Les Détrousseurs (histoire inédite d'Anne)

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Bouya2

Les Détrousseurs (histoire inédite d'Anne)

Message par Bouya2 »

Et voici une autre histoire d'Anne. Comme elle le fait remarquer dans le prélude en italique, c'est une réécriture de Les Ligoteurs des tentes. Par contre, contrairement à ce qu'elle dit, cette nouvelle avait été publiée plusieurs fois.
Mais bon, c'est pas grave, on a ici la même histoire, mais en mieux ! Alors que je n'aime pas trop Les Ligoteurs des tentes, j'aime beaucoup Les détrousseurs.
Bonne lecture !

Les détrousseurs – 2015/08/30

Bon, là on est dans la fantaisie pure. J'ai ressorti une vieille histoire écrite il y a très longtemps et, me semble-t-il, restée non publiée.
Cela dit, il se trouve un certain nombre de situations dans cette histoire que j'ai vraiment vécues comme par exemple le fait de me retrouver toute nue, complètement ligotée et bâillonnée devant ma tente alors qu'on pouvait me voir depuis le chemin. Heureusement il y avait très peu de passage. Mon copain m'a également déjà transportée sur son épaule, comme dans cette histoire, et pelotée de la même manière durant le transport.


Quand mes activités de danseuse me laissent du temps, j'aime m'isoler dans la campagne pour observer les animaux. Et aujourd'hui je suis à l'affût des oiseaux, dissimulée dans un bosquet sur une hauteur. Je scrute le voisinage à la jumelle. J'aime être remarquée et ma ligne fine et élancée ainsi que mes longues jambes me permettent de porter tenues sexy, très courtes ou moulantes comme aujourd'hui. Je porte un mini short camouflé très serrant à ceinture noire et un petit top blanc très fin profondément décolleté et tenu par de fines bretelles. Je porte de mignonnes bottes blanches et un foulard jaune est noué à mon cou. Mes longs cheveux blonds ondulent sur mes épaules.

D'où je me situe, une tente isolée est visible à l'orée du petit bois en face, non loin du petit lac. Mais elle doit être difficile à remarquer du chemin. J'aperçois la campeuse prend le soleil, allongée sur un essuie de plage un peu en retrait, dissimulée par des taillis. Teint halé et cheveux châtains, elle porte un minuscule bikini mauve métallisé. Elle doit avoir une vingtaine d'année et la féminité de ses formes est profondément érotique. Svelte à longues jambes, et d'allure sportive, elle est dotée d'une poitrine généreuse. Elle est occupée à lire ce qui me semble, vu à la jumelle, être un roman.
Sa tente est isolée et je trouve qu'elle a raison de s'être dissimulée dans les taillis. La presse locale a fait état des agissements d'une bande de détrousseurs de campements qui rôderait dans le secteur. De plus, si elle se montrait, il y a gros à parier qu'elle aurait tous les garçons du coin à ses trousses et qu'elle ne serait jamais tranquille.
Plus loin, je vois deux types qui approchent nonchalamment en suivant le sentier en discutant. Le calme de la campagne à perte de vue.

Mais aucun oiseau intéressant ! Je perds mon temps à cet endroit et je commence à songer à changer de place.
Je scrute dans une autre direction. Toujours rien ! C'est désespérant.
Soudain, un gloussement étouffé s'élève du bosquet en face. Je tourne la tête et vois la campeuse luttant furieusement contre les deux hommes. L'un lui maintient fermement les bras derrière le dos et le second est occupé à lui enfoncer un énorme bâillon boule dans la bouche. Je vois les yeux de la malheureuse s'agrandir lorsque la balle s'enfonce soudain complètement dans sa bouche. Il boucle rapidement la sangle pendant que la fille se débat dans les bras de l'autre.

Ouh ! Mais ce n'est pas de la plaisanterie, il serre vraiment très fort ! La grosse balle blanche a presque totalement disparu dans la bouche de la jeune femme et la sangle lui entre clairement dans les joues ! Elle essaie manifestement de hurler mais plus aucun son ne me parvient.
Le type se penche calmement et ouvre le sac noir posé à terre. Il en sort des sangles sombres, probablement en cuir, pendant que l'autre gaillard maîtrise la fille en lui tenant solidement les coudes derrière le dos avec un bras et les poignets de l'autre main.

Catherine lutte farouchement mais le rapport de forces est trop inégal.
Il commence à lui attacher les bras juste sous les coudes. Il tend la sangle par étapes successives au point de faire se joindre les coudes de la fille. L'effort tire ses épaules en arrière et lui fait bomber la poitrine au risque de faire céder son petit soutien-gorge métallisé. Quelques tours et il boucle la sangle. Mince ! Il n'y va pas de main morte ! Rapidement, il fait de même avec les poignets de la demoiselle que lui présente son complice. Il achève calmement de la sangler malgré les tentatives de ruades de la campeuse.

Son comparse la tient par les épaules à présent. Une nouvelle sangle est rapidement passée autour de ses jambes, juste sous les genoux afin de prévenir tout risque de coup de pied ou de fuite. Il la tend très fort et fait plusieurs tours avant d'en boucler solidement la fixation. La fille lutte toujours avec énergie lorsqu'il lui saisit une cheville et commence à lui attacher les pieds. Malgré sa résistance, ses chevilles sont très fermement attachées en quelques instants. Il l'a une nouvelle fois sanglée au plus serré ! La malheureuse ! Elle a la tête penchée et je ne vois que la cascade de ses cheveux châtains osciller au rythme de sa respiration haletante.

Le type ramasse deux nouvelles sangles et en passe une autour de la taille de la fille, enserrant ses poignets du même coup. Il serre fort et la boucle rapidement. Elle lève la tête comme pour hurler vers le ciel en secouant sa crinière, mais toujours en silence ! Il fait ensuite de même avec la seconde sangle sous les seins de la fille, lui enserrant fermement les avants-bras.
Elle souffle dans son bâillon et essaie de hurler en agitant la tête.

Ils l'allongent alors à plat ventre sur l'essuie et l'un des agresseurs lui maintien les jambes pliées. L'autre prend une nouvelle sangle et la passe autour des ses cuisses en enserrant ses chevilles du même coup. Il la tend jusqu'à ce que la fille pousse un gémissement avant de la boucler.

Son complice est debout et observe le voisinage. Il était temps ! Un randonneur approche sur le sentier et va passer à côté d'eux. Pendant qu'il passe et échange un salut poli avec l'homme debout, l'autre est accroupi et achève de tendre une dernière sangle entre le lien des poignets et celui des cuisses. Wow ! La jolie campeuse a été complètement ligotée et rigoureusement bâillonnée en très peu de temps et sans avoir l'air de se presser ! Ils en ont fait un magnifique petit paquet. J'observe la fille à la jumelle. Ah oui ! Il n'y a vraiment plus aucun risque qu'elle les dérange !

La laissant se tortiller silencieusement là, dissimulée par les buissons à la vue d'éventuels passants, les hommes partent examiner le contenu de la tente. Ils procèdent méticuleusement en prenant leur temps. Ils ont l'air très naturel et je les entends même rire. Ils ont les nerfs drôlement solides ! Même le passant ne les a même pas dérangés !

Une jeune cycliste en plein effort s'arrête à la hauteur de la tente. La petite sportive aux boucles blondes est vêtue d'un mini short vert et d'un tee-shirt blanc mouillé de sueur. Elle se dirige vers des deux hommes. Je les vois lui tendre une gourde prise dans la tente. Elle boit et échange quelques phrases avec eux. J'entends le rire cristallin de la fille. Elle les salue de la main et enfourche son vélo en passant à quelques mètres seulement de Catherine. A la jumelle, je vois la campeuse faire des efforts désespérés au passage de la cycliste. Elle a l'air d'être rudement bien bâillonnée !

L'un des hommes retourne paisiblement vers la campeuse pour y ramasser le sac à sangles.
Il s'accroupit face à elle et semble lui parler. Je le vois rire et faire demi-tour en direction de la tente. Tout ce qui a de la valeur est engouffré dans le sac et les deux hommes s'éloignent, abandonnant la demoiselle ligotée dans les fourrés.

Je les regarde s'éloigner. Ils ont toujours l'air aussi paisibles. On ne dirait jamais qu'il s'est passé quelque chose à les voir ainsi. Mon regard se porte vers Catherine. Je vois la malheureuse se tortiller en silence, camouflée dans la verdure. Mais malgré tous ses efforts elle ne parvient décidément pas à bouger de son essuie de bain.

J'attends que les hommes soient à une bonne distance avant de m'élancer. Je dévale la pente à toute vitesse, traverse le chemin et arrive près de l'endroit où se trouve Catherine. Il y a beaucoup de buissons et il n'est pas évident de la trouver. Je ne dois pourtant être qu'à quelques mètres d'elle ! Mince, je dois tourner en rond !

Je contourne un buisson touffu et trébuche littéralement sur la jeune femme ! Pourtant elle lutte contre son bâillon !
Aussitôt, je m'accroupis à ses côtés.
C'est fini, je vais vous libérer ! Calmez-vous ! Heureusement que j'ai vu ces brutes vous attaquer, sans quoi Dieu sait quand on vous aurait délivrée !
Je commence à analyser le bondage et me demande par où commencer à libérer la malheureuse. Ce n'est pas aussi simple que j'aurais cru. Probablement impatiente, elle s'agite en poussant de petits glapissements étouffés et en secouant la tête.
-Oui, voilà... je vais vous libérer... un peu de patience.
-mh... ... mh... ... mh !!!

Mais à peine ai-je tendu la main vers la première sangle que j'entends une voix derrière moi et qu'une main se pose sur mon épaule.
Regarde-moi ça ! La jolie petite fouine que voilà !
Les hommes sont revenus et Catherine essayait de me prévenir ! Ils doivent m'avoir vue dévaler la pente.

Avant d'avoir pu dire un mot, je suis remise debout avec rudesse et un bâillon boule identique à celui de Catherine est immédiatement enfoncé profondément dans ma bouche. Il est vraiment énorme ! J'ai l'impression qu'il va me décrocher la mâchoire ! Un des deux types me tient solidement les coudes derrière le dos pendant que l'autre se charge de fixer solidement le bâillon. Il serre la sangle au dernier cran possible.
Voilà qui est mieux !
Me voilà bâillonnée aussi parfaitement que la jeune femme qui se tortille à mes pieds. Tentant de souffler avec incrédulité, je comprends mieux à quel point son bâillon la réduisait réellement au silence.

Ensuite, je sens une sangle se tendre autour de mes coudes et les serrer au point de les faire se rejoindre. J'ai l'impression d'être prise dans un étau ! Il fait plusieurs tours et boucle l'attache.
-Et bien ! dit l'un d'eux avec un petit sifflement admiratif. Au moins cela valait la peine ! Avec une poitrine pareille vous ne pouvez pas cacher que vous êtes une femme, vous !
-Ooh ! Très joli point de vue, en effet ! S'exclame celui qui est derrière moi en se penchant pour observer la tension de mon décolleté.
-Il tend la main et tâte. Mon miaulement de surprise est étouffé par le bâillon.
-mhghhh !!!... ... mphh !!!
-Eh ! Elle n'a rien dessous ! s'exclame-t-il.

Il me tient fermement pendant qu'une autre sangle est fixée à mes poignets. Ils achèvent rapidement d'attacher mes bras de manière identique à ceux de la campeuse malgré toutes mes tentatives de ruades pourtant vigoureuses. L'un d'eux me tient par les épaules tandis que l'autre entreprend de m'attacher les jambes. Il croise mes mollets et les attache avec une nouvelle sangle bien serrée. Il procède très vite. Il fait de même ensuite sous mes genoux. Me voilà complètement et solidement ligotée.
Celle-ci serait parfaite pour le concours de tee-shirts mouillés de ce soir ! S'exclame celui qui me fait face regardant ma poitrine.

Je prends soudain conscience que les pointes durcies de mes seins se trouvent parfaitement exposées à travers le tissu hyper tendu de mon top. Mon short est tellement minuscule et serrant que j'ai l'impression d'être nue devant eux, comme en vitrine ! Je suis curieusement furieuse et excitée à la fois !
Je vais installer celle-ci confortablement sous la tente.
Il se penche et me place sur son épaule comme si je ne pesais rien. Je sens son épaule m'enter dans le ventre. Pour me maintenir fermement, il place une main sur ma fesse et l'autre me tient les chevilles. Il tourne le dos à son complice mais reste un instant sur place en inspectant les environs.

Je surplombe Catherine et vois l'autre s'accroupir pour contrôler ses liens. J'écarquille les yeux avec effroi en sentant soudain la main glisser de ma fesse pour s'enfoncer entre mes cuisses et caresser doucement mon sexe. Les doigts se déplacent doucement dans un mouvement de va et vient ! Je tente de hurler et de ruer mais ça fait rire le type. Je suis tellement bien bâillonnée que ni l'autre type ni Catherine ne remarquent que quelque chose se passe.

L'autre ravisseur se lève et regarde aux environs.
Personne en vue, tu peux y aller ! Et voyant les furieuses secousses que je donne à mon porteur en agitant la tête, il ajoute : Cette petite a l'air fort combative ! Tu devrais la ligoter bien plus soigneusement que cela !
Compte sur moi, elle va être soignée… aux petits oignons !
Il se met lentement en marche vers la tente. Le trajet ne fait qu'une vingtaine de mètres durant lesquels je m'agite comme une furie dans l'espoir de me soustraire à ses caresses. Je souffle en roulant des yeux furieux !

Il me dépose enfin. Nous sommes à l'intérieur de la tente.
-Pfff… Il fait torride là-dedans !Ah ! J'allais oublier la fouille ! C'est la règle pour chaque jolie fille que j'attache.
Le type est contre moi et me tient d'un bras passé autour de mes épaules. L'autre main commence à me palper sous toutes mes coutures, en commençant par mes seins offerts ! Je le vois sourire en constatant le durcissement des tétons qu'il flatte de l'index au passage. Il prend son temps. Il tâte mes cuisses et mon entre jambes. Je me tortille comme une furie mais il me tient fermement contre lui.

Il me fait pivoter et je vois devant moi un lit de camp sur lequel le type m'allonge aussitôt à plat ventre. Il me plie rapidement les jambes au maximum.
Voyez-vous ma belle, je pense que ce sont de jolies cordes qu'il faudrait utiliser pour vous ligoter idéalement, ce serait bien plus esthétique mais c'est aussi plus lent et dans ce métier nous sommes malheureusement toujours pressés.

Pendant qu'il parle, je le sens passer une sangle autour des mes jambes pliées. Il enserre mes chevilles en même temps que mes cuisses. Il est en train de le ligoter exactement de la même manière que Catherine quelques instants plus tôt. Je peux tourner la tête de gauche à droite, mais mon nez reste à cinq centimètres du lit car la surface est déformée par mon poids et je ne vois pas grand chose. Mes cheveux défaits masquent ma vue, mais la toile brune de la tente semble omniprésente. Je tente de regarder plus haut, mais je renonce.

Quelques instant plus tard je suis complètement ligotée dans un hogtie parfaitement rigoureux et très serré en dépit des apparences. La salive qui coule de ma bouche fait une tache sur le lit.
-Et bien ma chère, c'est ce que j'appelle avoir de belles fesses et de fameux nichons ! C'est la première fois que j'attache une belle blonde avec des formes pareilles. Et être ligotée comme cela vous met merveilleusement en valeur ! Vous devriez faire cela plus souvent.
Il se penche vers moi.
-Mais ce n'est pas tout. Il y a encore une surprise !

Il prend une longue sangle et la passe autour de ma taille et du lit de camp, me collant littéralement à lui. Il la serre tant qu'il peut ! La seconde m'écrase les épaules sur le lit et une troisième est utilisée de manière identique pour les chevilles !
Il passe la main contre mon bas ventre à travers le tissu du lit ! Je laisse échapper un léger couinement rauque presque inaudible en relevant brutalement la tête. C'est le seule geste que je puisse encore faire, complètement attachée au lit.
-Pour le bâillon, cela me semble correct. Il sera content ! Ha, ha !

Sur ces belles paroles, il sort de la tente, me laissant seule. Je tente vainement de remuer. Malgré mes efforts acharnés je ne peux même pas me tortiller faiblement sur le lit. Mes bras sont tellement tirés en arrière et mes épaules pressées contre le lit que tout mouvement est rigoureusement impossible. Je sens le tissu rugueux frotter contre ma poitrine à travers le fin tissu de mon top. Les pointes de mes seins durcissent à nouveau très rapidement. Il m'est impossible de bouger et les attaches des sangles sont toutes hors d'atteinte !

J'essaie de crier, mais sans pouvoir produire le moindre son ! Dans le silence de la tente, je prends graduellement conscience de la rigidité de ma position. La tente s'ouvre soudain dans un léger froissement et l'un des types entre, portant une Catherine toute échevelée sur son épaule. Elle est toujours aussi parfaitement attachée et bâillonnée. Un des types étend l'essuie de plage sur le sol et l'autre y assied la jeune femme. Elle ramène ses jambes près d'elle avec difficulté et se contorsionne en jetant des regards anxieux autour d'elle.

L'un d'eux s'accroupit devant elle.
-Vous nous posez un problème. Nous n'avons quasi-rien trouvé dans cette tente. Rien qu'avec les sangles dont nous vous faisons cadeau nous perdons de l'argent ! Voyons… vous avez bien un petit quelque chose d'autre à nous offrir ?
Elle secoue la tête.
-Bien, alors vous nous offrirez au moins un petit spectacle en dédommagement ! Ce petit maillot a l'air tellement fragile… Que diriez-vous d'un petit strip-tease ?

Il tend la main et tire sur le lien entre les seins de Catherine. Le soutien s'ouvre brusquement en libérant sa splendide poitrine. Il fait de même avec les deux nœuds du string sur les hanches de la fille. Il lui enlève les deux petits vêtements et les dépose à côté de moi sur le lit.
Catherine est nue comme un ver et se tortille en désespérément en tous sens !
Je suppose que vous faites du bronzage intégral ? Bien, nous allons vous exposer ainsi devant la tente. Vous pouvez peut-être être vue du sentier si quelqu'un passe.

Il lui remettent ses petits escarpins.
-Ce sera plus pratique sur le sentier si vous arrivez à vous mettre debout.
L'autre type tourne mon lit de manière que je puisse voir devant la tente.
-Comme cela vous ne perdrez rien du spectacle !
Ils empoignent Catherine et la déposent devant la tente. Assise à même le sol, elle les voit contrôler minutieusement une dernière fois chaque sangle ainsi que son bâillon, les consolidant au passage. Je les vois renforcer le ligotage de ses jambes en ajoutant une longue sangle enroulée très étroitement de multiples fois au-dessus des genoux. Ensuite, ils resserrent la sangle qui se trouve dessous.
-Vous ne donnerez pas l'alarme trop rapidement de cette manière. Avec des liens aussi serrés aux genoux et vos chevilles croisées je serais vraiment très étonné que vous puissiez vous mettre debout !

L'instant suivant j'entends Catherine pousser un grognement étouffé. Elle a été basculée sur le sol et un des hommes la place sur le ventre. L'autre vient déposer sur sa tête un mignon chapeau de paille trouvé dans la tente.
-Couvrez-vous ! Cela vous protégera du soleil !

Ils ramassent leur sac et s'éloignent sur le sentier, nous abandonnant là ! Arrivés sur le sentier, ils se retournent et nous envoient des baisers ! J'entends leurs rires s'éloigner sur le sentier.
Je vois la jeune femme nue se tortiller dans l'herbe. Elle soulève ses pieds et les agite, redresse la tête, se cambre. Elle essaie de rouler sur le flanc en soufflant sous l'effort mais doit y renoncer. Elle ne cesse pourtant pas de se tortiller en grognant mais il est évident qu'elle ne pourra pas se déplacer beaucoup.
Nous devrons donc attendre qu'un passant remarque le spectacle muet offert par une fille nue se tortillant sur l'herbe, comprenne qu'il ne s'agit pas d'un jeu, et vienne nous libérer. Avec un appât comme Catherine, cela ne manquera pas d'arriver.

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