fredchl a écrit : ↑10 nov. 2018, 10:52
Quoique je pense qu'il va y avoir à nouveau du sport parce que la prédatrice et son complice risquent de faire payer a cette insolente fliquette l'affront de sa tentative d'évasion !
Et pas qu'un peu !
La prédatrice 16)
Raté, je suis de nouveau « sécurisée » selon le terme de la ligoteuse, que c’est rageant, j’étais si près de l’évasion ! De plus elle me punit : Attachée en ball-tie , ou recroquevillée en boule, jambes repliées et genoux ramenés sur le torse, je ne peux guère bouger que la tête. « Alors t’es contente de toi ? Montre-nous comment tu vas t’évader maintenant ! » S’adressant à l’homme : « Va la faire pisser puis tu la poses sur la table, je vais lui chauffer les fesses pendant que tu nous prépares à manger ! » Me voilà disposée et fixée sur la petite table de la chambre, posée à genoux, la tête en bas, le bassin bien replié, fesses exposées. Au bout d’un quart d’heure d’attente inquiète, je vois revenir la tortionnaire munie d’un martinet. Copieusement flagellée j’ai ensuite droit à une vigoureuse fessée avec des coups sur les sex-toys encore en place. Je ne peux réagir que par des soubresauts et des gémissements, malgré ma résistance je sens les larmes couler de mes yeux. « T’as compris là ? Chaque fois que tu me contrarieras, t’y auras une branlée ! Et ça c’est encore rien ! Chéri, viens la mettre sur une chaise de la cuisine ». Toujours en ball-tie je suis transportée dans une petite cuisine avec une table et quatre chaises, on me pose sur l’une d’entre elles, sur mes fesses, tête en haut, on fixe mon dos au dossier de la chaise et on pose une serviette devant moi, sur mes genoux. Pas très confortable comme position pour manger, d’autant que je ressens l’échauffement de ma peau sur la chaise et la pression du plug.
La table est mise, j’ai faim, je n’ai rien mangé depuis le matin
« Pas question de faire la grève de la faim, je dois garder mes forces et je ne sais pas ce que cette harpie pourrait encore inventer ! » Enfin la harpie ôte mon bâillon et dit : « Si tu nous casses les oreilles, je te le remets et tu files au lit sans manger ! - Je peux parler ? - A peine ! Et pas de chougnerie ! - Vous allez me garder longtemps comme ça ? - Oui ! - Toujours attachée et bâillonnée ? - Oui ! - Mais c’est terrible ! - Tu t’y feras, tu verras, ton corps va s’accoutumer aux ficelles. Je vais m’occuper de tout, tes besoins, ton cul, ta toilette, ta nourriture, tu n’as pas besoin de pouvoir bouger ! Si tu veux boire, tu fais des clins d’œil, pour aller aux cabinets, tu grognes trois fois, c’est pas compliqué… - Mais je ne pourrai jamais dormir, serrée comme ça ! - On verra ça, t’y as assez parlé là, mange maintenant ! » Elle me tend une cuillère de gaspacho vers ma bouche « Ouvre ! » Je m’exécute, gobe, avale et ainsi tout le repas m’est servi à la becquée même s’il en tombe souvent sur la serviette. On me donne à boire avec une paille, de l’eau et même du vin :
« Un bon repas finalement, tout n’est pas pire dans cette maison ! » Je me dis, par dérision…
Soirée télé dans le canapé d’un petit salon, la femme me libère un peu afin de m’asseoir sur ses genoux, retour du bâillon, un pelotage en règle commence. L’homme, lui, paraît blasé et se contente de suivre le programme, un verre à la main. Je sens les doigts passer sous les liens, palper, tirer mes seins, jouer avec les sex-toys, titiller mes mamelons et mon clitoris. Je ne me débats pas, à quoi bon ? J’essaie de m’intéresser au film quant tout à coup je ressens comme une morsure sur un sein et aussitôt sur l’autre ; je sursaute, je gémis et découvre deux pinces accrochées à mes tétons, reliées par une chaîne. « Ah ! Tu réagis là ! Tu sais, moi j’aime les filles qui bougent ! Remue- toi un peu quand je te câline ! ». Elle se remet à me tripoter dans mon intimité et de l’autre main joue avec la chaînette pour tirer et tordre mes tétons, ce n’est pas du tout agréable. J’ondule un peu du bassin et la torsion se relâche… Elle fait de moi son jouet obéissant !
Plus tard je suis ramenée à la chambre, posée au sol et à nouveau bien serrée en position de ball-tie. Je l’entends s’affairer autour de moi, dans ma position je n’arrive pas à voir ce qu’elle fait. Elle monte sur un escabeau, redescend, accroche des attaches aux liens dans mon dos. J’entends un bruit de crémaillère, les cordes se serrent encore plus et je suis soulevée, le dos horizontal. Je monte, maintenant je peux me voir dans la psyché : Un anneau au dessus de moi, des cordes rayonnent de cet anneau vers celles de mon corps ! Au dessus un petit palan : Je ne suis plus qu’un paquet suspendu ! Elle me fait balancer et même tournoyer, voudrait-elle me faire vomir le repas ? Heureusement mon corps se stabilise et elle le règle à la bonne hauteur…pour elle ! Elle s’est munie d’un godemiché spécial, sanglé devant son sexe, elle enlève mon plug… Ah oui, la sodomie, elle ne me l’avait pas encore fait ! « T’y aimes être enculée jolie Sarah ? Je suis gentille, j’ai pris un petit machin, pour la première séance, on va y aller doucement ! Allez, remue ton cul ! » Remuer ? Je ne peux rien bouger, merde ! Complètement bloquée, pliée en quatre, sans aucun point d’appui… ! Je frémis juste un peu, alors c’est cette fichue garce qui m’attrape et me fait tanguer avec ses coups de reins, à sa fantaisie. Je ne suis plus qu’un objet de plaisir, je ne suis plus qu’un sex-toy ! Un objet vivant !
Au bout d’un bon moment, elle sort de moi, change de « machin » et descend d’un étage, les va-et vient reprennent… Et j’ai un orgasme ! Je ne l’ai pas voulu, c’est parti tout seul… Est-ce parce que mon corps est complètement comprimé, au bord de l’étouffement qu’il réagit, se décharge comme ça ? Je ne sais pas si elle s’en est rendue compte mais elle s’agite de plus belle, ahane comme si elle courait un marathon… Ça y est ! Enfin ! Elle pousse son cri de la jungle…Et je repars aussi, 2 à 1… Le calme revient, j’entends « Allez, OK, je vais me coucher, je pars à 5 heures, à demain soir… » Ah, il était là le Bernard avec sa caméra et je m’en suis même pas rendue compte… Quel homme discret… Redescendue, posée sur le lit, libérée du terrible enserrement, je peux enfin me détendre.
Lumière tamisée, elle s’allonge près de moi et me dit d’une voix douce : « Ma chérie, si tu veux bien me sucer, tu dormiras sans bâillon et je relâcherai un peu tes ficelles, t’y veux bien ? » Je fais oui de la tête, au point où j’en suis et ça sert à rien de la mettre en colère, elle est assez énervée comme ça ! Me voilà donc débâillonnée, la bouche plongée dans son sexe, allongée sur le ventre, jambes en l’air et elle sur le dos, jambes écartées et repliées. Elle m’a mis un gros coussin sous la poitrine, ainsi je suis à bonne hauteur. Je la léchouille de tout mon mieux, une bonne vingtaine de minutes, elle jouit et émet cette fois un cri beaucoup plus suave… 2 à 2…
« Pourvu qu’elle soit calmée !» je me dis, c’est vrai qu’elle a enfin l’air rassasiée ! Elle reste un bon moment avachie sur le lit. Quand elle revient à elle, elle me détache les chevilles et dit : « Mets-toi debout !» Elle défait une partie des liens, ceux qui serrent mes seins et ceux qui rentrent dans mon entrejambe notamment... « Viens ! » Elle me conduit vers les toilettes, je suis à petit pas, mes genoux sont encore liés. Mon tanga est enlevé en le passant sous les cordes. Assise sur les WC : «Fais ce que tu dois faire, je m’occupe du reste » Je fais, avec ce que j’ai subi, je n’ai pas besoin de laxatif ! Elle me torche, m’emmène dans la douche, passe une serviette entre mes genoux et j’ai droit à une toilette intime tout ce qu’il y a de plus convenable, je suis même pommadée avec une crème anti irritations « Je veux pas t’user trop vite, après y me faudrait en chercher une autre et c’est du boulot - Et quand je serai trop usée, vous allez me liquider ? - Jamais de la vie ! Je suis une grande salope mais pas une tueuse ! Tu seras relâchée et tu ne diras rien…. Pourquoi ? Vous allez me couper la langue ? - Ça va t’y pas bien toi !? Si tu parles tout le monde te verra, à poil, baisée, ficelée, tu ferais baver tout le Web ! Allez, reviens au pieu, demain matin t’auras droit à une douche complète. » Elle délie mes poignets, fait glisser mes bras dans les cordes pour les passer devant, ma main droite est attachée sur mon bas-ventre avec un lien qui revient dans le dos, la main gauche fixée au niveau des seins, accrochée derrière la nuque : « Comme ça tu pourras t’y faire des choses ! - Ça va, merci, j’ai eu plus que ma dose ! - Ah-ah, t’y as de l’humour, t’es gentille et bien gironde, ma fenotte, je crois que je vais te garder longtemps ! » Dit-elle, en riant.
« Ça, c’est pas trop une bonne nouvelle… »
Elle me fait boire une verveine puis m’allonge sur le dos, des attaches partant des chevilles et du dos me retiennent au lit, elle doit craindre mes capacités d’évasion, elle va pourtant dormir à côté de moi. Je lui pose encore une question : « Pourquoi faites-vous tout ça ? Vous pourriez trouver une compagne consentante qui aime ça - Tu peux me tutoyer et je m’appelle Valentine.
(C’est ça, je te crois !) Oui, peut-être mais moi j’aime que le réel, avoir une vraie prisonnière, pas une qui ferait semblant.. Je veux te posséder de force, de partout, attachée et bâillonnée. Je veux jouir de toi quand et comme je veux, de ton corps, ta chatte, ton cul, tes seins, ta bouche, te forcer, te baiser, rentrer dans tous tes trous ! Tu as compris ? Alors, tais-toi maintenant et dors, demain on reprend… »
Elle s’endort presque aussitôt. Je tente de rapprocher mes mains pour atteindre les nœuds, rien à faire, elles sont trop écartées et bien tenues et puis arriverais-je à me détacher dans le noir, filer nue par la fenêtre et sans la réveiller ? Je fais le bilan de la journée : J’ai réussi mon enlèvement, perdu ma protection, raté mon évasion, je récolte des indices mais j’en prends plein le cul et je dois rester ligotée tout le temps. – Moyen – Les indices quand même : Lui s’appelle Bernard, elle… je ne sais pas. Ils parlent de boulot mais quoi et comment ? Il va partir très tôt pour rentrer le soir ? Où va-t-il ? Le langage de cette soi-disante Valentine :
« Fenotte – pélo - belin – beline – chougnerie – t’y aimes – t’y veux » : Ça me dit vaguement quelque chose, ça vient de quelque part… Autre chose de positif, elle répond à mes questions. J’ai vu quatre pièces de la maison, plus terrasse et piscine, c’est bien plus que tout ce qu’ont eu droit les précédentes victimes, restées confinées dans une chambre, WC et salle de bains. Cela, je pense c’est grâce à ma première évasion ratée, du coup ils ont dû décider de me prendre dans la cuisine et le salon télé puisque je les avais déjà vus en passant… J’aurai peut-être droit à la piscine demain ?!
A suivre ...