Voilà, après 3 ans de pause dans cette histoire, la toute fin commence à arriver. J'ai eu du mal à réécrire mais au moins elle sera bientôt finie J'espère que ce sera une bonne conclusion
Au niveau des types de pantalons indiqués, je vous joins juste quelques images des pantalons "fond de peau" (rouge) et "grip" (gris) pour que vous voyiez ce que c'est.
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Après ce qui sembla durer une éternité, à 8h, les captifs furent "réveillés" après une très "bonne nuit de sommeil". Une fois "délivrés" du cellophane, ils purent se déplacer afin de se désaltérer et se doucher à tour de rôle sous l'étroite surveillance de leur geôlier.
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Maeva, Will et Jessica.
Pour la matinée, Maeva dut mettre l'un de ses pantalons entièrement "grippé". Il s'agissait en fait d'un pantalon de couleur bleu nuit sur lequel sur toute sa surface arrière était apposé (au niveau des fesses jusqu'au dessus des chevilles tout en englobant les adducteurs) des petits "points" de silicone. Ce pantalon lui galbait parfaitement ses jambes et rehaussait son fessier. Elle portait comme haut un simple débardeur blanc.
- Prête pour une nouvelle journée de travail ? lui demanda Alexandre, l'un des kidnappeurs.
Seulement des bruits étouffés lui répondirent, évidemment, ses ravisseurs n'avaient pas perdus de temps à la mettre dans "le rang". Elle était suivie de près par 2 de ses camarades : Will et Jessica. Jessica portait aussi un pantalon d'équitation mais à fond de peau cette fois. De couleur rouge et noir et était habillée d'une chemise assortie à son pantalon. Quant à Will, il était habillé de la même manière que Maeva mais avec un tee shirt blanc synthétique.
Les autres, Pauline, Aurélie et Célia furent emmenées ailleurs au sein de la bâtisse.
De toute manière, Maeva le savait, ils ne pourraient s'en sortir facilement.
Les trois captifs essayèrent de résister mais leurs liens et bâillons étaient trop efficaces. Sans compter qu'ils étaient tous attachés les uns aux autres par des collier accrochés autour de leur cou et tous reliés entre eux par une fine chaînette.
Ils furent emmenés ainsi dans une autre pièce via un couloir étroit, éclairé et bien entretenu. De la moquette grise recouvrait le sol. Une fois entrés, ils réalisèrent dans quel genre d'endroit ils se trouvaient : un studio ! Ils le remarquèrent vite car, des appareils photos étaient placés dans toute la salle ainsi que des fonds blancs, verts et surtout, tout un attirail et tenues bien particuliers. Ils eurent vite peur en voyant tout ce matériel :
- Mmpphmmm !!
- Chhuut mesdemoiselles et mon jeune homme, ce n’est plus le moment de jaser ! Ça touuurrrnnneee ! lança Stella.
S’ensuivit une journée éprouvante et inoubliable pour les jeunes cavaliers. Durant cette matinée, ils furent attachés par toutes les manières inimaginables. Une fois en hogtied, en mettant "involontairement" leur forme en évidence, une fois en frogtied, d’autres fois sur des chaises, en croix, en balltied etc. A plusieurs moments, les ravisseurs obligèrent les filles à ligoter leur partenaire masculin et vice versa sous la menace d'une arme à feu.
À chaque position, une vidéo différente était filmée, un coup, un ravisseur apparaissait à l’écran en touchant les jeunes filles de toutes parts et en leur claquant les cuisses et les fesses fermement; d'autres fois, c’était une ravisseuse avec des équipements plus … particuliers. Will connu le même calvaire que ses amies cavalières.
Au bout de plusieurs heures, les hors la loi décidèrent de les ligoter tous les trois sur des croix de Saint André afin qu'ils se "reposent". Bien sûr, un bandeau les aveuglaient et de façon chronique, l'un des membres du gang ainsi que la femme en profitaient pour taquiner les captifs. Ainsi donc, la chemise de Jessica fut entrouverte.
Plus les enchères s'élevaient sur le darkweb et plus les ravisseurs dénudaient petit à petit leurs captifs. Jessica se retrouva sans chemise et avec son pantalon baissé. En sous-vêtements, une caméra la pointait sans qu'elle ne put rien n'y faire. Peu de temps après, Maeva connu le même sort. Une fois les enchères arrivées à leur maximum, une mallette fut déposée sur une table. Stella en sorti son contenu : œuf vibrant, ceinture de chasteté et vibromasseur.
Un concert de gémissement se fit entendre lorsque Stella leur annonça la nouvelle ... pour le plus grand bonheur des internautes.
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Pauline, Aurélie et Célia
Tandis que leurs 3 camarades étaient emmenés aux étages inférieurs, les 3 filles elles, furent "guidées" bien malgré elles à un autre endroit. Comme les autres, elles étaient reliées à des colliers et à des chainettes à la différence qu'elles, se retrouvaient en sous-vêtements, les bras bloqués dans un armbinder à l'arrière de leur dos.
Elles arrivèrent dans une grande salle sombre. Une fois séparées, ce fut Célia, la grande aux cheveux châtains clair qui fut reprise de force et emmenée dans un "box".
Environ 5 min plus tard, elle en ressortit munie d'une combinaison en PVC noir, toujours équipée de son armbinder.
Vint le tour d'Aurélie, la jolie blonde. Elle connut le même sort ainsi que Pauline. Jamais elles ne purent protester car, un bâillon gonflable leur coupait la parole. Les mêmes genres de scènes furent jouées qu'avec Maeva, Pauline et Will. Plusieurs "scénarios" furent construits (entrecoupés de pauses pour frictionner leurs muscles et les désaltérer). Elles les subirent un par un. Il n'était pas rares qu'elles durent porter des chaussures à haut talon ou des cuissardes.
Mais pour le clou du spectacle, toutes furent ligotées en frogtied à l'aide de divers sangles. Cette fois, les internautes eurent des idées plus "originales".
Les pauvres filles eurent aussi le droit à porter une cagoule en plus de leur bâillon. Elles ne voyaient rien, ne pouvaient parler et n'entendaient plus assez bien pour comprendre ce que disaient leur geôlier.
Elles sentirent toutes une par une l'armbinder leur libérer leur bras et après immobilisation "manuelle", des harnais enserrèrent leur torse. Une fois leur bras de nouveaux enfermés, des attaches supplémentaires s'enroulèrent autour des chevilles. D'un coup, elles n'eurent plus les pieds au sol et furent soulevées à un peu plus d'un mètre vingt de hauteur.
Aucune d'elles ne virent l'un des geôliers prendre un fouet. Il le fit tournoyer dans les airs et frappa au hasard l'une des 3 filles. Célia qui, sous la douleur et la surprise, gémit très fort, "tangua" sous son harnais. Par de petits sursauts, elle essayait d'y échapper sans succès.
Elle comprit vite en entendant ses amies qu'elles aussi avaient le droit au même traitement de faveur. De façon chronique et hasardeuse, les captives ne purent que subir ce nouveau châtiment.
Toutes prièrent en espérant que ce cauchemar ne durerait pas ...
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1 heure plus tard
Alex
Je regardais les filles se débattre. J'étais étonné qu'elles aient encore de l'énergie après ce qu'on leur avait fait ! La séance du "fouet" avait duré une bonne quinzaine de minutes en rajoutant 5 minutes de "pause". Après ça, on les a ligotées sur des chaises durant 20 autres bonnes minutes et les avons laissé là pour préparer la suite. Actuellement, tandis que deux des filles attendaient sagement sur un cheval d'arçon, la dernière (Aurélie) subissait une séance de "tickling". Celle-ci se trouvait sur un matelas, complètement sanglée des pieds à la tête et elle subissait toute sorte de sévices pour nos clients.
Ticklink, pieds "fouéttés", waterboarding, vibing ... La pauvre n'en pouvait plus ! Lorsqu'elle commençait vraiment à se sentir mal, nous faisions une pause pour reprendre tranquillement par la suite. Nous ne sommes pas des monstres tout de même.
Aux derniers retours, nos clients aimaient tout particulièrement la lueur de peur dans les yeux de Célia et Pauline. Une fois que toutes trois y passeraient, nous descendrons avec elles tandis que nos collègues viendront avec Will, Maeva et Jessica. Nous ferons une sorte de "changement d'atelier". Je voyais "le chauffeur" détacher temporairement Célia, la grande aux cheveux châtains clairs. Encore quelques dizaines de minutes de travail et on pourrait passer à la suite !
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Vers la fin de l'après midi ...
Durant l'après midi, une fois le "changement d'atelier" terminé, un appel d'urgence vint contrarier les plans des ravisseurs. Ils s'étaient rassemblés dans l'une des nombreuses salles du bâtiment.
Stella, un air soucieux sur le visage, discutait avec une personne inconnue qui n'était qu'autre leur commanditaire. Elle raccrocha sur ces mots.
-Compris, on les renvoie au bercail, on crame tout et on rapplique.
Tous attendaient des explications.
- Les gars on est en alerte maximale, les flics sont sur nous. Si on en croit notre informateur, d'ici quelques heures, ils arriveront à nous repérer via les adresses IP et rappliquer ici illico.
Alex, interloqué et perturbé, l'interpella.
- Mais tout est crypté normalement ! D'où vient cette merde ?!
- Aucune idée mais on se casse. Je m'occupe de la baraque et vous, vous ramenez nos poules au œufs d'or au centre équestre. Non encore mieux, chez Maeva ! Hors de question de laisser des preuves derrière nous. Aller au boulot !