Le stage

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Yopo1

Re: Le stage

Message par Yopo1 »

Le récit est très prometteur, nous espérons que le stage dure longtemps !

J'adore la manière dont Catherine arrive à utiliser & à conditionner sa nièce.

Si elle a pris la paire de ciseaux, ce n'est sûrement pas pour rien.

A suivre très vite j'espère !

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Alexandra_TV
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Re: Le stage

Message par Alexandra_TV »

Un vrai délice.

Bravo à toi et pour ton excellente plume. :-)

Alexandra

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Utten
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Re: Le stage

Message par Utten »

Merci pour vos commentaires. J'essaye de faire au plus vite pour la suite.

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Utten
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Re: Le stage

Message par Utten »

Malgré tout, après de longues minutes à attendre, Alice commençait à perdre patience et à se débattre de plus en plus. Dans n’importe quelle série télévisée, ça semblait si facile de se détacher en insistant un peu. Elle parvint à se redresser et à se mettre assise au bord du lit, une meilleure position se disait-elle pour essayer de libérer ses bras et ses mains. Mais ça ne venait pas et tout se qu’elle réussit à faire c’est de tomber à terre sur ses genoux dans un grand bruit sourd puis finalement de se retrouver allongée au sol.

Elle était inquiète, se disant qu’en bas Catherine avait dû l’entendre et se demandant comment elle allait réagir. Effectivement un peu plus tard, sa tante ouvrait la porte en faisant un ‘Ah...’ d’apitoiement alors qu’on entendait dehors une voiture démarrer et s’éloigner.

- Mais je pensais t’avoir dit de rester sage...

La pauvre Alice se mit à secouer la tête, comme pour s’excuser, les yeux presque humides et au même moment Catherine se penchait sur elle en sortant de sa poche les ciseaux qu’elle avait subtilisés auparavant. Elle roula Alice sur le ventre et coupa un par un les rubans adhésifs qui l’attachaient, tous sauf celui qui liait ses poignets. Elle lui laissa aussi son bâillon.

- Allez, debout maintenant.

Une main sous le bras, Catherine l’aida à se relever tant bien que mal puis l’emmena, mains attachées, bâillonnée, en ignorant ses ‘Mmmm MMmm!’. Elle descendirent l’escalier et traversèrent la cuisine pour se retrouver dans le cellier, une pièce aveugle pleine d’étagères et surtout de deux gros poteaux en bois. Alice attendit là toute seule, pas plus de trente secondes, juste le temps qu’il fallait à sa tante pour ramener plus de cordes qu’elle n’en avait jamais vu. Sept, huit peut-être.

Puis elle poussa Alice tout contre l’un des poteaux pour l’y attacher. Les cuisses d’abord avec une longue corde, formant une large bande de 5cm. Les chevilles ensuite attachées ensemble puis la corde entourée autour du poteau avant de la nouer entre les chevilles et le poteau. Les épaules et la poitrine enfin, avec une seule et même corde, la plus longue a priori mais si tendue qu’Alice ne pouvait plus se débattre. Même lorsqu’elle sentit la main de sa tante la caresser, remonter le long de sa cuisse, sur son ventre. C’était troublant. La main remontait doucement jusqu’à sa bouche; elle pouvait sentir le bout des doigts à travers son bâillon.

Catherine respirait fort, l’air excitée, comme hypnotisée par sa prisonnière, les yeux dans le vide. Reprenant ses esprits, elle ôta sa main et se retourna sans un mot en laissant Alice toute seule. Celle-ci n’osa pas bouger pendant quelques minutes, mais quand elle n’entendit plus aucun bruit dans la cuisine à côté se mit à tirer sur ses liens comme elle le pouvait. Malheureusement, elle ne put que constater encore une fois leur solidité et subir l’attente interminable interrompue quelques fois par des bruits de pas dans la pièce à côté.

Par deux fois, Catherine revint. La première fois sans rien dire. Elle s’approcha avec un petit sourire, la bouche entrouverte, laissa glisser sa main sur les seins d’Alice immobile, tira doucement sur deux ou trois liens prête à faire une quelconque remarque puis repartit sans écouter les Mmmm de sa nièce toujours bâillonnée. La seconde bien plus tard. Cette fois-là, sa main monta directement vers son visage et arracha lentement l’adhésif sur la bouche d’Alice puis du bout des doigts en retira la culotte gorgée de salive.

Alice en fut tellement soulagée qu’un ‘merci’ lui échappa avant que Catherine ne la délivre de ses cordes.

- Assez joué pour ce soir, je crois.

Yopo1

Re: Le stage

Message par Yopo1 »

Toujours aussi savoureux.

Sa tante lui avait bien dit de se tenir tranquille !! C'était bien mérité !

Merci de nous faire saliver toujours & encore !

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foulards6384
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Re: Le stage

Message par foulards6384 »

J adore cette suite, c'est toujours un plaisir de lire tes histoires utten, j'ai hate de lire la suite, peut être que alice n'auras pas d'autre choix que de se faire discrète.
je bouge pas :police: je ne regarde pas :bandeau: je ne parle pas :gagged:

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Utten
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Re: Le stage

Message par Utten »

Avant dernier épisode...


Les deux femmes ne firent que se croiser le lendemain matin, l’une émergeant à peine du sommeil, l’autre pressée d’aller au travail pour avancer sur son rapport de stage. Il lui fallait encore réunir une somme d’élément importante pour le terminer. Comme d’habitude, pas un mot sur les événements de la veille, ni ce matin-là, ni le soir, ni les jours qui suivirent.

Pendant plusieurs jours, Alice bénéficia d’un répit. Rien n’avait été évoqué ou décidé: elle constatait juste qu’il n’y avait plus d’invité à venir si bien qu’au bout de onze jours, le rapport de stage était quasiment terminé. Restaient probablement quelques relectures et corrections, et aussi à préparer la présentation à l’oral.

Le douzième jour en rentrant, elle trouva en évidence sur la table un mot à son attention disant ceci: ‘Je serai de retour à 22 heures précises, accompagnée. Je n’aurai donc pas le temps de te préparer mais je laisse dans ta chambre de quoi le faire toi-même. Je compte sur ta compréhension. Catherine’. Alice crut d’abord à une plaisanterie que sa tante lui faisait sauf qu’à l’étage elle découvrit au milieu de sa chambre une nouvelle chaise, en bois, sur laquelle étaient posés quelques cordes, une paire de menottes, un rouleau d’adhésif noir et ce qui devait être un bâillon, en fait une grosse sangle très élargie au milieu et sur laquelle était montée un morceau de caoutchouc ou de plastique de 5cm.

Elle se mit au travail, difficilement, l’esprit embrouillé, pour ne s’arrêter qu’à 21h45, un quart d’heure avant le retour annoncé de Catherine, lorgnant sur les accessoires disposés sur la chaise, sur sa montre. Elle hésita longtemps mais en se demandant quelle serait la réaction de sa tante si ce n’était pas une farce, elle se décida à obtempérer.

Elle commença par découper un long morceau d’adhésif qu’elle colla sur sa bouche devant le miroir de la salle de bain. Puis elle s’assit sur la chaise, pieds nus, pour attacher ses chevilles de chaque côté en insistant sur le nombre de tours de corde plutôt que sur des noeuds serrés. Restaient les menottes qu’elle glissa entre les barreaux derrière elle, les laissant pendouiller sans y mettre ses poignets préférant attendre le dernier moment. Et si Catherine ne rentrait pas? Si c’était vraiment une blague?

Mais à 22h03 elle comprit que ce n’en était pas une: une voiture se garait dans l’allée, deux portières claquaient. Alors Alice referma les menottes sur ses poignets et tira dessus doucement pour vérifier qu’elle était bien retenue - elle l’était - et commença à attendre.

Catherine ne mit pas très longtemps à apparaître, à peine une dizaine de minutes, félicitant Alice d’avoir suivi ses instructions. Elle tourna autour d’elle pour s’assurer qu’elle était bien attachée, très satisfaite de voir les menottes passer entre les barreaux de la chaise. Mais alors qu’elle allait redescendre, son regard s’arrêta sur le bâillon qu’Alice n’avait pas voulu mettre et qu’elle ramassa. Elle revint vers sa nièce, décolla l’adhésif de son visage, et força l’autre bâillon, celui avec le gros morceau de caoutchouc, entre ses lèvres. Alice ne put résister longtemps, elle essayait de détourner la tête, mais très vite il remplit sa bouche et Catherine serra la sangle sur sa nuque.

A nouveau elle se retrouvait seule, ligotée et bâillonnée pendant que sa tante s’amusait en bas. Un peu plus humiliée cette fois par ce bâillon qu’elle devait garder comme... enfin... et qui la faisait baver plus qu’aucun autre.

Heureusement une vingtaine de minutes plus tard, l’invité repartait. Impatiente, Alice se mit à appeler ’Mmmm!!! MMmmMMMMMMMm!!!‘, à se trémousser sur sa chaise, soulagée quand Catherine reparut à la porte.

- Voilà, voilà, j’arrive...

Elle tenait dans sa main la toute petite clé des menottes mais alors qu’elle s’apprêtait à détacher sa nièce, elle s’arrêta au bureau.

- C’est ton rapport de stage? Tu l’as terminé? Je peux regarder?

Voyant sa tante poser la clé sur le bureau, Alice se remit à se plaindre, secouant la tête de droite à gauche.

- Bon. Je le lis vite fait et je te détache après. D’accord?

Yopo1

Re: Le stage

Message par Yopo1 »

Je suis triste d'avance que ce soit l'avant dernier épisode.

La série se composait bien avec une tante utilisant sa nièce à sa guise pour la faire taire durant ses occupations...

Finalement, en tant que lecteur, nous sommes aussi spectateurs qu'Alice, nous ne savons jamais vraiment ce que sa tante fait avec les personnes qui viennent & repartent... Nous en sommes un peu frustré, mais savourons les doux liens qui retiennent régulièrement l'héroïne.

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foulards6384
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Re: Le stage

Message par foulards6384 »

Il est vrai que cela est dommage que les aventures d'Alice soit bientôt terminé, les méthodes utilisés par sa tante ne sont pas ordinaires mais efficace pour notre plus grand plaisirs. Espérons que le dernier épisode sera grandiose :gagged:
je bouge pas :police: je ne regarde pas :bandeau: je ne parle pas :gagged:

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Utten
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Re: Le stage

Message par Utten »

Catherine prit son temps pour lire le rapport, coupant parfois les rares gémissements d’Alice de ‘chchhttt’ sans même se retourner puis une dizaine de minutes plus tard, elle la détachait en la complimentant sur son travail: clair, précis, bien construit. Et la mit en garde sur sa présentation à l’oral, à préparer pour ne pas perdre ses moyens devant l’auditoire, ne rien laisser la déstabiliser.

Le lendemain, elle lui proposa même l’aider pendant les trois jours qui restaient. Il ne restait plus que trois jours de stage à Alice, le moment de la remercier chaudement de l’avoir hébergée; ça faisait une semaine que sa mère le lui répétait à chaque fois. Il est vrai que tout aurait été beaucoup plus compliqué si elle avait dû se loger ailleurs. Elle profita donc du repas qu’elles prenaient ensemble pour le faire:

- Catherine, je voulais vraiment te remercier de m’avoir accueillie chez toi. A deux pas de mon stage. Les repas, la chambre, tout quoi...

- Tout. Vraiment?

Alice se mit à rougir.

- Ah! Heu... oui, même ça, je commençais à m’y habituer.

Elle sentait la pente dangereuse, essaya de changer de sujet.

- Je voulais t’offrir des fleurs mais Maman dit que ça fait un peu kitsch...

- Ne va pas faire des dépenses inutiles. J’ai été très heureuse de t’avoir ici.

- Moi aussi, mais j’insiste, il y a sûrement quelque chose qui te ferait plaisir.

- Et bien...

Pour une fois, c’est Catherine qui hésitait puis elle se lança finalement en expliquant à Alice qu’elle aimerait beaucoup jouer avec elle pendant toute une journée, l’attacher, lui donner des ordres. C’était vraiment inattendu; dans son esprit Alice pensait plus à un parfum ou un foulard en guise de remerciements, pas à... ça. Mais comment refuser à présent? Elle accepta donc toute prête à passer ce jeudi vraisemblablement ligotée et bâillonnée.

Le jour venu, elle dormait encore quand Catherine entra dans sa chambre. Le soleil commençait tout juste à se lever. C’est un large morceaux d’adhésif collé sur sa bouche qui la réveilla. Dans un demi-sommeil elle reconnut à peine sa tante; ses bras s’agitèrent mais Catherine l’immobilisa en lui saisissant les poignets et d’une voix toute douce lui rappela ce qui était convenu en même temps qu’elle lui ligotait les mains devant elle avec son gros rouleau de tape noir. Elle découvrit ensuite la couette pour relever les jambes de la petite Alice et les attacher sous les genoux et au niveau des chevilles.

Avec les mains liées devant elle, Alice pouvait encore espérer se détacher seule à la première occasion ou enlever son bâillon mais elle fut vite déçue quand elle sentit ses avant-bras poussés tout contre ses jambes et l’adhésif déroulé tout autour, serrant à la fois cuisses et bras. Avant de s’en aller, Catherine lui recouvrit les jambes avec la couette, la laissant là toute seule, habillée de son grand t-shirt et de sa petite culotte, presque pliée en deux.

Après avoir tenté de se débattre, Alice dut se résigner et attendre. La position n’était pas très confortable mais supportable; tout ce qu’elle gagnait à gigoter c’était de s’épuiser et de lâcher des Mmm étouffés.

Catherine fut ravie de la retrouver ainsi, très sage, après s’être longuement préparée. Elle avait pris une longue douche visiblement, les cheveux encore humides, et revêtu un long tailleur noir très serré et un chemisier blanc. Elle s’était aussi coiffée en chignon, ce qui lui donnait un genre.

Elle détacha sa nièce en coupant les scotchs puis lui suggéra d’aller prendre une douche:

- N’enlève pas ton bâillon. Et dès que tu as fini, rejoins-moi en bas ma chérie. En tenue!

Tenue? Quelle tenue? se demanda Alice mais n’y pensa plus une fois sous la douche. Après quoi elle découvrit sur son lit la tenue en question: un véritable uniforme de femme de chambre, pas une tenue coquine de soubrette comme on trouve dans les magasins de déguisements, non, un uniforme, entre la blouse et la robe, toute noire avec un tablier blanc intégré, col rond et blanc, des manches mi-longues bordées de blanc. Il y avait aussi un bandeau blanc à frou-frou pour ses cheveux et Catherine avait laissé en évidence sa paire de chaussures à talons.

C’est ainsi qu’Alice descendit au salon, oubliant presque qu’elle était bâillonnée, où sa tante l’attendait, une corde blanche à la main, assise sur le canapé. D’un geste, elle la fit s’asseoir et lui attacha les poignets dans le dos cette fois, puis les coudes si serrés qu’ils se touchaient. A la suite de quoi, elle s’agenouilla pour lui attacher les chevilles, les genoux et même les cuisses. Le bâillon lui fut enlevé mais aussitôt remplacé par un bandana rouge minutieusement plié sous ses yeux et glissé entre ses dents puis noué très très serré sur sa nuque.

Toute ficelée, Alice luttait intérieurement pour taire ses plaintes. Enfin, Catherine l’allongea au pied du canapé, sur le ventre, remonta ses chevilles en direction de ses mains et noua le reste de la corde qui liait ses chevilles entre ses poignets. Elle resta là bien sagement les pieds en l’air sans bouger ou presque; pendant ce temps, sa tante s’était assise dans le canapé et regardait la télévision, deux soap opéras du matin d’une bêtise incroyable.

Au générique de fin, dans un grand soulagement, sa tante lui accorda un peu d’attention, lui détachant les jambes complètement après lui avoir ôté le bâillon, et l’aida à se relever puis la guida vers la cuisine, mains et coudes toujours attachés dans son dos. Elle fut assise sur l’une des chaises en bois, les bras calés entre son dos et le dossier de la chaise. Catherine disparut quelques secondes et revint avec deux rouleaux d’adhésif d’emballage, arborant toujours un large sourire mais sans dire un mot.

A genoux devant sa nièce, elle commença à faire craquer le scotch en le déroulant et lui attacha les chevilles ensemble. Elle remonta ensuite légèrement la robe d’Alice au-dessus de ses genoux et les scotcha ensemble après quoi elle sortit un grand sac poubelle en plastique noir, très épais et brillant. Alors qu’elle en découpait une ouverture dans le fond, Alice inquiète rompit le silence en demandant ce qu’elle comptait faire avec ça et comme sa tante continuait sans répondre commença à se débattre.

- Alice, allons, du calme...

- Mais qu’est-ce que tu comptes faire avec ça?

Puis elle lui enfila le sac par dessus la tête et le fit descendre, recouvrant tout le haut de son corps, et le dossier de la chaise également. Seule sa tête en dépassait. Alice pouvait encore gigoter à ce moment-là, ce qu’elle ne manquait pas de faire, regardant le plastique qui la recouvrait.

- Catherine... s’il te plaît...

- Allons, ma petite, du calme. Sinon je vais devoir te bâillonner, tu le sais.

Comme Alice se taisait, Catherine resta pensive deux secondes, puis repris le rouleau de scotch et commença à lui enrouler l’adhésif autour du ventre, continua plus haut sur les épaules, et termina sous la poitrine. Elle sortit ensuite un autre sac plastique et cette fois l’enfila par les pieds en remontant le long des jambes d’Alice jusque sous ses fesses. Elle finit le tout par quelques bandes d’adhésif rendant tout mouvement impossible ce qu’Alice allait avoir le temps d’apprécier, abandonnée seule là.

Juste avant de partir, elle n’oublia pas de la bâillonner avec son scotch d’emballage, en faisant sept tours autour de sa tête serrés si fort qu’ils lui compressaient les lèvres et la forçait à rentrer le menton dans son cou, diminuant là encore sa liberté de mouvement.

Une fois seule, Alice ferma les yeux en cherchant la position la moins pénible. Elle ne s’attendait pas à ce que sa tante revienne vite car entendit l’aspirateur démarrer à l’étage, aller et venir d’une pièce à l’autre, pendant près d’une heure, et quand il s’arrêtait, elle ne bougeait plus du tout, pour éviter les bruissements du plastique. Quand l’aspirateur vrombissait, elle luttait, se débattait, lançait des MMmmm!!! dans le vide.

Puis Catherine revint.

- Bientôt midi... Quel dommage que je doive te détacher, Alice.

Tout en parlant, elle commença à couper les liens de sa nièce.

- Ahhh... Il y a tellement de choses que j’aurais pu faire avec toi. Mais bon... ta mère arrive bientôt, je m’en voudrais qu’elle te trouve là comme ça. J’espère que tu auras quand même l’occasion de revenir me voir.

désolé pour la fin: je n'en suis pas très content mais je crois qu'il était temps d'abréger pour passer à autre chose...

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