L'héritage des soeurs Rigdon

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stephanie
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Re: L'héritage des soeurs Rigdon

Message par stephanie »

Belle narration.
Comment les soeurs Rigdon vont-elles pouvoir s'en sortir ?
Mais veut-on vraiment les voir s'en sortir…

Merci et bravo,
Stéphanie

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Gwenboyfriend
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Re: L'héritage des soeurs Rigdon

Message par Gwenboyfriend »

Retour

Le temps s'écoule lentement pour les deux prisonnières totalement apathiques depuis la déception qu'elles ont ressentie quand leur sauveur potentiel est parti sans imaginer que celles qu'il recherchait n'étaient qu'à quelques mètres.

Plongées dans leurs sombres pensées, elles ne réalisent pas que les rats sont revenus. Qu’ils s’approchent lentement d’elles.
C’est Fergie qui les voit la première. Son cri d’alarme étouffé par son bâillon attire l’attention de Kathryn qui agite aussitôt ses chaînes. De même que sa sœur. Le son des maillons qui s’entrechoquent et les cris qu’elles poussent à travers leurs bâillons provoquent la fuite des moins hardis.

Elles repoussent les plus audacieux d'un coup de pied dont la puissance est hélas limitée par la faible longueur des entraves de leurs chevilles.
C'est suffisant pour chasser les vils animaux qui les menacent.

Pendant un temps...

La sombre prédiction de leurs ravisseurs semble hélas se concrétiser. Les rats reviennent progressivement à l'assaut. Semblent tester les défenses de leurs proies. Constatent leur faiblesse. Évitent aisément les coups de pieds, de toute façon trop faibles pour les blesser.

Terrorisées, oubliant les recommandations de leurs ravisseurs, les captives gémissent dans leur bâillon. Ce qui achève d'exciter les terrifiants animaux. Qui se précipitent vers les jeunes femmes dont les cris d'angoisse et de désespoir déformés par leur bâillon s'amplifient. Ce qui dans un effrayant cercle vicieux contribue à encourager les pervers animaux.

Au paroxysme de la terreur, les deux sœurs épuisées par leurs vains efforts cessent de se débattre dans leurs chaînes et s’abandonnent au sort que leur réservent les horribles rongeurs.

Qui se contentent de leur lécher les pieds et les chevilles. Kathryn et Fergie se regardent. Est-ce tout ce qu’elles ont à craindre ? Est-ce le prélude à des actions plus douloureuses de la part de ces vicieuses bêtes qui goutent l’impuissance et la peur des jeunes femmes enchaînées et bâillonnées ?

C’est alors qu’elles entendent la voix de Steve s'élever.
- Qu'est-ce qui se passe ici ?

Cette voix suffit à faire fuir les rongeurs. Épuisées par l'épreuve et l'angoisse qu'elles ont subie, les captives s'écroulent. La tête baissée, le corps pantelant retenu par leurs chaînes qui leur épargnent une chute sur le sol froid et inégal du sous-sol.

Steve soulève le menton de Kathryn pendant que Jenny, qui est venue le rejoindre agit de même avec Fergie.
- On vous avait pourtant prévenues.
Les captives regardent leurs tortionnaires. Incrédules. N'y a-t-il aucune limite à leur cruauté ?
Le sourire qu'ils affichent semblent le confirmer.

- Être effrayées ainsi par quelques rats dressés. C'est ridicule.
Des rats dressés ? Les jeunes femmes manifestent leur incrédulité par des mouvement de tête, des marmonnements de protestations. Le couple face à elles s'amuse de leur réaction.

- Vous ne croyez pas qu'on prendrait le risque d'abimer deux corps comme le vôtre.
Les deux sœurs n'éprouvent aucun soulagement en entendant ces propos qui ne font que leur rappeler qu'elles sont des jouets entre les mains de leurs tortionnaires.

La question que leur pose alors Jenny les surprend.
- Personne n'est venu au chalet en notre absence ?

Kathryn et Fergie n'échangent même pas un regard avant de hocher négativement la tête. Même si elles doutent que le visiteur vienne les secourir, il s'agit sans doute de leur seule chance d'échapper au sort qui leur est promis.
Mais la voix du gardien du domaine vient briser leurs illusions.
- Oh, les coquines.

Elles entendent son pas dans l'escalier. Prises de panique, elles tirent à nouveau sur leurs chaînes. Supplient dans leurs bâillons. Le gardien apparaît.
- Ce sont des menteuses. J'ai dû ouvrir le chalet pour un détective envoyé par leur oncle.

Jenny regarde cruellement les prisonnières terrifiées qui cessent de s’agiter stupidement dans leurs entraves.
- Voyez-vous ça. Ces deux idiotes sont suffisamment têtues pour essayer de nous mentir. La Comtesse ne vous a donc rien appris.

Elle est interrompue par le gardien qui ne cache pas son admiration face aux jeunes femmes enchaînées.
- Elles sont vraiment superbes. On peut toucher ?
- Tu es notre invité.

L'homme s'approche de Fergie qui recommence à tirer stupidement sur ses chaînes et à protester à travers son bâillon. Kathryn horrifiée, assiste impuissante au supplice de sa sœur.

L'ignoble individu caresse le corps de la captive ; prend tout son temps.
- Les imaginer dans ce sous-sol tentant d'attirer notre attention, c'était trop bon.

Jenny intervient.
- Tu crois que tu as découragé le détective.
- Vous le connaissez, il vous a engagés.
- Il croit avoir engagé une certaine Sylvia qui nous a engagés.
- Si ce n'est que Sylvia et Jenny sont une seule et même personne.
- Et que Sylvia va devoir disparaître. Tu espères la faire jouir.

Ces derniers mots de Jenny sont adressés au gardien dont les caresses sur Fergie sont de plus précises. La malheureuse jeune femme sent qu'elle perd le contrôle de son corps. Est honteuse d'être incapable de se maîtriser.
- Maintenant que j'ai commencé, ce serait malvenu de ne pas lui donner un peu de plaisir.
- Tu parles du sien ou du tien parce que bâillonnée et enchaînée comme elle est, c'est une notion très relative pour elle.

Kathryn outrée de la façon dont les ignobles individus traitent sa sœur tente de protester malgré son bâillon. Elle regrette bien vite son geste quand Steve s'approche d'elle et commence à lui infliger d'indécentes caresses.
- Ne soit pas jalouse de ta sœur ma mignonne. Je vais m'occuper de toi.
- Quand vous aurez fini de vous amuser j'aurai peut-être la réponse à ma question.
- Laquelle ?
-  Le détective est-il convaincu qu'elles ne sont pas ici ?

Le gardien cesse d’importuner Fergie. Dont le soulagement est tempéré par le sentiment qu’il ne tardera pas à reprendre ses vils attouchements.

- Ce que tu peux être rabat-joie. Non, il n'est pas convaincu. La voiture a un mouchard.
- Dans ce cas, il sait qu'elle n'est plus ici.
- Et le mouchard fonctionne moins bien au fond du lac.
- A mon avis, il va envoyer une équipe pour vérifier mais il continue de surveiller le chalet.

Kathryn et Fergie échangent un regard qui malheureusement n'échappe pas à Jenny.
- Ne vous faites pas d'illusions, les filles. Vous êtes loin d'être sauvées. Nous allons seulement contacter notre ami commerçant plus tôt que prévu.
- Il faudra passer par le tunnel.
- Ce n'est pas un problème.
- Le marchand va se douter que nous sommes pressés par le temps et qu'il prend un risque. Il faudra négocier les prix.
- Ne vous inquiétez pas de ça. Je m'en occupe pendant que vous vous occupez de ces deux idiotes.

Les captives sont affolées. Elles croyaient avoir gagné un peu de tranquillité.
- Je croyais que tu ne voulais plus qu'on les taquine.
- Elles continuent de se montrer insolentes. Et elles savent à présent que les rats sont dressés.
Steve se concentre sur les tétons de Kathryn mais continue de participer à la discussion.
- Je suis sûr qu'elles continuent d'en avoir peur. N'est-ce-pas mes chéries ?
Seuls les gémissements des prisonnières répondent à cette question purement rhétorique.

Jenny sourit cruellement.
- Amusez-vous bien les garçons pendant que je négocie au mieux la vente de nos amies.

La jeune femme s'engage dans l'escalier abandonnant les deux sœurs à la lubricité de ses complices.
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Re: L'héritage des soeurs Rigdon

Message par Mad Hatter »

Les pauvres rats dressés pour léchouiller. :langue: Bien trouvé.

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Gwenboyfriend
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Re: L'héritage des soeurs Rigdon

Message par Gwenboyfriend »

Le Repas

Dans le sous-sol seulement éclairé par la lumière blafarde. Kathryn et Fergie osent à peine se regarder. Honteuses d'avoir été le jouet des deux hommes qui semblaient avoir pris le contrôle de leur corps.
Au début, ils s'étaient montrés malhabiles, hésitants. Avoir ces deux jeunes femmes enchaînées et bâillonnées à leur disposition, sans qu'elles puissent résister ni même se plaindre autrement que par des gémissements que la boule de tissu qui envahissait leur bouche rendait ridicule semblait avoir bloqué leur inspiration.

Leurs caresses étaient désagréables mais ne provoquaient guère de réaction chez les deux prisonnières qui commençaient à penser qu'elles allaient vivre un moment désagréable mais pas pire que ce qu'elles avaient déjà subi.

Jusqu'au retour de Jenny qui avait commencé à exprimer son mécontentement.
- C'est tout ce que vous savez faire ?
Elle s'était alors adressé directement à ses victimes comme si elles étaient des amies.
- Les hommes, dès qu'on leur interdit de pénétrer, ils ne savent plus quoi faire. Vous n'êtes pas d'accord les filles ?

Kathryn et Fergie s'étaient contentées de hocher la tête sans que cela exprime leur accord ou leur désaccord. Elles ne pouvaient pas faire beaucoup plus et se doutaient que leur tourmenteuse se moquait de leur opinion sur cette épineuse question. Elles étaient surtout inquiètes des intentions de leur interlocutrice. Qui ne tarda pas à les clarifier.
- Heureusement que je que je suis là pour les conseiller.

La séance d'attouchements qui avait suivi au cours de laquelle l'impitoyable Jenny avait d'abord guidé ses complices puis participé aux jeux avait été un cauchemar pour les deux captives qui non seulement avaient perdu le contrôle de leur corps mais qui surtout, du fait de leurs entraves et de leurs bâillons, découvraient les élans involontaires de leur corps contrariés et leurs cris étouffés. Ce qui ne faisait que rendre cette épreuve encore plus douloureuse.

Quand l'ignoble jeu avait cessé, les criminels avaient abandonné les captives épuisées et humiliées dans leurs bâillons et leurs chaînes.

Elles avaient ensuite dû supporter le son des ébats de Jenny et de ses deux complices manifestement excités par le jeu auquel ils avaient joué avec leurs victimes.
Jenny parfaitement consciente des possibilités acoustiques du sous-sol avait manifesté son plaisir avez beaucoup d'entrain.

Puis le silence était revenu.

Un silence sourd et pesant pour les deux prisonnières mais préférable aux sons qu'elles avaient dû supporter.

Combien de temps s'est-il écoulé depuis les épreuves qu'elles ont subies. Rien ne leur permet de le savoir. Le calme et le silence règnent dans le chalet. Leurs tourmenteurs manifestement fatigués par leurs ébats prennent un repos qu'ils jugent sans doute bien mérité rêvant peut-être de la façon dont ils vont dépenser l'argent que leur rapportera la capture et la vente de leurs prisonnières.

Vendues. Ce mot résonne dans leur tête. Elles vont être vendues. Négociées comme un objet de valeur. Cela leur est insupportable. Mais elles ne peuvent rien tenter. Leurs chaînes sont solidement fixées au mur. Leurs bâillons bien enfoncés dans leur bouche. Bloqués par le cylindre de cuir fixé entre leurs dents et leurs lèvres.

Le mystérieux détective ne semble pas se manifester et les criminels ne semblent guère le craindre. Le collier autour de leur cou et la ceinture d'acier autour de leur taille, tous deux fixés au mur achèvent de leur rappeler leur impuissance.

Elles gardent la tête baissée conscientes de n'avoir aucun autre choix que de subir le sort que leur réservent leurs ravisseurs.

Le son des pas de Jenny dans l'escalier les sort de leur apathie. L'angoisse les étreint. Que signifie ce retour ? L'infâme jeune femme leur réserve-t-elle de nouveaux tourments ? Les deux sœurs guettent l'apparition de leur ravisseuse avec une crainte qui va croissant au fur et à mesure que les pas se rapprochent.

Jenny apparaît enfin. Portant un plateau sur lequel est disposé un succulent repas.
- J'ai pensé que vous deviez avoir faim. Je suis gentille non ?
Conscientes que la criminelle commence un nouveau jeu, les captives hochent la tête pour montrer leur assentiment.
- Vous êtes de bonnes filles, je vais vous enlever vos bâillons. Ce sera plus facile pour manger. Vous êtes d'accord ?
Les jeunes femmes regardent Jenny sans comprendre. Comment pourraient-elles manger en étant bâillonnées. Jenny comprend leur désarroi. Devine leur question forcément muette.
- Je vous assure que vous n'avez pas envie de connaître la réponse à la question que vous ne pouvez pas poser. Je repose la mienne. Souhaitez-vous que je vous retire vos bâillons.

Les deux sœurs approuvent la proposition d'un mouvement de tête.
- Je ne veux pas entendre de supplications, de réclamations, de remarques. Vous ouvrez la bouche pour manger, c'est tout.

Les prisonnières acceptent.

- Très bien. Je vous autorise à parler pour me remercier. Et vous pourrez poser des questions si vous demandez la permission d'abord. Est-ce que c'est clair ?

Kathryn et Fergie sont humiliées d'être ainsi traitées mais savent qu'elles n'ont pas le choix et acceptent la cruelle proposition.

La criminelle commence par libérer Fergie qui oublie les instructions et supplie sa geôlière.
- Je vous en prie, libérez aussi mes poignets. J'ai trop mal aux bras.

Jenny saisit les cheveux de la jeune femme et tire sa tête en arrière.
- Je croyais avoir été claire : pas de supplications. Tu mériterais que je te remette ton bâillon.
- Non non, ne faites pas ça.
- Tu es vraiment trop insolente.

L'impitoyable criminelle remet en place le bâillon de l'infortunée jeune femme. Puis s'approche de Kathryn terrifiée par le sort de sa sœur.
- Tu vas être raisonnable j'espère.

La captive baisse la tête en signe de soumission. Sa geôlière souriante retire son bâillon.
- Merci Madame.
- Tu es moins insolente que ta sœur mais je ne crois pas t'avoir autorisée à m'appeler madame. Je te laisse une chance avant de te remettre ton bâillon.

Kathryn réfléchit aussi vite que sa fatigue et son angoisse le permettent. Elle réalise qu'une seule réponse est possible.
- Merci, Maîtresse.
- Voilà qui est mieux. Que désires tu pour te récompenser de ton intelligence ?
- Ce que vous estimerez juste, Maîtresse
- Très bonne réponse, je t'autorise à m'appeler Madame.
- Merci Madame.
- Tu es une bonne fille. Tu veux que je libère tes poignets.
- Si cela vous fait plaisir, Madame.
- Je crois que je préfère te laisser enchaînée à ce mur.
- Comme vous le souhaitez Madame.
- Cela ne te gêne pas ?
- Ce n'est pas à moi de décider ce qui me gêne, Madame.
- Décidément, j'aurais dû demander un prix plus élevé. Tu veux boire un peu d’eau ? Tu dois avoir soif.
- Je veux bien, mais si vous le permettez, j'ai une requête, Madame.
- Je te permets.
- Cela m'ennuie d'étancher ma soif alors que ma sœur ne peut pas boire. Madame.
- Tu veux dire que j'ai été injuste envers elle ?

La main de Jenny s'approche de la poitrine de Kathryn qui réalise qu'elle prend un risque d'aggraver sa situation et celle de Fergie. La main qui est posée sur son sein peut être celle qui caresse comme celle qui blesse. Et elle ne peut rien faire pour s'y opposer. Si ce n'est se faire complice du jeu pervers que lui propose, ou plutôt impose, sa tortionnaire. Un jeu où elle et sa sœur seront les perdantes dans tous les cas.
- Ce n'est pas à moi de décider ce qui est juste où injuste, Madame.
- Tu reconnais que ta sœur s'est montrée insolente.
- Je le reconnais, Madame.
- Et pourtant tu me demandes d'être indulgente envers elle. Peut-être que c'est toi la plus insolente des deux.
- Je n'ai pas le droit de vous demander d'être indulgente, Madame. Je souhaite partager sa punition.
Fergie devine ce que sa sœur tente d'obtenir mais cela l'inquiète. Jenny ne peut pas être dupe. Leur seule chance est que la proposition de Kathryn l'amuse suffisamment pour qu'elle se montre indulgente.
- Voici une très bonne requête. Je l'accepte volontiers.

La criminelle reprend le bâillon pour le fixer entre les lèvres de sa prisonnière qui résiste à la tentation de supplier sa tourmenteuse. Elle espère que l'impitoyable jeune femme s'amuse de sa peur et va renoncer à la bâillonner à nouveau. Elle constate la stupidité de cet espoir quand le tube de caoutchouc s'insère entre ses lèvres et ses dents. Et qu'elle sent les attaches se fixer sur sa nuque.

Jenny s'installe et commence à déguster les plats qu'elle avait promis aux prisonnières qui prennent alors conscience de la faim et de la soif qui les tenaille.
- J'aurai cru que d'anciennes prisonnières de la comtesse étaient plus avisées. A moins que vous me sous-estimiez. Tu espérais vraiment m'abuser en jouant la fille soumise prête à partager la punition de sa sœur.

Kathryn est évidemment dans l'impossibilité de répondre autrement qu'en hochant la tête. Mais elle n'ose pas le faire. De peur d'attiser la férocité de leur tortionnaire. Elle se contente de garder la tête baissée. Autant que le permet l'infâme collier métallique fixé au mur par une chaîne qui lui paraît de plus en plus courte.

Jenny continue de manger et de boire sous les yeux de ses victimes désespérées et impuissantes.
- Rassurez-vous. Les garçons vont venir vous nourrir dans quelques minutes et ils en profiteront pour vous faire un brin de toilette. La nourriture sera moins appétissante que celle-ci mais très reconstituante. Evidemment, ils devront changer votre bâillon. Vous verrez, le nouveau est très pratique et très efficace.

Le regard des captives se fait suppliant.
- J’imagine que vous regrettez votre insolence mais cela vous prépare à votre nouvelle condition. Votre futur propriétaire est beaucoup moins indulgent que moi.

Sur ces terrifiantes paroles, la criminelle reprend son plateau et abandonne ses victimes désespérées
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Re: L'héritage des soeurs Rigdon

Message par Gwenboyfriend »

La toilette

Les captives n’ont pas longtemps à attendre. Elles entendent le pas des deux hommes dans l’escalier. Qui tiennent dans leurs mains les nouveaux bâillons et des tubes ressemblant des tubes de dentifrice auxquels est fixé un tuyau.

- On les nourrit ou on les lave d’abord ?
- Un petit brin de toilette ne peut pas leur faire de mal.

Les ignobles individus tournent une roue fixée dans le mur. Les jeunes femmes reçoivent un violent jet d’eau froide qui leur tombe dessus depuis un pommeau de douche fixé au plafond.

Sous l’effet de la surprise, elles poussent des cris et des gémissements qui amusent beaucoup leur tortionnaire.

Enchaînées contre le mur, elles ne peuvent rien faire pour échapper au jet puissant. Qui ne cesse qu’au bout de quelques minutes.

Steve et son complice leur savonnent ensuite le corps insistant sur les parties intimes. S’adressant ironiquement à leurs victimes.

- C’est agréable une bonne douche froide ça réveille. Vous êtes d’accord les filles ?
- Elles ne sont pas très bavardes aujourd’hui.
- Vous faites la tête ? ça ne vous fait pas plaisir qu’on prenne soin de vous. Vous êtes vraiment des ingrates.

Les deux sœurs gardent la tête baissée, évitent le regard de leur tortionnaire. Souhaitent que cette toilette cesse. Etre seules dans cette cave leur paraît préférable aux humiliations qu’elles doivent subir depuis qu’elles sont entre les mains de leurs nouveaux ravisseurs.
Un nouveau jet de la douche fait partir le savon. Les hommes enveloppent les captives dans des serviettes pour sécher leur corps encore humide. Ils prennent évidemment leur temps goûtant une proximité insupportable pour les deux sœurs.

- A présent on va changer vos bâillons.

Kathryn profite de l’instant où elle peut parler pour faire une dernière tentative. Elle espère que ces hommes vont être plus malléables que leur impitoyable compagne.
- S’il vous plait ne nous bâillonnez pas tout de suite.

Steve retient son geste.
- Pourquoi attendre ?
- Je voulais vous faire une proposition.
- Laquelle ?
- Vous savez que nous devons hériter d’une immense fortune.
- Comment sais-tu qu’elle est immense ?
- Dans le cas contraire pourquoi la Baronne et la Comtesse auraient déployé tant d’efforts. Sans parler du détective et du mystérieux individu qui vous paie pour que cette fortune nous échappe.
- Je vois que le temps passé à être enchaînée et bâillonnée t’a permis de réfléchir. Ceci dit, tu ne me sembles pas en position de réclamer cet héritage. Pas davantage que ta sœur.
- Si vous nous libérez et que nous arrivions à temps, nous vous donnerons le double de ce qui vous a déjà été donné.
- Il faut que tu ajoutes le prix de votre vente au marchand d’esclaves.
- Nous l’ajouterons aussi.
- Je me demande si ta sœur est d’accord. Elle ne s’est pas exprimée peut-être parce qu’elle est toujours bâillonnée.
- Enlevez son bâillon, je suis certaine qu’elle sera d’accord.
Fergie s’efforce sans attendre de montrer son approbation.
- C’est inutile, elle semble déjà d’accord. Mais comment être sûr que vous tiendrez parole une fois libre.
- Gardez moi comme otage. Fergie vous paiera une fois qu’elle aura obtenu l’héritage.
- Vous devez être présentes toutes les deux.

Kathryn cherche désespérément un moyen de convaincre ses ravisseurs de sa bonne foi.
- Faites-nous confiance. Qu’avez-vous à perdre ?
L’homme semble hésiter.
- Le problème c’est votre oncle. Il pourrait nous en vouloir et ne pas respecter ta parole.
- Il vous en voudra encore plus s’il perd cette fortune à cause de vous.
- Dans quatre jours, il aura tout perdu et ne sera plus un danger pour personne. Quant à vous, plus personne ne s’y intéressera. A part d’éventuels acheteurs qui ne manqueront pas de surenchérir pour vous posséder. On aurait dû demander un pourcentage au marchand.

- Parlez à Jenny de ma proposition. Il est encore temps.
- Qui t’a autorisé à appeler ta maîtresse par son prénom.
La réprimande s’accompagne d’une tape sur les fesses de la jeune femme.
- Je crois qu’il est temps que tu retrouves un bâillon.
Kathryn ne peut pas se résoudre à accepter son échec.
- Non ! Ne me… Mmmpff !!!

Le bâillon que Steve utilise est en cuir. En son centre est fixé un tube rigide ouvert qui prend place entre les lèvres et les dents de la captive qui n’essaie pas de résister.
- On dirait que tu deviens enfin raisonnable.
Il serre ensuite au maximum la sangle sur la nuque de sa victime.
Son complice a agi de même avec Fergie qui n’a pas davantage résisté.
- Bien à présent, il est temps de vous nourrir.

Les captives constatent que la partie du bâillon appliqué sur leur bouche peut être ouverte de façon à dégager l’orifice du tube enfoncé entre leurs lèvres et leurs dents.
Les deux hommes insèrent dans cet orifice le tuyau à l’extrémité de ce qui ressemble à un gros tube de dentifrice.
- Je vous conseille d’avaler.
Les hommes pressent sur les tubes. Les captives sentent une pâte sans saveur couler dans leur bouche et descendre vers leur gorge. Elles n’ont pas d’autre choix que de l’avaler.
- Il paraît que les cosmonautes se nourrissent de cette façon. C’est pratique, cela permet aussi de vous hydrater. D’après le fabriquant. Un tube par jour est suffisant.

Les ravisseurs referment ensuite le bâillon des captives désespérées de l’infernale ingéniosité de leurs geôliers.
- C’était amusant de discuter avec vous. Mais il faut que vous sachiez que l’homme qui nous paie pour vous garder jusqu’à ce que vous ne puissiez pas toucher l’héritage n’est pas de ceux que l’on trahi.
- Elles ont essayé de vous acheter ?

Les deux hommes se tournent vers Jenny qui est revenu dans le sous-sol.
- Oui, c’était assez amusant.
La criminelle s’approche de Kathryn.
- Je comprends ce qui plaisait à la Comtesse. Ce petit fond d’insolence qui demeure et qui donne tant de raisons de vous punir.

Elle sourit.
- J’ai une bonne nouvelle. Vous allez bientôt quitter ce sous-sol. Le marchand vient vous chercher demain. Il a accepté le prix que je demandais.
- Ce n’est pas trop risqué ? Le détective continue de nous surveiller.
- Il ne verra pas le marchand et c’est moins risqué que de les garder ici. A présent laissons nos amies se reposer. Une dure journée les attend.

Avant de remonter l’escalier. Les criminels ont un dernier regard vers les captives nues, bâillonnées, le dos au mur, immobilisées par les chaînes fixées à leurs poignets, leurs chevilles, leur taille, leur cou.
- Vous êtes vraiment superbes. Nous vous regretterons.
Sur ces mots le trio remonte l’escalier et referme la trappe du sous-sol.

Enfin abandonnées par l'ignoble gang, les captives résignées mais soulagées du départ provisoire de leurs geôliers commencent à somnoler malgré elles. Dans leur demi sommeil fiévreux, leurs membres enserrés dans les chaînes leur semblent moins douloureux. Leur taille enfermée dans la ceinture d’acier moins insupportable. De même que leur cou emprisonné dans un collier métallique. Elles en oublient presque qu’elles sont reliées au mur du sous-sol, qu’elles sont nues, que leur bâillon empêche tout échange entre elles.

Soudain des bruits retentissent. Des gens sont à la porte du chalet, exigent qu’on leur ouvre. Elles reconnaissent la voix du détective qui les recherche. Mais cette fois, il n’est pas seul. Jenny et ses complices ont dû leur ouvrir. Le gardien a du mal à expliquer sa présence dans ses lieux. Tente de décourager les nouveaux arrivants. Après tout, le détective a déjà fouillé le chalet. Mais les ravisseurs ont fait une erreur. Ils ont oublié de recouvrir l’accès qui mène au sous-sol. Kathryn et Fergie entendent la trappe qui se soulève, les pas dans l’escalier. Leur cœur se soulève de joie. Elles vont être libérées. Elles voient les pieds de leur sauveur et…

Kathryn est éveillé par la douleur de son cou quand, dans son sommeil, elle a basculé vers l’avant.
C’était un rêve. Elles sont toujours enchaînées et bâillonnées dans cet infect sous-sol et personne ne vient à leur secours. Elle se tourne vers Fergie qui la regarde intensément. Elle comprend, qu’elles ont fait le même songe.

Kathryn se demande combien de temps s’est écoulé. Combien de jours reste-t-il avant la fin du délai pour se présenter et recevoir leur héritage ? Sans doute trois. Une fois ce délai écoulé, elles n’auront plus aucune autre valeur que celle de leur corps que tous semblent s’accorder à trouver éblouissant. Il y a eu un temps où elles en auraient retiré de la fierté. Ce n’est plus le cas. Quelle fierté peuvent-elles avoir à être traitées comme une marchandise?

La trappe s'ouvre, les captives reconnaissent le pas de Jenny qui apparaît au bas de l'escalier.
- Le détective semble avoir compris que vous pouviez être qu'ici. Il encercle le chalet avec une dizaine d'hommes.
Kathryn tente de parler malgré son bâillon.
- Tu veux proposer quelque chose?
Kathryn approuve d'un mouvement de tête.
- Laisse moi deviner. Je vous libère et vous dites à votre sauveur de nous laisser tranquilles.
Kathryn approuve à nouveau.
- Et ta soeur est d'accord.
Fergie manifesté bruyamment son accord en marmonnant dans son bâillon et en hochant la tête frénétiquement.
- Vous avez de la suite dans les idées. Malheureusement pour vous j'ai une autre possibilité.

Jenny descelle une pierre du mur derrière laquelle est caché un levier, elle l'abaisse. Un pan du mur se soulève derrière lequel apparaît un tunnel a l'entoure duquel attendent un homme et trois femmes.

L'homme porte un fouet à sa ceinture. Chacune des femmes tient une cravache dans sa main. Deux d'entre elles portent un sac dont les captives redoutent le contenu.

Jenny sourit.
- Je vous présente Bob, Kelly, Tina et Nicky. Vos nouveaux maîtres et maîtresses.
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fredchl
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Re: L'héritage des soeurs Rigdon

Message par fredchl »

Une bonne suite bien tournée et un final surprenant qui nous tient en haleine ! :bravo:

eric
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Re: L'héritage des soeurs Rigdon

Message par eric »

C'est vraiment toujours un plaisir de lire tes histoires.
L'écriture, le sens de l'intrique bref on en redemande :bravo:
Merci pour le partage

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Mad Hatter
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Re: L'héritage des soeurs Rigdon

Message par Mad Hatter »

:bravo: Impressionant, rien ne leur sera épargné.
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Ou est-ce l'inverse ?
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Gwenboyfriend
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Re: L'héritage des soeurs Rigdon

Message par Gwenboyfriend »

Merci pour vos messages. Tout de suite la suite.

Tunnel

Bob s'approche des deux jeunes femmes et les examine avec soin. Elles retiennent des frissons de dégoût quand ses mains parcourent leur corps. Ne laissant rien au hasard. Enfin, il se tourne vers Jenny.
-Tu n'as pas menti, elles valent la somme que tu réclames.
- Tu arriveras à patienter trois jours avant de les mettre sur le marché.
- Un jour pour arriver au bateau. Un jour pour atteindre l'île. Il reste une journée que j'utiliserai pour tester leur docilité.
- Tu ne seras pas déçu. Elles ont été dressées par la Comtesse.

Cet échange honteux de propos, le fait d'être traité encore comme une marchandise, blessent les deux sœurs qui ne peuvent pas s'empêcher de réagir. Tirant sur leur chaîne. Bredouillant dans leurs bâillons.

Pour le plus grand amusement de leur nouveau propriétaire.

- Tu dis que tu les as volées à la Comtesse.
- Elle les avait cédées à la Baronne.
- Donc tu as fait échouer un plan de la Comtesse et de la Baronne. Tu ne crains pas de te faire des ennemis redoutables.
- J'ai un allié tout aussi redoutable. Mais tu as raison. Il vaudrait mieux les vendre à des clients qui ne souhaiteront pas les exposer.
- C'est dommage de leur offrir des corps pareils.
- Ils paieront encore plus cher. Surtout si tu les vends ensemble.

Les deux sœurs, terrifiés, supplient à travers leur bâillon. Quel genre de client serait prêt à payer pour les cacher aux yeux de tous.

Leur réaction amuse le groupe de criminels.
- N’ayez pas peur. On n’en arrivera peut-être pas à cette extrémité. J’ai quelques clients suffisamment puissants pour n’avoir peur ni de la Comtesse ni de la Baronne et qui seront ravis de vous exposer aux yeux du monde.

Tina pose sa cravache entre les seins de Kathryn pendant que Nicky agit de même avec Fergie.
- Mais il serait préférable que vous vous calmiez.
Les captives obéissent et cessent leurs vaines supplications.
- Voilà qui est mieux.

Le calme revenu. Bob s’adresse à Jenny.
- Il est temps de préparer nos amies. Surtout si leur sauveur est à ta porte.
- Il ne fera rien avant le matin. Il ignore l’existence du tunnel et se contente de surveiller le chalet pour s’assurer que nous ne fuyons pas avec elles.

Elle sourit en regardant les deux sœurs qui suivent ses paroles à la recherche de la moindre lueur d’espoir.
- Et je ne suis pas sûre que ce soit leur sauveur. Après tout, c'est lui qui a ordonné de les ligoter et les bâillonner quand je les ai sorties des griffes de la Baronne.

La réaction d'incrédulité des captives n'échappe pas à la criminelle.
- Je sais, il a dit le contraire quand il parlait au gardien. Il a menti. Je me demande pourquoi.

Elle se tourne vers le marchand d'esclave.
- Elles sont à toi. Je te laisse les préparer dès que j'ai mon argent.

Sur un geste de l'individu, une de ces complices ouvre le premier sac. Kathryn et Fergie en aperçoivent le contenu. Il est rempli de billets. L'argent de leur vente. Elles n'auraient pas pensé valoir si cher. Pendant un instant, elles se sentent presque flattés que cet homme et ces femmes soient prêts à payer si cher pour les posséder. Et éprouvent aussitôt un sentiment de honte. Comment peuvent-elles être fières d’être traitées comme une marchandise ?

Bob s’inquiète pour Jenny et l’argent.
- Tu n'as pas peur que le détective trouve l'argent ?
- Les cachettes ne manquent pas dans ce chalet et ce qu'il cherche est légèrement plus grand.
- Plus remuant aussi. Préparons les pour la prochaine étape.

Le contenu du deuxième sac est très différent et les prisonnières n'en apprécient pas vraiment le contenu. Des chaînes au bout desquelles pensent des anneaux de tailles variées. Des tissus dont l'utilisation leur paraît hélas évidente.

L'homme s'adresse alors aux deux sœurs.
- Nous allons vous libérer de ce mur. Vous allez pouvoir vous dégourdir les jambes. J'espère que ça vous fait plaisir.
Les captives ne répondent pas et gardent la tête baissée. Évitant le regard de l'individu.
- Boudeuses. C'est une maladie que nous savons guérir.
D'un geste, il désigne Kathryn.
- Commençons par toi.

Les chaînes de la jeune femme lui sont retirées. Elle est autorisée à faire quelques pas sans aucune entrave. A l'exception de son bâillon qui ne lui a pas été retiré. Elle lève sa main vers sa nuque pour le défaire elle-même. Elle reçoit un coup de cravache sur les fesses qui interrompt son geste.

Tina, qui a donné le coup, la rappelle à l'ordre.
- Personne ne t'a autorisée de retirer ce bâillon. Contente toi de marcher.

Kathryn obéit et commence à marcher. Elle remarque que ses geôliers discutent entre eux et font à peine attention à elle. Elle envisage un instant d’en profiter pour s'enfuir. Mais cela signifierait abandonner sa sœur toujours enchaînée au mur. Elle croise le regard de Fergie et devine qu'elle l'encourage. Qu'au moins une d'entre elle soit sauvée.

La jeune femme hésite. Doit-elle fuir par l'escalier où le tunnel ? Elle ignore tout du tunnel. Sa longueur. Ses cachettes. Ses poursuivants se lanceront aussitôt à ses trousses. Elle est épuisée. S’il n'y a pas de cachette, ils n'auront aucun mal à la rattraper.

Personne n'est devant l'escalier. Elle peut atteindre la trappe en quelques secondes. Puis la porte du chalet. Une fois dehors, le détective la verra se portera à son secours. Elle sait comment s'ouvre le tunnel. Même si les ravisseurs fuient, ils pourront les rattraper et sauver Fergie.

Sans hésiter davantage, Kathryn s'élance. Elle va atteindre l'escalier. Un claquement sec se fait entendre. La lanière du fouet s'enroule autour du cou de la jeune femme. Elle est tirée violemment en arrière. Des mains saisissent ses bras les tordent dans son dos. L'immobilisent.

Bob s'approche d'elle.
- Je vois que tu as retrouvé l'usage de tes jambes. Et que tu as besoin d'une bonne leçon.

Sur un signe du terrifiant esclavagiste, Nicky abat plusieurs coups de cravache sur les fesses de l'infortunée jeune femme dont les cris sont étouffés par le bâillon.

Fergie toujours enchaînée au mur assiste impuissante à la punition de sa sœur.

Les coups de cravache cessent enfin. Une main saisit les longs cheveux de Kathryn. Tire sa tête en arrière. L'homme se plante face à elle.
- Tu as compris la leçon ?
Kathryn ne sait pas comment, elle peut répondre. Elle est toujours bâillonnée et sa tête est immobilisée par la main d'une de ses geôlières.
L'homme sourit.
- Tu peux encore cligner des yeux. Réponds à ma question.
Kathryn cligne une fois des yeux.
- Je suppose que c'est un oui.
Kathryn terrifiée cligne encore une fois des yeux.

Fergie enrage de voir sa sœur ainsi humiliée. Oubliant toute prudence, elle tire sur ses chaînes crie à travers son bâillon.

Sans autre résultat que d'attirer l'attention des marchands d'esclaves.
- On dirait que ta sœur n'apprécie pas la façon dont je te traite.
L'homme fait un geste et la cravache s'abat une nouvelle fois sur les fesses de Kathryn qui laisse échapper un gémissement.

L'individu s'approche de Fergie qui cesse de s'agiter vainement.
- Que se passe-t-il ? Tu ne protestes plus ? Pourtant ta sœur est loin d'en avoir fini avec sa punition.
La cravache s'abat une nouvelle fois. Fergie supplie Bob du regard.
- Qu'attends tu pour nous arrêter. Tu avais l'air décidée, il y a un instant. On aurait pu croire que tu avais trouvé un moyen de nous interrompre.

Fergie n'ose pas soutenir le regard cruel de l'ignoble personnage. Elle baisse la tête. L'homme saisit ses cheveux l'obligeant à affronter son regard. Il sourit en lisant la terreur dans les yeux de sa victime.
- Je crois que je vais m'amuser un peu avant de vous revendre. Occupez-vous de sa sœur les filles.

Les femmes s'empressent d'entraver Kathryn sous les yeux de Fergie qui doit supporter les commentaires de son tortionnaire qui lui explique comment fonctionnent les entraves.
- Tu vois, depuis que je fais ce travail, les filles et moi sommes devenus des experts. Pas au niveau de la Comtesse. Mais on se débrouille. On essaie des chaînes qui mettent les captives en valeur. Que ce soit beau. Tant qu'à être prisonnières, il vaut mieux que des corps comme les vôtres soient exposées dans toute leur splendeur. Tu n'es pas d'accord ?

Incapable de répondre au propos de l'infâme individu, Fergie ne peut que lui adresser un regard où se mêlent colère et désespoir. L'ignoble personnage sourit et explique comment et pourquoi Kathryn est ainsi enchaînée.
- Tu vois, on commence par le collier. C'est important le collier. C'est un geste tendre de l'ajuster. Surtout celui-ci. Tu as remarqué qu'il est dentelé en haut et en bas. Je suis sûr que tu te demandes pourquoi.

Fergie n'est pas certaine de vouloir entendre la réponse. Mais l'homme ne donne pas tout de suite l'explication.
- Tu as sans doute notée la corde fixée à l'avant. Tu en comprends l'usage, évidemment. Il n'existe pas de meilleure façon de vous tenir en laisse. Cela vous rappelle la nécessité d'obéir. Et quand vous résistez une petite traction suffit. Il existe une version plus désagréable pour les jeunes femmes indociles. Mais je suis sûr que je n'en aurai pas besoin pour toi et ta sœur.

Seuls le regard terrifié de Fergie et un sanglot de protestation répondent à la cruelle remarque de l'ignoble individu.

- Non, je vois que je n'en aurai pas besoin. Le plus intéressant maintenant. Regarde bien. On fixe une chaîne au collier dans le dos de ta sœur. Pourquoi ne pas la fixer à l'avance ? Me dirais tu si tu n'étais pas bâillonnée. Parce que ça permet d'en choisir la longueur au dernier moment en fonction de la torsion des bras dans votre dos. Et comme c'est une seule chaîne à laquelle sont fixés les deux bracelets pour vos poignets, cela vous évite la tentation de bouger continuellement les bras. Et les dentelures du collier vous incitent à ne pas tirer sur la chaîne. Mais rassure-toi. Ça mord juste un peu la peau. Ça ne pénètre pas. Et au bout de quelques minutes, vous saurez trouver la position idéale pour vos bras. Et vous saurez aussi garder la tête haute.

Fergie ne sait pas ce qui la terrifie le plus. Le spectacle des trois femmes en train d'entraver Kathryn en respectant scrupuleusement les explications de l'homme. Le sourire de Jenny qui assiste à cet indécent spectacle. Ou la voix calme, posée et douce de Bob qui commente cette atrocité. Et qui continue de parler à sa victime.

- Le bâillon à présent. Le vôtre est pratique pour vous nourrir mais nous en préférons un plus élégant. Plus classique aussi. Je suis sûr que tu en as déjà porté un comme ça. D'abord la boule de tissu enfoncée dans la bouche. Une petite culotte pour être précis. Celle de Jenny pour être encore plus précis. Elle a tenu à vous faire ce cadeau. Ne t'inquiète pas, elle en a gardé une pour toi. Elle ne les a pas lavées spécialement pour cette occasion. J'espère que tu apprécies l'intention.

Fergie voudrait se boucher les oreilles. Ne pas connaître tous les détails de l'infamie de leur ravisseur. Qui continue ses immondes explications.

- A présent, Kelly va nouer sur la nuque de ta sœur la bande de tissu fin qui s'engage dans la commissure de ses lèvres. Comme tu le sais déjà cela vous évite de recracher la boule de tissu enfoncée dans votre bouche. Ce qui serait vexant pour Jenny.

Fergie lance un regard haineux à l'homme. Il ne lui suffit pas de les entraver. Il faut encore qu'il se moque d'elles, qu'il parle comme s’il leur rendait service en les bâillonnant ainsi. Ce regard n'échappe pas au cruel individu qui exerce une nouvelle traction sur les cheveux de sa victime qui est incapable de retenir des gémissements où se mêlent rage et douleur. Et qui s'efforce de ne plus exprimer une vaine colère en écoutant la suite des commentaires de son tourmenteur.

- On pourrait en rester là mais cela ne ferait pas un très joli bâillon. C'est pour cette raison que Kelly ajoute une bande de tissu plus large qui recouvre les lèvres de ta chère sœur. Regarde comme elle serre bien le nœud sur la nuque. Et comment, elle le lisse sur la bouche pour effacer les faux plis. Tournez-la vers nous les filles. Que sa sœur voit comme elle est belle.

Kathryn tente de résister à cette nouvelle humiliation mais s'opposer à ces trois femmes alors qu'elle est solidement entravée est sans espoir et elle est ainsi contrainte de faire face à Fergie.

Cette dernière constate que l'ignoble affirmation de son tortionnaire est hélas exacte. Le bâillon crée un ensemble harmonieux sur le visage de sa sœur. De même que le collier dentelé qui contraint la jeune femme à garder la tête haute. Et met en valeur sa poitrine dénudée à l'exception de la laisse qui glisse élégamment entre les seins de la captive. Seules les stupides tentatives de Kathryn pour frapper ses geôlières avec ses pieds rompent cette harmonie. Défaut facilement corrigé quand Tina entrave les chevilles de l'insolente jeune femme avec une chaîne étroite qui permet juste de marcher maladroitement et lentement. La prisonnière se contente alors de rester debout, immobile, dans l'attente de l'humiliation suivante.

Ce qui, aux yeux et à la honte de Fergie, la rend encore plus belle.

Le trouble de sa victime n'a pas échappé à l'homme à ses côtés.
- Toi aussi tu la trouves superbe.
Fergie fuit son regard pour cacher son trouble.
- Rassure toi. Bientôt tu seras aussi belle qu'elle.

Bob s'adresse ensuite à ses assistantes.
- Faites donc marcher un peu notre amie. Que sa sœur voit combien elle est élégante ainsi.

Kelly saisit la laisse entre les seins de Kathryn et exerce une légère traction. La prisonnière tente de résister mais le simple contact de la cravache sur ses fesses la rappelle à l'ordre et elle se met en marche à la suite de sa tourmenteuse.

Fergie ne peut s'empêcher d'être fascinée par la démarche élégante que les entraves obligent sa sœur à adopter. Son corps et son port de tête bien droit. Le bâillon qui couvre le bas de son visage. Les petits pas réguliers imposés par les chaînes de ses chevilles. Tout cela a quelque chose de...beau.

Comment peut-elle penser ainsi ? Son malaise s'accroit quand elle voit Kathryn de dos. Les poignets croisés enserrés dans des bracelets métalliques reliés à son collier par une chaîne unique confèrent un raffinement supplémentaire aux entraves de la jeune femme.

Bob caresse la poitrine de Fergie qui réprime un frisson de dégoût.
- N'est-ce-pas qu'elle est belle ta sœur ? Regarde comme elle arrive à bien positionner ses bras dans son dos de façon à ne pas tirer sur sa chaîne et éviter que les dents de son collier s'enfoncent dans la chair de ses épaules. Et comme ses fesses sont bien exposées au regard...et au fouet.

Il éclate de rire face à l’expression terrifiée de la captive.
- Ne t'inquiète pas. Je l'utilise rarement. La plupart du temps, la cravache suffit.

Il lève la main pour interrompre la marche de Kathryn qui docilement va se placer dos au mur sans tenter de s'appuyer. Elle reste debout, enchaînée bâillonnée, contrainte d'assister à son tour au supplice de sa sœur.

Entre les mains expertes de ses ravisseuses, Fergie se trouve rapidement entravée et bâillonnée de la même façon que Kathryn. Elle découvre la morsure du collier sur la chair de ses épaules et constate que l'homme ne lui a pas menti. Les dents ne sont ni aiguisées ni pointues. Elle doit seulement s'efforcer de maintenir ses poignets suffisamment hauts pour réduire la pression du collier. Ses bras sont douloureux mais c'est supportable.

Elle réalise alors qu'elle raisonne comme une captive. Qu’elle ne songe qu’à s’accommoder de ses entraves. Qu'instinctivement, elle garde la tête et le corps droits. Qu'elle s'efforce de marcher avec élégance malgré ses chaînes. Qu'elle se laisse mener en laisse par Kelly pour donner satisfaction à ses maitres et maîtresses et ainsi éviter la cravache ou le fouet.

Mais est-ce seulement à cause de ça ?

Elle croise alors le regard de Kathryn. Elles sont face à face et comprennent qu'elles voient la même chose. Deux femmes soumises et belles que leur bâillon et leurs chaînes rendent encore plus belles.

C'est le succès des leçons de la comtesse et des ravisseurs qui lui ont succédé. Des captives qui auraient l'impression d'un manque si elles étaient soudain débarrassées de leurs chaînes et de leurs bâillons.

Cette pensée désespérante est interrompue par leur nouveau maître.
- Assez joué les filles. Il est temps de nous mettre en route. Tu veux dire au revoir à tes amies Jenny ?
- Ce n'est pas la peine. J'ai pris beaucoup de plaisir à les tourmenter mais je ne veux pas vous retarder. Quand le mur sera de nouveau en place, abaisse le levier à droite. Le mur sera bloqué de mon côté. Cela vous fera gagner du temps si le détective arrive trop tôt.

Bob saisit la laisse de Kathryn pendant que Kelly fait de même avec celle de Fergie. Tina se place derrière Kathryn et Nicky derrière Fergie. Leur cravache à la main prête à agir.

Bob donne l’ordre d’avancer.

Mais les deux sœurs, malgré leur peur et la tentation de se soumettre aux désirs de leurs geôliers, résistent à la traction de la laisse sur leur collier. Conscientes qu’une fois engagées dans le tunnel, elles n’auront sans doute plus aucune chance d’être sauvées.

La réaction de leurs ravisseurs ne se fait pas attendre et la cravache s’abat sur leur postérieur dénudé. Pendant que la traction sur la laisse se fait plus forte. Les obligeant à avancer d’un pas maladroit. Qu’elles contrarient en tentant de reculer malgré la traction de plus en plus forte et de nouveaux coups de cravache qui leur arrachent des sanglots de douleur.

Bob s’adresse à Jenny.
- Qu’est-ce qui leur prend.
- Je ne sais pas. C’est la première fois que je les vois aussi réticentes. Peut-être la proximité du détective. Elles s’imaginent qu’il va les sauver. Elles ne vont pas pouvoir résister longtemps.
- Peut-être mais je ne veux pas avoir à les trainer pendant tout le chemin.

Il s’adresse aux captives qui s’efforcent de maintenir leur détermination malgré leur terreur.
- Si vous continuez à résister et à nous ralentir vous allez tâter de de mon fouet.

Kathryn et Fergie regardent l’homme dérouler son fouet et le faire claquer d’un coup sec. Elle se raidissent prêtes à recevoir leur terrible punition mais décidées à ne pas céder.

Kelly intervient.
- On pourrait aussi changer leur collier.
L’homme sourit.
- Bonne idée, montre leur ce qui les attend.

La criminelle sort de son sac un collier dont l’intérieur est garni de pointes minuscules mais effrayantes.
- Avec ça autour du cou, elles seront moins enclines à faire les malignes.
- Ne vous inquiétez pas ce n’est pas dangereux, seulement douloureux.

Comprenant la stupidité de leur tentative de résistance, les captives avancent d’un pas pour montrer leur soumission et sont soulagées quand Kelly range le collier dans le sac.

- Vous avez de la chance que je ne veuille pas m’attarder. Mais vous ne perdez rien pour attendre. Je vous promets que vos fesses se souviendront de mon fouet. Il n’appartient qu’à vous de vous montrer dociles afin que ce souvenir ne soit pas trop cuisant.

Les prisonnières regardent leur tortionnaire en mettant dans leurs yeux tout ce qu’elles peuvent pour montrer qu’elles regrettent leur attitude et qu’elles seront désormais dociles et obéissantes si cela peut leur éviter d’être durement punies.

Bob sourit cruellement.
- Vous semblez devenir enfin raisonnables. Si vous continuez à vous comporter comme des esclaves sages et soumises, vous échapperez peut-être à la punition.

Des esclaves, c’est donc ce qu’elles sont pour cet homme et ces femmes. Malgré la blessure qu’elles ressentent en entendant ces mots, les deux sœurs laissent leurs propriétaires les encadrer et avancent sans résister quand Bob et Kelly tirent sur leur laisse.

Le groupe franchit le seuil du tunnel. Le mur redescend lentement.

Tina, suivant les instructions de Jenny, baisse le levier qui bloque la cloison et l’empêchera d’être ouverte depuis le sous-sol.
Kathryn et Fergie échangent un regard désespéré.

Une traction de la laisse et l’effleurement de la cravache sur leurs fesses les rappellent à l’ordre.
Dociles et obéissantes, elles se remettent en marche et encadrées par leurs maîtres et maîtresses sans tenter de résister davantage.
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Mad Hatter
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Re: L'héritage des soeurs Rigdon

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