Le stage

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Utten
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Le stage

Message par Utten »

Depuis six semaine qu’Alice logeait chez la cousine de son père, cousine apparue de nulle part comme par miracle au moment où il lui avait fallu trouver un logement, tout allait à merveille. Pour une quadra divorcée, Catherine était des plus sympathique et agréable; les deux femmes s’entendait à merveille. Après sa journée de stage, épuisée, Alice n’avait aucun mal à respecter la seule règle demandée: rester à l’étage quand Catherine ‘recevait’, ce qu’elle avait plutôt interprété comme ‘une petite partie de jambes en l’air’.

Sauf qu’un soir, elle avait oublié son téléphone en bas. Et elle l’avait entendu arriver: un ‘invité’ était là. Impossible de résister, elle descendit les escaliers, priant pour ne pas se faire surprendre, et récupéra son téléphone qui était bien là sur la table. Des petits bruits se faisaient entendre, on devait bien s’amuser là à côté.

Sur la pointe des pieds, elle allait remonter quand la porte du bureau s’ouvrit. Catherine en sortit, ouf! habillée, mais juste vêtue d’une longue jupe sombre et d’un soutien-gorge. L’une et l’autre furent aussi surprises, gênées, de se retrouver face à face, muettes. Alice eut le temps d’entrevoir par la porte. Juste une épaule, un bras, et. Oh!

- Alice?! Mais...

Ne sachant quoi dire, Alice montra son téléphone puis remonta en courant et en laissant échapper un ‘désolée’, avant de s’enfermer dans sa chambre. Honteuse ou confuse, la journée suivante fut mauvaise, inquiète de ce qui allait se passer lorsqu’elle rentrerait le soir. Convaincue qu’il lui faudrait trouver un autre logement.

A sa grande surprise, tout se passa bien. Bonjour, bonne journée?, sourire habituel. Rien que du normal de la part de Catherine. Sauf que, passé 18h, cette dernière engagea la discussion.

- Au fait, pour hier soir...

- Oh! Catherine, je suis désolée, vraiment désolée.

Elle se sentait presque de pleurer, et ça devait se sentir.

- Allons, allons, ce n’est rien. Mais j’aime bien rester discrète sur mes... pratiques, si tu vois ce que je veux dire.

- Tes pratiques?

- Oui! Les cordes, les bâillons et tout le reste. Enfin, ce que tu as vu hier soir...

Alice ne s’était donc pas trompée. L’homme qu’elle avait à peine aperçu était bien attaché. Bouche bée, elle ne savait plus quoi dire, d’autant plus que Catherine semblait d’un coup beaucoup plus sérieuse.

- Et pour ce qui est de la prochaine fois, si c’est nécessaire, je t’enfermerai dans ta chambre le temps qu’il sera là. Voire même, je t’y attacherai. Nous sommes bien d’accord?

- Mais...

- Pas de ‘mais’! D’ailleurs, autant commencer tout de suite pour être sure que tu as bien compris.

Elle allait de nouveau protester que déjà Catherine s’était levée, l’invitant d’un geste à la suivre dans le bureau. Gênée, embarrassée, Alice ne savait plus quoi faire, sauf de se lever et de pénétrer dans le bureau où elle fut agrippée par le bras et poussée à s’asseoir sur la chaise en bois qui trônait là.

Catherine alla se placer derrière elle. Elle entendit un tiroir s’ouvrir d’abord puis ses bras furent tirés dans le dos, et ses poignets attachés solidement avec une corde qui faisait au moins cinq fois le tour, avant d’être nouée à un barreau du dossier.

A peine le temps de réagir, une autre corde était passée par-dessus elle, et tendue sous sa poitrine, tirée en arrière. Elle se sentit redressée, collée contre le dossier, et put compter cette fois quatre tours, puis deux tours supplémentaires au-dessus de ses seins, relevés et comprimés à la fois, avant que cette corde ne fut nouée quelque part dans son dos, mais très certainement au dossier de la chaise.

Pendant un instant, plus un bruit, elle crût que c’en était fini mai Catherine reparut devant elle, plusieurs cordes à la main. Elle s’agenouilla, lui saisit une cheville et la colla contre le pied de la chaise. Puis après avoir plié l’une des cordes en deux, les attacha ensemble. Et recommença avec l’autre cheville.

Dans son dos, discrètement, Alice tenta de voir si elle pourrait détacher ses poignets, essayant de trouver l’un des noeuds et de se tordre les poignets.

- Oh, tu peux essayer. Je n’ai pas trop serré, mais ça devrait tenir...

Mince! Pas si discrète que ça. A nouveau elle se sentit toute honteuse, si bien qu’elle s’arrêta, réfléchissant à ce qu’elle allait dire, ou faire. Pour le ‘faire’, c’était réglé: Catherine venait de se relever, travail accompli, et Alice sentait bien que ses chevilles étaient aussi bien attachées que ses poignets.

- Je l’ai déjà dit, je suis désolée pour hier soir. J’avais juste oublié mon portable. C’est promis: ça ne se reproduira pas.

- Mais j’y compte bien, ma petite. Sinon, je t’attacherai comme ça à ch...

Elle fut interrompue par le téléphone qui se mit à sonner. Il y avait un combiné, là sur le bureau, prête à décrocher. Mais, un regard vers Alice toute ligotée, elle se plaça derrière elle et posa d’abord une main sur sa bouche pour l’empêcher de parler. Puis décrocha. Surprise, Alice ne pensa même pas à essayer de crier, ou même de secouer la tête pour échapper à la pression sur sa bouche.

- Allo, oui?

- ...

- Oui, c’est moi. Qui est à l’appareil?

- ...

- Oh! Madame Sévin. Bonjour! Un instant s’il vous plaît.

Elle entendit un petit bip, et le bruit du combiné qu’on posait sur le bureau; elle comprit bien plus tard que Catherine venait juste de couper le micro. Puis en à peine de secondes, une boule blanche munie de deux sangles de chaque côté glissait sous ses yeux et s’enfonçait dans sa bouche. Tout ça se passait si vite qu’elle n’eut pas le temps de résister et qu’elle se retrouvait bâillonnée, les sangles bouclées sur sa nuque.

Un petit couinement de surprise lui échappa. Drôle de sensation que de se voir bâillonnée de la sorte, complètement impuissante, les mains liées dans le dos. Elle avait l’impression d’avoir la bouche ouverte mais incapable de prononcer le moindre mot.

Bip à nouveau.

- Merci d’avoir attendu. Alors qu’est-ce qui...

(à suivre)

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Alexandra_TV
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Alexandra
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Re: Le stage

Message par Alexandra_TV »

Bravo, belle histoire.

J'adore

Alexandra

Bouya2

Re: Le stage

Message par Bouya2 »

Pareil :)
L'histoire est bien écrite, et l'intrigue est prometteuse

stephanie
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Ce que je déteste : Les relations uro-scato, la violence non consentie, la vulgarité, les a priori sur les autres.

Re: Le stage

Message par stephanie »

Joli début, j'aime beaucoup.

Bises,

Stéphanie

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Utten
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Re: Le stage

Message par Utten »

Merci. Voici la suite...

Elle reprit tranquillement sa conversation, ignorant Alice sur sa chaise, et sortit même du bureau comme si rien ne s’était passé. Aussitôt Alice se mit à travailler sur ses liens, tordant ses poignets dans l’espoir d’attraper la corde avec le bout de ses doigts, poussant ses épaules à droite et à gauche, tirant ses jambes de chaque côté avec l’espoir de faire glisser les noeuds. Ca bougeait très peu, mais en insistant, peut-être que...

Le bâillon commençait à la faire saliver. Il fallait qu’elle oublie ça et se concentre. Qu’elle se fasse aussi silencieuse que possible, sinon les ‘MMmmrrphphpff’ qui s’échappaient de sa bouche risquaient de faire revenir Catherine plus vite. Ca venait... A force de patience, ses poignets se décollaient du dossier de la chaise. Ils étaient toujours attachés ensemble, mais desserrés du barreau.

Malheureusement, c’est à ce moment que Catherine reparut à la porte. En une seconde elle avait fini de constater tous les efforts qu’Alice avait fournis.

- Ah, non, non, non... j’ai été trop gentille, ma petite.

Calmement, elle commença par s’accroupir devant Alice, détacha ses chevilles l’une après l’autre avant de les réunir et des les rattacher ensemble, plus serrées cette fois. Puis de lui ligoter les jambes, juste au-dessus des genoux, comme bercée par les gémissements de sa prisonnière. L’une prenait un malin plaisir, tout sourire; l’autre se sentait de plus en plus impuissante et tentait désespérément de retenir la salive qui coulait sur son menton.

Catherine continua ensuite et détacha la longue corde sur la poitrine d’Alice pour mieux lui lier les bras, dans le dos, au-dessus des coudes. La petite stagiaire les sentit se rapprocher dangereusement, presque à se toucher. Chaque tour de corde lui arrachait une nouvelle plainte. Ce n’était pas que c’était douloureux, non, juste humiliant. Et encore plus quand elle fut allongée par terre, sur le ventre, ses pieds relevés, tirés vers ses mains et le restant de corde attaché entre ses poignets.

- MMmmmffff! MMMmmm...

La seule forme de répit, ce fut défaire son bâillon. Quel soulagement! Pourtant, elle n’osait rien dire. La boule de caoutchouc lui laissait un goût affreux dans la bouche. Catherine lui essuya le menton avec un chiffon blanc ou un foulard, difficile de savoir.

- Catherine, s’il te plaît. Je te promMMMmmggghhgghhh!!!

Voilà, elle aurait dû ne rien dire: on venait de lui enfoncer le chiffon dans la bouche, étouffant tous les mots qu’elle aurait pu dire et toute chance de plaider sa défense. Une main plaquée sur sa bouche. L’autre qui venait appliquer un foulard par dessus, coincé entre ses lèvres et noué sur sa nuque.

Tout cela dépassait de loin tout ce qu’elle avait pu imaginer de ce genre de pratique. Elle avait déjà été ligotée ou presque. Une seule fois en fait. Un petit ami dont le nom lui échappait maintenant, qui avait voulu faire genre en lui attachant les mains à la tête de lit avec une ceinture de peignoir et... Qu’est-ce qu’elle avait pu s’ennuyer! Mais jamais, jamais comme maintenant. Comme un veau dans un rodéo, ou presque.

Trente secondes plus tard, Catherine revint s’agenouiller avec deux nouveaux foulards et appliqua le premier plié en une large bande de dix centimètres par dessus le premier, couvrant cette fois tout le bas de son visage, de la base du nez jusqu’au menton, et le serra très fort derrière sa tête. Puis elle commença à plier le second de la même façon.

- MMmmnnnMm!

Alice se mit à secouer la tête de droite à gauche, sans savoir ce que sa geôlière allait faire: lui bander les yeux. Elle continua de se plaindre et de demander pardon pendant cinq minutes avant de réaliser qu’elle était maintenant toute seule, ligotée, bâillonnée, complètement impuissante. Elle essaya de se débattre encore un peu mais compris que le mieux était de rester immobile pour ne tirer ni sur ses bras ni sur ses jambes.

Un quart d’heure plus tard, Catherine vint la détacher.

- J’espère que ça ira pour cette fois, petite curieuse?

Elle osait à peine répondre, de peur de se retrouver à nouveau en mauvaise posture, et fila dans sa chambre en silence.

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Alexandra_TV
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Re: Le stage

Message par Alexandra_TV »

Est-ce que elle auras compris ?

C'est à voir

Alexandra

stephanie
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Re: Le stage

Message par stephanie »

Ou alors elle y aura pris goût.
J'aime beaucoup,
Stéphanie

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foulards6384
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Re: Le stage

Message par foulards6384 »

J'ai beaucoup aimer cette histoire, j'espèpere qu'ont la retrouvera de nouveau ligoté dans une suite, qu'elle est pries gout ou qu'elle n'est pas retenue la leçon.
je bouge pas :police: je ne regarde pas :bandeau: je ne parle pas :gagged:

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Utten
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Re: Le stage

Message par Utten »

Elle s’y enferma pendant une heure avant de descendre, attirée par une bonne odeur de nourriture mais aussi inquiète. Catherine et elle avaient pris l’habitude de dîner ensemble. Hésitante, elle fut accueillie comme d’habitude, comme si rien ne s’était passé, avec un grand sourire, un repas délicieux. Elle fit bonne figure ce soir là, et les quatre jours qui suivirent, avec une petite appréhension à chaque fois qu’elle rentrait après sa journée de stage. ‘Invité’ ou pas ce soir?

Le quatrième jour précisément, alors qu’elle travaillait déjà sur son mémoire, Catherine frappa à sa porte et entra.

- Bonsoir Alice. J’ai un ‘invité’ ce soir. D’ici quelques minutes en fait.

- Je comprends Catherine: je reste ici, je ne sors pas de ma chambre, je ne bouge pas.

Catherine sortit alors les mains de son dos, tenant un gros rouleau d’adhésif gris, et lui fit faire un demi-tour en l’attrapant par le bras et lui attacha les poignets dans le dos, vérifiant après cinq tours que c’était bien solide.

- Catherine, est-ce que c’est bien nécessaire? Je...

Mais déjà sa tante - la cousine de son père, ça doit bien être sa tante - passait ses mains par devant et lui entourait le ventre et les bras d’une large bande d’adhésif doublée, directement sur son chemisier blanc, avant de continuer dessus et dessous sa poitrine.

- Oh oui, Alice, c’est nécessaire.

Les bras plaqués contre son dos, un sentiment d’impuissance remontait, si bien qu’Alice se laissait faire sans lutter. Diablement serré. Immobilisée autant qu’avec les cordes si ce n’est plus. Pourtant quelque chose clochait, elle le vit dans le regard de Catherine qui regardait un peu partout dans la chambre, discrètement, jusqu’à se fixer sur ses hanches. Elle releva alors sa jupe, fit glisser sa petite culotte et la roula en boule avant de la forcer dans sa bouche en appuyant bien du bout des doigts.

- Ne recrache surtout pas. D’accord?

Juste le temps pour elle de couper deux longs morceaux d’adhésif et de les appliquer en travers de sa bouche, presque d’une oreille à l’autre. Puis elle força Alice à s’asseoir sur le lit et s’agenouilla pour lui attacher les jambes, les cuisses d’abord, juste sous la jupe, les genoux et enfin les chevilles. Après quoi, elle l’aida à s’allonger, en prenant même le temps de lui caresser le visage pour écarter quelques mèches de cheveux.

- Je suis désolée pour le bâillon, Alice. J’en avais préparé un mais je dois être étourdie, je l’ai...

Une voiture venait de se garer. Catherine s’interrompit pour aller regarder par la fenêtre et comme son invité arrivait se dirigea vers la porte.

- A tout à l’heure, ma chérie. Reste bien sage.

Au dernier moment, elle s’arrêta lorgnant vers le bureau où Alice depuis deux semaines avait commencé à travailler sur son rapport de stage. Catherine s’empara d’une paire de ciseaux grand modèle.

- Je garde ça. On ne sait jamais.

Cette fois elle sortit vraiment laissant Alice seule, ligotée et bâillonnée sur son lit, lancer des MMMmm qui diminuèrent vite quand elle comprit que personne ne viendrait. Pire, si Catherine revenait avant que son ‘invité’ ne soit parti, ce serait probablement pour l’attacher plus solidement. Ou avec cet autre bâillon dont elle avait parlé. Et Alice ne voulait pas savoir de quoi il s’agissait.

Elle essayait de bouger le moins possible, tout au plus de se tourner en faisant attention de ne pas tomber du lit, tirait un peu sur ses bras et ses jambes par moment constatant qu’il n’y aurait pas de miracle et qu’elle ne pourrait pas se libérer seule. Bien qu’attachée solidement, elle trouvait la situation assez confortable; ça aurait pu être pire. Le bâillon aussi, sauf quand elle se rappelait que c’était sa propre culotte dans sa bouche, et qu’elle l’avait portée toute la journée. Elle chassait aussitôt cette pensée dégoûtante en faisant MMmmgg et en secouant la tête.

stephanie
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Re: Le stage

Message par stephanie »

C'est toujours aussi bien écrit et très excitant : bravo.
Stéphanie

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