Chasse au trésor

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Gwenboyfriend
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Chasse au trésor

Message par Gwenboyfriend »

Sur le fleuve

Le bateau avance au milieu du large fleuve dans une contrée lointaine et tropicale. Le bruit du moteur couvre les bruits de la jungle presque inaudibles pour ceux qui sont à bord.
Quelques marins s’occupent à des tâches indispensables pour l’avancée du bateau. D’autres armées de fusils surveillent la berge à la recherche d’un quelconque danger.

Certains ont la tête ailleurs et songent aux quatre femmes qui sont embarquées en tant que passagères et qui pour l’instant se reposent dans l’inconfortable cabine réservée aux invités.

A la proue du navire une femme brune et élégante se tient aux côtés du capitaine qui exprime un certain agacement.

- Plus nous avançons, plus le danger s’accroit et moins nous sommes sûrs de pouvoir y faire face.
- Je vous paye suffisamment cher pour que vous preniez ce risque.
- Un pourcentage sur un trésor incertain d’un montant inconnu, je n’appelle pas ça être payé cher.
- Vous me paraissez bien nerveux aujourd’hui.
- La présence de sept femmes à bord du bateau ne contribue pas à leur sérénité.
- Mes trois compagnes font ce qui est nécessaire pour apaiser leurs tensions.
- Les trois femmes qui sont à la proue suffisent à la maintenir.

Le capitaine désigne trois jeunes femmes, une brune, une rousse et une blonde, nues et immobilisées face à lui, dans une position plutôt inconfortable.

Alice, Kim et Claire, les jeunes femmes en question, sont chacune à cheval sur une barre de bois triangulaire. L’angle supérieur passe précisément entre leur jambes écartées et liées par leurs chevilles à un anneau fixé dans le pont. Leurs poignets et leurs bras sont étroitement liés dans leur dos.

Ainsi ligotées, elles ressentent durement les effets du mouvement du bateau. Leurs plaintes éventuelles sont heureusement étouffées par le chiffon enfoncé dans leurs bouches maintenu par une bande de tissu étroite entre leurs lèvres et une bande plus large sur leur bouche. Les bandes sont évidemment nouées sur leur nuque.

Bien malgré elles, elles ne manquent pas un mot de la douloureuse conversation entre le capitaine et son interlocutrice qui semble décidée à ne céder sur rien.

- Vos hommes ne se privent pas de les peloter quand ils leur donnent à boire et à manger.

C’est en effet le seul moment où les captives sont libérées de leur bâillon. Mais elles demeurent ligotées et doivent accepter d’être nourries abreuvées par ces marins vicieux qui en profitent pour les peloter sans la moindre vergogne et sous le regard complaisant de leurs ravisseuses.

Elles ont depuis longtemps renoncé à tenter protester contre ce traitement infâme dont elles ne pourraient être libérées qu’en acceptant un marché auquel, elles ne comprennent rien.

Elles ignorent la raison de leur enlèvement et leurs ravisseuses ne leur ont jamais donné la moindre explication se contentant de les humilier et de les transporter dans des conditions toutes humiliantes et inconfortables.

Elles ne se connaissaient pas avant leur enlèvement et se sont vues pour la première fois dans un cachot sordide où les criminelles les avaient conduites.

Kim avait été la première à être enfermée dans ce cachot. Elle se souvient souvent de l’instant où elle l’avait découvert, misérablement éclairé par une lampe blafarde. Elle avait immédiatement les chaînes fixées au mur et l’inconfortable banc de bois sur lequel, elle avait été contrainte de s’asseoir. Ses ravisseuses avaient alors fermé un collier autour de son cou, une ceinture métallique autour de sa taille des bracelets autour de ses poignets et de ses chevilles. Ses poignets étaient enchaînés dans son dos et reliés à la fois au mur et la ceinture métallique. Les chaines de son collier et de ses chevilles reliées elles aussi au mur la contraignaient à rester assise sur l’infâme banc dans une incommode position. Sa nudité ajoutait évidemment à son désagrément.
Le bâillon de fortune constitué d’une boule de tissu enfoncé dans sa bouche et maintenu par une autre bande entre ses lèvres avait été retiré mais son soulagement avait été de courte durée : un bâillon boule avait été fixé sur sa nuque la contraignant au silence.

C’est alors que c’était présentée Marianne, la chef des ravisseuses qui avait inspecté leur travail et s’était tournée vers ses complices.
- Je vous félicite mesdames. Il ne vous reste plus qu’à vous occuper de nos deux autres invitées.
Elle s’était ensuite tournée vers la malheureuse prisonnière.
- Quant à toi, tu peux t’agiter tant que tu veux. Tu ne tarderas pas à constater l’inutilité de tes efforts et tu finiras par te tenir tranquille.
Kim avait alors pensé que l’on finirait par remarquer sa disparition. Marianne avait deviné ses pensées.
- Il risque de se passer du temps avant que l’on remarque ta disparition. Et de toute façon rien ne te relie à nous.
Les criminelles avaient alors quitté l’infecte pièce abandonnant la jeune femme à ses tristes pensées.
Il était vrai qu’elle n’était arrivée que depuis peu dans la cité et que dans les circonstances actuelles sa disparition passerait sans doute inaperçue. Mais elle ne comprenait pas les raisons de son enlèvement.
Elle n’était pas riche et n’avait aucune relation susceptible de payer une rançon. Elle avait bien vite renoncé à se débattre une fois qu’elle avait constaté que ses chaînes étaient solidement fixées au mur.

Elle ignorait combien de temps s’était écoulé avant qu’une autre captive la rejoigne et soit enchaînée à ses côtés de la même façon qu’elle.
Puis cela avait été le tour de la troisième.
A cet instant leur bâillon avait été retiré.
Marianne avait souri cruellement.
- Nous allons bientôt partir en voyage. J’ai fait enlever vos bâillons pour que vous fassiez connaissance. N’essayez pas de comprendre pourquoi vous avez été enlevées. Cela vous dépasse. Commencez plutôt par raconter comment vous avez été capturées.

Sur ces cruelles paroles, l’effrayante criminelle avait abandonné ses prisonnières dans leur sordide cachot.
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eric
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Re: Chasse au trésor

Message par eric »

Un début très intéressant et qui promet des incroyables aventures :bravo:
Merci pour le partage, c'est un plaisir de te lire.

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Mad Hatter
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Re: Chasse au trésor

Message par Mad Hatter »

Et là je me pose la question qui est Alice ?
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cowboygf
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Re: Chasse au trésor

Message par cowboygf »

:lol: :lol: :bravo: :bravo:

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Gwenboyfriend
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Re: Chasse au trésor

Message par Gwenboyfriend »

Les événements racontés dans ce chapitre et dans ceux qui suivront se situent évidemment avant le premier chapitre

La capture de Kim

A l’intérieur de son appartement, Kim guette son nouveau voisin sur l’écran de son ordinateur. Depuis que l’épidémie mondiale s’est répandue, l’arrivée de nouvelles têtes dans un immeuble est une événement rare. Surtout un immeuble comme le sien particulièrement sécurisé.

Le travail à distance, facilité par l’informatique, est devenu la norme. De même que la sortie masquée.

Organiser une soirée exige de réserver un lieu et de tester préalablement les invités.
C’est évidemment encore plus strict dans le cas de déplacements sur une longue distance qui doivent être préparées à l’avance et soigneusement justifiés.

Quant à l’arrivée d’un nouvel habitant dans une ville, un quartier ou un immeuble, elle doit être justifiée et soigneusement contrôlée.

Du nouveau voisin, elle ne connaît que la taille, imposante et les yeux.

Le jour de son arrivée, elle l’avait croisé dans l’escalier. L’usage de l’ascenseur était évidemment prohibé.

Le haut du crâne était protégé par un chapeau et sa bouche et son nez évidemment cachés par le masque obligatoire dès que l’on quitte son domicile.

Elle même portait un masque soigneusement ajusté dont les peu gracieux élastiques étaient soigneusement camouflés par ses longs cheveux roux tombant élégamment sur ses épaules. Il s’agissait pour elle d’une promenade de santé et elle était vêtue d’un short et d’un tee-shirt soigneusement ajusté mettant en valeur des seins dont elle n’était pas peu fière. Les yeux brillants de l’homme lui avaient prouvé qu’elle avait raison.

Elle avait ressenti un léger frisson quand ils s’étaient frôlés. Depuis l’épidémie, les contacts étaient soigneusement réglementés. Pour ne pas dire prohibés. Ce qui ne devait durer que quelques semaines avait duré des mois puis des années. Jusqu’à ce que cela soit inscrit dans la vie quotidienne et qu’il soit presque impossible de se rappeler comment c’était avant. Ou que cela semble un rêve.

Son appartement était devenu son principal lieu de travail. Son ordinateur son outil professionnel mais aussi le moyen de nouer des liens avec d’autres personnes. Elle savait généralement tout des hommes ou femmes qu’elle rencontrait physiquement après les avoir connus virtuellement. La transparence était la nouvelle règle.

Frôler ainsi un inconnu était une émotion presque oubliée. Elle avait résisté à la tentation de se rendre sur l’application « mesvoisins.com » qui lui aurait permis de se renseigner immédiatement et totalement.

Les nouvelles règles faisaient de la notion de vie privée une idée lointaine et obsolète. Le nouveau venu devait permettre aux habitants de l’immeuble de tout savoir sur lui. Le moindre oubli entraînait un renvoi immédiat et sans appel.

Mais ce qu’elle souhaitait, c’était le vertige de la découverte.

C’est pour cette raison qu’elle a du mal à se concentrer sur son travail et que depuis l’écran de surveillance, elle observe l’escalier.

Elle reconnaît la silhouette imposante. Il approche de son palier. Leurs appartements se font face. Va-t-elle oser sortir pendant qu’il ouvre sa porte et l’aborder ?

Il est sur le palier. C’est de la folie. On aborde plus personne de cette façon. Mais… Il ne se dirige pas vers son appartement. Il s’approche de la porte de Kim. Il frappe.

C’est un fou. Cette façon d’agir est quasiment oubliée. Alors pourquoi se précipite-t-elle ? Pourquoi ouvre-t-elle la porte en tremblant comme une adolescente qui attend son premier baiser ?

Il est face à elle. Il a toujours son masque, elle ne voit que ses yeux qui sans le moindre scrupule détaillent son corps et semblent apprécier ce qu’ils voient. Il est vrai qu’elle a particulièrement soigné sa tenue. Le tee-shirt sous lequel pointent ses seins pour lesquels, elle a estimé qu’il n’était toujours pas utile de les emprisonner dans un soutien-gorge. Une jupe qui s’arrête à mi-cuisse et des chaussures à talons aiguilles. Quelle folie de mettre ça dans son appartement. Mais elle ne peut pas s’empêcher de les mettre. Surtout quand elle se prépare à se rendre sur des sites de bondage qu’elle a découvert récemment.

Elle le laisse entrer. Elle n’a rien à craindre. Les caméras dans son appartement comme dans l’immeuble enregistrent tous les événements. Les enregistrements sont stockés sur des serveurs lointains et conservés pendant une semaine avant d’être détruits. Si elle ne donnait plus de nouvelles, ils seraient immédiatement mis à disposition de la police qui n’aurait aucun mal à retrouver l’individu.
- Vous avez oublié de mettre votre masque.
Elle sourit.
- Vous allez devoir me punir.

Elle se raidit un instant. Qu’est-ce qui lui prend ? Elle a passé trop de temps sur ces sites de bondage. Elle ne sait même pas comment, elle a reçu le lien vers ce site. Mais elle l’a consulté et en a consulté d’autres. Elle reconnaît avoir été troublée mais n’a pas envisagé de franchir le pas et de jouer réellement ce jeu. Elle s’est contentée de participer à des jeux virtuels.
- C’est évidemment ce que je vais faire.
L’homme ouvre sa mallette et montre des cordes et différentes sortes de bâillons.
Kim recule.
- Attendez, c’est un malentendu.
- Il est un peu tard pour dire ça.
La jeune femme réalise alors que le système informatique la perçoit comme une amatrice de bondage et qu’il ne sera pas alerté par ce que l’individu se prépare à faire. Qu’aucune alerte ne sera lancée.
Il a déjà saisi ses bras et lié ses poignets dans son dos
- Au secours, à l’aide.
- Continue de crier comme ça. Personne ne viendra à ton secours.
Comment a-t-elle pu oublier que cela fait partie du jeu. La seule façon de donner l’alerte est de lancer le mot-clef. Celui qui met fin au jeu.
- Hermpff.
Trop tard. L’individu a enfoncé un bâillon boule dans sa bouche et serre la sangle de toutes ses forces. Les cris de la jeune femme sont inaudibles et à présent le système croira que cela fait partie du jeu tant que l’individu restera dans les limites qu’elle fixé au cours des parties virtuelles.

L’homme n’a pas perdu de temps et a ligoté soigneusement le torse de la captive. Les cordes reliées à celles de ses bras passent sur et sous ses seins puis entre ses seins. Il est efficace. La captive sent les liens pénétrer sa chair à travers le tissu de son tee-shirt.

Mais l’ignoble individu fait une erreur, il la retourne pour qu’elle lui fasse face. Kim donne un violent coup de genou dans l’entrejambe de son adversaire. Surpris l’homme tombe sur le sol.

Alors qu’il demeure au seul en grognant et gémissant. La jeune femme songe qu’elle a peu de temps pour agir. La porte est verrouillée et elle n’a aucune chance de l’ouvrir ainsi ligotée.

Mais il reste la touche d’urgence. Sur le clavier de l’ordinateur. Elle court vers son bureau aussi vite que le permettent ses talons aiguilles. Quelle idée a-t-elle eu de mettre ses chaussures.

Enfin !

Elle est face au clavier….

Mais ses bras sont liés dans son dos. Si elle se retourne comment fera-t-elle pour atteindre la touche ?

Elle doit tenter avec son nez. Elle se penche en avant. Elle va atteindre le clavier.

La main de son agresseur saisit ses cheveux tire sa tête. Elle ne peut pas résister à la violente traction.

L’homme l’allonge sur le sol, face contre terre. Elle continue de se débattre. En vain, il ligote ses chevilles puis ses cuisses. Elle sent les cordes qui pénètrent dans sa chair. Elle gémit dans son bâillon. Elle ressent un étrange sentiment.

Il lui reste une chance. Quand l’homme a sonné, elle s’était connectée en visuel à la cellule virtuelle qu’elle partage avec Olga, une dominante qui l’a initié au bondage. La caméra est branchée et son amie peut arriver d’un instant à l’autre.

Elle réalise que c’est la première fois qu’elle est ligotée et bâillonnée. Quand elle essayait les jeux virtuels, elle s’interrogeait sur ce qu’elle ressentirait si cela devenait réel.

L’instant de terreur passé, pourquoi ne pas en profiter pour découvrir ce qu’elle ressent en attendant d’être sauvée par son amie.

Son ravisseur est habile. Il a retiré sa jupe et son slip puis a lié ses poignets à une corde qu’il a soigneusement fait passer entre les lèvres de son sexe. Il ensuite passé la corde autour de sa taille et l’a fixée grâce à un nœud coulant. Le moindre mouvement des poignets provoque des sensations que Kim a des difficultés à maîtriser.

Soudain, un son retentit. La jeune femme devine que le visage d’Olga doit apparaître. Elle va deviner qu’il se passa quelque chose d’anormal et lancer un message d’alerte. Si elle n’était pas bâillonnée, elle conseillerait à son kidnappeur de fuir immédiatement. L’avantage, dans une période où les déplacements sont limités et contrôlés dans le temps comme dans l’espace, c’est que les forces de l’ordre ne tardent pas à intervenir.

Mais l’individu ne semble pas troublé. Il continue son ignoble tâche et relie les liens des chevilles de sa prisonnière à ceux de ses poignets. Puis l’oblige à plier les jambes jusqu’à ce que ses talons soient presque en contact avec ses fesses selon la technique du hogtie.

Kim découvre l’efficacité de cette méthode. Et sa tendance à vouloir déplier ses jambes. Action dont le seul effet est de resserrer ses liens et de favoriser le glissement de la corde contre son sexe.

Pourquoi Olga n’a-t-elle pas réagi ? Pourquoi n’ordonne-t-elle pas à l’homme de cesser son infâme travail ? Pourquoi les secours ne sont-ils pas déjà là ? Aurait-elle cru qu’il s’agit d’un jeu ? Que Kim a franchi le pas et décidé de jouer à ce jeu dans le monde réel ? Elles avaient pourtant convenu que Kim n’entreprendrait rien sans prévenir son amie ?

Enfin la voix d’Olga s’élève mais ne prononcent pas les mots espérés.
- Pourquoi a-t-elle toujours son tee-shirt ?

Ce n’est pas possible. Olga ne peut pas être complice de cette infamie ?
- Elle a été un peu moins docile que prévu.
- Je n’ai jamais dit qu’elle serait docile. Au contraire.
- Vos désirs sont des ordres

L’homme découpe le tee-shirt de la prisonnière avec des ciseaux. La jeune femme n’est vêtue que des chaussures à talons aiguilles.
- Attache-lui les cheveux, le temps que tu achèves le travail.
- Je doute qu’elle puisse se libérer.
- Moi aussi, c’est juste plus amusant.

Sans plus attendre, l’individu réunit les longs cheveux roux de Kim en une tresse qu’il fixe avec une corde qu’il relie aux chevilles de la captive. Les gémissements que la prisonnière ne peut pas s’empêcher d’émettre ne semblent pas émouvoir son ravisseur qui se contente de vérifier la tension de ses liens.

Kim, bien que consciente de la vanité de ses efforts, ne peut pas résister au réflexe de déplier une nouvelle fois ses jambes et constate que les liens de ses cheveux, de ses poignets et de ses chevilles sont solidement noués et tendus. Les gémissements, étouffés par son bâillon, qu’elle ne peut pas retenir amusent son ravisseur et celle qu’elle prenait pour une amie.
- Bon travail John. Passe à la suite à présent
John s’approche de la connexion réseau et retire le câble pour intercaler un minuscule boîtier entre le câble et la connexion réseau. Connexion qui est immédiatement rétablie.
- Bien joué, cela passera pour un incident local. Personne ne remarquera la coupure. Fais voir à notre amie ce que voit le réseau à présent.

L’homme dépose une tablette devant le visage de la captive. Ce qu’elle voit ressemble à sa situation. Une femme rousse nue et attachée dans un douloureux hogtie avec un homme à ses côtés qui la caresse.

Si ce n’est qu’en réalité l’homme ne la caresse pas et se contente de l’observer.

Dans la tablette, la voix d’Olga s’élève
- Libère là.
Dans la tablette l’homme obéit et libère rapidement la captive qui se frotte les poignets en souriant et embrasse l’homme. La jeune femme souriante et apparemment ravie de son expérience a le visage de Kim mais la vraie Kim est toujours bâillonnée en hogtie sur le sol.

Dans la tablette, Olga s’adresse à la fausse Kim.
- Tu as aimé cette expérience.
- Oui Olga. Merci

L’homme se penche et éteint la tablette.
- Je crois que notre amie a compris.
- Explique-lui quand même.
- Dans quelques instants dans notre réalité comme dans la réalité virtuelle que tu viens de voir, un ordre va être émis pour nous demander de rejoindre le centre de tests. Ensuite, je t’équiperai pour sortir. A cet instant les deux réalités se rejoindront et Olga coupera la réalité virtuelle. Oui le boitier permet cela. Nous sortirons ensemble. Je ne t’en dis pas plus pour ne pas gâcher la surprise. Au bout de quelques heures la caméra enregistrera ton retour. Evidemment ce ne sera pas toi qui reviendra. Mais l’essentiel est que personne ne remarquera ta disparition jusqu’à l’effacement des bandes.

La voix d’Olga s’élève.
- Nous avons quelques ajustements à faire. Je te contacte quand nous sommes prêts. En attendant, commence à préparer cette idiote.

L’homme s’assoit aux côtés de la prisonnière et lui caresse les fesses.
- Nous manquons de temps. C’est dommage.

Kim ne partage pas cette opinion mais son bâillon lui évite d’exprimer son désaccord.
- Je vais défaire les liens de tes chevilles et de tes cuisses. N’essaie pas d’en profiter.

Dès que l’homme a exécuté sa tâche, Kim tente de se redresser. Une tape sur les fesses la rappelle à l’ordre.
- Je croyais avoir été clair. Ne bouge pas tant que tu n’en reçois pas l’ordre.

La prisonnière obéit et laisse son ravisseur poursuivre sa tâche ignoble.

L’individu retire les chaussures à talons aiguilles de sa victime et les remplace par une paire très ressemblante à ceci près qu’un mince mais solide fil de nylon les réunit.

Il aide ensuite la jeune femme à se relever. Tout en en profitant pour la peloter. Les gémissements de protestations de la captive contribuent à l’exciter.
- Dommage que le temps nous soit compté.

Il fixe ensuite au cou de Kim un collier étrangleur de cuir et relié à une laisse de la même matière.
- Cela t’aidera à te tenir tranquille quand nous sortirons.

La captive ne comprend pas. Il ne peut pas espérer que sortir avec une femme nue et tenue en laisse n’attirera pas l’attention.

Il exhibe alors une jupe minuscule qui s’arrête en haut des cuisses et qu’il ajuste à la taille de la prisonnière. Celle-ci pense qu’elle n’en est pas moins nue et que les liens de ses bras et de son torse sont parfaitement visibles.

Mais John la recouvre d’un long poncho en laine qui recouvre entièrement son torse et le haut de ses cuisses.

Les liens de son torse et de ses bras sont ainsi totalement cachés. Le ravisseur passe alors la main autour de sa victime et par un passage à peine visible dans le poncho saisit l’extrémité de la laisse puis conduit la jeune femme devant le grand miroir dont elle est si fière.
- N’est-ce pas magnifique. Nous avons l’air de deux amoureux. Personne ne verra que tu es ligotée et tenue en laisse.
- Mpffbâillonppff
- Tu as raison, on verra ton bâillon. Mais tu oublies un détail.

John brandit un masque de protection qu’il applique sur le visage de sa prisonnière et fixe soigneusement avec les élastiques et des nœuds sur sa nuque.

Il fait ensuite soigneusement retomber les cheveux roux de la captive sur sa nuque et ses épaules.
- C’est parfait. Il est impossible de voir la sangle. Personne ne remarquera que tu es bâillonnée.

Pour appuyer son infâme propos, le ravisseur amène à nouveau Kim devant l’immense miroir. La jeune femme constate la triste véracité des affirmations de son ravisseur. Elle-même n’arrive pas à croire quand elle se voit dans le miroir qu’elle est ligotée et bâillonnée et que ses chevilles sont emprisonnées dans des talons aiguilles reliés par un solide fil de nylon.

Son ravisseur se tient à côté d’elle et passe son bras droit autour de sa taille dans un geste qui pourrait passer pour protecteur alors qu’il saisit l’extrémité de la laisse et tire un coup sec pour rappeler l’existence du collier étrangleur.

La captive comprend qu’elle n’a aucune chance d’échapper à l’emprise de cet infâme individu au service d’une organisation aux objectifs obscurs.

Car elle n’arrive pas à comprendre les raisons d’un enlèvement aussi bien préparé pour une personne comme elle. Elle travaille pour une société de statistiques mais ne manipule aucun secret.

Elle n’a pas le temps de s’interroger davantage. Le visage d’Olga apparaît à nouveau.
- Tout est prêt. L’ordre de se rendre au laboratoire pour le test est arrivé sur ton téléphone à vos deux noms. Tu peux sortir dès maintenant.

L’homme, qui enlace toujours la captive, se dirige vers la porte. Kim qui sent la pression du bras de son ravisseur et le collier serré autour de son cou obéit, honteuse de sa servilité.

Le couple sort de l’appartement. John tire la porte. Qui se bloque immédiatement. Kim éprouve un instant de panique à l’idée que la clef est à l’intérieur. Son ravisseur qui en a conscience lui dit tendrement.
- Ne t’inquiète pas. Tu n’auras plus besoin de cet appartement.

Consciente du triomphe de ses mystérieux adversaires et de son impuissance à leur échapper, la jeune femme obéit et se met en marche au côté de son mystérieux ravisseur.
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Re: Chasse au trésor

Message par Alexandra_TV »

Cette aventure est superbe et agréable à lire. Avec les détails on arrive à s’imaginer facilement ce qui se passe.

Bravo

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Mad Hatter
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Re: Chasse au trésor

Message par Mad Hatter »

Agréable, récit, et joli adaptation de 1984 dans une sauce un peu plus bondagesque
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Re: Chasse au trésor

Message par Utten »

Très bon, en effet. Le petit détail du masque par dessus le bâillon me plaît énormément. Et si je compte bien, il en reste 2 à capturer, n'est-ce pas?

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Gwenboyfriend
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Re: Chasse au trésor

Message par Gwenboyfriend »

Merci pour vos messages. L'idée du masque qui cache un bâillon est à l'origine du récit et la situation épidémique plus confinement a inspiré presque malgré moi le côté 1984. Il en reste en effet 2 à capturer. Mais nous n'avons pas tout à fait fini avec

L'odyssée de Kim (1)

Kim se dirige vers l’ascenseur. Des personnes qui ont autant de moyens doivent être capables d’activer le système d’urgence qui permet de faire fonctionner l’ascenseur.

Une traction sur son collier la rappelle à l’ordre.
- Allons ma chérie. Tu sais bien qu’on doit utiliser l’escalier.

La jeune femme obéit.
Angoissée à l’idée de devoir descendre chaque marche avec ses chevilles entravées par le fil de nylon qui court entre elles, elle progresse lentement vers le haut de l’escalier.
Mais son ravisseur ne l’entend pas ainsi. Il lâche un instant la laisse et assène une claque sur les fesses de sa prisonnière.
- Ça ne sert à rien de traîner ainsi. Tu vas devoir descendre cet escalier.
La captive se rappelle que dans un souci d’économie, les caméras n’enregistrent que les images. La tape qu’elle vient de recevoir ressemble à un jeu entre deux amants. Aucune chance que cela déclenche la moindre alarme. Arrivée en haut de l’escalier, elle s’arrête. Paralysée par la certitude qu’elle va inévitablement trébucher avec ses chevilles entravées.
- Qu’est-ce que tu attends pour descendre. Tu préfères que je te porte peut-être.

« Cela pourrait peut-être donner l’alerte » songe la captive.

Son ravisseur devine cette intuition.
- Réfléchis. Le centre de soin a reçu une information selon laquelle nous entamions une relation et que nous souhaitions être testés. Le fait que je te porte passera pour une marque d’affection. Evidemment, il y aura un prix à payer pour t’être montré indocile.

Kim peu soucieuse de connaître le prix en question commence à entreprendre la périlleuse descente.

Chaque pas est une épreuve. Heureusement, John la soutient pour le cas où elle trébucherait. Elle se raidit à cette pensée.

Comment peut-elle réagir ainsi? Eprouver de la reconnaissance envers son ravisseur parce qu’il l’aide à descendre des marches avec ses chevilles attachées. A-t-elle oubliée que c’est lui qui l’a ligotée, bâillonnée et mise en laisse ! Lui qui l’oblige à descendre péniblement ces marches !

Elle n’a guère le temps de réfléchir plus avant. Ni même de se rebeller. Le contact du collier qui se resserre sur son cou suffit à lui rappeler qu’elle n’a pas d’autre choix que l’obéissance.

Alors qu’il ne reste que deux étages à descendre. Le couple voit un homme qui monte les escaliers.

Kim cherche un moyen de l’alerter. Elle pourrait bousculer son ravisseur. Se précipiter sur son voisin. Il remarquerait peut-être ses chevilles entravées. Devinerait qu'elle est bâillonnée.

Mais John s’écarte et oblige sa victime à s'écarter en l'enlaçant tendrement. Le frémissement de la jeune femme échappe à l'homme qui remercie d’un signe de tête et escalade les escaliers. Emportant les espoirs de la prisonnière.

Le reste de la descente s’effectue sans autre incident que l’angoisse de la jeune femme à chaque marche face à ce sentiment d’une chute imminente à l’instant où un de ses pieds enfermé dans les élégantes chaussures à talon aiguille quitte le sol.

Son soulagement, à l’instant où elle atteint enfin le bas de l’escalier est de courte durée. La main de son ravisseur sur ses fesses lui rappelle qu’elle doit continuer à marcher et que le repos n’est pas une option.

- On va prendre le métro.

Le bâillon empêche Kim d’exprimer son étonnement. Elle s’attendait à une voiture pas aux transports en commun qui constituent une plus grande possibilité d’évasion.

Son ravisseur devine sa surprise.
- Tu devrais réfléchir. Quoi de plus ordinaire que de voyager en métro pour un couple comme le nôtre en chemin pour se faire tester. Une voiture attirerait l’attention.

Si ce n’est que leur passage sera enregistré ainsi que leur sortie. Cela facilitera l'enquête sur sa disparition

John brise impitoyablement les rêves de sa prisonnière.
- Ton double virtuel va exister pendant plusieurs semaines. Quand il disparaîtra. Personne ne s’inquiètera d’un déplacement tout à fait banal. Une donnée parmi d’autres. Tout aussi banale. Maintenant obéit et avance.

Soumise, la captive marche aussi vite que le lui permettent ses liens. Outre ses chevilles discrètement entravées, elle est troublée par le frottement de la corde contre son entrejambe.

Elle en oublierait presque la douloureuse tension exercée par les liens de ses bras et de ses poignets et la cruelle brûlure des cordes qui pénètrent sa tendre chair. Elle croise les regards d’autres passants, tente d’attirer leur attention mais personne ne remarque le bâillon habilement caché sous son masque.

Son ravisseur à ses côtés ne prend même pas la peine de la tenir en laisse. Certaine qu’entravée comme elle l’est, elle n’a aucune chance de s’enfuir et qu’à la moindre tentative, il n’aurait aucun mal à la rattraper.

Les portes automatiques s’ouvrent devant la prisonnière. Elle en franchit le seuil et commence à se diriger vers les ascenseurs quand elle entend un appel de John
- Attends-moi.

Elle se retourne et constate que son ravisseur est bloqué derrière le portillon automatique. Un bug assez fréquent. L’homme a deux solutions franchir les portes en sautant par dessus les guichets ou presser le bouton d’appel.

La station comme la plupart d’entre elles est entièrement automatique. Il n’y a aucun contrôleur. Si John saute par dessus les guichets personne ne l’arrêtera mais cela déclenchera des alarmes et sa puce d’identification sera impitoyablement traquée. Des vigiles se lanceront à sa poursuite et guetteront ses lieux potentiels de sortie. Même s’il réussit à leur échapper, cela nuira au souhait de discrétion de la mystérieuse organisation qui l’emploie.

Il n’a pas d’autre choix que de lancer un appel et attendre que les portillons s’ouvrent. Ce qui peut prendre plusieurs minutes. Le temps que le système procède aux vérifications d’usage.

En un instant Kim décide de tenter sa chance et malgré les rappels à l’ordre de son ravisseur continue d’avancer vers les escaliers.
Elle sait qu’elle prend un grand risque. Elle est incapable de courir, doit renoncer à l’ascenseur, incertaine d’atteindre le bouton d’appel avec ses poignets et ses bras liés dans son dos. Les escaliers sont mécaniques. Les escaliers classiques ont été supprimés depuis si longtemps que la jeune femme se souvient à peine de leur existence. Poser seule le pied sur une marche en mouvement avec des chevilles entravées n'est pas un exercice facile.

Pire encore : la station est une station en hauteur. Si la progression de l’escalator cesse, elle n’est pas certaine de pouvoir continuer à avancer en raison de l’écart des marches trop important par rapport à ses entraves. Si elle trébuche de quelque façon que ce soit, elle est incapable d'éviter une chute douloureuse, ligotée comme elle l'est.

Pourtant, elle doit prendre le risque. Et réussit à poser ses pieds sur l'escalier et à garder son équilibre dans un mouvement gracieux qui agite ses longs cheveux roux.

Un instant rassurée par son succès elle éprouve rapidement un nouveau sentiment de crainte à l'idée que l'escalator pourrait stopper à chaque instant..

Des pensées angoissées se heurtent dans sa tête.

Et si ses ravisseurs pouvaient arrêter l’escalator. Mais dans ce cas, John ne serait pas resté bloqué derrière le portillon.

Sauf s’il s’agit de tester sa docilité.

Alors elle a échoué. Mais John ne serait plus coincé derrière la porte à vociférer et la traiter de salope et autres injures peu gratifiantes.

Enfin, elle atteint le seuil du quai.

La rame de métro arrive à l’instant où elle entend le signal indiquant que John a été autorisé à pénétrer la station. Elle imagine l’individu se précipitant, escaladant les marches quatre à quatre.

Autant de comportements qui demeurent normaux même à cette époque de haute technologie et qui n’attireront pas l’attention.

Alors que pour elle, la rame lui semble être à une distance infinie. Elle avance péniblement pour atteindre la porte la plus proche. L'effort demandé à ses chevilles entravées lui semble insupportable. Elle craint d'entendre le signal qui annonce la fermeture des portes. Elle aimerait pouvoir appeler à l’aide mais les bafouillis ridicules que lui permet son bâillon sont couverts par le bruit général de la station.

Pourtant, elle atteint la rame et en franchit le seuil.

Le son des portes qui se ferment lui semble plus agréable que la plus douce des musiques. Presque autant que les cris de rage de John et le bruit de ses poings qui frappent la rame qui se met en marche.

A cet instant seulement, elle ose se retourner et faire face à son ravisseur de l’autre côté des vitres.

Elle espère que ses yeux brillants expriment le sourire intérieur que son bâillon et son masque empêchent d’afficher.
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Mad Hatter
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Localisation : Partout et nulle part à la fois.

Re: Chasse au trésor

Message par Mad Hatter »

C'est une bien belle fuite que voilà. Sa capture n'en devient que plus intéressante.
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham


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les synonymes de fou sont intéressants Image

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