Manque d'inspiration

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Utten
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Manque d'inspiration

Message par Utten »

Au bas mot, ça faisait quarante-cinq minutes que j’attendais en écoutant leur flot ininterrompu de jacassements traverser le mur, à croire qu’elles étaient là toutes les deux dans la chambre, ou que moi j’étais avec elles dans le salon, attaché sur ma chaise comme un meuble décorant la pièce voire complètement invisible.

Une belle auréole s’était formée sur mon t-shirt: Sandra avait choisi le bâillon-boule blanc, le plus gros qu’on ait, si bien qu’un filet de salive dégoulinait régulièrement de ma bouche et que j’étais bien incapable de le retenir malgré mes efforts. C’est ce que j’aimais le moins dans nos jeux et que j’essayais d’éviter lorsque c’est moi qui avait le dessus, cette déchéance physique - oui, je sais: le mot est fort - quand on ne contrôle plus son corps, typiquement quand on se met à baver partout ou... Je me rappelle d’un jour où elle m’avait enfilé une couche pour adulte avant de me ligoter et obligé à boire presque un litre d’eau. Et ressenti une telle humiliation quand je n’ai pas pu me retenir que j’ai été incapable de quoi que ce soit avec Sandra ensuite.

D’habitude, je bénéficie de petites attentions: elle passe régulièrement pour vérifier que tout va bien, fait semblant de venir chercher quelque chose dans la penderie, une feuille sur le bureau, n’importe quoi. Elle s’assure que les liens restent serrés, se moque de moi gentiment, m’essuie la bouche ou dépose un petit bisou sur mon bâillon. Cette fois, rien. Moulin à paroles démarré en mode turbo. Et pour moi double-bâillon: celui qu’elle m’a enfoncé dans la bouche et celui que je m’impose pour ne pas alerter son amie.

J’étais loin d’imaginer ça - vraiment - deux heures plus tôt quand elle est rentrée de son petit tour en ville. Assis dans le canapé avec mon ordinateur portable et la page blanche en plein écran. Complètement sec. Pendant qu’elle déchargeait son énergie, tournicotant dans la pièce, ranger des choses de-ci de-là, ma tasse à café envolée, les portes de placard ouvertes puis fermées.

- Tu fais quoi?

- J’écris une histoire. Ou j’essaye. Mais l’inspiration ne vient pas...

- MMmouais. Je vois... Et bien, ne compte pas sur moi: j’ai un tas de paperasse à remplir. Sauf si tu veux t’en occuper?

Zut! Elle m’avait devancé: c’est vrai que l’idée de lui trouver une position inconfortable et de la ligoter solidement m’avait traversé l’esprit et m’aurait sûrement permis de démarrer, bien plus en tout cas que de la voir continuer à ranger ses courses dans les placards. Au lieu de ça, j’avais gagné dix minutes supplémentaires devant ma page vide. Jusqu’à ce qu’elle s’asseye à la table avec sa calculatrice, ses livres de compte et tout le reste. Lorgnant de temps en temps sur mon air misérable.

- Il faut vraiment que je remplisse ça aujourd’hui pour que ça parte au courrier demain matin. Tu comprends, j’espère?

- Oui, oui. C’est clair. Ne t’inquiète pas.

J’étais sincère. Loin de moi l’idée de tout reproche.

- Bon, mais si ça peut t’aider, je veux bien t’attacher dans la chambre pendant que je fais mes comptes...

- Vrai?!

- Mais pas la moindre remarque! C’est moi qui décide comment. Ok?

Bien sûr que je l’étais, déjà émoustillé. Et très vite, attaché dans la chambre sur une chaise en bois marron, les poignets liés dans mon dos par une corde. J’avais gardé mon t-shirt blanc et mon jean et je m’étais laissé faire, assis sur la chaise. Une corde en main, Sandra m’avait tiré les bras dans le dos et attaché les poignets croisés en serrant bien fort, assez au moins pour me faire grimacer, puis après avoir fouillé dans le panier à linge sale elle m’avait bâillonné en enfonçant dans ma bouche sa petite culotte de la veille - mon dieu, quelle horreur! - et scotché la bouche avec deux longs morceaux d’adhésif orange.

J’étais un peu déçu de ce ligotage trop simple mais malgré tout plutôt content de ma situation. Quelques liens en plus ne m’auraient pas déplu. Et bien parfois, il faut se satisfaire de peu, n’est-ce pas? Et c’est à croire qu’elle lisait dans mes pensées: de retour derrière moi, je sentis une corde glisser sous l’un des barreaux du dossier et bloquer mes poignets tout contre. Puis Sandra s’éclipsa sans un regard, ni un mot.

Tout en silence, je laissai mon imagination vagabonder entre ce qu’elle aurait pu me faire, comment j’envisageais de l’attacher à notre prochaine séance. Je me tortillai un peu pour apprécier mes liens, tester ses noeuds aussi, ravi de ne pas pouvoir me détacher, essayant de calmer l’inconfortable excitation qui avait pris place dans mon pantalon en remuant le bassin: hé oui, ça n’est pas vraiment une bonne idée que de garder un jean serré quand il s’agit de bondage...

Une vingtaine de minutes plus tard, les yeux presque fermés, je réalisai qu’elle était revenue, droite dans l’entrée de la chambre, lunettes sur le nez, un crayon papier à la main - elle fait les comptes à l’ancienne: crayon, cahier et calculatrice - et qui m’observait avec un petit sourire.

- On s’amuse bien?

Sauf cette ignoble culotte sale dans ma bouche, je dois dire que oui, enfin si j’avais pu parler véritablement. Le temps de laisser échapper quelques petits ‘MMmm’, je la vis s’approcher, glissant une main sur mon épaule, caressant mon bâillon, et tourner tout autour de moi, laissant descendre sa main entre mes jambes. Elle ne faisait que renforcer ma gène, mais ça, elle le savait pertinemment. Si bien qu’elle finit par déboutonner mon pantalon et me l’enlever complètement: pantalon, boxer et chaussettes, d’un coup!

- Oh! En effet mon chéri, ça à l’air de te plaire beaucoup! Un peu plus de cordes peut-être? Qu’est-ce que tu en dis?

Ce n’est pas exactement ce qui me traversait l’esprit alors mais elle ne s’en souciait guère, pas du tout en fait, si bien que je me retrouvai bientôt un peu plus entravé: les chevilles attachées ensemble et tirées vers le barreau sous la chaise, les genoux liés par une autre corde et les cuisses très solidement entourées d’une troisième corde qui passait sous l’assise de la chaise.

Dans sa grande bonté, elle arracha mon bâillon et retira la culotte de ma bouche avant de s’asseoir sur moi. Elle semblait d’humeur joueuse; si j’avais eu les mains libres, je lui aurais agrippé les fesses, caressé le dos. Malheureusement, c’était moi le jouet cette fois et son jeu consistait à m’exciter un peu plus, approchant sa bouche de la mienne, avec son souffle chaud sur mon visage, glissant sa main sur ma poitrine. Refusant pourtant de me laisser l’embrasser.

- Je n’ai pas tout à fait fini mes comptes, mon chéri.

Un baiser sur la joue.

- Tu vas m’attendre sagement ici? N’est-ce pas?

C’est alors que la sonnette de la porte se fit entendre, comme un coup de massue. Enfin pour moi. Sandra se leva calmement, presque lentement, pour aller ouvrir. Je sentais de mon côté un drôle de sentiment d’inquiétude monter, d’autant plus que la porte de la chambre était restée ouverte.

J’entendis Sandra ouvrir la porte et son cri de joie:

- Céline! Mais quelle surprise, entre, ne reste pas là!

Céline! Panique! Céline, qui passe sa vie à collectionner les problèmes de coeur et à les détailler pendant des heures au téléphone ou à la maison. Et moi, juste quand elle débarque, je me retrouve ligoté, à moitié nu avec la porte grande ouverte. Je commence à me débattre, je perds mon sang froid, je me fais mal aux poignets en tirant dessus, mort de trouille qu’elle ne glisse un oeil dans la chambre en passant. Je les entends toutes les deux, même pas assises et déjà en mode moulin à parole. Et puis:

- Mais assied-toi donc, on va se prendre un café, tu en as bien le temps non? Deux secondes, hein, je range un truc et je suis à toi!

Sandra revient alors dans la chambre, j’ai très chaud d’un coup, terrifié. Elle s’approche en levant l’index devant sa bouche pour m’indiquer de ne pas faire de bruit. Oui, je comprends bien. Et je lui demande de me détacher en espérant qu’elle lira sur mes lèvres. Elle passe derrière moi, j’attends deux secondes mais je ne sens pas ses mains sur mes poignets. Au lieu de ça, je les vois passer au dessus de ma tête et enfoncer ce bâillon-boule blanc dans ma bouche. Je souffle par le nez, je me retiens de crier pour ne pas alerter Céline, y compris lorsqu’elle referme la sangle derrière ma tête.

Elle s’apprête alors à partir.

- Je ne te dérange pas au moins, Sandra?

Elle se trouve au niveau de la porte, elle me regarde en souriant.

- Mais pas du tout! Je finissais de faire mes comptes, j’avais juste quelques papiers à remettre en place. Alors, et toi, qu’est-ce que...

La porte est maintenant fermée. J’ai bien peur de devoir attendre plus longtemps que prévu.

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rasta
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Re: Manque d'inspiration

Message par rasta »

sympa
merci

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foulards6384
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Re: Manque d'inspiration

Message par foulards6384 »

Jolie début, t'es histoires sont toujours agréable à lire.
Je me demande combien de temps va durée la visite de Céline et quel autres idées Sandra pourrais lui venir par la suite :lol:
je bouge pas :police: je ne regarde pas :bandeau: je ne parle pas :gagged:

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fredchl
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Re: Manque d'inspiration

Message par fredchl »

Rhoo le povre écrivain ! Déja qu'il avait pas d'inspiration pour écrire, sa copine débordée de travail qui ne voulait pas jouer et ensuite il se retrouve soignement ligoté comme un saucisson pendant que madame discute le bout de gras en buvant un petit café !
Et même pas une petite gorgée pour lui !
Et pendant ce temps cette page qui demeure désespérément vide, blanche !

D'ici que sa copine ne monte les hostilités d'un cran, histoire de lui faire sentir sa toute puissance de l'instant et que la larguée de coeur Céline ne se rende compte qu'un homme immobilisé est cloitré dans la pièce à côté et ne profite de l'occasion justement pour sauter sur l'occasion avec la bénédiction de son amie, je vois ça arriver comme un Paris-Cherbourg qui rentre en gare avec une demi-heure de retard...

Finalement, il aura de quoi écrire !... :lol:

Vivement la suite ! :bravo:

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Utten
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Re: Manque d'inspiration

Message par Utten »

Je restai calme autant que possible, ce n’était pas trop difficile je dois l’avouer: j’étais parfaitement immobilisé (ou presque) mais sans que les cordes ne coupent la circulation, en particulier dans mes mains. Il n’y avait que ce bâillon énorme qui me gênait en tirant douloureusement sur ma mâchoire. De fait, tout en essayant de rester le plus discret possible, ça m’arrachait de temps à autres une sorte de plainte.

A travers le mur, on distinguait à peine leur flot ininterrompu de paroles. Quelques mots parfois. Si bien qu’à un moment, j’ai bien cru que j’avais fait trop de bruit. C’est du moins ce que je crois avoir compris. La porte de la chambre s’est alors ouverte, Sandra y est apparue en lançant d’une voix forte:

- Non, non. La fenêtre est bien fermée. Tu es sure d’avoir entendu quelque chose? Remarque, ça venait peut-être d’au-dessus, il y a des nouveaux voisins.

Oups! Je venais de comprendre que j’étais passé à deux doigts encore plus gênante que d’être ligoté sur ma chaise: être surpris en l’état par son amie. Et son air furieux, les sourcils froncés, l’index levé devant sa bouche me faisant signe de ne plus faire de bruit. La porte refermée, je me sentis encore plus misérable, presque désespéré et je recommençai à me tortiller en silence, c’est ce que je croyais.

Peu après, juste quand j’ai entendu un bruit de chasse d’eau, la porte s’est à nouveau ouverte et:

- ...sure? J’ai vraiment entendu quelque chose. Comme s’il y av... Oh, mon dieu!

Céline venait d’entrer, là, face à moi, figée devant le spectacle qu’elle découvrait, bouche bée, entre amusée et horrifiée, je n’arrivai pas à me décider, bientôt rejointe par Sandra, une serviette à la main, qui commence à se confondre en excuses:

- Céline, je... Non... Tu n’étais pas censée voir ça.

Tout en parlant, elle se rapproche de moi et dépose sa serviette sur mon entrejambe. Moi aussi dans la situation je perdais mes repères: le fait est j’étais à moitié nu et que mon service trois pièces était complètement exposé!

- Je...

Des paroles s’échappent, une sorte de monologue totalement décousu et impossible à raconter ici, des phrases hachées, Sandra est comme paniquée mais se calme au fil des mots, expliquant que c’est juste un jeu entre elle et moi, que je suis entièrement consentant, que parfois c’est elle qui est attachée, etc. Céline semble retrouver ses esprits également, même si elle fait toujours les grands yeux, le regard fixé sur moi. A décider maintenant, je lui trouve un air amusé. Je lance quelques MMmmm étouffés par mon bâillon pour essayer d’arrêter le moulin à parole qui s’est remis en marche. C’est Céline qui l’interrompt:

- Sandra... Pour tout te dire, ça m’est venu à l’esprit deux ou trois fois. J’avais remarqué des traces bizarres sur tes poignets.

Tout en parlant, elle s’avance un peu vers moi, intriguée, étudiant les cordes et les noeuds qui me retiennent. Sandra reste muette d’un coup, peut-être se demande-t-elle si d’autres ont aussi eu les mêmes doutes. Je grogne un peu à travers le bâillon et je tire sur mes liens pour attirer son attention: hé, c’est le moment où tu dois me détacher, ma chérie!

- Est-ce que ça fait mal? Je me suis parfois posé la question et...

- Oh, non. Ca pince un peu la peau selon que tu serres ou pas mais ça ne doit pas faire mal. Ce n’est pas le...

Sandra coupe sa phrase, je viens de voir quelque chose s’allumer dans ses yeux.

- Tu veux essayer? Juste pour voir?

La scène devient irréelle. Céline bafouille quelques mots hésitants, l’air de résister à une folle envie: maintenant? ici? pas trop longtemps, hein? tu ne me fais pas mal, d’accord? mais au final elle donne son consentement allant même juste qu’à revêtir le justaucorps de danse que Sandra lui propose en expliquant que ça lui éviterait des marques sur les bras ou les jambes.

Son visage trahit une certaine inquiétude en voyant les cordes qui vont servir, Sandra n’aurait pas dû les sortir toutes je crois, mais elle se contient et se laisse attacher les poignets dans le dos, assurant même à ma petite chérie qu’elle peut serrer plus si elle le souhaite. Elle s’assoit ensuite au bout du lit où elle se fait attacher les chevilles bien serrées l’une contre l’autre avec une corde qui forme une large bande de quinze centimètres. Bien qu’elle me tourne le dos, je peux facilement deviner le sourire de Sandra à l’ouvrage, qui le poursuit d’ailleurs en serrant une nouvelle corde sous les genoux de Céline.

Puis elle se lève, va chercher un foulard blanc et revient près de son amie.

- Tu vas me bander les yeux?

- Les yeux? Non, pourquoi? Tu préfères?

- Mais alors, qu’est-ce que tu comptes faire avec ça?

Etonnée, Sandra se rend compte que ce qui peut lui sembler naturel ne l’est pas forcément pour Céline, loin de là.

- Oh, ça! C’est pour te bâillonner. Tu ouvres la bouche s’il te plaît?

Elle obtempère néanmoins, de moins en moins rassurée, et laisse Sandra glisser entre ses lèvres et le nouer derrière sa tête. Depuis ma chaise, je la trouve trop gentille: ce genre de bâillon, c’est juste pour la forme, ça ne l’empêchera pas de parler vraiment, mais ça lui va plutôt bien. Esthétiquement parlant. Malgré cela, il faut croire qu’il a un effet psychologique aussi puisque deux minutes après que Sandra soit sortie, elle n’ose pas le moindre mot ou la moindre plainte. Elle reste assise au bord du lit, détaillant les liens sur ses chevilles et ses genoux, parfois elle ose un regard vers moi, et tortille ses poignets. A d’autres moments, elle tourne les yeux vers la porte comme si elle attendait que l’on revienne la détacher. Si tôt! Céline, tu rêves...

Dix minutes passent. Je crois qu’elle réalise. Elle a beau tordre ses poignets, ramener difficilement ses poignets sur le côté pour trouver un moyen de défaire les noeuds, elle n’y arrivera pas. Si je pouvais parler, je le lui dirais. Par contre...

Comme je suis un peu de profil, j’essaye d’attirer son attention à coups de MMMmfff étouffés par mon bâillon-boule en agitant mes poignets et qu’elle sautille jusqu’ici pour me détacher les mains. Je marmonne en tournant la tête vers mon dos et... Oui! elle a compris. Elle se lève, fait deux bonds vers moi, manquant de tomber, le reste en avançant chaque pied centimètre par centimètre. Et là, je sens ses doigts glisser sur mes poignets et commencer à gratter.

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rasta
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Re: Manque d'inspiration

Message par rasta »

hoo super

Merci

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foulards6384
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Re: Manque d'inspiration

Message par foulards6384 »

:bravo: super suite, qu'il soit découvert par Céline est bien mais que Céline finisse par être ligoter et bâillonner a son tour est super, vivement la suite.
je bouge pas :police: je ne regarde pas :bandeau: je ne parle pas :gagged:

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Re: Manque d'inspiration

Message par Utten »

C’était à parier: c’est le moment où Sandra choisit de reparaître histoire de vérifier que tout allait bien - selon mon expérience, les probabilités d’être détachés après si peu de temps étaient trop mince. De fait, son petit rictus moqueur se transforma bien vite en un regard très sérieux et elle saisit Céline affairée sur mes poignets d’un geste ferme, la soulevant presque pour presque la jeter de retour sur le lit.

Je baissai la tête, déçu, mâchoire ankylosée encore un peu plus, alors qu’elle fouillait dans le tiroir pour en sortir tout un tas de choses. Céline essayait maladroitement de se relever. Elle fut stoppée dans son mouvement par tout le poids du corps de Sandra, montée sur le lit, un genou appuyé sur le creux de son dos.

- Je crois que j’ai été trop gentille; je vais réparer tout ça.

Céline essayait bien de se débattre en remuant les jambes et les épaules mais elle ne put rien: paume contre paume, ses mains furent recouvertes d’adhésif, une bonne quinzaine de tours je dirais.

- Ca devrait t’empêcher de jouer avec tes doigts, ma chérie.

Et comme elle se plaignait trop fort - je vous l’avais dit que son bâillon était loin d’être efficace - Sandra le lui retira. Aussitôt remplacé par une belle culotte rose et brillante enfoncée dans sa bouche, avant même qu’elle eut le temps de terminer son premier mot.

- Surtout ne recrache pas ou sinon je vais en chercher une dans le panier à linge sale. Compris?

Elle acquiesça d’un simple hochement puis Sandra lui enroula un scotch large tout autour de la tête. Un seul tour aurait suffit, j’en comptai quatre et très serrés: comme l’adhésif était transparent, on pouvait voir ses lèvres écrasés, la peau de sa joue froissée et on devinait un peu du tissu rose qui lui remplissait la bouche. Puis, juste pour s’assurer qu’elle ne chercherait pas à sautiller à travers la pièce, elle la poussa sur le côté et replia ses jambes dans son dos et l’attacha en hogtie. Un hogtie pas très tendu pour tout dire, Sandra m’avait habitué à mieux, je dois dire.

Enfin elle se tourna vers moi. Je n’avais rien dit jusqu’alors d’abord parce que j’appréciais la scène qui se déroulait devant moi - Céline est une belle femme - ensuite parce que je craignais quelque représailles après cette tentative maladroite. L’envie ne manquait pas: je ne sentais plus ma mâchoire, j’étais prêt à abdiquer.

- Quant à toi...

Moi? Quoi?! D’un coup je devenais le centre de son attention, s’approchant lentement, passant même derrière moi. Et... victoire! elle retira mon bâillon, obligée de tirer en avant pour qu’il sorte de ma bouche toute engourdie. Profitant de l’occasion pour essuyer la salive qui coulait sur mon menton, avec un foulard qu’elle tenait en main, blanc, celui-là même qu’elle venait d’enlever à Céline. J’attendais qu’elle me détache, mais ça ne venait pas. Et pourquoi est-ce qu’elle restait là derrière moi?!

- J’espère que ça t’a donné tout plein d’idées. C’est ce que tu voulais, non?

- Oh que oui, ma chérie! Je vais pouvoir me remettre à écrire.

Je sentis un souffle. Elle posa une main sur mon épaule.

- Vraiment? En fait, je voudrais quand même m’assurer que tu sois suffisamment inspiré, alors...

Avant même de discuter, elle avait préparé son coup la garce, et roulé le foulard en boule, quelque part un rouleau d’adhésif était prêt aussi. Elle l’enfonça dans ma bouche et aussitôt appliqua le tape par dessus en appuyant bien fort, soigneusement, en tournant tout autour de ma tête au moins trois fois, peut-être quatre, je ne sais plus. Je me retrouvai bâillonné à nouveau, j’avais eu quoi? trente secondes de répit.

Céline tourna la tête à cet instant, alors que Sandra semblait sur le point de partir.

- Mmmm...

- Dix minutes et je te détache, ma chérie. Promis.

En fait, ça dura un peu plus longtemps, plutôt vingt minutes. Céline fut libérée la première de ses cordes; elle resta là au bout du lit, encore bâillonnée, à regarder Sandra me détacher. Puis comme si rien ne s’était passé, nous passâmes tous les trois au salon: les moulins à parole reprenaient du service.

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foulards6384
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Re: Manque d'inspiration

Message par foulards6384 »

une très bonne suite, ils sont voulue jouer mais pas de chance Sandra es revenue a temps :lol:
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rasta
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Re: Manque d'inspiration

Message par rasta »

belle inspiration !!

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