l'hôtel-club

Œuvres des membres (textes, histoires, dessins, photos...) Rappel du règlement du forum: Interdiction de publier des récits dessins photos etc...mettant en scène des mineurs.
Règles du forum
Vous devez être majeur pour parcourir le forum. Lire également les règles du forum.
Avatar de l’utilisateur
Mad Hatter
JdL, c'est ma vie
Messages : 2036
Inscription : 19 juil. 2013, 17:25
Ce que j'adore : Le jeu d'acteur, les bandes dessinées, les nouvelles, les ballades en vélo, l'histoire
Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
Localisation : Partout et nulle part à la fois.

Re: l'hôtel-club

Message par Mad Hatter »

Mais pourquoi user d'une cage de chasteté ?
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham


Image
les synonymes de fou sont intéressants Image

Avatar de l’utilisateur
Alexandra_TV
Passionné(e) de JdL
Messages : 201
Inscription : 03 juil. 2015, 12:03
Pratique : Oui
Ce que j'adore : J'adore me travestir et faire sortir le coté féminin de ma personne

Pouvant être de nature soumise ou neutre c'est selon la situation et les jeux.

Alexandra
Ce que je déteste : Les fantasmeurs et ceux qui me font perdre mon temps.

Re: l'hôtel-club

Message par Alexandra_TV »

Tes histoires sont toujours plaisante à lire

J’adore le détail que tu prend le temps d’inclure dans chacune de celle-ci

Avatar de l’utilisateur
Utten
Passionné(e) de JdL
Messages : 229
Inscription : 20 janv. 2014, 08:09
Pratique : Oui
Ligoté(e) :
Localisation : 29

Re: l'hôtel-club

Message par Utten »

La destination n'était en fait pas très loin de la chambre, tout au bout de couloir à l'opposé des ascenseurs. Derrière une porte presque anonyme marquée 'Service' se cachait notre but. J'avançai pieds nus et malgré tout plus facilement que miss camisole-de-force, là juste devant moi, qui semblait gênée non pas par ses talons aiguille mais par les deux sangles de la camisole qui passaient entre ses jambes et fixées juste sur les reins. J'avais jamais porté ce genre de vêtement mais ça me paraissait très très serré. La pauvre.

La porte ouvrait sur une grande pièce sans fenêtre, murs de couleur beige, mobilier très sombre. Une ouverture dans le coin au fond donnait sur un autre pièce qu'on pouvait supposer aussi grande que celle-ci. L'un des murs était couvert de portes de placards, j'en comptais huit au moins, qui montaient du sol au plafond et j'imaginais vite combien d'accessoires ils devaient contenir, du simple bâillon-boule au monogant ou camisole dont nous étions équipés cette femme et moi.

De l'autre côté, un homme était assis sur une chaise étroite, ligoté et bâillonné dans ce qui avait tout l'air d'une épaisse combi de plongée en néoprène. Il nous tournait le dos mais un grand miroir devant lui permettait de voir presque tout: chevilles et genoux attachés avec de la corde blanche. Les cuisses également, pour lesquelles la corde passait sous la chaise, ce qui devait sérieusement l'empêcher de bouger. Ses poignets et ses coudes étaient aussi attachés, derrière le dossier de la chaise et l'on avait utilisé deux longs morceaux de tissu blanc en guise de bâillon et de bandeau.

Arriva une femme blonde aux cheveux bouclés assez grande et étrangement vêtue d'un pantalon et de bottes d'équitation, d'un chemisier blanc cintré à manches courtes, très jolie, la femme comme sa tenue.

- Ah! Soyez les bienvenus! Je vous attendais. Merci très chère.

- Avec plaisir. Je vous laisse.

C'est ainsi que la fille de l'accueil disparut et que...

- Bien. Honneur aux dames, n'est-ce pas monsieur?

N'étant pas pressé du tout, j'opinai simplement de la tête. Elle se rapprocha encore un peu, tendant le bras vers mon amie d'infortune, mais s'arrêta en me fixant et en faisant la moue, et leva la main jusque sur ma joue.

- Oh, non d'une pipe! Quel affreux bâillon, mon pauvre! Je vais devoir trouver des ciseaux pour vous enlever ça. Pas de scotch chez moi!

Puis elle se détourna.

- Madame, par ici s'il vous plaît.

Elle fit coulisser la porte du premier placard. Contrairement à ce que j'imaginais, il était vide ou presque: pas d'étagère à l'intérieur, aucune collection d'accessoires étranges, juste un jeu de sangles fixées au mur du fond, de haut en bas, huit, dix peut-être. Ah! et par terre, un bandeau en caoutchouc ou en cuir. Miss camisole eut un petit mouvement de recul en découvrant ça accompagné d'un 'MMmmfff' discret, plusieurs en fait, mais se laissa faire et avança, bientôt disposée debout, jambes resserrées, toute droite dos au mur. Lentement la maîtresse des lieux referma chacune des sangles des chevilles aux épaules, quatre au moins sur les jambes, une à la taille et ainsi de suite, ignorant ses gémissements de plus en plus sonores, si bien qu'à la fin la pauvre ne pouvait plus bouger que la tête. Puis elle ramassa le bandeau.

- Voilà. Il ne reste plus que...

Qu'à lui passer le bandeau sur les yeux, malgré ses hochements de tête, et de refermer la porte coulissante. L'idée d'être enfermé là-dedans me fit frissonner et reculer d'un pas. Heureusement à cet instant elle me tournait le dos et ne remarqua rien. Elle cherchait quelque chose.

Des petits ciseaux à bout rond, très longs en fait. Elle se rapprocha et appliqua le métal froid sur ma joue pour découper mon bâillon et ensuite retirer tout l'adhésif, tellement collé que je crus qu'elle allait m'arracher de la peau avec.

- Ah, je sais, ça fait mal quand on l'enlève. C'est pour ça que j'aime pas utiliser du scotch pour bâillonner. Ne me dites pas que c'est ma collègue qui vous a fait ça, elle sait que... Oh!

Avec un peu de mal, je venais de recracher la culotte.

- Est-ce que ça va?

- Mmm... Oui, ça va. Merci. Ecoutez mademoiselle, ça doit être une...

- Chuttt, chutt... Non, vous écoutez: j'ai la désagréable impression au ton de votre voix que vous vous apprêtez à me faire croire qu'il y a un malentendu, une erreur sur la personne et que je devrais vous laisser partir. Asseyez-vous là sur la petite table, monsieur.

Je ne savais quoi dire, elle avait effectivement anticipé. Je m'assis donc sur la table basse; elle se retourna vers son bureau.

- Alors, si je ne me trompe pas, vous êtes là à la demande de Sylvie, c'est bien ça? Votre épouse j'imagine?

Bon sang, oui, c'était bien une...

- Oh pardon: je me suis trompée: Suzanne! C'est bien ça?

Damned!

Et déjà elle revenait vers moi, armée de trois ceintures en cuir épais.

- Donc pas d'erreur, n'est-ce pas? Bien.

Non, pas d'erreur. Donc... donc silencieusement je la laissai finir de m'attacher les jambes, jointes, une première ceinture au-dessus des genoux, la deuxième pour mes chevilles et la troisième... MMmmm, plus tard. Avant ça elle m'enfila une cagoule sur la tête, plastique ou caoutchouc, très étroite et un peu plus serrée après qu'elle eut refermé le zip sur ma nuque. C'était une manière habile de m'empêcher de bouger: il n'y avait pas d'ouverture pour les yeux, juste deux petits trous sous les narines et une (pour la bouche) pour la bâillon-boule qu'elle m'enfonça dans la bouche.

Les bras toujours enserrés dans le monogant, bâillonné et complètement aveugle, je fus alors manipulé comme un vulgaire sac de je ne sais quoi, allongé sur cette petite table, mis sur le côté, plié en deux et retourné sur le ventre, les jambes repliées vers mes mains. Il devait y avoir une boucle ou un anneau métallique au bout du monogant: elle utilisa la dernière ceinture pour me mettre dans une sorte de hogtie et me laissa là, comme ça.

La position était supportable mais pas vraiment confortable. Je n'avais aucune notion du temps qui passait et restais à l'affût du moindre bruit. De temps en temps, elle m'essuyait la bouche avec un chiffon - le bâillon-boule me faisait saliver - et qu'en j'entendais la porte du placard coulisser, je supposai qu'il en était de même pour miss camisole.

A un moment, j'entendis frapper à la porte et quelqu'un entrer.

- Bonjour, je viens chercher mon mari. Il est...

Suz...! Non, malheureusement. Ce n'était pas elle. Ce devait être pour l'autre, attaché sur la chaise. Je dus patienter encore. Je commençais à avoir la mâchoire engourdie et les bras douloureux tellement ils étaient serrés dans mon dos.

Toc, toc!

Quelqu'un venait d'entrer à nouveau. Chose étrange, je n'entendais rien, pas la moindre formule de politesse ou salutation amicale si ça avait été une collègue. Non, rien. Des murmures peut-être? La cagoule étouffait aussi le son, entre ma respiration bruyante, les battements de mon coeur et autres, je n'étais pas sûr, j'avais peut-être rêvé ça.

Puis soudain, on relâcha le hogtie, on me détacha même les jambes et l'on me mit debout. Oh, enfin! Enfin! Sauf qu'au lieu de poursuivre et de me libérer complètement, on me fit marcher, entravé, bâillonné et cagoulé, jusqu'à ma chambre mais ça, je ne le sus qu'après, après que Suzanne m'ait renversé sur le lit, descendu la culotte que je portais, enlevé la cage de chasteté et...

Bref, si je ne pouvais pas l'embrasser à cause du bâillon, elle ne s'en priva pas.

Avatar de l’utilisateur
Alexandra_TV
Passionné(e) de JdL
Messages : 201
Inscription : 03 juil. 2015, 12:03
Pratique : Oui
Ce que j'adore : J'adore me travestir et faire sortir le coté féminin de ma personne

Pouvant être de nature soumise ou neutre c'est selon la situation et les jeux.

Alexandra
Ce que je déteste : Les fantasmeurs et ceux qui me font perdre mon temps.

Re: l'hôtel-club

Message par Alexandra_TV »

Je le dis et je le redis, tes histoires sont fabuleuses et agréable à lire

Bravo

Avatar de l’utilisateur
Mad Hatter
JdL, c'est ma vie
Messages : 2036
Inscription : 19 juil. 2013, 17:25
Ce que j'adore : Le jeu d'acteur, les bandes dessinées, les nouvelles, les ballades en vélo, l'histoire
Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
Localisation : Partout et nulle part à la fois.

Re: l'hôtel-club

Message par Mad Hatter »

Très mignon à lire.
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham


Image
les synonymes de fou sont intéressants Image

Avatar de l’utilisateur
Utten
Passionné(e) de JdL
Messages : 229
Inscription : 20 janv. 2014, 08:09
Pratique : Oui
Ligoté(e) :
Localisation : 29

Re: l'hôtel-club

Message par Utten »

Ce n'est qu'après nos ébats que je fus libéré du reste de mes entraves. A ma grande surprise, il était plus de 17h30. Voilà pourquoi j'avais le corps tout endoloris, les poignets, les épaules, la mâchoire surtout! Est-ce que je devais m'en plaindre?

La curiosité me piquait de savoir où Suzanne était passée tout ce temps mais je ne souhaitais pas rompre cet instant serein, le regard dans le vide. Elle non plus ne demandait pas les détails de mon après-midi, même si elle en avait vu le début et la fin. Et d'ailleurs, à voir les marques sur ses poignets, je me doutais qu'elle n'avait pas été des plus paisibles.

Courbaturés, pleins de sueur, mais bien.

Habillés, douchés, nous descendîmes au bar. Je commençais à avoir faim, soif aussi. Il y avait un peu de monde et je ne fus pas très surpris de constater qu'à son habitude Suzanne semblait déjà avoir fait connaissance avec plusieurs personnes, des femmes de tout âge, toutes fières de présenter leur mari. Des gens très sympathiques.

Assis à une table avec deux autres couples, nous étions en train de siroter et de papoter quand je vis arriver Justine, l'animatrice qui nous avait accueillis le matin même, dans une robe longue toute noire, lacée très haut à la taille, très élégante, accompagnée d'une acolyte vêtue pareillement. Elles passaient discrètement d'une table à une autre, discutaient un peu avant de passer à la suivante et surtout je remarquai que l'assistante de Justine sortait parfois un petit sac noir où quelques un prenait quelque chose. Des bonbons?

Bientôt elles arrivèrent à notre table.

- Mesdames, messieurs, bonsoir. J'espère que tout se passe bien.

- Oui, oui...

- Très bien.

- Ah, oui. Très très bien.

- Vous m'en voyez ravie. Avant l'ouverture du restaurant, nous vous proposons un petit jeu. Y en a-t-il parmi vous qui souhaite jouer?

L'une répondit:

- Oh, j'adore les jeux! Que faut-il faire?

Un autre enchaîna:

- Et, on gagne quoi?

- C'est très simple. Amélie ici présente vous tend un sac dans lequel vous devez piocher une bille. Si elle est blanche vous avez gagné.

- Oui mais quoi?

- Ca madame, c'est une surprise. Alors?

Je passai. L'un des couples aussi. L'autre et Suzanne tentèrent leur chance mais sortirent une bille noire. Le premier gagnant sortit à la table suivante, une gagnante en fait, une belle femme de 35 ans environ, assez grande aux cheveux lisses et blonds. Et une autre gagnante plus loin, aussi grande et fine, plus âgée, entre 40 et 45 ans peut-être, les cheveux courts et d'un noir pas très naturel, quelques rides au coin de l'oeil. Pardon, ça ne se fait pas de décrire une femme de cette manière, je m'en excuse.

Deux gagnantes donc, ravies, invitées à se lever et quitter le bar en compagnie de nos animatrices. Près de vingt minutes plus tard voire même trente, elles reparurent toutes deux habillées de tenues intégrales en latex. A vrai dire, je ne les ai reconnues qu'à leurs accompagnatrices: toutes deux portaient à présent une cagoule de la même matière, brillante et lisse, qui ne laissait plus voir que leurs yeux et leur bouche. L'une portait un catsuit rouge vif, l'autre était blanc, et chacune portait à ses pieds des chaussures à talon très fin assorties à leur costume respectif. Jusqu'aux mains gantées de latex.

Tous les yeux se tournèrent vers elles, évidemment. Elles furent conduites et adossées à deux poteaux vers le fond de la salle, poteaux assez fins qui marquaient l'accès au restaurant. Attachées à l'identique avec de la corde blanche pour la femme habillée en rouge, et noire pour la femme habillée en blanc. D'abord les mains placées dans le dos, derrière le poteau en fait, puis les coudes et ensuite les jambes, toutes les jambes, collées l'une à l'autre et ligotées des chevilles jusqu'aux cuisses. La dernière corde à la taille, trois ou quatre tours là au moins qui passaient tout autour du poteau, et nouée juste entre le dos et le même poteau pour finir d'étrangler un peu plus leur ventre.

Un crotchrope, la corde descendue entre les jambes juste sur le... bref, et remontée entre les fesses, aurait été du plus bel effet, à mon humble avis, mais peut-être un peu trop osé en public?

En souriant, Suzanne lança:

- Tu aurais dû tenter ta chance, mon chéri. Je me demande quelle tenue était prévue pour les hommes.

Je ne répondis pas, elle me taquinait. Au même moment, Justine et sa comparse se préparaient à la touche finale: le bâillon. Pour chacune un bâillon-boule monté sur une pièce de cuir ou de plastique assorti à leur tenue, rouge et blanc. Je remarquai alors sur leur cagoule des boucles métalliques, juste ce qu'il fallait pour fixer les sangles du bâillon. La boule semblait vraiment grosse.

Voilà, la première, celle habillée en blanc, était bâillonnée. Justine discutait encore avec la sienne, trop loin pour entendre quoi que ce soit, et l'embrassa à pleine bouche puis la bâillonna. De ces deux femmes, on ne distinguait plus que les yeux, le reste n'était que latex, comme une seconde peau.

Dans la salle, tout le monde regardait je crois, un peu hypnotisé, mais peu à peu les regards se détournèrent, les conversations reprirent. A notre table également. J'avais la chance de pouvoir regarder sans détourner la tête, discrètement. Puis les premières personnes se dirigèrent vers le restaurant, qui passaient tout à côté des malheureuses. Certains s'arrêtaient. En retrait, l'acolyte de Justine veillait. Quand quelqu'un approchait une main trop près, on la voyait se lever et murmurer quelques mots.

A notre tour, nous nous levâmes avec les deux autres couples pour aller dîner et j'essayai de croiser le regard de la fille en blanc au passage.

Plus tard, en quittant le restaurant - la sortie était à l'opposé du bar - je pensai à elle, espérant qu'on l'avait finalement détachée, peut-être après que le bar se fut vidé. Ah! la curiosité me titillait d'aller voir mais Suzanne était vannée, moi aussi, et souhaitait remonter à la chambre. Ce que femme veut...

En notre absence, le lit avait été refait proprement même si nous ne l'avions pas vraiment utilisé, les oreillers remis en place, etc. et deux sachets transparents disposés sur le couvre-lit. Le premier contenait une sorte de culotte en plastique noire, complètement opaque ou presque et si je ne me trompe pas pourvue d'élastique. Le second, contenait en plus une brassière de la même matière. Je rigolai:

- Tu as vu? Mais qu'est-ce que c'est que ça?

- Oh, ça. Je nous ai inscrits à un truc demain matin. On m'a dit qu'il faudrait dormir avec ça.

- Et, c'est quoi ce 'truc' précisément?

- C'est une surprise, mon chéri. Tu aimes les surprises, non?

- Mmmrrr... J'en ai eu suffisamment pour aujourd'hui en tout cas.

Avatar de l’utilisateur
Alexandra_TV
Passionné(e) de JdL
Messages : 201
Inscription : 03 juil. 2015, 12:03
Pratique : Oui
Ce que j'adore : J'adore me travestir et faire sortir le coté féminin de ma personne

Pouvant être de nature soumise ou neutre c'est selon la situation et les jeux.

Alexandra
Ce que je déteste : Les fantasmeurs et ceux qui me font perdre mon temps.

Re: l'hôtel-club

Message par Alexandra_TV »

Tandis que tu ne semble pas manquer d’inspiration et bien continue de nous partager tes récits

Superbe suite

Avatar de l’utilisateur
Mad Hatter
JdL, c'est ma vie
Messages : 2036
Inscription : 19 juil. 2013, 17:25
Ce que j'adore : Le jeu d'acteur, les bandes dessinées, les nouvelles, les ballades en vélo, l'histoire
Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
Localisation : Partout et nulle part à la fois.

Re: l'hôtel-club

Message par Mad Hatter »

Un univers avec beaucoup d'entrave consensuel ça fait du bien. ;)
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham


Image
les synonymes de fou sont intéressants Image

Avatar de l’utilisateur
Utten
Passionné(e) de JdL
Messages : 229
Inscription : 20 janv. 2014, 08:09
Pratique : Oui
Ligoté(e) :
Localisation : 29

Re: l'hôtel-club

Message par Utten »

Je continue alors?

Avatar de l’utilisateur
Alexandra_TV
Passionné(e) de JdL
Messages : 201
Inscription : 03 juil. 2015, 12:03
Pratique : Oui
Ce que j'adore : J'adore me travestir et faire sortir le coté féminin de ma personne

Pouvant être de nature soumise ou neutre c'est selon la situation et les jeux.

Alexandra
Ce que je déteste : Les fantasmeurs et ceux qui me font perdre mon temps.

Re: l'hôtel-club

Message par Alexandra_TV »

Bien sûr

Répondre