Capture furtive (histoire d'Anne)

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Bouya2

Capture furtive (histoire d'Anne)

Message par Bouya2 »

Et voici une nouvelle histoire d'Anne. Bonne lecture !

Capture furtive – 2012/05/08

Nous avons été invités par des amis dans une vieille maison de maître bruxelloise. Le genre de maison où les portes sont en bois massif, très hautes et lourdes. Celles donnant sur les chambres sont doubles, ce qui insonorise très bien. De plus, les murs sont recouverts de tissu épais et le sol couvert d'un tapis ancien.
Dans notre grande chambre se trouvait un magnifique lit à baldaquins avec d'épaisses tentures. Ce lit, très moelleux et dans lequel on enfonce profondément était recouvert d'une multitude de gros coussins. Tout cela est très feutré et le reste du mobilier est en bois foncé massif. Les armoires sont hautes et on s'y cacherait facilement.
Le copain qui nous invitait est aussi un grand amateur de bondage et de tenues sexy. En nous installant, il a mis de la musique et dit en rigolant que je ferais bien un petit striptease. J'ai regardé mon copain et nous avons ri. Puis je me suis exécutée et riant. Mais je ne suis pas allée jusqu'au bout. Je me suis arrêtée en bikini de latex, avec mes escarpins vernis aux talons vertigineux, mes gants noirs montant au-dessus des coudes, et mon foulard satiné au cou.
J'ai arrêté la musique et le garçon a dit qu'il pariait qu'avec l'insonorisation de la pièce, il serait possible de venir me kidnapper juste là sans que mon copain n'entende le moindre son de la pièce voisine. J'ai éclaté de rire car je sais bien que c'est pratiquement impossible à réaliser. Et nous avons accepté le pari. Pour la soirée, ils voulaient que les deux filles, soient en bikini sexy. J'étais donc apparemment déjà en tenue à en juger par le regard gourmand du garçon. Nous avons mangé et passé la soirée comme cela et c'était très amusant.
Puis nous sommes remontés. J'ai fermé la double porte donnant sur le couloir sombre depuis la chambre. Mon copain s'est mis à l'aise pendant que je me suis allongée sur le lit en balançant les jambes. Mon copain est passé dans le salon voisin et a fermé la double porte de séparation. J'étais seule et savourais le confort de l'épais matelas. Je me suis levée en pensant au pari avec amusement. Je me suis regardée dans la glace en dénouant ma queue de cheval. J'ai secoué la tête et ma crinière s'est répandue sur mes épaules. Puis je suis allée m'allonger à nouveau avec une revue. Pour voir l'effet, j'ai fermé les tentures d'un côté du lit. C'est très intime. Quelle ambiance ! Je me suis plongée dans ma revue, allongée sur le ventre, enfoncée dans le matelas, presque cachée par les nombreux coussins. Mais au bout d'un moment, j'ai du finir par m'assoupir.
J'ai été réveillée brutalement par une claque sur la fesse. Les yeux subitement grands ouverts, je me suis redressée en sursaut. J'ai vu deux mains s'avancer qui ont immédiatement enfoncé l'énorme boule qu'elles tenaient fermement dans ma bouche grande ouverte. Mon cri de surprise a été proprement étouffé.
- Et hop !
Mon agresseur s'était déjà laissé tomber à califourchon sur mon dos. Mes bras, qu'il avait probablement ramenés doucement contre mon corps pendant mon sommeil étaient calés entre ses cuisses. Il poussait ma tête dans le matelas en serrant la sangle du bâillon. En fait, j'ai compris qu'il s'agissait d'un plug gag à panneau de cuir très souple et doux muni d'une énorme balle de latex. Il a serré cela étroitement au point que le bâillon était véritablement hermétique ! J'ai tenté de me débattre, mais la manière dont j'enfonçais dans le matelas rendait mes gesticulations difficiles. Quand la pression sur ma nuque s'est relâchée, j'ai pu tourner la tête et j'ai constaté que les tentures du lit étaient fermées de tous les côtés et qu'il avait disposé de gros coussins autour de ma tête. Bâillonnée de la sorte, je ne pouvais plus pousser que de touts petits gloussements indistincts. De plus, mes gloussements et grognements étouffés étaient certainement très atténués par tous les coussins, tissus divers qui m'entouraient, ainsi que par les portes.
- Et d'une !
Le garçon m'a maintenu solidement les bras derrière le dos, en hauteur, pendant qu'il dégrafait mon petit soutien de latex.
- Voyons un peu cela…
Je me suis rapidement trouvée topless, écrasée sur le lit par le poids du garçon assis sur mon dos, pendant qu'il entreprenait de m'attacher solidement les coudes ensemble. Stupéfaite, je piaillais de mon mieux en agitant les jambes et secouant la tête comme une furie. Je bavais en gémissant dans mon bâillon pendant qu'il sécurisait étroitement le lien au-dessus de mes coudes et qu'il passait quelques fois la corde autour de mes épaules de manière qu'il ne puisse pas glisser vers le bas. Il a mis beaucoup de corde dans ce ligotage et a consolidé le lien vraiment très efficacement.
Sans perdre de temps, il a reculé et s'est assis sur mes cuisses en commençant à m'attacher soigneusement les poignets ensemble. Je ne pouvais plus ruer et chaque fois que je tentais de relever la tête au-dessus des coussins, il relevait mes bras, ce qui me repoussait profondément dans le matelas. Il serrait le lien minutieusement et donnait un petit coup après chaque tour pour ne laisser aucun jeu que je puisse utiliser ensuite pour me libérer. Il a sécurisé le lien rapidement et l'a fait remonter entre mes bras pour m'attacher solidement sous les coudes. Une fois bien serré, il a terminé en sécurisant aussi ce lien et a terminé en l'attachant u lien entourant mes épaules. C'est là qu'il a fait le nœud final de mes bras ! Impossible de l'atteindre !
Il a alors attaché étroitement mes bras à mon corps avec un lien passé plusieurs fois autour de ma taille, comme une jolie ceinture blanche. Pour couronner le tout, il a fini en sécurisant ce lien entre les bras et ma taille, puis il a fait un nœud très serré, placé au-dessus de cette ceinture de corde, juste contre mes bras. Totalement hors d'atteinte, malgré tous mes efforts. De plus, je ne pouvais plus remuer les bras latéralement. Ils étaient littéralement soudés à mon corps !
- Et de deux !
Horrifiée, je l'ai senti faire descendre doucement mon petit slip de latex et je me suis trouvée complètement nue sur le lit, avec mes escarpins, mes gants et mon foulard. Il a fait un saut de côté et a plié mes jambes, me maintenant solidement les chevilles croisées. Il continuait de chuchoter.
- Oh la belle pin-up !
Il a attaché très strictement mes chevilles avec de nombreux tours de corde. Je m'agitais en essayant vainement de me redresser pendant que la corde se serrait inexorablement, obligeant mes chevilles à demeurer rigidement croisées.
Le garçon a alors attaché une corde qu'il a tournée bien serrée quelques fois autour de mes cuisses et chevilles unis, de manière à ce que mes pieds se trouvent strictement collés contre mes fesses. Il a sécurisé ce lien avec énergie et a ensuite tendu une corde entre mes chevilles et le lien serré autour de mes épaules. Il s'est mis à tirer sur ce lien de manière à ramener graduellement mes épaules vers l'arrière, me forçant à une position de plus en plus cambrée. Une fois ce lien fixé par un solide nœud, j'étais cambrée au point que mes seins ne touchaient pratiquement plus le lit. Une main est passée contre mon corps et s'est mise à les tâter.
- Hop… hop… hop ! Wow ! Super !
Je poussais de frénétiques petits grognements étouffés en secouant furieusement la tête pendant qu'il me flattait les tétons, s'amusant de leur tension grandissante.
- Ooooh ! Fameux ! Continue, ma jolie…
Quand je pense que mon copain se trouvait à quelques mètres seulement, sans se douter que j'étais nue sur le lit, complètement ligotée et bâillonnée, livrée aux mains d'un garçon occupé à me peloter minutieusement. Il a brusquement relâché son étreinte et je suis retombée en avant, enfoncée dans le matelas.
Le garçon s'est relevé lentement, puis a ouvert les tentures du lit. Enfin il a repositionné les couvertures délicatement. Je devais me contorsionner pour voir vaguement ce qu'il faisait. Je remuais de mon mieux en poussant des grognements sourds, mais avec un matelas aussi mou et ligotée solidement en bretzel, on ne peut vraiment pas remuer d'un pouce. C'était un ligotage net et ultra strict ! Je ne pouvais même pas me retourner tant le hogtie était tendu.
Cela faisait longtemps que je n'avais pas été dans cette position qui force à garder les jambes largement écartées et interdit donc de rouler sur le côté. Je soufflais dans le bâillon en tirant spasmodiquement sur mes liens tandis qu'il tournait autour du lit en me regardant.
- Joli ! Très très sexy ! Commenta-t-il.
Je grognais faiblement.
- Tu vois que dans cet environnement, on peut parfaitement capturer une femelle sans attirer l'attention…Ficelée comme une volaille, tu fais un paquet très érotique tu sais…
Je me suis raidie avec un gloussement d'effroi lorsqu'il a glissé la main entre mes cuisses que j'étais incapable de resserrer. Il a fait jouer lentement ses doigts entre mes cuisses tout en palpant mon sein de l'autre main.
- Voilà, c'est encore mieux quand tu te trémousses… Hop… hop… hop !!!
De fait, je me redressais en me raidissant chaque fois que ses doigts m'effleuraient intimement. J'agitais la tête en bavant dans mon bâillon entre les grognements étouffés.
Il a fini par me laisser et est sorti de la chambre vers le couloir en fermant soigneusement la porte derrière lui. Je suis restée une dizaine de minutes seule dans la chambre. J'ai eu beau me tortiller comme une folle et tirer comme une furie sur mes liens en tentant de crier, je n'ai pas pu obtenir le moindre effet. Non seulement il m'avait eue, mais en plus j'étais complètement nue sur mon propre lit !
Un peu plus tard le garçon entrait par l'autre porte avec mon copain qui, l'œil rond, a bien du admettre que c'était possible. Une fois seuls dans la chambre, mon copain m'a mise sur le dos et m'a pelotée un long moment.
- Et bien ma jolie, il t'a rivé ton clou, celui-là, hein ? C'est rare qu'on ne t'entende plus !
J'en suis encore toute retournée ! La vache !

rocame
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Re: Capture furtive (histoire d'Anne)

Message par rocame »

Encore une superbe histoire d'Anne, prise au piège, ligotée et bâillonnée pour notre plus grand plaisir !

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