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Utten
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Message par Utten »

J'avais mal dormi cette nuit-là. On s'était disputés la veille avec mon ami si bien que j'étais rentrée tôt le vendredi soir, fâchée et bien décidée à ne pas le voir de tout le week-end. Mais bon, je n'avais pas l'esprit tranquille et je n'ai pas cessé de tourner et de me retourner dans mon lit. Alors le samedi matin, à peine huit heures, debout et à neuf heures je me suis dit que le mieux à faire c'était d'aller faire mes courses histoire d'éviter la cohue. C'est vrai, non? Le centre commercial à l'ouverture, c'est calme.

Bon, pour être totalement honnête, je pensais aussi à m'arrêter chez lui au retour et faire la paix.

Où en étais-je? Ah, oui. J'ai enfilé ma jupe de tailleur, mon chemisier blanc et mes chaussures et je suis descendue au parking. J'ai aperçu la voiture des voisins du 3ème qui se dirigeait vers la sortie. Je ne les ai pas vus directement mais on la reconnaît au bruit leur voiture, elle grince très fort quand ils démarrent, une histoire de courroie il paraît, faudrait qu'ils pensent à réparer. C'est ce que je me suis dit encore une fois alors que j'ouvrais mon coffre pour vérifier que mes sacs de provisions étaient bien là. Ils y étaient, oui, oui.

C'est là que cet homme m'a sauté dessus. Il est arrivé par derrière et m'a ceinturée à la taille avec un bras pendant qu'il plaquait son autre main sur ma bouche. Il était grand et costaud, au moins une tête de plus que moi, et me tenait si fort que je ne pouvais pas me dégager. Ni crier: sa main sur ma bouche étouffait le moindre son. J'ai essayé de crier, je vous le jure, je me suis débattue mais je n'y pouvais rien. Il m'a littéralement soulevée du sol.

Une sorte de van tout blanc est arrivé à ce moment-là, la porte sur le côté était ouverte. Mes pieds ne touchaient plus terre. J'ai cru que j'allais perdre mes chaussures. Il m'a jetée dedans et lui avec, sans me lâcher, m'écrasant de tout son poids mais sans me lâcher. Et puis son bras a glissé de dessous mon ventre pendant qu'il se mettait à genoux sur mon dos. J'ai cru deux secondes que c'était ma chance de m'échapper mais chacun de mes bras est resté coincé.

Il a décollé légèrement sa main. J'ai voulu appeler au secours mais aussitôt de l'autre main il m'a enfoncé un bout de tissu dans ma bouche. Un goût affreux. Ca sentait l'urine. Je vous jure. Oh mon dieu! Quelle horreur. Et non content de m'imposer ça, il a sorti un rouleau d'adhésif, vous voyez, le genre qui s'utilise pour faire les cartons quand on déménage. Oui, vous voyez n'est-ce pas? Il l'a collé sur ma bouche et l'a enroulé au moins cinq fois autour de mon visage.

Après il s'est dégagé de mon dos mais aussitôt il a saisi mes poignets. Il avait de la poigne et de la dextérité, ça je dois le reconnaître: rien qu'en les tenant à une main, il a réussi à les attacher avec le scotch sans que je puisse rien faire. Aussi serré que sur ma bouche. Et pourtant je vous promets que je me débattais et que j'essayais de crier sous mon bâillon. Rien à faire.

Il m'a aussi attaché les jambes et les pieds. Les pieds d'abord, les genoux ensuite, là juste en dessous et puis il m'a replié les jambes si bien que j'avais les talons qui touchaient presque mes fesses, attachées vous vous en doutez par une longue bande de scotch qui passait sur mes cuisses et mes chevilles. Un vrai petit paquet. Et pas un de ceux qu'on défait facilement.

C'est là que la femme qui conduisait a demandé si c'était bon. Presque a-t-il répondu. Presque?! Et ben oui, parce que juste avant de descendre, il m'a enfilé un sac sur la tête, un sac en tissu, tout noir. Oh mon Dieu! En plus d'être saucissonnée, bâillonnée, j'étais maintenant aveuglée. Pas la moindre lueur à passer, juste l'air qui me permettait de respirer. Quant à les entendre, rien! Je me rappelle d'un film où ce type se fait enlever et arrive à trouver où on l'emmène en écoutant les sons de la rue. Moi, je n'entendais que le bruit du moteur lorsqu'ils ont démarré et les battements de mon coeur, comme si je courrais un 100m.

Je suis restée là pendant, oh!, une demi-heure au bas mot, peut-être plus, je ne sais pas. A rouler sur moi-même, à gigoter, à me débattre. Je les entendais discuter à l'avant mais sans pouvoir distinguer les mots. Après, je suis restée immobile.

Quand le van s'est enfin arrêté, c'est la femme qui a ouvert la porte latérale. Elle m'a détaché les jambes et les pieds en coupant les adhésifs et ne cessait de me parler, du genre 'Ma pauvre! Il t'a bien attachée' ou 'Ca va, j'espère', sur un ton très doux. Comme si elle était désolée, vous voyez. Mais avant qu'elle n'en vienne à mes mains, l'homme l'a arrêtée:

- Qu'est-ce que tu fais? Arrête donc.

- Mais...

- Suffit. Laisse. Va ouvrir la maison, je l'emmène.

Il m'a attrapée par le bras et mise debout, à l'extérieur du van. J'ai dû marcher ainsi sans rien voir et attachée jusqu'à la maison. Et puis j'ai entendu la porte se refermer, à clé.

- Ouvre-moi le placard. Je vais la laisser là pendant que je m'occupe de toi...

- Mais? Tu devais nous attacher ensemble

- Ne t'inquiète donc pas, ma chérie. Va te changer plutôt.

Je l'ai entendue partir. Pendant ce temps, il m'installait dans un placard, dans l'entrée je crois, assise à même le sol et de retour m'attachait les chevilles avec de l'adhésif. C'est là qu'il a enlevé le sac de sur ma tête et que je l'ai vu: un homme, entre quarante et cinquante ans, plutôt bel homme d'ailleurs, et avec le sourire. Prévenant même.

- Ca va?

Etonnant non? Il venait de m'enlever dans la rue et me demandait si j'allais bien. Je ne savais plus quoi penser, moi. J'avais envie de lui dire de m'ôter le bâillon sur ma bouche mais:

- Mmmghghgpphffff.

Ben oui, j'étais bâillonnée. Alors j'ai juste fait un signe de la tête.

- Je vous laisse ici le temps d'attacher Murielle, hein. Et après je m'occupe de vous, promis.

Il a alors fermé le placard sur moi. A clé: j'ai entendu la clé tourner dans la serrure. Je me suis retrouvée dans le noir avec juste un filet de lumière qui passait sous la porte. J'ai essayé d'appeler au secours. Pas longtemps. Parce qu'il n'y avait plus de bruit donc plus personne pour m'aider. Et puis parce que j'avais moins peur, un peu: la femme avait parlé de d'être attachée avec moi, lui parlait d'aller l'attacher, il me demandait si ça allait... C'était très bizarre tout ça mais beaucoup moins effrayant qu'au départ.

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foulards6384
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Re: Déposition

Message par foulards6384 »

Un bon début, cela nous promet une belle histoire, ont sais qu'il y aura au moins 2 captives :lol: .
Utten tu à toujours le don de nous captivé avec tes histoires.
A quand la suite?
je bouge pas :police: je ne regarde pas :bandeau: je ne parle pas :gagged:

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Alexandra_TV
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Re: Déposition

Message par Alexandra_TV »

Tes histoires sont toujours très intéressante et surtout pleines de surprises.

Très hâte de lire la suite.

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fredchl
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Re: Déposition

Message par fredchl »

Un très bon début ! Je trouve que la narration à la première personne le rend plus captivant ! ;)

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Utten
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Re: Déposition

Message par Utten »

Merci. Merci pour vos commentaires. J'envoie la suite dans la soirée.

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Utten
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Re: Déposition

Message par Utten »

Le temps a passé très lentement mais il est revenu comme promis. Il m'a aidé à me lever et m'a conduite jusqu'à une salle de bain. J'ai dû sautiller à pieds joints parce qu'il ne m'avait pas encore détachée. Seulement à l'entrée de la salle de bain. Il a coupé l'adhésif de mes poignets et de mes chevilles:

- Je vous ai préparé une tenue pour vous changer. Enlevez tout et mettez-là, ce sera mieux. Oh! et gardez le bâillon pour le moment, il vous va très bien.

J'étais tellement surprise que je n'ai pas protesté. Ou pas eu le temps en fait. Il avait fermé la porte.

- Je vous attends ici. Ne traînez pas trop quand même.

J'étais donc là toute seule dans la salle de bain. Alors quoi faire? M'échapper? La pièce était aveugle: pas de fenêtre. Il y avait juste ce tablier posé sur un petit meuble, tout noir et qui remonte presque jusqu'au coup, enfin pas tout à fait quand même, avec une sangle qui passe derrière la nuque, le genre qu'on porte pour cuisiner et qui descend à mi-cuisse. Je me suis déshabillée, je l'ai enfilé, j'ai fait le noeud dans mon dos et puis j'ai ouvert la porte. Il attendait.

- Oh, magnifique! Il vous va à ravir. Tournez-vous s'il vous plaît.

J'avais remarqué les menottes dans sa main, des menottes métalliques un peu brillantes. Pas comme les vôtres, non, plus jolies. C'est la première fois que j'en voyais des comme ça, sans chaînette, avec juste une grosse charnière qui tenait les deux bracelets. Pour tout vous dire, j'en ai à la maison, des normales ou à peu près normale, avec de la fourrure autour: mon petit ami, enfin, mon ex-petit ami voulait essayer des jeux coquins mais on a laissé tomber au premier essai parce qu'il disait que ça lui faisait mal aux poignets. Celles-là étaient différentes, ça je vous le garantis, parce qu'il m'a menottée avec, comme ça vous voyez, les bras devant moi. Et ça ne faisait pas mal du tout. Sauf quand il tirait dessus pour me faire avancer.

Oui, parce qu'il s'est mis à marcher jusque dans le salon en me tenant par les menottes justement. Puis on est sortis dans le jardin en passant par la porte-fenêtre. Il y avait de grands sapin tout autour qui cachaient un peu la maison et rien d'autre; plutôt isolée a priori. Et tout au fond une grande pergola en bois avec une table en dessous, une banquette et des chaises.

C'est là que j'ai découvert sa femme, une belle brune bien en chair, pas grosse, non, juste un peu rebondie, mais jolie. Grande, presque autant que moi. Elle était là sous la pergola, dans une tenue de soubrette toute noire avec un petit tablier blanc, des bas noirs et perchée sur des talons de 10 cm. Ca brillait un peu parce que c'était du vinyle ou de PVC, je crois. Du plus bel effet en tout cas. Surtout elle était complètement ligotée contre l'un des poteaux, les mains dans le dos, les coudes aussi je crois mais je n'en suis pas sure. Les seins écrasés entre deux cordes qui passaient au-dessus et en dessous. Une autre lui enserrait la taille et les avant-bras derrière le poteau. Ses jambes aussi étaient attachées, au-dessus des genoux, en dessous, le haut des cuisses, pile là où s'arrêtait sa jupette et ses chevilles. Elle était bâillonnée mais pas comme moi, non, avec un... Ah! comment ça s'appelle? Un bâillon-boule, vous voyez, comme dans ce film avec... Heu... Bref, une grosse boule blanche enfoncée dans la bouche avec une sangle de chaque côté qu'on referme derrière la tête. Ca avait l'air très très serré ça aussi. Mais pas trop inconfortable: elle restait très calme en nous regardant arriver.

Après l'avoir entendue dans le placard parler d'être attachée avec moi, je pensais à un jeu ou à une blague que Corinne - Corinne c'est ma meilleure amie - m'aurait fait, elle en est tout à fait capable. Sauf quand nous sommes arrivés assez près pour voir son bâillon et son visage, je l'ai vue ouvrir grand les yeux et changer d'air. Elle s'est mise à faire MMmmm MMMmmfff comme si elle voulait dire quelque chose, de plus en plus fort, en me regardant moi et puis son mari, à secouer la tête l'air de dire non. J'étais beaucoup moins rassurée du coup. Et arrivée sous la pergola, je la voyais se débattre toute attachée qu'elle était.

Son mari m'a lâchée quelques secondes. Elle continuait de lancer des plaintes étouffées. Il s'est approché d'elle, a posé une main à plat sur sa bouche, par dessus le bâillon et l'autre sur l'un de ses seins en faisant des commentaires sur sa fougue inhabituelle. Ce qui n'a fait qu'augmenter ses gesticulations et ses cris. Moi, je n'osais rien dire. D'abord parce que j'avais toujours la bouche scotchée. Ensuite parce que j'avais vu sur la table tout cet attirail: des cordes, des foulards, des rouleaux d'adhésif et surtout, surtout, le même bâillon qu'elle, en rouge et que je ne voulais pas essayer le moins du monde, oh non!

C'est à ce moment-là qu'il s'est retourné, il a pris une corde sur la table et il s'est approché de moi. J'ai pris peur, un peu, j'ai commencé à secouer la tête en faisant non. J'imagine qu'on n'entendait que MMmmm MMMmm à cause du bâillon. Moi aussi je faisais les grands yeux à présent, tout comme elle. Alors il a rigolé en disant que nous nous étions mises d'accord pour jouer les demoiselles en détresse. Il m'a d'abord poussé contre l'un des poteaux de la pergola et il a passé cette corde tout autour de ma taille, au moins six tours très serrés. Après ça, il m'a enlevé les menottes mais sans lâcher mes poignets et il m'a mis les mains dans le dos, derrière le poteau et les a ligotés ensemble en terminant par un noeud très solide autour du poteau de sorte que je ne pouvais plus bouger mes bras. Ensuite les chevilles et puis les genoux. A chaque fois une nouvelle corde qu'il attachait fermement contre le poteau.

Quand il eut terminé, il s'est tourné vers la table, il a fouillé dans tout son attirail avant de revenir vers moi. Il tenait une paire de ciseaux à bouts ronds, des petits ciseaux comme on avait à l'école primaire, avec lesquels il a coupé mon bâillon. Enfin, je me suis dit, je vais pouvoir parlementer un peu et l'amener à me libérer. Oui, dans mon métier, on apprend à amadouer les gens tout doucement. J'étais sûre de moi. Trop en fait. Beaucoup trop. Parce que d'abord, enlever l'adhésif, ça tire sur la peau, c'est très désagréable: si j'avais pu, j'aurais juste crié Aïe! Mais je n'ai même pas réussi à recracher la culotte qui était enfoncée dans ma bouche. Beuh, quand j'y repense, quel goût affreux! C'est lui qui me l'a enlevée, et aussitôt il m'a enfoncé la boule rouge entre les dents et il a bouclé la sangle derrière ma tête. Je me suis mise à crier, peine perdue, ça ne donnait rien de mieux que sa femme en face. MMmmm MMMmmfff!

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fredchl
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Re: Déposition

Message par fredchl »

J'aime bien cette suite.
Et l'épouse entravée en soubrette contre une poutre... :twisted:
Ma seule critique d'écriviste en herbe est que la suite devient peut-être trop narrative. Un poil de dialogues serait bienvenu.
M'enfin ce n'est que mon avis... ;)

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Utten
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Re: Déposition

Message par Utten »

fredchl a écrit : 28 févr. 2019, 14:19 la suite devient peut-être trop narrative. Un poil de dialogues serait bienvenu.
Ah, mince! Je travaille sur la suite et... j'ai gardé le même côté narratif. Désolé. Mais je retiens ta remarque pour la prochaine histoire.

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Alexandra_TV
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Re: Déposition

Message par Alexandra_TV »

Pour ma part, le côté narratif me plait bien.

Tu sais, c’est toi l’auteur, tu écris ton histoire de la façon qui te plait.

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foulards6384
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Re: Déposition

Message par foulards6384 »

Je suis d'accord avec toi Alexandra, l'auteur écrit son histoire comme il lui plaît, j'aime bien quand il y a du dialogue mais la narration ne me gêne pas.
je bouge pas :police: je ne regarde pas :bandeau: je ne parle pas :gagged:

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