Madame est servie

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foulards6384
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Re: Madame est servie

Message par foulards6384 »

une courte suite mais un régal, madame Stéphanie va pouvoir prendre plaisir a sa condition de soumise, qu'elle le veut ou non :lol: .
mais il me semble que Catherine va aussi prendre beaucoup de plaisir, Stéphanie devrait a terme offrir une augmentation et voir une prime, c'est rare un personnel aussi dévouer :lol: .
encore :bravo: a toi Stéphanie pour cette suite :) .
je bouge pas :police: je ne regarde pas :bandeau: je ne parle pas :gagged:

stephanie
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Re: Madame est servie

Message par stephanie »

C'est vrai que cette suite était courte.
Et comme je vais avoir du mal de poster quoi que ce soit pendant 8 jours, voici dès ce soir un autre chapitre, mais lui aussi assez court j'en ai peur.
Bon week-end à toutes et tous,
Stéphanie


16

Ces derniers mots firent réagir Stéphanie : tout le week-end !!! Mais elle n’allait pas rester si longtemps entre les griffes de sa bonne !!! Stéphanie s’agita de nouveau sur le lit, tentant de rouler sur elle-même. La poigne ferme de Catherine la stoppa dans ses efforts, la maintenant sur le ventre. L’étreinte se desserra et se transforma en de nouvelles caresses qui apaisèrent Stéphanie.
Au bout d’un moment, Catherine se leva et dit suffisamment fort pour être entendue : « Je vais devoir prendre d’avantages de précaution pour protéger Madame contre elle-même».
Stéphanie perçut les déplacements de sa bonne mais ne la vit pas passer sous le lit une longue corde dont elle attacha une extrémité aux tours de corde placés juste sous les genoux de sa prisonnière.
Elle tendit la corde passant sous le lit et vint en passer l’autre extrémité à l’anneau situé sur le devant de la courroie de cuir enserrant le bas de la cagoule de Stéphanie, autour de son cou. Celle-ci ressentit la traction progressive opérée par Catherine pour bien tendre la corde avant de l’attacher par plusieurs nœuds au niveau de cet anneau.
« Bon, je laisse Madame s’amuser maintenant qu’il n’y a plus de risque qu’elle tombe de son lit. ».
Catherine descendit du lit, sortit de la chambre puis descendit l’escalier.
Stéphanie essaye de bouger et sentit tout de suite une tension s’exercer autour de son cou et au niveau de ses genoux : Catherine l’avait solidarisé avec le matelas de son lit ! Oscillant, Stéphanie parvint tout de même à basculer sur son côté droit, sans que la tension exercée autour de son cou ne cesse. Par un nouveau mouvement qui lui couta beaucoup d’efforts, Stéphanie réussit à repasser sur le ventre puis à basculer cette fois-ci sur son flanc droit. C’étaient les seuls mouvements que lui autorisait la corde installée par Catherine. Elle était obligée de rester au milieu de son lit dans un hogtie dont elle ne pouvait se défaire. Stéphanie visualisa sa situation, qui n’était guère brillante. La tension autour de son cou lui plaisait beaucoup. Elle était dans la même situation qu’un chien (une chienne rectifia-t-elle mentalement) dont la laisse reliée à son collier aurait été attaché à un point fixe pour éviter qu’elle ne se sauve. Pour elle qui se rêvait en soumise, la sensation était délectable. Stéphanie s’amusa donc à effectuer des petits mouvements avec son corps pour mieux ressentir la tension exercé autour de son cou. Il lui sembla qu’elle ne pouvait être plus soumise. Une nouvelle fois elle sentit une vague de chaleur monter en elle et se mit à se tortiller pour essayer de se donner du plaisir. La douceur du nylon, la contrainte de ses liens et de la cagoule, l’image qu’elle se faisait de sa situation, tout ceci était diablement excitant. Stéphanie se dit que même des coups de cravache ne l’arrêterait pas.

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Mad Hatter
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Re: Madame est servie

Message par Mad Hatter »

:oops: Si la taille à son importance. :timide: Ça ne fait pas tout. Ni trop long, ni trop court, ni trop épais, ni trop maigre, ni trop mesuré. :langue:

:sifflote: La valeur d'un texte est-elle sa qualité multipliée par sa longueur ?

:dada: Je ne le crois pas. :boufon:
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foulards6384
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Re: Madame est servie

Message par foulards6384 »

Il est vrai que les textes de Stéphanie soit long ou court c'est toujours un régal de les lire, ont en redemande à chaque fois :)
je bouge pas :police: je ne regarde pas :bandeau: je ne parle pas :gagged:

stephanie
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Re: Madame est servie

Message par stephanie »

De retour, avec la suite.
Bonne soirée à toutes et tous,
Stéphanie

17

Ce fut la voix de sa bonne qui l’arrêta
« Ah non, Madame est vraiment incorrigible. On ne peut pas la laisser seule quelques minutes sans qu’elle s’évertue à commettre une bêtise ». Catherine était déjà sur le lit à ses côtés et lui asséna deux fortes tapes sur les fesses. Puis Stéphanie sentit Catherine toucher ses chevilles et comprit aux manipulations qu’elle subissait que sa bonne y fixait une nouvelle corde. Pour quoi faire ?
Maintenant Catherine s’activait sur l’arrière de sa cagoule. Une main appuyant doucement mais fermement au niveau du front de Stéphanie, une autre tirant sur la corde, Catherine forçait Stéphanie à rejeter sa tête en arrière. De nouveaux nœuds et Stéphanie réalisa immédiatement la nouvelle contrainte qui lui était imposée. La courroie faisant le tour de la cagoule au niveau de ses yeux exerçait une pression supplémentaire sur son crane, tirée par la corde qui maintenait sa tête rejetée en arrière. Là encore Stéphanie visualisa sa nouvelle situation. Elle était désormais dans un hogtie très contraignant dont elle avait vue quelques exemples sur internet. Mais là, c’était elle qui servait de modèle, le corps tendu comme un arc. Grommelant sous la somme des contraintes infligées, Stéphanie se félicita intérieurement de continuer à prendre des cours de gymnastique. Son corps entraîné supportait tout cela, mais pour combien de temps ?
La pression exercée par la cagoule en cuir sur les courroies de sa muselière devenait prégnante. Stéphanie essaya de changer sa tête de position mais sans que cela apporte la moindre amélioration à sa situation : elle était plongée dans une obscurité totale, dans un espace contraint et contraignant et la seule chose qu’elle pouvait faire était de maîtriser sa respiration. Stéphanie se mit à dodeliner dans un rythme lent, émettant un son intermédiaire entre un gémissement et une mélopée : elle s’abandonnait à ses sensations, essayant seulement de passer le temps de la manière la moins inconfortable. Il lui sembla qu’implorer la pitié de Catherine dont elle percevait la présence dans la chambre ne servirait à rien : celle-ci s’étant montrée sévère ces dernières minutes et elle était certainement du genre inflexible.

Au bout d’un certain temps, Stéphanie entendit Catherine dire : « Bon Madame ne va pas passer la journée à se prélasser sur son lit. Il y a du travail à faire en bas ».
Joignant le geste à la parole, Catherine défit successivement la corde tirant la tête de Stéphanie en arrière, la chaîne qui la maintenait en hogtie et la corde la solidarisant avec le lit. Stéphanie put déplier les jambes et s’allonger de tout son long, ce qu’elle fit avec un soupir de contentement.
Au bruit fait par la porte du placard, Stéphanie devina que Catherine y rangeait ou y cherchait quelques chose.
Catherine libera ensuite les chaussures et chevilles de Stéphanie. Etait-ce le début d’une libération totale ?
Stéphanie dut déchanter : un cercle métallique vint enserrer chacune de ses chevilles et deux nouveaux cadenas furent posés. Stéphanie essaya d’écarter ses chevilles, mouvement vite arrêté par une courte chaîne qui se tendit : la bonne venait de lui entraver les chevilles avec les fers qu’elle s’était achetée. Catherine n’avait visiblement pas envie de la libérer. La bonne nouvelle était que Stéphanie récupérait un peu de liberté de mouvement, d’autant que Catherine continuait d’ôter la longue corde utilisée par Stéphanie pour s’attacher les jambes, libérant les genoux puis les cuisses. Stéphanie apprécia de pouvoir bouger ses jambes, les décoller l’une de l’autre, même si elle ne pouvait ignorer les fers à ses chevilles.

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Mad Hatter
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Re: Madame est servie

Message par Mad Hatter »

Je suis curieux de voir comment va tourner ménage.
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eric
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Re: Madame est servie

Message par eric »

Je suis impatient de lire la suite des aventures de "Madame" :)

Merci pour ce partage

Galbatorix

Re: Madame est servie

Message par Galbatorix »

Encore une histoire intéressante Stéphanie, merci à toi! :)


J'en profite au passage pour te faire un commentaire concernant une histoire que tu as écrite il y a un moment : "Un dimanche de novembre". Je n'étais pas membre du forum à l'époque mais j'en avais gardé un excellent souvenir! J'ai d'ailleurs pris le temps de la relire, encore plus appréciable à lire maintenant que je suis plus âgé.
Un travail vraiment excellent pour lequel je te tire le chapeau de mon avatar! ;)

stephanie
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Re: Madame est servie

Message par stephanie »

Merci pour vos commentaires, et notamment à Galbatorix pour ce rappel d'une autre histoire que j'ai aimé écrire il y a quelques années. Mais place à l'histoire actuelle, même si j'ai plus de mal à la faire avancer ces derniers temps.
Bonne lecture et bon week-end à toutes et tous,
Stéphanie

18

Catherine fit asseoir sa patronne au bord du lit, lui disant de ne pas bouger. Précaution inutile car Stéphanie cherchait avant tout à récupérer, épuisée par les efforts imposés par sa bonne.
« Madame a des jupes ravissantes » s’exclama Catherine en ouvrant la grande armoire de Stéphanie dont l’une des portes produisit son couinement caractéristique.
Pourquoi Catherine s’intéressait-elle aux jupes de Stéphanie ?
« Je crois que j’ai trouvé » dit Catherine. « Si Madame veut bien soulever ses jambes… ».
Stéphanie s’exécuta : quoi faire d’autres. Catherine lui enfilait une de ses jupes.
« Je vais lever Madame maintenant » dit Catherine en saisissant l’un des bras de sa patronne pour l’aider à se lever. Une fois Stéphanie remise debout et bien stabilisée, Catherine monta la jupe qui était restée au niveau des chevilles de sa prisonnière. Soulevant la blouse de Stéphanie, Catherine ajusta la jupe à sa taille, en ferma le bouton puis remonta la fermeture éclair.
Bien qu’aveuglée, Stéphanie reconnut cette jupe longue lui arrivant sous les genoux, à la coupe étroite : c’était sa grande jupe crayon noire, qu’elle adorait mais pas portable dans toutes les occasions car même avec la fente d’aisance elle entravait la démarche. Et c’était encore pire si l’on descendait la fermeture éclair destinée à supprimer la fente d’aisance, ce que fit évidemment Catherine. Cette jupe remplaçait dans une certaine mesure les tours de corde qui, il y a quelques minutes encore enserraient ses genoux.

« Nous allons marcher maintenant. Madame est prête ? » Stéphanie acquiesça d’un signe de tête. Catherine saisit la laisse et, imprimant une petite secousse, donna le signal du départ. Quelle que soit la destination, cela faisait du bien de marcher pensa Stéphanie qui progressait à petits pas sur ses hauts talons, guidée par la tension et la direction donnée par la traction exercée par Catherine sur la laisse. Une image s’imposa à Stéphanie, celle de l’un de ses livres d’histoire, une gravure représentant la traite des nègres. On y voyait plusieurs esclaves les mains liées dans le dos, les chevilles entravées, reliés les uns aux autres par leur cou par une longue corde dont l’extrémité était tenue par le blanc esclavagiste. Elle était comme ces noirs, menée par une longe fixée au niveau de son cou, les chevilles entravées, si ce n’était que le haut de son corps était encore plus strictement ligoté que celui des esclaves. Stéphanie se voyait imposer une situation très humiliante qui créait en elle des sentiments contradictoires : elle aimait au plus profond d’elle-même le moment qu’elle était en train de vivre mais en même temps le caractère anormal de la chose et les us et les principes auraient voulu qu’il cesse immédiatement.
Stéphanie en était à ce point de ses réflexions lorsqu’elle se rendit compte qu’elle était dirigée vers l’escalier, perspective qui l’inquiéta car ainsi attachée, aveuglée et marchant avec des talons aiguilles elle ne se voyait pas les descendre toute seule.
Comme si elle avait ressenti l’appréhension de sa patronne, Catherine avait cessé de tirer sur la laisse et saisissant fermement un bras de Stéphanie expliqua « On va descendre bien gentiment, que Madame ne s’inquiète pas, je la tiens et vais la guider. Si Madame veut bien encore avancer jusqu’à la première marche et la tâter avec son pied ». Catherine amena doucement Stéphanie tout au bord de l’escalier et celle-ci, s’exécutant, malgré la chaîne entravant ses chevilles, découvrit avec le talon-aiguille de l’escarpin de son pied gauche la première marche qui s’ouvrait sous ses pas. Avec précaution elle risqua un premier pas et trouva la marche : la chaîne se tendit mais était juste assez longue pour permettre à une personne qui en était équipée de descendre (ou monter) une marche d'escaliers. Toujours fermement tenue par sa bonne, Stéphanie descendit l’escalier avec précaution : il suffisait de répéter les mêmes gestes tranquillement.

Lorsqu’elle sentit du plancher sous un pied, Stéphanie sut qu’elles étaient arrivées en bas de l’escalier, dans le hall. « Nous
voici en bas, c'est bien » annonça Catherine, confirmant l’information perçue par Stéphanie. L’étreinte exercée sur son bras droit disparut et une tension autour du cou lui indiqua qu’elle devait reprendre sa marche en avant. Où sa bonne l’emmenait-elle ?

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foulards6384
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Re: Madame est servie

Message par foulards6384 »

une bonne suite tout comme les précedentes, a savoir ou catherine va conduire Stéphanie, dans la cuisine, le salon, un placard, a l'exterieur pour lui faire prendre l'air?
la suite nous le diras, continue Stéphanie avec cette savoureuse histoire ;) .
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