tu as vu de quoi ils étaient capables.

Katy obéit et laisse son ravisseur introduire le slip dans sa bouche puis recouvrir à nouveau ses lèvres de sparadrap. Elle songe que ce n’est vraiment pas de chance. Elle avait réussi à le séduire avant l’arrivée de ces trouble-fête. Mais elle se donne quand même la peine de lancer un regard langoureux à son ravisseur au moment où il applique le sparadrap. Le résultat le plus évident est qu'il prend le temps de lisser soigneusement la bande adhésive pour la coller au visage de sa victime qui devine son désir de maintenir le contact.

Marc passe ensuite une main sous les genoux de la jeune femme, une autre sous ses épaules et la soulève.

Au regard tendre qu’il lui lance, elle devine qu’il est encore sous le charme.

- C’est un peu comme si tu étais ma fiancée. Tu aimes ça ?

Sa fiancée ! Ligotée et bâillonnée ! Cet homme a une vision étrange du romantisme. Mais elle doit jouer le jeu. Lui laisser croire qu’elle aime ça. Elle lui retourne un regard plein de tendresse.

C’est peut-être trop visible. Les deux hommes dans le van se doutent de quelque chose.
- Tu as l’air de t’être bien amusé.
- Occupez-vous de vos fesses.

Marc dépose Katy à plat ventre à l’arrière du van puis lui donne une forte claque sur les fesses.

Sous l’effet de la douleur et de la surprise, elle pousse un cri que le bâillon transforme en sanglot. Elle n’a pas le temps de réagir davantage. Son ravisseur lui plie les jambes et relie à nouveau les liens de ses chevilles à ceux de ses poignets.

L’angoisse étreint la jeune femme, il ne va pas de nouveau l’attacher en balltie. Elle se débat et reçoit une autre claque sur les fesses. C'est trop d'humiliation, elle commence à protester dans son bâillon. La main s'abat une troisième fois.
- Tu vas te calmer espèce d'idiote.
- Si tu as besoin d'aide, on est là.
- Je vous ai dit de vous occuper de vos fesses.
- C'est vrai que tu as beaucoup à faire avec celles de la demoiselle.

Sans répondre, Marc tire sur la corde qui relie les liens des chevilles et des des poignets de la captive jusqu'à ce que ses mains soient en contact avec ses talons.

Sous l'effet de la douleur, elle pousse un nouveau gémissement mais cesse de résister.

Marc se penche sur elle et lui chuchote.
- Je dois le faire, ça va les rassurer.

Elle comprend et résiste encore un peu pour que les complices de Marc soient convaincus qu’il n’y a pas d’entente entre eux. Marc lui assène une nouvelle claque sur les fesses.
- Tu vas te tenir tranquille maintenant. Tu vois que ça ne sert à rien de t’agiter.

Elle obéit mais laisse échapper à travers son bâillon un dernier sanglot de rage et de désespoir alors que son ravisseur achève de nouer le lien de ses chevilles à celui de ses poignets pour compléter le hogtie.

Le compagnon du chauffeur se retourne visiblement rassuré. Malgré sa situation peu confortable, Katie pense qu’elle a vraiment une chance de s’en sortir en séduisant Marc.

Il est mal à l’aise vis à vis de ses complices. Certes il a serré les liens mais c'est de sa faute, elle n'aurait pas dû résister autant même si ça a convaincu les deux abrutis qu'il n'était pas sous le charme de sa victime. Et finalement, la fessée n'était pas si désagréable.

Mais les propos du compagnon du chauffeur la refroidissent.
- Tu as l'air de savoir la tenir mais elle ne perd rien pour attendre.

La captive tente de rester calme malgré l'inquiétude que provoque ces propos et le silence de Marc. Encouragé l'homme continue sur sa lancée.
- Une semaine entière avec cette fille. On va bien s’amuser.

Cette fois Marc se décide à répondre.
- Vous connaissez les ordres. On ne doit pas l’abimer.
- Ce que je veux lui faire ne l'abimera pas. Elle pourrait même aimer ça, cette salope.
- Tu n'auras pas l'occasion de le vérifier. On doit seulement la séquestrer le temps de convaincre son père d'accepter nos conditions.
- Dis plutôt que tu veux la garder pour toi.
- Pense ce que tu veux mais vous n’avez pas intérêt à la toucher.
- On réglera ça arrivés à la planque.

La prisonnière n’apprécie guère cet échange. L’autorité de Marc sur ses complices est loin d’être totale et elle doute qu’il puisse les battre tous les deux. Quant à elle, elle devine que ses efforts de séduction vis à vis de ces deux rustres seront vains.

Malheureusement, elle ne peut rien faire si ce n’est attendre la suite des événements.

Elle sent la main de son ravisseur qui se pose sur ses mains liées et les serre pour la rassurer. Mais qui ne peut s'empêcher de glisser sur ses fesses.

Malgré la rage qu'elle éprouve. Elle décide de l'encourager et tord son corps ligoté comme si elle appréciait cette caresse douteuse.

Le van continue d'avancer sur la route de montagne. Le silence s'est installé dans le véhicule. Un silence lourd de menaces et de ressentiments. La main de Marc est toujours posée sur les fesses de la captive qui continue de s'agiter dans ses liens. Elle tente de capter le regard de son ravisseur pour l'encourager à se débarrasser de ces deux salauds dès qu'il le pourra. Mais il semble distrait comme s'il hésitait sur l'attitude à observer.

Soudain le véhicule ralentit. Oh non, ils ne peuvent pas déjà être arrivés. C'est trop tôt. Les deux hommes vont maîtriser Marc, la violer. Elle en est sûre.

A cet instant, le chauffeur annonce calmement :
- Un flic

Trahison

Le compagnon du chauffeur réagit aussitôt.
- Qu’est-ce qu’on fait de la fille.

Marc inspecte fiévreusement le van et voit un paquet de couverture contre une cloison.
- On va la cacher sous les couvertures.

Katie hoche vigoureusement et négativement la tête.
- mmmpffgnon !!!

Marc lui saisit les cheveux.
- On va te cacher là dessous et tu vas te tenir tranquille compris.

La jeune femme matée approuve d’un mouvement de tête.
- T’es sûr qu’elle va pas appeler à l’aide. On pourrait l’endormir.
- Elle sait ce qui l’attend si elle agit ainsi. De toute façon, on n’a plus le temps de discuter.

La captive est aussitôt enfouie sous les couvertures. Elle entend le van qui s’arrête. Devine que le chauffeur baisse la vitre. Tend les papiers du véhicule.
- Vous cherchez quelque chose, monsieur l’agent.
- Deux gangsters ont attaqué une banque, ils ont fui dans un van. Personne n’est d’accord sur la couleur ou le modèle. On est obligé d’inspecter tous les véhicules.

Marc songe que c’est vraiment un hasard malencontreux.
- ça vous ennuie si je jette un coup d’œil à l’arrière.
- Je vous en prie.

Marc se penche sur Katie.
- C’est le moment de me prouver que j’ai raison de te faire confiance. Si tu ne tentes rien, je pourrai envisager de me montrer plus tolérant avec toi.

Katie devine la main de Marc posée sur les couvertures. Elle entend les portes arrières du van s’ouvrir. Elle ne tente rien. Elle espère que le policier va monter dans le van. Inspecter les couvertures.

Mais il se contente d’échanger quelques mots avec Marc. Elle ne peut pas laisser passer cette chance. Elle crie.
- Gmmmflalaide.

Le bâillon transforme ce cri en un lamentable sanglot couvert par le bruit du moteur. Son ravisseur l’a entendu. Elle le sait parce que la pression de sa main sur les couvertures se fait plus forte. Mais pas le policier. Il salue Marc va repartir. C’est sa dernière chance. Tant pis. Elle doit prendre le risque. Elle crie de toutes ses forces.
- GMMMFLALAIDE !!!!!!!!

Cette fois malgré le bâillon et malgré le bruit du moteur, il a entendu.
- Vous pouvez arrêter le moteur s’il vous plait.

Le chauffeur s’exécute. Katie n’attend pas et pousse un nouveau cri. Ou plutôt un nouveau sanglot. Mais le flic n’a plus aucun doute.
- Pouvez-vous soulever ces couvertures.

Marc obéit. Il n’a pas d’autre choix.

Katie est découverte. Elle regarde le policier avec toute l’intensité et la reconnaissance dont elle est capable envers son sauveur.

Celui-ci reste pourtant très calme. De même que les ravisseurs.
- C’est un joli paquet que vous transportez, messieurs.

Qu’est-ce-que ça signifie ? C’est tout ce qu’il trouve à dire. La captive tire sur ses liens, continue de crier, de supplier plutôt à travers son bâillon.

Marc répond.
- Un peu remuant quand même.

Il donne une tape sur les fesses de sa victime.
- Calme toi pendant que je discute avec monsieur.

Il s’adresse alors au flic.
- Nous sommes prêts à payer un droit de passage.

Comment ça un droit de passage. Ce n’est pas possible. La jeune femme proteste, tire sur ses liens. Fixe le policier. Il doit comprendre qu’il faut retirer son bâillon. Dès qu’il saura qui elle est. Il n’envisagera plus de passer ce lamentable accord. Mais il ne s’intéresse plus à elle.
- Cinq cents dollars me paraît une somme raisonnable.

Cinq cents dollars, il va la laisser entre les mains de ces criminels pour cinq cents dollars. Elle se débat dans ses liens. Ne sait plus si elle crie ou sanglote dans son bâillon.
- Elle est bien énervée cette demoiselle.
- Il faut la comprendre, elle a cru que vous alliez la sauver.
- On m’a demandé d’arrêter des voleurs de banque. Personne ne m’a parlé d’une jeune femme ligotée et bâillonnée. Toutefois pour cinq cents dollars de plus, je peux vous donner un conseil.

Sans hésiter Marc paie la somme demandée.
- Ne continuez pas sur cette route. Il y a d’autres barrages et les policiers en charges sont moins compréhensifs que moi.
- Combien pour une autre route.
- C’est gratuit parce que je pense que ça ne vous aidera pas beaucoup. Il faut redescendre dans les terres. C’est la seule partie qui n’est pas surveillée.

L’homme redescend du véhicule et referme obligeamment les portes du van avec un dernier salut ironique à l’intention de l’infortunée jeune femme.
- Bien le bonjour mademoiselle, j’espère vous revoir dans des circonstances plus confortables pour vous.

Les portes refermées, le van redémarre emportant sa prisonnière désespérée et effrayée à l’idée de la réaction de Marc et de ses complices.
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pistache

Re: Les aventures de Katy Stone

Message par pistache »

C'est une chouette histoire, c'est du bon travail, bravo^^

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fredchl
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Re: Les aventures de Katy Stone

Message par fredchl »

Un policier véreux ! Dommage pour Katie... :gagged:
500 dollards en plus ! :o

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Gwenboyfriend
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Re: Les aventures de Katy Stone

Message par Gwenboyfriend »

Punition

Les trois hommes commencent par plaisanter.
- Et bien on a eu de la chance. Heureusement qu’il n’a pas pensé que cette garce pouvait être la fille de William Stone
- Pour l’instant personne ne sait qu’elle a été enlevée. Son avion n’atterrit que dans cinq heures. Cette idiote nous a rendu service. On aurait eu moins de chance avec l’autre barrage.
- J’espère que tu vas pas laisser passer sa trahison à cause de ça.
- Ne t’inquiète pas. Elle va comprendre son erreur dans quelques minutes.
En entendant ces mots, Katy est terrifiée. Elle a commis une grave erreur en appelant le policier à l’aide. Elle sait pourtant que la plupart d’entre eux sont corrompus dans ce pays. Et qu’il n’y avait aucune chance que sa disparition soit déjà signalée.
Pendant ce temps, Marc a pris sa décision.
- Vous allez nous amener au garage. Puis vous partirez balancer ce van à des kilomètres d’ici. Brûlez le si vous pouvez.
- Pourquoi tant de précaution.
- Le flic pourrait avoir des remords quand il saura qu'il a laissé passer la fille de William Stone.
- Il faudrait qu’il explique pourquoi il a laissé trois hommes emporter une femme ligotée et bâillonnée.
- Il peut inventer une histoire. Et le père de cette idiote va envoyer des hommes à lui pour enquêter. Ils seront prêts à payer n’importe quel renseignement.
- D’accord, j’aurais bien aimé passé du temps avec mademoiselle Stone.
- N’oublie pas pourquoi nous faisons ça.
Dans le silence qui suit cette dernière phrase, Katy pense qu’elle a au moins échappé aux intentions malsaines de ces deux individus. Mais son soulagement est de courte durée.
- A présent, ma petite, réglons nos comptes.
L’homme s’installe contre la paroi du van, attire la captive ligotée et bâillonnée sur ces genoux. Coupe les liens qui relient ses chevilles et ses poignets. Puis administre une formidable fessée à sa victime impuissante.
Katy, sous l’effet de la douleur et de l’humiliation, constate que ses cris sont étouffés par son bâillon. Ce qui rend la punition encore plus insupportable. Son ravisseur ne retient pas ses coups cette fois. La jeune femme comprend qu’elle a détruit le peu d’intimité qu’elle avait réussi à créer avec cet homme. Tout est à refaire. Cela devient encore plus évident quand il refait le hogtie. Il tire la corde qui relie les liens de ses chevilles et de ses poignets au maximum. La tension dans ses bras et ses jambes est insupportable. Elle lance un regard implorant vers son ravisseur. Elle supplie dans son bâillon. L’ignoble individu la regarde.
- J’allais oublier.
- Vous avez des chiffons les gars.
- Pas très propres.
- Ce n’est pas grave.
Katy jette un regard implorant à l’homme. Mais sa colère est trop violente. Il retire le sparadrap sur les lèvres de la captive et enfourne dans sa bouche de nouveaux chiffons roulés en boule.
- Je te déconseille d’essayer de les recracher.
Matée, la jeune femme obéit et laisse Marc appliquer à nouveau le sparadrap sur ses lèvres. Sa docilité est récompensée d’une nouvelle tape violent sur ses fesses. Le cri de surprise et de douleur devient un ridicule soupir grâce au bâillon. Satisfait du résultat, il assène un dernier coup sur le postérieur de la jeune femme.
- Je sais, c’est injuste puisque tu t’es montrée docile. Mais cela t’apprendra à me contrarier.
Ses deux complices rient de bon cœur. Ce qui accroit la douleur de la captive.
- ça fait plaisir de te retrouver. On avait peur que cette petite garce t’ait ramolli avec ses regards langoureux.
- Vous voyez qu’il n’en est rien.
Cette phrase est accompagnée d’une nouvelle tape sur les fesses de la prisonnière qui songe qu’elle a sans doute perdue toute chance de subvertir son ravisseur.

Evasion
Enfin, le van arrive au garage.
- Il faut ouvrir les portes.
- Inutile, je vais porter notre amie jusque là.
- Tu n’as pas peur qu’on te voie.
- Dans ce quartier.
- Il vaut mieux être prudent, je vais coller l’arrière à la petite porte. Descend l’ouvrir. Je te passerai ta petite copine ensuite.
- Essaie de ne pas l’abimer.
- Tu me connais.
- Justement.
Les deux hommes éclatent de rire. Ce rire blesse Katy. Elle aurait pourtant cru qu’elle avait dépassé ce stade. Qu’elle n’attendait plus rien de ces vils individus. Mais elle se trompe. Jamais elle ne s’est trouvé dans une situation aussi effrayante. Son père croit toujours qu’elle est dans l’avion. Quand il constatera qu’elle a disparu. Combien de temps faudra- t- il avant qu’il comprenne ce qui s’est passé. Où sera- t- elle à cet instant. Entre les mains de quel criminel ?
Marc a ouvert la porte du garage. Celle à l’arrière du van est ouverte. Son complice passe à l’arrière. Saisit les cordes qui enserrent les bras de Katy au- dessus des coudes et la soulève sans effort. Comme un vulgaire paquet. Il va jusqu’à la porte arrière et donne la jeune femme à Marc qui la saisit et la porte de la même façon.
Katy pense qu’elle n’a jamais été autant humiliée. Marc la porte jusqu’à une voiture au fond de l’immense garage. Il la dépose à plat ventre et coupe enfin les liens qui unissent ses chevilles à se poignets. La jeune femme peut déplier ses jambes et se tenir à genoux mais c’est tout ce qu’elle peut faire avec ses cuisses, et ses chevilles toujours ligotées. Sans oublier ses poignets et ses bras.
L’homme lui montre une malle.
Katy regarde la malle sans oser comprendre à quoi ou plutôt à qui elle est destinée. Le sourire cruel de Marc lui retire toute illusion.
- Tu comprendras aisément que ton attitude récente ne me laisse pas le choix.
Katy approuve d’un mouvement de tête. Autant se montrer soumise puisqu’elle ne peut rien contre son ravisseur.
Marc sourit de la nouvelle docilité de sa victime. Il décide d’aller encore plus loin.
- Étant donné la taille de la malle, tu as sans doute deviné que je dois te ligoter en balltie
La jeune femme terrifiée regarde intensément son ravisseur s’efforçant de mettre dans ses yeux et toutes les supplications possibles. Elle bafouille dans son bâillon des excuses.
- Tu as quelque chose à me dire ?
La captive hoche la tête en s’efforçant de mettre dans ce mouvement toute l’humilité dont elle est capable. Elle se déteste de devoir agir ainsi. Mais que peut-elle faire d’autre, ligotée, bâillonnée, à genoux face à son ravisseur.
- Tu veux que je retire ton bâillon.
Nouveau hochement de tête.
- Tu es prête à me remercier.
Encore un hochement de tête.
- Cela ne signifie pas seulement me dire merci.
Katy regarde l’individu face à elle pour exprimer son incompréhension.
- Allons ! Ne fais pas semblant de ne pas comprendre.
Elle s’obstine pourtant à refuser de comprendre la demande ignoble qu’il sous- entend.
- Une bouche ne sert pas qu’à parler.
Cette fois, elle hoche la tête négativement. Pas question d’accéder à cette exigence ignoble et dégradante.
- Tu veux me faire croire que tu ne l’as jamais fait. Une petite salope comme toi.
Mais pour qui la prend-il ce crétin ! Bien sûr qu’elle l’a fait. Mais pas sous la contrainte. Avec un homme qui lui plaisait. Même son père n’a pas réussi à l’obliger à coucher avec des hommes qui ne lui plaisaient pas.
- Pourtant, dans l’avion tu étais prête à baiser avec moi.
Avec Richard, elle était prête à le faire avec Richard. Un homme agréable prêt à passer un bon moment. Mais Richard est devenu Marc. Un criminel, un terroriste qui ne fait que la ligoter, la bâillonner et la peloter.
Évidemment, elle n’a pas la possibilité de lui expliquer ça. Difficile quand on est bâillonnée. Alors, elle s’agite dans ses liens. Bafouille des explications qui deviennent des marmonnements incompréhensibles. Roule des yeux furieux.
Apparemment le message passe. Toutefois, il décoche une dernière flèche.
- Et bien sur ton père ne s’est jamais servi de toi pour décrocher des contrats.
Quel homme cruel. Elle n’est pas stupide. Elle sait bien que son père l’utilise pour manipuler certains hommes et elle a souvent joué le jeu de la séduction pour lui rendre service. Mais elle n’a jamais couché avec un homme qui ne lui plaisait pas.
- Je parie que tu es persuadée que tu n’as baisé qu’avec des hommes qui te plaisaient.
Comment devine- t- il ses pensées ?
- Le pire c’est que tu le crois vraiment. Tu ne te rends même pas compte qu’il a fait de toi une prostituée.
Quel monstre ! Profiter qu’elle est ainsi bâillonnée et ligotée à genoux devant lui et incapable de lui répondre pour l’humilier. Comme si son avis pouvait l’intéresser. Mais alors pourquoi reste- t- elle tête basse sans oser le regarder. Comme si elle lui donnait raison.
- C’est ta dernière chance. Vas- tu te décider à faire ce que je te demande ?
Elle lève la tête. Elle a retrouvé sa dignité. Elle le regarde droit dans les yeux. Jamais elle ne s’abaissera à assouvir les vils désirs de ce criminel.
- Très bien. Ce sera donc le bâillon, la malle et le balltie.
Soudain, l’idée d’être à nouveau ligotée ainsi, incapable du moindre mouvement. Enfermée dans cette malle la terrifie. Elle émet des sons suppliants à travers son bâillon.
- Il faudrait savoir ce que tu veux.
La captive hoche la tête affirmativement.
Mais Marc a décidé d’être impitoyable.
- Tu veux que je retire ton bâillon.
Elle approuve d’un mouvement de tête. Elle se déteste de s’abaisser ainsi. Mais elle déteste davantage cet homme qui l’y contraint. Elle qui a su résister aux avances de chefs d’état de capitaines d’industrie et de bien d’autres encore, elle va céder à un criminel, un terroriste qui prétend agir pour le bien de la planète.
- Tu vas te montrer reconnaissante.
Le bien de la planète, il s’en fout en ce moment. Ce qui lui plait de l’avoir à sa merci. De l’humilier. Mais Katy est trop fatiguée pour résister davantage. Elle approuve encore une fois d’un mouvement de tête. 
Marc retire le bâillon de la captive. Il est fier de lui. Il a réussi à briser cette petite garce. A lui apprendre qu’elle devait obéir. Sans hésiter, il exhibe son sexe.
- A toi de jouer à présent.
- Ce n’est pas facile avec les mains et les chevilles liées.
- N’essaie pas de négocier davantage. A moins que tu préfères retrouver ton bâillon.
Katy comprend qu’elle n’obtiendra rien de plus et entoure le sexe de l’individu de ses lèvres.
Marc ravi profite pleinement de l’instant. Quand vient l’instant où il ne peut plus se retenir, il appuie sur la nuque de sa victime, l'obligeant à avaler sa semence.
Katy tête basse, le laisse s’essuyer et se rajuster.
Marc s’approche d’elle et lui caresse le crâne.
- Tu es une brave fille.
Le geste de Marc et son compliment douteux déclenchent une réaction inattendue de la part de la captive qui soudain sanglote et se montre incapable de retenir ses larmes.
La réaction du ravisseur est tout aussi surprenante, même pour lui. Il se met à genoux et prend la jeune femme dans ses bras.
- Allons, calme toi. Je ne vais plus te bâillonner. Je vais changer les liens de tes jambes pour que tu puisses marcher. Nous allons passer par un souterrain qui nous conduira au port de plaisance puis rejoindre une île où je tournerai une vidéo montrant que tu es notre prisonnière. Quand ton père l’aura reçue, il aura une semaine pour retirer son projet. Dès qu’il l’aura fait, nous te libérerons.
La jeune femme relève la tête.
- En attendant, je suis toujours ta prisonnière.
- Je n’ai pas le choix après ce qui s’est passé dans le van.
- J’avais peur de tes complices. Ils voulaient me violer
- Je ne les aurais pas laissé faire.
- Mais ils auraient pu t’assommer.
- Et tu n’as pas peur que je te viole
- Je sais que tu ne le feras pas.
- Même après ce que je t’ai fait subir.
- Tu aurais pu l’obtenir sans me menacer… dans l’avion.
- J’ai failli annuler l’opération quand nous avons commencé à nous embrasser. Je te désirais.
- Tu aurais dû le faire.
- Il y a trop en jeu. Ton père doit renoncer à son projet.
Des larmes coulent des yeux de Katy.
- Allons dans une semaine tout sera réglé et nous nous allons passer un bon moment sur l’île.
Katy continue de sangloter.
- Rien ne sera réglé. Il ne cédera pas.
- Il sacrifierait sa fille.
- Rien n’est plus important que son projet.
Elle craque et s’effondre. Marc est troublé. Voir sa prisonnière ainsi prostrée et ligotée l’excite. Ce qui ne lui semble pas normal. Il met la main sur l’épaule de Katy, la redresse. Se met à genoux à côté d’elle. Essuie ses larmes.
- Merci.
Elle se reprend. Continue de parler.
- Je sais que c’est une ordure qui se moque des conséquences de ses actes. Tu as raison, il a fait de moi une prostituée. Il m’oblige à coucher avec des hommes ou même des femmes pour obtenir ce qu’il veut. Mais le pire c’est qu’il avait réussi à me convaincre que j’aimais ça.
Marc essuie tendrement les larmes de la jeune femme.
- Tu serais prête à répéter publiquement ce que tu m’as dit.
- J’ai trop peur, il me tuerait.
- Sa propre fille ?
- Il détruit tout ce qui peut l’affaiblir.
- Alors nous le tenons.
- Comment ça ?
- Dans une semaine, quand il aura refusé de te sauver. Le monde verra quel salaud il est. Et toi tu n’auras plus rien à perdre.
Fou de désir, Marc embrasse Katy. Elle lui rend son baiser. Il l’enlace. La présence des cordes ne le gêne pas. Au contraire, cela l’excite
Leurs lèvres se séparent. Katy reprend la parole.
- Je veux que tu me fasses l’amour.
- Nous le ferons. Sur l’île.
- Détache moi et faisons-le maintenant.
- Tu es si belle quand tu es ligotée.
- Reconnais que ce n’est pas pratique. Et puis…
- Et puis ?
- Je suis toujours une prisonnière. Si ce n’est pas de mon père. Je suis la tienne.
- Tu as raison.
Marc s’empare d’un couteau et tranche les liens de la jeune femme. D’abord les chevilles et les cuisses puis les poignets, les bras et le torse. Il l’aide à se relever.
Katy fait quelques pas, frotte ses poignets.
- Je me sens mieux. Tu es merveilleux.
Elle s’approche de Marc, l’embrasse. Ils s’enlacent. Leur baiser se prolonge. Elle y met fin la première. Ses mains se posent sur le torse.
- Mon amour, j’ai un aveu à te faire.
- Je t’écoute.
Le genou de la jeune femme frappe Marc dans l’entrejambe. La douleur est intense. Il s’écroule à genoux.
Dans un brouillard, il entend Katy qui fuit vers la sortie du garage. Qui se moque de lui.
- J’en ai rien à faire de ta fichue planète. Mon père et moi on va la mettre à feu et à sang. Quant à toi, tu es vraiment le roi des idiots. Comment as-tu pu avaler mes mensonges !
Dans un dernier éclat de rire, la cynique jeune femme appuie sur la poignée qui ouvre la porte vers la liberté.
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pistache

Re: Les aventures de Katy Stone

Message par pistache »

J'ai vraiment bien aimé la façon dont Katy arrive à s'échapper^^

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Re: Les aventures de Katy Stone

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Déception

La poignée s’abaisse mais la porte ne s’ouvre pas. Elle est fermée à clef. La jeune femme se précipite sur une autre porte. Elle résiste aussi. Toutes les portes sont fermées à clef. Ce n’est pas possible. Elle commence à paniquer. Les fenêtres sont inaccessibles. Elle doit retourner vers son ravisseur récupérer les clefs avant qu’il ait retrouvé ses forces.

Elle le voit, il se tord de douleur. Elle a une chance. Elle regarde autour d’elle à la recherche d’un moyen de l’assommer. Un marteau. Elle le ramasse. Se retourne vers l’individu.

Il a disparu. Soudain des mains saisissent ses poignets. Tordent ses bras dans le dos. Sous l’effet de la douleur, elle lâche le marteau.

- ça, c’était l’erreur de trop.

Marc amène Katie vers un établi sur lequel sont posées des cordes. La jeune femme se débat tente de donner des coups de pieds au hasard. Son adversaire resserre sa prise. Elle hurle appelle à m’aide.

- Tu peux hurler tant que tu veux. Personne ne viendra. C’est un quartier où on ne se mêle pas des affaires des autres.
- Espèce de salaud. Mon père vous tuera tous. Il détruira cette saloperie de ville. Et toi, je te regarderai crever mais j’espère qu’on te laissera vivre assez longtemps pour que tu nous vois détruire la forêt et le fleuve auxquels tu tiens tant.
- À présent je sais à quoi m’en tenir. Ce coup de genou dans les couilles n’a donc pas été inutile.
- Tu veux me faire croire que tu l’as fait exprès pour savoir si j’étais sincère. Tu mens. Tu voulais me baiser comme tous les autres hommes.
- Ton père aussi ? Non biens sûr. Lui il se contente de te vendre aux autres hommes. Et peut- être même aux femmes. Tu aimes te faire baiser par des femmes ? J’en connais que ça pourrait intéresser.
- Espèce de pervers.
- Je parie que ton père filme tes exploits et qu’il les visionne de temps en temps.
- Il le fait uniquement pour faire pression sur tous ces salauds.
- Bien sûr. C’est ce qu’il te raconte. Et tu préfères le croire.

Malgré tous ses efforts, Katie n’a pas pu empêcher son ravisseur de la conduire jusqu’à l’établi. Marc l’oblige à se pencher jusqu’à ce que son buste touche le plateau du meuble. Elle sent la main de son ravisseur sur sa nuque pendant qu’il s’empare d’une corde. Elle tente de se dégager. Donne des coups de poing. De pieds En vain. Il la bloque avec son corps contre l’établi. Elle sent son sexe dur appuyé contre ses fesses. Une pensée stupide la traverse. Elle avait espéré que son coup de genou allait au moins l’affaiblir de ce côté- là mais manifestement il n’en est rien.

Elle a d’ailleurs d’autres préoccupations. Ses poignets sont à nouveau liés. Son ravisseur n’a pas hésité et a serré les liens de toutes ses forces. La brûlure des cordes est intense. Ses bras sont ligotés au dessus et au dessous des coudes. Il se baisse pour lier ses chevilles. Impulsivement, elle le bouscule. Il ne s’y attend pas et se retrouve sur le sol. Elle en profite pour fuir. Elle sait pourtant que c’est stupide. Elle ne fait que retarder l’inévitable. Le rire de son kidnappeur ne fait que le confirmer.

- Tu espères aller où.

Il a raison, les portes sont toujours fermées. Et à présent ses bras et ses poignets sont solidement attachés. Appeler au secours ne servira qu’à préciser sa position pour cet ignoble individu. Si elle pouvait couper ses liens. Trouver une arme. Mais où. Se cacher au moins. Malheureusement, les cachettes ne sont pas si nombreuses. Il y a seulement trois voitures et un van.

Impossible d se cacher à l’intérieur. Dessous peut- être. Elle se glisse péniblement entre les roues. Juste à temps. Elle entend les pas de Marc approcher. Elle tourne la tête, voit ses pieds, regarde dans l’autre direction. Comme si le fait de le voir entraînait le fait qu’il la voit. Elle sait que c’est ridicule. Que c’est une réaction de panique. Mais elle est incapable d’agir autrement. Elle essaie de ne plus bouger. Résiste à la tentation absurde frotter ses liens contre un objet ou une surface dure pour s’en débarrasser. Elle reste allongée sur le dos attendant le suite d’événements dont l’issue lui semble malheureusement trop évidente. La voix de son ravisseur s’élève.

- Tu veux jouer à cache- cache ? Tu es un peu trop vieille pour ça. Et les cachettes ne sont pas si nombreuses.

Katie s’efforce de ne plus faire un bruit.

- Tu as peut- être perdue toute notion du temps mais ton avion n’a toujours pas atterri. Personne ne sait que tu as été enlevée. Personne ne te cherche. Personne ne viendra à ton secours. Tu crois gagner du temps mais tu ne fais qu’en perdre.

La jeune femme tente de se calmer. De ne pas entendre ce que dit cet ignoble individu. Elle sait qu’il joue avec elle. Qu’il tente de la convaincre qu’elle n’a aucune chance de lui échapper. Il faut qu’elle réfléchisse à ce qu’elle va faire quand il la trouvera. Car il la trouvera.

Ses poignets sont liés. Mais il lui reste ses pieds.

- Je te propose un petit jeu. Quand je te récupérerai. Je te donnerai une fessée pour t’apprendre à désobéir. Tu es cachée sous une des voitures ou sous le van.

Evidemment, ce n’était pas dur à deviner.

- Si je te trouve tout de suite. Tu auras quinze coups. Si je me trompe, je retire cinq coups. Si tu as de la chance. Tu n’auras que cinq tapes sur tes fesses. Dans tous les cas, ce sera agréable pour moi.

Quel salaud. Comment ose- t- il se moquer d’elle ainsi !!

- Mais si tu sors tout de suite, je me contenterai de t’attacher solidement et je ne te punirais pas.

Il n’en est pas question. Elle résistera jusqu’au bout.

- Alors? C’est ta dernière chance.

Katie sait qu’elle a perdu mais elle refuse de faire le plaisir de céder à cet homme. Elle ne dira pas où elle se trouve.

- Tant pis pour toi.

Soudain deux mains surgissent sous le van et saisissent les chevilles de la jeune femme qui hurle de rage. Elle est tirée sur le sol sans pouvoir s’y opposer. Sans s’occuper de ses cris, Marc ligote les chevilles de sa victime.

- Essaie de courir, à présent.
- Tu regretteras tout ce que tu m’as fait subir. Mon père te fera crever à petit feu et ce sera ton tour de supplier.
- En attendant ce beau jour, tu ferais mieux de te tenir tranquille.

Katie sent des cordes entourer ses cuisses. Mais elle refuse de céder à la peur.

- C’est toi qui ferais mieux de me laisser partir si tu veux que je demande à mon père de se montrer clément quand il te retrouvera.
- Je vois que tu ne comprends pas. Ton père ne nous fait pas peur.

C’est au tour du torse de Katie d’être ligoté. La jeune femme constate qu’elle est de nouveau impuissante.

- Tout ce que tu as gagné à te conduire ainsi, c’est que tes vêtements sont dans un état déplorable.

La prisonnière constate que l’homme a raison. Sa jupe est retroussée au ras des fesses. Sa chemise est ouverte et laisse largement voir ses seins. Elle qui est toujours fière de ses toilettes se sent encore plus humiliée. Si stupide que cela puisse être.

- Tu crois peut- être que l’opinion d’un abruti sur mes habits m’intéresse.
- Tu devrais réfléchir à tes prochaines paroles parce que tu n’auras plus l’occasion d’en prononcer avant longtemps.
- Oh non, ne me bâillonne pas.
- Tu aurais pu trouver mieux.

Sans s’occuper davantage des protestations de la captive, Marc enfonce une boule de tissu dans la bouche de sa victime puis noue un foulard qui passe entre ses lèvres sur sa nuque. Du sparadrap soigneusement appliqué complète l’ensemble.

Il se lève, appuie sur un bouton. Un pan de mur s’ouvre dévoilant un escalier qui descend dans vers le sous- sol.

- Nous allons rejoindre un souterrain qui nous mènera à un petit port où un bateau nous attend. Nous rejoindrons une île où tu seras détenue jusqu’à ce que ton père nous cède. Mais avant, il est temps que je tienne ma promesse.

L’homme s’assoit, installe sa victime à plat ventre sur ses genoux et du plat de la main lui frappe les fesses.

- Plus que quatorze.

Humiliée d’être ainsi punie comme une enfant, Katie s’efforce de retenir ses larmes de douleur et de rage. La main s’abat régulièrement. Elle n’entend pas le décompte. Remarque qu’il est largement excité de la traiter ainsi. Enfin le dernier coup tombe.

- Que cela te serve de leçon.

Marc se lève et hisse sa victime sur son épaule. Puis se dirige vers l’escalier.

Katie alors qu’il commence à descendre les marches prend conscience que dans sa hâte de s’échapper, elle a gâché toutes ses chances. Elle l’avait convaincu qu’elle était de son côté. Mais sa tentative d’évasion et surtout ses propos rageurs ont révélé son hypocrisie.

Son seul espoir serait que son père cède à ces criminels. Mais elle les connaît mieux qu’eux et elle n’a pas menti quand elle a affirmé que même pour elle, il ne céderait pas.

Indifférent aux tourments de sa victime, le ravisseur la conduit vers ce qu’elle est sûre d’être un sombre destin.
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fredchl
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Re: Les aventures de Katy Stone

Message par fredchl »

Quelle déveine !
Sa tentative de fuite a échoué, maintenant, je me demande bien, ce qui l'attends...

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Gwenboyfriend
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Re: Les aventures de Katy Stone

Message par Gwenboyfriend »

Souterrain

Dans le souterrain, Katie impuissante, sent la main de Marc qui caresse ses fesses. Elle proteste à travers son bâillon. Le seul résultat est que la caresse devient plus pressante.
- J’adore t’entendre protester quand tu es bâillonnée. Tes petits cris sont si excitants.
La jeune femme excédée se débat inutilement. Elle est consciente qu’elle n’a plus aucune chance de tromper son ravisseur.
Le couple sort du souterrain. La nuit est tombée. La prisonnière toujours sur l’épaule de son kidnappeur tente de voir où elle se trouve et tourne la tête en tous sens. Elle aperçoit les lumières de ce qui semble être un village et devine qu’elle est au bord de l’eau. Sans doute un petit embarcadère d’après le son de l’eau contre ce qui doit être des bateaux.
Marc descend un escalier qui l’amène sur un quai d’embarquement. Il dépose sa victime sur le siège arrière d’un hors-bord et s’installe à côté d’elle. Un homme est aux commandes.
- Allons-y Jim.
Le bateau démarre et se dirige vers une île.
- Mmmmhhhh..gggmmmmhhhh…
Katie essaie d’attirer l’attention de Marc pour qu’il lui retire son bâillon.
L’individu se contente de lui caresser les seins.
- Tu veux que t'enlève ton bâillon ?
La jeune femme hoche la tête affirmativement.
- Tu connais le tarif.
Katie dégoûtée comprend ce qu’il attend d’elle. Elle détourne la tête. L’ignoble individu sourit.
- C’est comme tu veux ma mignonne. Les occasions ne manqueront pas pendant ton séjour.
Il dépose un baiser sur ses seins. La captive sent ses tétons durcir. Son ravisseur s’en rend compte.
- On dirait que tu aimes ça.
Katy met dans son regard toute la colère qu’elle ressent. Ce qui ne fait qu’exciter davantage son tourmenteur.
Heureusement le bateau atteint l’île. La jeune femme espère que ses pieds vont être détachés pour qu’elle puisse marcher mais il n’en est rien. Marc la prend dans ses bras et la porte jusqu’à une villa au milieu de l’île.
La prisonnière entre les mains de son kidnappeur voit son visage souriant au-dessus d’elle. Cette fois au moins, il ne la transporte pas sur son épaule comme un sac. Bien qu’elle sache que c’est stupide et inutile, elle se débat et crie, couine plutôt, à travers son bâillon. Ce qui n’a pour résultat que d’amuser ses ravisseurs.

Le trio pénètre dans le bâtiment et arrive dans une pièce au milieu de laquelle se trouve une chaise face à une caméra. La captive est déposée sur la chaise. Ses bras toujours liés derrière le dossier de la chaise. Les deux hommes achèvent de la ligoter sur le siège en liant son torse au dossier puis ses cuisses et ses chevilles aux pieds de la chaise.

Katie constate qu’une fois de plus, elle est impuissante et à la merci de ses adversaires.

Marc passe derrière la caméra et commence à filmer la jeune femme. Agacée, Katie tire sur ses liens, proteste à travers son bâillon.
- Tu veux dire un mot à ton père, ma chérie ?
- GGGGMMMHHHHH!!!!

La captive exprime son accord. Parler à son père à travers la caméra peut lui permettre de lui donner des informations.
- Tu peux y aller, la caméra tourne.
Le regard de Katy exprime l’incompréhension. Comment peut-elle s’adresser à son père en étant bâillonné.
- Qu’est-ce que tu attends ? On n’a pas toute la nuit.
Jim intervient.
- Elle a peut-être besoin d’être stimulée.
- Bonne idée. Pince lui les seins.
- Gmmpffffgnoonmmpff !!!!!
Marc sourit cruellement.
- Tu vois que quand tu veux, tu sais t’exprimer.
- Gmmpsfflaud !!!!!
- Continue comme ça. Tu es parfaite.
La jeune femme de plus en plus irritée grogne à travers son bâillon. Se débat dans ses liens. Inutilement. Mais pour le plus grand plaisir de ses ravisseurs. Surtout de Jim, ravi, qui la pince et la pelote sans retenue
Elle réalise enfin qu’agir ainsi ne fait que rendre plus évidente l’impuissance qui est
la sienne et cesse de se débattre malgré les caresses insistantes du jeune homme.
Marc stoppe l’enregistrement et sort carte vidéo du réceptacle.
- Je crois que tu en as assez fait pour que ton père comprenne la situation. Je vais te laisser seule avec Jim le temps d'envoyer la vidéo à ton père. Il n'y a ni téléphone ni réseau sur l'île.
- MMMMHHHHH!!!GGGGMMHHHHH!!!GGGGMMMHHHHHH!!!!

Katy ne veut pas être seule avec ce Jim qui lui semble un peu trop excité par sa présence. Il va peut-être tenter de la violer. Elle se débat de toutes ses forces....
Mais ces cordes sont très serrées. Elle ne peut rien faire !!

Marc s’adresse à Jim.
- Tu ne détaches pas cette fille, tu ne lui retires pas son bâillon même pour lui donner à boire. Elle est dangereuse et tu n'es pas à la hauteur.

Sur ces derniers mots, le criminel s’en va abandonnant la victime aux mains de son geôlier.
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Re: Les aventures de Katy Stone

Message par fredchl »

Et forcément, cet âne de Jim, bien excité d'avoir une captive sous la main, va s'empresser de désobéir et je crois qu'il risque de le regretter... :sifflote:

pistache

Re: Les aventures de Katy Stone

Message par pistache »

La suite sera pleine d'actions si Jim la libère^^

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