Femme de chambre - Métier à risques !

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moimoi2
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Femme de chambre - Métier à risques !

Message par moimoi2 »

Ce sera une histoire assez rapide à lire. Bonne lecture !
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Cher confrère n°22012589,

Comme vous devez vous en doutez, je suis ravi de vous informer par cette présente lettre que le plus grand évènement de notre organisation aura bientôt lieu. C’est désormais acté et officiel, notre période d’expectative est révolue ! Comme convenu (selon vos prédispositions et vos souhaits) nous vous avons affecté un numéro de chambre : le n° 122. Votre consœur n°22012590 vous y attendra mais prenez garde, celle-ci ne se laissera pas faire si facilement … Il est inutile de vous décrire la suite, vous la connaissez sûrement mieux que moi depuis plusieurs semaines grâce aux diverses correspondances entre vous et elle.

Je tiens à vous rappeler plusieurs règles fondamentales : cet évènement grivois ne devra en aucun cas donner lieu à toute disruption au sein de notre communauté. Cette soirée est et doit restée privée. La frontière entre la légalité et l’illégalité sera très mince et donc, aucune rumeur de toute sorte ne devra arriver aux oreilles du grand public. Certains d’entre nous détiennent de hauts postes dans certaines entreprises voire même au sein d’Etats. Un mot d’ordre : le silence.

Les réfractaires aux bonnes convenances seront immédiatement sanctionnés ou un rappel à l’ordre s’établira en fonction de la gravité des cas. Bien-sûr, les membres dirigeants ainsi que moi-même avons toute confiance en vous, partenaire de la première heure.
Je serai foncièrement heureux de vous rencontrer et discuter avec vous sur la suite de nos projets. Rendez-vous à l’heure et à la date prévue.
Amicalement,


Membre de la direction n°4.
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Chère consœur n° 22012590,

Comme vous devez vous en doutez, je suis ravi de vous informer par cette présente lettre que le plus grand évènement de notre organisation aura bientôt lieu. C’est désormais acté et officiel, notre période d’expectative est révolue ! Comme convenu (selon vos prédispositions et vos souhaits) votre confrère n°22012589 arrivera à l’heure et au lieu précédemment prévus entre lui et moi-même. Je suis sûr que tout se passera bien avec le n°22012589 car, depuis le début, ce membre ne nous a jamais fait faux bond. Je vais tout de même vous rappeler certains points : la violence (coups forts, tirage de cheveux, humiliations verbales, morsures) seront proscrits dans votre relation. Cependant, son but étant de vous contraindre, il pourra employer la manière forte (comme vous-même) pour remplir son objectif. Il n’est pas impossible donc que vous souffriez plus tard de quelques légères contusions ou d’autres blessures minimes. Il est important de savoir que durant la première partie, vous ne saurez pas à quel moment vous seriez prise pour cible. L’heure de rendez-vous entre lui et vous représente le moment ou votre confrère doit remplir son objectif (vous ne le découvrirez qu’au dernier moment). Lors de la deuxième manche, vous serez en position de force contre lui. Entre chaque round, se déroulera un séminaire et d’autres divertissements mais ceci, vous le savez déjà …

Pour finir, je tiens à vous rappeler plusieurs règles fondamentales : cet évènement grivois ne devra en aucun cas donner lieu à toute disruption au sein de notre communauté. Cette soirée est et doit restée privée. La frontière entre la légalité et l’illégalité sera très mince et donc, aucune rumeur de toute sorte ne devra arriver aux oreilles du grand public. Certains d’entre nous détiennent de hauts postes dans certaines entreprises voire même au sein d’Etats. Un mot d’ordre : le silence.

Les réfractaires aux bonnes convenances seront immédiatement sanctionnés ou un rappel à l’ordre s’établira en fonction de la gravité des cas. Si un empêchement de dernière minute vous empêche de vous présenter, nous vous priions de nous prévenir au plus vite au numéro d’urgence.
Nous pouvons vous souhaiter chère consœur, qu’un excellent séjour lors de ce voyage.  

Amicalement,


Membre de la direction n°4.

nonobound
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Re: Femme de chambre - Métier à risques !

Message par nonobound »

putain j'ai cru que tu avais fait un double copier-coller au début ptdr

mais introduction intéressante

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moimoi2
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Re: Femme de chambre - Métier à risques !

Message par moimoi2 »

Merci nono ^^. Voilà la suite, je prépare les scènes de bondage avec celle-ci ;)

15 septembre 2017 à 10h


D’un pas pressé, Lise avançait de son mieux pour se présenter à l’heure à son entretien. Cette jeune française était partie dans la ville de Birmingham pour y étudier la langue anglaise. Au départ, elle ne pensait pas à trouver un job mais elle se persuada que c’était une très bonne solution pour approfondir ses connaissances en plus des cours de l’école. Cette jeune femme en avait de la chance, quelques jours après son arrivée au centre d’étude (accueillant des étudiants venant de tous les horizons), l’agence lui avait trouvé un entretien avec 80% de chance d’embauche à la clé.

Ils n’avaient pas menti, ils nous trouvent rapidement du boulot !

Une vraie aubaine pour une personne dans son cas ! Ses compétences linguistiques étant assez avancées, elle pouvait prétendre au poste de réceptionniste d’hôtellerie. Elle avait vite compris que l’hôtel concerné était un luxueux établissement. Elle avait donc essayé de se présenter sous ses meilleurs jours avec ce qu’elle avait pris pour son voyage linguistique. La jeune brunette s’était munie d’une robe bleu nuit lui arrivant juste au dessus de ses genoux, cette partie-ci de la robe se trouvait faite de dentelle. De fines manches en guipure laissaient entrevoir la peau de ses épaules et de ses bras. Ses collants noirs lui galbaient ses jambes et ses talons aiguilles accentuaient agréablement le mouvement de ses hanches. Durant cette marche, elle frissonna : le temps printanier laissait souffler encore quelques brises fraîches et elle décida d’enfiler sur ses épaules son manteau en laine de couleur assortie à sa robe. Accueillir des clients ne la dérangeait pas le moins du monde mais, dans le monde du luxe, elle ne savait à quoi s’attendre exactement. A ce qu’elle avait compris, la direction de cet hôtel a été satisfaite de la prestation d’autres françaises et français embauchés via son agence. Lise se demandait bien comment se passerait l’entretien. Elle avait de bonnes chances d’être recrutée mais ne pouvait s’empêcher d’appréhender l’entrevue. Elle ralentit lorsqu’elle fut en vue de (peut-être) son prochain lieu de travail …

10h15


Elle se retrouva devant la porte réservée aux employés. Comme elle l’avait espérée un peu plus tôt, l’entrée n’avait pas l’air miteuse. Bien que petite, elle était composée en bois de chêne massif. Peut-être que la direction ne traitait pas ses employés comme des chiens … Elle sonna à l’endroit approprié. Quelques secondes plus tard, une voix masculine se fit entendre : « Bonjour, vous êtes ? ».

- Bonjour, je suis Lise THOMAS. J’ai un rendez-vous pour un entretien d’embauche à 10h30 répondit-elle dans un anglais irréprochable.
- Bienvenue Lise, nous vous attendions. Présentez-vous à l’accueil professionnel, j’arrive dans 5 minutes pour vous expliquer la suite des évènements. A tout de suite !

- Merci, à tout de suite.

Lorsque le bip retentit, elle pu enfin ouvrir la porte. Elle traversa un petit corridor d’une dizaine de mètres avant d’arriver brutalement dans un grand hall. Elle était impressionnée, même ici, le luxe était visible partout. Elle devina que le style de l’hôtel s’apparentait à celui de la renaissance. S’avançant vers le bureau d’accueil et ses talons claquants au sol, elle entendit une voix dans son dos.

- Comment trouvez-vous la décoration Mademoiselle Thomas ?

Surprise, elle se retourna. Un petit homme d’une quarantaine d’années lui faisait face. Elle le dépassait même d’une tête et elle n’était déjà pas bien grande avec ses 1 mètre 60 …

- Surprenante, Monsieur ? …
- Harold, Monsieur Harold. Je vais vous accompagner au bureau de vos futurs employeurs. Ne vous inquiétez pas, ils sont sévères mais pas bien méchants quand on les connait bien. Suivez-moi !

Non sans appréhension, elle le suivit …

14h.

Soulagée, elle se jeta sur son lit et prit un peu de temps pour réfléchir. Le job n’était pas le plus intéressant au monde mais il tombait à pic pour elle. Elle avait accepté le poste oralement, elle ne lui restait plus qu’à signer le contrat lorsqu’elle commencerait son travail. L’entretien avait duré trois quart d’heures environ, alternant entre l’anglais, le français et l’espagnol -langue dans laquelle elle avait quelques bases-. Une femme et un homme l’avaient interrogée sur son parcours professionnel, ses atouts sur son poste, ses loisirs, sur ses raisons de venir en Angleterre … Elle avait l’impression d’avoir déballée sa vie devant deux inconnus sous un regard dur. Au final, une fois l’entretien terminé, elle fut invitée à rencontrer une couturière afin qu’elle prenne ses mesures pour créer un uniforme. Au début, elle en aurait 2. Un qu’elle gardera chez elle et un autre à l’hôtel. Étant donné qu’elle sera réceptionniste, elle aura l’obligation d’entrer par la porte principale et donc, elle devra porter avant même de commencer ses après-midis (et soirées) son uniforme. Ceci ne la gênait pas plus que ça, l’uniforme n’étant pas laid en lui-même, loin s’en faut. Simple mais efficace : un tailleur composé d’une jupe et d’une veste bordeaux ainsi qu’un calot de même couleur accompagnés d’un chemisier blanc cintré. Le port de collants noirs et de chaussures adaptées étaient de mises (chaussures à petits talon ou chaussures richelieu vernies). Elle avait pu voir plusieurs de ses futures collègues, les vêtements n’étaient pas de mauvaises factures. Petits bémols à l’horizon, bien que son rôle principal soit d’accueillir et de guider les clients, elle devra (s’il le faut) aider les techniciens et techniciennes de surface (elle sourit à l’idée de voir des « hommes de ménage » à l’œuvre, elle n’en n’avait jamais vu) à faire le ménage dans les chambres. De plus, elle pourrait être choisie pour réaliser des déplacements sur Londres pour des formations diverses et variées. Enfin, dernier bémol : ses recruteurs l’avaient prévenu que le travail serait dur et qu’elle devrait surement plusieurs fois dans la semaine réaliser des heures supplémentaires, week-end compris en fonction des allers et venues de la clientèle. Malgré tout, elle se sentait prête pour ce rôle.

18 octobre 2017.


L’homme relut la lettre de sa consœur plusieurs fois avant de la placer dans la broyeuse. Celui-ci était ravi, le grand soir qu’il attendait tant depuis des mois allait enfin se réaliser. Tous ses efforts n’auront pas étaient vains. Bientôt, quelques contrats juteux seraient en sa possession. L’identité qu’il avait créée lui serait peut-être encore utile lors de cette soirée. S’il arrivait à restituer son colis précieux à la bonne personne, il serait l’homme le plus heureux au monde. Encore fallait-il pouvoir le faire, il n’était pas homme à prendre des risques inutiles. De toute manière, il n’avait pas l’intention de respecter les règles de la soirée. Se faire prendre ne faisait pas parti de son plan, encore heureux que personne d’autre que lui le savait …
Dernière modification par moimoi2 le 10 févr. 2018, 05:23, modifié 1 fois.

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moimoi2
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Re: Femme de chambre - Métier à risques !

Message par moimoi2 »

supprimé (doublon)

kilrah

Re: Femme de chambre - Métier à risques !

Message par kilrah »

Le début de cette histoire est intéressant. :)

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fredchl
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Re: Femme de chambre - Métier à risques !

Message par fredchl »

Comme je le dis sur le discord, une intro mal placée qui nous indique le ressenti de la personne, et une derniere partie trop narrative, sans dialogue...
C'est dommage parce que le sujet de base est interressant !...
Allez, Moimoi2 Applique toi ! Tu peux mieux faire !...

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moimoi2
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Re: Femme de chambre - Métier à risques !

Message par moimoi2 »

Je m'y mettrai freddy ! C'est surement la reprise qui veut ça ;). Peut-être que l'histoire changera un petit peu ... ^^

20 novembre 2017, 19h30. 


Dans une salle réservée au personnel, la jeune fille prenait sa pause et rêvassait, sa tasse de café à la main. Lise s’était bien vite rendue compte à quel point son nouveau travail était fatiguant. Il n’était pas facile pour elle à s’adapter à toutes les demandes des clients. Habituellement, ils lui demandaient d’effectuer des tâches diverses et variées dans un même temps et bien souvent, elle ne comptait plus ses heures. Cependant, heureusement que ses efforts lui permettaient d’améliorer considérablement son anglais et que surtout, ses employeurs lui payaient ses heures supplémentaires. Entre temps, un autre étudiant français de son centre d’études avait été embauché à un poste comparable. Quotidiennement, ces jeunes gens partaient et revenaient ensemble dans leur résidence. Des ragots commençaient à courir sur leur compte, rien d’étonnant puisqu’ils ne se quittaient quasiment pas de toutes les après-midi à partir de 15h jusque tard le soir. De plus, avec leur uniforme dans la rue et au travail, ils ne pouvaient passer inaperçus. 


A bien y réfléchir, j’ai l’impression de ne mettre que ce tailleur de toute la journée !

Une vois l'apostropha.
- Lise Thomas !
Elle sursauta, n’ayant pas entendu la porte s’ouvrir. Elle se remit debout immédiatement.
- Que se passe-t-il madame ?
- Brenda a besoin d’aide pour nettoyer des chambres au deuxième étage. Des clients arrivent plus tôt que prévu.
Elle lui tendit un papier.
- Voici les numéros des chambres, je compte sur vous !

Pour toute réponse, Lise hocha la tête et partit en trombe vers les chambres indiquées. Elle se maudit elle-même, pourquoi avait-elle choisie aujourd’hui de porter ses talons ?! Elle faillit se tordre les chevilles plusieurs fois avant de se retrouver devant la chambre 122 complètement essoufflée. Une de ses collègues à la peau bronzée la vit.
- Quel empressement ! Je crois que tu t’es trompée de chambre, c’était au deuxième que tu devais aller. À la chambre 212, regarde ton papier, cet étage je devrais m'en occuper en temps normal.
Lise baissa la tête et vit que sa collègue avait vu juste.

- Merde, quelle gourde ! Je reprends mon souffle 2 secondes fit Lise en s’appuyant contre le mur et en se massant les pieds. Elle n’était pas vraiment chaussée pour courir !
- Si tu veux, je peux échanger avec toi. Je m’en voudrais que tu te brises une rotule à cause de ces chaussures fit-elle en souriant.
- Merci ! répondit Lise dans un soupir de soulagement. Elle prit son passe partout et rentra dans la chambre pour enlever et changer les draps dans un premier temps.
En rentrant dans la pièce, elle sentait que quelque chose clochait. Les ampoules étaient enlevées, les volets presque fermés et une douce mélodie se faisait entendre.
- Il y a quelqu’un ? demanda t-elle en fermant la porte.

Aucune réponse. Elle secoua ses épaules en signe de résignation. Les riches étaient bien souvent excentriques !
La suite de 80m2 se composait d’une salle commune, de 2 chambres et d’une salle de bain. Elle commença, dans une obscurité quasi complète à défaire les deux lits "une place" dans l’une des chambres. Elle plaça les draps du premier lit à terre et voulu faire la même chose pour le second. Mais, elle vit que sur celui-ci, se trouvait toute une panoplie d’accessoires qu’elle reconnut aussitôt en les touchant par inadvertance. Gênée, elle se dit qu’il valait mieux partir et prévenir sa responsable qu’elle s’était trompée de chambre. A ce moment là, une voix d’homme et de volets qu’on ouvre se firent entendre :
- Tu essaies déjà de tricher ??!
Elle se retourna, effarée.
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L’homme, accompagnée de son amie observait la jeune femme de ménage se retourner avec surprise. Celle-ci, rouge de gêne ne savait plus très bien où se mettre, surtout que tout son matériel pour la soirée était à présent totalement visible.

Non pensa t-il, c’est une réceptionniste qu'on a décidé de m'envoyer.

- Je suis désolé Monsieur bafouilla celle-ci, je pensais qu’il n’y avait personne et que je pouvais faire le ménage. Je me suis trompée de chambre.
-  Bien-sûr bien-sûr, je dois dire, chère consœur que vous jouez parfaitement la comédie. Il tendit l’enveloppe qu’il tenait en main à la femme qui l’accompagnait. Ce devait sûrement être une énième lettre de "la direction".
- Je, je ne comprends pas Monsieur, je suis désolée de vous avoir dérangé. Je peux vous apporter quelque chose pour votre confort ? termina t-elle très timidement.
- Non, je vais vous dire comment vous pouvez rattraper votre erreur, pouvez-vous venir par ici s'il vous plaît ?
L’homme lui fit signe d'approcher tandis que la femme -tout en comprenant ou voulait en venir son compagnon- se plaçait derrière la jeune fille. Lise s’approcha. Avant qu’elle ne termine sa phrase, la femme la bâillonna de sa main gantée de cuir tout en la ceinturant par son bras gauche.
- Encore désol…… mMMMpppphmmmm !!!! ??

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fredchl
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Re: Femme de chambre - Métier à risques !

Message par fredchl »

La, je trouve que tu as écrit une belle suite qui amène dans le vif du sujet ! Le suspense monte !... :bravo:

kilrah

Re: Femme de chambre - Métier à risques !

Message par kilrah »

Très sympa, surtout les deux points de vue.

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moimoi2
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Re: Femme de chambre - Métier à risques !

Message par moimoi2 »

Merci pour vos commentaires ;)


19h40


- MMpphmmmmm ! PPPFnnnmmpphmmm !


Ignorant la comédie de la jeune fille, le ligoteur accepta la lettre que lui tendit la femme.

Cher confrère,

Je suis désolée de vous prévenir par un moyen aussi archaïque mais je ne pourrais pas me présenter à notre rendez-vous (soucis familiaux à régler de toute urgence). J’ai prévenu au numéro que vous connaissez bien.

Désolée et bonne continuation.


 Après avoir lu la lettre, l’homme –avec un petit sourire en coin- la déchira pour la jeter dans la plus proche poubelle. Il comprenait à présent pourquoi sa « consœur » paraissait si effrayée. Il y raconta le contenu à sa camarade et conclu en s’adressant à la jeune fille se débattant furieusement dans ses liens.

- Ce n’est pas ton jour de chance ma jolie. Tu es tombée au mauvais endroit au mauvais moment mais ta présence me sera d’une grande utilité ! Même si tu n’es pas la bonne personne, aucun de mes « amis » ne sera inquiété. Tout au plus, ils seront surpris. Il se retourna vers la rousse qui l’accompagnait :

- Tu peux t’occuper de la femme de ménage qui s’occupait de cet étage ? Elle a sûrement vue …. Cette demoiselle entrer dans la chambre dit-il en désignant vaguement Lise, immobilisée sur l’un des deux lits de la pièce.
- J’ai une petite idée pour ça … fit l’intéressée en utilisant un air énigmatique. Bien que curieux, l’homme ne lui demanda pas plus, sachant pertinemment qu’elle ne lui dirait rien.

Il regarda une nouvelle fois sa captive. Celle-ci s’était débattue comme une tigresse tout le long de son ligotage. Ils avaient réussis dans un premier temps à enlever la veste de son uniforme avant d’attacher ses mains au niveau de ses reins, après quoi ils ont relié les bras de la jeune employée à l’arrière de son dos à partir de deux points stratégique : les coudes et les avants bras (le tout à l’aide de cordes). Par contre, la mise en place du bâillon avait été la partie la plus difficile : la rousse et lui-même ont du la plaquer sur le lit. Il avait opté pour un bâillon gonflable sous la forme d’une boule en caoutchouc retenue par une muselière. Une fois celle-ci en place, il pu gonfler la boule au maximum que pouvait supporter sa victime. Pour le confort de la jeune, il avait pensé à rajouter le petit mécanisme permettant l’évacuation de la salive. Il s’agissait tout simplement d’une sorte de fin et petit tuyau en caoutchouc relié au même embout utilisé pour gonfler la boule. Ce n’était pas du tout esthétique mais cette méthode restait toujours efficace ! Avec ses chevilles, reliées simplement entre elles par des cordes ainsi que ses genoux, Lise avait tout de même réussi (durant un moment d’inadvertance de la part des 2 hors la loi) à sauter rapidement à pieds joints jusqu’à la porte afin d’essayer d’alerter les personnes passants dans le couloir. Et le tout avec ses talons ! Malheureusement pour Lise, ils la ramenèrent rapidement de force à plat ventre sur l’un des petits lits lit tout en en reliant cette fois, ses coudes aux pieds arrière de ce dernier. De ce fait, depuis ce moment (5 minutes environ), elle essayait tant bien que mal à s’échapper. Dommage pour elle, Lise s’était faite ligotée par 2 professionnels.

Tandis que la rouquine sortit –surement pour ramener la femme de ménage–, il prit son téléphone et appela avec les hauts parleurs activés. Au bout de 5 bips, le destinataire décrocha :
- Oui ?
- C’est le n°22012589 j’ai comment dire, un petit accroc.
- Je vous écoute.
- Il se trouve que ma consœur n° 22012590 n’a pu se présenter au rendez-vous. Elle m’a prévenue par lettre écrite et je n’ai pas eu l’occasion de la lire avant d’entrer dans la chambre. Etes-vous au courant ?
- Bien-sûr, elle nous a appelés. Tout est en ordre, quel est cet accroc ?

Avant de répondre à son interlocuteur, le malfrat s’assit à côté de sa victime en lui plaquant sa main libre entre les omoplates.

- Il se trouve qu’en rentrant discrètement dans l’appartement, j’ai surpris une réceptionniste en train de ranger la chambre. Elle regardait à ce moment là une petite partie de mon matériel pour la soirée et j’ai cru que c’était notre chère consœur. Elle est actuellement entre mes bonnes mains si vous voyez ce que je veux dire. De plus, si j’en crois son accent et son nom inscrit sur son badge, je dirais qu’elle est française. Je me trompe ? demanda t-il en pinçant fortement Lise au niveau de ses hanches.

- MMppphhmmmnommnon!! fit cette dernière en secouant sa tête de manière négative.
- Je vois répondit l’autre au téléphone. Ma foi je n’y vois aucun inconvénient. Cette demoiselle entrera dans la catégorie 3 des invités. Vous êtes autorisés à l’inviter tant que les conditions relatives à cette catégorie sont respectées. Autre chose ?
 - Oui, une femme de ménage et non une réceptionniste cette fois a vu notre chère Lise entrer dans mon appartement. Ma collègue va s’occuper d’elle pour l’attirer ici et nous l’inviterons à son tour. Ma camarade sait se montrer discrète. Cela vous sied-t-il ?
- Bien-sûr, même conditions que pour la réceptionniste. Sont-elles aptes pour une exposition ?

L’homme sourit devant l’air désespéré de sa prisonnière. Elle écoutait calmement, sachant qu’elle n’arriverait jamais à se sortir de cette situation seule.
- Tout à fait, elles ont … les formes totalement adaptées pour ce rôle. Vous ne serez pas déçus je vous le garantis !
- Très bien, soyez prudent.

La conversation s’arrêta là. Il parla, pour la première à Lise en français.

- J’espère que tu es prêtes à vivre une expérience inoubliable ma petite. Crois-moi, tu ne risques pas de m’oublier de sitôt ! Il se mit à caresser ses jambes tout en les immobilisant à l’aide de l’un de ses bras.
- Je pense que nous devons passer à l’étape supérieur tu ne crois pas ? Tu as déjà prouvé qu'on ne pouvait pas te laisser sans une étroite surveillance.

Terrifiée, la française se dandina sans oublier de hurler pour essayer d’appeler à l’aide.
Je me demande si je dois lui dire que j’entends à peine ses rugissements ou si je dois la laisser s’épuiser. Il haussa les épaules et opta pour la deuxième solution.

Du sac situé non loin d’eux, il sortit en premier lieu un bandeau blanc et 4 bracelets en cuir reliées à des cordes. L’ayant vu, Lise se mit à bouger frénétiquement sa tête et le reste de son corps. Souriant à pleine dents, le ligoteur s’assit prudemment à califourchon sur Lise et prit le visage de la jeune brunette par le menton pour lui élever le visage. En quelques secondes à peine, Lise se retrouva aveuglée avec la complète impossibilité de l’enlever. Son bandeau n’était pas à proprement extrêmement serré, mais son textile adhérait parfaitement à la peau et même en essayant, elle n’arrivait pas à ouvrir les paupières. Toujours assis sur elle, le malfaiteur se retourna lentement avec délicatesse pour mieux écraser sa victime sans qu’elle ne s’étouffe. Il arriva à lui délier les chevilles et plaça deux bracelets en cuir sur ses celles-ci. Au soulagement (minime) de Lise, l’homme se releva et prit le temps de séparer en premier la corde reliant les coudes de Lise aux pieds arrière du lit. Ensuite, il dénoua les liens des poignets et des coudes. Il la retourna sans aucune difficulté malgré les coups de la jeune fille, elle commençait de toute manière à fatiguer et se défendait mal en étant aveuglée. L’homme, perdant un peu patience, lui imposa un pince-nez qu’il sortit de sa poche. Bloquant ses poignets au dessus d’elle, il la laissa suffoquer durant 10 brèves secondes. Elle respira par à coup avec des gestes convulsifs.

- Écoute bien fit-il d’un ton autoritaire. « À part » te séquestrer je ne ferais rien d’autre contre toi si je ne peux pas te promettre que d’autres iront plus loin dans leurs actions. Je me suis trompé sur ton identité et personnellement ça ne me gêne pas le moins du monde. Tu es jolie, tu as de belles formes et ça suffira amplement. Grâce à toi, je vais pouvoir jouer plus gros que prévu. Alors je comprends ta réaction mais sache que si jamais tu arrives à faire foirer mon plan, je n’aurais aucun remord à t’envoyer chez certaines personnes qui seront bien moins magnanime que moi. Tu ne gagneras rien à m’énerver. Prends ça comme une occasion pour moi et … comme une  … situation brève et non prévue pour toi ? termina t-il en riant.

Il recommença 3 fois à bloquer la respiration de sa captive sous ses gémissements et ses soubresauts.
- Tu as compris ? fit-il quand il termina.
- MMpphhmmmuimpphmm !!!
- Parfait.

Il remit le pince-nez dans sa poche, accrocha les bracelets de cuir autour des poignets de la jeune fille et finit par relier les lanières sur les barreaux de la tête du lit. Il fit de même pour ses chevilles : elle était dorénavant «écartelée » sur le matelas. Il décida de plier les draps en soie qui trainaient à terre et les plaça sur le deuxième lit. Pour finir, il enfonça des boules quies dans les oreilles de Lise, ferma de nouveau les volets tout en laissant filtrer quelques raies de lumière. Lorsqu’il enleva le bandeau de Lise, il vit rapidement ses yeux noisette embués de larmes, il se retourna et sortit de la pièce en prenant bien soin de fermer la porte derrière lui.

À cet instant, il eu une pensée pour Lise : si tu restes calme, peut-être que tu ne passeras pas au pilori …
Dernière modification par moimoi2 le 19 févr. 2018, 16:14, modifié 1 fois.

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