Juste descriptif (histoire d'Anne)

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Bouya2

Juste descriptif (histoire d'Anne)

Message par Bouya2 »

Et voici une histoire d'Anne, assez courte. Bonne lecture !

Juste descriptif – 20120528

Il m'a demandé d'être sexy. Pour lui, j'ai mis une très courte minijupe de cuir fin. Elle est particulièrement moulante et munie d'une belle ceinture marron à boucle dorée. Mon chemisier satiné blanc est juste un peu trop étroit pour ma poitrine qui en met la boutonnière à rude épreuve. Etiré par l'effort, le fin tissu fronce entre mes seins et il est facile de deviner que je ne porte pas de soutien. Beaucoup de garçons s'y trompent car j'ai la chance d'avoir des seins qui se tiennent fièrement dressés de manière spontanée.
Le chemisier est cintré et j'ai laissé les trois premiers boutons défaits, histoire de donner à mon interlocuteur une perspective plus aguichante. Les courtes manches sont serrantes, ce qui est du plus bel effet visuel. Pour corser encore mon apparence, j'ai noué autour de mon cou un joli foulard satiné à motifs beige et rouge. Je chausse des escarpins noirs dont les talons aiguilles de douze centimètres le font fantasmer. Mes bas résille légèrement foncés et à petits losanges sont du plus bel effet et donnent à mes jambes une texture très érotique. La hauteur de mes talons ainsi que la texture de mes bas me font des jambes interminables.
Pour la circonstance, j'ai soigné ma coiffure et au ramené mes longs cheveux blonds en un volumineux chignon à ondulations en laissant les boucles de mes accroche-cœurs pendre négligemment. Et, cerise sur le gâteau, je me suis maquillé les yeux, ce qui me donne un regard véritablement magnétique en même temps qu'une allure faussement ingénue.
Je me suis rendue chez lui en voiture mais je n'ai trouvé de place pour me garer qu'à plusieurs centaines de mètres de ma destination. J'ai donc fait le reste à pieds. J'aime bien croiser le regard des passants mâles dans ces circonstances. Il me semble même que l'un d'eux a fait demi-tour pour me suivre sur le trottoir. Je sonne. La porte s'ouvre et son visage souriant apparaît. Il me regarde de la tête aux pieds pendant quelques secondes avant de m'inviter à entrer. Avec ces talons, je suis nettement plus grande que lui. Il avait exigé que je sois "sexy" et il est visiblement comblé par ce qu'il découvre.
Après nous être longuement embrassés de multiples fois, il m'invite à gravir l'escalier menant aux pièces habitables. Arrivés dans un joli salon, nous nous faisons face et il me prend délicatement la main. Le tapis épais couvre presque toute la surface du parquet de bois foncé et de lourdes tentures donnent à la pièce une allure hors du temps. Nous faisons quelques pas la main dans la main et il me désigne un confortable sofa apparemment fort moelleux.
Je suis sagement assise au milieu du sofa, les pieds joints, genoux serrés et bien droite. Ce sofa est étonnamment bas et cela me force à un exercice délicat vu la longueur de ma jupe. Il me propose un verre et nous parlons un peu. Il va chercher une boîte de carton qu'il pose en souriant sur la table du salon.
Les mains posées sur les coussins, je le regarde prendre une corde et venir s'accroupir devant moi. Je ferme les yeux et sens la corde s'enrouler sur mes chevilles jointes. Il serre soigneusement et je sens les tours s'accumuler. Je le vois modifier sa position et faire passer la corde entre mes jambes pour enserrer le lien qu'il vient de placer. Il prend son temps et fait un solide nœud presque entre mes chevilles. C'est net, propre et rigoureux. Il prend une autre corde pendant que j'étends les jambes pour contempler mes chevilles joliment attachées par une dizaine de tours de corde blanche. Il s'assied à côté de moi et prend mes poignets pour les amener doucement derrière mon dos, puis je sens les tours de corde se serrer étroitement, minutieusement, sur mes poignets.
Il pose délicatement une main sur mon épaule et l'autre sur ma cuisse pour me faire pivoter légèrement, lui présentant mon dos. Je le regarde par-dessus mon épaule. Satisfait du meilleur angle obtenu, il enroule minutieusement la corde autour du lien, entre mes poignets. Je sens une légère traction vers le haut et tout de suite après, la corde commence à se serrer autour de mes bras, juste sous les coudes. En même temps, il rapproche mes coudes d'une pression douce mais continue jusqu'à ce qu'ils soient parfaitement jointifs. La corde se serre davantage sur mes coudes et les tours se succèdent avec précision, douceur et fermeté. Mes seins sont inexorablement poussés en avant et je vois avec inquiétude croître la contrainte subie par mon chemisier.
Bercée par le rythme, je le sens passer avec difficulté la corde entre mes coudes et donner une traction vers le haut. Il passe la main sur ma joue avant de faire passer la corde par-dessus mon épaule droite pour revenir sous mon bras. Il fait ensuite de même à gauche, organisant de jolies mais très solides bretelles qui maintiennent fermement le lien de mes coudes en place. Je vois son regard s'arrêter en constatant la tension de mon décolleté.
Il se penche et tend le bras vers la table basse pour saisir le foulard et la balle de latex qui est roulée dedans. Il me tourne gentiment la tête et m'introduit la grosse boursouflure contenant la balle dans la bouche ouverte. Il pousse fermement et la balle entière disparaît dans ma bouche qu'elle emplit parfaitement. Il commence à serrer le foulard sur ma bouche. Chaque tour est plus serré que le précédent et la balle se trouve de plus en plus profondément et solidement enfoncée. Chaque tour scelle de mieux en mieux mes lèvres et ma bâillonne de plus en plus efficacement.
Le foulard est à présent rudement tendu et je le sens faire un nœud très serré derrière ma nuque. Sa main me saisit le menton et fait doucement pivoter ma tête vers lui. Son visage est à quelques centimètres du mien et nos yeux se croisent. Il s'approche lentement et nos lèvres se rencontrent dans un baiser très sensuel d'une douceur inouïe. Ses mains sont posées sur mes épaules. Nos lèvres se séparent à regret et il se lève pour prendre une nouvelle corde. Il s'accroupit à nouveau à mes pieds et je le vois serrer délicatement, mais avec précision et fermeté, la corde sur mes cuisses, au-dessus des genoux.
Je me tiens très droite et une partie de ses mouvements sont cachés à ma vue par mes seins que le ligotage étroit de mes coudes a rendus proéminents. J'offre certainement un point de vue intéressant à mon vis-à-vis.
Les tours de corde méticuleusement ajustés sur mes cuisses les immobilisent de plus en plus rigoureusement. Je sens monter avec ravissement la contrainte des cordes expertement serrées.
Il est penché sur mes genoux et enroule la corde autour du lien. Il la pousse des doigts entre mes cuisses serrées puis accompagne le mouvement de la paume entière. Après avoir fait ce manège deux ou trois fois, je le vois serrer étroitement un nœud particulièrement rigoureux entre mes cuisses. Il me regarde et termine ce nœud d'une petite traction sèche. Il sait à quel point j'adore cela.
Mes liens sont étroitement serrés, et je suis parfaitement immobilisée. Mais en même temps, ce n'est pas excessivement serré et le ligotage reste confortable.
Mes seins pointent terriblement. Toujours accroupi, il lève les yeux, sourit, et tend une main qu'il pose doucement ma poitrine. Je souffle dans un sursaut et il se met très indiscrètement à me palper les seins tandis que je me cambre en me tortillant sur le sofa. Sa main s'éloigne et se pose lentement sur ma cuisse. Le sofa est très bas et mes cuisses sont inclinées en conséquence. Je baisse les yeux. La scène est cachée à ma vue par mes seins, mais ma position assise a certainement fort retroussé ma minijupe. Je tressaute en sentant la main indiscrète se glisser sous ma jupe. Je me raidis lorsqu'il l'insinue plus profondément entre mes cuisses serrées par les cordes. Je ne peux réprimer un gloussement étouffé par le bâillon.
Il me regarde dans les yeux et saisit de nouvelles cordes en souriant. De plus en plus excitée, je le vois attacher mes chevilles au pied du sofa et tendre le lien de manière que je ne puisse plus bouger les pieds. Il s'installe à côté de moi, confortablement. Je le regarde, confinée au rôle de femme objet.
Je bouge les poignets vers le côté en me cambrant. Aussitôt une corde supplémentaire apparaît dans ses mains. Il l'avait sans doute préparée en prévision, et il m'attache fermement les poignets à la taille. Je le sens sécuriser scrupuleusement le lien de manière que mes bras se trouvent parfaitement immobilisés. Il profite à présent de toute occasion pour me caresser de plus en plus explicitement. Il sait faire monter la tension.
La soirée ne fait que commencer…

Verrouillé