Madame est servie

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foulards6384
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Ce que je déteste : Les bâillon boule,ne pas avoir de partenaire pour les scéances de ligotages, tout ce qui hard
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Re: Madame est servie

Message par foulards6384 »

On dirait bien que désormais Stéphanie va devoir obéir à son employé :lol:, une jolie suite surtout avec Catherine qui a désormais tout pouvoir sur sa patronne.
Je préférerais avoir un foulard ou une culotte a la place d'une cagoule en cuir ( c'est plus doux) mais cela est mon avis personnel, en tout cas cette histoire me captive, j'entend chaque suite avec impatience.
Continue Stéphanie.
je bouge pas :police: je ne regarde pas :bandeau: je ne parle pas :gagged:

stephanie
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Ce que je déteste : Les relations uro-scato, la violence non consentie, la vulgarité, les a priori sur les autres.

Re: Madame est servie

Message par stephanie »

Merci à foulards 6384.
L'histoire n'est pas terminée et Catherine va devoir faire preuve d'imagination.
Et j'aime beaucoup également l'idée d'un foulard et/ou d'une culotte nouée autour de la tête d'une soumise : c'est esthétiquement intéressant et très humiliant pour celle qui se la fait imposer.
Bises,
Stéphanie

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foulards6384
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Re: Madame est servie

Message par foulards6384 »

pour l'avoir tester c'est pas mal, avec un foulard sur la bouche et sur les yeux cela fait que le tissu plaque bien sur la tête, j'avait aucun mal a respirer, c'est efficace si tu a un foulard avec un nœud au centre dans la bouche ou un bâillon-boule sous la culotte.
il fait rester prudent quand même (la sécurité d'abord), si cela peut te donner des idées j'en suis ravie, en attendant la suite de ton histoire :D avec impatience .
je bouge pas :police: je ne regarde pas :bandeau: je ne parle pas :gagged:

Jeje77190

Re: Madame est servie

Message par Jeje77190 »

J aime bravo à toi 😊

stephanie
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Re: Madame est servie

Message par stephanie »

Merci à Jeje.
Et je me suis rendue compte que l'image choisie par foulards6384 et qui illustre chacune de ses interventions correspond bien à la relation qui est en train de se créer entre Stéphanie et sa bonne...
Voici la suite en vous souhaitant à toutes et tous un bon début de week-end,
Stéphanie

14

Le silence s’installa dans la pièce. Stéphanie ne savait plus si elle était seule ou si sa bonne était encore là. Elle ne l’avait pas entendu partir mais la cagoule en cuir dotée de coussinets en mousse au niveau des oreilles assourdissait les sons qui lui parvenaient.
Stéphanie se redressa, calma sa respiration, arrêta de bouger et essaya d’établir avec les sens qui lui restaient si elle était seule. Elle laissa passer un espace de temps qui lui sembla long mais qu’elle n’était plus en mesure de quantifier. Aucun bruit. Elle devait être seule. Rassurée, elle essaya de nouveau à se libérer, se tortillant autant qu’elle le pouvait. Rien à faire. Aucune corde ne bougeait et elle était toujours aussi étroitement saucissonnée. Aucun nœud n’était à portée de ses doigts. Elle était dans l’impossibilité de se libérer. Et la tension de la chaîne la reliant à l’armoire lui rappelait qu’elle était bloquée dans cette pièce, dans l’impossibilité de se déplacer sur le tabouret auquel elle était attachée, que ce soit vers la porte de la chambre ou à la fenêtre pour signaler sa présence. Enfermée dans sa cagoule, Stéphanie sentit l’angoisse monter en elle. Et si l’air venait à lui manquer ? Et si Catherine l’abandonnait à son sort ? Et si sa bonne se tuait en chutant dans l’escalier ou était renversé dans la rue par une voiture ? Pierre ne rentrait que dans une semaine… Bien sûr il s’inquiéterait avant mais cela pourrait prendre des heures voire un jour ou deux avant qu’il ne réagisse au silence gardé par son épouse. Jamais elle ne tiendrait si longtemps et jamais elle n’arriverait à se libérer par elle-même. En plaine panique, Stéphanie se remit à se tortiller comme jamais, tirant sur ses liens, sur la chaîne, dans l’espoir de les rompre, essayant d’appeler à l’aide malgré son bâillon et la cagoule. Son cœur se mit à battre encore plus vite et les pauvres « Mmmmmpf » qu’elle réussit à produire augmentèrent encore sa terreur. Elle était perdue…

-« Oh, mais qu’arrive-t-il à Madame ? Il ne faut pas se mettre dans cet état ». La bonne était restée dans la pièce, allongée sur le lit à observer sa patronne. Catherine se leva et vint se placer derrière Stéphanie, se pencha vers elle et la prit dans ses bras, la caressant et la consolant.
-« Allons, allons, allons… ».
Les paroles réconfortantes de la bonne, sa voix presque amicale, sa présence physique et ses caresses calmèrent Stéphanie. Encore quelques sanglots, quelques hoquets comme elle pleurait quand elle était enfant. Les mains de Catherine se faisaient douces, glissaient sur le nylon de la blouse, exploraient son corps encordé, s’arrêtaient sur un lien avant de repartir. Stéphanie se laissa partir en arrière, s’abandonnant dans les bras de sa bonne, comme elle le faisait naguère quand sa mère la cageolait, profitant de la douceur et de la sensualité de l’instant que Catherine prolongea encore un long moment, appréciant visiblement elle aussi la chose.

Catherine finit par se relever, repoussant doucement Stéphanie pour lui faire reprendre sa position d’équilibre sur son tabouret. Stéphanie émit un dernier soupir, comparable à un ronronnement.
-« Cela va mieux mon petit chat ? » demanda Catherine.
Stéphanie hocha la tête. Elle était calmée. Ses larmes avaient mouillé l’intérieur de la cagoule mais apparemment sans conséquence sur sa capacité à respirer à travers le petit trou percé à cet effet a niveau de son nez.

Après un court moment, Stéphanie sentit que sa bonne était en train d’enlever la corde qui, au niveau des cuisses, la solidarisait au tabouret.
Elle défit également la corde tendue qui tirait les jambes de Stéphanie sous le tabouret. Avec un soupir de satisfaction et faisant tinter la chaîne reliant ses chevilles à l’armoire, Stéphanie put étendre à nouveau ses jambes, toujours étroitement attachées l’une à l’autre. Les bruits suivants renseignèrent Stéphanie : Catherine venait de déverrouiller le cadenas qui fixait la chaîne à l’armoire.

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Gwenboyfriend
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Re: Madame est servie

Message par Gwenboyfriend »

Très bel épisode :bravo: :bravo: :bravo:
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foulards6384
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Re: Madame est servie

Message par foulards6384 »

De toute évidence Catherine se déciderait à soulager sa patronne des cordes qui l'entrave, la libération ou Catherine compte elle la ligoter plus étroitement comme une petite hogtie  :sifflote:
J'adore cette suite Stéphanie, Stéphanie qui se fait réconforter par Catherine est super, ( sans la virgule ont pourrais croire que je me répète lol).
Un bon week-end à toi aussi Stéphanie et tous .
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fredchl
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Re: Madame est servie

Message par fredchl »

Jeje77190 a écrit : 19 oct. 2018, 06:08 J aime bravo à toi 😊
Il serait bien de passer par la case "présentation", c'est plus sympa pour les membres, et de la faire ici :
viewforum.php?f=3
A bon entendeur...

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Mad Hatter
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Re: Madame est servie

Message par Mad Hatter »

N'est ce pas la douce main d'une mère qui ouvre tes rideaux.
Et sa douce voix qui t'invite à te lever ?
À te lever et à oublier dans la clarté du soleil.
Les mauvais rêves qui t'effrayaient tant dans l'obscurité.
Lewis Caroll
Les Aventures d'Alice au Pays des Merveilles
(via L'asile d'Arkham de Grant Morrison et Dave Mc Kean)
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham


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les synonymes de fou sont intéressants Image

stephanie
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Re: Madame est servie

Message par stephanie »

15

-« Je vais maintenant lever Madame » annonça Catherine. Elle se plaça derrière sa patronne, la saisit au niveau des coudes : « à trois on se lève gentiment, d’accord ? ». Trop heureuse de quitter son tabouret, Stéphanie acquiesça d’un mouvement de tête. Grace à l’aide de sa bonne, Stéphanie était désormais debout, posture un peu instable quand on est pieds et poings liés, sans aucun repère visuel et en talon-aiguilles qui plus est. Mais Catherine était encore derrière elle, la maintenant fermement. Du pied Catherine poussa le tabouret et, reculant, força Stéphanie à la suivre par petits bonds. Quand Stéphanie parvint près de son lit à le toucher, Catherine la fit asseoir puis s’allonger. C’était bon de pouvoir s’étendre de tout son long.

Stéphanie poussa un grognement de surprise quand Catherine la fit rouler soudainement sur son ventre. Elle en poussa un autre quand sa bonne saisissant les cordes reliant ses coudes la souleva légèrement puis la déplaça vers le centre du lit. Que voulait-elle faire ?
Au mouvement sur le matelas Stéphanie sentit que sa bonne était près d’elle.
Catherine passa la chaîne cadenassée au niveau des pieds de Stéphanie entre les chevilles de cette dernière puis, tirant régulièrement sur la chaîne, lui fit plier les jambes vers l’arrière. Quand elles furent amener à la verticale, Stéphanie voulut arrêter ce mouvement mais continuant à tirer sur la chaîne, Catherine amena progressivement les pieds de sa patronne dans son dos, rapprochant petit à petit ses talons de ses fesses. C’était pour un hogtie… Se représentant les bondagettes dont elle avait admiré les corps pliés sur internet Stéphanie réalisant les desseins de sa bonne voulut s’y opposer et essaya de déplier ses jambes. Mais c’était peine perdue : Catherine avait déjà passé l’autre extrémité de la chaîne autour des cordes reliant ses coudes et, malgré la cagoule, Stéphanie entendit le clic désormais caractéristique pour elle d’un cadenas que l’on verrouille. Stéphanie sentit sa bonne se retirer du lit mais la tension exercée entre ses chevilles et ses coudes ne cessa pas. La chaîne tendue la maintenait désormais dans un hogtie contraignant.

C’était trop ! Il fallait que cela s’arrête maintenant ! Qu’elle la libère ! L’ordre d’arrêter que Stéphanie tenta d’articuler dans son bâillon ne se traduisit que par un grommellement incompréhensible et tendre ses muscles et gigoter n’aboutit à rien. Stéphanie subissait désormais un hogtie, immobilisée par cette chaîne et toutes ces cordes dont les contraintes lui apparaissaient encore plus fortes après ses vains efforts. Il fallait se rendre à l’évidence : elle était à la merci de Catherine, un jouet entre ses mains.
Il n’y avait rien à faire que s’abandonner à son sort. Stéphanie s’apaisa. De ses doigts elle se mit à caresser le tissu de sa blouse. Le contact en était doux, soyeux, rassurant. Stéphanie se dit qu’elle serait très excitée de voir une soubrette ligotée comme elle l’était. Et elle avait la chance d’être cette soubrette, de vivre cette situation dont elle rêvait depuis plusieurs jours. L’incertitude des instants précédents laissait la place à une excitation qu’elle sentit monter en elle. Parviendrait-elle en se trémoussant à s’exciter davantage ? Stéphanie s’y essaya, essayant d’onduler avec son corps dans les limites de ses liens. Sans s’en rendre compte elle commença à émettre des petits gémissements de plaisir qui attirèrent l’attention de Catherine.
Sa réaction ne se fit pas attendre : deux coups de cravache sur les fesses de Stéphanie firent vite cesser cette dernière. Catherine s’asseyait à nouveau près d’elle.
« Madame, prend du plaisir à sa situation ? ».
A ces mots Stéphanie rougit sous sa cagoule mais secoua la tête négativement autant qu’elle le put.
« Tttttsss, on ne me la fait pas à moi. » coupa Catherine. D’une voix plus posée elle se lança dans un monologue que Stéphanie était bien incapable d’interrompre.
« Madame a une âme de soumise perverse. La condition de Madame excite Madame. Ce n’est pas pour me déplaire. ».
Bien qu’assourdie par la cagoule, Stéphanie entendit clairement tous ces propos. Elle essaya à nouveau de faire non de la tête, de protester dans son bâillon ; en vain. Catherine poursuivit doucement, tout en se remettant à caresser sa prisonnière, faisant glisser sa main sur le nylon de sa blouse :
« Je crois que je vais aimer dresser Madame autant que Madame va apprécier être dressée. Nous sommes décidément faites pour nous entendre. Que Madame ne s’inquiète pas, les choses ne font que commencer pour elle. Nous avons tout le week-end et même plus ».

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