Une journée imprévisible
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Gwenboyfriend
- Fana de JdL
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- Inscription : 22 juil. 2015, 05:52
- Pratique : Oui
- Ce que j'adore : Les demoiselles en détresse, les mots "ligotée", "bâillonnée" au singulier comme au pluriel. Les dessins de John Willie, Eric Stanton, Eneg, Jim
- Ce que je déteste : Les scènes de viol et de torture, U69, la fin des histoires de John Willie, Eric Stanton, Eneg, Jim.
L'adaptation de Gwendoline par just jaeckin - Localisation : ile de francce
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Re: Une journée imprévisible
Je suis impatient de voir Nina plonger dans les ennuis aux côtés d'Evelyne
Don't struggle, it's no use !
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Nina
Re: Une journée imprévisible
Bonjour,
Comme promis voici la deuxième partie, la dernière partie sera postée ce soir.
D'ici là bonne lecture
…Je me réveil progressivement…Tout me reviens immédiatement en tête, Evelyne, Enzo, le geôlier. Je ne dois pas trainer, je file immédiatement sous la douche. Une fois lavée, je m’habille : j’enfile des sous-vêtements noirs lacérés. Je mets ensuite des pantalons moulant en cuir noir, très serrés. J’enfile un débardeur de la même couleur, puis des hauts talons également noirs. J’enfile quatre bracelets en plastique noirs à ma main gauche et deux attaches cheveux à mon autre poignet. Mes cheveux ne sont pas attachés, longs et très légèrement ondulés.
Je prends ma voiture et me rend immédiatement au poste. J’accède à la section informatique, Yuri s’y trouve ainsi que son analyste. Je lui fais :
« Dites-moi que vous avez quelque chose, je vous en prie !! »
« C’était bien un traceur Nina » me fait Yuri « le geôlier ou son complice pouvait localiser sa position en tout temps depuis un ordinateur »
« C’est parfait, pouvons nous localiser ce même ordinateur ? » je réplique
« Eh bien, malheureusement, l’ordinateur ou le téléphone portable qui lui permettait de localiser le porte clé sont introuvable pour le moment. Le logiciel a été éteint où peut-être même détruit » réplique Yuri.
« Alors nous n’avons rien de plus ? » je répond.
« Tout est possible en informatique Mlle Averine » répond l’analyste « et pas seulement pour des professionnels comme nous. Je prends un exemple, il y a quelques temps, un hacker encore inconnu a réussi à infiltrer les services secret en Angleterre, un vrai tour de génie. Toutefois, même si je n’ai pas encore ce niveau, j’ai tout de même réussi à tracer plusieurs endroits ou l’ordinateur ou le téléphone source a pu être utilisé. Nous avons envoyés des équipes dans chacun de ces endroits. Tous les indices seront récoltés, Nous n’en manquerons pas un seul. Et ces indices vont forcément nous aider à retrouver le geôlier. »
« Oh, mon dieu c’est magnifique, Enzo doit être quelque peu réconforté » je réplique. Yuri me répond.
« Enzo est reparti très tôt dans la matinée, il a dit qu’il voulait enquêter de son côté. Nous n’arrivons pas à le joindre sur son téléphone. De mon côté, je vais aller au centre commercial essayer de retrouver le vendeur qui a donné ce mouchard à Evelyne. »
« Très bien, je vais chez Enzo pour l’avertir. » je poursuis. Je prends le porte clé et le tend à Yuri « prends le avec pour demander si ils ont vu un de leur vendeur donner d’autres de ces gadgets ».
« Laisse le sur mon bureau, je vais le prendre en partant » me répond-t-il.
« Très bien, j’ai aussi besoin de ton GPS pour trouver l’adresse de Enzo » je réplique.
« Il est dans mon casier, tu connais le code » répond Yuri.
« Oui bien, sûr, je t’appel dès que je serai sur place, surtout averti moi dès que tu as du nouveau !! »
« Bien sûr, dès que j’aurai le moindre détail je te le ferai savoir » termine Yuri.
Je me dirige à son casier et reprends le GPS.
Je prends ma voiture et me dirige chez Enzo. C’est a au moins deux bonne heures de routes, espérons qu’il soit là bas. Pendant que je conduis je n’arrête pas de penser à Evelyne, au message que le geôlier m’avait laissé. Ces deux choses tournent en boucle dans ma tête. Le geôlier l’a-t-il enlevée pour me faire culpabilisée ?
Après une heure de trajet, mon téléphone sonne. C’est Yuri, je décroche :
« Oui Yuri »
« Nina, nos équipe ont visités les lieux que l’analyste à déterminer. Malheureusement, ça ne nous mène pas très loin. Il s’agit de cyber café, ou d’autres établissements équipés d’un wifi public. Mais certains de ces établissements étaient équipés de caméras, nous allons les visionner et voir ce que l’on trouve mais cela prendra du temps »
« Et de ton côté au centre commerciale ? »
« Difficile, je suis arrivé à la boutique en question, mais ils ont plus de vingt vendeurs à tourner et malheureusement Enzo n’avait pas vu le vendeur, sans description c’est impossible de démasquer cette personne. Tu as d’ailleurs oublié de mette le porte clé sur mon bureau. »
« Oh non, quelle conne !! Je suis désolé Yuri, je l’ai laissé dans mon sac à main, j’avais complètement oublié !! »
« Peu importe, de toute façon le responsable de la boutique m’assure qu’aucun porte clé n’a jamais été offert. Aucun des vendeurs n’a eu vent d’un porte clé de ce genre ».
« Il faut visionner les caméras des établissements où le geôlier a pu utiliser son ordinateur pour localiser Evelyne, c’est notre seule piste pour le moment ».
« Je te rappelle dès que l’on a quelque chose, promis, a tout de suite »
« A tout de suite mon chou » je termine.
Après plus d’une heure de plus de route je parviens enfin à la résidence de Enzo. Malheureusement je ne suis pas porteuse d’aussi bonnes nouvelles, espérons qu’il ne sera pas trop désespéré.
Je sonne à sa porte. Enzo m’ouvre en me disant :
« Nina, vous ne pouviez pas mieux tomber, j’allais vous appeler, vite venez voir ça !! »
« Oui, oui bien sûr » je réponds. Enzo continue :
« Avant d’être enlevée, Evelyne m’a envoyé ses photos de notre visite au centre commerciale, j’ai passé toute cette journée à les revoir, et regardez ce que j’ai trouvé : Evelyne avait fait une selfie, dès qu’elle avait acheté sa robe, regardez, juste derrière elle, on voit le vendeur, c’était celui qui a vendu sa robe qui lui a remis le porte clé!! »
Je regarde l’image. Il a bien raison, je réplique :
« C’est magnifique Enzo, on a la description du vendeur !! »
« Mieux encore » reprend Enzo « regarder si on zoom sur la chemise du vendeur… »
Je regarde et m’écrie « Le nom est inscrit sur son uniforme, Arnold Walter, oh Enzo vous êtes un génie, il faut avertir Yuri !! »
« Je l’ai fait il y a quelques instant, il m’a expliqué après recherche que M. Walter a acquis il y a peu, une résidence secondaire, regardez sur la carte, c’est isolé de tout, l’endroit parfait pour un enlèvement »
Je regarde la carte. Je m’écrie :
« C’est tout prêt d’où nous sommes, à peine 20 minutes. Yuri et ses équipes sont en chemin ? »
« Ils allaient partir, je l’ai eu au téléphone il y a 5 minutes quand il me l’a dit ! »
« On doit y aller, il mettrons au moins deux heures avant d’y parvenir. Nous nous sommes tout proche, chaque minute compte Enzo » je poursuis. Il me répond :
« Vous avez raison Nina. Evelyne est prisonnière depuis trop longtemps déjà !! Et si le geôlier s’y trouve.. » Enzo part dans une autre pièce et revient avec un pistolet, il me fait :
« J’ai appris à m’en servir à l’armée, si on tombe sur le geôlier ou Arnold, on le retiendra et on le remettra aux autorités » termine-t-il.
« Très bien, nous prenons ma voiture Enzo, allons-y !! » je lui fais.
Nous nous installons dans ma voiture, Enzo me fait en tenant mon sac à main :
« Où voulez-vous que je le mette ? »
« Vous pouvez le laisser sur la banquette arrière » je lui dis en démarrant ma voiture.
« Oh, attendez !! » me fait Enzo en ressortant de la voiture. Il se dirige dans sa maison. Après quelques instants il arrive et me fait :
« J’avais complètement oublié mon téléphone portable, quel étourdi !! »
« On est deux dans ce cas » je réplique en souriant « moi aussi j’oublie toujours mes affaires ! »
Nous partons dans pour la résidence de M. Walter. C’est peut-être lui-même le geôlier, je n’arrive pas à croire que l’on ait pu finalement le démasquer. Vivement qu’il soit arrêté.
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Comme promis voici la deuxième partie, la dernière partie sera postée ce soir.
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…Je me réveil progressivement…Tout me reviens immédiatement en tête, Evelyne, Enzo, le geôlier. Je ne dois pas trainer, je file immédiatement sous la douche. Une fois lavée, je m’habille : j’enfile des sous-vêtements noirs lacérés. Je mets ensuite des pantalons moulant en cuir noir, très serrés. J’enfile un débardeur de la même couleur, puis des hauts talons également noirs. J’enfile quatre bracelets en plastique noirs à ma main gauche et deux attaches cheveux à mon autre poignet. Mes cheveux ne sont pas attachés, longs et très légèrement ondulés.
Je prends ma voiture et me rend immédiatement au poste. J’accède à la section informatique, Yuri s’y trouve ainsi que son analyste. Je lui fais :
« Dites-moi que vous avez quelque chose, je vous en prie !! »
« C’était bien un traceur Nina » me fait Yuri « le geôlier ou son complice pouvait localiser sa position en tout temps depuis un ordinateur »
« C’est parfait, pouvons nous localiser ce même ordinateur ? » je réplique
« Eh bien, malheureusement, l’ordinateur ou le téléphone portable qui lui permettait de localiser le porte clé sont introuvable pour le moment. Le logiciel a été éteint où peut-être même détruit » réplique Yuri.
« Alors nous n’avons rien de plus ? » je répond.
« Tout est possible en informatique Mlle Averine » répond l’analyste « et pas seulement pour des professionnels comme nous. Je prends un exemple, il y a quelques temps, un hacker encore inconnu a réussi à infiltrer les services secret en Angleterre, un vrai tour de génie. Toutefois, même si je n’ai pas encore ce niveau, j’ai tout de même réussi à tracer plusieurs endroits ou l’ordinateur ou le téléphone source a pu être utilisé. Nous avons envoyés des équipes dans chacun de ces endroits. Tous les indices seront récoltés, Nous n’en manquerons pas un seul. Et ces indices vont forcément nous aider à retrouver le geôlier. »
« Oh, mon dieu c’est magnifique, Enzo doit être quelque peu réconforté » je réplique. Yuri me répond.
« Enzo est reparti très tôt dans la matinée, il a dit qu’il voulait enquêter de son côté. Nous n’arrivons pas à le joindre sur son téléphone. De mon côté, je vais aller au centre commercial essayer de retrouver le vendeur qui a donné ce mouchard à Evelyne. »
« Très bien, je vais chez Enzo pour l’avertir. » je poursuis. Je prends le porte clé et le tend à Yuri « prends le avec pour demander si ils ont vu un de leur vendeur donner d’autres de ces gadgets ».
« Laisse le sur mon bureau, je vais le prendre en partant » me répond-t-il.
« Très bien, j’ai aussi besoin de ton GPS pour trouver l’adresse de Enzo » je réplique.
« Il est dans mon casier, tu connais le code » répond Yuri.
« Oui bien, sûr, je t’appel dès que je serai sur place, surtout averti moi dès que tu as du nouveau !! »
« Bien sûr, dès que j’aurai le moindre détail je te le ferai savoir » termine Yuri.
Je me dirige à son casier et reprends le GPS.
Je prends ma voiture et me dirige chez Enzo. C’est a au moins deux bonne heures de routes, espérons qu’il soit là bas. Pendant que je conduis je n’arrête pas de penser à Evelyne, au message que le geôlier m’avait laissé. Ces deux choses tournent en boucle dans ma tête. Le geôlier l’a-t-il enlevée pour me faire culpabilisée ?
Après une heure de trajet, mon téléphone sonne. C’est Yuri, je décroche :
« Oui Yuri »
« Nina, nos équipe ont visités les lieux que l’analyste à déterminer. Malheureusement, ça ne nous mène pas très loin. Il s’agit de cyber café, ou d’autres établissements équipés d’un wifi public. Mais certains de ces établissements étaient équipés de caméras, nous allons les visionner et voir ce que l’on trouve mais cela prendra du temps »
« Et de ton côté au centre commerciale ? »
« Difficile, je suis arrivé à la boutique en question, mais ils ont plus de vingt vendeurs à tourner et malheureusement Enzo n’avait pas vu le vendeur, sans description c’est impossible de démasquer cette personne. Tu as d’ailleurs oublié de mette le porte clé sur mon bureau. »
« Oh non, quelle conne !! Je suis désolé Yuri, je l’ai laissé dans mon sac à main, j’avais complètement oublié !! »
« Peu importe, de toute façon le responsable de la boutique m’assure qu’aucun porte clé n’a jamais été offert. Aucun des vendeurs n’a eu vent d’un porte clé de ce genre ».
« Il faut visionner les caméras des établissements où le geôlier a pu utiliser son ordinateur pour localiser Evelyne, c’est notre seule piste pour le moment ».
« Je te rappelle dès que l’on a quelque chose, promis, a tout de suite »
« A tout de suite mon chou » je termine.
Après plus d’une heure de plus de route je parviens enfin à la résidence de Enzo. Malheureusement je ne suis pas porteuse d’aussi bonnes nouvelles, espérons qu’il ne sera pas trop désespéré.
Je sonne à sa porte. Enzo m’ouvre en me disant :
« Nina, vous ne pouviez pas mieux tomber, j’allais vous appeler, vite venez voir ça !! »
« Oui, oui bien sûr » je réponds. Enzo continue :
« Avant d’être enlevée, Evelyne m’a envoyé ses photos de notre visite au centre commerciale, j’ai passé toute cette journée à les revoir, et regardez ce que j’ai trouvé : Evelyne avait fait une selfie, dès qu’elle avait acheté sa robe, regardez, juste derrière elle, on voit le vendeur, c’était celui qui a vendu sa robe qui lui a remis le porte clé!! »
Je regarde l’image. Il a bien raison, je réplique :
« C’est magnifique Enzo, on a la description du vendeur !! »
« Mieux encore » reprend Enzo « regarder si on zoom sur la chemise du vendeur… »
Je regarde et m’écrie « Le nom est inscrit sur son uniforme, Arnold Walter, oh Enzo vous êtes un génie, il faut avertir Yuri !! »
« Je l’ai fait il y a quelques instant, il m’a expliqué après recherche que M. Walter a acquis il y a peu, une résidence secondaire, regardez sur la carte, c’est isolé de tout, l’endroit parfait pour un enlèvement »
Je regarde la carte. Je m’écrie :
« C’est tout prêt d’où nous sommes, à peine 20 minutes. Yuri et ses équipes sont en chemin ? »
« Ils allaient partir, je l’ai eu au téléphone il y a 5 minutes quand il me l’a dit ! »
« On doit y aller, il mettrons au moins deux heures avant d’y parvenir. Nous nous sommes tout proche, chaque minute compte Enzo » je poursuis. Il me répond :
« Vous avez raison Nina. Evelyne est prisonnière depuis trop longtemps déjà !! Et si le geôlier s’y trouve.. » Enzo part dans une autre pièce et revient avec un pistolet, il me fait :
« J’ai appris à m’en servir à l’armée, si on tombe sur le geôlier ou Arnold, on le retiendra et on le remettra aux autorités » termine-t-il.
« Très bien, nous prenons ma voiture Enzo, allons-y !! » je lui fais.
Nous nous installons dans ma voiture, Enzo me fait en tenant mon sac à main :
« Où voulez-vous que je le mette ? »
« Vous pouvez le laisser sur la banquette arrière » je lui dis en démarrant ma voiture.
« Oh, attendez !! » me fait Enzo en ressortant de la voiture. Il se dirige dans sa maison. Après quelques instants il arrive et me fait :
« J’avais complètement oublié mon téléphone portable, quel étourdi !! »
« On est deux dans ce cas » je réplique en souriant « moi aussi j’oublie toujours mes affaires ! »
Nous partons dans pour la résidence de M. Walter. C’est peut-être lui-même le geôlier, je n’arrive pas à croire que l’on ait pu finalement le démasquer. Vivement qu’il soit arrêté.
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nonobound
- Squatteur(se) de JdL
- Messages : 523
- Inscription : 25 août 2013, 13:45
- Pratique : Oui
- Ligoté(e) :
- Ce que j'adore : et bien ce que j'adore, beaucoup de chose, j'aime aussi bien ressentir les cordes se serrées sur moi, que d'attacher la personne avec qui je pratique occasionnellement.
comme lien j'adore les menottes, le froid au début j'adore, et le fait de se dire que sans la clé on ne peut rien faire - Ce que je déteste : ce que je déteste je ne sais pas encore en fait, vu que je n'ai que très peu d'expérience
- Localisation : Normandie
Re: Une journée imprévisible
vivement la suite, mais j'ai comme un sentiment que enzo n'est pas net net quand meme ^^
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Nina
Re: Une journée imprévisible
Bonsoir, bonsoir 
Un seul moyen de le savoir le savoir nonobound. Bonne lecture à tous
Après 25 minutes nous parvenons à la résidence de M. Walter. Cela ressemble à un très vieux chalet, il y a une clôture autour. Il n’y a aucun voisin sur au moins cinq kilomètres. Le geôlier avait bien choisi son lieu. Nous sortons tous les deux de la voiture, je fais à Enzo :
« Et voilà, c’est là. Ici que nous allons mettre fin aux crimes du geôlier !! »
Enzo effectue un mouvement de charge à son pistolet et réplique :
« Le plus tôt sera le mieux, allons-y !! »
Nous passons la clôture, et parvenons devant la porte du chalet.
« Je vais devoir défoncer la porte » me fait Enzo, mais je remarque qu’une des fenêtres sur le côté semble être entre ouverte, je lui fait :
« Ce sera peut-être pas nécessaire » je me dirige vers la fenêtre en question. Elle est bien ouverte, elle n’est pas très grande, mais suffisamment pour que je m’y faufile. Je parviens à l’intérieur de la maison. Je déverrouille la porte principale. Je fais entrer Enzo en lui disant avec un sourire :
« Le geôlier n’est peut-être pas aussi malin que ça finalement »
« Moins intelligent que vous jolie Nina » me fait-il également en souriant. Nous avançons dans la maison, aucun bruit pour le moment. Nous trouvons une porte qui semble mener à un sous-sol, Enzo me fait :
« Le geôlier a surement prévu une pièce insonorisée là-dessous ! »
Nous descendons l’escalier. Une fois en bas, je tombe sur une épaisse porte, en métal, probablement insonorisée. La clé est sur la porte, je la tourne en faisant à Enzo :
« Evelyne est sans doute là dedans !! »
Une fois la porte ouverte, je vois ne vois personne dedans, juste des cordes par terre, des menottes, un matelas au sol, une chaise et une chaine qui est suspendu depuis le plafond. Je fais à Enzo :
« Enzo, regardez tout ça, c’est… »
Soudain, Enzo lève son arme et la pointe sur moi en me faisant :
« Evelyne n’est pas ici Nina !! »
Confuse et effrayée je lui dit :
« Enzo, mais que faites vous !!!? »
« Main en l’air ma biquette, bouge pas d’un cheveux » me lance Enzo.
« Je…je… je ne comprends pas !!! » je répond à Enzo en levant mes mains.
« Non » réplique Enzo « T’a jamais rien compris. Tu te crois maligne, mais t’es vraiment très conne en réalité !! »
« Enzo, vous »
« Ta gueule, pour l’instant » me coupe Enzo « on va discuter, mais avant j’ai un petit détail à régler ma mignonne !! » Il prend une des paire de menottes et s’approche de moi en me disant :
« Retourne toi et mets tes mains derrière le dos, ne fait rien de stupide ou te le regrettera !! »
Je me retourne et joins mes mains derrière le dos. Aussitôt, Enzo me menotte. Mes mains sont entravées. Puis il me fait :
« Oh, ouiii, ma mignonne. Maintenant reste debout, serres tes jambes et ne bouge surtout pas !! »
Enzo prends une corde et se met à attache mes chevilles ensemble. Je lui fais :
« Tu m’as piégée depuis le début !!? »
« Tu as marché comme une aveugle » me fait Enzo en serrant le nœud. Il prend une autre corde et se met à attache mes jambes justes au dessous de mes genoux en me faisant :
« Tout avait été prévu rien que pour toi ma jolie tu vois ». Il serre le nœud mes jambes sont à présent attachées, je lui fais :
« Alors c’était toi depuis le début. Tu es le geôlier c’est ça !!?? »
Enzo a pris une autre corde et attache mes jambes passant cette fois la corde au dessus de mes genoux et me disant :
« Haha…Non, ce n’est pas moi. Je ne fais que servir le geôlier. Ohh, je dois dire que j’approuve absolument son jugement vis-à-vis de toi, tu es une vraie beauté !! C’est un vrai régal de t’attacher ma mignonne !! ça me démangeait depuis un moment !! Oh depuis que tu es arrivée avec ta petite tenue sexy, j’adore, ces pantalons en cuire moulant !!! Sachant que j’allais bientôt pouvoir te ligoter !! Ah quel bonheur !!! ». Enzo vient de serrer le nœud également. Je suis totalement attachée. Je lui fais :
« Mais alors qui est-ce ? Qui est le geôlier ? »
« Je n’ai pas l’intention de te révéler son nom. Mais le geôlier va venir plus tard, soit masqué, si il veut te relâcher, mais ça se sera bien plus tard, soit sous son vrai visage, mais si c’est le cas… ça voudrait dire qu’on devra te supprimer !! »
« C’étais moi que le geôlier voulait » je réplique ligotée « avec le geôlier vous avez enlevé Evelyne juste pour m’attraper !! »
« Le geôlier te voulait, toi plus que n’importe quoi au monde. Mais c’était pas évident, avec ta protection policière et tu étais sur tes gardes, alors nous t’avons appâté tout doucement, tout en finesse » réplique Enzo. Il me fait assoir sur la chaise, puis il continue :
« Son plan était parfait. Diriger la piste vers ces gadgets de traçage ultra connus, jouer le petit ami qui n’y comprend rien… »
« Mais la photo que tu m’as montré » je lui réponds, il me relance instantanément :
« On l’a trouvé sur le facebook de Evelyne il y a plus d’une semaine. La police ne viendra pas à ton secours, je leur ai rien dit de cette histoire imaginaire que l’on a inventé pour toi. Et pendant que j’y pense, pour t’ôter toute forme de faux espoirs, ton portable est écrasé chez moi, je l’ai sorti de ton sac juste avant de retourner chez moi en te faisant croire que j’avais oublié le mien. Et toi ma mignonne t’a rien vu venir !! Personne ne pourra tracer ton portable !!Tout était parfait, le coup de la fenêtre ouverte pour te mettre en confiance, tout était bien prémédité, pour que tu entre toi-même là où on voulait te retenir.»
« Où est Evelyne ? Qu’avez-vous fait d’elle ? » je réplique. Enzo me répond :
« Le geôlier la retient ailleurs, dans une maison bien plus loin. Elle est attachée en ce moment, comme toi ma mignonne. Elle est très jolie, mais pas autant que toi Nina !! »
« Qu’est ce que le geôlier compte faire de moi ??! »
« Ohohoho !! Ben tu verras quand le geôlier sera ici. Mais avant moi aussi j’ai des projets pour toi ma mignonne !! ».
Je tente de dégager mes mains des menottes discrètement. Après m’être rendue compte que c’est peine perdue, je m’arrête. Mais Enzo me fait :
« Oui, c’est ça continue. Débat toi ma mignonne ».
Je ne bouge pas, gênée qu’il ait remarqué. Puis il crie :
« Tu crois que je rigole !! » puis il me prend et me jette sur le matelas au sol et me crie en sortant son arme :
« Je veux que tu te débattes, détaches toi, ou je te tire dessus !!!! »
Effrayée, je tente de me débattre de toutes mes forces. Je bouge, je tente de remuer mes jambes. Cela dure quelques minutes, mais je n’y arrive pas, Enzo me fait :
« Oh, ouiiii. Tellement excitante en détresse, à tenter de se libérer !! »
« Comment peux-tu prendre du plaisir en m’humiliant de la sorte !!! » je lui crie.
« C’est le jeu, ma mignonne, je t’ai attrapé, maintenant j’ai droit à ma récompense !!! Oh que c’est une récompense merveilleuse. Tu es presque parfaite, il te manque juste un petit quelque chose qui fera la différence !! » me fait Enzo en prenant un bâillon en cuir avec une boule rouge au milieu. Je lui fais :
« Non je t’en supplie ne me bâillonne pas. Tu n’as pas besoin, la pièce est insonorisée, alors je t’en prie… »
« Ohh, ce n’est pas qu’une question de silence. J’adore attacher une fille, mais ce que je kiffe le plus c’est le bâillon. Sur toi ça va être…je peux plus résister !!! ». Je crie alors :
« AU SECOURS, A L’AIDE, NON NON NON, PITI….GGGMMMMMMHHHHHHH !!!MMMMMMHHHH !!!! »
« Oh ouiii » reprend Enzo « maintenant tu es parfaite !!! »
« GMMMHHHH…gmmmmggmmmhhh » je fais bâillonnée.
« Bon écoute, j’ai encore deux trois chose à te dire, profite en parce que après on va jouer. D’ailleurs te voir me met tellement en extase que je vais bientôt être incontrôlable !! Si le geôlier te laisse connaître sa véritable identité tu aurais une sacrée chance. Nous ne sommes que dix personnes au monde, à connaître sa véritable identité, moi y compris. Et jusqu’à maintenant, aucune de ces cinquante prisonnière n’a jamais eu la chance de connaître le vrai visage du geôlier. Sauf, celle qui ont été supprimée !! »
« mmmhhhhmmmhhhh !! » je tente de lui parler, pour qu’il enlève mon bâillon.
« Pas question que je te l’enlève maintenant, tu es tellement sublime ligotée et bâillonnée. Maintenant écoute moi pour la suite, je vais prendre une douche, te voir ça me rend tellement chaud, j’en transpire déjà. Dès que j’aurais fini, tu seras à moi. Oh oui, il faut que je file, si je te regarde un instant de plus je ne serais plus moi-même !! »
Enzo se dirige vers la porte et me fait avant de la fermer : « A bientôt ma mignonne !!! »
Puis il referme la porte à clé, me laissant ligotée et bâillonnée.
De désespoir, je tente de remuer mes membres, mes mains, j’entente le bruit de la chainette des menottes. Rien à faire, impossible de se détacher de menottes. Je tente de dégager les cordes de mes jambes et mes chevilles….j’y met toute mes forces !!!...impossible, Enzo m’a trop bien attachée !!
Je n’ai jamais été bâillonnée avec une boule, il n’empêche que c’est rudement efficace. Impossible de s’en dégager. Et je n’arrive pas à prononcer quoi que ce soit. Je dois avouer que c’est assez inconfortable comme bâillon, bien que très efficace !!
Je panique totalement, de panique je crie :
« GGGGMMMMMMMMHHHHH »
« GGGMMMHHHH..MMMMMMHHHH.MMMMMMMMMHHHHH !!!! »
Après quelques minutes, je cesse de couiner en reprenant quelque peu mon calme. Mais je n’ai aucune chance, Yuri et la police n’ont pas la moindre idée d’où je me trouve en ce moment, ils ne savent même pas que Enzo est complice. Et par moi-même, jamais je ne parviendrai à me libérer toute seule, je suis très bien attachée. Personne ne peut m’entendre. Même mon téléphone est détruit chez Enzo. J’ai été complètement roulée dans la farine comme une cruche. Le geôlier s’est bien fichu de moi. Me voilà sa captive à présent. Et Enzo est aussi déganté que le geôlier. Ça l’excite de me savoir sa prisonnière. Il a bien caché son jeu depuis le début.
Voilà bientôt une demi-heure que Enzo m’a laissée seule attachée dans cette pièce. Il ne va pas tarder. Je regarde tout les environs de la pièce. Il reste d’autres cordes, la chaise, une chaine au plafond, mais hélas pas grand-chose qui puisse m’aider à couper mes liens. D’ailleurs seule la clé peut me libérer de mes menottes.
Mais j’y pense, je n’ai pas réellement entendu le verrou, peut-être que la porte n’est pas verrouillée. Il n’y a que peu de chance que ce soit le cas, mais je vais tout de même tenter ma chance. Je parviens à me mettre à genoux. Je tente de basculer sur mes pieds pour être accroupi. Difficile avec ces talons. Je perds l’équilibre et retombe sur mes fesses. Je me déplace alors vers un mur. Je me positionne dos au mur. Je parviens alors en ramenant mes jambes pour être accroupie, me servant du mur pour garder l’équilibre. Je parviens à me mettre debout grâce au mur. Je sautille en direction de la porte. Je dois aller tout doucement, je peine à garder l’équilibre toute attachée.
Je suis à deux mètres de la porte. Soudain j’entends le verrou se défaire. Enzo doit être revenu, il n’avait pas oublié de verrouiller la porte de toute façon. Il me voit attachée et bâillonnée debout juste devant lui, il me fait en refermant la porte :
« Ohh, tu es très agile pour avoir réussi à te redresser ma mignonne. Mais en admettant que la porte était déverrouillée, ce qui n’était pas le cas, que comptais tu faire ? Sortir de cette maison, comme ça ligotée, et bâillonnée. Et d’ailleurs tu pensais que tu allais réussir à monter les escaliers dans cet état, à quitter la pièce, alors que j’allais revenir d’une minute à l’autre ? »
Je ne dit rien restant immobile, debout face à lui prisonnière. Il me fait :
« Tu n’es pas très futée ma mignonne n’est-ce pas ? »
Il me dévisage, sa respiration semble s’accélérer, puis il me fait très entousiaste :
« Mais c’est pas grave, parce que my God, tu es absolument sublime Nina !!!! »
Puis il se met derrière moi, et saisi mes sains de chacune de ses mains, je crie :
« MMMMMHHHH, GMMMMHHHHH !!! »
« Oh, oui, des seins tellement magnifique !!! » Puis pendant qu’il plote mes seins il m’embrasse partout sur le cou. Après quelques minutes il me lance sur le matelas, je suis à nouveau au sol, il me crie :
« Allez, débat toi au maximum maintenant !!! Fais le, ou je te frappe à coup de pied !! »
Effrayée je n’ose pas désobéir, je me débats sachant que cela ne mènera à rien, à part l’exciter encore plus.
Il ouvre la fermeture de son pantalon, et sort son pénis en pleine érection. Il se masturbe, je reste immobile, il me crie alors :
« ALLEZ, CONTINUE SALOPE, T’ARRÊTE PAS !!!! »
Alors je continue à me débattre, terrorisée. Il continue de se masturber, puis me crie maintenant :
« Oh, ouiii, c’est ça, ouiii. Maintenant couine, couine comme une cochonne ma mignonne !!! »
Je tente de crier malgré mon baillon. Mais je n’arrive presque pas à sortir un son de ma bouche, ma situation est tellement horrible !! Enzo me fait :
« Faut plus que je me la touche sinon je vais cracher. J’ai pas envie que ça s’arrête maintenant. C’est tellement merveilleux. Tu es tellement merveilleuse Nina. Mais pour les couinements tu as encore du travail. Mais je vais t’aider !! »
Il me saisit et me redresse, me mettant debout, je crie alors :
« MMMMMHHHHHH !!! »
Puis il prends sa clé et détache un de mes poignets, je tente alors d’utiliser mes mains pour me débattre, mais il saisit mes deux mains m’enlace et me fait :
« On se détend ma biquette. Arrête de te débattre ou on va passer à la violence !! »
Puis il re menotte mon poignet libre, menottant mes mains à l’avant cette fois. Puis il saisi la chaine qui descendait depuis le plafond et la fait baisser jusqu’à la hauteur de mes mains. Il croche la chaine de mes menottes à la chaine du plafond via un mousqueton. Puis il utilise une télécommande pour faire remonter la chaine, avec mes mains menottées à l’avant. Mes mains sont maintenant suspendues au dessus de ma tête, les bras en l’air. Enzo bloque la chaine. Me voilà maintenant attachée les mains suspendues en haut.
« Oh oui, sublime !!!! » réplique Enzo « maintenant c’est ton magnifique petit cul qui va y avoir droit !!! »
Il est toujours en train de bander. Il se place derrière moi et plote mes fesses de ses deux mains. Je crie :
« GGGMMMMHHHH !!!!MMMMMHHHH !!!!GMMMMMMMHHHHH !!!!! »
Puis il me fait :
« Aller, maintenant, je vais pouvoir une finir » il sort un couteau de sa poche et me fait :
« Juste un petit trou à travers ton moulant suffiras !! »
« GGGGMMMMMHHHHH !!! » je crie de toutes mes forces.
Soudain la porte s’ouvre, des agents crient :
« POLICE, ELOIGNEZ VOUS DE CETTE FILLE IMMEDIATEMENT !! »
Enzo sort se retourne avec son couteau à la main en disant :
« Putain de bordel DE M.. »
« Posez immédiatement cet arme » crie l’un des policier.
Enzo court en direction de l’agent et se fait tirer dessus par plusieurs coups de feu.
Les agents mes détache immédiatement. Dès que mon bâillon est enlevé, je crie :
« Est-il vivant !!? Il sait qui est le geôlier. Il faut le maintenir en vie pour le moment !!! »
« Navré Mme Averine » réplique l’agent « il courrait contre nous avec une arme on a pas eu le choix, il a succombé sous toutes ses balles. Le principale c’est que vous soyez sauvée.
Je commence à reprendre mon calme. Je fais à l’agent :
« Comment m’avez-vous trouvée »
« On faisait partie de l’équipe qui avait été interrogé la mère de Evelyne. C’est lorsqu’elle nous a expliqué que ça faisait un mois qu’elle n’avait plus vu sa fille que je me suis posé des questions. J’ai lu la déposition de Enzo, il avait dit que le soir ou il l’avait vue, samedi dernier, elle était retournée chez sa mère. J’ai appelé Yuri, il m’a dit qu’Evelyne avait surement inventé un prétexte à Enzo pour pouvoir être seule, il m’a dit de ne pas m’inquiéter de ce détails. J’ai quand même voulu vous appelé, étant donné que vous deviez être avec Enzo pour tirer ça au clair. Mais le téléphone ne répondait pas. Alors on est allé chez Enzo. C’est quand on a vu un téléphone cassé, le votre, que l’on a pensé que vous étiez en danger. » explique l’agent qui m’a libérée. Je réplique :
« Mais comment avez-vous su que j’étais dans cette résidence, abandonné de tout. »
« On a immédiatement prévenu la brigade, et l’analyste se souvenais que c’était vous qui aviez pris le porte clé en cœur dans votre sac à main. Bref, l’analyste s’est servi du traceur pour vous localiser, on a débarqué, et on vous a sauvé. »
« Mon dieu, je l’ai échappé belle !! Où est Yuri ? »
« Il ne va pas tarder, on l’a averti, il est parti dès que l’on vous a retrouvé. Vous disiez qu’Enzo connaissait la véritable identité du geôlier ? »
« Oui » je réponds « il m’a aussi appris d’autre choses : nous pensions qu’il en était à une dizaine d’enlèvement, alors que Enzo m’a confirmé que le geôlier avait déjà enlevée au moins 50 filles. Il m’a aussi dit que seule 10 personnes dont lui connaisse l’identité du geôlier. »
« Il en reste 9 à présent » me fait l’agent.
« Exact. » je lui réponds.
« Quel est votre nom déjà » je lui demande.
« Je suis l’agent Léo » son portable sonne, il me fait :
« Excusez moi je dois répondre »
De loin je l’entends prononcer :
« Oui allo…oui…QUOI….Mais quand, et comment !!! Je n’arrive pas à y croire…Ok je vais passer le mot tout de suite !!! »
Léo me fait :
« Notre analyste s’est fait tué, à première vue ça aurait eu lieu quelques minutes après qu’il nous ait transmis votre localisation !! »
« Mais comment est-ce possible, comment le geôlier aurait pu !!?? Tout est sécurisé au poste !!! » je réponds. Léo reprend :
« C’est pas la première fois que le geôlier parviens à faire quelque chose d’inexplicable, l’enquête est déjà en cours. »
Voilà déjà presque une demi-heure que j’ai été secourue. Après une heure et demie de plus, Yuri me rejoins, je courre alors qu’il me serre dans ses bras. Nous rentrons chez lui.
Le soir, chez lui, je lui fait :
« Yuri, il y a une chose que je dois te dire. Le geôlier n’a pu atteindre votre analyste que d’une seule façon possible. Soit il a un complice au sein de la police, soit il est lui-même agent. »
« Peut-être » me répond Yuri « peut-être pas, il y a peut être d’autres explications. Ca ne sert à rien de s’attarder là-dessus pour le moment, il faut que nous attendions les résultats de l’enquête !! »
« Yuri, quelques minutes après que la police ait reçu ma position !! le geôlier savait que l’analyste pouvait me retrouver, il l’a fait tuer dans l’espoir que personne ne viennent à mon secours, en espérant que ma position ne soit pas transmise. C’est forcément quelqu’un qui travaille au poste, soit un complice soit le geôlier lui-même. »
« Nina, tu es exténuée, et dans cet état, tu ne peux pas réfléchir avec discernement. Nous verrons ce que l’enquête révélera. »
Je ne parle plus du geôlier. Aucune trace de Evelyne. Et j’ai de la chance d’avoir été secourue, faute de quoi je serais encore l’otage de Enzo et du geôlier. Mais je ne pense plus à tout ça, j’en ai assez eu pour aujourd’hui.
Un seul moyen de le savoir le savoir nonobound. Bonne lecture à tous
Après 25 minutes nous parvenons à la résidence de M. Walter. Cela ressemble à un très vieux chalet, il y a une clôture autour. Il n’y a aucun voisin sur au moins cinq kilomètres. Le geôlier avait bien choisi son lieu. Nous sortons tous les deux de la voiture, je fais à Enzo :
« Et voilà, c’est là. Ici que nous allons mettre fin aux crimes du geôlier !! »
Enzo effectue un mouvement de charge à son pistolet et réplique :
« Le plus tôt sera le mieux, allons-y !! »
Nous passons la clôture, et parvenons devant la porte du chalet.
« Je vais devoir défoncer la porte » me fait Enzo, mais je remarque qu’une des fenêtres sur le côté semble être entre ouverte, je lui fait :
« Ce sera peut-être pas nécessaire » je me dirige vers la fenêtre en question. Elle est bien ouverte, elle n’est pas très grande, mais suffisamment pour que je m’y faufile. Je parviens à l’intérieur de la maison. Je déverrouille la porte principale. Je fais entrer Enzo en lui disant avec un sourire :
« Le geôlier n’est peut-être pas aussi malin que ça finalement »
« Moins intelligent que vous jolie Nina » me fait-il également en souriant. Nous avançons dans la maison, aucun bruit pour le moment. Nous trouvons une porte qui semble mener à un sous-sol, Enzo me fait :
« Le geôlier a surement prévu une pièce insonorisée là-dessous ! »
Nous descendons l’escalier. Une fois en bas, je tombe sur une épaisse porte, en métal, probablement insonorisée. La clé est sur la porte, je la tourne en faisant à Enzo :
« Evelyne est sans doute là dedans !! »
Une fois la porte ouverte, je vois ne vois personne dedans, juste des cordes par terre, des menottes, un matelas au sol, une chaise et une chaine qui est suspendu depuis le plafond. Je fais à Enzo :
« Enzo, regardez tout ça, c’est… »
Soudain, Enzo lève son arme et la pointe sur moi en me faisant :
« Evelyne n’est pas ici Nina !! »
Confuse et effrayée je lui dit :
« Enzo, mais que faites vous !!!? »
« Main en l’air ma biquette, bouge pas d’un cheveux » me lance Enzo.
« Je…je… je ne comprends pas !!! » je répond à Enzo en levant mes mains.
« Non » réplique Enzo « T’a jamais rien compris. Tu te crois maligne, mais t’es vraiment très conne en réalité !! »
« Enzo, vous »
« Ta gueule, pour l’instant » me coupe Enzo « on va discuter, mais avant j’ai un petit détail à régler ma mignonne !! » Il prend une des paire de menottes et s’approche de moi en me disant :
« Retourne toi et mets tes mains derrière le dos, ne fait rien de stupide ou te le regrettera !! »
Je me retourne et joins mes mains derrière le dos. Aussitôt, Enzo me menotte. Mes mains sont entravées. Puis il me fait :
« Oh, ouiii, ma mignonne. Maintenant reste debout, serres tes jambes et ne bouge surtout pas !! »
Enzo prends une corde et se met à attache mes chevilles ensemble. Je lui fais :
« Tu m’as piégée depuis le début !!? »
« Tu as marché comme une aveugle » me fait Enzo en serrant le nœud. Il prend une autre corde et se met à attache mes jambes justes au dessous de mes genoux en me faisant :
« Tout avait été prévu rien que pour toi ma jolie tu vois ». Il serre le nœud mes jambes sont à présent attachées, je lui fais :
« Alors c’était toi depuis le début. Tu es le geôlier c’est ça !!?? »
Enzo a pris une autre corde et attache mes jambes passant cette fois la corde au dessus de mes genoux et me disant :
« Haha…Non, ce n’est pas moi. Je ne fais que servir le geôlier. Ohh, je dois dire que j’approuve absolument son jugement vis-à-vis de toi, tu es une vraie beauté !! C’est un vrai régal de t’attacher ma mignonne !! ça me démangeait depuis un moment !! Oh depuis que tu es arrivée avec ta petite tenue sexy, j’adore, ces pantalons en cuire moulant !!! Sachant que j’allais bientôt pouvoir te ligoter !! Ah quel bonheur !!! ». Enzo vient de serrer le nœud également. Je suis totalement attachée. Je lui fais :
« Mais alors qui est-ce ? Qui est le geôlier ? »
« Je n’ai pas l’intention de te révéler son nom. Mais le geôlier va venir plus tard, soit masqué, si il veut te relâcher, mais ça se sera bien plus tard, soit sous son vrai visage, mais si c’est le cas… ça voudrait dire qu’on devra te supprimer !! »
« C’étais moi que le geôlier voulait » je réplique ligotée « avec le geôlier vous avez enlevé Evelyne juste pour m’attraper !! »
« Le geôlier te voulait, toi plus que n’importe quoi au monde. Mais c’était pas évident, avec ta protection policière et tu étais sur tes gardes, alors nous t’avons appâté tout doucement, tout en finesse » réplique Enzo. Il me fait assoir sur la chaise, puis il continue :
« Son plan était parfait. Diriger la piste vers ces gadgets de traçage ultra connus, jouer le petit ami qui n’y comprend rien… »
« Mais la photo que tu m’as montré » je lui réponds, il me relance instantanément :
« On l’a trouvé sur le facebook de Evelyne il y a plus d’une semaine. La police ne viendra pas à ton secours, je leur ai rien dit de cette histoire imaginaire que l’on a inventé pour toi. Et pendant que j’y pense, pour t’ôter toute forme de faux espoirs, ton portable est écrasé chez moi, je l’ai sorti de ton sac juste avant de retourner chez moi en te faisant croire que j’avais oublié le mien. Et toi ma mignonne t’a rien vu venir !! Personne ne pourra tracer ton portable !!Tout était parfait, le coup de la fenêtre ouverte pour te mettre en confiance, tout était bien prémédité, pour que tu entre toi-même là où on voulait te retenir.»
« Où est Evelyne ? Qu’avez-vous fait d’elle ? » je réplique. Enzo me répond :
« Le geôlier la retient ailleurs, dans une maison bien plus loin. Elle est attachée en ce moment, comme toi ma mignonne. Elle est très jolie, mais pas autant que toi Nina !! »
« Qu’est ce que le geôlier compte faire de moi ??! »
« Ohohoho !! Ben tu verras quand le geôlier sera ici. Mais avant moi aussi j’ai des projets pour toi ma mignonne !! ».
Je tente de dégager mes mains des menottes discrètement. Après m’être rendue compte que c’est peine perdue, je m’arrête. Mais Enzo me fait :
« Oui, c’est ça continue. Débat toi ma mignonne ».
Je ne bouge pas, gênée qu’il ait remarqué. Puis il crie :
« Tu crois que je rigole !! » puis il me prend et me jette sur le matelas au sol et me crie en sortant son arme :
« Je veux que tu te débattes, détaches toi, ou je te tire dessus !!!! »
Effrayée, je tente de me débattre de toutes mes forces. Je bouge, je tente de remuer mes jambes. Cela dure quelques minutes, mais je n’y arrive pas, Enzo me fait :
« Oh, ouiiii. Tellement excitante en détresse, à tenter de se libérer !! »
« Comment peux-tu prendre du plaisir en m’humiliant de la sorte !!! » je lui crie.
« C’est le jeu, ma mignonne, je t’ai attrapé, maintenant j’ai droit à ma récompense !!! Oh que c’est une récompense merveilleuse. Tu es presque parfaite, il te manque juste un petit quelque chose qui fera la différence !! » me fait Enzo en prenant un bâillon en cuir avec une boule rouge au milieu. Je lui fais :
« Non je t’en supplie ne me bâillonne pas. Tu n’as pas besoin, la pièce est insonorisée, alors je t’en prie… »
« Ohh, ce n’est pas qu’une question de silence. J’adore attacher une fille, mais ce que je kiffe le plus c’est le bâillon. Sur toi ça va être…je peux plus résister !!! ». Je crie alors :
« AU SECOURS, A L’AIDE, NON NON NON, PITI….GGGMMMMMMHHHHHHH !!!MMMMMMHHHH !!!! »
« Oh ouiii » reprend Enzo « maintenant tu es parfaite !!! »
« GMMMHHHH…gmmmmggmmmhhh » je fais bâillonnée.
« Bon écoute, j’ai encore deux trois chose à te dire, profite en parce que après on va jouer. D’ailleurs te voir me met tellement en extase que je vais bientôt être incontrôlable !! Si le geôlier te laisse connaître sa véritable identité tu aurais une sacrée chance. Nous ne sommes que dix personnes au monde, à connaître sa véritable identité, moi y compris. Et jusqu’à maintenant, aucune de ces cinquante prisonnière n’a jamais eu la chance de connaître le vrai visage du geôlier. Sauf, celle qui ont été supprimée !! »
« mmmhhhhmmmhhhh !! » je tente de lui parler, pour qu’il enlève mon bâillon.
« Pas question que je te l’enlève maintenant, tu es tellement sublime ligotée et bâillonnée. Maintenant écoute moi pour la suite, je vais prendre une douche, te voir ça me rend tellement chaud, j’en transpire déjà. Dès que j’aurais fini, tu seras à moi. Oh oui, il faut que je file, si je te regarde un instant de plus je ne serais plus moi-même !! »
Enzo se dirige vers la porte et me fait avant de la fermer : « A bientôt ma mignonne !!! »
Puis il referme la porte à clé, me laissant ligotée et bâillonnée.
De désespoir, je tente de remuer mes membres, mes mains, j’entente le bruit de la chainette des menottes. Rien à faire, impossible de se détacher de menottes. Je tente de dégager les cordes de mes jambes et mes chevilles….j’y met toute mes forces !!!...impossible, Enzo m’a trop bien attachée !!
Je n’ai jamais été bâillonnée avec une boule, il n’empêche que c’est rudement efficace. Impossible de s’en dégager. Et je n’arrive pas à prononcer quoi que ce soit. Je dois avouer que c’est assez inconfortable comme bâillon, bien que très efficace !!
Je panique totalement, de panique je crie :
« GGGGMMMMMMMMHHHHH »
« GGGMMMHHHH..MMMMMMHHHH.MMMMMMMMMHHHHH !!!! »
Après quelques minutes, je cesse de couiner en reprenant quelque peu mon calme. Mais je n’ai aucune chance, Yuri et la police n’ont pas la moindre idée d’où je me trouve en ce moment, ils ne savent même pas que Enzo est complice. Et par moi-même, jamais je ne parviendrai à me libérer toute seule, je suis très bien attachée. Personne ne peut m’entendre. Même mon téléphone est détruit chez Enzo. J’ai été complètement roulée dans la farine comme une cruche. Le geôlier s’est bien fichu de moi. Me voilà sa captive à présent. Et Enzo est aussi déganté que le geôlier. Ça l’excite de me savoir sa prisonnière. Il a bien caché son jeu depuis le début.
Voilà bientôt une demi-heure que Enzo m’a laissée seule attachée dans cette pièce. Il ne va pas tarder. Je regarde tout les environs de la pièce. Il reste d’autres cordes, la chaise, une chaine au plafond, mais hélas pas grand-chose qui puisse m’aider à couper mes liens. D’ailleurs seule la clé peut me libérer de mes menottes.
Mais j’y pense, je n’ai pas réellement entendu le verrou, peut-être que la porte n’est pas verrouillée. Il n’y a que peu de chance que ce soit le cas, mais je vais tout de même tenter ma chance. Je parviens à me mettre à genoux. Je tente de basculer sur mes pieds pour être accroupi. Difficile avec ces talons. Je perds l’équilibre et retombe sur mes fesses. Je me déplace alors vers un mur. Je me positionne dos au mur. Je parviens alors en ramenant mes jambes pour être accroupie, me servant du mur pour garder l’équilibre. Je parviens à me mettre debout grâce au mur. Je sautille en direction de la porte. Je dois aller tout doucement, je peine à garder l’équilibre toute attachée.
Je suis à deux mètres de la porte. Soudain j’entends le verrou se défaire. Enzo doit être revenu, il n’avait pas oublié de verrouiller la porte de toute façon. Il me voit attachée et bâillonnée debout juste devant lui, il me fait en refermant la porte :
« Ohh, tu es très agile pour avoir réussi à te redresser ma mignonne. Mais en admettant que la porte était déverrouillée, ce qui n’était pas le cas, que comptais tu faire ? Sortir de cette maison, comme ça ligotée, et bâillonnée. Et d’ailleurs tu pensais que tu allais réussir à monter les escaliers dans cet état, à quitter la pièce, alors que j’allais revenir d’une minute à l’autre ? »
Je ne dit rien restant immobile, debout face à lui prisonnière. Il me fait :
« Tu n’es pas très futée ma mignonne n’est-ce pas ? »
Il me dévisage, sa respiration semble s’accélérer, puis il me fait très entousiaste :
« Mais c’est pas grave, parce que my God, tu es absolument sublime Nina !!!! »
Puis il se met derrière moi, et saisi mes sains de chacune de ses mains, je crie :
« MMMMMHHHH, GMMMMHHHHH !!! »
« Oh, oui, des seins tellement magnifique !!! » Puis pendant qu’il plote mes seins il m’embrasse partout sur le cou. Après quelques minutes il me lance sur le matelas, je suis à nouveau au sol, il me crie :
« Allez, débat toi au maximum maintenant !!! Fais le, ou je te frappe à coup de pied !! »
Effrayée je n’ose pas désobéir, je me débats sachant que cela ne mènera à rien, à part l’exciter encore plus.
Il ouvre la fermeture de son pantalon, et sort son pénis en pleine érection. Il se masturbe, je reste immobile, il me crie alors :
« ALLEZ, CONTINUE SALOPE, T’ARRÊTE PAS !!!! »
Alors je continue à me débattre, terrorisée. Il continue de se masturber, puis me crie maintenant :
« Oh, ouiii, c’est ça, ouiii. Maintenant couine, couine comme une cochonne ma mignonne !!! »
Je tente de crier malgré mon baillon. Mais je n’arrive presque pas à sortir un son de ma bouche, ma situation est tellement horrible !! Enzo me fait :
« Faut plus que je me la touche sinon je vais cracher. J’ai pas envie que ça s’arrête maintenant. C’est tellement merveilleux. Tu es tellement merveilleuse Nina. Mais pour les couinements tu as encore du travail. Mais je vais t’aider !! »
Il me saisit et me redresse, me mettant debout, je crie alors :
« MMMMMHHHHHH !!! »
Puis il prends sa clé et détache un de mes poignets, je tente alors d’utiliser mes mains pour me débattre, mais il saisit mes deux mains m’enlace et me fait :
« On se détend ma biquette. Arrête de te débattre ou on va passer à la violence !! »
Puis il re menotte mon poignet libre, menottant mes mains à l’avant cette fois. Puis il saisi la chaine qui descendait depuis le plafond et la fait baisser jusqu’à la hauteur de mes mains. Il croche la chaine de mes menottes à la chaine du plafond via un mousqueton. Puis il utilise une télécommande pour faire remonter la chaine, avec mes mains menottées à l’avant. Mes mains sont maintenant suspendues au dessus de ma tête, les bras en l’air. Enzo bloque la chaine. Me voilà maintenant attachée les mains suspendues en haut.
« Oh oui, sublime !!!! » réplique Enzo « maintenant c’est ton magnifique petit cul qui va y avoir droit !!! »
Il est toujours en train de bander. Il se place derrière moi et plote mes fesses de ses deux mains. Je crie :
« GGGMMMMHHHH !!!!MMMMMHHHH !!!!GMMMMMMMHHHHH !!!!! »
Puis il me fait :
« Aller, maintenant, je vais pouvoir une finir » il sort un couteau de sa poche et me fait :
« Juste un petit trou à travers ton moulant suffiras !! »
« GGGGMMMMMHHHHH !!! » je crie de toutes mes forces.
Soudain la porte s’ouvre, des agents crient :
« POLICE, ELOIGNEZ VOUS DE CETTE FILLE IMMEDIATEMENT !! »
Enzo sort se retourne avec son couteau à la main en disant :
« Putain de bordel DE M.. »
« Posez immédiatement cet arme » crie l’un des policier.
Enzo court en direction de l’agent et se fait tirer dessus par plusieurs coups de feu.
Les agents mes détache immédiatement. Dès que mon bâillon est enlevé, je crie :
« Est-il vivant !!? Il sait qui est le geôlier. Il faut le maintenir en vie pour le moment !!! »
« Navré Mme Averine » réplique l’agent « il courrait contre nous avec une arme on a pas eu le choix, il a succombé sous toutes ses balles. Le principale c’est que vous soyez sauvée.
Je commence à reprendre mon calme. Je fais à l’agent :
« Comment m’avez-vous trouvée »
« On faisait partie de l’équipe qui avait été interrogé la mère de Evelyne. C’est lorsqu’elle nous a expliqué que ça faisait un mois qu’elle n’avait plus vu sa fille que je me suis posé des questions. J’ai lu la déposition de Enzo, il avait dit que le soir ou il l’avait vue, samedi dernier, elle était retournée chez sa mère. J’ai appelé Yuri, il m’a dit qu’Evelyne avait surement inventé un prétexte à Enzo pour pouvoir être seule, il m’a dit de ne pas m’inquiéter de ce détails. J’ai quand même voulu vous appelé, étant donné que vous deviez être avec Enzo pour tirer ça au clair. Mais le téléphone ne répondait pas. Alors on est allé chez Enzo. C’est quand on a vu un téléphone cassé, le votre, que l’on a pensé que vous étiez en danger. » explique l’agent qui m’a libérée. Je réplique :
« Mais comment avez-vous su que j’étais dans cette résidence, abandonné de tout. »
« On a immédiatement prévenu la brigade, et l’analyste se souvenais que c’était vous qui aviez pris le porte clé en cœur dans votre sac à main. Bref, l’analyste s’est servi du traceur pour vous localiser, on a débarqué, et on vous a sauvé. »
« Mon dieu, je l’ai échappé belle !! Où est Yuri ? »
« Il ne va pas tarder, on l’a averti, il est parti dès que l’on vous a retrouvé. Vous disiez qu’Enzo connaissait la véritable identité du geôlier ? »
« Oui » je réponds « il m’a aussi appris d’autre choses : nous pensions qu’il en était à une dizaine d’enlèvement, alors que Enzo m’a confirmé que le geôlier avait déjà enlevée au moins 50 filles. Il m’a aussi dit que seule 10 personnes dont lui connaisse l’identité du geôlier. »
« Il en reste 9 à présent » me fait l’agent.
« Exact. » je lui réponds.
« Quel est votre nom déjà » je lui demande.
« Je suis l’agent Léo » son portable sonne, il me fait :
« Excusez moi je dois répondre »
De loin je l’entends prononcer :
« Oui allo…oui…QUOI….Mais quand, et comment !!! Je n’arrive pas à y croire…Ok je vais passer le mot tout de suite !!! »
Léo me fait :
« Notre analyste s’est fait tué, à première vue ça aurait eu lieu quelques minutes après qu’il nous ait transmis votre localisation !! »
« Mais comment est-ce possible, comment le geôlier aurait pu !!?? Tout est sécurisé au poste !!! » je réponds. Léo reprend :
« C’est pas la première fois que le geôlier parviens à faire quelque chose d’inexplicable, l’enquête est déjà en cours. »
Voilà déjà presque une demi-heure que j’ai été secourue. Après une heure et demie de plus, Yuri me rejoins, je courre alors qu’il me serre dans ses bras. Nous rentrons chez lui.
Le soir, chez lui, je lui fait :
« Yuri, il y a une chose que je dois te dire. Le geôlier n’a pu atteindre votre analyste que d’une seule façon possible. Soit il a un complice au sein de la police, soit il est lui-même agent. »
« Peut-être » me répond Yuri « peut-être pas, il y a peut être d’autres explications. Ca ne sert à rien de s’attarder là-dessus pour le moment, il faut que nous attendions les résultats de l’enquête !! »
« Yuri, quelques minutes après que la police ait reçu ma position !! le geôlier savait que l’analyste pouvait me retrouver, il l’a fait tuer dans l’espoir que personne ne viennent à mon secours, en espérant que ma position ne soit pas transmise. C’est forcément quelqu’un qui travaille au poste, soit un complice soit le geôlier lui-même. »
« Nina, tu es exténuée, et dans cet état, tu ne peux pas réfléchir avec discernement. Nous verrons ce que l’enquête révélera. »
Je ne parle plus du geôlier. Aucune trace de Evelyne. Et j’ai de la chance d’avoir été secourue, faute de quoi je serais encore l’otage de Enzo et du geôlier. Mais je ne pense plus à tout ça, j’en ai assez eu pour aujourd’hui.
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nonobound
- Squatteur(se) de JdL
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- Inscription : 25 août 2013, 13:45
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- Ce que j'adore : et bien ce que j'adore, beaucoup de chose, j'aime aussi bien ressentir les cordes se serrées sur moi, que d'attacher la personne avec qui je pratique occasionnellement.
comme lien j'adore les menottes, le froid au début j'adore, et le fait de se dire que sans la clé on ne peut rien faire - Ce que je déteste : ce que je déteste je ne sais pas encore en fait, vu que je n'ai que très peu d'expérience
- Localisation : Normandie
Re: Une journée imprévisible
j'avais raison, trop fort
mais la tu nous emmène de plus en plus loin c'est vraiment une bien belle histoire
mais la tu nous emmène de plus en plus loin c'est vraiment une bien belle histoire
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fredchl
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- Ce que j'adore : Les histoires de kidnapping (fantasmagorique), l'endormissement, entre autres.
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Re: Une journée imprévisible
Une bonne suite, sympa à lire. Le suspense reste à son comble, concernant Evelyne. Qu'est-elle devenue ?... Je crois qu'il faudra attendre le prochain épisode...
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Gwenboyfriend
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- Ce que j'adore : Les demoiselles en détresse, les mots "ligotée", "bâillonnée" au singulier comme au pluriel. Les dessins de John Willie, Eric Stanton, Eneg, Jim
- Ce que je déteste : Les scènes de viol et de torture, U69, la fin des histoires de John Willie, Eric Stanton, Eneg, Jim.
L'adaptation de Gwendoline par just jaeckin - Localisation : ile de francce
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Re: Une journée imprévisible
Bel épisode. Nina semble s'aventurer dans des zones de plus en plus dangereuses. Je me demande ce qui l'attend au prochain chapitre
Don't struggle, it's no use !
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Mad Hatter
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- Ce que j'adore : Le jeu d'acteur, les bandes dessinées, les nouvelles, les ballades en vélo, l'histoire
- Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
- Localisation : Partout et nulle part à la fois.
Re: Une journée imprévisible
Ça n'est pas passé loin pour l'héroïne, quel talent pour se retrouver sans arrêt dans la fosse au lion rien qu'en faisant son travail.
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham
les synonymes de fou sont intéressants
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham
les synonymes de fou sont intéressants
-
Nina
Re: Une journée imprévisible
Bonjour à tous. Voici le prochain épisode. Bonne lecture à tous!!!
La Demoiselle en détresse
Nous sommes samedi. J’ai passé beaucoup de temps avec Yuri lors de ces derniers jours, ce fut tellement paisible. Cela m'a permis d'oublier toute ces choses que j'ai vécues. J'aime la manière dont il me traite, il est doux avec moi et je me sens vraiment bien en sa présence. Je n'ai plus peur de ne plus sortir, je sais que je ne veux rester qu'avec lui à présent. Je ne suis pas autant satisfaite pour l’affaire du geôlier. Nous n’avons rien appris de plus, et n’avons aucune trace de Evelyne. Mais peu importe, je suis sensé retrouver Yuri ce soir, nous prenons un jour sabbatique, d'abord il m’emmènera au restaurant, puis après... nous allons prendre du bon temps, et pour une fois, moi aussi je prendrai autant de plaisir que mon homme. Il faut que je sois sublime pour ce soir. Tout d'abord, et bien entendu comme d'habitude une douche. Une fois sortie, j'enfile un soutiens gorge et un string noire lacéré. J'enfile cette magnifique jupe courte, noire, d’un tissu très fin, moulant parfaitement mes hanches. Puis pour le haut, je met d'abord un top court à décolleté plongeant et lanières croisées, très serré, puis une veste noire en cuire par-dessus. Je laisse la veste ouverte, afin que l’on voie mon ventre nu. J'enfile des bottes à sangles haut talon noires, ces bottes m'arrivent juste au dessous de mes genoux. J'attache mes cheveux avec deux franges à l'avant, puis je mets de grandes boucles d'oreilles créoles couleur argentées. J'enfile à mon poignet gauche quatre attaches cheveux, puis huit bracelets noirs en plastique à mon autre main. Me voilà prête, et plus sexy que jamais.
Je prends le temps de me regarder dans mon miroir. Je sais que je séduirais beaucoup d'homme dans cette tenue, et tout cela je le fais pour Yuri, pour ce soir. Il est déjà quatre heures de l'après-midi, il ne va pas tarder à arriver. Soudain, mon téléphone sonne, je vois que c'est son numéro, je décroche:
-"Bonjour Yuri, alors je t'attends avec impatience".
La voix qui suit n'est pas celle de Yuri:
"-Bonjour, fille sexy, cela fait longtemps" c'est la voix de Clara, mon cœur bat de peur.
"-Clara, qu'est ce que tu as fait, où est Yuri!!??"
Le téléphone a raccroché. Mon dieu il faut à tout prix que je les retrouve. Il faut que je commence par aller voir par moi-même chez Clara, peut être sont-ils là-bas? Je prends une arme de poing que Yuri m'avait confié pour me protéger. Ma voiture est flanchée, il faut que je prenne un taxi. Il arrive dans les cinq minutes qui suivent, je rentre:
"-Bonjour, déposé moi à cette adresse, s'il vous plait!" dis-je en montrant l'adresse de Clara au chauffeur.
"-Certainement mademoiselle" me réplique le chauffeur.
Le trajet semble long, et j'ai tellement peur, peur pour Yuri. Je dois à tout prix le retrouver. Soudain, nous sommes sur le point de nous prendre un poteau, je m'écrie:
"Attention, devant!!!"
"-Oups, euh...pardon, j'était distrait" me réplique le chauffeur.
Evidemment, cet abruti était en train de se rincer l'œil en me regardant avec son rétroviseur. Nous arrivons à destination. Je paie le chauffeur:
"-Voilà pour vous, merci".
"-Mais avec plaisir, mademoiselle. Je voudrais vous demander...c'est un peu difficile...bon allons-y: est-ce que vous faites quelques choses ce soir?" me demande-t-il.
"J'ai un copain, merci quand même!" je réplique.
Le taxi file immédiatement. Me voilà près de la résidence de Clara. Autant agir discrètement. La maison ne semble pas occupée, une des fenêtres est ouverte, autant en profiter! Je rentre à
L’intérieur. L'arme est toujours cachée dans ma veste. Je suis dans le salon ou j'ai été captive plusieurs fois déjà. Mais personne ne s’y trouve. Peut être Yuri est-il enfermé dans son sous-sol. Je descends. Quel silence tout de même, je ne pense pas qu'il puisse y être, je pense même qu'il n'y a absolument personne. Je trouve la porte menant à une des caves, je l'ouvre, tout est noir, j'entre en tentant de trouver un interrupteur.
"-Suprise Nina!!" c'est la voix de Clara!
Aussitôt une lumière s'allume, trois hommes sont dans la pièce et chacun braque un pistolet sur moi!! Clara s’y trouve également, elle porte un top bleu, des shorts en jeans très court, ainsi que des talons blanc. Ses cheveux sont toujours blonds, mi-longs. Elle se tient face à moi en souriant. Je suis terrifiée!!
"Oh mon dieu!!!" je m'écrie en mettant les mains en l'air. "Clara, où est Yuri, qu'as-tu fais de lui?!"
"Ma chère Nina, te souviens tu de cet appareil? Ce téléphone avec lequel on peut se faire passer pour n'importe quel numéro" me réplique Clara.
"Tu n'as jamais trouvée Yuri, tu as fais cela pour m'attirer ici!!"
"Et tu es tombée droit dans le piège ma jolie, maintenant, je te tiens!!"
"Le plan se déroule parfaitement Clara" dis l'un des hommes.
"Oui, mais alignez la contre le mur, je préfère la fouiller d'abord" réplique Clara.
L'un des hommes me prend par le bras et me colle face au mur, les bras en l'air, lui maintenant mes poignets.
"Voyant ce que tu caches fille sexy" me dit Clara en me fouillant. Elle me touche de bas en haut et fini par trouver mon pistolet.
"Ohh, notre jolie princesse innocente cache des choses" réplique Clara. "Emmenez-la en haut!!"
Le même homme me tiens par le bras et tiens son arme dans mon dos, j'avance remontant dans le salon. Une fois arrivé, ils me font assoir sur une chaise. Clara ramène des cordes et réplique:
"Au travail messieurs, attachez-la solidement!!"
"Non Clara, je resterai tranquille, s'il te plait ne m'attache pas, tu n'as qu'a m'enfermer dans une pièce à clé" je réplique.
"Mets tes mains derrière le dos ma jolie, avant qu'on utilise la manière forte" me répond elle.
Et voilà c'est à nouveau parti. Clara attache mes bottes, pendant que les 3 hommes m'attache simultanément mes jambes, au dessus des genoux, les bras me reliant à la chaise, mes mains derrière le dos. Je sens à nouveaux toutes ces cordes m'enlacer, surtout celles de mes poignets. Ils sont tous en train de serrer les nœuds. Je suis bien attachée, mais ce n'est pas fini, un des hommes m'attache encore la taille à la chaise, pendant que Clara utilise une autre corde pour attacher mes pieds déjà ligotés à la barre qui relie les pieds de la chaise. Je suis ligotée maintenant par six cordes.
"Très bien messieurs, notre petit oiseau ne vas pas s'envoler" réplique Clara.
"Que vas-tu faire de moi Clara" dis-je toute ligotée.
"Tu vas le savoir tout de suite, fille sexy" me répond-elle. "Bâillonnez-la, je vais utiliser le téléphone".
L'un des hommes utilise un foulard blanc pour me bâillonner. Clara a mis le haut parleur, j'entends la sonnerie de l'appel. C'est la voix de Yuri qui décroche:
"Allo, qui est à l'appareil"
"MMMMHHHHH" je fais en tentant de crier, mon bâillon m'en empêchant.
"Bonjour Yuri," réplique Clara. "Comme tu peux le constater, je détiens ta jolie copine. Si tu veux la revoir, tu vas devoir me donner quelques choses en retour. Je sais que c’est au poste que vous retenez une certaine clé USB de la plus haute importance, celle de l’affaire Thémis. Tu vas m’apporter cette clé USB, et tout de suite. Tu sais que je tiens ta petite amie, fais ce que je te dis si tu tiens à la revoir.
"D'abord, je veux lui parler" réplique Yuri.
Clara rapproche le téléphone vers moi et enlève mon bâillon, je crie aussitôt:
"YURI, AU SECOURS, JE...GGGMMMHHHH" un des hommes a mis sa main sur ma bouche pour m'empêcher de parler.
"Commence par récupérer la clé USB Yuri, je te donne de nouvelles instructions dans une heure" dis Clara en raccrochant. L’homme a ôté sa main de ma bouche.
" Clara, je t'en supplie, laisse moi partir. Yuri te donneras ce que tu veux, mais libère moi après d'accord", je réplique.
"D'ici qu'il cette clé, tu ferais mieux de rester sage, fille sexy" me répond-elle. "Remettez-lui son bâillon!"
"Non Clara, tu n'a pas besoin de me bâillonner, s'il te plait, ne..ggmmmhhhh..." me voilà encore bâillonnée.
"Tu es vraiment très excitante comme cela Nina, je vais prendre une petite photo, tu permets" me dit Clara en me photographiant avec son portable.
"Voilà, je l'envoi à Yuri, ça le motivera d'autant plus a faire ce que je dis, tu es vraiment très mignonne tout attachée en détresse!!" me réplique Clara.
Un des hommes reste près de la porte d'entrée, pendant que Clara et les deux autres sont à l’étage. Je tente vainement de me dégager des cordes, mais c'est inutile, je suis trop bien ligotée. Je n'arrive à peine à bouger quoi que ce soit, attachée à cette fichue chaise! Inutile d'appeler au secours, je n'arrive même pas à crier, ni à prononcer un mot!!
Cela fait déjà plus d'une heure que je suis ligotée et prisonnière, Clara a déjà du donner les autres instructions à Yuri.
Soudain, Les deux autres hommes et Clara redescendent. Clara leurs explique:
"Yuri ne vas pas tarder, je veux un homme qui pointe son arme sur Nina, les autres vous garder la vôtre sur lui dès qu'il arrivera.
"Ok, ça marche Clara". Dis l'un des hommes. "On va bientôt toucher le gros lot, dommage qu'on ne puisse pas profiter de la fille, elle est vraiment trop sexy celle-là!! Franchement les gars vous en avez déjà vu beaucoup des comme celle-là?"
Et c'est reparti, on recommence a saliver sur moi, pendant que je suis attachée et que je ne peux même pas parler.
"Ah, ça je dois dire qu'il y en a pas beaucoup des aussi canon. Sérieusement, Clara, tu ne peux pas nous la laisser un tout petit moment. Elle ferait des heureux je peux te le dire" réplique un autre.
"Non messieurs! Yuri ne va pas tarder, alors restez concentrer!" réplique Clara.
"Ah, c'est trop dommage, vivement que cet imbécile soit passé et reparte!!" réplique le troisième homme.
" Ne vous en faites pas, je ne vais pas la remettre à Yuri de toute façon, j'ai encore des projets pour elle" réplique Clara.
Une voiture arrive.
"Tous à son poste, c'est Yuri" crie Clara.
Une arme est maintenant braquée sur moi, pendant que je demeure ligotée. Yuri entre armé, je ne peux m'empêcher de crier!!
"GGGMMMHHHHHHH!!!"
"Nina, ça va aller, je vais te sortir de là" me fait Yuri. "Enlever tout de suite son bâillon!!"
"On la libérera dès que tu m’auras rendu la clé " répond Clara.
"La voici " répond Yuri en montrant la clé USB.
Clara prend possession de la clé USB. Elle la glisse dans une poche de son jeans en faisant :
"Incroyable qu’un si petit objet aie autant de valeur"
"Bon assez parlé maintenant" réplique Yuri. "Libère Nina ou c’est sur toi que je vais tirer Clara".
"Eh bien…qui me dit que ce n’est pas une clé USB vierge" reprend Clara. "Je vais d’abord devoir vérifier que les données sont bien à l’intérieur". Yuri lui répond :
"Sale garce, cette clé est la bonne, maintenant relâche Nina ou je…"
"Si tu tires sur moi, mon sbire tuera ta jolie fiancée" réplique Clara.
"Bon très bien, alors qu’on en finisse rapidement" reprend Yuri.
"Très bien, suivez moi, on va vérifier avec l’ordinateur qui est à l’étage supérieur" dis l’un des hommes. Deux des hommes de Clara remonte à l’étage supérieur avec Yuri, en se tenant en joue, alors que Clara et le troisième homme qui pointait son arme sur moi restent au salon. Une fois qu’ils sont en haut, j’entends :
"Détache-la de la chaise, on va la déplacer maintenant" dis Clara au troisième homme. Et voilà qu’ils me détachent, mais pas totalement, mes mains sont toujours attachées derrière le dos.
Puis ils me déplacent de force, je tente de crier: "MMMMHHHHH...GGMMMMHHHH...MMMMMMMHHHH", mais rien à faire, le bâillon m'en empêche. Clara emporte les cordes. Puis il me font sortir de la maison, pour me mettre dans la voiture. La voiture démarre, et voilà qu'il m'enlève, partant je ne sais où.
C'est Clara qui conduit, l'autre homme commence à me ploter les seins :
"Oh oui, tu sais que tu es mignonne, toi?!"
"mmmmhhhhh" je fais, toujours attachée. Puis voilà que ce pervers m'enbrasse au cou, sans que je puisse faire quoi que ce soit. Après dix minutes de ce calvaire Clara l'interrompt:
"Arrêtes-toi, nous sommes arrivés, il ne veut surement pas qu'on abime sa marchandise".
L'homme descend de la voiture, pendant que Clara me parle:
"Tu m’a causé beaucoup d'ennui Nina, ces derniers temps. Notamment en me forçant à quitter mon travail. Maintenant, tu va le payer très cher. Tu vas retrouver une de tes vieilles connaissance"
Juste après j'entends la voix de Frank, l’homme qui a tenté de me violer lors de mon premier kidnapping après son vol à l’épicerie:
"Clara, c'est bon, elle est bien là, laisse-moi la voire"
"Elle est tout à toi, et plus excitante que jamais" répond Clara. "Mais d'abord il faudrait régler la petite note..."
"Ohh, ça vaut largement le coup" répond Yann, le complice de Frank, également présent. "Putain, mais regarde la, elle est trop bonne!! Je crois que je vais éjaculer avant même de la toucher"
"Elle est encore plus mignonne que les autres fois!!" réplique Frank. "Putain, cette fois, je vais vraiment passer la nuit la plus inoubliable de toute ma vie".
Frank vient de payer Clara. Je tente de me dégager de mes cordes, entassant mes poignets, juste en dessous de mes bracelets. Mais rien n'y fait.
" Et voilà, elle est tout à vous messieurs!! Je vous aide volontiers à l'attacher un peu plus" répond Clara.
"Pourquoi pas, ça ira plus vite, venez seulement" réplique Frank.
Puis Yann et Frank me sorte de la voiture, me tenant chacun par un bras et m'entraine de force dans leur maison miteuse.
"mmm, des belles bottes de salopes" me fait Yann entendant le bruit de mes pas" tu sais que t'es vraiment trop bonne ma poupée?!"
"Et cette fois tu es à nouveau à nous" réplique Frank.
Ils m'assoient à nouveau sur une chaise, Clara lance "allons-y messieurs"
Et voilà, ils recommencent à m'attacher. Simultanément, Clara m'attache les bras, Frank me ligote les jambes, Yann mes bottes et le troisième homme m'attache la taille à la chaise. Yann relie également mes pieds au pied de la chaise. Je ligotée exactement comme avant, et toujours bâillonnée.
"Et voilà ma chère Nina, nous allons nous quitter maintenant" réplique Clara. "Ne vous en faite pas pour Yuri, mes hommes l’on déjà tué à l’heure qu’il est. "
"GGGMMMMHHH" je fais en tentant de crier.
"Parfait, cet enfoiré ne nous dérangera plus !! On vous raccompagne" dis Frank" je pense qu'elle va sagement nous attendre".
Et voilà qu'ils repartent tous, mais pas pour longtemps en ce qui concerne Yann et Frank. Je suis seule, attachée et bâillonnée sur cette chaise. Je tente de me dégager, même si je sais que ça ne sert à rien. Ces fichues cordes, me transformant en prisonnière incapable de résister et prête à être plotée ou violée a tout moment!! Je déteste ça.
Cela fait bientôt un quart d'heure qu'ils sont partis, pendant que je gis attachée. Je les entends remonter:
"Et voilà Nina, je te l'avais bien dit, que l’on finirait par se retrouver, ma poupée" me lance Frank.
Puis il me plote les seins: "AAAhhh, des melons, bien juteux comme ça!! Ahh, j'adore!!"
En même temps, Yann attouche mes jambes et mes bottes, ça doit vraiment l'exciter. Mais me voilà hélas à leur merci. Puis après dix minutes de plotage, les deux s'arrêtent:
"Je commence" dit Frank" on va d'abord s'enfiler de trois rails, puis après, elle va m’envoyer au ciel !!"
"Dès que t'a fini, j'enchaine" réplique Yann. "Aller, on va s'enfiler la coke, histoire d'être vraiment en forme". Et voilà qu'ils me laissent à nouveau seule.
J'observe mon endroit, mais je ne vois aucun objet coupant, puis je ne peux pas bouger de ma chaise. Ah quelle cauchemar tout de même, comment ai-je pu me laisser piéger par Clara. Me voilà à nouveau kidnappée par ces monstres. Cela fait bientôt une demi-heure qu'ils sont partis, je tente désespérément de me dégager. Mais impossible, et cette fois, ils vont me violer c'est sûr. Tout
les deux en plus. Yuri, oh mon Yuri. Mort à l’heure qu’il est. Personne ne pourra me sauvée cette fois.
Puis Frank revient, me regardant veste ouverte, il fait:
"Ouaouh, sérieusement, qui t'a refait tes seins!? C'est vraiment du naturel!!Putain, je ne vais pas m'emmerder cette nuit" puis il continue, commençant à attoucher mes seins.
"Ahh, bientôt ces seins!!mmmmm, ça m'excite trop!!" Puis il recommence à me ploter, tout en se masturbant. Je l'entends jouir:
"Aaahhh, oui!!ah oui!ahoui!ah OUi!!"
"GMMMMMHHHH...MMMMHHHHHHHH...MMMHHHHHHHMMMHHHH" je crie désespérément.
"Il faut que je les voient!! Complètement!! aller!!" crie Frank en déchirant mon top et mon soutien gorge!! Cette fois mes seins sont à l'air. Au secours, mon dieu.
Soudain la porte est défoncée, Yuri arrive. Mais Frank sort un couteau et le place sous ma gorge.
"Bouge pas, ou je la tue!! Où est Yann" dit Frank me tenant en otage.
"Il est mort, relâche-la tout de suite ou tu finiras comme lui" réplique Yuri.
"T'a un flingue, je suis sûr" réplique Frank" remet le moi, ou je la tue" rapprochant le couteau de ma gorge pendant que je crie étouffé par mon bâillon.
"D'accord, c'est bon je te remets mon arme" dit Yuri et lui glissant son pistolet.
"Ahahaha, cette fois, c'est moi qui vais te buter"ricanne Frank" et après je vais faire la teuf".
Frank se rapproche de Yuri, pointant l'arme contre son front.
Aussitôt, avant que Frank ne comprenne quoi que ce soit, Yuri retourne l'arme contre Frank, le coup partant tout seul et tuant Frank.
Yuri me détache et ôte mon bâillon:
"Yuri, mon sauveur, tu es venu"
"Nina, je ne me séparerais plus jamais de toi"
Nous rentrons et nous offrons tout de même notre soirée.
Au cours de la soirée je lui fais :
"Mais comment m’as-tu retrouvée Yuri ? "
"L’expérience, je suis un bon flic ! " me répond-il.
"Oui, heureusement. Mais dis-moi qu’est ce que c’est que cette clé USB que tu as remis à Clara. L’affaire Thémis ? De quoi s’agit-il ? "
"Je suis désolé Nina. Mais je ne peux rien te dire, question de sécurité de la plus haute importance ! " me répond à nouveau Yuri.
"Yuri, je t’aime ! Tu m’as sauvée une fois de plus parmi tant d’autre. Seulement, il y a tout de même beaucoup de secret. Tes voyages à l’étrangers, la façon dont tu m’as retrouvé plusieurs fois, et la encore cette clé USB. Je ne vais pas d’avantage t’ennuyer avec ça, j’espère simplement que tu ne me caches rien de grave Yuri. "
"Je t’aime aussi Nina" me répond simplement Yuri. Le reste de la soirée se déroule merveilleusement bien. Et je suis si heureuse d’être à nouveau libre!!!
La Demoiselle en détresse
Nous sommes samedi. J’ai passé beaucoup de temps avec Yuri lors de ces derniers jours, ce fut tellement paisible. Cela m'a permis d'oublier toute ces choses que j'ai vécues. J'aime la manière dont il me traite, il est doux avec moi et je me sens vraiment bien en sa présence. Je n'ai plus peur de ne plus sortir, je sais que je ne veux rester qu'avec lui à présent. Je ne suis pas autant satisfaite pour l’affaire du geôlier. Nous n’avons rien appris de plus, et n’avons aucune trace de Evelyne. Mais peu importe, je suis sensé retrouver Yuri ce soir, nous prenons un jour sabbatique, d'abord il m’emmènera au restaurant, puis après... nous allons prendre du bon temps, et pour une fois, moi aussi je prendrai autant de plaisir que mon homme. Il faut que je sois sublime pour ce soir. Tout d'abord, et bien entendu comme d'habitude une douche. Une fois sortie, j'enfile un soutiens gorge et un string noire lacéré. J'enfile cette magnifique jupe courte, noire, d’un tissu très fin, moulant parfaitement mes hanches. Puis pour le haut, je met d'abord un top court à décolleté plongeant et lanières croisées, très serré, puis une veste noire en cuire par-dessus. Je laisse la veste ouverte, afin que l’on voie mon ventre nu. J'enfile des bottes à sangles haut talon noires, ces bottes m'arrivent juste au dessous de mes genoux. J'attache mes cheveux avec deux franges à l'avant, puis je mets de grandes boucles d'oreilles créoles couleur argentées. J'enfile à mon poignet gauche quatre attaches cheveux, puis huit bracelets noirs en plastique à mon autre main. Me voilà prête, et plus sexy que jamais.
Je prends le temps de me regarder dans mon miroir. Je sais que je séduirais beaucoup d'homme dans cette tenue, et tout cela je le fais pour Yuri, pour ce soir. Il est déjà quatre heures de l'après-midi, il ne va pas tarder à arriver. Soudain, mon téléphone sonne, je vois que c'est son numéro, je décroche:
-"Bonjour Yuri, alors je t'attends avec impatience".
La voix qui suit n'est pas celle de Yuri:
"-Bonjour, fille sexy, cela fait longtemps" c'est la voix de Clara, mon cœur bat de peur.
"-Clara, qu'est ce que tu as fait, où est Yuri!!??"
Le téléphone a raccroché. Mon dieu il faut à tout prix que je les retrouve. Il faut que je commence par aller voir par moi-même chez Clara, peut être sont-ils là-bas? Je prends une arme de poing que Yuri m'avait confié pour me protéger. Ma voiture est flanchée, il faut que je prenne un taxi. Il arrive dans les cinq minutes qui suivent, je rentre:
"-Bonjour, déposé moi à cette adresse, s'il vous plait!" dis-je en montrant l'adresse de Clara au chauffeur.
"-Certainement mademoiselle" me réplique le chauffeur.
Le trajet semble long, et j'ai tellement peur, peur pour Yuri. Je dois à tout prix le retrouver. Soudain, nous sommes sur le point de nous prendre un poteau, je m'écrie:
"Attention, devant!!!"
"-Oups, euh...pardon, j'était distrait" me réplique le chauffeur.
Evidemment, cet abruti était en train de se rincer l'œil en me regardant avec son rétroviseur. Nous arrivons à destination. Je paie le chauffeur:
"-Voilà pour vous, merci".
"-Mais avec plaisir, mademoiselle. Je voudrais vous demander...c'est un peu difficile...bon allons-y: est-ce que vous faites quelques choses ce soir?" me demande-t-il.
"J'ai un copain, merci quand même!" je réplique.
Le taxi file immédiatement. Me voilà près de la résidence de Clara. Autant agir discrètement. La maison ne semble pas occupée, une des fenêtres est ouverte, autant en profiter! Je rentre à
L’intérieur. L'arme est toujours cachée dans ma veste. Je suis dans le salon ou j'ai été captive plusieurs fois déjà. Mais personne ne s’y trouve. Peut être Yuri est-il enfermé dans son sous-sol. Je descends. Quel silence tout de même, je ne pense pas qu'il puisse y être, je pense même qu'il n'y a absolument personne. Je trouve la porte menant à une des caves, je l'ouvre, tout est noir, j'entre en tentant de trouver un interrupteur.
"-Suprise Nina!!" c'est la voix de Clara!
Aussitôt une lumière s'allume, trois hommes sont dans la pièce et chacun braque un pistolet sur moi!! Clara s’y trouve également, elle porte un top bleu, des shorts en jeans très court, ainsi que des talons blanc. Ses cheveux sont toujours blonds, mi-longs. Elle se tient face à moi en souriant. Je suis terrifiée!!
"Oh mon dieu!!!" je m'écrie en mettant les mains en l'air. "Clara, où est Yuri, qu'as-tu fais de lui?!"
"Ma chère Nina, te souviens tu de cet appareil? Ce téléphone avec lequel on peut se faire passer pour n'importe quel numéro" me réplique Clara.
"Tu n'as jamais trouvée Yuri, tu as fais cela pour m'attirer ici!!"
"Et tu es tombée droit dans le piège ma jolie, maintenant, je te tiens!!"
"Le plan se déroule parfaitement Clara" dis l'un des hommes.
"Oui, mais alignez la contre le mur, je préfère la fouiller d'abord" réplique Clara.
L'un des hommes me prend par le bras et me colle face au mur, les bras en l'air, lui maintenant mes poignets.
"Voyant ce que tu caches fille sexy" me dit Clara en me fouillant. Elle me touche de bas en haut et fini par trouver mon pistolet.
"Ohh, notre jolie princesse innocente cache des choses" réplique Clara. "Emmenez-la en haut!!"
Le même homme me tiens par le bras et tiens son arme dans mon dos, j'avance remontant dans le salon. Une fois arrivé, ils me font assoir sur une chaise. Clara ramène des cordes et réplique:
"Au travail messieurs, attachez-la solidement!!"
"Non Clara, je resterai tranquille, s'il te plait ne m'attache pas, tu n'as qu'a m'enfermer dans une pièce à clé" je réplique.
"Mets tes mains derrière le dos ma jolie, avant qu'on utilise la manière forte" me répond elle.
Et voilà c'est à nouveau parti. Clara attache mes bottes, pendant que les 3 hommes m'attache simultanément mes jambes, au dessus des genoux, les bras me reliant à la chaise, mes mains derrière le dos. Je sens à nouveaux toutes ces cordes m'enlacer, surtout celles de mes poignets. Ils sont tous en train de serrer les nœuds. Je suis bien attachée, mais ce n'est pas fini, un des hommes m'attache encore la taille à la chaise, pendant que Clara utilise une autre corde pour attacher mes pieds déjà ligotés à la barre qui relie les pieds de la chaise. Je suis ligotée maintenant par six cordes.
"Très bien messieurs, notre petit oiseau ne vas pas s'envoler" réplique Clara.
"Que vas-tu faire de moi Clara" dis-je toute ligotée.
"Tu vas le savoir tout de suite, fille sexy" me répond-elle. "Bâillonnez-la, je vais utiliser le téléphone".
L'un des hommes utilise un foulard blanc pour me bâillonner. Clara a mis le haut parleur, j'entends la sonnerie de l'appel. C'est la voix de Yuri qui décroche:
"Allo, qui est à l'appareil"
"MMMMHHHHH" je fais en tentant de crier, mon bâillon m'en empêchant.
"Bonjour Yuri," réplique Clara. "Comme tu peux le constater, je détiens ta jolie copine. Si tu veux la revoir, tu vas devoir me donner quelques choses en retour. Je sais que c’est au poste que vous retenez une certaine clé USB de la plus haute importance, celle de l’affaire Thémis. Tu vas m’apporter cette clé USB, et tout de suite. Tu sais que je tiens ta petite amie, fais ce que je te dis si tu tiens à la revoir.
"D'abord, je veux lui parler" réplique Yuri.
Clara rapproche le téléphone vers moi et enlève mon bâillon, je crie aussitôt:
"YURI, AU SECOURS, JE...GGGMMMHHHH" un des hommes a mis sa main sur ma bouche pour m'empêcher de parler.
"Commence par récupérer la clé USB Yuri, je te donne de nouvelles instructions dans une heure" dis Clara en raccrochant. L’homme a ôté sa main de ma bouche.
" Clara, je t'en supplie, laisse moi partir. Yuri te donneras ce que tu veux, mais libère moi après d'accord", je réplique.
"D'ici qu'il cette clé, tu ferais mieux de rester sage, fille sexy" me répond-elle. "Remettez-lui son bâillon!"
"Non Clara, tu n'a pas besoin de me bâillonner, s'il te plait, ne..ggmmmhhhh..." me voilà encore bâillonnée.
"Tu es vraiment très excitante comme cela Nina, je vais prendre une petite photo, tu permets" me dit Clara en me photographiant avec son portable.
"Voilà, je l'envoi à Yuri, ça le motivera d'autant plus a faire ce que je dis, tu es vraiment très mignonne tout attachée en détresse!!" me réplique Clara.
Un des hommes reste près de la porte d'entrée, pendant que Clara et les deux autres sont à l’étage. Je tente vainement de me dégager des cordes, mais c'est inutile, je suis trop bien ligotée. Je n'arrive à peine à bouger quoi que ce soit, attachée à cette fichue chaise! Inutile d'appeler au secours, je n'arrive même pas à crier, ni à prononcer un mot!!
Cela fait déjà plus d'une heure que je suis ligotée et prisonnière, Clara a déjà du donner les autres instructions à Yuri.
Soudain, Les deux autres hommes et Clara redescendent. Clara leurs explique:
"Yuri ne vas pas tarder, je veux un homme qui pointe son arme sur Nina, les autres vous garder la vôtre sur lui dès qu'il arrivera.
"Ok, ça marche Clara". Dis l'un des hommes. "On va bientôt toucher le gros lot, dommage qu'on ne puisse pas profiter de la fille, elle est vraiment trop sexy celle-là!! Franchement les gars vous en avez déjà vu beaucoup des comme celle-là?"
Et c'est reparti, on recommence a saliver sur moi, pendant que je suis attachée et que je ne peux même pas parler.
"Ah, ça je dois dire qu'il y en a pas beaucoup des aussi canon. Sérieusement, Clara, tu ne peux pas nous la laisser un tout petit moment. Elle ferait des heureux je peux te le dire" réplique un autre.
"Non messieurs! Yuri ne va pas tarder, alors restez concentrer!" réplique Clara.
"Ah, c'est trop dommage, vivement que cet imbécile soit passé et reparte!!" réplique le troisième homme.
" Ne vous en faites pas, je ne vais pas la remettre à Yuri de toute façon, j'ai encore des projets pour elle" réplique Clara.
Une voiture arrive.
"Tous à son poste, c'est Yuri" crie Clara.
Une arme est maintenant braquée sur moi, pendant que je demeure ligotée. Yuri entre armé, je ne peux m'empêcher de crier!!
"GGGMMMHHHHHHH!!!"
"Nina, ça va aller, je vais te sortir de là" me fait Yuri. "Enlever tout de suite son bâillon!!"
"On la libérera dès que tu m’auras rendu la clé " répond Clara.
"La voici " répond Yuri en montrant la clé USB.
Clara prend possession de la clé USB. Elle la glisse dans une poche de son jeans en faisant :
"Incroyable qu’un si petit objet aie autant de valeur"
"Bon assez parlé maintenant" réplique Yuri. "Libère Nina ou c’est sur toi que je vais tirer Clara".
"Eh bien…qui me dit que ce n’est pas une clé USB vierge" reprend Clara. "Je vais d’abord devoir vérifier que les données sont bien à l’intérieur". Yuri lui répond :
"Sale garce, cette clé est la bonne, maintenant relâche Nina ou je…"
"Si tu tires sur moi, mon sbire tuera ta jolie fiancée" réplique Clara.
"Bon très bien, alors qu’on en finisse rapidement" reprend Yuri.
"Très bien, suivez moi, on va vérifier avec l’ordinateur qui est à l’étage supérieur" dis l’un des hommes. Deux des hommes de Clara remonte à l’étage supérieur avec Yuri, en se tenant en joue, alors que Clara et le troisième homme qui pointait son arme sur moi restent au salon. Une fois qu’ils sont en haut, j’entends :
"Détache-la de la chaise, on va la déplacer maintenant" dis Clara au troisième homme. Et voilà qu’ils me détachent, mais pas totalement, mes mains sont toujours attachées derrière le dos.
Puis ils me déplacent de force, je tente de crier: "MMMMHHHHH...GGMMMMHHHH...MMMMMMMHHHH", mais rien à faire, le bâillon m'en empêche. Clara emporte les cordes. Puis il me font sortir de la maison, pour me mettre dans la voiture. La voiture démarre, et voilà qu'il m'enlève, partant je ne sais où.
C'est Clara qui conduit, l'autre homme commence à me ploter les seins :
"Oh oui, tu sais que tu es mignonne, toi?!"
"mmmmhhhhh" je fais, toujours attachée. Puis voilà que ce pervers m'enbrasse au cou, sans que je puisse faire quoi que ce soit. Après dix minutes de ce calvaire Clara l'interrompt:
"Arrêtes-toi, nous sommes arrivés, il ne veut surement pas qu'on abime sa marchandise".
L'homme descend de la voiture, pendant que Clara me parle:
"Tu m’a causé beaucoup d'ennui Nina, ces derniers temps. Notamment en me forçant à quitter mon travail. Maintenant, tu va le payer très cher. Tu vas retrouver une de tes vieilles connaissance"
Juste après j'entends la voix de Frank, l’homme qui a tenté de me violer lors de mon premier kidnapping après son vol à l’épicerie:
"Clara, c'est bon, elle est bien là, laisse-moi la voire"
"Elle est tout à toi, et plus excitante que jamais" répond Clara. "Mais d'abord il faudrait régler la petite note..."
"Ohh, ça vaut largement le coup" répond Yann, le complice de Frank, également présent. "Putain, mais regarde la, elle est trop bonne!! Je crois que je vais éjaculer avant même de la toucher"
"Elle est encore plus mignonne que les autres fois!!" réplique Frank. "Putain, cette fois, je vais vraiment passer la nuit la plus inoubliable de toute ma vie".
Frank vient de payer Clara. Je tente de me dégager de mes cordes, entassant mes poignets, juste en dessous de mes bracelets. Mais rien n'y fait.
" Et voilà, elle est tout à vous messieurs!! Je vous aide volontiers à l'attacher un peu plus" répond Clara.
"Pourquoi pas, ça ira plus vite, venez seulement" réplique Frank.
Puis Yann et Frank me sorte de la voiture, me tenant chacun par un bras et m'entraine de force dans leur maison miteuse.
"mmm, des belles bottes de salopes" me fait Yann entendant le bruit de mes pas" tu sais que t'es vraiment trop bonne ma poupée?!"
"Et cette fois tu es à nouveau à nous" réplique Frank.
Ils m'assoient à nouveau sur une chaise, Clara lance "allons-y messieurs"
Et voilà, ils recommencent à m'attacher. Simultanément, Clara m'attache les bras, Frank me ligote les jambes, Yann mes bottes et le troisième homme m'attache la taille à la chaise. Yann relie également mes pieds au pied de la chaise. Je ligotée exactement comme avant, et toujours bâillonnée.
"Et voilà ma chère Nina, nous allons nous quitter maintenant" réplique Clara. "Ne vous en faite pas pour Yuri, mes hommes l’on déjà tué à l’heure qu’il est. "
"GGGMMMMHHH" je fais en tentant de crier.
"Parfait, cet enfoiré ne nous dérangera plus !! On vous raccompagne" dis Frank" je pense qu'elle va sagement nous attendre".
Et voilà qu'ils repartent tous, mais pas pour longtemps en ce qui concerne Yann et Frank. Je suis seule, attachée et bâillonnée sur cette chaise. Je tente de me dégager, même si je sais que ça ne sert à rien. Ces fichues cordes, me transformant en prisonnière incapable de résister et prête à être plotée ou violée a tout moment!! Je déteste ça.
Cela fait bientôt un quart d'heure qu'ils sont partis, pendant que je gis attachée. Je les entends remonter:
"Et voilà Nina, je te l'avais bien dit, que l’on finirait par se retrouver, ma poupée" me lance Frank.
Puis il me plote les seins: "AAAhhh, des melons, bien juteux comme ça!! Ahh, j'adore!!"
En même temps, Yann attouche mes jambes et mes bottes, ça doit vraiment l'exciter. Mais me voilà hélas à leur merci. Puis après dix minutes de plotage, les deux s'arrêtent:
"Je commence" dit Frank" on va d'abord s'enfiler de trois rails, puis après, elle va m’envoyer au ciel !!"
"Dès que t'a fini, j'enchaine" réplique Yann. "Aller, on va s'enfiler la coke, histoire d'être vraiment en forme". Et voilà qu'ils me laissent à nouveau seule.
J'observe mon endroit, mais je ne vois aucun objet coupant, puis je ne peux pas bouger de ma chaise. Ah quelle cauchemar tout de même, comment ai-je pu me laisser piéger par Clara. Me voilà à nouveau kidnappée par ces monstres. Cela fait bientôt une demi-heure qu'ils sont partis, je tente désespérément de me dégager. Mais impossible, et cette fois, ils vont me violer c'est sûr. Tout
les deux en plus. Yuri, oh mon Yuri. Mort à l’heure qu’il est. Personne ne pourra me sauvée cette fois.
Puis Frank revient, me regardant veste ouverte, il fait:
"Ouaouh, sérieusement, qui t'a refait tes seins!? C'est vraiment du naturel!!Putain, je ne vais pas m'emmerder cette nuit" puis il continue, commençant à attoucher mes seins.
"Ahh, bientôt ces seins!!mmmmm, ça m'excite trop!!" Puis il recommence à me ploter, tout en se masturbant. Je l'entends jouir:
"Aaahhh, oui!!ah oui!ahoui!ah OUi!!"
"GMMMMMHHHH...MMMMHHHHHHHH...MMMHHHHHHHMMMHHHH" je crie désespérément.
"Il faut que je les voient!! Complètement!! aller!!" crie Frank en déchirant mon top et mon soutien gorge!! Cette fois mes seins sont à l'air. Au secours, mon dieu.
Soudain la porte est défoncée, Yuri arrive. Mais Frank sort un couteau et le place sous ma gorge.
"Bouge pas, ou je la tue!! Où est Yann" dit Frank me tenant en otage.
"Il est mort, relâche-la tout de suite ou tu finiras comme lui" réplique Yuri.
"T'a un flingue, je suis sûr" réplique Frank" remet le moi, ou je la tue" rapprochant le couteau de ma gorge pendant que je crie étouffé par mon bâillon.
"D'accord, c'est bon je te remets mon arme" dit Yuri et lui glissant son pistolet.
"Ahahaha, cette fois, c'est moi qui vais te buter"ricanne Frank" et après je vais faire la teuf".
Frank se rapproche de Yuri, pointant l'arme contre son front.
Aussitôt, avant que Frank ne comprenne quoi que ce soit, Yuri retourne l'arme contre Frank, le coup partant tout seul et tuant Frank.
Yuri me détache et ôte mon bâillon:
"Yuri, mon sauveur, tu es venu"
"Nina, je ne me séparerais plus jamais de toi"
Nous rentrons et nous offrons tout de même notre soirée.
Au cours de la soirée je lui fais :
"Mais comment m’as-tu retrouvée Yuri ? "
"L’expérience, je suis un bon flic ! " me répond-il.
"Oui, heureusement. Mais dis-moi qu’est ce que c’est que cette clé USB que tu as remis à Clara. L’affaire Thémis ? De quoi s’agit-il ? "
"Je suis désolé Nina. Mais je ne peux rien te dire, question de sécurité de la plus haute importance ! " me répond à nouveau Yuri.
"Yuri, je t’aime ! Tu m’as sauvée une fois de plus parmi tant d’autre. Seulement, il y a tout de même beaucoup de secret. Tes voyages à l’étrangers, la façon dont tu m’as retrouvé plusieurs fois, et la encore cette clé USB. Je ne vais pas d’avantage t’ennuyer avec ça, j’espère simplement que tu ne me caches rien de grave Yuri. "
"Je t’aime aussi Nina" me répond simplement Yuri. Le reste de la soirée se déroule merveilleusement bien. Et je suis si heureuse d’être à nouveau libre!!!
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fredchl
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Re: Une journée imprévisible
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