Re: DOUCES CAPTIVES
Publié : 11 nov. 2015, 09:54
Chapitre 4
"Bonsoir, Isabelle!"
La jeune fille poussa un cri de surprise. Devant elle se tenait Eleonore, plus belle que jamais dans une robe bustier noire qui moulait à merveille ses formes généreuses, ainsi que des chaussures à talons aiguilles qui lui faisaient facilement gagner dix centimètres de plus.
Les deux jeunes femmes s'embrassèrent, puis Isabelle invita son amie à entrer.
-"Tu veux boire quelque chose? Au fait, j'ai une petite surprise pour toi, entre!"
Eleonore suivit la jeune fille, se demandant bien quelle surprise elle lui réservait. Quel ne fut pas son étonnement à la vue de Ludivine ligotée et bâillonnée sur le lit, elle ressentit un frisson parcourir son échine.
-"Alors, elle n'est pas belle, ma surprise?"
Eleonore sentit son coeur s'emballer, elle n'aurait jamais pensé qu'Isabelle fût si douée pour les liens, ce qui ne fit qu'augmenter son excitation.
-"Elle est jolie? Elle te plaît?"
Eleonore ne sut que répondre, les mots avaient du mal à sortir de sa bouche, ses joues commençèrent à prendre une teinte pourpre, sans se douter de ce qui allait suivre.
Entrre-temps, Isabelle fila à la cuisine, et revint avec une bouteille de champagne à la main et deux coupes qu'elle remplit aussitôt, puis elle en tendit une à Eleonore, laquelle avait le regard vaguement perdu, tellement elle avait du mal à évacuer son émotion.
-"A nos retrouvailles !"
-"A notre petite prisonnière!" renchérit Isabelle.
-"Je ne savais pas que tu aimais autant ces jeux et que tu étais aussi douée!"
-"J'ai été à bonne école, pas vrai?" fit ingénument la jeune fille avec un petit sourire en coin.
Le trouble d'Eleonore se fit plus marqué. Le regard d'Isabelle était presque perçant, malgré la douceur qui caractérisait son visage. Les deux jeunes femmes sirotèrent leur champagne, en jetant de temps en temps des regards sur leur captive, laquelle ne cessait de se tortiller et de pousser des petits gémissements plaintifs.
Au bout d'un moment, Eleonore s'aperçut que sa coupe était vide, qu'Isabelle s'empressa de remplir à nouveau. Elles portèrent un nouveau toast, et vidèrent leur coupe d'un trait.
Eleonore se sentit euphorique, comme si elle planait dans les airs. Entre-temps, Isabelle avait éxagérément entrouvert son léger chemisier, laissant deviner une poitrine pulpeuse que son soutien-gorge avait bien du mal à dissimuler, et prenait des mines aguicheuses tout en fixant son amie.
Puis elle reposa sa coupe sur la table, fit de même avec celle d'Eleonore, et lui prit gentiment le bras.
-"Dis-moi, ma chérie, ça te plairait de tenir compagnie à ma petite prisonnière?"
Eleonore ne savait plus très bien où elle était, son regard semblait perdu dans le vide, le champagne commençait à faire son effet et la tête lui tournait quelque peu. Comme un automate, elle suivit Isabelle, laquelle la fit asseoir sur le lit en lui caressant sa longue chevelure blonde.
Puis elle se dirigea vers une armoire, en sortit plusieurs cordes qu'elle déposa dans un coin, en prit une et s'approcha d'Eleonore. Elle joignit les deux mains de son amie dans le dos et commençàa à la ligoter soigneusement.
Eleonore fut traversée par un étrange sentiment. Isabelle prenait un plaisir évident à cette situation, ce qui rendit son ouvrage d'autant plus aisé. Ensuite, elle entrava la taille de la jeune femme de manière à bien faire ressortir ses formes voluptueuses, et s'attaqua ensuite à ses jambes et ses chevilles.
Au bout de dix minutes, Isabelle avait fini. Elle contempla son travail et demanda :
-"Alors, ma douce, ça fait quoi de voir les rôles inversés? Tu te souviens, quand tu m'avais ligotée? Tu avais pris ton pied, eh bien maintenant c'est mon tour!"
Eleonore fixa son amie dans les yeux, sa beauté avait quelque chose d'étrange tout comme son regard, et son coeur battait de plus en plus fort.
-"Oh, attends, j'ai oublié quelque chose, je reviens!"
La jeune fille ouvrit un tiroir, en sortit une culotte et la fourra dans la bouche d'Eleonore.
-"Ouvre ton bec, mon coeur!"
La jeune femme commença à gémir, mais Isabelle ne lui laissa pas le temps de réfléchir à sa situation, elle prit un bandeau qu'elle noua autour de la bouche d'Eleonore et fit un double noeud.
-"Mmmmmmmmpf!"
-"Tu es mignonne comme tout! Attends, je vais te mettre à côté de Ludivine, tu seras mieux!"
Isabelle fit basculer son amie sur le côté et l'installa à côté de Ludivine, laquelle avait suivi toute l'opération avec de grands yeux.
La jeune fille observa le spectacle avec délectation. Fière comme une petite reine, elle regarda avec attendrissement ses deux captives qui se débattaient vainement sous ses yeux.
-"Vous êtes adorables toutes les deux! Vous savez quoi? Je vais vous laisser ainsi pour la nuit, ne vous inquiétez pas, je serai à côté, je vous libérerai demain, en attendant je vais dormir, cette journée m'a épuisée!"
Isabelle déposa un tendre baiser sur la joue de ses prisonnières, puis éteignit la lumière et sortit.
A SUIVRE...
"Bonsoir, Isabelle!"
La jeune fille poussa un cri de surprise. Devant elle se tenait Eleonore, plus belle que jamais dans une robe bustier noire qui moulait à merveille ses formes généreuses, ainsi que des chaussures à talons aiguilles qui lui faisaient facilement gagner dix centimètres de plus.
Les deux jeunes femmes s'embrassèrent, puis Isabelle invita son amie à entrer.
-"Tu veux boire quelque chose? Au fait, j'ai une petite surprise pour toi, entre!"
Eleonore suivit la jeune fille, se demandant bien quelle surprise elle lui réservait. Quel ne fut pas son étonnement à la vue de Ludivine ligotée et bâillonnée sur le lit, elle ressentit un frisson parcourir son échine.
-"Alors, elle n'est pas belle, ma surprise?"
Eleonore sentit son coeur s'emballer, elle n'aurait jamais pensé qu'Isabelle fût si douée pour les liens, ce qui ne fit qu'augmenter son excitation.
-"Elle est jolie? Elle te plaît?"
Eleonore ne sut que répondre, les mots avaient du mal à sortir de sa bouche, ses joues commençèrent à prendre une teinte pourpre, sans se douter de ce qui allait suivre.
Entrre-temps, Isabelle fila à la cuisine, et revint avec une bouteille de champagne à la main et deux coupes qu'elle remplit aussitôt, puis elle en tendit une à Eleonore, laquelle avait le regard vaguement perdu, tellement elle avait du mal à évacuer son émotion.
-"A nos retrouvailles !"
-"A notre petite prisonnière!" renchérit Isabelle.
-"Je ne savais pas que tu aimais autant ces jeux et que tu étais aussi douée!"
-"J'ai été à bonne école, pas vrai?" fit ingénument la jeune fille avec un petit sourire en coin.
Le trouble d'Eleonore se fit plus marqué. Le regard d'Isabelle était presque perçant, malgré la douceur qui caractérisait son visage. Les deux jeunes femmes sirotèrent leur champagne, en jetant de temps en temps des regards sur leur captive, laquelle ne cessait de se tortiller et de pousser des petits gémissements plaintifs.
Au bout d'un moment, Eleonore s'aperçut que sa coupe était vide, qu'Isabelle s'empressa de remplir à nouveau. Elles portèrent un nouveau toast, et vidèrent leur coupe d'un trait.
Eleonore se sentit euphorique, comme si elle planait dans les airs. Entre-temps, Isabelle avait éxagérément entrouvert son léger chemisier, laissant deviner une poitrine pulpeuse que son soutien-gorge avait bien du mal à dissimuler, et prenait des mines aguicheuses tout en fixant son amie.
Puis elle reposa sa coupe sur la table, fit de même avec celle d'Eleonore, et lui prit gentiment le bras.
-"Dis-moi, ma chérie, ça te plairait de tenir compagnie à ma petite prisonnière?"
Eleonore ne savait plus très bien où elle était, son regard semblait perdu dans le vide, le champagne commençait à faire son effet et la tête lui tournait quelque peu. Comme un automate, elle suivit Isabelle, laquelle la fit asseoir sur le lit en lui caressant sa longue chevelure blonde.
Puis elle se dirigea vers une armoire, en sortit plusieurs cordes qu'elle déposa dans un coin, en prit une et s'approcha d'Eleonore. Elle joignit les deux mains de son amie dans le dos et commençàa à la ligoter soigneusement.
Eleonore fut traversée par un étrange sentiment. Isabelle prenait un plaisir évident à cette situation, ce qui rendit son ouvrage d'autant plus aisé. Ensuite, elle entrava la taille de la jeune femme de manière à bien faire ressortir ses formes voluptueuses, et s'attaqua ensuite à ses jambes et ses chevilles.
Au bout de dix minutes, Isabelle avait fini. Elle contempla son travail et demanda :
-"Alors, ma douce, ça fait quoi de voir les rôles inversés? Tu te souviens, quand tu m'avais ligotée? Tu avais pris ton pied, eh bien maintenant c'est mon tour!"
Eleonore fixa son amie dans les yeux, sa beauté avait quelque chose d'étrange tout comme son regard, et son coeur battait de plus en plus fort.
-"Oh, attends, j'ai oublié quelque chose, je reviens!"
La jeune fille ouvrit un tiroir, en sortit une culotte et la fourra dans la bouche d'Eleonore.
-"Ouvre ton bec, mon coeur!"
La jeune femme commença à gémir, mais Isabelle ne lui laissa pas le temps de réfléchir à sa situation, elle prit un bandeau qu'elle noua autour de la bouche d'Eleonore et fit un double noeud.
-"Mmmmmmmmpf!"
-"Tu es mignonne comme tout! Attends, je vais te mettre à côté de Ludivine, tu seras mieux!"
Isabelle fit basculer son amie sur le côté et l'installa à côté de Ludivine, laquelle avait suivi toute l'opération avec de grands yeux.
La jeune fille observa le spectacle avec délectation. Fière comme une petite reine, elle regarda avec attendrissement ses deux captives qui se débattaient vainement sous ses yeux.
-"Vous êtes adorables toutes les deux! Vous savez quoi? Je vais vous laisser ainsi pour la nuit, ne vous inquiétez pas, je serai à côté, je vous libérerai demain, en attendant je vais dormir, cette journée m'a épuisée!"
Isabelle déposa un tendre baiser sur la joue de ses prisonnières, puis éteignit la lumière et sortit.
A SUIVRE...