Le campus (histoire d'Anne)

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Bouya2

Le campus (histoire d'Anne)

Message par Bouya2 »

Et voici une histoire qu'Anne a écrit en mai 2012. Bonne lecture !

Le campus – 2012/05/18

Depuis quatre ans, je rencontre occasionnellement un ami amateur de cordes et de jolies filles. Je range résolument celui-là dans la catégorie des ligoteurs depuis que nous avons fait connaissance sur un terrain de camping, par une après-midi de l'été 2007. Il termine des études à l'UCL et dispose d'un kot parmi la multitude de cet immeuble. De nombreux étudiants circulent dans ce bâtiment et le climat y est agréable.
Laurent, c'est son nom, m'avait présenté quelques uns de ses amis lors du repas de midi. Fabian s'intéresse à la photographie et Marc semble indifférent à tout sauf à ses cours. Côté filles, il y avait une jolie blonde de petite taille mais avec de fort belles formes, de son année, Sara si je ne m'abuse. Kate est venue ensuite. C'est une américaine de 19 ans venue faire une année d'étude en Belgique dans cadre d'échanges internationaux. Elle est grande et mince avec de longs cheveux foncés, vêtue très simplement d'un jeans moulant et d'un petit pull fin, je note toutefois qu'elle porte des souliers à talons aiguilles. Elle s'exprime avec un fort accent et cherche ses mots. Cela ne doit pas être simple de faire des études dans ces conditions. Il m'a présentée à eux comme une amie danseuse, ce qui est parfaitement exact.
Comme mon copain est absent pour quelques jours, j'ai décidé d'aller dire un petit bonjour à ce charmant jeune homme à Louvain-la-Neuve. Bref, au beau milieu de l'après-midi il avait du se rendre quelque part sur le campus et je me trouvais seule dans son kot à attendre son retour.
Comme j'aime être à l'aise pour jouer, et que Laurent aime ce qui est sexy, je porte une minijupe de cuir fin de couleur noire, très moulante, et un joli tee-shirt beige clair très fin et à manches courtes. Doté d'un décolleté affriolant, il est moulant comme une seconde peau. J'ai mon éternel foulard autour du cou et je chausse de jolies bottes de cuir noires à talons aiguilles. Magnifiques pour attirer le regard autant que pour agrémenter une démarche sexy, elles sont serrantes et arrivent sous le genou. Mes bas sont satinés et leur teinte moyennement foncée produit un effet merveilleusement sexy. La jupe de cuir, moulante et légèrement fendue, ne couvre que le tiers de la cuisse. Mais ceux qui me connaissent admettront que j'ai été sage car j'en ai une autre qui est tellement courte que des gestes simples posent des problèmes. Si je m'assieds sur une chaise, par exemple, elle est tellement mini qu'elle ne touche pas le siège, et si je suis débout, elle ne couvre que deux centimètres plus bas que mon string. C'est un peu limite pour certains déplacements.
Le court blouson de cuir fin que je portais ce midi pend, accroché au dossier de la chaise voisine, et j'attends Laurent en regardant les cordes étalées sur le sol. Je suis ligotée et bâillonnée, assise sur une sorte de matelas comme on en trouve dans les salles de gymnastique. Mais comme il devait me laisser seule, le ligotage n'était pas très sérieux et je pouvais me libérer sans problème. Mes chevilles étaient attachées simplement et mes poignets étaient attachés derrière mon dos, sans rigueur particulière. J'étais par contre très soigneusement bâillonnée avec une grosse balle de latex roulée dans un long foulard, profondément enfoncée dans ma bouche et solidement maintenue en place par plusieurs tours du foulard remarquablement tendus, le tout fixé par un nœud sévèrement serré derrière ma nuque. Ce type de bâillon ne laisse pas beaucoup de trace sur les joues et de cette manière, je suis sûre de pouvoir encore circuler pour rentrer chez moi sans croiser les regards interrogateurs des passants.
Soudain, j'entends un bruit. C'est la porte ! Quelqu'un est entré et j'entends ses pas hésitants sur le parquet.
- Hi Laurent, May I take my box ?
Je tourne la tête et vois Kate entrer dans la pièce ! Surprise, elle me découvre avec de grands yeux. Puis elle regarde autour d'elle et voit les cordes éparses sur le sol ainsi qu'un bâillon boule sur le petit bureau, près de mon sac. Elle sourit largement et approche.
- Oh ! That's it...
Puis elle regarde la manière dont je suis attachée et elle pousse un petit soupir avec un léger hochement de tête.
- Ça... euh... pas bon. Regarde.
Elle s'accroupit et saisit une corde près de nous, avec laquelle elle m'attache les bras sous les coudes. Elle n'hésite pas et serre minutieusement le lien avec une grande rapidité.
- Mmhh ! ...
- Mieux comme ça... Attends.
Elle refait le ligotage de mes poignets mais en nettement plus serré et efficace. Toujours assise, je la vois amener d'autres cordes près de nous. De plus en plus angoissée, je la vois en choisir une plus longue et la passer autour de mes épaules avant de la serrer autour de mes bras, au-dessus des coudes. Elle est très rapide, mais je me rends compte qu'elle est occupée de me ligoter très parfaitement. Abasourdie, je glousse dans mon bâillon.
- M...h ! ... mmh ...
- Wait. Tu vas voir... Look ! I'll show you.
Elle avait immédiatement repéré ma souplesse et a attaché en conséquence mes coudes jointifs. C'est très minutieusement réalisé, même si elle n'utilise pas énormément de corde.
- Very nice ! You are a good girl.
Mais Kate a tôt fait de m'attacher les bras au corps avec quelques tours de corde passée sous ma poitrine. J'ai à peine eu le temps de me rendre compte que ce lien avait été attaché à celui de mes épaules et n'a donc aucune chance de glisser, qu'elle m'attache déjà solidement les poignets à la taille. Elle sécurise chaque lien avec méthode, sans perdre une seconde.
Je suis encore ébahie, occupée à prendre conscience du ligotage de mes bras alors qu'elle est déjà près de mes chevilles et m'attache solidement les jambes avec des liens très serrés qu'elle sécurise méthodiquement. Après les chevilles, elle est en train de terminer de sécuriser le lien qu'elle vient de serrer avec précision sous mes genoux. J'observe avec surprise que, sans que je le remarque, elle m'a attaché les chevilles croisées avec une corde très serrée de sorte que je suis incapable de les décroiser. Désorientée, je souffle avec incrédulité dans mon bâillon en tentant de faire jouer mes chevilles, puis mes bras.
- C'est... that way... que tu attaches une fille chez moi
- Mh... M...h !!
- Yes ! That's not enough...
Elle m'attache ensuite très rapidement les jambes au-dessus des genoux, selon le même procédé.
Toujours très rapidement, Kate saisit une nouvelle corde et la passe prestement autour de mes épaules, réalisant un genre de paire de bretelles qu'elle fait ensuite passer autour de mes genoux. A mesure qu'elle tend ce lien, je vois mes genoux venir irrésistiblement se presser contre mon torse. Je gigote désespérément et elle sourit en entendant mes grognements fébriles étouffés par le bâillon.
- mghh... !! Grgnhhh... ... mpfhhh ... ... mhmh !!!!!
Mes seins s'écrasent contre mes cuisses. Effarée, je vois la jeune femme accroupie à mes côtés sécuriser minutieusement cette corde, me plaçant dans un balltie très strict. Et elle finalise le dernier nœud juste sous mes yeux, bien en vue mais totalement inaccessible !
Médusée, je vois Kate se relever avec agilité après avoir finalisé le dernier nœud. Elle me regarde un instant, visiblement très satisfaite.
- Good ! That is... euh... nous appelons cela le rodeo !
- Mmh... m... mh... ... !!!
- Tu vois... être beaucoup mieux... Very nice. Toi peux pas te... euh... free yourself.
- Mh !!! ... ... mhhh !!
- Too much noise... you should be more quiet...
La jeune femme m'assied à nouveau et regarde autour d'elle, comme si elle cherchait quelque chose. Son regard s'arrête en direction du bureau.
- Yessssss ! A big one !
Elle bondit et attrape le gros bâillon boule qui trône à côté de mon sac. Elle a tôt fait d'ôter mon bâillon et m'enfonce vigoureusement la grosse balle de latex dans la bouche avant que j'aie pu dire un mot. Elle tend la sangle avec précision et la boucle solidement au plus serré.
Elle se redresse et me dit quelque chose en Anglais, mais elle parle trop vite et je ne comprends pas.
Elle va de sa démarche sautillante jusqu'à la petite armoire dans le coin de la pièce et y prend quelque chose. Puis elle se relève et me regarde en souriant de toutes ses dents, brandissant une petite boîte métallique.
- Tell him... euh... dis à lui que j'ai pris ma boîte.
- Mmmhhh... mmh... ... ... ... mh !!!
Je la vois trottiner et quitter la pièce avec sa boîte en m'adressant un petit salut de la main. La porte se referme derrière elle ! Elle ne va tout de même pas me laisser comme cela !
Suffoquée, seule assise au milieu de la pièce, je constate avec ahurissement que mes bras sont à présent totalement immobilisés et que le ligotage de mes jambes et devenu très efficace et serré. Encore stupéfaite, je pousse de petits gloussements incrédules en lançant la tête en avant comme si je pouvais recracher le bâillon.
Je suis forcée de constater qu'elle m'a ligotée d'une manière très esthétique. Avec ma jolie minijupe et mes splendides bottes à talons, je suis vraiment l'incarnation de la demoiselle en détresse !
- Gmh !! ... Mmh !!! ... ... Mghhh !!! ... ... Mgnhhh !!!
Je pousse de petits grognements étouffés en tentant de frapper du pied sur le tapis. Je me trémousse en agitant la tête. Pas moyen de faire jouer les liens et aucun nœud n'est accessible. De plus, mon bâillon boule est encore plus efficace que le foulard et on ne m'entend absolument pas de l'extérieur de la pièce.
Je suis de plus en plus inquiète en constatant que malgré mes tortillements, tous les liens restent rigoureusement en place. Cette gamine m'a ligotée très rigoureusement ! C'est un ligotage net et propre, vite fait bien fait ! Je comprends avec angoisse que, malgré tous mes efforts, je suis parfaitement incapable de me libérer ou même de me déplacer sur le tapis.
Résignée, je me résous à attendre le retour de Laurent assise sur le tapis, toute ligotée et bâillonnée. Et vu que la porte n'est pas fermée à clé, n'importe qui pourrait encore entrer. Lors de son retour, un quart d'heure plus tard, Laurent a eu la surprise de trouver une Anne toute échevelée, solidement ligotée et bâillonnée en balltie très strict, assise au beau milieu de la pièce.

dark gentleman

Re: Le campus (histoire d'Anne)

Message par dark gentleman »

Décidément les histoires d'Anne sont toujours aussi sympathiques :-)
Merci du partage Bouya!

rocame
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Ce que j'adore : Les histoires de bondage !
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Re: Le campus (histoire d'Anne)

Message par rocame »

Encore une histoire fort intéressante, avec un balltie, ce qui n'est pas si courant dans les récits d'Anne.......

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