Duo
Publié : 29 févr. 2016, 17:53
J’espère que cette courte histoire vous plaira.
Duo
Aujourd'hui je sortais du travail plus tard que prévu. J'avais du, à la dernière minute, faire visiter un appartement en centre ville à des clients pressés, et cela m'avait retenu plus d'une heure. D'ordinaire pour rentrer chez moi, vingt minutes suffisaient, mais mon retard me coinça dans les bouchon trois bon quart d'heure.
Arrivé devant chez moi, à cause de travaux, je tournais quelques minutes pour trouver une place avant de finalement me garer sur le parking, à cinq minutes a pied de mon appartement. En arrivant devant ma porte, je m'attardais un peu sur les explications donnés par les panneaux provisoires sur le trottoir. Ceux ci parlaient de rénovation de façade. Je m’étonnais de ne pas avoir été prévenu par le propriétaire et notait dans un coin dans ma tête de l’appeler pour lui poser la question.
Plus loin, se trouvait garée, en toute illégalité, pour le coup, une camionnette blanche. J'imaginais déjà en ricanant le propriétaire trouvant la place vide au matin et devant aller la chercher à la fourrière.
Une fois entré dans l'immeuble, je gravis quatre à quatre les deux étages me séparant de mon logis, et me trouvait enfin devant ma porte, insérant avec joie ma clef dans la serrure, pensant pizza, bière, et éventuellement un petit porno avant d'aller dormir. Je fit mentalement une croix sur la pizza au profit d'un salade en sentant ma chemise se serrer contre mes bourrelets naissants.
Entrant dans le vestibule, je posais mon manteau, en vrac, comme à mon habitude, et passait au salon. J'avais encore laissé la lumière de la cuisine allumé. Une mauvaise habitude qu'il me fallait perdre. Cependant, en refaisant mentalement mon trajet de ce matin, je me rappelais que, ayant sauté le petit déjeuné, je n'étais pas passé par la. Je traversais alors le salon obscur pour atteindre l’interrupteur de celui ci se trouvant à l'autre bout. Je n'avais d'ailleurs jamais compris cette idée de devoir traverser une pièce dans le noir pour pouvoir l'allumer. Il faisait sens, il me semble, qu'un interrupteur près de l'entrée serait bien mieux placé...
L’ampoule crépita une petite seconde avant de s'allumer, ce qui me laissa le temps de me diriger vers la cuisine, et le frigo, pour aller me chercher cette bière qui me faisait tant saliver. Partant ensuite en quête d'un décapsuleur, qu'on nomme plus couramment briquet. Je notais mentalement pour la énième fois de penser a en acheter un vrai quand je fus coupé par un bruit étouffé venant du salon.
Surpris et inquiet, je saisis ma bière par le goulot, dans l'espoir que cela me permettrait de me défendre au cas ou...
Je revins dans la salon, et une fois à la lumière trouvait, à ma grande surprise. Une femme, en dessous noirs, string, soutient gorge, porte-jarretelles et talons hauts. Ligotée de façon très stricte à la poutre trônant au milieu de mon salon. Sa bouche était entravée par une large bande de scotch noir, et ses yeux étaient recouverts d'un bandeau épais de la même couleur. Instantanément face a cette scène, je sentit une bosse durcir mon pantalon, et après quelques seconde ébahies j'allais secourir la belle.
Cependant je fus stoppé dans mon élan par un violent coup porté à l'arrière du crane.
*
Lorsque je me réveillais. Je ne sais au bout de combien de temps. Je sentit des mains me maintenir dans mon dos. A priori je n'avais pas dû être inconscient longtemps. Je tentais de bouger, et je sentit alors une main ferme me pousser la tête, et une boule s’insérer dans ma bouche. Une sangle fut serrée à l'arrière de ma nuque, et je me trouvait alors muet. Mes mais étaient liées dans mon dos, fermement et mes coudes se trouvaient tirés en arrières, bloqués par une autre corde. Mon manque de souplesse me faisait alors souffrir a chaque instant. Mes jambes elles aussi était liées au niveau des chevilles ainsi que sur et sous mes genoux. Je remarquais alors que comme seul vêtement je ne pouvais plus sentir que mon boxer.
Bien sur mes yeux étaient recouvert d'un lourd tissu que j'imaginais noir. Je tentais de bouger, mais fut directement calmé d'un violent coup placé dans mes côte qui me fit plier légèrement. Ce mouvement me fit remarquer autre chose. Le bâillon dans ma bouche était relié à autre chose. Me replaçant, j’avançais la tête pour apaisé la tension que créait la sangle derrière ma nuque, et rencontrait alors d'autre lèvres. Je reculait les miennes et comprit alors que je partageais un bâillon avec une femme, et je supposait qu'il ne pouvait s'agir que de celle que j'avais vu avant de me faire attaquer.
Je sentit alors une corde se glisser au niveau de mon bassin et je fut violemment tirer en avant me retrouvant plaqué contre la jeune femme. Il fut fait de même au niveau de mes chevilles, genoux et de ma nuque. Je me trouvait corps contre corps avec la captive, a tel point que je sentait son cœur battre. Fort.
Il se passa un petit moment où je ne sentit plus les mains de mon ravisseur, puis d'un coup, je sentit mon bandeau glisser de mes yeux. La lumière emplissant ma pupille, je mis quelques seconde à m'habituer à la lumière, et distingua le regard de la jeune femme dont je partageais le sort.
Je vis en premier de grands yeux verts, calme. Il semblait qu'elle n'en était plus au stade de la panique. Depuis combien de temps était elle dans cette position. Ensuite je remarquais que la boule dans sa bouche était bel et bien reliée a la mienne par une fine barre de métal, laissant juste assez d'espace pour que nos lèvres puissent se goutter.
Elle me regardait fixement dans les yeux. Je n'arrivais pas a déchiffrer son expression... Je remarquait alors qu'elle était maquillée. Ses yeux, de noir, et ses lèvres, du moins celle du dessus, de rouge. Elle était absolument envoûtante. Je me sentait dans un tel état que je n'essayais plus de me débattre. Je me perdais dans son regard. Je sentais contre ma poitrine battante, le pointe de ses seins, dure d'excitation. Mon sexe lui, de son coté, se dressait de toute sa vigueur, à l'encontre de ma volonté.
Soudain dans mon champs de vision, je vis un main gantée de noir se poser sur l'épaule de la belle, qui semblait acquiescer du regard en direction de ce que je supposais être le ravisseur. Alors sans se faire attendre, il, ou elle, après toute rien ne me permettait de savoir si il s'agissait d'un homme ou d'une femme, se saisit de mon boxer, et le découpa afin de me l'enlever. J'entendis qu'il se produisait la même chose pour le string de ma « partenaire ». Alors je vis dans ses yeux une étincelle d'excitation, et ses lèvres vinrent chercher les miennes, tandis que la main de mon ravisseur introduisait mon sexe dans celui de celle qui était alors ma prison.
Duo
Aujourd'hui je sortais du travail plus tard que prévu. J'avais du, à la dernière minute, faire visiter un appartement en centre ville à des clients pressés, et cela m'avait retenu plus d'une heure. D'ordinaire pour rentrer chez moi, vingt minutes suffisaient, mais mon retard me coinça dans les bouchon trois bon quart d'heure.
Arrivé devant chez moi, à cause de travaux, je tournais quelques minutes pour trouver une place avant de finalement me garer sur le parking, à cinq minutes a pied de mon appartement. En arrivant devant ma porte, je m'attardais un peu sur les explications donnés par les panneaux provisoires sur le trottoir. Ceux ci parlaient de rénovation de façade. Je m’étonnais de ne pas avoir été prévenu par le propriétaire et notait dans un coin dans ma tête de l’appeler pour lui poser la question.
Plus loin, se trouvait garée, en toute illégalité, pour le coup, une camionnette blanche. J'imaginais déjà en ricanant le propriétaire trouvant la place vide au matin et devant aller la chercher à la fourrière.
Une fois entré dans l'immeuble, je gravis quatre à quatre les deux étages me séparant de mon logis, et me trouvait enfin devant ma porte, insérant avec joie ma clef dans la serrure, pensant pizza, bière, et éventuellement un petit porno avant d'aller dormir. Je fit mentalement une croix sur la pizza au profit d'un salade en sentant ma chemise se serrer contre mes bourrelets naissants.
Entrant dans le vestibule, je posais mon manteau, en vrac, comme à mon habitude, et passait au salon. J'avais encore laissé la lumière de la cuisine allumé. Une mauvaise habitude qu'il me fallait perdre. Cependant, en refaisant mentalement mon trajet de ce matin, je me rappelais que, ayant sauté le petit déjeuné, je n'étais pas passé par la. Je traversais alors le salon obscur pour atteindre l’interrupteur de celui ci se trouvant à l'autre bout. Je n'avais d'ailleurs jamais compris cette idée de devoir traverser une pièce dans le noir pour pouvoir l'allumer. Il faisait sens, il me semble, qu'un interrupteur près de l'entrée serait bien mieux placé...
L’ampoule crépita une petite seconde avant de s'allumer, ce qui me laissa le temps de me diriger vers la cuisine, et le frigo, pour aller me chercher cette bière qui me faisait tant saliver. Partant ensuite en quête d'un décapsuleur, qu'on nomme plus couramment briquet. Je notais mentalement pour la énième fois de penser a en acheter un vrai quand je fus coupé par un bruit étouffé venant du salon.
Surpris et inquiet, je saisis ma bière par le goulot, dans l'espoir que cela me permettrait de me défendre au cas ou...
Je revins dans la salon, et une fois à la lumière trouvait, à ma grande surprise. Une femme, en dessous noirs, string, soutient gorge, porte-jarretelles et talons hauts. Ligotée de façon très stricte à la poutre trônant au milieu de mon salon. Sa bouche était entravée par une large bande de scotch noir, et ses yeux étaient recouverts d'un bandeau épais de la même couleur. Instantanément face a cette scène, je sentit une bosse durcir mon pantalon, et après quelques seconde ébahies j'allais secourir la belle.
Cependant je fus stoppé dans mon élan par un violent coup porté à l'arrière du crane.
*
Lorsque je me réveillais. Je ne sais au bout de combien de temps. Je sentit des mains me maintenir dans mon dos. A priori je n'avais pas dû être inconscient longtemps. Je tentais de bouger, et je sentit alors une main ferme me pousser la tête, et une boule s’insérer dans ma bouche. Une sangle fut serrée à l'arrière de ma nuque, et je me trouvait alors muet. Mes mais étaient liées dans mon dos, fermement et mes coudes se trouvaient tirés en arrières, bloqués par une autre corde. Mon manque de souplesse me faisait alors souffrir a chaque instant. Mes jambes elles aussi était liées au niveau des chevilles ainsi que sur et sous mes genoux. Je remarquais alors que comme seul vêtement je ne pouvais plus sentir que mon boxer.
Bien sur mes yeux étaient recouvert d'un lourd tissu que j'imaginais noir. Je tentais de bouger, mais fut directement calmé d'un violent coup placé dans mes côte qui me fit plier légèrement. Ce mouvement me fit remarquer autre chose. Le bâillon dans ma bouche était relié à autre chose. Me replaçant, j’avançais la tête pour apaisé la tension que créait la sangle derrière ma nuque, et rencontrait alors d'autre lèvres. Je reculait les miennes et comprit alors que je partageais un bâillon avec une femme, et je supposait qu'il ne pouvait s'agir que de celle que j'avais vu avant de me faire attaquer.
Je sentit alors une corde se glisser au niveau de mon bassin et je fut violemment tirer en avant me retrouvant plaqué contre la jeune femme. Il fut fait de même au niveau de mes chevilles, genoux et de ma nuque. Je me trouvait corps contre corps avec la captive, a tel point que je sentait son cœur battre. Fort.
Il se passa un petit moment où je ne sentit plus les mains de mon ravisseur, puis d'un coup, je sentit mon bandeau glisser de mes yeux. La lumière emplissant ma pupille, je mis quelques seconde à m'habituer à la lumière, et distingua le regard de la jeune femme dont je partageais le sort.
Je vis en premier de grands yeux verts, calme. Il semblait qu'elle n'en était plus au stade de la panique. Depuis combien de temps était elle dans cette position. Ensuite je remarquais que la boule dans sa bouche était bel et bien reliée a la mienne par une fine barre de métal, laissant juste assez d'espace pour que nos lèvres puissent se goutter.
Elle me regardait fixement dans les yeux. Je n'arrivais pas a déchiffrer son expression... Je remarquait alors qu'elle était maquillée. Ses yeux, de noir, et ses lèvres, du moins celle du dessus, de rouge. Elle était absolument envoûtante. Je me sentait dans un tel état que je n'essayais plus de me débattre. Je me perdais dans son regard. Je sentais contre ma poitrine battante, le pointe de ses seins, dure d'excitation. Mon sexe lui, de son coté, se dressait de toute sa vigueur, à l'encontre de ma volonté.
Soudain dans mon champs de vision, je vis un main gantée de noir se poser sur l'épaule de la belle, qui semblait acquiescer du regard en direction de ce que je supposais être le ravisseur. Alors sans se faire attendre, il, ou elle, après toute rien ne me permettait de savoir si il s'agissait d'un homme ou d'une femme, se saisit de mon boxer, et le découpa afin de me l'enlever. J'entendis qu'il se produisait la même chose pour le string de ma « partenaire ». Alors je vis dans ses yeux une étincelle d'excitation, et ses lèvres vinrent chercher les miennes, tandis que la main de mon ravisseur introduisait mon sexe dans celui de celle qui était alors ma prison.