Re: Mon enterrement de vie de jeune fille
Publié : 06 déc. 2016, 10:07
On sort de la voiture, j’entends Jennifer et Sabrina parler et marcher devant moi, je sens que je suis tenue par les bras de part et d’autre et la dernière se tient derrière moi. De mes trois gardes du corps, leur silence ne me permet pas de savoir qui me guide au travers de ce parking en gravier que je dois traverser en effectuant des petits sauts, comme les lapins.
On arrive devant une porte et à l’ouverture, on rentre dans un lieu que je ne peut pas voir…Cela me frustre de ne rien voir … C’est alors que j’entends une voix masculine s’approcher de nous et dire :
« Voici donc le groupe de filles qui vient pour un enterrement de vie de célibataire…. Bienvenue Mesdemoiselles au Manoir, ici on me nomme Mister D. Je vous prie de me laisser la prisonnière et d’aller, pour les cinq autres, vous préparer dans les vestiaires. Une fois prêtes, vous serez prises en charge par un des garçons de la maison, c’est normal ici, les hommes s’occupent des femmes et les femmes dominatrices soumettent les hommes serviles … Bonne soirée Mesdames, profitez de votre moment parmi nous … »
Une fois qu’il eut fini son discours, il me prend par dessus son épaule et m’amène dans une pièce que j’ignore encore … On passe un long corridor, on monte un escalier et enfin on arrive dans une pièce qu’il verrouille derrière lui… A cet instant, il me détache les jambes, puis les bras et m’ôte la tenue de bunny girl que je porte depuis le restaurant … Il attache mes mains à une sorte de barre suspendue au plafond où mes poignets sont liés par des bracelets situés de part et d’autre de cette barre. Une fois installée, il me dit :
« Bien ma jolie, tu es donc la future mariée, je vais t’expliquer ce qu’il t’attend, durant toute la soirée, tu verras tes copines servir de décor dans les différents salons de mon donjon et, quant à toi, tu seras à ma merci, ligotée et bâillonnée à mes pieds pour le reste de la nuit. Mais avant, ça il faut t’habiller en conséquence, les mariées portent du blanc en général … »
Il m’ôte le bandeau et le bâillon, toute ma tenue prévue par les filles est désormais dans une caisse. Il s’approche de moi, je ne peux voir son visage car il porte un masque pour dissimuler son identité … Il débute son ouvrage par me mettre un corset blanc en latex qu’il serre au maximum. Ensuite il me bâillonne à nouveau avec un bâillon-boule de couleur blanche, il ajoute à ma tenue des escarpins blancs d’environ douze centimètres. Il me mets autour des chevilles des bracelets de cuir, blancs aussi, auxquels il attache une chaîne qu’il verrouille avec deux petits cadenas. Il achève son début d’ouvrage en me mettant une cagoule blanche sur la tête masquant ainsi mes cheveux rouges et ne laissant paraître que mes yeux qu’il verrouille avec un cadenas. Il détache mes mains et les enferme dans un gant unique, blanc évidemment, verrouillé aussi avec un cadenas avant de terminer par un collier de soumise, blanc lui aussi, verrouillé aussi avec un cadenas. De là, il attache une laisse au collier et commence à me promener au travers des différents salons.
Je vois, dans le premier salon, ma sœur Jennifer se faire harnacher sur une croix en forme de X, elle porte juste un corset, des jambières et un bâillon-boule rouge … c’est le moment choisi où, l’homme de main de mon geôlier, lui met une cagoule noire opaque sur le visage ne laissant transparaître que la boule du bâillon, je souris derrière mon bâillon et ma cagoule car finalement, les filles aussi vont goûter aux liens durant mon enterrement de vie de jeune fille …
Ce n’est que quelques salons plus loin que je vois la victime suivante : Sabrina. Ma meilleure amie, dont le ligotage est en cours, se retrouve complètement momifiée de la tête au pied dans un sarcophage de verre. Elle pousse des gémissements étouffés comme ceux qu’on pousse lorsque on est stimulée … Mister D. me glisse à l’oreille qu’elle a un œuf vibrant à programme évolutif et que les invités décideront, ou non, de lui réduire la vitesse de l’objet car , elle a été préparée avec l’engin à la vitesse maximale ….
Dans un autre salon plus lointain, je retrouve ma cousine Marie avec notre amie Lydia, les yeux bandés, attachées nues, à genoux et face-à-face. Leurs bâillons sont reliés et elles sont sur une machine vibrante aussi, mais cette fois-ci, elles sont exposées comme des lesbiennes prisonnières (qu’elles ne sont pas) à jouir sous les vibrations de l’appareil sous leur vagin à la vue du public de ce salon.
Dans un dernier salon enfin, je vois Geneviève, attachée nue sur un cheval d’arçon avec un bâillon un peu spécial, celui-ci a un anneau qui se situe entre les lèvres qui maintient la bouche ouverte. Elle a les yeux bandés et doit subir des fessées pour toute la nuit. Elle est aussi exposée à ce que des hommes insèrent leur pénis dans l’anneau qui lui sert de bâillon ….
Une fois cette « visite » faîte, il m’amène dans la grande salle du manoir, là où il expose ses soumises et devant une foule incroyable me donne vingt coups de cravache sur les fesses. Puis il me mets à genoux et m’attache à son trône …. La soirée se déroule et jusqu’à la fin, je dois obéir à ses ordres mais, impertinente comme je le suis, j’ai du subir quelques punitions comme être exposée en hogtie au milieu de la pièce, quelques petits séjours attachée en cage, quelques coups de cravache supplémentaires etc …A cet instant, je me rends compte à quel point être soumise devient sécurisant au fil des heures... Ne plus rien contrôler, s'abandonner et demeurer le jouet d'un Maître me procure, en fait, une étrange sensation de plaisir...
Ce n’est qu’à 6 heures du matin que je sors du Manoir, libre avec une jolie robe dorée sur le dos, offerte par Mister D. ainsi que mes affaires dans un carton. Je vois les filles arriver à la voiture, rhabillées, douchées et éreintées de leur nuit. Au moment de monter en voiture et de rentrer, Jenn me dit :
« J’espère que tu as apprécié ton enterrement de vie de jeune fille ma grande sœur adorée … On a passé un super moment mais cette nuit au Manoir m’a fait réaliser à quel point on ne contrôle rien … Je t’en prie pardonne moi de t’avoir envoyée à la soumission … »
Je souris, je la regarde me supplier et je lui réponds :
« Ma chère petite sœur, tu es pardonnée, j’ai passé un merveilleux EVJF et je ne vous en veux pas le moins du monde … Mais je vous ferai payer ça lors du mariage, soyez en sûres et, là, vous me serez soumises … toutes les cinq !!!»
Ma sœur m’embrasse et les filles en font autant. Ce câlin à six renforce nos liens et sont autant de promesses pour de nouveaux jeux à venir ….
On arrive devant une porte et à l’ouverture, on rentre dans un lieu que je ne peut pas voir…Cela me frustre de ne rien voir … C’est alors que j’entends une voix masculine s’approcher de nous et dire :
« Voici donc le groupe de filles qui vient pour un enterrement de vie de célibataire…. Bienvenue Mesdemoiselles au Manoir, ici on me nomme Mister D. Je vous prie de me laisser la prisonnière et d’aller, pour les cinq autres, vous préparer dans les vestiaires. Une fois prêtes, vous serez prises en charge par un des garçons de la maison, c’est normal ici, les hommes s’occupent des femmes et les femmes dominatrices soumettent les hommes serviles … Bonne soirée Mesdames, profitez de votre moment parmi nous … »
Une fois qu’il eut fini son discours, il me prend par dessus son épaule et m’amène dans une pièce que j’ignore encore … On passe un long corridor, on monte un escalier et enfin on arrive dans une pièce qu’il verrouille derrière lui… A cet instant, il me détache les jambes, puis les bras et m’ôte la tenue de bunny girl que je porte depuis le restaurant … Il attache mes mains à une sorte de barre suspendue au plafond où mes poignets sont liés par des bracelets situés de part et d’autre de cette barre. Une fois installée, il me dit :
« Bien ma jolie, tu es donc la future mariée, je vais t’expliquer ce qu’il t’attend, durant toute la soirée, tu verras tes copines servir de décor dans les différents salons de mon donjon et, quant à toi, tu seras à ma merci, ligotée et bâillonnée à mes pieds pour le reste de la nuit. Mais avant, ça il faut t’habiller en conséquence, les mariées portent du blanc en général … »
Il m’ôte le bandeau et le bâillon, toute ma tenue prévue par les filles est désormais dans une caisse. Il s’approche de moi, je ne peux voir son visage car il porte un masque pour dissimuler son identité … Il débute son ouvrage par me mettre un corset blanc en latex qu’il serre au maximum. Ensuite il me bâillonne à nouveau avec un bâillon-boule de couleur blanche, il ajoute à ma tenue des escarpins blancs d’environ douze centimètres. Il me mets autour des chevilles des bracelets de cuir, blancs aussi, auxquels il attache une chaîne qu’il verrouille avec deux petits cadenas. Il achève son début d’ouvrage en me mettant une cagoule blanche sur la tête masquant ainsi mes cheveux rouges et ne laissant paraître que mes yeux qu’il verrouille avec un cadenas. Il détache mes mains et les enferme dans un gant unique, blanc évidemment, verrouillé aussi avec un cadenas avant de terminer par un collier de soumise, blanc lui aussi, verrouillé aussi avec un cadenas. De là, il attache une laisse au collier et commence à me promener au travers des différents salons.
Je vois, dans le premier salon, ma sœur Jennifer se faire harnacher sur une croix en forme de X, elle porte juste un corset, des jambières et un bâillon-boule rouge … c’est le moment choisi où, l’homme de main de mon geôlier, lui met une cagoule noire opaque sur le visage ne laissant transparaître que la boule du bâillon, je souris derrière mon bâillon et ma cagoule car finalement, les filles aussi vont goûter aux liens durant mon enterrement de vie de jeune fille …
Ce n’est que quelques salons plus loin que je vois la victime suivante : Sabrina. Ma meilleure amie, dont le ligotage est en cours, se retrouve complètement momifiée de la tête au pied dans un sarcophage de verre. Elle pousse des gémissements étouffés comme ceux qu’on pousse lorsque on est stimulée … Mister D. me glisse à l’oreille qu’elle a un œuf vibrant à programme évolutif et que les invités décideront, ou non, de lui réduire la vitesse de l’objet car , elle a été préparée avec l’engin à la vitesse maximale ….
Dans un autre salon plus lointain, je retrouve ma cousine Marie avec notre amie Lydia, les yeux bandés, attachées nues, à genoux et face-à-face. Leurs bâillons sont reliés et elles sont sur une machine vibrante aussi, mais cette fois-ci, elles sont exposées comme des lesbiennes prisonnières (qu’elles ne sont pas) à jouir sous les vibrations de l’appareil sous leur vagin à la vue du public de ce salon.
Dans un dernier salon enfin, je vois Geneviève, attachée nue sur un cheval d’arçon avec un bâillon un peu spécial, celui-ci a un anneau qui se situe entre les lèvres qui maintient la bouche ouverte. Elle a les yeux bandés et doit subir des fessées pour toute la nuit. Elle est aussi exposée à ce que des hommes insèrent leur pénis dans l’anneau qui lui sert de bâillon ….
Une fois cette « visite » faîte, il m’amène dans la grande salle du manoir, là où il expose ses soumises et devant une foule incroyable me donne vingt coups de cravache sur les fesses. Puis il me mets à genoux et m’attache à son trône …. La soirée se déroule et jusqu’à la fin, je dois obéir à ses ordres mais, impertinente comme je le suis, j’ai du subir quelques punitions comme être exposée en hogtie au milieu de la pièce, quelques petits séjours attachée en cage, quelques coups de cravache supplémentaires etc …A cet instant, je me rends compte à quel point être soumise devient sécurisant au fil des heures... Ne plus rien contrôler, s'abandonner et demeurer le jouet d'un Maître me procure, en fait, une étrange sensation de plaisir...
Ce n’est qu’à 6 heures du matin que je sors du Manoir, libre avec une jolie robe dorée sur le dos, offerte par Mister D. ainsi que mes affaires dans un carton. Je vois les filles arriver à la voiture, rhabillées, douchées et éreintées de leur nuit. Au moment de monter en voiture et de rentrer, Jenn me dit :
« J’espère que tu as apprécié ton enterrement de vie de jeune fille ma grande sœur adorée … On a passé un super moment mais cette nuit au Manoir m’a fait réaliser à quel point on ne contrôle rien … Je t’en prie pardonne moi de t’avoir envoyée à la soumission … »
Je souris, je la regarde me supplier et je lui réponds :
« Ma chère petite sœur, tu es pardonnée, j’ai passé un merveilleux EVJF et je ne vous en veux pas le moins du monde … Mais je vous ferai payer ça lors du mariage, soyez en sûres et, là, vous me serez soumises … toutes les cinq !!!»
Ma sœur m’embrasse et les filles en font autant. Ce câlin à six renforce nos liens et sont autant de promesses pour de nouveaux jeux à venir ….