Le destin des soeurs Rigdon

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Mars34230
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Re: Le destin des soeurs Rigdon

Message par Mars34230 »

Intéressant ... Je doute que les soeurs retrouvent leur liberté totale... Marlène s'est trop habituée à leur compagnie, peut-être une liberté sous surveillance avec quelques séances de liens et bâillons pour leur rappeler de garder le silence ...
“Ligote tes sentiments d'une formule, Emprisonne ta douleur d'une ceinture, Le loup qui ne montre jamais son sang Par l'autre loup sera laissé vivant.”

eric
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Re: Le destin des soeurs Rigdon

Message par eric »

Ont-elles seulement envie de retrouver leurs libertés?
En tout cas moi pas du tout :sifflote:
Bravo et merci :bravo:

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moimoi2
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Re: Le destin des soeurs Rigdon

Message par moimoi2 »

Je pense que ce serait bien qu'elles retrouvent leur liberté mais juste au cas ou, les rappeller à "l'ordre" de temps en temps ;)

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Gwenboyfriend
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Re: Le destin des soeurs Rigdon

Message par Gwenboyfriend »

Où se décide le destin des soeurs Rigdon

Quelle étrange impression que le contact du tissu contre leur peau. Kathryn et Fergie avaient presque oublié ce que c'était. Le chiffon enfoncé dans leur bouche, le sparadrap appliqué sur leurs lèvres, les liens qui entourent leurs bras et leurs poignets ainsi que ceux qui enserrent leurs cuisses et leurs chevilles sont là pour leur rappeler qu'elles ne sont pas encore libres pour autant.
La bonté de Marlène a des limites. Elle a estimé que les deux jeunes femmes pouvaient bénéficier d'une liberté... très surveillée. C'est pour cette raison qu'on ne les ramène pas à leur domicile, d'ailleurs occupé par des agents des services secrets. Mais à un immeuble géré par ces mêmes services secrets. De même, elles pourront reprendre leur travail de secrétaire dans un bureau... des services secrets. Ainsi Marlène pourra garder un oeil bienveillant sur elles.
Le moindre écart, une parole de trop et elles retrouveront définitivement leurs chaînes, leur cachot et leurs bâillons.
Il serait exagéré d'écrire que cet accord les a réjouies ou même satisfaites mais leurs options étaient limitées et elle ne pouvaient qu'accepter.
Une fois débarrassées de leurs entraves , elles ont pour la première fois depuis des semaines pu revêtir une robe agréable quoique un peu trop moulante et courte à leur goût. Elles se préparaient à quitter le sinistre bâtiment qu'elles n'avaient que trop longtemps occupé quand Marlène est à nouveau apparue les bras chargés de cordes et de rouleaux de sparadrap comme s'il s'était agi de cadeaux de départ.
Kathryn et Fergie ont compris qu'elles allaient devoir supporter une dernière épreuve avant d'être libérées.
- J'ai tenu à vous accompagner moi-même à vos nouveaux appartements.
Docilement, les deux soeurs se sont laissées bâillonner, ligoter et mettre en laisse pour être conduites jusqu'au véhicule qui les amènerait à leur domicile.
Pendant le parcours, Marlène s'est amusée de leur désarroi en leur rappelant les règles qu'elles devraient désormais respecter.
- Pas de sorties nocturnes. Vous regagnez directement votre appartement après le travail. Pas de visiteurs ou de visiteuses que nous n'ayons pas approuvés.
Les jeunes femmes hochent régulièrement la tête en signe d'approbation.
- Rassurez vous. Vous aurez l'occasion de vous amuser. Je vous inviterai régulièrement chez moi. Vous ne refuserez pas, j'espère.
Résignées, Fergie et Kathryn expriment leur approbation bien qu'elles devinent qu'il y a peu de chance qu'elles apprécient les fêtes organisées par Marlène. Enfin, l'immeuble où elles vont résider apparaît, l'automobile pénètre dans un parking souterrain. Les chevilles et les cuisses des jeunes femmes sont libérées mais leurs poignets et leurs bras demeurent ligotés. Et elles ne sont pas libérées de leurs bâillons. Marlène tire sur leur laisse pour les conduire jusqu'à leur appartement. Les captives obéissent malgré leur inquiétude. Quand vont-elles être enfin totalement libérées de leurs entraves?
Une femme les attend dans l'appartement. Marlène la leur présente.
- Voici Sonia. La gardienne de l'immeuble. C'est elle qui veillera désormais à ce que vous ayez un comportement raisonnable.
Sur ces paroles Marlène s'en va en laissant les jeunes femmes en compagnie de ce qui semble être leur nouvelle geôlière. Cette dernière tranche leurs derniers liens au grand soulagement des deux soeurs enfin libres de leurs mouvements.
- Je vous laisse vous débarrasser de vos bâillons par vos propres moyens. Quand vous vous serez un peu détendues, vous pourrez me rejoindre dans mes appartements. Nous avons organisé une petite fête de bienvenue.
Fergie et Kathryn débarrassées de leurs bâillons marquent un temps d'hésitation.
- Si vous n'y voyez pas d'inconvénient, nous préférerions nous reposer.
Sonia sourit.
- J'y voit beaucoup d'inconvénients. Comme vous êtes nouvelles, je ne vous punirais pas cette fois. Mais vous devez savoir que je déteste que l'on refuse mes invitations. Et que je n'ai qu'un mot à dire pour que vous retourniez dans les cachots des services secrets. Je vous attends dans une demi-heure. Ne soyez pas en retard.


FIN

Mais les soeurs Rigdon reviendront.
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Mad Hatter
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Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
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Re: Le destin des soeurs Rigdon

Message par Mad Hatter »

La gardienne sait utiliser la persuasion :domina
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
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Mad Hatter
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Re: Le destin des soeurs Rigdon

Message par Mad Hatter »

Et voici une version de illustrée d'un fragment de ce chapitre sur bondagefan.
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https://www.bondagefan.com/gallery/The- ... uns/g=180/
Gwenboyfriend a écrit : 19 déc. 2015, 14:58 Dans lequel Kathryn court

Kathryn s'efforce de suivre la vitesse imposée sur le tapis de course. Ses chevilles enchaînées ne lui facilitent pas la tâche. Le bâillon de cuir qui maintient un boule de caoutchouc enfoncée dans sa bouche non plus. Une large ceinture d'acier entoure sa taille. Ses poignets sont enfermés dans des anneaux fixés à l'avant de la ceinture métallique. Ses bras liés dans son dos au niveau des coudes. Des chaînes relient la ceinture d'acier aux bords tapis de course. Tout ce que peut et doit faire la captive, c'est courir sur le tapis pour le maintenir en mouvement et éviter que les petites roues équipés de minuscules fouets derrière ses fesses se mettent en marche. Elle doit respecter la vitesse minimum de cinq kilomètres par heure pour empêcher les fines lanières de cuir de fesser son postérieur.

Depuis le début de la séance, cela n'est arrivé qu'une fois quand elle a cessé de marcher en l'absence de sa gardienne. Elle ignorait alors que les roues démarraient automatiquement si le tapis défilait moins rapidement que la vitesse indiquée. Elle ne devait marcher qu'à deux kilomètres par heure mais elle avait voulu profiter de ce qu'elle croyait être une défaillance de ses geôliers. Elle avait compris son erreur quand les fouets s'étaient abattus sur ses fesses, elle avait repris sa marche mais les coups avaient continué pendant cinq minutes.

A son retour, la surveillante lui avait expliqué que c''était normal. Il fallait bien qu'elle soit punie pour sa désobéissance. Elle avait fixé la nouvelle vitesse à trois kilomètres par heure et supprimé un maillon à la chaîne des chevilles de la captive. Kathryn n'avait pu retenir un cri de protestation étouffé par le bâillon qui envahissait sa bouche mais malheureusement suffisamment audible pour que sa tortionnaire l'entende. Celle-ci resserra davantage les sangles du bâillon et passa la vitesse à cinq kilomètres par heure puis sortit sans lui dire quand elle reviendrait.

Ce que subit Kathryn est un apprentissage. Elle doit réussir à se déplacer rapidement avec ses chevilles entravées. C'est le choix qui lui a été proposé après qu'elle ait fait de faux aveux face à la commission. Soit être enfermée dans une prison secrète soit travailler dans le bâtiment des services sous la surveillance de Marlène. Elle a choisi la seconde proposition. Elle ignorait alors que ce travail signifierait qu'elle serait nue, bâillonnée et enchaînée. Et qu'elle devrait apprendre à marcher rapidement avec ses chevilles entravées.

Et c'est ainsi qu'elle court sur l'infernal tapis sans savoir quand finira ce supplice que ses tortionnaires osent appeler un entraînement.

La porte de la salle s'ouvre, un des membres de la commission entre dans la pièce et coupe la commande de la roue fouetteuse. Kathryn comprend qu'elle peut cesser de courir mais s'interroge sur la raison de la présence de cet homme.

L'individu sort une seringue d'une boîte. La captive devine alors qu'elle a affaire à la taupe. Il vient à visage découvert. Cela ne veut dire qu'une chose.
- Je vois que tu as compris. Ce qui t'arrive est injuste. Tu as fait ce que je t'ai demandé mais je n'ai pas le choix. Tu pourrais changer d'avis et décider de dire que je t'ai ordonné de mentir à la commission.
Kathryn essaie d'appeler à l'aide mais l'infernal bâillon étouffe ses cris.
- Ce ne sera pas douloureux. Je vais t'injecter ce produit et tu vas d'endormir. Cela ressemblera à une crise cardiaque.

L'homme s'approche. Kathryn le supplie du regard. Cela ne l'arrête pas. Affolée, désespérée elle se débat vainement dans ses chaînes.Ses appels à l'aide, filtrés par le bâillon deviennent de pitoyables gémissements. L'homme applique une main derrière la nuque de la captive.
- Tu ne fais que rendre les choses plus difficiles. Je te promet que tu ne souffriras pas.
L'aiguille approche du cou de la jeune femme sans qu'elle puisse s'y opposer. Soudain, la porte s'ouvre et Marlène apparaît un revolver à la main.
- A votre place, je laisserais tomber cette seringue.
L'homme hésite un instant puis obéit. Des gardes pénètrent dans la pièce et l'emmènent.

Des larmes de soulagement coulent des yeux de la captive. Le cauchemar est fini, elle va être libérée. Marlène s'approche. Lui caresse les cheveux.
- Tu as eu peur ?
Kathryn hoche la tête affirmativement.
- Ne t'inquiète pas. Tu ne risques plus rien. Je vais te laisser quelques minutes avant de relancer les fouets.
La jeune femme regarde sans comprendre. Elle ne va pas être libérée ? Marlène éclate de rire.
- Tu croyais qu'on allait te libérer. Mais il n'en est pas question. Nous devons encore garder le secret. Et puis…
Marlène dépose un baiser sur les seins de la prisonnière.
- … Je tiens à ce que tu restes auprès de moi.
Elle appuie sur un bouton.
- Les fouets sont de nouveaux actifs. Tu as dix minutes pour reprendre la vitesse de cinq kilomètres par heure. Inutile de me remercier. A tout à l'heure.
Marlène sort de la pièce.

Restée seule, la captive, folle de rage et de désespoir, se débat inutilement dans ses chaînes. Crie sa colère à travers son bâillon. Mais il est impossible de se libérer de ses entraves. Personne n'écoute ses cris pitoyables.Elle ne fait que s'épuiser vainement. Soudain une sonnerie retentit. C'est le signal qui lui rappelle qu'elle n'a pas commencé sa course. Elle commence à marcher sur le tapis. Mais elle a perdu trop de temps et elle n'atteint pas à temps la vitesse imposée. Les fouets se mettent en marche. Cinglent ses fesses.Elle continue de marcher. Elle atteint enfin les cinq kilomètres par heure. Mais les lanières continuent de la frapper. Des larmes de rage de désespoir et de douleur coulent sur son visage. Enfin les roues infernales cessent de tourner.

Les fesses brûlantes, épuisée, Kathryn continue sa marche sans fin.


De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham


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