Le bain de Soleil (histoire d'Anne et de Bouya)

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Bouya2

Re: Le bain de Soleil (histoire d'Anne et de Bouya)

Message par Bouya2 »

Et voici le chapitre suivant, plutôt court. Bonne lecture !

Retour à l'appartement. (Arnaud)

Je retourne chez moi. Quand je pénètre dans le salon, les deux bondagettes qui s'y trouvent lèvent la tête vers moi.

J'ignore délibérément Anne, et vais à côté de la table basse où Sabrinah est étroitement ligotée. Je m'agenouille en face d'elle, je lui retire son bâillon-boule, la détendre sa mâchoire, puis nous échangeons un long baiser. Après un instant qui me paraît trop court, je sépare mes lèvres de celles de ma chérie, pour lui déclarer :
-Mon cœur, Anne est innocente. Je vais la ramener chez elle. Je ne devrais pas en avoir pour très longtemps. Ensuite, je reviens. Ton string et ton soutien-gorge me donnent des idées. Je t'attacherais sous la douche ou au lit, puis on verra.
-J'ai hâte d'y être. Ramène Anne, mais ne me fais pas trop attendre, répond-t-elle.
-Ah ! Tu es ma bondagette, tu ne parles pas pour l'instant ! dis-je en la bâillonnant.

Puis je vais voir Anne.
-Je te présente mes excuses. Tu n'es pas ce que je croyais. Je vais te ramener chez toi. Mais avant, je vais prendre une petite précaution.

Et sur ce, je dégaine le spray. J'en asperge rapidement les bras et la bouche. Pas les jambes, elle va en avoir besoin.
Ensuite, je détache ma prisonnière, ne me privant pas pour caresser rapidement sa belle poitrine au passage. Une fois qu'elle se relève de sa chaise, quelle n'est pas sa surprise lorsqu'elle s'aperçoit que ses bras ne peuvent que pendre le long de son corps ! Elle est toute aussi surprise quand je lui retire son bâillon-boule, mais qu'elle ne peut pas refermer sa mâchoire.
Finalement, je passe ma main sous son menton, pour lui fermer la bouche. Ceci passera plus inaperçu dans la rue qu'une femme à en train de baver la bouche grande ouverte.

Enfin, j'entreprends de retirer le mini-bikini de la pin-up. Cette-dernière me lance un regard furieux, et tente de s'enfuir. Mais comme seules ses jambes lui obéissent, je la ceinture très facilement par la taille, pour la garde collée contre moi.

Sans qu'Anne ne puisse se défendre, je fais tomber les quelques pièces de vêtements, dévoilant son superbe corps totalement nu. J'ai envie de le prendre dans mes bras, en d'en embrasser chaque centimètres-carré, avant de passer à des choses encore plus agréables que des baisers. Mais Sabrinah est là, je ne vais pas la tromper devant elle. D'autant plus que dans quelques heures, elle va bien profiter de tous les fantasmes que j'ai accumulés aujourd'hui.
C'est vrai quoi ! Entre la superbe Anne d'abord en mini-bikini puis entièrement nue, la magnifique Sabrinah en sous-vêtements, et la belle Christelle en topless, j'ai accumulé une certaine tension, qui ne demande qu'à se décharger.

Je me fais violence pour ne pas rester à contempler le spectacle sans pareil d'Anne dénudée. Puisque je dois sortir de la maison, il faut qu'elle soit habillée.
Toujours en continuant « accidentellement » à la palper occasionnellement, j'arrive à enfiler la robe que j'ai ramenée sur ma belle captive.
En fait, la robe s'arrête juste au-dessus des seins, au tiers des cuisses, et est vraiment moulante ! Ça ne cache quasiment rien.

-Bon, maintenant, Anne, je dois te ramener chez toi. Sabrinah, à tout de suite ma puce !

Sur ce, j'attrape la main d'Anne. Le haut du corps immobilisé, elle est contrainte de marcher pour me suivre. Sans lien, sans bâillon, mais pourtant incapable de bouger ou de parler.
Nous passons par la porte cachée au fond de mon jardin, puis nous prenons l'escalier, jusqu'à nous retrouver devant le palier de chez Anne.

La porte de l'appartement est ouverte ! Bon sang, Christelle !
Je pousse Anne à l'intérieur et referme la porte derrière nous. Rapidement je cours jeter un coup d’œil dans la chambre. Des cordes éparses se trouvent sur le lit défait. D'autres sont sur le sol. Le bâillon est posé sur le lit.

Et bien, Christelle a pu se libérer ! Incroyable, je l'avais pourtant ligotée tellement solidement... j'ai du faire une erreur quelque part dans un nœud. Je note que ses vêtements ont disparu aussi. Elle s'est sauvée.
Préoccupé... je retourne vers Anne.

Bouya2

Re: Le bain de Soleil (histoire d'Anne et de Bouya)

Message par Bouya2 »

Au tour de Anne. (Anne)

Je vois le garçon revenir vers moi, l'air contrarié. Il lève les yeux comme s'il me découvrait devant lui et il me pousse vers ma chambre.
Son regard se pose sur les garde robes ouvertes.
-Bien ! Puisqu'il est clair que tu aimes être attachée, et que nous avons le temps, je vais te faire plaisir. Je vois là tout ce qu'il faut pour faire ton bonheur...
Il ferme la porte de la chambre.
-Comme cela, tu peux courir où tu veux, tu ne quitteras pas la pièce.

Impuissante, je le regarde d'un air de défi pendant qu'il vient se camper devant moi. Je le vois tendre les mains et faire descendre ma robe. Contrainte à l'immobilité, je vois du coin de l’œil le vêtement tomber au sol et je sens son glissement sur ma peau, dévoilant mon corps totalement nu à l'exception de mes souliers et du foulard qu'il m'a laissé noué au cou.

Par prudence, il donne un petit coup de spray sur mes jambes, puis il saisit les cordes et commence sans autre forme de procès à m'attacher solidement les poignets dans le dos.
Ce produit paralysant est démentiel, il me manipule comme une poupée sans que je puisse réagir ! Je le mordrais si je le pouvais, mais rien ne vient et je suis contrainte de le regarder me ligoter.

Ouh ! Cette fois-ci, il serre très soigneusement les cordes et peaufine scrupuleusement les nœuds !
Il m'attache les bras sous les coudes en les faisant se joindre. Je remarque qu'il utilise la corde la plus fine qu'il a trouvée dans mon armoire. Je sais que le ligotage sera bien plus strict et que les nœuds seront plus serrés et impossibles à défaire !
Il passe une corde autour de mes épaules pour en faire une sorte de paire de bretelles étroitement serrées qu'il utilise ensuite pour fixer solidement un nouveau lien serré au-dessus de mes coudes.

Cette tension dans mes bras pousse ma poitrine en avant et il profite de chacun de ses passages face à moi pour m'effleurer furtivement les seins. Ce contact fugace suffit à les faire pointer immédiatement.

Le garçon retourne explorer le contenu de l'armoire, puis il va vers le lit et revient avec mon plug gag gonflable.
-Ceci a l'air très efficace. Alors on ouvre bien grande sa jolie bouche...
Il baisse mon menton et j'ouvre une grande bouche sans la moindre résistance. Je reste comme une gourde devant lui à attendre qu'il enfourne le bâillon dans ma bouche ouverte.
Il enfonce la balle flasque et applique le panneau transparent sur mes lèvres, puis je le sens maintenir précautionneusement mes longs cheveux hors du chemin pendant qu'il boucle étroitement la sangle de plastique derrière ma nuque.

Prenant son temps, il va chercher la poire de gonflage et l'adapte sur l'embout du bâillon, mais il la laisse simplement pendre devant moi.
-Je veux t'entendre quand je le gonflerai.
Je sens des picotements dans mes doigts, on dirait que je récupère ma mobilité.

Il saisit alors une longue corde qu'il enroule autour de mon buste, emprisonnant du même coup mes bras. Il serre alternativement un tour sous mes seins puis un au-dessus, mais je note que chaque tour est placé méthodiquement sous le précédent. C'est très esthétique, mais chaque nouveau tour compresse davantage ma poitrine et mes seins ressortent de plus en plus !

Mon joli foulard est emprisonné sous les cordes étroitement serrées au-dessus de mes seins et se redresse en fronçant sous la pression du lien.

Il sécurise le lien minutieusement entre mes bras et utilise une nouvelle longue corde qu'il enroule autour de ma poitrine, faisant se croiser la corde entre mes seins, une fois vers le bas et une fois vers le haut. Cette fois encore, je constate avec effarement que chaque nouveau tour de corde sépare davantage mes seins tout en les comprimant. Ils sont mis en évidence de manière de plus en plus obscène, tendus, durs et pointant comme des obus !

Je peux à nouveau bouger les doigts. J'essaie de parler et mon grognement attire son attention.
-Ah, en avant pour le bâillon de mademoiselle ! Hop !
Il empoigne la poire et la presse fermement à trois reprises. Je sens avec effroi la balle gonfler incroyablement dans ma bouche pour l'emplir totalement en coinçant ma langue.
-m... mh... !! … … mmh !! … … m !
-Silence, la belle... encore un effort...
Il presse une nouvelle fois la poire et procède par petits coups successifs.
-m... … … … m... ...m... … … … … … ...m... … !!!
Je me trémousse en écarquillant les yeux. Je le vois sourire en lâchant la poire pour poser les mains franchement sur les flancs de mes seins. Il me flatte les tétons du bout des pouces en me regardant dans les yeux !

Ooooh ! Comprimés comme ils le sont et avec mon état d'excitation, ce contact sur mes seins a un effet incroyablement puissant, quasiment électrique, et je hurle en secouant la tête !
-… m … … … ! … … … m … ! … … …
-… pas mal... pas mal du tout... commente-t-il calmement.

Il lâche mes seins et démonte la poire de mon bâillon qu'il range soigneusement dans l'armoire. Je le vois revenir avec une nouvelle longue corde qu'il entreprend de serrer autour de ma taille et de mes bras et qui me forme une jolie ceinture blanche. Il sécurise très minutieusement le lien, ce qui immobilise résolument mes poignets contre mon dos.
-Tant qu'à faire...
-… … … m … … !! … … … !!

Il me donne une soudaine claque sur la fesse, ce qui me fait sursauter brusquement ! La secousse est telle, avec mes seins aussi cruellement comprimés par des liens très serrés, que je comprends immédiatement à quel point toute secousse doit être évitée !
-… … g… !!!
Complètement décoiffée, je relève la tête et regarde rageusement le garçon entre mes cheveux épars. Mes yeux lancent des éclairs.

Je le vois avec inquiétude s'accroupir devant moi pour attacher solidement une nouvelle corde à la ceinture qu'il vient de me constituer, et y pratiquer un gros nœud. Il passe alors la corde entre mes cuisses et la glisse autour de la sécurisation de mes poignets. Le garçon positionne le nœud très précisément pour qu'il vienne presser sur mon sexe, et il passe derrière moi, pose la main sur mes poignets et tire vigoureusement sur le lien !
Je sens avec horreur le nœud s'enfoncer brutalement dans mon sexe, et le garçon continue à tendre odieusement le lien avant de le faire passer une nouvelle fois entre mes jambes pour venir le fixer solidement à ma ceinture de cordes !
Ouh ! Je me tortille comme une furie en soufflant dans mon bâillon dans une vaine tentative pour hurler !
-… … m ! … … … … !!!!!! … m … !!!!!

Penchée en avant, je pousse des gloussements étouffés et secoue futilement la tête en trépignant sur mes talons aiguilles pendant que le garçon finalise fermement contre mon ventre le nœud de ce lien effroyablement tendu. La tension est intense et le nœud est résolument entré dans mon sexe où il est rigidement maintenu !

Il se redresse et me donne une petite caresse sur la joue en allant chercher de nouvelles cordes. Ce geste d'affection me met littéralement en rage.

Il s'accroupit derrière moi et entreprend de m'attacher très solidement les jambes au-dessus des genoux. Les multiples tours de corde sont extrêmement serrés et il glisse la corde entre mes jambes pour sécuriser fermement le lien avant de terminer avec un nœud rigoureusement finalisé.

Il sourit en passant devant moi une autre corde toute prête à la main, m'assénant une légère tape sur la fesse au passage, et il reproduit le même processus au somment de mes cuisses. Le lien est tout aussi étroitement serré que le précédent mais le garçon est « obligé » de me caresser intimement lors de chaque passage de la sécurisation de la corde. Je souffle en me raidissant chaque fois que sa main m'effleure le sexe en glissant la corde entre mes cuisses.
-… m ! … … … … !!!!

Il me prend par les hanches et m'appuie contre l'armoire basse qui se trouve calée par le mur. A moitié assise, les jambes tendues et penchée en avant, juchée sur mes hauts talons, je le vois entre mes cheveux ébouriffés et par-dessus mes seins nus s'accroupir à mes pieds et me croiser fermement les chevilles avant de les attacher très solidement avec un lien tourné de nombreuses fois.
Là encore, il sécurise le lien avec minutie, mais il le fait également passer sous mes talons et en profite pour m'attacher solidement les pieds ensemble.

Il se lève et choisit une nouvelle corde ! Je le regarde faire avec inquiétude... Mais combien en mettra-t-il donc ?
Le garçon entreprend alors de m'attacher les jambes en serrant rigoureusement ce lien sous mes genoux. La sécurisation de ce lien lui pose des problèmes tant mes jambes sont déjà rigoureusement serrées, mais il parvient à ses fins et termine fièrement par un nœud extrêmement serré entre mes genoux. Une petite tape sur ma cuisse ponctue son effort.

Il se redresse et se campe devant moi, les jambes écartées, mes pieds entre les siens. Je le vois poser placidement les mains sur mes seins toujours aussi tendus et recommencer à en flatter les pointes !
Je me raidis, mais ligotée aussi sévèrement, je le peux ni m'agiter, ni plier les jambes, ni même me pencher significativement. Il voit le regard noir que je lui lance pendant qu'il me tâte minutieusement les seins. J'écarquille les yeux lorsqu'il glisse la main entre mes cuisses et me caresse le sexe du bout des doigts.

Pas moyen de bouger ! Et il continue imperturbablement de me peloter ! Je redresse vivement la tête comme une folle, et tente vainement de hurler vers le ciel en essayant de gigoter de mon mieux.
-… … f... … ! … … h … … … h ! … …
Mais son doigt continue tranquillement à se promener doucement sur mon sexe, comme si ma révolte n'avait pas même été remarquée.

Finalement, il me prend dans ses bras et va me poser debout près du lit. Debout en équilibre précaire, je vois sa main avancer et, d'une légère poussée de l'index entre mes seins, il me faire perdre lentement l’équilibre. Je me sens avec effroi tomber inexorablement à la renverse, incapable de crier !
-Au lit, mademoiselle !

Je culbute lourdement, toute droite, sur le lit moelleux dans lequel je m'enfonce profondément avant de rebondir. La secousse dans mes seins me fait me raidir en poussant un grognement étouffé.
-… g !!!!! … … … … m !!

Je me trouve à moitié sur le flanc et sur le dos, allongée dans le sens du lit, la tête sur l'oreiller. Complètement exposée, je ne peux rouler ni dans un sens ni dans l'autre. Mes seins proéminents sont fièrement dressés et parfaitement offerts. Et mon joli foulard, prisonnier des cordes ajoute une touche très sexy à mon ligotage !

Il se penche sur moi et caresse mon nez du bout du doigt.
-Voilà... tu devrais te tenir tranquille un moment.
-… m... … … … … … g … … …
Je secoue furieusement la tête en voyant avec impuissance sa main se diriger vers mes seins.
-Quel joli paquet tu fais... commente-t-il en me pinçant délicatement un téton sans que je ne parvienne seulement à remuer.

Bouya2

Re: Le bain de Soleil (histoire d'Anne et de Bouya)

Message par Bouya2 »

Et voici l'avant-dernier chapitre. Bonne lecture !

La furie. (Arnaud)

Une voix se fait soudainement entendre.

-Tu ne t'ennuies pas avec Anne, espèce de cochon !

Je sursaute violemment ! Christelle se trouve derrière moi ! Elle n'était pas partie en réalité. Elle avait dû se dissimuler dans un coin ou derrière une porte et j'avais omis de fouiller l'appartement !

Je me redresse précipitamment en portant la main à ma poche. Mais la réaction de la belle black est fulgurante et elle me tord sauvagement le poignet. Le spray tombe sur le sol.
Mais sans s'en soucier, la furie me tord le bras dans le dos en tournant autour de moi et m'étrangle de son autre bras. Elle me serre contre sa poitrine avec une poigne insoupçonnée, raffermissant son étreinte.

Cette superbe jeune femme d'apparence tellement sexy fait certainement de la lutte car d'un soudain mouvement de fauchage, elle me précipite au sol mais elle accompagne le mouvement et sans relâcher son étreinte.
-Je n'ai pas besoin de ton petit spray pour te museler ! Tu vas voir, mon ami !
Elle a dirigé ma chute de manière que je tombe sur le flanc et son genou est posé au sol entre mon corps et mes bras. Manifestement, elle n'est pas du tout gênée ni par sa minijupe ni par ses talons aiguilles pour se battre !

Avec mes bras immobilisés et moi cloué au sol par la simple manière dont elle m'a fait tomber, elle dispose de ses deux mains pour m'enfoncer vigoureusement un gros bâillon boule dans la bouche.
-Mmh !!!
-Ceci va te calmer.
Aussitôt après, elle tend rudement la sangle et la boucle sans le moindre ménagement au plus serré.
-mmpfhhhh !!!!
-Et de une.

Toujours avec des gestes très brutaux, elle a tôt fait de défaire les boutons de ma chemise, maintenant toujours mes bras derrière mon dos. Malgré mes gesticulations, elle parvient aisément à m'ôter le vêtement et le jette plus loin. Ce déshabillage forcé m'a amené sur le ventre et Christelle se trouve assise à califourchon sur mon dos, avec les cuisses fermement serrées sur mes bras.
-Tu m'as cherchée... et bien tu m'as trouvée !
-Mmphfhhh !!!

Elle a attrapé une double corde et la serre vigoureusement autour de mes coudes, les rapprochant subitement à la limite de ma souplesse.
-Attends un peu, mon lapin ! Tu vas voir ce que c'est qu'être mon gibier...
-mmfghhh... mmphh !! … … mh !!!
Déchaînée, la belle black est sans pitié et m'attache solidement les poignets avec une nouvelle corde. Elle serre sévèrement le lien et m'attache ensuite les poignets à la taille avant de le sécuriser rapidement entre mes bras et mon corps.

Je gesticule comme je peux, mais la jeune femme pèse de tout son poids sur mon corps et me maintient cloué au sol tout en contrecarrant immédiatement la moindre de mes tentatives de lui échapper.
-Ici ! Je n'ai pas terminé avec toi !
-Mhhhh... mmhmhmhhh !!!
Farouchement déterminée, elle continue de m'attacher énergiquement les bras au torse avec un lien terriblement serré.
-Et de deux ! Ah mais... tu voulais du sport ! Tu vas être servi !!!
-mh... … mmhhh !!

Le féroce ligotage de mes bras achevé, la belle pivote d'un mouvement souple et s'assied résolument sur mes jambes. Elle attrape un mollet et m'ôte prestement la chaussure, puis la chaussette. Immédiatement après, je la sens faire de même avec l'autre pied. Je parviens difficilement à regarder par dessus mon épaule et ne discerne que ses rapides mouvements et sa cascade de cheveux ondulant au fil de ses gestes.

Je suis brusquement pivoté sur le flanc et elle me coince entre ses cuisses, assise à califourchon sur mes jambes. A peine le temps de comprendre ma nouvelle position, pas le temps de m'attarder sur la splendide vue plongeante que sa position penchée m'offre sur son décolleté, que je la sens défaire la boucle de ma ceinture et ouvrir la braguette de mon pantalon !
-mgfmhhhh !!! … … mpfhhhh… … mmhhh !!!!

Elle se lève brusquement et saisit les jambes de mon pantalon pour tirer furieusement dessus. Et hop ! Me voilà proprement expulsé de mon pantalon qu'elle jette plus loin.
Mais comme une tornade, elle est déjà accroupie et commence sèchement à faire descendre mon slip qui va prestement rejoindre mon pantalon.

Me revoilà roulé sur le ventre mais Christelle endiablée est déjà occupée à m'attacher les chevilles.

Je n'ai pas le temps de comprendre ce qui m'arrive tant elle est acharnée. Cette furie me manipule agressivement avec la même aisance que s'il s'agissait d'une vulgaire poupée. Elle procède sauvagement et termine en réalisant prestement un nœud incroyablement serré. Très rapidement et avec la vigueur que l'on met à ficeler rudement un vulgaire paquet bien serré, elle a tôt fait de m'attacher énergiquement les jambes avec un lien très rudement serré juste sous les genoux et un autre au-dessus. Elle termine ces liens d'une traction sèche sur le nœud, secouant sa crinière. Je la vois bomber le torse en me regardant.
-Et de trois !
-Mmhhh... mffgnmhh... mh !!!
-Tu fais déjà moins le fier, hein ?

Je vois cette splendide jeune femme se relever et ajuster sa minijupe. Elle me prend dans ses bras et, avec une force insoupçonnée, elle me relève et me pose sur mes pieds ! Je suis nu comme un ver, sévèrement ligoté et bâillonné par cette harpie. Elle me regarde de la tête aux pieds avec un sourire moqueur.
-Alors comme ça, tu aimes attacher les filles ?
-Mmh !!!
-Et c'est cela le sexe fort ! Pfff...

Bon sang, elle a tellement serré ces cordes que je ne peux vraiment pas bouger. Elle s'approche tout contre moi et passe un bras autour de ma taille pendant qu'elle saisit franchement mon sexe de son autre main. Elle le manipule en serrant légèrement pour le sentir durcir. Mon épaule est pressée entre ses seins et elle regarde mon sexe se dresser dans sa main en continuant de le caresser résolument.
-Et tu aimes peloter les filles, mon cochon !
-MhhhMhhhmgmhh !!!
-Tu sais qu'il y a des filles qui ont aussi la main baladeuse ?

Elle approche son beau visage ébène du mien sans cesser de me tenir fermement le sexe.
-Alors maintenant, je vais t'enlever ton bâillon. Tu n'as pas intérêt à m'emmerder. Tu m'as bien comprise ?
-Mhhh. Je hoche la tête.

Elle me lâche et déboucle le bâillon. Je souffle et passe la langue sur mes lèvres en la regardant. La jeune femme prend à nouveau mon sexe en main et le serre fermement en me regardant dans les yeux. Elle a l'air féroce avec ses sourcils froncés.
-A quoi joue-tu, mon lapin ? Je t'écoute.
-Je suis un voisin, celui qui habite la villa juste à côté de l'immeuble. J'ai surpris Anne dans mon jardin. Elle s'y était installée sans mon autorisation. Comme je travaille dans un milieu où il y a beaucoup de concurrence, et que certaines personnes n'ont pas vraiment de vergogne, j'ai cru que c'était une espionne. Je l'ai capturée il y a deux heures. Mais c'est bon, après l'avoir interrogée et fouillé chez elle, je me suis rendu compte de mon erreur. Quand je suis tombé sur vous il y a quelques minutes, je n'étais pas encore sûr qu'Anne soit innocente, et j'ai cru que vous étiez une complice, c'est pour ça que je vous ai attaqué. Je suis désolé. S'il vous plaît, relâchez-moi. Ma petite amie, Sabrinah, attends ligotée et bâillonnée chez moi, et j'ai peur qu'il lui arrive quelque chose si elle reste seule trop longtemps.
-Une espionne ! Tu es vraiment un grand malade, mon lapin !
-Oui, mais il faut tout de mê... Mmh...mgrgnhhhh mmhh !
-Silence mon lapin !

Elle m'a brutalement enfoncé la balle du bâillon dans la bouche et serre à nouveau la sangle.
-mhhh... mhhhh … muhmhhh !!!
-Les garçons ! On leur laisse la parole un instant et on ne parvient plus à les arrêter. Heureusement qu'il y a de bons bâillons ! Ha, ha, ha !

Elle fait quelques pas dans la pièce de sa démarche féline malgré ses hauts talons. Je la vois placer ingénument ses mains derrière son dos et se pencher sur Anne toujours ligotée sur le lit. Quelles formes ! Dans cette pose, penchée avec ses longues jambes jointes et droites, elle est vraiment très sexy !
-Et toi, tu es as encore trouvé le moyen de te faire ligoter comme une dinde. Et chez toi en plus !
-… … m… … … ! … m … … … m …
-Fameux bâillon ! Attends une seconde.
Elle dégonfle légèrement le bâillon de la jeune femme.
-mh... mh... mhhhmhhmh... mh...
-Et toute nue, évidemment ! Tu adores te mettre dans ces situations !
-Mmh... mh !!
-Tu veux que je te dise, tu es une vraie exhibitionniste.
Elle donne une claque sur la cuisse de Anne.

Je la vois choisir une corde et mettre la belle blonde sur le ventre avant de dé-serrer légèrement le lien au-dessus de ses genoux. Puis elle attache solidement la corde au lien des chevilles de belle blonde avant de lui plier brutalement les jambes et de la mettre dans un hogtie de plus en plus tendu. Au moment où le hogtie a atteint la limite de la souplesse de Anne, je vois la belle black nouer sèchement le lien avec un nœud très précisément serré.
-Très joli ! Tu lui as rudement bien attaché les seins, mon cochon ! Ce n'est pas trop serré, ma jolie ?
-mh... mhhmhh ! … … mmmhh !!
-Et la corde sur son sexe est tellement serrée ! Enfin, c'est Anne... tu peux y aller franchement, elle adore cela !

La belle Christelle ramène ses cheveux en arrière en tournant la tête vers moi avec un sourire. Elle réajuste sa minijupe et approche à petits pas lents. Juchée sur ses hauts talons, elle est plus grande que moi. Totalement impuissant, je vois la belle black s'arrêter face moi et me regarder dans les yeux. Elle passe gentiment la main dans mes cheveux, puis se penche et me charge tout simplement sur son épaule pour me porter comme un vulgaire sac. Son bras serré sur mes jambes me maintient fermement en place et je sens ses seins pressés contre mes cuisses. Son autre main se pose sur mes fesses qu'elle tapote gentiment.
-mmh... !! mhhhgmhh !!
-Tout doux mon joli. Tu seras bien près de la femelle blonde.

De ma position je ne vois que ses talons, le dandinement de ses fesses, et ses cuisses à moitié couvertes par sa minijupe pendant qu'elle fait demi-tour et me transporte avec aisance vers lit. Cette furie m'a ligoté tellement rigoureusement que mes gesticulations sont réduites à leur plus simple expression, et de plus elle m'a très solidement bâillonné en deux temps trois mouvements !
-mghhmhhh !!! … … mh !!
-Bien muselé et proprement ficelé, c'est la place du mâle.
-mgnhh... !!! … mh ! mh !!!
-Ha, ha, ha !!! Homme-objet ! Rit-elle en me palpant les fesses.

Transporté comme un vulgaire paquet sur l'épaule d'une jeune femme aussi sexy, après qu'elle m'ait proprement réduit à la plus complète l'impuissance, je me sens aussi stupide que si je me trouvais sur un plat avec un citron dans la bouche et de persil dans les oreilles ! Elle s'arrête au bout de quelques pas et me donne une claque sur la fesse.
-Ma chérie, voilà de la compagnie !

Comme une vraie amazone, elle me jette abruptement sur le lit où je rebondis à côté de Anne.

Mais Christelle m'a déjà roulé sur le ventre et me place dans un hogtie identique à celui de la somptueuse blonde qui se tortille silencieusement sur le lit. Je sens le lien se tendre brutalement. Mes pieds s'approchent de mes poignets, mais je m'aperçois qu'elle tend le hogtie avec mes coudes ! Elle continue à tendre le lien avec détermination avant de le fixer avec un nœud étroitement serré.

Une fois satisfaite de mon ligotage, elle me bascule sur le flanc d'une poussée, face à Anne. Puis elle s'agenouille sur le lit et bascule Anne sur le flanc, face à moi. La belle black, en se penchant sur Anne, me donne une vue plongeante sur son décolleté. La boutonnière fronce sous la tension de ses seins. Relevant la tête, elle surprend mon regard.
-Ha, ha, ha !! Mes seins t'intéressent ? Tu as une belle blonde toute nue face à toi et c'est celle qui est habillée que tu lorgnes !

Nous la voyons avec appréhension prendre de nouvelles corde avec un large sourire. Elle ne semble plus aussi furieuse et revient vers nous pour pousser Anne vers le centre du lit. Puis elle me pousse tout contre la belle blonde.

Stupéfaits, nous la voyons presser fermement nos corps ligotés l'un contre l'autre et elle entreprend de nous attacher très solidement dans cette position avec un lien nous enserrant étroitement de multiples fois la taille. La belle black serre ensuite rigoureusement le lien suivant autour de nos épaules, nous pressant davantage l'un contre l'autre à chaque tour. Anne pousse un cri étouffé quand ses seins durcis s'écrasent inexorablement contre mon torse.

Anne remue vainement mais nous sommes rigoureusement plaqués l'un contre l'autre. Elle tente de donner des secousses mais cela ne fait que m'exciter. Pendant ce temps, Christelle nous attache implacablement les jambes ensemble avant de serrer soigneusement le nœud final.
-Voilà mes mignons, vous formez un fort joli couple ! Ha, ha, ha !!!
-mhhh... Mmh !! … … Mmhh... mh !!
-mfhmhh... Mfgmhh... mhhhh... !!!

Anne tourne la tête pour voir Christelle s'éloigner et je prends ses cheveux à la figure. Les liens qui nous serrent aussi sûrement que si nous étions boulonnés l'un à l'autre sont tellement tendus qu'il n'est réellement pas possible de les faire jouer un tant soit peu. Elle retourne explorer le contenu de l'armoire contenant le matériel de bondage de Anne et revient fièrement vers nous, un double bâillon boule à la main. Ce sont deux bâillons boule dont les balles sont unies rigidement par un solide axe de cinq centimètres.
-Regardez si ce n'est pas beau... c'est vraiment fait pour vous, les amoureux.

Sous les yeux de Anne, elle a tôt fait de remplacer mon bâillon par le nouveau et d'en serrer la sangle comme une démente. Une fois mon bâillon strictement fixé, elle enlève celui de Anne et lui fourre l'autre balle dans la bouche et poussant tout simplement la tête de la jeune femme en avant. Je sens la pression dans ma bouche quand Anne enfourne la grosse balle.
Là encore, elle boucle la courroie au plus serré et je vois les yeux de Anne s'agrandir avec effroi. Nos visages se trouvent à quelques centimètres seulement et je sens son souffle tandis qu'elle essaie vainement de remuer la tête.
-mhhh... … … mmhhh... … !!!
-Et ce n'est pas encore terminé, mes mignons.

Elle fait le tour du lit en nous regardant avant de se pencher et de chatouiller Anne qui se met à se trémousser avec de petits gloussements étouffés. Son bâillon lui interdit de remuer la tête, mais je bénéficie des secousses qu'elle donne sous les chatouilles. Je sens la pression de ses seins déjà comprimés par le ligotage que je lui avais fait, et qui se trouvent résolument écrasés entre nous. Chaque mouvement semble lui faire un effet intense et elle émet des séries de petits gloussements étouffés en tressautant à chaque chatouille.

Évidemment, les secousses incontrôlées de cette splendide blonde toute nue pressée contre moi ont tôt fait de faire monter mon excitation et je vois les yeux paniqués de Anne s'agrandir en sentant mon sexe gonfler et se raidir, et se frayer résolument une place entre nous ! Elle piaille en panique, roulant les yeux en tous sens.

-Bien, je vous laisse vous amuser, les tourtereaux. Je dois aller m'occuper de ta copine... Sabrinah je crois.
-mh... mh... … … mh... mh... !!!!... … mh !!!

Christelle choisit un bâillon boule dans l'armoire.
-A tout hasard... murmure-t-elle.

Je suis au bord de l'explosion et Anne continue de s'agiter contre moi, comme si elle cherchait réellement à me faire jouir. Je la vois subitement tressauter, partie dans une série de spasmes incontrôlables en poussant une succession grognements étouffés.

Je suis de plus en plus au bord de l'explosion et Anne continue à jouir de manière totalement indécente, pressée contre mon corps nu.
-MMMh !!! … MMHHMhhh !!! … MMHH !!!
-mh... mh... mh... …
-MMRMRFRHHHH !!!!! MRGNRHHHHH !!!
Ooh, c'est mon tour d'être pris de spasmes ! Un écoulement soudain entre nos deux corps fait changer le regard de Anne pendant que Christelle ferme la porte de l'appartement derrière elle.
Anne se remet à gigoter de plus belle, en proie à un second orgasme encore plus violent que le premier.

J'entends les talons de Christelle quittant l'appartement d'un pas décidé.

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Télémaque
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Ce que je déteste : je n'aime pas trop les suspensions compliquées, ni les positions où l'esthétique prime sur la simplicité et l'efficacité.
Je n'aime pas non plus ceux qui se prennent au sérieux, dans le bondage comme ailleurs.
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Re: Le bain de Soleil (histoire d'Anne et de Bouya)

Message par Télémaque »

Toujours un réel plaisir de suivre ces histoires, merci Bouya de nous les faire partager. ;)
Les liens qui libèrent...

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Mars34230
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Re: Le bain de Soleil (histoire d'Anne et de Bouya)

Message par Mars34230 »

C'est un délice de lire ces histoires, en espérant pouvoir lire la suite de celle-ci et d'autres à venir rapidement ... :)
“Ligote tes sentiments d'une formule, Emprisonne ta douleur d'une ceinture, Le loup qui ne montre jamais son sang Par l'autre loup sera laissé vivant.”

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Re: Le bain de Soleil (histoire d'Anne et de Bouya)

Message par Bouya2 »

Et justement, voilà cette suite. J'ai eu des problèmes de connexion internet ces deux derniers jours. J'avais bien averti, aux alentours du 14 du mois, que je ne pourrais plus être aussi régulier dans le partage des histoires.
Ceci est le dernier chapitre, comme son titre "Épilogue" le laisse subtilement deviner. Le titre indique qu'il s'agit du point de vue de Christelle, mais c'est Anne qui a écrit la totalité de la fin. Je n'y ai pas touché.
Bonne lecture !

Épilogue. (Christelle)

Christelle entre dans la villa silencieuse. Elle fait quelques pas lents en parcourant la pièce du regard. Seul le bruit de ses talons aiguilles sur le sol est audible.

Elle sourit à la vue de Sabrinah en petit bikini sur la table, solidement ligotée dans un hogtie strict et efficacement muselée par un gros bâillon boule rouge. La jeune femme vient se camper devant la table, les jambes jointes et les mains derrière le dos. Elle se penche vers la captive en riant.
-Et bien ma jolie ! Tu es très mignonne. Tu dois être Sabrinah je suppose ?
-… … …!! … … ! … … … …
Christelle promène la main sur le corps de Sabrinah, lentement.
-Ils s'amusent chez Anne. Je vais t'emmener les rejoindre.
Elle dénoue posément la corde du hogtie, puis assied la belle Sabrinah toute ligotée sur la table.
-… … … ! … … … … … !! … ! …
Voyant la jeune femme se tortiller en agitant la tête sans pouvoir produire le moindre son, Christelle se penche sur elle.
-Qu'est-ce que c'est que ce truc ?
-… !! … … !!!! … … … ! … …
-Voyons cela.
Elle ôte le bâillon de Sabrinah et l'étudie de plus près.
-Merci ! Mais que se passe-t-il ? Où sont les autres ?
Sans répondre, Christelle ouvre la bouche et y insère le bâillon, puis elle essaie de parler.
-… … …
Elle ouvre de grands yeux stupéfaits et essaie à nouveau de hurler de toutes ses forces.
-… !!!! … !!!!!
-Ça alors ! C'est de la magie ! Dit-elle en retirant le bâillon.
Elle met respectueusement le bâillon boule dans son sac et regarde Sabrinah.

-Et bien Miss, avec cela dans le bec, on ne risquait pas de t'entendre !
-C'est mon copain qui fait des recherches sur le son et ce bâillon est sa première application.
-Oh, je vois... Y a-t-il quelqu'un d'autre dans cette maison ?
-Non, il n'y a que moi. Vous me détachez ?
-Non Miss, j'ai un autre projet pour toi. Répond Christelle, l'autre bâillon boule à la main.

Abasourdie, Sabrinah voit la belle black lui appliquer péremptoirement la grosse balle de latex contre les lèvres en lui pinçant le nez. Elle doit forcer vigoureusement pour la faire entrer avant de tendre la sangle du bâillon.
-Mmmhmh !!!!
Elle serre si énergiquement que la balle disparaît presque complètement dans sa bouche. Le gloussement de surprise que laisse échapper la belle est proprement étouffé tant son bâillon est à présent rigoureusement serré.
-Voilà ! Au moins, c'est un bruit que je comprends !
-Mh !... … … mh !!! … … … mh...

Sans se soucier des grognements étouffés de Sabrinah, Christelle remarque la porte entrouverte du débarras et repère les cordes blanches sur le sol.
-Ooooh, les jolies cordes ! Voilà exactement ce qu'il me faut !
Elle revient aussitôt avec quelques cordes et se met à consolider le ligotage des bras de sa captive après avoir resserré méthodiquement chaque lien et raffermi leur sécurisation de manière systématique.
-Une jolie nana comme toi mérite d'être beaucoup mieux ligotée que cela.
-mh... … … m !! … … h... h !!
-Ha, ha, ha... c'est plus efficace comme cela, non ?

Loin d'en rester là, Christelle a constitué une jolie ceinture de corde étroitement serrée autour des poignets et de la taille de Sabrinah et achève déjà de sécuriser soigneusement le nouveau lien.
Une nouvelle corde surgit qui est rapidement serrée sous ses seins et lui maintient fermement les bras collés au corps. Christelle sécurise chaque lien avec beaucoup de fermeté et Sabrinah constate que tout mouvement devient parfaitement impossible !
-C'est tout de même autre chose ! Le gibier doit toujours être solidement attaché.
-mh... … gh !!! …
Sabrinah s'agite en regardant Christelle tourner autour d'elle.
-On est gibier ou chasseur. Toi, tu es du gibier. C'est évident... du très joli gibier.
-Mmh... … !! … … !! … mh !!
-Et le gibier n'a pas d'avis à donner sur le chasseur. Ajoute-t-elle en donnant deux petites tapes sur la joue de Sabrinah.

Christelle s'accroupit et détache les chevilles de sa captive puis entreprend un ligotage différent en faisant une entrave de cette corde. Une fois finalisé, les pieds de Sabrinah sont libres mais ne peuvent s'écarter de plus de trente centimètres.
Satisfaite, Christelle dénoue alors le reste des cordes qui immobilisaient les jambes de la belle.

-Bien. Allons-y !
-m... … !
-J'ai dit : debout !!!
-… … h... … h !!!
Christelle avise la cravache posée à côté.
-Où est le problème ? En avant ! Tu as des souliers et tu peux marcher.
-m... … h !!... m... !!
Sabrinah est empoignée et mise debout par Christelle qui saisit la cravache et en donne un coup sur la fesse de sa captive.
-En avant ma jolie ! On va retrouver ton amoureux.
-H !!!...
Christelle rit en forçant la jeune femme attachée et bâillonnée à avancer vers la sortie.

-Hi, hi, hi ! Tu as de la chance, nous ne devrions pas croiser trop de passants.
-m... … … !
-Mais tu aurais un franc succès... surtout dans cette tenue aguichante...
Forcée par son entrave à avancer à tout petits pas, Sabrinah est hésitante et son pas mal assuré. Un nouveau coup de cravache sur la croupe fait presser le pas à Sabrinah.
-Hue cocotte !
-gh... … mh !!! la jeune femme grogne en secouant furieusement la tête.

Les deux jeunes femmes traversent lentement le jardin de la villa et reviennent par le passage discret à l'immeuble voisin.
Christelle appelle l'ascenseur et on peut lire l'anxiété sur le visage de Sabrinah, à l'affût des bruits de l'immeuble. Pendant le trajet de la cabine, Christelle se serre contre Sabrinah et ironise en la pelotant intimement.
-Dis, ma jolie... tu crois qu'il y aura quelqu'un sur le palier quand tu sortiras ?
Sabrinah roule des yeux effarés quand la porte s'ouvre. Soulagée, elle constate que le palier est désert.
-Viens voir comme c'est mignon. Anne et ton copain qui s'amusent.
-m... … m !!!

Christelle pousse la porte de l'appartement et mène sa captive dans la chambre ou le couple nu est toujours solidement ligoté et bâillonné sur le lit. Ils se tortillent et il est manifeste que Anne est justement en train de connaître un nouvel orgasme.
-Tu vois ce qui se passe dès qu'on laisse un mec seul à seul avec une fille ! Des animaux ! Surtout que Anne est une vraie pin-up. Regarde-la l'exciter.
-m... !!!
-Ils font un joli couple, non ?

Elle regarde un moment le couple s'agiter sur le lit. On entend leurs grognements étouffés ponctués de quelques gloussements suraigus de Anne.
-Ils aimeraient être seuls. Allons, avance par là, Miss... je vais t'installer confortablement.

Un nouveau coup de cravache fait sauter Sabrinah qui quitte la chambre en soufflant dans son bâillon.
-J'aime beaucoup ce petit bikini et je trouve sa couleur très sensuelle. Et puis tes hauts talons sont visuellement parfaits pour être exposée.
-Mmh...mmh !! … hhh !!
Aussitôt la porte franchie, Christelle a plaqué Sabrinah contre le mur et la maintient fermement tandis qu'elle pose sa main libre sur le string et commence à caresser intimement sa jolie captive stupéfaite.
-m... !! … ! … mmm... … !! … h... … h... !! … … … m !!!!

Sabrinah tente de hurler et agite la tête en essayant de se débattre, mais Christelle renforce son étreinte en continuant de plus belle à promener ses doigts sur le petit string.
-m... … … h... … … h... … h... … … … m !!!!
-Oh ! Que c'est bon de te sentir frétiller comme cela ! Quelle vivacité !
-mmh !!... … … mmh !!! …
Christelle a posé ses lèvres sur le bâillon de Sabrinah et elle lui donne un long baiser sur la bouche sans cesser les caresses qui font sautiller la belle. Au bout d'un long moment, Christelle éloigne son visage.
-Tu es si jolie comme cela que je décide de te laisser ton bikini... c'est sympa hein ?
-mmh ! … mh !!!
Oui, tu avais tellement peur d'être vue en traversant le jardin et aussi dans l'ascenseur que je vais t'attacher solidement et t'exposer sur le palier.
-Mh !... mh ! Mh !... … … mh !
Christelle pousse fermement Sabrinah hors de l'appartement et l'assied par terre, au milieu du tapis couvrant le sol du palier.

Avant que Sabrinah ne puisse réagir, l'amazone lui a enlevé l'entrave et elle est déjà occupée à lui attacher les chevilles croisées avec un solide lien étroitement serré. Elle procède très rapidement et applique les cordes précisément ! Bien que sa captive se tortille de son mieux, ses jambes sont attachées ensuite très rigoureusement sous les genoux. Le lien est sévèrement tendu et sécurisé. Christelle bascule immédiatement Sabrinah sur le ventre et la force à plier les jambes au maximum.
-mh... mh... !!!! mmh !!!
-Patience ma jolie.

Christelle est accroupie et tourne à deux reprises une solide corde odieusement serrée autour des cuisses et des chevilles de la belle. Une fois ce lien finalisé, les jambes de la jeune femme sont parfaitement immobilisées.

Mais la belle black prend une nouvelle corde qu'elle passe autour des épaules de sa victime et la fait passer dans le lien de ses genoux. Elle tend vigoureusement la corde en levant les genoux de la belle de manière à la forcer à tenir une position cambrée.

Sabrinah piaille désespérément en agitant la tête, mais le lien est rapidement tendu au maximum, puis solidement noué entre ses épaules.
-Tu fais encore un peu trop de bruit. Chut !
-Mmmh... !! mh !!!... … mmh !!
-Mais j'ai un remède à cela... attends.

Christelle saisit la chevelure de Sabrinah et en fait rapidement une queue de cheval qu'elle attache minutieusement à une nouvelle corde. Elle tend le lien en forçant la jeune femme à relever la tête, ce qui fait entrer le bâillon plus profondément dans sa bouche, puis elle l'attache résolument au hogtie.
-… g... … g... … … … ...g !

Christelle se relève et ajuste sa jupe.
Et voilààààà !
-… … ! … g !... … … … … !
-Tu resteras sagement là, sur ce tapis en attendant que quelqu'un te découvre.
-… g... … … !! … … … g... … !

Sabrinah essaie vainement de gigoter sur le tapis pendant que Christelle se recoiffe sommairement de la main en allant lire le nom sur la porte de l'autre appartement. Elle se met à rire et revient donner une légère poussée sur les pieds de la jeune femme ligotée, ce qui la fait basculer et tomber sur le flanc.
-Tu es plus provocante comme cela ! On est fière de montrer qu'on est une fille, et on pousse bien ses jolis seins en avant !
-… g !!... … … !! … … … !!!
Sabrinah ne parvient même plus à remuer la tête ni à prendre le moindre élan pour basculer dans une autre position. Elle voit Christelle ouvrir toute grande la porte de l'appartement de Anne et aller ouvrir également celle de la chambre. On peut voir à présent se trémousser silencieusement le couple ligoté sur le lit depuis le palier.
Christelle donne une petite caresse sur la joue de Sabrinah et met son sac à l'épaule avant de s'engager dans l'escalier.

Elle s'arrête un instant et jette un regard en arrière.
-Oh, si tu ne le savais pas, c'est un curé qui habite en face ! Hi, hi, hi... je vous souhaite qu'il soit jeune et beau.
-… … … g ! … … … g … … !! ...
-Il pourra se rincer l’œil mais il sera forcé de te peloter pour te libérer.

Elle envoie un baiser de la main, et Sabrinah entend son pas s'éloigner. La porte d'entrée du bâtiment claque derrière elle.

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Mad Hatter
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Re: Le bain de Soleil (histoire d'Anne et de Bouya)

Message par Mad Hatter »

Une histoire qui est agréable à lire. Mais il faut préciser quelque chose.
C'est que je me rends compte que la manière dont je suis habillée en ce moment constitue un véritable appel au viol en temps normal… alors que dire à présent ?
Là le personnage reprend l'idée commune de"l'appel au viol", les réalités sont bien différentes, et surtout la plupart des viols sont commis par des proches de la victime, et les tenues portées le jour du viol de la victime ne sont pas très probant sur la caractère aguicheur. IDÉE REÇUE #46 : L'habit fait le viol Ça montre que l'air du temps évolue. :)
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
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rocame
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Re: Le bain de Soleil (histoire d'Anne et de Bouya)

Message par rocame »

Longue histoire, mais captivante...... Merci à tous les deux de l'avoir écrite !

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