Strip poker

Œuvres des membres (textes, histoires, dessins, photos...) Rappel du règlement du forum: Interdiction de publier des récits dessins photos etc...mettant en scène des mineurs.
Règles du forum
Vous devez être majeur pour parcourir le forum. Lire également les règles du forum.
stephanie
Amateur(trice) de JdL
Messages : 130
Inscription : 04 juin 2015, 08:24
Pratique : Oui
Ligoté(e) :
Ce que j'adore : Beaucoup de choses en fait, même si je suis une fan des blouses nylon et de la soumission. Surtout être ligotée strictement et bâillonnée, à la merci d'un maître ou une une maîtresse exigeant(e), avec caresses et punitions alternées. Mais j'aime aussi dominer et avoir à mes pieds une soubrette attendant mon bon plaisir.
Ce que je déteste : Les relations uro-scato, la violence non consentie, la vulgarité, les a priori sur les autres.

Re: Strip poker

Message par stephanie »

C'est toujours aussi bien : bravo.
Stéphanie

Avatar de l’utilisateur
Gwenboyfriend
Fana de JdL
Messages : 344
Inscription : 22 juil. 2015, 05:52
Pratique : Oui
Ce que j'adore : Les demoiselles en détresse, les mots "ligotée", "bâillonnée" au singulier comme au pluriel. Les dessins de John Willie, Eric Stanton, Eneg, Jim
Ce que je déteste : Les scènes de viol et de torture, U69, la fin des histoires de John Willie, Eric Stanton, Eneg, Jim.
L'adaptation de Gwendoline par just jaeckin
Localisation : ile de francce
Contact :

Re: Strip poker

Message par Gwenboyfriend »

Flash back : une heure avant le début de la partie (1)

Pendant que leurs amies se font capturer. Diana et Beth, toujours ligotées, mettent tous leurs espoirs dans la réaction de l'opératrice qu'elles ont réussi à alerter.
- Vous m'entendez, madame ?
- Gmmmph.
- Vous êtes bâillonnée ?
- Gnnnoui.
- Je vais continuer à vous parler. L'alerte est lancée. Les secours vont bientôt partir.
- Gmmmppf !!!????
Pourquoi ne sont-ils pas déjà partis? songent les deux jeunes femmes. L'opératrice comprend leur détresse.
- Je comprends que cela vous paraisse long. Mais il y un hold-up en ville. Toutes les forces de police sont mobilisées.
- MMMpffnfon....

Beth songe qu'elles n'ont vraiment pas de chance.

- Je vais rester en ligne jusqu'à ce qu'on vienne à votre secours. Je m’appelle Judy.
- Dmmpfna !
Diana se sent humiliée. Elle ne peut même pas donner son nom.
- J’essaie de trouver un inspecteur qui serait disponible. Vos ravisseurs sont loin ?
- Mmmpfsspas !!!
- Vous ne savez pas ?
- Mppfgnon!!!!!!
- Je crois que j’ai trouvé une inspectrice, j’essaie de la contacter.

Les deux jeunes femmes sont tellement concentrées sur les paroles d'espoir qui viennent du téléphone qu'elles n'entendent ni la baie vitrée coulisser ni Marlène entrer dans la pièce.

Cette dernière saisit le combiné pour parler à l’opératrice.
- Je suis désolé mademoiselle. Je suis la secrétaire. Les détectives sont parties sur une enquête. J'avais invitée des amies qui ont peu trop bu et cru malin de faire une blague en faisant croire qu'on était victimes d'un kidnapping.
- Gggmppfgnon!!!!!
- Elles sont complétement saoûles. Elles arrivent à peine à parler. C'est pour ça qu'elles vous ont fait croire qu'elles sont bâillonnées. Excusez moi un instant.

Marlène se penche sur Diana et lui parle à l'oreille. Mais tient le téléphone de façon à être entendue de l'opératrice.
- Tais toi maintenant, vous allez m'attirer des ennuis. Je regrette vraiment de vous avoir invitée.
- Mppsfffaux !!!
La criminelle assène une magnifique claque sur les fesses de Diana toujours posée et ligotée sur le bureau. La captive pousse un cri de surprise et de douleur.

Marlène s'adresse à nouveau à l’opératrice.
Diana et Beth tentent de deviner ce que dit Judy à travers les réponses de la criminelle.
- Excusez-moi ! Je suis à bout. Je viens d'en gifler une. Je sais que j'ai tort mais je n'en peux plus... Non n'envoyez pas quelqu'un. Si mes patronnes l'apprennent, je vais être renvoyée.

Diana et Beth ne peuvent pas entendre la réponse de Judy. Elles observent le visage de Marlène qui semble contrariée quand elle reprend la parole.
- Vous devez vraiment signaler l'incident? Je comprends mais cela va m'attirer des ennuis. je risque vraiment ma place.

La voix de Marlène tremble comme si elle était vraiment inquiète. Les captives sont atterrées. La ravisseuse est trop convaincante. Mais l'espoir revient quand elles entendent ce que dit la criminelle.
- Le code d'annulation. Bien sûr. Comment ai-je pu oublier ? Je suis tellement angoissée. Je perds la tête.

Diana se réjouit malgré ses liens et son bâillon. Marlène ignore le code. L’opératrice va comprendre et envoyer les secours. C'est alors qu'elle voit la main de Mona tendre un papier à Marlène qui énonce le code d'annulation.

Diana est désespérée. L'arrivée de Mona a réduit leur dernière chance à néant. Judy va être convaincue et abandonner toute idée de signaler l'incident. Les criminelles vont triompher.

Mais la conversation continue. Manifestement, l’opératrice a des doutes.
- Vous devez vraiment signaler l'incident? Ou envoyer une inspectrice? Elle dira qu'elle a effectué un contrôle suite à appel anonyme? Elle ne parlera pas de mes amies qui ont trop bues? Merci vous êtes trop gentille. J'accueillerai votre inspectrice dès son arrivée.
Marlène raccroche.

- On a gagné un peu de temps, l’opératrice ne traite pas en urgence mais elle demande à une inspectrice de passer vérifier que tout va bien.
Olga réagit aussitôt.
- Passons immédiatement à la suite. Ces insolentes demoiselles ne perdent rien pour attendre.

Diana malgré ses liens tourne la tête. Ce qu'elle voit achève de la décourager.

Gwen ligotée, bâillonnée, est tenue en laisse par Mona et obéit aux moindres sollicitations de sa tourmenteuse. Olga porte Phyllis dans ses bras comme s'il s'agissait d'une fiancée. Une fiancée entourée de cordes qui enserrent ses bras, son torse, ses cuisses et ses chevilles. Dont les seuls mouvements à sa portée sont de se trémousser entre les mains de sa ravisseuse et de dodeliner de la tête. Et qui ne peut pas prononcer le moindre mot en raison du sparadrap appliqué sur une bouche que Diana devine emplie de chiffons comparables à ceux qui occupent la sienne.

Les deux captives échangent un long regard désespéré. Interrompu par une observation d'Olga.
- Il est temps de conduire nos amies dans leurs nouveaux locaux. Marlène et Sonia, vous vous en chargez pendant que je remets un peu d'ordre avec Mona. Sonia, je te confie Phyllis.
- Avec plaisir.

Phyllis, impuissante, humiliée, passe des bras d'Olga à ceux de Sonia qui la porte jusqu'à la grande baie vitrée pendant que Marlène saisit la laisse de Gwen pour la conduire à cette même baie.

Gwen, tête baissée pour cacher son désarroi, obéit à la sollicitation et suit sa tourmenteuse. A chaque pas, le son des chaînes de ses chevilles lui semble une blessure supplémentaire.

Les captives constatent qu'une plate-forme comparable à celles utilisée par les laveurs de carreaux est appuyée contre le rebord. Tout en tenant Gwen en laisse, Marlène envoie d'un coup de pied un plateau sur roues dans le bureau.
- Si vous pouvez installer Beth sur le plateau, on gagnera du temps.

Elle abaisse ensuite un levier et les quatre femmes descendent d'un étage. Le groupe pénètre dans une grande salle aménagée en gymnase au milieu duquel trône un portique dont l'usage inquiète les deux captives.

Sonia pénètre allègrement dans la pièce et dépose Phyllis sur le sol.
Gwen voudrait résister mais une traction sur son collier lui rappelle qu'elle n'a guère d'autres choix qu'obéir et, telle une esclave, suivre sa maîtresse à l'intérieur de l'immense salle.

- Remontons récupérer les deux autres.
- Tu crois qu'on peut laisser ces deux la seules ?
- Que veux-tu qu'elles fassent? Mais tu as raison, il vaut mieux être prudentes.

Marlène attache l'extrémité de la laisse de Gwen à un pilier du portique. Les deux criminelles remontent sur la plate-forme et gagnent l'étage supérieur. Restées seules, les captives échangent un nouveau regard. Leurs ravisseuses sont diaboliques. Personne n'imaginera qu'elles sont prisonnières un étage en dessous de leurs bureaux.
Image
Don't struggle, it's no use !

Avatar de l’utilisateur
fredchl
Résident(e) de JdL
Messages : 632
Inscription : 22 mars 2016, 16:03
Pratique : Oui
Ce que j'adore : Les histoires de kidnapping (fantasmagorique), l'endormissement, entre autres.
Localisation : Basse-Normandie
Contact :

Re: Strip poker

Message par fredchl »

Maintenant on sait comment les captives se sont retrouvées attachées dans le gymnase.

Pour donner un effet de surprise, tu n'aurais pas du indiquer qu'une inspectrice allait venir controler parce que l'opératrice aurait eu des doutes sur la véracité des "dires" de Marlène...

Avatar de l’utilisateur
Gwenboyfriend
Fana de JdL
Messages : 344
Inscription : 22 juil. 2015, 05:52
Pratique : Oui
Ce que j'adore : Les demoiselles en détresse, les mots "ligotée", "bâillonnée" au singulier comme au pluriel. Les dessins de John Willie, Eric Stanton, Eneg, Jim
Ce que je déteste : Les scènes de viol et de torture, U69, la fin des histoires de John Willie, Eric Stanton, Eneg, Jim.
L'adaptation de Gwendoline par just jaeckin
Localisation : ile de francce
Contact :

Re: Strip poker

Message par Gwenboyfriend »

Les prochains épisodes vont aller jusqu'au bout du flash back.
Image
Don't struggle, it's no use !

Avatar de l’utilisateur
Gwenboyfriend
Fana de JdL
Messages : 344
Inscription : 22 juil. 2015, 05:52
Pratique : Oui
Ce que j'adore : Les demoiselles en détresse, les mots "ligotée", "bâillonnée" au singulier comme au pluriel. Les dessins de John Willie, Eric Stanton, Eneg, Jim
Ce que je déteste : Les scènes de viol et de torture, U69, la fin des histoires de John Willie, Eric Stanton, Eneg, Jim.
L'adaptation de Gwendoline par just jaeckin
Localisation : ile de francce
Contact :

Re: Strip poker

Message par Gwenboyfriend »

Flash-back : Gwen et Phyllis dans le gymnase

Restées seules, les deux jeunes femmes regardent autour d'elles à la recherche d'un moyen de s'échapper. Malgré la douleur sur son cou. Gwen tire sur sa laisse dans l'espoir de faire céder le nœud qui la lie au portique.

Phyllis parcourt la salle des yeux à la recherche d'un objet qui lui permettrait de trancher ses liens. Gwen comprend ses intentions et aperçoit un couteau posé sur une table. Hors de la vue de sa compagne d’infortune. Elle lui fait signe d'un mouvement de menton et marmonne dans son bâillon.
- Cmmffteau.

Phyllis regarde son amie sans comprendre. Pourquoi lui désigne-t-elle la table de cette façon ? Une table qui n’est qu’à quelques mètres d’elle. Mais ligotée comme elle l’est, cela représente une distance terrifiante à parcourir. Quel intérêt ?

Gwen tire de plus en plus sur sa laisse. Ne réussit qu’à irriter la peau de son cou au contact de l'infâme collier. Leurs ravisseuses sont des expertes. Le nœud qui la fixe au pilier du portique est solide.

Folle de rage, la jeune femme tente de donner des coups de pieds dans la barre plantée au sol. C’est évidemment inutile. Les coups qu’elle donne avec ses pieds enchaînés ne sont que des ridicules pichenettes.

Phyllis, qui assiste à la rage impuissante de son amie, ne sait que faire pour la calmer. Malgré ses liens, elle tente de se rapprocher d’elle.

Gwen voit le mouvement de Phyllis. Son désespoir s’amplifie. Son amie s’éloigne de la table et du couteau. Elle doit absolument lui faire deviner où est leur seule chance de salut. Elle cesse de donner ces coups de pieds inutiles. Regarde Phyllis. Tente de se faire comprendre malgré son bâillon.

- Mpppffffgnooon !!!!
Phyllis cesse sa progression. Essaie à son tour de parler à travers son bâillon.
- GGmmphqffois ??
- Mffftapppfple !!!! Cmmfffteau !!!

Gwen enrage, le salut est à quelques mètres. Seule son amie peut l’atteindre. Elle tape du pied. S’obstine à désigner le meuble sur lequel est déposé leur seul espoir d’évasion. Mais Phyllis ne veut pas se déplacer vers la table sans raison.

Elle doit savoir ce qu'il y a sur cette table. Elle doit tenter de se lever ne serait ce que quelques instants. Au prix d'un effort douloureux, elle réussit à prendre appui sur ses pieds et à se redresser quelques secondes. Elle n'arrive pas à conserver son équilibre et retombe lourdement sur ses fesses. Mais elle a eu le temps d'apercevoir le couteau. Elle tourne la tête vers Gwen et d'un regard lui signifie qu'elle a compris et qu'elle va tenter d'attraper l'objet de leur salut.

Elle commence à se diriger vers la table. Elle se déplace lentement. Très lentement. Trop lentement. Elle doit tortiller son corps. Prendre appui sur ses fesses et ses pieds ligotés. La distance qui la sépare du meuble lui semble interminable. A chaque avancée, ses liens sont plus brûlants, plus blessants, plus douloureux. Elle refuse d'abandonner et continue de progresser péniblement.

Gwen observe la difficile progression de son amie tout en surveillant la baie vitrée dans la crainte du retour de leurs ravisseuses.
Il s'est passé beaucoup de temps depuis que les criminelles les ont laissées. Quelque chose a dû les retarder. Gwen n'ose pas espérer que l’inspectrice soit arrivée et ait compris la vérité. Mais même dans ce cas, quelle chance aurait-elle contre ces quatre femmes diaboliques? Elle échouerait bien sûr.

Mais l’opératrice serait surprise de ne pas avoir de nouvelles. L’alerte serait donnée. Les criminelles devraient fuir en abandonnant leurs victimes. C’est peut-être ce qui s’est passé. Gwen n’ose pas y croire. Ces femmes ont de la ressource. Elles ne céderaient pas si facilement. Pourtant plus le temps passe plus cela devient plausible.

Phyllis a enfin atteint les pieds de la table. Mais le couteau posé sur le plateau est inaccessible. La captive tente de se dresser malgré ses liens mais échoue à chaque tentative. Elle change de méthode et secoue la table avec ses pieds ligotés afin de faire tomber le couteau. Gwen qui voit l'objet s'approcher du bord l'encourage à travers son bâillon.

Phyllis est épuisée par le long déplacement qu’elle a effectué pour atteindre le meuble. Elle a l’impression que ses liens sont plus serrés. Plus brûlants. Pourtant, elle continue de secouer la table. Elle sait que le couteau est leur seul espoir d’échapper à un funeste destin.
Il tombe enfin. Juste entre les mains enchaînées de la captive. La chance semble enfin les servir. Heureusement que les ravisseuses lui ont enchaîné les mains devant son corps.

Le problème c’est la corde qui passe dans l’aine et remonte dans son dos pour être reliée aux liens qui entourent sa taille et ses poignets appuyés contre son ventre. Ainsi ligotée, elle peut à peine bouger ses mains. Et elle ne peut pas les éloigner de son corps. Comment atteindre les entraves de ses cuisses? La seule solution est de ramener les jambes vers elle jusqu’à ce que les cordes soient au contact de la lame.

Au prix d’un douloureux effort, la captive réussit cet exploit et commence à trancher ses liens en les frottant contre le tranchant. C’est très lent. Elle s’efforce de ne pas penser au temps qui passe, au fait que les ravisseuses auraient dû revenir depuis longtemps. Qu’elles peuvent arriver à tout instant. Que ses mains liées sont engourdies. Que le couteau pourrait lui échapper à tout instant.

Enfin les cordes tombent. L’horrible pression sur ses cuisses semble déjà diminuer. Les chevilles à présent. Elle doit davantage plier ses jambes. Coller ses talons contre ses fesses. Frotter à nouveau les liens contre la lame du couteau. Des larmes de peur et de rage coulent sur son visage bâillonné. Tout son corps est douloureux. Les cordes sur son torse la brûlent comme du fil électrique.

Son courage et sa patience paient. Ses chevilles sont libres. Mais elle réalise alors qu’elle n’arrivera pas à couper les liens de son torse. Ni ceux de sa taille. Ni ceux de ses mains.

Gwen l’appelle à travers son bâillon.
- MMpphmarfffer.
Phyllis comprend. Elle peut marcher. Aller jusqu’à son amie. La libérer. Le reste sera plus facile. Elle se lève péniblement et se dirige vers Gwen qui présente les liens de ses poignets et de ses bras.

Phyllis commence à trancher les cordes des poignets. Elle est gênée par ses propres entraves. Gwen sent contre sa peau la lame du couteau qui entame ses liens. Cela lui semble interminable. Elle continue de guetter le retour des ravisseuses. Enfin ses poignets sont libres. Ses bras à présent. Mais les liens sont trop haut. Phyllis ne peut pas les atteindre. Gwen comprend et s’accroupit autant que sa laisse le permet. Enfin les cordes qui emprisonnent ses bras tombent.

Elle prend le couteau des mains de Phyllis et tranche les liens qui restent. Puis se débarrasse en hâte de son bâillon boule et de son collier. Ensuite elle libère Phyllis de ses entraves. Ainsi que du sparadrap appliqué sur ses lèvres.

Soulagées, les deux femmes s’enlacent tendrement. Puis reprennent le contrôle de leurs actes. Leur situation s'est considérablement améliorée mais elles ne sont pas tirées d'affaire. Les mains de Phyllis sont toujours enchaînées ainsi que les chevilles de Gwen et elles constatent que la porte du gymnase est fermée à clef. Comment sortir ?

Gwen ne peut pas s'empêcher de s'interroger.
- Elles auraient dû revenir depuis longtemps. Qu'est-qui les a retardées ?
- Je préfère ne pas attendre pour le savoir. Il faut ouvrir cette porte.
- On pourrait peut-être les affronter.
- Je n’ai pas l’impression qu’on ait une chance de triompher.
- On aurait l’effet de surprise.
- Tu n’as peut-être pas remarqué, mais le seul moment où nous avons eu un léger avantage c’est quand nous étions deux contre Mona. Je dis bien léger parce qu’elle a quand même réussi à te ligoter et à me menotter. A présent, elles sont quatre et nous sommes deux. Tes chevilles et mes poignets sont enchaînées. Je doute que l’effet de surprise suffise. Il faut ouvrir cette porte.

Gwen remarque un sac posé dans un coin de la salle. Elle fouille à l’intérieur. Elle montre triomphalement la clef. Elles sont sauvées.
Au moment d’ouvrir. Gwen se tourne vers son amie.
- Si elles nous poursuivent, c’est moi qui doit les retenir.
- Tu te crois capable de les battre.
- Bien sûr que non. Mais, tu l’as dit toi-même, mes chevilles sont toujours enchaînées. Je ne peux pas courir. Toi tu peux. Je ne te ferai gagner que quelques secondes mais ce sera peut-être suffisant.
- On n’aura pas à en arriver là. Ouvre cette porte.
Gwen met la clef dans la serrure. Les jeunes femmes retiennent leur souffle. La clef tourne, la porte s’ouvre. Elles sont libres !!

- Et bien, il vous en a fallu du temps.
Sur le palier Marlène et Sonia les attendent en souriant.
Image
Don't struggle, it's no use !

Avatar de l’utilisateur
fredchl
Résident(e) de JdL
Messages : 632
Inscription : 22 mars 2016, 16:03
Pratique : Oui
Ce que j'adore : Les histoires de kidnapping (fantasmagorique), l'endormissement, entre autres.
Localisation : Basse-Normandie
Contact :

Re: Strip poker

Message par fredchl »

Une excellente suite pour ce flashback au gymnase ! Je ne m'attendais pas à cette fin ! :lol:
Libérées mais toujours captives !
Que nous reserve la suite de leurs péripéties !... :?:

stephanie
Amateur(trice) de JdL
Messages : 130
Inscription : 04 juin 2015, 08:24
Pratique : Oui
Ligoté(e) :
Ce que j'adore : Beaucoup de choses en fait, même si je suis une fan des blouses nylon et de la soumission. Surtout être ligotée strictement et bâillonnée, à la merci d'un maître ou une une maîtresse exigeant(e), avec caresses et punitions alternées. Mais j'aime aussi dominer et avoir à mes pieds une soubrette attendant mon bon plaisir.
Ce que je déteste : Les relations uro-scato, la violence non consentie, la vulgarité, les a priori sur les autres.

Re: Strip poker

Message par stephanie »

Toujours aussi captivant... :)
Bravo,
Stéphanie

Avatar de l’utilisateur
Gwenboyfriend
Fana de JdL
Messages : 344
Inscription : 22 juil. 2015, 05:52
Pratique : Oui
Ce que j'adore : Les demoiselles en détresse, les mots "ligotée", "bâillonnée" au singulier comme au pluriel. Les dessins de John Willie, Eric Stanton, Eneg, Jim
Ce que je déteste : Les scènes de viol et de torture, U69, la fin des histoires de John Willie, Eric Stanton, Eneg, Jim.
L'adaptation de Gwendoline par just jaeckin
Localisation : ile de francce
Contact :

Re: Strip poker

Message par Gwenboyfriend »

Flash back : pendant ce temps dans le bureau de Diana

Après le départ de Sonia et Marlène, leurs complices s'installent tranquillement autour de Diana. Beth est toujours ligotée en boule, les genoux appuyés contre son torse, les jambes pliées, les chevilles reliées aux poignets par une corde. Elle est incapable du moindre mouvement. Si on excepte quelques mouvements de ses mains et de ses doigts et de vaines tentatives pour lever la tête. Sa seule satisfaction est le fait que les kidnappeuses semblent l'avoir oubliée.

Jusqu'à ce que Olga prenne la parole.

- Mona, tu veux bien approcher cette chère Beth ? Ce serait dommage qu'elle ne profite pas de la discussion.
- Avec plaisir.

La criminelle se lève et s'approche de la malheureuse jeune femme, saisit la corde qui enserre ses bras, puis celle qui entoure sa taille, ses poignets et ses chevilles. Sans efforts apparents, avec une aisance qui dénonce une grande habitude, elle soulève la captive qui gémit à travers son bâillon sous l'effet de la douleur provoquée par les cordes qui pénètrent sa tendre chair. Ou de la crainte d'être ainsi soulevée. Ou de la rage d'être réduite à l'impuissance au point d'être déplacée comme un objet sans pouvoir s'y opposer.

Mona dépose sa victime aux pieds d'Olga.
- Est-ce que tu veux bien la déplacer de quelques centimètres... Parfait merci.

Beth qui ne voit pas ce que fait la criminelle s'inquiète de ce qui l'attend. Jusqu'à ce qu'elle sente l'extrémité des bottes de sa tortionnaire se poser sur son postérieur puis les talons de ces mêmes bottes s'enfoncer dans ses fesses.
- Il est difficile d'imaginer un plus charmant repose-pieds. N'est-ce pas Mona ?
- Tout à fait. Un peu bruyant peut-être.
Mona fait allusion aux gémissements continuels de la captive.
- Au contraire, c'est une douce musique à mes oreilles.

Humiliée, la jeune femme s'efforce de réprimer ses protestations. C'est une erreur. Olga mécontente de cette réaction enfonce davantage ses talons dans le postérieur de sa victime. Jusqu'à ce que la malheureuse jeune femme ne puisse plus résister et que ses gémissements reprennent.

Satisfaite, sa tortionnaire relâche légèrement l'appui de ses talons. Malgré le soulagement qu'elle éprouve, Beth continue de sangloter dans son bâillon. Son corps est secoué de spasmes qui, en raison de l'étroit et douloureux ligotage qui est le sien, se traduisent en frissons ridicules et suaves aux yeux de ses ravisseuses.
- Occupons nous de Diana à présent.

A plat-ventre sur son bureau, entourée de cordes qui la fixent au plateau, Diana ne voit pas ce que ses ravisseuses pourraient faire de plus.  Elle a tort.

Mona réunit ses cheveux dans une tresse à laquelle elle fixe une corde qu'elle relie aux liens de ses bras. Elle tend la corde jusqu'à ce que sa victime soit contrainte de lever la tête et de regarder devant elle. La criminelle s'amuse alors à exercer des pressions légères sur les liens de la captive. Augmentant ainsi la tension sur ses cheveux. L'obligeant à tenir sa tête davantage en arrière.

Mona décide de rendre le jeu plus intéressant. Elle dénoue la corde qui relie les cheveux aux bras et se contente de l'enrouler autour des liens des coudes. Puis fait de même avec les entraves des chevilles. Elle achève son travail en liant les pieds de la captive. Et en ramenant l'extrémité de la corde jusqu'aux cheveux de la malheureuse jeune femme auxquels elle la noue.

- Tu as des cheveux magnifiques, ma chérie très doux, très faciles à nouer. C'est un vrai plaisir de les attacher.

Diana songe que c'est un plaisir qui est loin d'être partagé. Mais elle sait que cela ne fait qu'accroitre celui de ses tortionnaires.

Pendant ce temps, Mona a fini son ignoble tâche. La captive constate qu'elle peut à peine bouger. Et que le moindre de ses frémissements provoque des tensions sur ses cheveux. Ou sur ses membres. Ou resserre ses liens.
Pour vérifier l'efficacité de son travail, Mona s'amuse à appuyer sur les cordes et constate que la plus petite pression se transmet au corps de sa victime et provoque des réactions incontrôlées de la part de la malheureuse jeune femme.

- Ces noeuds sont solides et résistants. Félicitations Mona.
- Merci, je pensais que je pourrais peut-être nouer ses deux orteils ensemble et les relier aux liens de ses bras.

Terrifiée et bien qu'elle devine que c'est inutile, Diana gémit à travers son bâillon dans le vain espoir d'inspirer de la pitié à ses tourmenteuses.
- Bonne idée, mais pourquoi pas à ses cheveux?
- Tu as raison, c'est mieux.

Les hurlements désespérés de la captive, sous l'effet du bâillon deviennent des sanglots ridicules qui ne découragent pas ses infernales tortionnaires. Elle sent la corde fine qui est nouée autour de ses deux orteils puis reliée à ses cheveux. Frémir est devenu un luxe douloureux.

Sous le regard cruel et amusé de ses ravisseuses, elle s'efforce de ne plus bouger. Mais sa position est si inconfortable que cela lui est impossible.
- Et bien, on s'amuse ici.

En entendant cette voix, Diana croit un instant que l'inspectrice contactée par Judy est enfin arrivée et qu'elle va agir. Puis réalise qu'il s'agit de Marlène et Sonia qui sont revenues.
- On a le droit de jouer aussi?
- Faites-vous plaisir les filles.

Pendant les minutes qui suivent, les criminelles jouent avec les liens et les cheveux de leur victime impuissante dont les cris de douleur et de rage les réjouissent.

Toujours posée sur le sol, Beth éprouve un lâche soulagement a l'idée que leurs ravisseuses ne s'occupent pas d'elle. Elle songe aussi que la cruauté de ces femmes est leur point faible puisqu'elles ont oublié qu'une inspectrice peut arriver à tout instant et les sauver.

Jusqu'à ce que la voix d'Olga brise ses illusions et celles de Diana.

- Je parie que ses deux idiotes espèrent que la policière va arriver et les secourir.
Cette phrase provoque un grand éclat de rire de la part des criminelles. Et une vague d'inquiétude dans l'esprit des deux captives. Comment leurs ravisseuses peuvent elles être aussi insouciantes face à l'arrivée imminente de l'inspectrice. Certes, elle sera seule face aux quatre criminelles mais l'alerte sera donnée. Du moins, c'est ce qu'elles croyaient. Leurs adversaires semblent être d'un autre avis. Judy et l'inspectrice sont le seul espoir des captives et cet espoir semble soudain bien fragile.

- Si on regardait ce qui se passe à la télé.
Mona allume le poste de télévision posé sur un meuble dans un coin du bureau. Diana ne comprend pas. Il s'agit d'un système de surveillance intérieur qui n'a pas fini d'être installé. Pourtant sur l'écran, on voit parfaitement ce qui se passe à l'étage inférieur. Celui où se trouvent Gwen et Phyllis. On peut voir Gwen qui tire vainement sur sa laisse dans l'espoir de la détacher du pilier. On peut voir Phyllis à la recherche d'un moyen de trancher ses liens. On peut aussi les entendre essayer de se parler à travers leurs bâillons.

Le plus douloureux pour Diana est de sentir l'exultation de ses ravisseuses quand elles regardent ce qui se passe à l'écran. Même Beth qui ne peut qu'entendre sans voir devine cette jouissance qu'éprouvent les terrifiantes criminelles.

- Je crois qu'elles en ont pour un moment. Ce qui nous laisse le temps d'expliquer à notre jeune amie sur le bureau quelques règles qu'elle devra expliquer à ses compagnes quand nous lui en laisserons l'occasion.
Dernière modification par Gwenboyfriend le 05 juin 2016, 18:03, modifié 1 fois.
Image
Don't struggle, it's no use !

Avatar de l’utilisateur
Mad Hatter
JdL, c'est ma vie
Messages : 2050
Inscription : 19 juil. 2013, 17:25
Ce que j'adore : Le jeu d'acteur, les bandes dessinées, les nouvelles, les ballades en vélo, l'histoire
Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
Localisation : Partout et nulle part à la fois.

Re: Strip poker

Message par Mad Hatter »

Je tourmente
Tu tourmentes
Elle tourmente
Nous tourmentons
Vous tourmentez
Elles tourmentent :twisted:
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham


Image
les synonymes de fou sont intéressants Image

Avatar de l’utilisateur
Gwenboyfriend
Fana de JdL
Messages : 344
Inscription : 22 juil. 2015, 05:52
Pratique : Oui
Ce que j'adore : Les demoiselles en détresse, les mots "ligotée", "bâillonnée" au singulier comme au pluriel. Les dessins de John Willie, Eric Stanton, Eneg, Jim
Ce que je déteste : Les scènes de viol et de torture, U69, la fin des histoires de John Willie, Eric Stanton, Eneg, Jim.
L'adaptation de Gwendoline par just jaeckin
Localisation : ile de francce
Contact :

Re: Strip poker

Message par Gwenboyfriend »

Flash back : pendant ce temps dans le bureau de Diana (suite).

Diana ignore à quel moment les cravaches sont apparues dans les mains de ses ravisseuses. Ni ce qui lui vaut le privilège d'être ainsi l'objet de leur attention. Privilège dont elle se passerait volontiers. Car elle a du mal à apprécier de sentir son corps parcouru par l'extrémité de ces ignobles objets. Sur ses cuisses! sur ses fesses! sous sa jupe! sous son menton!

Ses épaules, ses seins, son dos à peine couverts par son débardeur ne sont pas épargnés. Cela ressemble à des caresses mais elle devine aisément que cela pourrait devenir encore plus désagréable en un instant. D'autant plus que ligotée et bâillonnée comme elle l'est, c'est déjà suffisamment inconfortable.

Ces « caresses » provoquent des réactions de son corps qu'elle ne peut pas contrôler. Qui se répercutent sur ses liens et déclenchent d'autres mouvements incontrôlés. Au bout de quelques minutes de ces attouchements, la malheureuse jeune femme réalise que les gémissements qu'elle entend sont ses propres sanglots. Etouffés par l'infernal bâillon qui recouvre ses lèvres.

Le supplice ne cesse que quand la captive est prise de spasmes qui la secouent en tous sens et que ses gémissements, malgré le tissu qui occupe sa bouche et le sparadrap appliqué sur ses lèvres, semblent envahir la pièce.
Les ravisseuses attendent tranquillement que leur victime se calme et décident de changer son bâillon qu'elles devinent imprégné de salive.

Diana en profite pour tenter de les supplier. C'est une erreur. La cravache d'Olga s'abat sur ses fesses pendant que Sonia tire sur la corde qui unit ses cheveux et ses pieds.
Malgré la douleur, la captive retient ses cris de protestation. Devinant qu'elle ne ferait qu'aggraver son cas déjà délicat.

Pendant que Sonia continue de tirer les cheveux de l'infortunée jeune femme, Olga lui explique une première règle à respecter.
- Ce n'est pas parce que tu n'es plus bâillonnée que tu as le droit de parler. Une bonne esclave attend que ses maîtresses l'autorisent à parler.

Diana, surprise, ne peut pas s'empêcher de répondre.
- Esclave !!!??!?
- Tu n'as pas compris ce que je viens de dire? Mona, il est temps d'appliquer un nouveau bâillon sur cette bouche insolente.

Mona exécute l'ordre avec célérité et efficacité. Elle enfonce une boule de mousse dans la bouche de sa victime puis applique plusieurs bandes de sparadrap sur ses lèvres. Diana à nouveau réduite au silence, supportant l'infâme goût de la mousse dans sa bouche, comprend qu'elle n'a aucune chance d'apitoyer ses tourmenteuses.

Son seul espoir repose sur l'arrivée de l'inspectrice. Mais pourquoi n'est-elle pas déjà là ? Et surtout pourquoi cela n'a-t-il pas l'air d'inquiéter les criminelles qui, quand elles ne la tourmentent pas, se contentent d'observer sur l’écran de la télé la lente progression de Phyllis vers le couteau?
- A présent que tu ne vas plus m'interrompre, je vais pouvoir t'exposer ta situation ainsi que celle de tes camarades.
Tout en parlant, Olga enfonce ses talons dans les fesses de Beth qui ne peut pas s'empêcher de gémir.
- Et toi, petite garce, je te conseille d'écouter aussi.
Beth ne réagit pas. Les talons s'enfoncent davantage.
- Tu as perdu ta langue? Tu es gênée par ton bâillon peut-être. Ça te gênait pourtant moins quand avec ta stupide compagne vous tentiez d'alerter la police.

Comprenant qu'elle n'a pas le choix, la captive marmonne un vague bruit qui peut passer pour un oui.

- A présent que j'ai votre attention, il est temps que je vous explique quelques principes de base. Certains pensent qu'il est normal qu'une prisonnière soit animée par le désir de liberté et profite de la moindre occasion pour s'échapper. Ce n'est pas notre cas. Nous pensons qu'une prisonnière est une esclave potentielle. Et une esclave qui tente d'échapper à ses maîtresses est juste une insolente jeune femme qui doit être punie.

Diana est terrifiée. Elle ne comprend pas le sens de ce discours mais son regard implore la pitié de celle qui prétend devenir sa « maîtresse ». Et qui lui sourit en retour.
- Je sais. Tout cela est compliqué et nouveau pour toi et tes amies. C'est pour ça que je vais te donner un indice : tes maîtresses ne font jamais d'erreur.

Olga marque un temps d'arrêt. Diana refuse d'admettre le sens de cette affirmation et de renoncer à son dernier espoir. Sa tourmenteuse, tout en souriant cruellement, lui enlève ses dernières illusions.
- Par exemple nous n'oublions pas un téléphone à côté d'une prisonnière ligotée.

Diana et Beth comprennent qu'elles ont été dupées. Leur impitoyable maîtresse détaille complaisamment la façon dont elles ont été abusées.
- Quel que soit le numéro que tu aurais composé avec ton joli nez... Ne prend pas cet air surpris. Avec quoi pouvais tu le composer ! Donc quel que soit ce numéro, il aurait abouti au même endroit : la douce voix de Judy. Tu ne dois pas lui en vouloir. Elle fait partie de nos esclaves. Nous l'utilisons pour ce rôle parce qu'elle a une voix très rassurante. Tiens voici une photo d’elle.

La criminelle met sous les yeux de la captive une photo d’une jeune femme blonde assise sur une chaise. Ses bras, le long de son corps, sont immobilisées par des sangles autour de ses poignets et de ses coudes. Ses cuisses et ses chevilles sont emprisonnées de la même façon. D’autres sangles entourent son torse et sa taille et la fixent au dossier du fauteuil. Une dernière sangle appuyée sur son front et un bâillon de cuir complètent le sinistre tableau. L’infortunée jeune femme est entièrement nue et manifestement incapable du moindre mouvement. Son regard exprime frayeur et résignation.

- Comme tu t’en doutes, nous retirons son bâillon quand elle doit répondre au téléphone. Sinon ce serait plus difficile.
La phrase ironique est accompagné d’un éclat de rire de la part des criminelles. Diana est terrifiée. Ces femmes sont aussi cruelles qu'impitoyables.

- Je pense qu'il est inutile de te dire qu'aucun policier n'a été prévenu et que personne ne sait que vous êtes entre nos mains. Tous ces efforts que tu as dépensés en vain. Cela doit être contrariant pour toi.

Olga se tourne vers l'écran de télévision sur lequel on voit Phyllis qui vient de récupérer le couteau et tente péniblement de trancher ses liens.
- Mais ce n'est rien par rapport à ceux de ton amie. Et tout cela en pure perte. Nous les arrêterons dès qu'elles franchiront la porte. En conclusion, la seule question que vous devez vous poser si vous croyez voir une possibilité de nous échapper est : « est-ce un piège de nos maîtresses ?». Et vous saurez alors que la seule réponse possible est : « oui ». Est-ce bien compris ?

Diana malgré la tension des cordes sur ses cheveux abaisse légèrement la tête pour montrer sa soumission.
Beth sent à nouveau les talons de sa ravisseuse s’enfoncer dans ses fesses et comprend qu’elle aussi doit montrer son obéissance. Elle marmonne à nouveau un vague « mmmfoui » dans son bâillon.

Manifestement satisfaite de la docilité des captives, Olga reprend la parole.

- A présent voici comment cela va se passer. Nous allons nous amuser un peu avec vous. Puis la comtesse viendra elle-même te poser la question à laquelle tu n'as pas voulu répondre. Je devrais te conseiller de répondre mais pour être franche, j'espère que tu continueras de résister parce que je crois que nous allons avoir beaucoup de plaisir à vous tourmenter toi et tes idiotes d'amies.

A la télé, Phyllis vient d'achever de couper les liens de Gwen. Les ravisseuses éclatent de rire en voyant les jeunes femmes s'enlacer.
Ces rires blessent Diana aussi durement que ses liens dont la brûlure ne cesse pourtant pas d'augmenter.

- Allez donc attendre nos amies à la sortie pour leur apprendre à nous respecter. Pendant ce temps, nous allons conduire ces jeunes femmes dans leurs nouveaux locaux.
Image
Don't struggle, it's no use !

Répondre