Le contrat du centre équestre

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Mad Hatter
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Re: Le contrat du centre équestre

Message par Mad Hatter »

Alex, interloqué et perturbé, l'interpella.

- Mais tout est crypté normalement ! D'où vient cette merde ?!
- Aucune idée mais on se casse. Je m'occupe de la baraque et vous, vous ramenez nos poules au œufs d'or au centre équestre. Non encore mieux, chez Maeva ! Hors de question de laisser des preuves derrière nous. Aller au boulot !
Peut être que le cyptage a été levé, ou alors il aurait dû choisir Nord… Non de toute façon l'annonymat n'existe pas. Par contre les ravissueurs ont provoqué une vive réaction.


Très bonne continuation. :bravo:
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Ou est-ce l'inverse ?
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moimoi2
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Re: Le contrat du centre équestre

Message par moimoi2 »

Merci pour ton commentaire mad. Ca n'a pas été aisé de tout reprendre après une si longue pause. Mais au moins, je l'aurai enfin finie ! :biere:

Voilà la suite, c'est l'avant dernier chapitre.

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Pauline, Aurélie, Jessica


Sous l'insistance de Stella et d'Alex, les 3 filles furent  emmenés à la sortie. Une fois arrivées dehors, une par une, les ravisseurs les enfermèrent dans la camionnette et les bloquèrent dans des legbinders. 


Assourdies, aveuglées et bâillonnées, elles n'eurent d'autre choix que de subir ce traitement. Elles ne le savaient pas, mais, on arrivait à la fin de l'après-midi. 
Lorsqu'elles furent toutes installées sur le matelas, le moteur démarra et elles entendirent toutes le crissement des pneus sur le bitume. 


Aucune d'entre elles ne savaient exactement la suite précise des évènements. Les laissaient-ils enfin en paix ? Ou allaient-ils les utiliser pour d'autres méfaits, ou encore pire les tuer ? Malheureusement pour elles, elles étaient trop bien immobilisées pour tenter la moindre évasion. 
Elles essayaient de prendre leur mal en patience et au mieux de calmer les battements de leur cœur. 


Elles eurent l'impression que le voyage dura des heures et des heures. Soudainement, elles tiltèrent toutes sur un détail important. Au cours de leur route, les filles sentirent le véhicule qui les transportaient prendre un dos d'âne qui leur était familier vu la hauteur et la longueur de celui-ci. 
Elles étaient presque arrivées dans leur centre équestre ! 
Un regain d'espoir les envahit et elles recommencèrent à se débattre dans leurs liens. Malgré leurs efforts, elles ne réussirent en rien quoi que ce soit. La camisole et le legbinder les bloquaient de trop ! 


Une fois la camionnette arrêtée sur le parking, le conducteur et le passager avant y descendirent. Puis … rien. 
Personne ne venait les chercher ! Que se passait-il ? 
Toutes trois commencèrent à "crier" sous leur bâillon, à essayer de taper sur les parois capitonnées mais apparemment, personne ne les entendait ... 


Presque 30 minutes plus tard ... 


Les portes arrières s'ouvrirent violemment. Ce fut Jessica qui, en première, fut retirée du "coffre". Dès qu'elle sortit, la porte se referma aussitôt. 
Alex et son collègue, emmenèrent Jessica à une dizaine de mètres plus loin à l'abri des regards (toutes les dispositions avaient été prises mais on n'est jamais trop prudent). Ils lui retirèrent le legbinder et une fois les jambes libres, ils l'obligèrent à les suivre. 


Jessica, connaissant bien les lieux, devinait à peu près ou ils l'emmenaient à l'aide des bruits des portes et de l'odeur environnant. Ils se retrouvèrent aux écuries. A partir de là, son bandeau lui fut enlevé. Elle cligna des yeux pour s'habituer à la luminosité. 
Elle eu mal au cœur lorsqu'elle aperçut l'une de ses élèves, une jeune dans la vingtaine, encore en tenue d'équitation ligotée et bâillonnée à même le sol.


Pour le moment, elle était immobilisée dans un hogtied. Ses bottes retirées, du tape noir lui liait les chevilles, genoux et cuisses. Comme ses chevilles, ses poignets étaient entrecroisées et liés avec le même tape. Plusieurs larges bandes de tape retenaient ses coudes à son torse ainsi que ses poignets sur ses reins. Une corde longue et bien tendue reliait ses cheville à son torse. De ce fait, ses talons touchaient presque le haut de ses cuisses. Jessica voyait bien que la jolie brunette en bavait. Elle ne savait pas de quoi était composé le bâillon, mais un foulard recouvrait la partie basse de son visage, jusqu'en dessous de son nez. 


En voyant Jessica, l'élève cavalière fut surprise et réessaya tant bien que mal à se dégager, sans succès apparent. Jessica par contre, connut exactement le même sort. Elle eu le droit à plusieurs gorgées d'eau avant d'être à nouveau bâillonnée. Elle s'en rendit compte, il était sommaire mais assez efficace : un morceau de tissus bien enfoncé recouvert d'un foulard noir. Jessica et son élève furent placées dans le troisième box de l'allée droite de l'écurie, au beau milieu de la paille propre. Comme le lui avait appris "le chauffeur", Alex repris rapidement son attirail pour l'anesthésie. Il ouvrit sa sacoche et en sortit une seringue réservée à Jessica. 
Il s'approcha d'elle malgré les couinements étouffés des deux prisonnières. En hogtied, elles étaient à sa merci ! Il réussit à immobiliser le coup de sa première cible et piqua le coup de Jessica. L'effet ne fut pas immédiat mais, au bout d'une minute à peine elle commença à ressentir une lourde fatigue. 


Il passa à l'élève qui celle-ci, terrifiée, essayait par tous les moyens de l'en empêcher. Il dut mettre plus de force pour lui bloquer la nuque et comme pour Jessica, il lui administra le produit anesthésiant. En attendant qu'elle "tombe dans les pommes", il défit le hogtied de Jessica, déjà dans un état second. Il put donc l'allonger sur le ventre en dégageant la paille de son visage. Il enleva par la suite le morceau de tissu de sa bouche et pour tout, noua le foulard en son milieu pour faire une "boule" et lui entoura la mâchoire en serrant assez fortement pour qu'il tienne. Mais au moins, elle ne s'étoufferait pas dans son sommeil.


Il réitéra la même opération pour l'élève, qui était malheureusement présente au mauvais endroit au mauvais moment. Une fois les filles endormies et correctement allongées, il les lia entre elles avec les cordes restantes : au torse et au niveau des chevilles.
Une fois sa tâche accomplie, il se prépara à chercher les deux autres demoiselles qui devaient l'attendre bien sagement dans le véhicule.


Le ravisseur ferma les parties basses et hautes du box puis verrouilla les loquets de l'extérieur. Elles ne pourraient pas s'échapper sans aide ! De toute manière, elles n'en auraient pas pour très longtemps … Deux petites heures maximum tout au plus.  


Il revint vite rejoindre son complice à la camionnette. Alex remarqua qu'il s'était déjà occupé de Pauline. Ne restait plus qu'Aurélie, la voltigeuse. Il demanda à son complice, le "cameraman" :
- On la met où ? Et ça c'est bien passé avec Pauline ? 
- Nickel, je lui ai mis la dose indiqué par notre chauffeur préféré. Par contre pour les deux autres adhérentes présentes, je n'avais pas tout ce qu'il fallait, je t'attendais pour ça.
- Ok très bien, finissons-en avec elle, il nous en reste encore 3 à caser !


Comme Jessica avant elle, ils la portèrent (à son grand dam) sur plusieurs mètres. Ils lui libérèrent le bas de son corps. Le cameraman prit les devant : 
- Suis moi, tu verras par toi même. 
Alex hocha la tête et suivit son complice. Il comprit son collègue où ils allaient : 
- Les vestiaires ! 
- Exactement. C'est plus simple, il n'y a pas d'autres box de disponibles. On peut pas prendre le risque qu'ils soient trop nombreux dans l'écurie. Il risque d'y avoir du passage. Alex hocha la tête. 
- Bien vu. 
- Merci. 
L'accès aux vestiaires se faisait par le club house. C'était une salle classique, connue par une grande majorité de sportifs : une buvette de disponible, des tables et chaises à proximité ainsi qu'un coin détente. Heureusement pour eux, l'endroit était désert. 
Avant d'entrer dans les vestiaires, Alex commençait déjà à entendre du grabuge. Beaucoup même ! Au final, son collègue avait installé les deux "inconnues" dans les vestiaires avec Pauline. Il entendait les gémissements plus ou moins étouffés sous les bâillons de celles-ci (Pauline était déjà endormie).


Une fois la porte ouverte, Alex vit les vestiaires ré-agencés par rapport à sa dernière visite : 6 chaises hautes se trouvaient à droite avec une lignée de "porte manteaux" accrochés au mur. A gauche, de grands casiers étaient réservés pour le rangement du matériel et plus au fond à gauche se trouvaient les 2 douches. En face de celles-ci, 2 cabinet de toilettes étaient installés. 


Pauline, en tenue de concours de saut d'obstacle (pantalon blanc, chaussettes noirs et polo banc) était ligotée et endormie sur l'une des chaises à droite. Comme pour Jessica peu de temps avant, elle était retenue par du tape noir aux chevilles, genoux et cuisses. Une corde reliait ses chevilles au dossier de la chaise et une autre reliait son torse sur le même dossier. Le "cameraman" a été bien patient, il avait prit le temps de faire une sorte d'harnais de corde sur son torse. 


Aurélie, qui attendait toujours dans sa camisole, commençait à se dandiner. Elle ne voyait rien et n'entendait toujours très peu de chose. Elle entendait vaguement les deux autres filles, attachées dans les douches sans savoir qui c'était exactement. 
Alex, ne voulant aller au plus rapide prit cette fois la seringue de sa sacoche attribuée à Aurélie. 


Le cameraman, comprenant les intentions de son partenaire, bloqua la tête de la pauvre fille sur son torse et l'obligea à tourner la tête à 45°. Aurélie se débattait mais elle ne pouvait pas rivaliser de force contre son adversaire. Alex eu tout le temps pour la piqure. Une fois Aurélie "calmée", il se dépêchèrent de lui retirer la camisole. Ils la placèrent à deux chaises à côté de Pauline. Comme elle et les autres, elle eut le droit à être immobilisée à l'aide du tape : chevilles et poignets croisés, genoux immobilisés et quelques tours sur les cuisses. Ses poignets furent collés à ses reins à l'aide de plusieurs tour de tape et ses coudes au milieu du dos. Pour finir, plusieurs tours de corde l'immobilisèrent au dossier de la chaise. Son bandeau lui fut enlevé et comme bâillon de remplacement, ils lui nouèrent un  simple foulard noir autour de sa nuque : un cleave gag en bonne et due forme !


Alex eu l'envie irrésistible de voir les deux autres filles dans les douches. Celles-ci, deux cavalières (qui l'eu cru ?) étaient rattachées à l'aide de cordes à un tuyau en fonte au dessus d'elles. Leurs bottes étaient aussi retirées. Les cordes en harnais sur leur torse, les empêchaient de s'enfuir.  Bien évidemment, le ligotage était exactement le même que pour les autres.  La seule différence avec ces deux cavalières était l'obligation pour elles de tenir debout ! Par contre le bâillon était plus "brutale", des morceaux de tissus se trouvaient dans leur mâchoire en plus du tape couvrant leur lèvres ! 


Il y avait une jolie rousse et une blondinette .
- Sur ce mesdemoiselles, par rapport aux coups de pieds de tout à l'heure, je me vois dans l'obligation de vous laisser ici. Mais croyez-moi, ce fut un plaisir de vous connaître. Sur ces derniers mots, il leur fit une révérence moqueuse sous les gémissements des prisonnières. 
Avant de sortir, il éteignit les lumières. Il fut ravit d'entendre les complaintes de ses prisonnières réveillées. Ravi de sa feinte, il ne ralluma qu'une lumière, celle du fond qui éclairait les lavabos et le miroir. 
- On vous enverra la cavalerie dans 2 ou 3 petites heures. Adieu ! 


Et il claqua la porte. Il fut content lorsqu'il se rendit compte qu'avec la porte fermée, il n'entendait pas les "cris" des deux filles dans les douches. Si quelqu'un passait par là, il ne les entendrait même pas. 
- Aller on rentre, le boulot n'est pas encore finit ! 
Son compagnon acquiesça et ils se mirent en route. 

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moimoi2
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Re: Le contrat du centre équestre

Message par moimoi2 »

Et voilà la fin !

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Maeva, Will, Célia


Pour le final, Alex faisait équipe avec le "chauffeur". Ils se dirigeaient vers le lieu d'habitation de Maeva. Sa maison se trouvait dans un joli quartier résidentiel. Deux choses rendaient leur opération plus facile : ils détenaient tous les accès à l'habitation de la jeune fille et deuxièmement, à cette heure-ci, le quartier était plutôt désert. 


Une fois le garage ouvert avec la télécommande adéquate, ils y garèrent la camionnette et refermèrent aussitôt la porte. En premier lieu (ils se dépêchaient car ils n'avaient pas beaucoup de temps) ils préférèrent extraire Will du coffre pour l'emmener dans la chambre de Maeva. Il fut installé sur son lit, la tête bien calée sur l'oreiller. 
Ils firent demi tour et cette fois, s'occupèrent de Célia. Ils la transportèrent bien malgré elle (c'était plus simple avec la camisole et le legbinder). Une fois arrivés dans l'une des autres chambres de l'étage (celle de Pauline mais ça, ils ne le savaient pas), ils voulurent l'attacher sur le lit. 


Ils furent ferme, une fois débarrassée de son attirail, Célia essaya bien de s'échapper mais les deux hommes savaient ce qu'ils faisaient. Ils lui bloquèrent ses bras, bouclèrent ensuite chacun un bracelet aux poignets de Célia. Sur ces bracelets, étaient soudés un anneau en fer sur lequel une sangle en cuir y était accroché par un nœud bien serré. Ils l'obligèrent à "s'installer confortablement" sur le lit et lui lièrent les sangles sur les barreaux en écartant ses bras. Ses chevilles connurent le même sort (mais attachées au pieds du lit) et elle finit par être ligotée ainsi. Alex rajouta :

- En voilà une belle étoile de mer ! hahaha

Pour toute réponse, "le chauffeur" leva les yeux au ciel et Célia, rouge d'embarras, ne savais plus comment réagir.
 
Avant de partir, Alex prit ses dernières photos de sa "modèle" placée sur le lit. Célia ne voulant pas le laisser faire, tourna la tête du mieux qu'elle put. Mais certains clichés faisait apparaître belle et bien son visage. Une fois les clichés enregistrés, Alex cala deux oreiller sous la nuque de la prisonnière et commença à se retourner pour partir.

Célia l'apostropha du mieux sous son bâillon pour montrer ce dernier du doigt. 
- Mpphmmmm !

A mi chemin de la porte, Alex se retourna et sourit à pleine dent.
- Vu comment tu as été sage tout à l'heure, tu vas garder ton bâillon ! Ton ami Will a bien le droit de dormir tranquillement non ? 

Il ferma la porte et de rage, Célia cria et se débattit sur le lit en frappant le matelas de ses 4 membres. 
Fatiguée, elle souffla longuement.
Il ne restait plus qu'à attendre. 
 
-------------------------
Maeva


Le chauffeur et Alex avaient décidé de "garder le meilleur pour la fin". Une fois que Maeva fut ramenée dans la même chambre que Will (ses gesticulations et gémissements ne lui ont étaient d'aucune aide). Will, ligoté comme Célia, était toujours en train de dormir. Avec du mal, les ravisseurs  firent une boucle autour de chacune de ses chevilles à l'aide de cordes et obligèrent ensuite la jeune fille à s' allonger sur le plancher. Ensuite, ayant préparé leur coup, ils lièrent les jambes de Maeva en frogtied : les restants de cordes relièrent les chevilles au haut des cuisses de la prisonnière.


Ensuite, tandis qu'Alex forçait Maeva (toujours en catsuit) à rester agenouillée au sol, le chauffeur s'amusait à faire passer plusieurs longueurs de cordes autour de la poutre de la chambre. A première vue, il voulait en faire un harnais. 
Les craintes de Maeva s'avérèrent justes, une fois ses bras bien calés en boxtie, ils la transportèrent sur le lit, la placèrent au niveau des hanches du jeune homme et l'accrochèrent ensuite au harnais. S'agissant de cordes épaisses, elle fut maintenue à la poutre grâce aux cordes présentes sur son torse. L'ensemble formait presque une toile d'araignée. 
Pour finir, du tape noir enroula les poignets de Maeva en plus du boxtie et de plus, étant genouillée sur les hanches de Will, les ravisseurs finirent leur méfais en reliant ses mollets aux cuisses du jeune homme. Ainsi, il était sûr qu'elle n'arriverait pas à se dégager.


Comme pour Célia, Alex prit des photos. 

- J'en connais un qui aura une sacrée surprise en se réveillant. Amusez-vous bien mes petits chéris ! Tu es irrésistible ma chérie ! hahahahaha
- GGR!!! MMPPhmmmm !!
Une fois les criminels partis et rouge d'embarras à cause de sa position, Maeva se dandina mais elle remarqua bien vite qu'elle n'arriverait à rien. La jeune fille aux cheveux cuivrés était condamnée à attendre les secours ... elle espérait que Will ne se réveillerait pas avant ... 


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Le lendemain sur la chaîne d'information nationale 


"Le groupe criminel maintenant connu sous le nom de "FreeLife" a encore frappé.  Hier, des cavalières d'un centre équestre dans le département de la gironde ont été retrouvées ligotées et bâillonnées. Des membres de ce centre équestre sont tombés dans un get apens. 6 d'entre eux sont actuellement hospitalisés car ils présentaient des blessures mineures et sont en état de choc. 3 d'entre eux ont été retrouvés séquestrés au domicile de l'une des cavalières. 


Encore une fois, les malfaiteurs ont filmé leur actes et diffusés les vidéos et photos sur internet. Si celles-ci ont pu être supprimées des plus grandes plateformes vidéos ou de streaming, la police traque les groupes privés qui ont acheté ces vidéos ainsi que les précédentes. 
Des plaintes on été déposés par les victimes ainsi que leurs familles pour enlèvement, séquestration, attouchements sexuels, torture et dégradations de biens matériels.
L'enquête est toujours en cours pour arrêter ces criminels. 

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Mad Hatter
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Re: Le contrat du centre équestre

Message par Mad Hatter »

moimoi2 a écrit : 31 déc. 2020, 10:20



Le chauffeur et Alex avaient décidé de "garder le meilleur pour la fin". Une fois que Maeva fut ramenée dans la même chambre que Will (ses gesticulations et gémissements ne lui ont étaient d'aucune aide). Will, ligoté comme Célia, était toujours en train de dormir. Avec du mal, les ravisseurs firent une boucle autour de chacune de ses chevilles à l'aide de cordes et obligèrent ensuite la jeune fille à s' allonger sur le plancher. Ensuite, ayant préparé leur coup, ils lièrent les jambes de Maeva en frogtied : les restants de cordes relièrent les chevilles au haut des cuisses de la prisonnière.


Ensuite, tandis qu'Alex forçait Maeva (toujours en catsuit) à rester agenouillée au sol, le chauffeur s'amusait à faire passer plusieurs longueurs de cordes autour de la poutre de la chambre. A première vue, il voulait en faire un harnais.
Les craintes de Maeva s'avérèrent justes, une fois ses bras bien calés en boxtie, ils la transportèrent sur le lit, la placèrent au niveau des hanches du jeune homme et l'accrochèrent ensuite au harnais. S'agissant de cordes épaisses, elle fut maintenue à la poutre grâce aux cordes présentes sur son torse. L'ensemble formait presque une toile d'araignée.
Pour finir, du tape noir enroula les poignets de Maeva en plus du boxtie et de plus, étant genouillée sur les hanches de Will, les ravisseurs finirent leur méfais en reliant ses mollets aux cuisses du jeune homme. Ainsi, il était sûr qu'elle n'arriverait pas à se dégager.


Comme pour Célia, Alex prit des photos.

- J'en connais un qui aura une sacrée surprise en se réveillant. Amusez-vous bien mes petits chéris ! Tu es irrésistible ma chérie ! hahahahaha
- GGR!!! MMPPhmmmm !!
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:miam:
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elias_
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Re: Le contrat du centre équestre

Message par elias_ »

Jolie fin !

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