Femme de chambre - Métier à risques !

[fredchl]

Une bonne suite !

[moimoi2]

Tu verras freddy, ça sera encore mieux !


L’homme buvait un verre de vin lorsque la rouquine revint. Il lui lança un regard interrogateur :

-J’ai râlé comme quoi Lise n’a pas pu faire « son travail » correctement seule. Pour la petite histoire, on lui aurait demandé de faire quelques petites courses pour nous. L’autre jeune devrait arriver dans 10 ou 15 minutes à tout casser. Je lui ai bien précisé que j’ai déjà contacté sa direction et qu’il n’y avait pas besoin de prévenir qui que ce soit. Ce devrait être suffisant vu que je l’ai vu seule. La fille est prête ?
- Non, elle est juste attachée et bâillonnée sur le lit à côté. On a tout notre temps pour les préparer de façon présentable. Et puis j’ai pensé que tu aimerais le faire avec moi.

Elle sourit.

-Ta bonté te perdra mon cher. Je vais quand même aller la voir, sait-on jamais fit-elle avec un air de malice.

Pour toute réponse, son interlocuteur haussa les épaules et lui fit signe qu’il n’y voyait pas d’inconvénient.
Quelques secondes après qu’elle soit entrée, il ne put s’empêcher de tendre l’oreille à la porte et avec de la concentration, l’homme entendit des cris ainsi que des gémissements étouffés provenant de Lise.

Je me demande comment elle aurait hurlé sans son bâillon, sûrement que plusieurs voisins l’entendrait !

Curieux, il décida tout de même d’attendre la venue de l’autre employée avant de découvrir ce que faisait sa camarade sur cette pauvre Lise. Nonchalant, il s’assit sur son fauteuil en attendant. Il se reposa une dizaine de minutes avant d’entendre quelques coups discrets à la porte qui annoncèrent l’arrivée (très probable) de l’employée. Il alla ouvrir la porte et découvrit devant lui une jeune femme à la peau bronzée presque habillée comme une bonne. L’uniforme était de même facture que celle de la réceptionniste à la différence de la couleur. Le tailleur et le calot étaient noirs, elle portait la même chemisette blanche que Lise avec une paire de Richelieu et non des talons. Elle était tout de même assez petite, environ 35-40 cm de moins que lui et avait des yeux bleus clairs avec des cheveux châtains.

-Bonjour mademoiselle, vous êtes la collègue de la réceptionniste qui est passée tout à l’heure ? Il lui fit signe d’entrer.
-Bonjour monsieur, c’est exact. Je peux savoir par où je dois commencer ?  
-Bien-sûr répondit-il en fermant la porte et le verrou une fois qu’elle fut dans la pièce. Vous pouvez commencer à enlever les housses des fauteuils, ils sont tachés malheureusement. Bien-sûr, je paierai les frais de lavage mais laissez moi le temps de prévenir ma femme.
-Très bien, je m’en occupe immédiatement.

Il toqua doucement et entrouvrit la porte, la rouquine la fixait du regard.
-Chérie ? La femme de ménage est là, tu penses être prête dans 2 minutes ? Il fit semblant d’entendre sa réponse et referma la porte.
-Après les housses, vous pourrez commencer la chambre à côté. Je partirai pendant ce temps, c’est compris ?
-Très bien monsieur répondit la jeune dans une politesse ancillaire.

Il se servit un verre de vin et observa la femme de ménage du coin de l’œil. Elle ne lésinait pas à la tâche et lorsqu’elle fut aux trois quarts de son dur labeur, il décida que sa collègue devait être prête.

-Excusez-moi mais vous pouvez commencer la chambre ? J’aimerais qu’elle soit prête avant notre départ
-Bien-sûr, tout de suite Monsieur.

[moimoi2]

 L’homme réussit facilement à attirer sa « proie » dans la gueule du loup. Il ouvrit la porte et laissa sortir « sa femme ». Celle-ci indiqua à la jeune fille :


- Venez, je vais vous donner quelques détails. Il y a du travail je vous préviens !

- Madame, je suis ici pour ça.

Sur ces paroles, elle suivit la rouquine.

 Il faisait très sombre dans la pièce. Elle attendait les explications de la femme qui tardaient à arriver. Avant qu’elle ne pose des questions, par delà la musique qu’elle entendait, elle vit une forme qui s’agitait sur le lit tout en gémissant. A cause de la pénombre, elle mit quelques secondes à deviner qui était cette personne.

Lise, mon dieu !

Soudain, la porte claqua et une cagoule s’abattit sur la tête de Jennifer.

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Ce bâillon lui devenait de plus en plus insupportable ! La boule dans sa mâchoire lui obstruait les lèvres sans compter la muselière qui finissait d’achever ses futiles tentatives d’appels à l’aide. L’impossibilité de parler lui pesait de plus en plus. Elle ne savait pas si même sans la muselière, elle arriverait à déloger la boule qui la gênait tant elle lui paraissait énorme. Elle était placée à l’arrière de ses dents et n’arrivait même pas à la mordre ou à la bouger avec sa langue.

Bien sûr, sa position était plus critique que quelques instants plus tôt. La femme s’était amusée avec elle. Pourtant, lors de son arrivée, elle lui avait semblé qu’elle serait moins violente que l’homme. Elle s’était trompée ! Celle-ci avait commencé par lui enlever les boules quies et à lui parler doucement pour lui affirmer que tout se passerait bien.

Juste après, elle avait enlevé les talons que portait Lise aux pieds. La suite avait été plus difficile pour cette dernière. La femme avait continué son jeu en plaçant doucement mais fermement les bras de Lise juste au dessus de sa tête afin de lui croiser les poignets et de les lui rattacher aux barreaux.


- Personnellement, je te trouve bien plus mise en avant dans cette position. Tu permets ? avait-elle « demandé » d’un ton qui ne pouvait souffrir d’aucune réplique. Ses mains se placèrent sur le torse de la captive et celle-ci gémit immédiatement.



Qu’est ce qu’elle va faire ???!!

Lise craignait connaître la réponse et effectivement, ses craintes se confirmèrent. La malfrat commençait à déboutonner le haut de sa chemise ! Lise ne voulait pas se laisser faire bougea par à coups, à gauche, à droite pour gêner sa tortionnaire.

- MMphmmmmmm !!

Malgré ce qu’elle réussit à faire, sa chemisette fut entièrement déboutonnée. 


- C’est déjà mieux mais pas suffisant !

 
- MMphmmmooipphmm ??!!



Elle ne pouvait le voir mais sa geôlière détenait un couteau dans l’une de ses mains. Elle en profita pour couper le tissu recouvrant les bras de Lise. Elle finit par enlever définitivement la chemise en la déchirant et jetant le reste non loin d’elles. Ses mains caressèrent directement le haut du corps de Lise sous ses soubresauts et ses plaintes à peine audible. Un soutien-gorge blanc soutenait ses seins.

-Tu préfères quelle matière entre le latex, le cuir et le synthétique ? demanda la rousse le plus naturellement du monde.
Lise devint de plus en plus rouge et inquiète. Elle refusa de lui répondre. Une douleur fulgurante se fit sentir sur sa joue gauche.
-Réponds !
-MMpphmmmmm ! Elle secouait sa tête avec des mouvements rageurs. Comment pouvait-elle faire ? Cette fois, la deuxième petite claque lui cingla sa joue droite.
-Très bien, on verra plus tard tu me diras. En attendant que tu te décides, je vais voir deux petites choses …

Elle sentit la femme se lever du lit pour se placer à la droite de Lise. Celle-ci sentit la pointe du dos du couteau descendre petit à petit son torse jusqu’à s’arrêter au début de sa jupe. La femme fit une coupure de haut en bas sur tout le long du vêtement de Lise et le lui retira de la même manière que la chemisette. Cependant, elle laissa à la captive ses collants noirs. Elle siffla de contentement, se leva et prit une photo. Lise entendit les pas de sa geôlière se rapprocher et d’un coup, elle retrouva « la vue ».

-Comment tu te trouves ? lui demanda la femme en lui montrant son smartphone.

Craignant se reprendre des coups, elle regarda la photo. On la voyait en sous-vêtements, ligotée, bâillonnée et aveuglée sur le lit. Les 2 jambes écartelées et ses poignets croisés retenus à l’arrière du lit. Elle gémit plus par colère que pour lui répondre véritablement.

-Mmpphmm ! Elle bougea brusquement la tête pour accentuer vers l’avant son mécontentement.
-Je vois que tu es tout à coup devenue motivée, c’est bien ! dit-elle en lui tapotant les joues. Peut-être que nous pourrons te changer de catégorie si tu continues sur cette voie.
-Mmpphm ?!!

Devant l’air d’incompréhension de la jeune fille, elle résuma ce que c’était :

-           Plusieurs catégories de personnes peuvent se rendre à cette soirée. Cette soirée, en elle-même est une sorte de plusieurs entrevues pour discuter sur certaines affaires. La catégorie numéro une est la plus importante : elle regroupe les membres d’un groupe peu connu qui comprend des hommes et femmes d’affaires, des hauts fonctionnaires, quelques politiciens, des juges, des avocats et j'en passe. Ce sont eux qui ont organisé cette soirée. La catégorie numéro 2 regroupe les personnes de l’association « officielle » de bondage. C’est notre couverture. Les personnes de cette catégorie seront les plus nombreuses à cette soirée. Ils n’ont aucune idée des réels enjeux de ce qui va se passer cette nuit et nous, les « numéros 1 », nous nous mélangerons à eux. Enfin, la dernière catégorie dont tu fais partie regroupe souvent des personnes qui valent beaucoup d’argent que nous kidnappons pour demander une rançon. Sinon, ce sont des gens comme toi, des jeunes gens plutôt bien foutus. Nous vous séquestrons pour 2 raisons : pour exposition ou pour satisfaire des membres de la première catégorie « bondagesquement » parlant. Voilà pourquoi tu seras certainement utilisée pour participer à une exposition avec ton amie. Nous verrons bien.

Lise eu quelques secondes pour digérer toutes ces informations. La femme allait reprendre la parole lorsqu’elles entendirent une personne pénétrer dans la suite.
Sûrement Jennifer !
Elle se mit à crier de son mieux pour la prévenir mais la femme se jeta presque sur elle en s'asseyant sur son thorax afin de réduire sa respiration au minimum. Elle plaqua dans un même temps la tête de Lise sur l'oreiller.
-           MMpphmmm ****** !!

Elle resta ainsi sur elle quelques longues secondes. La porte s’entrouvrit et l’homme demanda.

-Chérie ? La femme de ménage est là, tu penses être prête dans 2 minutes ? Elle lui fit un clin d’œil et referma la porte.

Lise n’entendit pas la suite mais sentit brusquement la pression sur son torse s’évanouir. Elle pu reprendre son souffle petit à petit. Malgré ses appels à l’aide et ses mises en garde, Lise n’avait pas réussis à alerter sa collègue. Du coin de l’œil, elle entrevit Jennifer entrer dans la pièce, entendit la porte se renfermer brusquement et les 2 hors la loi se jetèrent sur sa collègue.Ils lui imposèrent une affreuse cagoule noir sur sa tête.

[Mad Hatter]