piègée ?

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Tchocobo

Re: piègée ?

Message par Tchocobo »

:bravo:

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Grognar
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Re: piègée ?

Message par Grognar »

Excellent suite , et j'adore ce petit défi qui au vut des éléments devraient être perdu par ton alter ego

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caroline
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Re: piègée ?

Message par caroline »

la suite


Couchée sur le côté, menottée, je le regarde s’éloigner.
Avant de quitter la chambre, il se retourne et me fait un coucou souriant, condescendant et moqueur en tapotant la poche où il a mis la clé.
Je lui tire la langue, boudeuse. Tu te crois malin Paul ?

Dès qu’il est hors de ma vue, je jubile. Yes ! Ca a marché. Caro tu es trop géniale !
Me doutant qu’il allait peut être se méfier et découvrir la clé dans ma culotte, j’ai collé une deuxième clé derrière un barreau du lit.
Je m'allonge sur le dos pour savourer le succès de ma ruse et ma position de prisonnière avec ces bracelets d’acier qui enserrent mes poignets sous mes reins.
Les jambes écartées, les yeux fermés, excitée par la situation, j’hésite .
Prisonnière de ses caprices….hum hum..Ca peut être fun…Etre fessée? Oh là là !
Le film et les émotions de cette option traversent ma tête et mon corps.
Je suis tentée, mais je n’ai pas monté tout ce stratagème pour cela.

En revoyant les contorsions d’Anne So qui m’avaient tant troublée sur la scène de la grange, je me tortille pour faire passer les menottes devant moi en les glissant sous mes fesses. La cordelette ne me gêne pas car elle est assez longue pour permettre cette gymnastique. Ca y est, c’est fait. Je récupère la clé de secours et après quelques essais infructueux, mes menottes sont déverrouillées. Yes ! Trop forte !

Il était temps !

- Alors Caro ? Tu es libre ? J’arrive !
C'est ça, fous toi de moi. Tu vas tomber des nues mon amour.

Je me tortille, grogne, grimace, remue la tête, les bras coincés sous mon dos, en lui tirant encore la langue.

- Bon ! Alors c’est quoi ton kif ? Tu ne peux plus te passer d’être attachée . C’est ça ?
Il est debout près de moi, les bras croisés en me toisant avec un air supérieur, limite suffisant.
- Maintenant, je vais réfléchir à ce que je vais faire de toi. Toi la rebelle, toute une après-midi et une nuit à ma botte. Le méga-pied !

Je baisse les yeux, penaude, feignant la soumission.

- Que dirais tu d’une petite fessée pour commencer ? Allez ! Mets toi sur le ventre et enlève tes mains de tes fesses !
En exagérant mes pleurnicheries, je prends tout mon temps pour me retourner.
- Surprise ! Surprise ! Je crie, joyeuse, les yeux brillants , en écartant et en moulinant mes mains libres, savourant son air incrédule et stupéfait.
- Espèce de…Oh non ! J’aurais dû m’en douter. Putain, c'est pas vrai. Quel con !
Je m’agenouille sur le lit face à lui, exhibant les menottes devant ses yeux pour le narguer.
- Tu me dois une faveur mon chéri ! Mais on peut sans doute déjeuner avant ? Qu’en penses tu ? Il faut que tu prennes des forces !

Le déjeuner est délicieux avec des œufs, des tomates, du jambon, du pain grillé, de la confiture et des petits chocolats, tout çà arrosé de café et de jus d’orange à volonté. Pendant ces trente minutes de pur bonheur, Paul n’a cessé de se et de me demander quelle serait cette faveur...

- Bon ! Tu es prêt à entendre la faveur ? ( je m'essuie les lèvres )
- Ben oui , je n'ai pas le choix. (il a l'air un peu inquiet)
- J’ai envie de t’attacher sur le lit et de faire ce que je veux de toi.
- Oh non !
- Oh si ! Ca va être super fun. Et je ne vais pas te battre moi. Tu m’as promis Paul. ( j'ai pris ma voix câline)
- Toi alors ! Tu m’as bien piégé . Il est gêné, lui le pur mâle à la merci d’une petite nana.
- Oui je sais .( j'ai presque envie de le consoler)
- Viens ! Je lui prends gentiment la main et l’entraine vers la chambre.
- Je suppose qu’il ne sert à rien de discuter.( résigné )

Je souris en secouant la tête et en lui lâchant la main.

- Allonge toi mon amour et laisse toi faire, lui dis je d’une voix douce. Ferme les yeux et ne bouge pas. Fais moi confiance !

Je prends un bandeau noir que j’avais dissimulé dans le tiroir d’une petite table, monte sur le lit et m’assieds sur son ventre.
Penchée sur lui, appuyée sur mes mains, je dépose sur ses lèvres et ses paupières closes des petits bisous tendres.
- Je vais te bander les yeux, relève un peu ta tête !
Il obéit sans protester. Aime t’il ce jeu ? Une fois le bandeau noué derrière sa nuque, je prends ses mains et les lève vers la barre supérieure métallique de la tête du lit autour de laquelle je les menotte ensemble. Il tire sur ses bras faisant cliqueter les chaines, ressentant sans doute cette impuissance troublante que j’avais moi même éprouvée.
- Ca va ? Tu n’as pas mal ? Il secoue la tête en silence, et respire profondément comme pour se calmer.

Je frotte mes seins sur son buste, l’embrasse dans le cou, lui mordille les oreilles, fais courir mes lèvres et ma langue sur sa poitrine et ses épaules avec des gémissements gourmands. Je le sens qui se tend vers moi, le souffle de plus en plus court en répétant mon prénom… « Caroline…Caroline…»
Le feu dans mon ventre et sur mes joues, la bouche grande ouverte, les yeux fermés, je réalise que ça va trop vite et me laisse tomber sur le dos à côté de lui , ma main droite serrant son avant-bras gauche tendu par les menottes. On reste là tous les deux quelques secondes, silencieux, reprenant nos esprits.
Puis je me déplace vers le bout du lit où je m’agenouille entre ses pieds nus écartés, les fesses sur mes talons, mes mains sur ses chevilles. Mon regard remonte le long de ses jambes moulées dans le jean, s'attarde sur le renflement qui gonfle sa braguette, la large ceinture de cuir noir sous sa taille fine, ses abdominaux en tablette de chocolat, son torse luisant de gouttes de sueur, ses pectoraux étirés par sa position, sa barbe de trois jours et ses traits cabossés. Trop craquant !
Je déboucle sa ceinture, déboutonne sa braguette, et commence à baisser son jean. Pas facile ! Il colle à sa peau.

- Soulève ton cul ! Je ris en tirant sur l’arrière de son jean. Toute surprise de le voir obéir sans protester. Oh ! Oh Paul !

Le jean glisse sur ses hanches, jusqu’à ses cuisses, entrainant son boxer noir taille basse ceinturé Calvin Klein.

- Eh ! Pas si vite ! Espèce d’exhibitionniste ! je dis en remontant le boxer sur ses hanches et en titillant de mes doigts son sexe érigé qui tend le tissu « Couché mon beau ! Sois patient ! Je vais m’occuper de toi plus tard»
- Ah ! C’est malin ! Paul soupire en remuant son derrière.

Je prends mon temps pour enlever son jean, embrassant sa peau au fur et à mesure qu’elle apparait, de l’intérieur de ses cuisses que ma langue lèche voluptueusement à ses orteils que mes petites dents pointues mordillent sans retenue.

à suivre? la fin est proche. :-)

alias

Re: piègée ?

Message par alias »

L'inversion des rôles est sympa^^
Et puis la fin est proche, la fin est proche... Tu nous as déjà fait le coup!
:bravo:

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caroline
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Re: piègée ?

Message par caroline »

alias a écrit :Et puis la fin est proche, la fin est proche... Tu nous as déjà fait le coup!
Désolée :timide:
Mais ce qui est sûr, c'est qu'on n'en a jamais été aussi près! :P

alias

Re: piègée ?

Message par alias »

en tout cas c'est toujours agréable de te lire!

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Re: piègée ?

Message par caroline »

ben alors...comment je peux continuer sans l'avis des piliers..mad et tchoko...
vous me manquez les garçons! :)
je déprime.. ;)

Tchocobo

Re: piègée ?

Message par Tchocobo »

Haha, ne t'en fais pas j'arrive à la rescousse :p
Bah j'ai envie de dire, vivement la suite, ça devient coquin tout ça :twisted:
Ce qui est bien avec ce récit c'est qu'on ne voit pas la fin arriver, du coup l'histoire et mis à jour assez souvent, et c'est pas pour me déplaire :D
:bravo: :bravo: :bravo:

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Re: piègée ?

Message par caroline »

je continue donc...jusqu'à la fin qui va bien finir par venir :langue:



J’ai dû le mordre trop fort car il émet un grognement furieux avec une violente ruade qui me fait basculer en arrière contre le cadre du lit.

- CARO ! ARRETE CA!
- Oh mon chéri ! J’ai été méchante. Je dois avoir un gage ! (je joue la gamine)
- Tu es complètement folle !
- Attends moi, je reviens !

Je jette son jean sur le sol, vais prendre dans le sac des menottes et un bandeau et me place à un mètre du lit juste au dessus de lui.
Il tourne la tête dans ma direction.

- Tu fais quoi ? ( il a dû entendre des bruits métalliques)
- Comme j’ai été méchante, je mérite un gage, alors je vais me bander les yeux, me menotter les mains dans le dos et mon gage sera de te faire l’amour sans pouvoir me servir de mes mains et sans te voir, d’accord mon chéri ?
- MALADE ! Tu es malade ! Et comment on va se libérer ? (une pointe d’inquiétude.)
- Mais je n’en sais rien…peut être qu’on va rester attachés toute la vie ! ( je fais l'idiote )
- Pfft..N’importe quoi ! Arrête tes conneries !

Je marque un temps d'arrêt pour visualiser les lieux et l’emplacement des deux clés sur la petite table pour les retrouver facilement.

- Comme tu ne peux pas me voir, je vais te décrire tout ce que je fais. Tu es prêt ? II ne répond pas.Il est prêt à m'écouter.
Je prends ma voix d’hôtesse de l’air, comme dit ma petite sœur, et commence à parler :
- Je relève mon top, lentement, très lentement, en me déhanchant….
Je le passe au dessus de ma tête et….
Hop là ... Je n’ai plus que ma petite culotte…comme toi....
Je me caresse les seins….Mes pointes se durcissent...Ohhhhhh...J'en profite car après je ne pourrai plus le faire, ni toi, et... c’est trop bon ! ...
Oh mon chéri, je vois que ça te fait des choses. …..
Maintenant je me bande les yeux, je serre fort le nœud derrière ma nuque.....Je n’y vois plus rien....Je suis dans le noir... comme toi. ...
Je prends les menottes, tu les entends ? (je les agite dans sa direction).... Les bracelets sont ouverts...
Je menotte ma main droite...cliiiic...Tu as entendu?...
Je la mets dans mon dos en tenant l’autre bracelet.
Tu me suis Paul ? …..Je continue ? ....

- NON ! NON! Stop ! Je l’entends gigoter, sans doute tirer sur ses bras.
- Oh ! Trop tard….Tu as entendu le cliquetis ? J’ai les mains menottées dans le dos . Paul ! Viens à mon secours ! C’est serré, je ne peux pas me libérer. (je fais mine de pleurnicher) Oh j'oubliais, tu ne peux pas, suis je bête. Mais c'est trop bizarre, je mouille....Tu me crois ?.. ..Tu vas devoir être à la hauteur pour éteindre cet incendie qui me brûle le ventre.
- Caroline ! Jamais je n’imaginais à quel point tu étais folle. Et maintenant ? (sa voix tremble légèrement )
- Maintenant ? J’éclate de rire. Mais je ne sais pas .

Je me retourne, pose mes fesses sur le bord du lit, pivote en levant les jambes et me couche sur le côté, tournée vers lui. Je me tortille, pousse sur mes mains menottées, et passe ma jambe gauche par dessus son corps. Je retombe sur son ventre, mes cuisses nues sur ses jambes nues, son sexe durci entre mes seins. Je me fais glisser le long de son ventre en léchant sa peau. Il soupire (gémit?) quand mes dents cherchent à mordre l’élastique de son boxer. Quand enfin, je le tiens entre mes dents en effleurant son gland gonflé et que je veux le baisser, je n' y arrive qu’à moitié car il reste coincé sous ses fesses.

- Peux tu te retourner mon chéri ? Je m’agenouille pour lui faciliter la tâche
- Décidément je dois tout faire ici ! (faussement râleur)
- Tu es un amour. (gentiment moqueuse)

A force de contorsions, en m’aidant de mes mains et de mes dents, et avec sa coopération, je réussis à descendre son boxer sous ses genoux. Je reste un moment sans bouger, haletante, à plat ventre sur son dos, le buste collé sur sa peau moite, la bouche ouverte sur son épaule droite, parcourue de frissons.

- EH CARO ! REVEILLE TOI ! !

D’un mouvement soudain, rapide et puissant de son bassin et de ses fesses, il me désarçonne en me projetant sur sa droite. Je suis éjectée du lit sans trop pouvoir amortir ma chute. Quelle secousse !

- Espèce de brute ! Tu m’as fait mal ! (plaintive )
- Fallait pas te menotter ma chérie ! il rit, ironique.
- Ok Ok ! Je vais me libérer et tu vas voir espèce de macho !

Sur les fesses, appuyée sur mes mains, je tâtonne sur le sol pour me repérer et récupérer la clé de mes menottes que je déverrouille assez facilement (je commence à avoir de la pratique ). J’enlève mon bandeau et me frotte les poignets avec un soupçon de regret vite effacé par la joie d’avoir ce mec à ma merci ! Je suis trop excitée. Je vais chercher des cordelettes et m’approche du lit en jubilant.
Paul s’est remis sur le dos.

- Espèce de mollasson ! je dis à son sexe pendant et ramolli que je gratouille du bout des doigts Je vais te remettre en forme ! Patience !

Après avoir enlevé le boxer de ses jambes, les mains sur le cadre métallique chromé du lit, je contemple avec une émotion grandissante mon amoureux nu, aveuglé, enchaîné. Légèrement tremblante, je saisis ses pieds par les talons pour les tirer vers moi et les écarter. Il se laisse faire. Je caresse doucement ses mollets pour savourer le contact de sa peau poilue sur la paume de mes mains. Puis je prends tout mon temps pour attacher des cordelettes autour de chaque cheville, et les fixer sur les tubes verticaux du cadre avec assez de mou pour qu’il puisse plier les jambes. Voilà ! C’est fait. Il est pieds et poings liés.
Caroline! Caroline! Qu'est ce qu'il t'arrive?

A suivre...Plus que deux posts...pas très longs..Promis! :P ;)

Tchocobo

Re: piègée ?

Message par Tchocobo »

La suite, la suite, la suite :bravo: :admire:

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