L’étrange aventure de Jessica

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Mad Hatter
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Re: L’étrange aventure de Jessica

Message par Mad Hatter »

:ane Peut-être une petite beauté ?
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Strabisme
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Re: L’étrange aventure de Jessica

Message par Strabisme »

Un vrai rêve de se retrouver piégée dans un centre commercial dédiée au BDSM >///<

J'adore ton écriture !

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Tiens c'est rigolo cette fonctionnalité
Ok ok on s'amuse ici ?

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Gwenboyfriend
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Re: L’étrange aventure de Jessica

Message par Gwenboyfriend »

Les tourments de Natacha chapitre 2

La geôlière tire sur la laisse et Natacha comprend qu’elle n’a pas d’autre choix que de suivre. D’autant plus qu’elle devine Nadia et Clara dans son dos prêtes à intervenir au moindre signe de résistance. Elle espère que Tania va leur demander de partir mais celle-ci n’en fait rien. La captive n’a pas d’autre choix que celui d’obéir et de suivre le rythme qui lui est imposé par cette femme qui avance en de longues enjambées sans tenir compte des chaînes des chevilles, de la pression de la camisole ou du bâillon qui semble enfler dans sa bouche.

La marche jusqu’au salon de beauté pourtant à proximité paraît interminable. Natacha sent à présent deux cravaches qui effleurent constamment ses fesses. Prêtes à frapper si elles manifestent le moindre arrêt. Le son des maillons qui s’entrechoquent obsède la prisonnière effrayée à l’idée de trébucher et de chuter puis de recevoir une nouvelle fessée pour sa maladresse.

Enfin, le quatuor franchit le seuil du salon de beauté. Natacha constate qu’il ne s’agit pas des sièges classiques qui sont proposés aux clientes. Plutôt des chaises en bois au dossier rigide qui forme un angle droit avec le siège. Mais ce qui l’inquiète le plus ce sont les sangles qu’elles voient disposées régulièrement de chaque côté du dossier, sur le siège et entre les pieds de la chaise. Elle remarque que d’autres sangles sont disposées sur le dossier. Elle souhaiterait imaginer plusieurs usages mais elle n’en trouve qu’un.
- On va te libérer de ton bâillon et de ta camisole. Tu vas nous remercier j’espère.

Les remercier et puis quoi encore. Elle va en profiter pour fuir et appeler à l’aide. Pendant que ses tortionnaires dénouent les lacets, elle guette l’instant d’inattention qui lui permettra d’agir.
Les chaînes de ses chevilles sont retirées. C’est tentant de courir ; de les surprendre. Non. Elle doit rester calme.
Avec ses bras entravés. Ses chances sont faibles. Les lacets sont presque dénoués ; elle doit se montrer soumise. Obéissante. Mais elle ne doit pas attendre qu’elles retirent son bâillon. C’est l’instant où ces horribles femmes penseront qu’elle va fuir. Non. Elle doit s’échapper alors qu’elle est encore bâillonnée. Cela les surprendra. Elle les bousculera. Elle courra hors de cet horrible centre commercial. Une fois à l’extérieur, elle réussira à se débarrasser du bâillon. A trouver de l’aide. Elle fera interdire cette guilde infâme.

Ses bras sont libres. C’est le moment.

Elle frappe celle qui lui fait face, bouscule Nadia et Clara, court vers la sortie. Elle est dans le centre. Elle réalise qu’elle est entourée d’ennemis potentiels. Et facilement reconnaissable avec sa cagoule bâillon. Sans oublier qu’elle est « vêtue » d’un slip et d’un chemisier plutôt en désordre.

L’escalier des toilettes est à proximité. Elle s’y précipite. Le descend quatre à quatre. Elle commence à s’essouffler. Ce n’est pas facile avec le bâillon qui obstrue sa bouche. Les poumons brulants, elle s’arrête. Elle est dans les toilettes des femmes. Un miroir lui renvoie son image. Le chemisier en désordre qui découvre en partie ses seins. Ses jambes nues. Sa petite culotte pour seul autre vêtement. La cagoule qui recouvre sa tête. Ne laissant libre que les yeux et le nez.

Sa respiration demeure difficile. Elle voit le mouvement de son torse. Elle entre dans une cabine des toilettes. S’y enferme.

D’abord retirer cette cagoule. Elle cherche fiévreusement le nœud du lacet sur sa nuque. S’efforce de le défaire. Il est horriblement serré. Ses doigts sont gourds. Combien de temps avant que ravisseuses la retrouvent ?
Elle a réussi à dénouer le lacet. Enfin.
Elle tire fébrilement. Enlève la cagoule. Tente de cracher l’ignoble boule de tissu qui occupe sa bouche. S’aide de ses doigts. Elle est enfin débarrassée du bâillon.

Mais elle est toujours seule au milieu du centre commercial. Entourée de ravisseurs et de ravisseuses potentiels.

Pourquoi s’est-elle laissé convaincre par Jessica d’adhérer à cette guilde ? Cela semblait amusant d’être ligotée et bâillonnée. Mais ces gens prennent le jeu trop au sérieux. Et ils lui ont pris son portable. Impossible de joindre Claudia. Elle doit trouver un moyen. Elle ne peut pas rester cachée ici plusieurs heures.

Elle entend une femme entrer dans les toilettes. Elle a l’air seule. Natacha doit tenter sa chance. Elle ouvre brutalement la porte et se jette sur la nouvelle arrivante.

Et se retrouve face contre terre, les bras repliés douloureusement dans son dos.
- S’attaquer à la commandante des gardiens de la guilde. Tu ne manques pas d’audace.
- Laissez-moi partir. Je ne joue plus à ce jeu stupide.
- Qui t’a laissé croire qu’adhérer à la guilde était un jeu.

Tout en parlant, la gardienne a lié les poignets de la jeune femme avec une fine cordelette qui pénètre dans sa peau. Natacha continue de protester et de ruer dans l’espoir de se débarrasser de son adversaire qui ne semble pas incommodée par ses vains efforts. Les bras de la prisonnière sont à présent liés. Puis son torse. Les cordes sont douloureusement serrées. Elle sent des liens autour de ses chevilles.
- Ne faites pas ça. Je ne pourrai pas marcher.
- Ne t’inquiète pas. Je te porterai.
- Vous n’avez pas le droit de me traiter ainsi. Je me plaindrai.
- A qui ?
- A vos supérieurs.
- Seule la maîtresse suprême est au dessus de la commandante et je doute qu’elle écoute tes plaintes.

Natacha sent que ses cuisses sont attachées à présent.
- Je vais crier.
- Tu peux crier autant que tu veux. Cela n’intéressera personne. Et tu n’en serais pas là si tu avais respecté les règles.

La jeune femme sent la main de sa ravisseuse s’insérer sous son slip.
- Non pas ça !!!!
- Tu n’en auras plus besoin avec nous et j’ai trouvé un emplacement plus utile.

Le tissu approche des lèvres de la captive. Elle tente de les garder closes mais il suffit à son adversaire de lui pincer le nez pour la contraindre à ouvrir la bouche le temps reprendre son souffle.

Temps suffisant pour enfoncer le sous-vêtement dans la cavité buccale ainsi offerte.

Natacha tente de recracher la boule mais la gardienne a anticipé son acte et appuie sa main sur la bouche de sa victime. Le tissu reste en place.
- Je te conseille de cesser tes efforts inutiles et agaçants… Quoiqu’assez amusants.

Comprenant qu’elle n’a aucune chance, la captive se calme et frémit à peine quand elle entend le bruit de son chemisier qui se déchire. La commandante insère le tissu entre les lèvres de sa victime et le noue sur sa nuque. Elle déchire ensuite une autre bande plus large qui recouvre entièrement la bouche de la prisonnière.
- J’espère que tu excuseras ce bâillon artisanal mais il sera suffisant le temps que je t’amène au salon de beauté.

L’ironie de sa tourmenteuse n’échappe pas à la malheureuse jeune femme qui se sent soulevé dans les bras de la vicieuse gardienne. Bien qu’elle sache que c’est inutile elle se débat et s’agite stupidement.
- Heureusement que tu es indocile. Parce que te capturer est si facile qu’il n’y aurait aucun plaisir.

Humiliée la jeune femme cesse de se débattre et se laisse porter sans résister davantage.
- Tu deviens raisonnable. C’est bien je le dirai au moment de ta punition.
-
Natacha recommence à s’agiter dans les bras de sa ravisseuse. Quelle punition ? Qu’a-t-elle fait pour la mériter ? N’est-elle pas suffisamment punie ?
- Décidément tu es trop remuante. Il va fa falloir corriger ça.

Qu’est-ce que ça veut dire ? Qu’est ce que cette impitoyable femme a en tête. Natacha ne tarde pas à le savoir. La commandante la dépose à plat ventre sur le sol et lui retire ses chaussures.
- Nous avons la même pointure et tu n’auras pas besoin de marcher pour l’instant.

La jeune femme sent que deux objets sont fixés à ses talons. Elle se tortille pour essayer de voir de quoi il s’agit et reçoit une tape sur les fesses.
- Tu vas gâcher la surprise.
La commandante ajoute une corde aux liens des chevilles de Natacha et les relie à ceux de ses bras. Contraignant la captive à plier ses jambes jusqu’à ce que ses talons entrent en contact avec son postérieur. Elle sent alors une piqûre sur chacune de ses fesses. Elle soulève ses talons avec difficulté. La piqure cesse. Mais la tension de la corde est trop forte. Et il est douloureux de garder ses jambes pliées dans cette position. Ses talons se reposent sur sa chair et la piqûre revient. Natacha ne comprend pas. Qu’a donc fait la ravisseuse. La jeune femme se tortille pour tenter de voir ses talons. Pour le grand amusement de son adversaire.
- Je vois que tu apprécies mes éperons.

Des éperons !!!! La captive lance un regard suppliant à l’impitoyable ligoteuse.
- Ne t’inquiète pas. La pointe est minuscule et désinfectée. Elle s’enfonce à peine dans la peau. C’est désagréable pour toi mais pas dangereux. Et il suffit que tu soulèves tes chevilles pour que tu sois tranquille.

La captive comprenant qu’elle n’a aucune pitié à espérer tente une nouvelle fois de soulever ses talons et de conserver cette position. Elle devine le regard cruel de la terrifiante membre de la guilde.

Elle y parvient. Mais la tension des cordes, la brûlure des liens, la fatigue de ses muscles la contraignent à reposer une nouvelle fois ses talons sur ses fesses. La jeune femme enrage de son impuissance.
- Tu es une magnifique recrue. Nous allons bien nous amuser ensemble.

Une recrue. Pas pour longtemps. Dès que Claudia saura, ce stupide jeu prendra fin. Si cela amuse Jessica d’être soumise aux caprices des ligoteurs, elle pourra en profiter autant qu’elle voudra. Mais cela ne sera pas avec elle.
- Je pourrais te regarder t’agiter pendant des heures mais tu es attendue.

La ravisseuse commence à soulever la captive par les liens de ses bras quand la voix d’une nouvelle arrivante retentit.
- Besoin d’aide…

Natacha croit un instant que cette personne vient à son secours mais la femme complète sa phrase.
- Besoin d’aide commandante ?

Comment a-t-elle pu penser qu’il y aurait quelqu’un pour venir à son secours.
- Pourquoi pas. Va chercher une barre de bois le temps que je perfectionne le ligotage de notre amie.
- Ça me semble déjà bien avancé.
- On peut toujours l’améliorer. Va chercher la barre.

La subalterne s’éloigne pendant que la commandante examine soigneusement les cordes de sa victime. Resserre certains nœuds. Accroît la tension des liens. Il devient de plus en plus difficile de garder les éperons à distance de ses fesses. Natacha tente de protester, gémit dans son bâillon et ne réussit qu’à amuser sa tortionnaire. Bientôt les pas de sa complice retentissent.

Elle porte une longue barre cylindrique en bois. Natacha terrifiée s’agite dans ses liens. Et constate l’efficacité du travail de la commandante. Ses efforts ne contribuent qu’à resserrer davantage les nœuds et ses liens. Les cordes brûlantes pénètrent davantage dans sa peau. La pliure de ses jambes s’accroît. Et les éperons s’enfoncent dans la chair de son postérieur.
- Tu vas finir par te blesser. Calme toi. Ça ira mieux quand on aura installé la barre.

Comprenant qu’elle ne doit espérer aucune pitié, l’infortunée recrue s’efforce de cesser de se débattre et de tenir les éperons à bonne distance de son épiderme.
- On devrait lui attacher les cheveux.

La proposition vient de la subalterne. Natacha tente de réagir et de protester mais son « Mpsnnonnff » a pour seul résultat d’amuser ses ravisseuses qui rassemblent ses cheveux en une natte qu’elles nouent et relient aux liens de ses bras puis de ses chevilles.

La captive constate la cruelle ingéniosité de ses tortionnaires. Le moindre mouvement de ses jambes exerce des tractions sur ses bras et ses cheveux. Même au « repos » la position est effroyablement douloureuse. Pour soulager la tension de ses cheveux, elle ne peut que baisser ses chevilles et faire pénétrer les pointes des éperons dans sa peau fragile et douloureuse.
- Je pourrais passer des heures à la regarder.
- C’est ce qui agréable avec les nouvelles recrues. Elles découvrent tout.
- Celle-ci est particulièrement douée.
- Et particulièrement indocile.
- Ce sera un plaisir de l’éduquer.
- Assez joué, il est temps de la ramener au salon de beauté.

Les ignobles femmes passent la barre derrière les genoux pliés de leur victime qui constate que les éperons s’éloignent de son postérieur. Son soulagement est de courte durée. Elle est soulevée la tête en bas. Les deux ligoteuses hissent chacune une extrémité de la barre sur leurs épaules.

La captive se retrouve suspendue. Portée sans efforts par les deux gardes de la guilde. Au fur et à mesure de leur marche, elle sent son corps subir un petit effet de balancier auquel elle est incapable de s’opposer. Le « trio » commence à gravir l’escalier. A chaque pas la prisonnière a le sentiment qu’elle va heurter la marche supérieure et gémit dans son bâillon.
- Tu devrais nous remercier d’avoir attaché tes cheveux. Sinon, ils traîneraient sur le sol.
La seule réponse de Natacha est un cri de rage malheureusement étouffé par son bâillon.
- Comment veux-tu qu’elle nous remercie en étant bâillonnée.
- Cela ne l’empêche pas de gémir et de bafouiller de façon ridicule.

La captive humiliée, ballotée, sent ses liens se serrer à chaque pas malgré ses efforts pour ne pas tirer inutilement dessus.

Elles arrivent enfin en haut de l’escalier. C’est alors que des applaudissements retentissent. Au mouvement de ses ravisseuses, elle devine que ces applaudissements leur sont destinés. Elles ralentissent marque des arrêts. Natacha songe qu’elle est devenue un trophée que l’on exhibe fièrement. Peut-il exister des limites à son humiliation ? Elle découvre que non quand s’élève la voix de la responsable du salon de beauté.
- Nous nous occupons de deux nouvelles. Heureusement plus dociles que cette petite garce
- A chaque recrutement, nous avons toujours une ou deux nouvelles qu’il faut convaincre.
- Celle-ci est particulièrement revêche.
- C’est d’autant plus amusant de lui apprendre la discipline.
- Justement, comme nous devons nous occuper des deux autres. Je vous propose d’exposer celle-ci.

L’exposer qu’est-ce que ça veut dire. Natacha est effrayée. Quel nouveau supplice lui est à présent destiné ?
- Bonne idée. Ça la calmera et les autres recrues apprendront l’intérêt de la docilité.

Natacha tente de protester mais le bâillon improvisé est trop efficace. Et ses gémissements ne contribuent qu’à amuser les gardiennes et les spectateurs.
- Tu as déjà fait du trapèze ma mignonne.
- Mnonmmff !!!!

L’angoisse de la captive est à son comble. Qu’ont donc imaginer ces ignobles femmes.
- Et bien tu vas en faire.

La barre de la prisonnière est suspendue à deux cordes qui pendent depuis le plafond du centre commercial. La jeune femme se balance malgré elle la tête en bas sous les yeux amusés des membres de la guilde.

La commandante prend la parole.
- Mes amis, vous avez compris que notre nouvelle amie va devoir patienter avant de passer au salon de beauté. Je compte sur vous pour lui éviter de s’ennuyer.

Une fois les deux gardiennes parties, le public reste un instant statique. Natacha espère qu’elles vont se contenter de l’observer. Ce qui est déjà suffisamment humiliant. Mais un couple s’enhardit, s’approche.
- Tu permets qu’on emporte un petit souvenir.

La femme arrache un morceau du chemisier déjà déchiré de la captive dont le cri de rage, étouffé par le bâillon se transforme en ridicule gémissement.
- Merci ma chérie. C’est très généreux de ta part.

Le couple s’éloigne. Encouragées par cet exemple plusieurs personnes s’approchent et prélèvent un morceau de chemisier les uns après les autres. L’infâme défilé se poursuit jusqu’à ce qu’il ne reste plus la moindre pièce de vêtement sur le corps dénudé et ligoté de l’infortunée jeune femme.
Mais ses épreuves ne sont pas finies. Être exposée aux yeux de tous nue, bâillonnée et ligotée dans cette inconfortable position est déjà une épreuve mais certains membres de la guilde sont décidés à l’utiliser pour donner des leçons aux nouvelles recrues. Cela commence par une groupe de nouvelles soumises guidées par une dominante.

La dominante prend la parole.
- L’exemple de cette jeune insoumise doit vous servir de leçon. Les dominantes doivent respecter certaines règles. Ne pas mutiler, ne pas blesser gravement. Mais comme vous le voyez, nous avons des moyens de rappeler aux soumises la nécessité de se montrer docile.

Les jeunes femmes sont toutes enchaînées et bâillonnées. Elles ne peuvent que montrer leur assentiment à cet ignoble discours. Leur maîtresse reprend la parole.
- Comme c’est votre premier jour, j’autorise une question.

Une des captives relève la tête. Sur un geste de la dominante, son bâillon est retiré.
- Excusez mon insolence madame mais quand j’ai demandé à adhérer à la guilde, la recruteuse m’a dit que j’aurai la possibilité de changer une dernière fois d’avis à l’instant de ma capture.
- En effet les recruteuses disent ça pour rassurer les nouvelles adhérentes. Souhaites tu bénéficier de ce droit ?
- Non madame, j’ai accepté ma condition de soumise.
- Et tu as bien fait parce que une fois quand tu avais franchi le seuil du centre, il n’était plus question de revenir en arrière.
- Je l’ai compris madame et ma ravisseuse me l’a bien expliqué. Mais je ne comprends pas pourquoi cette captive est traitée aussi durement. Bien que je sois certaine qu’elle le mérite.

Ainsi, il n’est pas possible d’espérer la moindre compassion de la part des soumises. Comment peuvent-elles ne pas être solidaires de leur compagne d’infortune.
- Tu as raison, elle le mérite amplement. Elle n’a pas respecté la première règle. Peux-tu me la citer.
- On ne doit pas parler de la guilde à une personne extérieure à la guilde.

Alors, elles savent qu’elle a parlé à Claudia. Cela ne les effraie même pas. Elle a peut-être mis son amie en danger.
- Reconnais-tu que cela mérite une punition exemplaire ?
- Je le reconnais humblement madame et je m’excuse de vous avoir importunée.
- Tu as raison de t’excuser. Mais tu as assez parlé. Il est temps que tu retrouves ton bâillon.
- Comme il vous plaira, Madame.

La servilité de cette femme horrifie Natacha. Mais elle doit reconnaître qu’elle est efficace. Qu’a-t-elle réussi en résistant ? Elle réalise qu’elle raisonne comme une esclave. Elle doit combattre cette tentation. Qu’importe qu’elles sachent que Claudia est au courant pour la guilde. Elle est trop puissante pour les craindre.

Les soumises sont parties et Natacha profite d’un court instant de répit où personne ne semble s’occuper d’elle. Où les clients et les clientes circulent dans le centre commercial comme s’il était normal d’y voir une femme nue, ligotée en hogtie, bâillonnée et suspendue la tête en bas.

Une nouvelle fois la captive tire sur ses liens comme si cela pouvait avoir un autre effet que de resserrer les nœuds et tendre les cordes. Sans oublier les éperons qu’il est de plus en plus difficile d’éloigner de ses fesses.

Un autre groupe de recrues s’approche. Des dominantes. Leur guide prend la parole.
- Je vous conseille d’examiner les liens de cette jeune écervelée. Vous pourrez apprécier un ligotage de qualité effectué par notre commandante elle-même.

Les nouvelles recrues s’approchent, tirent sur ses liens, examinent les nœuds, s’extasient devant l’idée des éperons, vérifient la tension des cordes. Sans s’inquiéter des douleurs qu’elles infligent à leur victime.
- Quelle bonne idée de lui attacher les cheveux.
- Oui, cela l’immobilise encore plus.

Une autre passe la main sur son bâillon.
- La commandante l’a fait avec des morceaux de son chemisier.
- Oui et avec sa petite culotte.
- Vous croyez qu’elle pourrait se balancer.
- Pourquoi ne pas essayer.
- Vous permettez madame.

Ces derniers mots s’adressent à la guide. Natacha espère qu’elle va s’opposer à l’idée stupide des nouvelles recrues.
- C’est une excellente idée.

La captive essaie de protester mais l’efficace bâillon réduit une fois de plus ses cris à des bafouillis ridicules.

La recrue appuie sur les seins de la prisonnière, la pousse en arrière puis relâche sa pression. Cela suffit à imprimer à la jeune femme suspendue un mouvement de balancier qu’elle ne peut pas maîtriser. Au contraire, les mouvements inutiles qu’elle fait dans ses liens contribuent à maintenir le mouvement. Elle ne peut pas retenir des cris de fureur étouffés par son bâillon. Ses mouvements resserrent encore ses liens. Les recrues hilares se succèdent pour la pousser.

Jusqu’à ce que leur guide leur donne l’ordre de cesser. Natacha se reproche le sentiment de reconnaissance qu’elle éprouve alors envers une femme qui n’est qu’une autre tortionnaire.

Ce que la suite lui confirme.
- Vous avez remarqué que dans sa situation, cette petite garce s’efforce de ne pas bouger.
- Oui, Madame.
- Nous allons donc l’inciter à bouger davantage avec cette simple baguette.

D’où vient cette baguette dans les mains de cette ignoble femme. Natacha réalise que cela ne devrait pas être son principal sujet d’inquiétude.
- Comment feriez-vous ?

Une des recrues lève la main.
- Ne dites rien. Montrez-moi.

La recrue prend la baguette et commence à exercer des pressions sur les seins de la prisonnière qui réalise qu’elle ne peut pas résister à l’excitation ainsi provoquée. Elle gémit dans son bâillon, tord son corps et ses membres dans ses liens. Sa tortionnaire s’interrompt.
Natacha espère qu’elle va réussir à calmer les spasmes qui l’agitent quand elle réalise que la baguette passe dans les mains d’une autre recrue qui poursuit l’expérience de sa camarade. La captive vit la suite dans un brouillard où les ondes de plaisir se mêlent de brûlures provoquées par la tension de ses liens. Où son corps exultant ne peut pas s’exprimer dans la contrainte exercée par les cordes ou le bâillon. Elle voit dans une infime brume les clients et les clientes du centre se masser pour assister au spectacle qu’elle offre. Au milieu de la fureur qu’elle ressent une petite voix semble lui murmurer qu’elle jouit sous les manipulations expertes de ses geôlières et que les sentiments qu’elle éprouve à l’idée d’être ainsi exposée sont un mélange de honte et de plaisir. L’infâme spectacle s’achève sur un dernier orgasme de la prisonnière honteuse, épuisée et… ravie.

Les spectateurs s’éloignent et ne s’occupent plus de la jeune femme ligotée, bâillonnée et suspendue. Curieusement, elle éprouve un sentiment de frustration à être ainsi ignorée. Elle n’a plus la force de tirer sur ses liens. Ne songe même plus à un moyen de fuir. Elle se contente d’attendre la suite des événements. Serait-elle sur le point de devenir la parfaite soumise que souhaitent les membres de la guilde. Il n’en est pas question. Elle refuse de devenir un jouet. Mais que peut-elle tenter dans la situation où elle se trouve ? Elle espère toujours que Claudia interviendra. Mais osera-t-elle affronter la guilde qui semble beaucoup puissante que ce qu’elle imaginait ?

Épuisée par les épreuves Natacha plonge dans un sommeil fiévreux. La brûlure des liens, l’inconfort de sa position lui semblent lointain.

Jusqu’à ce qu’elle ressente une violente douleur. Une gardienne pince un de ses téton.
- Réveille toi petite garce. Il est temps d’aller te faire une beauté.

La captive est décrochée de sa barre. Libérée de ses liens et de son bâillon. Un instant, elle envisage de tenter une nouvelle fois de s’évader. Mais quelles sont ses chances. Nue, épuisée, entourée d’adversaires.

Elle n’a pas à hésiter longtemps. Ses poignets sont enchaînés dans son dos. Puis ses chevilles. Un bâillon boule est enfoncé entre ses lèvres. Sanglé sur sa nuque.
- Tu connais le chemin du salon de beauté, pétasse.

Natacha hoche la tête affirmativement. Et reçoit une claque sur les fesses.
- Ce n’était pas une question, idiote. Tu es attendue. Va directement au salon sans traîner. A moins que tu souhaites goûter au fouet.

Natacha, après avoir reçu une dernière tape sur les fesses, rejoint une nouvelle fois le salon de beauté.
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Re: L’étrange aventure de Jessica

Message par cowboygf »

franchement tes histoires sont geniale je les attends toujours avec impatience, surtout qu'on a des gout commun de bondage!! :bravo:

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Re: L’étrange aventure de Jessica

Message par Mad Hatter »

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Gwenboyfriend
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Re: L’étrange aventure de Jessica

Message par Gwenboyfriend »

Merci pour vos messages. Voici un nouveau chapitre. Un peu plus court. Le suivant viendra dans quelques jours.


Les tourments de Natacha, chapitre 3

Le chemin jusqu’au salon paraît long à Natacha alors qu’il n’est qu’à quelques dizaines de mètres. Mais cela lui laisse le temps de constater l’habileté et la cruauté des gardiennes de la guide. Non seulement la chaîne de ses chevilles est très étroite mais elle est reliée à celle de ses poignets par une autre chaîne très courte qui oblige la jeune femme à avancer à petits pas lents et maladroits.

Cela laisse le temps aux visiteurs et aux visiteuses du centre de profiter d’elle en effleurant son corps, ses seins, ses fesses.

La captive ne peut pas accélérer le pas et n’est d’ailleurs pas pressée d’atteindre le salon dont elle devine que cela ne sera que le début de nouvelles épreuves. Mais les attouchements qu’elle subit sont intolérables.

Un regard à la grande horloge du centre la désespère. Claudia n’appellera que dans cinq heures. Comment le temps peut-il s’être écoulé aussi lentement ?

Quel dommage d’atteindre déjà le salon de beauté. Elle doit faire le maximum pour ralentir. Gagner du temps. Ou plutôt en perdre.
Un pincement sur son téton droit la rappelle à l’ordre.
- Tu t’es amusée en route. Tu crois peut-être que tu es la seule dont nous nous occupons. Tant pis pour toi. Tu vas devoir patienter.

Patienter. Elle ne demande que ça. Le temps est son allié.
- Installe la sur la chaise des trainardes.

Quelle nouvelle infamie se cache sous cette expression. Elle ne tarde pas à le savoir. Le siège est recouvert de pointes minuscules qui dépassent à peine du bois.
- Je pense que tu as compris le principe. Ce siège est sans danger mais légèrement inconfortable.

Natacha refuse d’avancer. Mais ses possibilités de résistance sont bien limitées. Que peut-elle faire avec les poignets enchaînés dans son dos et reliés aux chaînes de ses chevilles ? Les « mmmpffnomppfm » qu’elle lance à travers son bâillon amusent ses tortionnaires. Jusqu’à ce qu’une d’entre elle tire ses cheveux en arrière pour la calmer.
- Tu devrais avoir compris à quel point ton attitude est ridicule. Les pointes s’enfonceront à peine dans la peau et n’abimeront pas ton magnifique derrière.
- Sauf si tu t’agites stupidement.
- Mais rassure toi. Nous ferons le maximum pour que tu ne puisses pas t’agiter.

Cette remarque n’est pas vraiment rassurante.
- Si tu continues de résister tu auras aussi droit aux pinces à tétons.

Natacha comprend qu’elle ne peut que se soumettre et marche vers l’horrible chaise.
- Tu deviens enfin raisonnable.

Ces propos sont accompagnés d’une caresse sur les fesses de la captive.
- Ne t’inquiète pas, ton joli petit cul sera juste un peu douloureux pendant quelques temps. Cela t’aidera à te souvenir des vertus de l’obéissance.

Natacha s’efforce de cacher sa fureur d’être ainsi traitée. Mais que peut-elle faire. La voici face à la chaise. Elle a un mouvement de recul. Un tel objet n’a rien à faire dans un salon de beauté.
- Allons, tu ne vas pas recommencer à faire l’idiote.

La jeune femme est bien obligée de reconnaître sa défaite et baisse la tête en signe de soumission.
- Nous allons te retirer tes chaînes. N’en profite pour faire de nouvelles bêtises.

Matée, la captive obéit et ne tente pas de profiter de sa liberté retrouvée.
- Assied toi. Appuie ton dos contre le dossier et tiens toi bien droite.

Natacha obéit. Retient une grimace quand les minuscules pointes pénètrent sa peau.
- Parfait. Baisse la tête qu’on te retire ton bâillon. Et surtout ne dis rien.

Une fois le bâillon retiré, les deux femmes fixent les sangles de la chaise sur le torse, au dessus et dessous des seins de la captive. Une autre sangle autour de la taille. Une sur le cou. Une dernière sur le front. La prisonnière est littéralement collée au dossier de la chaise.
- Les bras maintenant.

Les bras de Natacha sont à leur tour emprisonnés dans des sangles disposées le long du dossier. C’est ensuite au tour de ses cuisses prise dans des sangles si serrées que la jeune femme doit appuyer ses fesses douloureuses sur le siège .
- Ne serrez pas autant s’il vous plaît.
La réponse est impitoyable.
- Décidément, ton bâillon devait te manquer.
Avant que Natacha ait pu protester, le bâillon boule est remis en place et serré sur sa nuque.
- Que cela te serve de leçon.
Elle s'adresse ensuite à ses assistantes.
- Serrez davantage les sangles.

Les employées s’exécutent avec un plaisir évident. Les fesses de la captive sont littéralement collées au siège. Les pointes s’enfoncent douloureusement dans son épiderme. Elle agite les jambes, la seule partie de son corps libre et gémit dans son bâillon.
- Le bâillon n’est pas assez efficace et bloquez lui les jambes.

Deux femmes immobilisent les jambes de la captive. Et les entravent dans des sangles reliées aux pieds de la chaise. Tout le corps de Natacha est à présent immobilisé. Pour le plus grand plaisir de ses tortionnaires.
- Elle peut à peine frémir.
- Il vaut mieux vérifier.

Deux ligoteuses saisissent une plume avec laquelle elles chatouillent les parties les plus sensibles de leur victime qui est prise de spasmes d’autant plus insupportables que son corps est immobilisé et que son bâillon contrarie ses gémissements.
- Je l’avais dit, elle peut à peine frémir.
- Elle gémit un peu trop fort.
- Cela peut s’arranger.

Le bâillon-boule est retiré. La captive en profite pour supplier ses ravisseuses.
- S’il vous plait ne me bâillonnez plus. Je serai sage.
- Nous ne pouvons pas te faire confiance et nous avons trop envie d’essayer un autre bâillon.

Une des femmes brandit une large bande de cuir à laquelle est fixée un épais cône de plastique. Terrifiée, Natacha supplie
- Non, pas ça.
- Tu devrais avoir compris que plus tu proteste, plus cela nous amuse.

Une des geôlières pince le nez de la prisonnière pour l’obliger à ouvrir la bouche pendant que sa complice enfonce le cône entre les lèvres de leur victime impuissante qui découvre la présence de deux encoches de chaque côté de sa tête au niveau de sa bouche. Chaque extrémité de la bande de cuir passe dans une encoche et est tirée jusqu’à ce que Natacha sente sa nuque collée au dossier. Elle entend alors plusieurs dans le bois derrière sa tête.
- Ne t’inquiète, ma mignonne. Ce sont seulement les rivets qui achèvent de fixer ton bâillon.
- Voyons si c’est efficace.

Natacha voudrait pouvoir dire que c’est inutile que le cône qui envahit sa bouche empêche toute possibilité de crier ou de protester mais c’est évidemment impossible et sa tourmenteuse pince un de ses tétons. Le cri de douleur devient un murmure ridicule.
- Cette fois c’est parfait. Installez là pour qu’elle attende son tour.

La chaise de la prisonnière est installée face à un miroir. La jeune femme est impressionnée de voir tout son corps emprisonné et immobilisé. Elle réalise qu’elle apprécierait sûrement le spectacle qu’elle offre si ce n’était pas elle qui était à l’intérieur des sangles.

La chef s’adresse aux deux employées qui maquillent les autres soumises.
- Il vous en reste combien à préparer.
- Quatre. Mais on peut s’occuper de celle-ci en priorité.
- Au contraire, faîtes là passer en dernier. Je vais vérifier s’il n’y a pas d’autres soumises à faire passer avant elle.
- Je sais qu’elle a droit à un traitement spécial. Mais cela peut être long.
- Plus ce sera long, plus ce sera bon.

Sur ces mots la chef sort du salon de beauté.
Dernière modification par Gwenboyfriend le 08 mai 2019, 16:42, modifié 1 fois.
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Re: L’étrange aventure de Jessica

Message par Mad Hatter »

Les bras de Natacha sont à leur tour emprisonnés dans des sangles disposées le long du dossier. C’est ensuite au tour de ses cuisses prise dans des sangles si serrées que la jeune femme doit appuyer ses fesses douloureuses sur le siège .
- Ne serrez pas autant s’il vous plaît.
La réponse est impitoyable.
- Je pense que vous pouvez serrer davantage.

Les employées s’exécutent avec un plaisir évident. Les fesses de la captive sont littéralement collées au siège. Les pointes s’enfoncent douloureusement dans son épiderme. Elle agite les jambes, la seule partie de son corps libre et gémit dans son bâillon.
- Le bâillon n’est pas assez efficace et bloquez lui les jambes.
:?:
À quelle moment lui ont-elles remis le bâillon ?

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Re: L’étrange aventure de Jessica

Message par Gwenboyfriend »

Mad Hatter a écrit : 08 mai 2019, 16:27 :?:
À quelle moment lui ont-elles remis le bâillon ?
Oups, j'avais négligé cet instant essentiel qui a trouvé sa place dans le récit.

Mad Hatter a écrit : 08 mai 2019, 16:27 :?:
Natacha trouvera t'elle de la joie dans sa captivité ?
C'est trop tôt pour le savoir
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Re: L’étrange aventure de Jessica

Message par Mad Hatter »

À suivre donc :ane
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Re: L’étrange aventure de Jessica

Message par cowboygf »

natacha n'a que la recompense de son audace, de quoi se plaint -elle? , les filles ont de la poigne :lol: :lol:
une bonne seance de ligotage et de baillon bien serré ne peut que rendre docile et soumis :lol: :lol: :lol:
j'attends la suite :bave: :bave:

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