Stéphanie et moi

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stephanie
Amateur(trice) de JdL
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Ligoté(e) :
Ce que j'adore : Beaucoup de choses en fait, même si je suis une fan des blouses nylon et de la soumission. Surtout être ligotée strictement et bâillonnée, à la merci d'un maître ou une une maîtresse exigeant(e), avec caresses et punitions alternées. Mais j'aime aussi dominer et avoir à mes pieds une soubrette attendant mon bon plaisir.
Ce que je déteste : Les relations uro-scato, la violence non consentie, la vulgarité, les a priori sur les autres.

Stéphanie et moi

Message par stephanie »

Voici sortie de mes cartons une histoire écrite il y a déjà quelques temps à quatre mains avec mon amie Catherine Nylon et postée avec son accord.
Comme le nom de cette histoire le laisse entendre, c'est Catherine l'auteur principale de cette histoire (à environ 60%). J'en ai modifié (de manière importante) certains passages : pour avoir des goûts très similaires, nous n'en sommes pas moins différentes, avec chacune nos petites préférences. L'important étant d'être en blouses, bien ligotés et bâillonnées...
Si vous n'aimez pas les did en blouses nylon, cette histoire n'est pas pour vous.
Bises,

Stéphanie, soubrette en blouses nylon et folle de bondage


"Nos deux maris respectifs ayant décidé de s’octroyer ensemble un week-end d’escalade au fin fond du Vercors, mon amie Stéphanie m’avait invitée dans sa belle maison dijonnaise pour la même période.
Nous étions vendredi soir et nos chers époux étaient partis en fin d’après midi. Stéphanie, en fine cordon bleu essayait une nouvelle recette tandis que je travaillais à mon ouvrage de broderie. Tout en vaquant à nos occupations toutes féminines, nous discutions ménage, maquillage, robes et dentelles. Stéphanie et moi nous entendions parfaitement sur tous les sujets. Très semblables de mentalité et de moralité, nous étions toutes les deux femmes aux foyer, véritables fées du logis toutes dévouées à l’entretien du cocon familial et au bien être de l’époux choyé et vénéré. En dignes ménagères soigneuses, féminines et coquettes, nous étions toujours tirées à quatre épingles dans nos robes ou nos jupes et chemisiers que nous protégions de jolies blouses, sagement boutonnées de haut en bas et soigneusement ceinturées. Etait-ce par pur hasard mais il se trouve que toutes nos blouses étaient en nylon. La facilité d’entretien de cette matière était, bien entendu, appréciable à nos esprits pratiques mais nous avions aussi en commun de trouver particulièrement sensuel et féminin le bruissement que faisait le nylon de nos blouses aux moindres de nos mouvements. Et puis nous trouvions jolie la brillance du tissu ainsi que les reflets irisés que ne manquait pas de dessiner sur nos blouses le moindre rayon de soleil ou de néon.
Ce vendredi soir donc, Stéphanie, toujours si jolie, avait déjà enfilé un ravissant ensemble pyjama en satin épais noir, veste boutonnée et pantalon, avant de passer une grande blouse orange en nylon sans manche et boutonnée sur le devant. La superposition satin/nylon était délicieuse et produisait un charmant crissement à chacun de ses gestes. Bien entendu comme à chaque fois qu’elle faisait la cuisine, elle avait enserré sa taille d’un adorable petit tablier de serveuse en nylon blanc entièrement ourlé de dentelles. Stéphanie était adorable. Ses longs cheveux bruns retenus en queue de cheval par un ruban de satin orange balayaient en permanence son dos et exacerbaient sa féminité naturelle. Personnellement, j’étais soigneusement enveloppée dans ma chère blouse bleu marine à double boutonnage et ceinture à nouer, au nylon si glacé, si fin et lisse et tellement bruissant surtout quand il est encore légèrement amidonné par un lavage tout frais.
La soirée s’annonçait tranquille, agréable, peuplée de rires et de fous-rires. Après avoir dîné, fait la vaisselle et tout rangé, peut-être regarderions-nous la télé avant d’aller sagement nous coucher.
Nos chers et tendres nous avaient imposé leur absence ; hé bien, nous comptions bien profiter au maximum de notre week-end entre filles.
Il devait être 19 heures quand on sonna à la porte d’entrée !


« Oh zut ! Qui ça peut être ?… Tu veux bien aller voir ma chérie, il faut que je surveille la cuisson !
- Mais bien sûr, voyons !!! »
Dans un bruissement de nylon accentué par ma démarche ondulante et les claquements légers de mes talons aiguilles sur le carrelage, j’allai innocemment ouvrir sans même vérifier l’identité du visiteur. Sitôt la porte ouverte, l’agression fut soudaine, brutale ! Comme une tornade, un homme en blouson de cuir noir et dont le visage était horriblement déformé par un bas de femme fondit sur moi et tandis qu’un bras solide m’enserrait fortement le buste, une main se plaqua sur ma bouche m’empêchant de pousser le moindre cri. Du talon, l’homme referma la porte et me poussa devant lui tout en me maintenant fermement. Nous ne tardâmes pas à apparaître dans l’huisserie de la cuisine où, penchée sur sa cuisinière, Stéphanie ne s’était aperçue de rien.
« Qui était-ce Cathy ? »
La seule réponse que Stéphanie obtint fut le timide gémissement étouffé et plaintif que la main qui me bâillonnait sévèrement m’autorisa. Il suffit cependant à faire retourner mon amie… Elle n’était pas revenue de la surprise du spectacle découvert que l’homme me poussa violemment en avant contre elle.
« Levez les mains en l’air les poupées ! »
L’homme avait exhibé un revolver de son dos et il nous braquait Stéphanie et moi qui instinctivement nous étions rapprochées l’une contre l’autre.
Sans ajouter un mot et alors que nous étions toutes les deux les mains en l’air, le gangster fit tomber sur la table un volumineux sac à dos qu’il ouvrit tout en continuant à nous braquer. Ce mystérieux sac s’avéra contenir un inquiétant tas de cordes en vrac, de rouleaux de plastique adhésif et autres objets divers. Je compris rapidement l’utilité de cet hétéroclite contenu quand l’homme attira brutalement Stéphanie contre lui, la fit pivoter et lui tordit un bras dans le dos. Maintenant ce bras bien haut malgré les gémissements de Stéphanie il posa son arme sur la table et prit une corde. Forçant un peu plus sur le bas de Stéphanie il lui donna l’ordre de ramer son deuxième bras dans le dos ce qu’elle fit rapidement pour ne pas subir une douleur plus forte. L’homme s’empara alors des deux poignets de mon amie et, insensible à ses gémissements, commença à lui lier solidement les mains bien serrées paume contre paume..
Stéphanie sembla retrouver un peu son calme lorsque l’homme après s‘être emparé d’une seconde corde se pencha pour lui lier les jambes juste au dessus de ses genoux. Stéphanie tourna alors la tête vers moi et ses yeux croisèrent mon regard avant de se diriger sur l’arme à plusieurs reprises. Ma copine commença à questionner l’homme sur ses intentions comme pour le distraire, m’invitant par ses oeillades explicites à passer à l’action. Le revolver était posé sur la table et finalement assez proche de moi… presque à portée de main. Mais si Stéphanie ne manque pas de sang froid, ce n’est hélas pas mon cas. J’étais tétanisée par la peur, les mains levées aussi haut que je le pouvais et tremblante de la tête aux pieds. Stéphanie dont les poignets étaient maintenant bien assujettis dans son dos me suppliait du regard et je ne pouvais que lui renvoyer toute ma détresse et mon impuissance. Le regard de ma chère copine s’emplit de reproche à mon égard quand l’homme lui enfonça un tissu roulé en boule au fond de la bouche avant de lui recouvrir les lèvres de cinq ou six morceaux de ruban adhésif qui la rendirent soudain totalement silencieuse.
« Tiens toi tranquille ma belle ! ».
Stéphanie maugréa sous son bâillon et se trémoussa pour essayer de dégager ses mains, sans succès.
L’homme lâcha Stéphanie quelques secondes et revint derrière elle avec une nouvelle corde et lui lia les coudes ensemble les faisant se rapprocher presque à se toucher. De ce fait ses épaules tirées en arrière faisaient d’avantage pointer ses seins sous le nylon de sa blouse. Je n’eu aucun mal à le remarquer car Stéphanie était placée de profil par rapport à moi. J’étais comme hypnotisée par ce spectacle, par ces tours de corde blanche enserrant les poignets les coudes et les genoux de mon amie.
L’homme abandonna Stéphanie et se retourna vers moi.
« À ton tour ! »
Il aurait pu m’ignorer et me laisser ainsi ; j’étais déjà ligotée et bâillonnée par ma peur. Le seul bruit que j’aurais été capable de faire aurait peut-être pu être le claquement de mes dents. Mais cela ne l’empêcha pas de me lier sévèrement moi aussi les poignets dans le dos, paume contre paume, puis au niveau des coudes et des genoux, comme il avait fait pour Stéphanie. Alors qu’il me plaquait la tête sur son torse pour me bâillonner de la même façon que Stéphanie, j’évitais de croiser le regard de mon amie. Je me sentais trop honteuse de ne pas avoir essayé de m’emparer de l’arme. Maintenant, il était trop tard, nous étions devenues totalement impuissantes et sans défenses entre ses mains. Mais, tout en sentant ses doigts lisser fortement le plastique adhésif sur mes lèvres et en luttant pour que la boule de satin qui emplissait totalement ma bouche ne s’enfonce pas dans ma gorge, je me demandais à quoi cela aurait-il servi que je m’empare de l’arme ? J’aurais été risible et ridicule à essayer d’impressionner notre agresseur en tenant péniblement l’arme à deux mains et en tremblant comme une feuille. La tentative aurait été vouée à l’échec et par contre la rétorsion aurait pu être terrible… et pourquoi pas mortelle !!! Alors finalement, je me disais qu’être ligotée et bâillonnée valait toujours mieux que d’être morte.
Notre agresseur retourna à son sac et en tira un large collier en cuir orné de boucles métalliques. Profitant de ce qu’il avait le dos tourné Stéphanie essaya de se diriger vers la porte d’entrée pour fuir mais les mains ainsi entravées dans le dos et les genoux attachés elle ne pouvait faire que des petits pas. L’homme la rattrapa sans peine, la prit par un bras et la plaqua sans douceur contre le mur le plus proche. Il lui asséna plusieurs claques sur les fesses en disant « voici ce qui attend les petites filles pas sages ». Il sangla ensuite le collier autour de son cou et, lui faisant faire demi-tour, il accrocha une corde à la boucle métallique située à l’avant du collier. Il fit avancer Stéphanie vers moi et je vis qu’elle avait les larmes aux yeux. Etait-ce en raison de la douleur de la fessée qu’elle venait de recevoir, l’humiliation de sa situation, tout cela à la fois ? Mes yeux s’embrumèrent également et je n’opposai aucune résistance quand la brute m’affubla du même large collier faisant fonction de minerve et d’une longe avant de me faire exécuter péniblement un demi-tour. Je sentis ensuite qu’il attachait quelque chose au niveau des cordes liant mes coudes, puis l’homme saisit ma longe et tira dessus. J’étais forcé de le suivre et à une secousse ressentie au niveau des coudes je compris que c’était la longe de Stéphanie qui y était attachée et qu’elle était elle-même forcé de suivre mes mouvements. Nous tirant à la manière d’une caravane de bêtes de somme, la brute nous força ensuite à le suivre à la mesure des petits pas que nous étions capable de faire. Nous eûmes l’occasion de nous rendre compte du caractère humiliant de notre situation en passant devant le grand miroir du couloir. Me revint en tête l’image d’une page d’un de mes livres d’histoires consacrée à l’esclavagisme et montrant une file d’esclaves entravés les uns derrière les autres. Je me rendis comte également combien mon ligotage projetait ma poitrine en avant d’une manière presque indécente.
La brute nous entraîna alors dans une des chambres et entreprit de nous ligoter solidement l’une contre l’autre, face à face. Son travail dura très longtemps car il ne nous saucissonna ensemble qu’après nous avoir ficelée chacune de la tête aux pieds, les bras toujours bien tirés et enserrés derrière et les coudes se touchant. Pour son ouvrage, et après avoir dénoué la longe, le gangster nous avait placé chacune d’un côté du lit. La jolie Stéphanie avait toujours une longueur d’avance et elle était donc déjà toute saucissonnée, attendant debout en équilibre précaire sur ses talons aiguilles d’être « réunie » à moi quand l’homme n’en était encore qu’au début de mon saucissonnage personnel.
J’eu donc tout le temps de la regarder, si belle dans sa jolie blouse en nylon avec ses longs cheveux bruns réunis en queue de cheval. C’est vrai que Stéphanie était adorable et il me semblait plus maintenant que jamais que j’aurais été éperdument amoureux d’elle si j’avais été un homme. Mais un trouble s’insinuait en moi, étrange, profond ; confusément je sentais qu’il y avait autre chose. Voir ma jolie amie complètement ficelée comme un saucisson, de la tête aux pieds, se tortillant en vain toute boudinée dans sa jolie blouse en nylon tout en gémissant pitoyablement me mettait dans un état très étrange. J’en ressentais un curieux mélange de gêne et de plaisir qui venait se mêler à ma peur toujours très vive. Ce curieux plaisir sembla s’accentuer quand je ressentis physiquement les sensations décrites sous mes yeux. Les mêmes cordes qui enserraient le dessus et le dessous des seins de Stéphanie enserraient de la même façon les miens. La pression intense des cordes enserrant nos coudes avait le même dosage et l’impression qui s’en dégageait d’offrir une poitrine dilatée et vulnérable devenait commune. Je devenais aussi impuissante et autant humiliée que ma belle amie que je dévorais des yeux ; et plus j’en étais angoissée, plus je sentais ce curieux et excitant sentiment monter en moi au même rythme.
Lorsqu’il en eut finit avec moi, l’homme me fit mettre à genou sur le lit, m’amenant à la moitié de celui-ci en me faisant me tortiller ; puis il fit faire la même chose à Stéphanie. Nous étions dorénavant l’une contre l’autre, percevant dans le regard de l’autre l’inquiétude sur ce qui nous attendait.
Quand il nous unit Stéphanie et moi dans un étroit carcan de cordes, j’eus vraiment l’impression qu’il prenait un malin plaisir à nous écraser nos poitrines l’une contre l’autre et son plaisir sembla même plus vif encore quand ce sont nos bas ventres qu’il pressa jusqu’à ce qu’ils s’épousent intimement à travers le nylon de nos blouses. Lorsqu’il eut fini d’enserrer ensemble nos cuisses et genoux l’homme nous fit basculer de côté et nous tombâmes de tout notre long sur le lit. Heureusement que le matelas était là pour adoucir notre chute. L’homme rapprocha ensuite nos jambes et elles furent à leur tour réunies dans un carcan de cordes finissant ainsi de nous enfermer intimement dans une véritable chrysalide de contrainte, d’impuissance et d’humiliation. Le monstre poussa le vice à nous enserrer les têtes ensemble, bouche contre bouche par quelques cruels tours de ruban adhésif bien placés ; nous imposant ainsi ce simulacre de baiser. Nos lèvres étaient de toute façon, bien impuissantes, enfermées sous leurs sévères carcans adhésifs et incapables d’échapper à ce troublant baiser forcé. Nous ne faisions plus qu’une, un cocon de cordes sévèrement serrées et de nylon bruissant et enivrant.

Depuis un moment déjà, une moiteur tiède et liquoreuse imprégnait mon intimité sans que je comprenne pourquoi. Je devais être rouge de honte, mais je devais bien m’avouer l’inconcevable, être saucissonnée et bâillonnée, réduite à l’impuissance, enserrée, toute enveloppée de nylon contre ma jolie copine Stéphanie elle aussi saucissonnée, elle aussi bâillonnée et elle aussi en blouse nylon me faisait mouiller de plaisir !!!".

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