Bonsoir à tous, je vous mets la plus grande partie de notre premier RP. Des modifications seront effectuées un peu plus tard mais je commence à mettre en ligne.
Pour ma part j'ai joué : Alexis et Sonia. Snaikurumi : Ada et Victoria. Globalement, j'ai laissé "l'ordre" dans lequel on a joué pour plus respecter l'histoire à la base.
J'espère que ça vous plaira, de notre côté on s'est bien amusé ^^ (volontairement, on est resté plutôt vague sur la description des personnages et sur le temps écoulé). Au final, c'est plus long de réécrire que je ne pensais ^^
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Ils avaient repéré les lieux depuis belle lurette. Tout était prêt pour le cambriolage. Une fois la voiture garée non loin de l’objectif, à l’abri des regards, Alexis vérifia que tout était bien compris pour Sonia, une nouvelle recrue un « petit peu trop envahissante ».
Elle était joliment habillée, comme si elle sortait lors d'une soirée entre copines. Elle était mignonne avec sa tête d'ange mais il ne fallait pas s'y fier. Elle était la membre la plus discrète de leur groupe groupe malgré son tempérament (ou du moins, c’est ce qu’ils lui ont laissé croire …).
Ils attendirent encore une heure avant de démarrer leur opération. La jolie rousse était un peu stressée. Elle ne cessait de regarder la villa qui devait normalement être occupée que par la fille des propriétaires ce soir-même. A ce qu’il savait d’elle, elle devait encore être en train d’étudier ...
Alexis avait vu juste. Effectivement, Ada ARNISTAL étudiait dans sa chambre assise à son bureau pour les examens de mi-trimestre qui se dérouleront dans 2 petites semaines. Elle était plutôt sereine quant à sa réussite mais la formation étant difficile, elle ne pouvait se permettre tout écart si peu de temps avant le jour J.
Elle n'avait pas pris la peine de changer de vêtements gardant toujours son uniforme d'université. Ces parents étaient partis pour une soirée de gala et ne reviendraient que très tard cette nuit voir même seulement le lendemain. Après avoir passez 3h00 à étudier sans arrêt, elle s'étira et se leva tout en se dirigeant vers la cuisine pour se chercher quelque chose à manger. Étudier donnait tellement faim !
Les malfaiteurs attendaient encore dans la voiture jusqu’à ce qu’ils virent une lumière s'allumer au travers les volets. Ceci devait être sûrement la lumière de la cuisine ou du salon.
Au final, Sonia était fin prête pour jouer sa comédie. Elle était habillée "normalement" soit : une jupe assez courte, des collants noirs, une chemisette blanche ainsi qu'un blouson en cuir. Personne ne la prendrait pour un cambrioleur. Elle portait un sac à dos classique d'étudiant. Elle sortit de la voiture et courut à fond vers la villa en n’oubliant pas de passer par les champs un petit moment. Alexis voyait les converses blanches de Sonia s'éloigner au fur et à mesure de sa course.
Ada, une fois dans la cuisine pris un bol rempli d’une salade de pâtes qui se trouvait dans le frigo. C’était sa mère qui lui avait préparé avant de partir à la soirée de gala. Elle mis le plat dans le micro-ondes pour le réchauffer. Fatiguée, elle s'accouda sur le comptoir et bailla. Elle pensa à voix haute :
-Je me demande si mes parents s'amusent à cette soirée. J’en ai marre de rester coincée ici !
Sonia courrait d'un air paniqué (elle avait préparé quelques petites choses dans sa manche). Elle sonna au portail 6 fois d'affilé dans un laps de temps très court. Elle voyait clairement la caméra qui pointait sur son visage mais malheureusement pour les propriétaires, cette caméra était tombée « en panne » il y a 2 jours de cela suite à un « incident technique ».
Les pensées d'Ada furent interrompues en entendant quelqu'un sonner de façon intensive. Qui pouvait sonner de cette manière à cette heure-ci ? Elle s'étira et se dirigea vers la porte d’entrée afin d’activer l’interphone. La voilà maintenant sortie de sa torpeur. Malheureusement, elle ne pouvait voir la personne.
- Heu bonsoir, qui êtes-vous et comment puis-je vous aider ?
Sonia répondit quasiment instantanément.
- S'il vous plaît aidez - moi ! J'allais reprendre ma voiture lorsqu'un homme m'a accosté et agressé. Il a pris mon téléphone et j'ai couru au hasard pour lui échapper. J’ai coupé dans les champs. J'ai sonné à votre porte car j'ai vu de la lumière. Je n’ai vu personne d’autre dans le coin. Il m'a peut-être suivie ! Aidez-moi par pitié !
Soudain inquiétée et définitivement « réveillée », Ada alla vérifier par la fenêtre en ouvrant au quart le volet. Une jeune femme rousse plutôt jolie se trouvait devant sa porte et personne d’autre en vu. Son histoire était tout à fait possible, des cas d’agressions sont arrivés récemment. De loin, elle put voir que les chaussures « blanches » de la jeune femme étaient plutôt sales. Elle déverrouilla la porte du grillage et ouvrit la porte d’entrée afin d’accueillir la pauvre fille.
Celle-ci couru à sa porte toujours « paniquée ». Ada regarda au cas où par dessus l'épaule de la nouvelle venue et vit qu'il y avait toujours personne.
Ces parents avaient toujours dits de ne jamais laisser entrer un inconnu mais dans ce cas, c'était une urgence non? Ada s’écarta de l'entrée.
-Venez ici nous pourrons contacter votre famille ou même la police dit Ada d'une voix douce et tenta d'être rassurante.
Sonia fit semblant de frôler la crise panique et se "calma". Elle en profita pour activer un émetteur caché dans sa manche. Dès cet instant, Alexis vit un point rouge s’allumer sur l’un de ses outils et il activa à distance les 3 brouilleurs d’onde qui entouraient la maison.
- Mer- merci répondit Sonia. Je suis désolée, l'homme m'a fait extrêmement peur. Elle repéra les lieux comme une pro sans le laisser penser à la propriétaire.
- Avez-vous un téléphone ? Je vais contacter la police tout d’abord.
Bien sur, son complice Alexis entendait tout avec les micros basés sur une autre fréquence pour éviter les brouilleurs. Ils étaient cachés dans la veste de Sonia …
-J'ai mon portable dans ma chambre répondit Ada. Ou nous avons le téléphone de la maison juste ici dit-elle en désignant une petite table de chevet sur laquelle était apposé un téléphone fixé sur son socle.
Faisant semblant d'être encore sous le choc, Sonia se saisit du téléphone et tremblotante, fit le 17. Elle mit le haut parleur. Le téléphone fit un bip puis se coupa net. Elle redonna le téléphone à la propriétaire des lieux en indiquant : "je crois qu'il n'y a pas de réseau".
Ada prit le téléphone et tenta de faire le numéro de sa mère. Elle arriva exactement au même résultat.
- Hummm c’est bizarre, je reviens tout de suite. Je vais chercher mon portable affirma t-elle en commençant à monter les marches pour se diriger vers sa chambre. Elle se retourna d’un coup.
- Excusez-moi de vous demander ça, mais pouvez-vous enlever vos chaussures ? Elles sont … continua Ada, un petit peu gênée
Sonia la comprit immédiatement.
- Oui pas de soucis ! Je n’y ai pas pensé sur le coup. Elles sont sales, je les enlève de suite ! Elle fut agréablement surprise, le sol était chaud. Il devait s’agir d’un chauffage au sol.
- Je vous attends, merci beaucoup !
Une fois son hôte à l'étage elle en profita pour inspecter rapidement les pièces alentours, toujours d'un air "tremblotant" pour ne pas avoir un air suspect.
Ada monta a l'étage et entra dans sa chambre. Elle prit son téléphone posé sur son bureau. Là où elle étudiait plus tôt et l'ouvrit, elle vit rapidement quelle n'avait pas de réseau de disponible. Elle jura à voix haute.
-Bordel ! Normalement les appels d’urgence doivent passer, non !? Penaude, elle retourna en bas.
-Vous l'avez récupéré ? demanda Sonia avec une lueur d'espoir.
-Oui mais malheureusement, je n'ai pas de réseau et j'ignore pourquoi. Dit-elle en inspectant de nouveau son téléphone. Je ne comprends pas !
La jeune rousse fit semblant de réfléchir :
- Je ne peux pas courir le risque de retourner aussi vite à ma voiture. Je suis gênée de vous demander ça mais ... puis-je rester un petit peu chez vous le temps que le réseau revienne ?
- Mes parents devraient revenir dans la soirée ou demain, vous pourrez restez le temps qu'ils reviennent et ensuite ils pourront vous aider.
L’invitée soupira un grand coup, soudainement rassurée. Sonia remercia sa "sauveuse" :
- Merci beaucoup ! comment je peux vous remercier ? Je n'ai que des cahiers de cours dans mon sac malheureusement ... Avez-vous des boissons chaudes ? J’ai couru assez longtemps dehors et j’ai peur d’attraper froid.
Elle frissonna mais Ada se douta que ce n’était pas du qu’au froid seulement.
-Bien-sûr, tu bois du thé ? Ça ne te dérange pas le tutoiement ?
- Ça m’ira très bien merci. Et pas de soucis pour me tutoyer. Je suis pour !
Alexis écouta la suite avec attention. Il laissa Sonia papoter avec Ada sur les cours, sa vie à la fac etc. Tout ce qu'une étudiante ordinaire peut raconter. Il remarqua que sa cible prit confiance avec Sonia. Le moment tant attendu arriva enfin : Ada proposa à Sonia qu'elle dorme dans une chambre d'amis. A ce moment là, Sonia réactiva son emeteur.
Alexis revit le signal attendu. Il coupa les brouilleurs et prépara son téléphone. Tout était calculé à la milliseconde prêt.
Après avoir pris un peu de temps à papoter avec son invitée, Ada lui proposa de dormir pour la nuit dans la chambre d'amis. Cette dernière se situait juste en face de la sienne. Elle lui expliqua que ses parents comprendraient et qu’elle laisserait un mot à leur attention.
Alexis entendit Sonia accepter son offre avec "gratitude". Elles allaient se diriger à l'étage lorsque Alexis appela le fixe en numéro privé.
-Ah le réseau est revenu ! C’est une bonne nouvelle !s’exclama Ada tout en se dirigeant vers le téléphone. Elle répondit.
-Bonsoir, c’est Ada au téléphone. Vous m’entendez ?
- Bonsoir Madame. Je suis Le sergent chef Alexis Wagner. Nous avons détecté un appel provenant de votre domicile mais je pense qu'il a du y avoir un problème de réseau. On nous appelé plus tôt dans la soirée concernant le vandalisme d'un véhicule non loin de chez vous. C'est pour cette raison que vous nous avez appelé ?
-Hummm, j'ignore tout pour le vandalisme mais il y en effet une personne qui peut plus vous en parler. C’est une jeune fille de mon âge qui s’est réfugiée chez moi. Elle s’est faite agressée et on a essayé de vous appeler un peu plus tôt. Je vous la passe Monsieur l’agent.
Ada se retourna et donna le téléphone a Sonia.
-Oui bonsoir monsieur l'agent. On m'a agressée et ... je suis partis me réfugier chez une habitante. (elle expliqua tout ce qui « s’était passé »). […] Très bien monsieur, merci beaucoup. Je vous la repasse.
- Re bonsoir Madame, j'ai conseillé à la jeune fille de rester chez vous ce soir. Un agent va bientôt passer. Ceci ne vous dérange pas ?
-Non non pas du tout. C'était déjà prévu qu’elle reste ici pour la nuit. Je viens de lui proposer. Je vous donne mon adresse ? D’accord la voici : 3 impasse Victor … Ah vous la connaissez déjà ? Très bien. On attendra alors.
- Parfait, un agent va bientôt arriver pour prendre la description de l'agresseur. Bonne soirée à vous et surtout, restez prudentes. Si vous voyez quelque chose de suspect … bbiiiiipppppp
- Merde ! Le réseau a encore coupé !
Elle raccrocha et remit le téléphone sur la charge d’un air énervé.
Alexis avait bien entendu réactiver les brouilleurs dans sa conversation téléphonique. En entendant les filles parler de tout et de rien pour se préparer à sa venue. Alexis attendit 20 bonnes minutes, mit ensuite un gyrophare sur le dessus de sa voiture et se gara devant la villa pour qu'il soit bien visible pour les occupantes.
La demeure était assez excentrée et donc, il ne gênerait personne. De plus, si jamais des voisins le voyait (ce qui était hautement improbable) ils verraient juste un policier sortir d'une voiture banalisée. Il portait un sac de sport dans sa main droite et une sacoche d'ordinateur dans sa main gauche. Il était aussi en uniforme pour mieux convaincre Ada. Il sonna au niveau de la porte du grillage.
Ada couru vers l’interphone et après une courte conversation, appuya sur le bip pour ouvrir le portail. Dès qu’il arriva devant la porte d’entrée, elle ouvrit cette dernière.
- Bonsoir monsieur l'agent.
- Bonsoir Madame. Excusez-moi, au final c'est moi qui suis venu, vous m'avez eu au téléphone. Je suis Alexis Wagner. Puis-je parler à la victime seule à seule ? Cela ne devrait pas être long.
-Oui bien-sûr. Ada fit signe à Sonia de venir. Quant à elle, elle décida de retourner au salon.
L'agent ferma la porte, s’assura qu’Ada parte « loin » et commença à parler doucement pour qu'Ada ne puisse rien entendre de leur conversation. Le manteau de Sonia se trouvait sur le dossier de sa chaise.
- Es-tu prêtes ?
Sa collègue lui fit un signe de tête et lui décrit toutes les pièces qu'elle a vue. Au bout d'un moment, (Alexis prenait faussement la déposition au cas où), le faux policier sortit de son sac de sport du tape noir (qui a été conçu pour faisait pas de bruit). Il commença par bloquer les poignets de sa collègue tout en les croisant.
Celle-ci lui dit pour rigoler :
- N'en prend pas trop l'habitude.
- Humm ça ne me dérangerait pas pourtant hahaha. Il sentait bien qu’elle était stressée.
Une fois que ses chevilles furent immobilisées de la même manière que ses poignets (croisés) ainsi que ses genoux. Ils purent passer à la suite. Sonia cria rapidement "au secours" avant d'être interrompu par la main gantée d'Alexis. Il avait sortit par la même occasion une arme de poing.
Ada, alertée par le bruit retourna à la cuisine et ce quelle vit lui glaça le sang. Le policier la menaçait d’un pistolet et il avait ligoté Sonia !
- Mais qu'est ce que vous faites ?!
Alexis sourit en retour.
- Il se trouve jeune fille que j'ai vu que ton "amie" s'est réfugiée chez toi. Étant un cambrioleur recherché par la police, je n’ai pas voulu prendre de risque. J'ai fais le pari que vous appelleriez les flics mais j'ai pu brouiller les ondes à distance au bon moment. Je me suis fais passer pour un sergent par la même occasion. Pour tout te dire, ça fait un petit moment que je préparais mon coup pour venir te voir. Cette fille que tu vois là n'était qu'un petit "bonus" de passage. Heureusement qu'elle ne m'a pas reconnu, elle aurait pu tout faire capoter !
Sonia en pleur "n'osait bouger". Elle sanglota.
- Tais toi ! il la jeta au sol. Il menaça Ada de son arme.
Paniquée, Ada mis les mains l'air.
-Qu.....qu'allez vous nous faire demanda Ada, complètement effrayée.
- D'abord, tu vas reprendre ce rouleau de tape à terre et tu vas finir mon travail. Enroule lui les coudes de 4 tours puis ensuite tu fixes ses poignets à son dos. 4 tours iront très bien aussi. Et VITE !
-d...daccord..... Ada pris le tape dans ses mains et se mis derrière Sonia.
-Je suis désolée. Elle fit ce que l'homme lui demanda de faire.
En « pleur » sonia n'osait bouger. Tout de même, ce n’était pas prévu que ça se passe de cette manière mais sans doute qu’Alexis avait décidé de jouer le jeu à 300 %. Une fois bien immobilisée et elle ne fit pas semblant de l’être, elle se dandina. Elle était véritablement ligotée ! Ceci était le signal qu'Alexis pouvait s’occuper d’Ada dorénavant.
- Maintenant jeune fille, tu vas prendre le reste du rouleau et t'enrouler les chevilles de tape comme ta copine. Et tu vas faire pareil pour tes genoux.
Ada déglutit mais obéit à contre cœur. Avait-elle le choix ? Elle s’assit, croisa ses chevilles et commença à les enrouler. Sous l’insistance de l’arme du cambrioleur, elle effectua 5 tours de tape. Pareil sur ses genoux. En bref, elle fit en sorte qu’elle ne puisse même pas les décoller.
- Très bien dit-il d’une voix grave.
Il la retourna au sol et immobilisa Ada à plat ventre. De la même manière que Sonia. Elle se retrouva avec ses poignets entravés et collés à son bas du dos. La seule différence avec cette dernière était qu’il n’avait pas lié les coudes. Il ne savait pas si elle était assez souple ou non pour le supporter.
Il décida de la suite. Il éteignit la lumière du salon et mis Ada sur ses épaules. Il monta à l'étage pour la déposer sur le lit de la chambre d' amis.
La pauvre fille tenta de se débattre pendant toute la montée jusqu'à l'étage, une fois jetée sur le matelas, elle fixa l'homme.
- Qu'allez-vous faire de nous ?!
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Histoire de ligotage - Cambriolage chez les Arnistal (Rp)
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Re: Histoire de ligotage - Cambriolage chez les Arnistal (Rp)
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- Ça c'est une surprise ma jolie blonde, je reviens avec l'autre !
Il descendit chercher Sonia. Quand il arriva devant elle, celle-ci lui lança un regard de travers :
- Tu m'as fait mal en me balançant tout à l'heure dit elle en chuchotant. Normalement j’étais d’accord pour être prisonnière mais pas de cette manière ! Persifla t-elle.
Pendant que l'homme partit chercher Sonia, Ada ne se découragea pas. On ne maltraitait pas une Arnistal dans sa propre maison ! Elle se dandina sur le matelas et se mis assise. Elle bougea du mieux qu’elle put pour se placer au bord. Une fois prête, elle essaya de se lever. Malheureusement, avec les pieds croisés et liés de cette manière, elle perdit l’équilibre et retomba sur la literie. Elle grommela et se leva du lit pour de bon à la deuxième tentative. Essoufflée, elle sautilla dans la pièce tout en essayant de se libérer ses poignet. Elle ne se rendait pas compte que ces seins rebondissaient légèrement sous sa veste blanche cintrée.
Tandis qu’Ada essayait de s’en sortir. Sonia continua sa comédie même si elle commençait à douter de son camarade. Comme beaucoup d'autres personnes à sa place, tout en sanglotant, elle cria pour qu’on vienne la « secourir ». Mais l'homme, impitoyable, transporta et balança cette dernière sur le matelas qui se trouvait dans la chambre d'en face d’où se trouvait Sonia.
Il ferma la porte et revint vers Ada qu'il repoussa sur le lit. Il était amusé de la voir se débattre de cette manière.
Il reprit son sac et en sortit un bâillon qu’il cacha partiellement.
Ada se figea en voyant l'homme sortir quelque chose de son sac. Elle voyait mal mais c'était une boule noir a trous. Elle ignorait à quoi lui servirait cet outil mais elle sentait que ça n’allait pas être bon pour elle. Lorsqu’elle vit entièrement ce que tenait le ravisseur, que la boule noir était en fait reliée à une sangle. A ce moment là, elle comprit et eu peur pour elle.
- Pas ça par pitié ...
Sourd à ses supplications, Alexis enfonça le bâillon dans la bouche de sa prisonnière. Il dut la plaquer sur le lit en lui bouchant le nez pour qu'il réussisse à le faire de manière correcte. Il serra la sangle fortement. Une fois bien enfoncée, il recouvrit le visage d'Ada par un long tissus noir. Sa mâchoire et son nez furent masqués. Il ne lui restait que ses yeux pour s'exprimer. La partie du tissus qui recouvrait son nez était moins épais que le reste. Ceci lui permettait de respirer correctement.
Il en profita de la chatouiller pour tester le bâillon. Le tissus par dessus était serré, normalement ceci devrait être efficace !
-HMMMMMMRMRM!!!! Ada ne pu s’empêcher de rire nerveusement. Elle était de nature extrêmement chatouilleuse. Elle cria de toute ses forces mais le bâillon étouffa ses appels à l'aide. En se débattant, elle n’arrivait même pas à lui échapper ne serait-ce que de peu. A son plus grand dam !
Aimant de ce qu'il entendait et voyait, Alexis caressa l'entrejambe d'Ada pour l'embêter de plus en plus. Pour finir, il tâta légèrement ses seins.
- NMMMMMM!!!! Ada se débattit comme elle peut face aux caresses de cet homme. Son visage rougit de honte alors que ses yeux montraient clairement son effarement.
- C'est bien ma petite, tu t'es bien attachée. Je vais pouvoir faire un tour dans cette jolie petite maison et prendre deux trois choses au passage. Il allait continuer lorsqu’il entendit Sonia crier à l'aide il pesta comme l’aurait fait n’importe quel ravisseur à sa place.
- Je vais la faire taire elle aussi. Reste sage !
Qu’allait-il faire à cette pauvre fille ? Ada était somme toute plutôt rassurée à l’idée qu’elle n’était pas la seule dans ce calvaire. Lorsque Ada vit l'homme partir en fermant la porte, elle se releva et tenta une nouvelle fois de se défaire le tape qui la maintenait prisonnière.
Alexis se dirigea vers Sonia. Il ferma bien évidemment la porte.
- Je suis désolé très chère collègue, mais je vais devoir continuer pour le réalisme.
Inquiète, Sonia demanda :
- Que vas-tu faire ?
- Te bâillonner bien-sûr mais pas pour faire semblant.
- Je te préviens que … Non ! Non NON ! Cria t-elle en voyant ce qu’avait préparé Alexis.
« Comme prévu », il la bâillonna avec un outil spécial. Il s'agissait d'une plaque en cuir dans lequel était scellait un morceau de caoutchouc. Il bloqua sa tête et installa son outil. Il gonfla à l'aide d'une poire la boule pour bâillonner de façon satisfaisante sa collègue. Il fallait que le tout fasse vrai pour faire peur à Ada.
- Voilà, maintenant, tu pourras mieux jouer ta scène de théâtre !
Évidemment elle n’était pas d’accord … Même pas d’accord du tout.
- Mmpphmmmmmmm !!!! fit elle dans des sons étouffés.
Elle fut encore plus énervée lorsqu’elle compris son intention finale.
Il prit un bandeau qui « traînait » dans son sac, lui mit un bandeau sur ses yeux. Elle secouait sa tête de droite à gauche. Malheureusement pour elle, Alexis était bien plus fort qu’elle et malgré elle, elle aussi était tombé dans un piège mais ça, elle le comprendrait qu’un peu plus tard.
- Mmppphmmmmm !!!!!!!???
- Ne t’en fais pas, comme je te l’ai dit avant, c’est un test que tu passes.
Il la porta sous ses gémissements (elle ne faisait presque plus semblant) pour l'installer dans l'autre chambre avec Ada. Il fut consterné voir la jeune blondinette se débattre debout. Il plaça Sonia sur le lit (elle se débattait toujours farouchement) et dit d'une voix grave : "cette fois, je vais vraiment m'occuper de toi ! "
-HLLLMMM!!! LMMMMM MMMM GMMMM!!!!!!!! Ada se débattit une nouvelle fois tout en essayant de crier le plus fort quelle pouvait. Le bruit fut étouffé par son bâillon.
Alexis força encore une fois Ada à retourner sur le lit. Dans sa main droite, le jeune fille vit qu’une longue corde se présentait. Il enroula la corde plusieurs fois autour de son torse pour faire une sorte de harnais qui mettait en valeur ses seins.
Ensuite, il la laissa et fit de même avec Sonia. Ada entendait la pauvre rousse se débattre mais le ravisseur le lui imposa même s’il eut plus de mal. Une fois fait, il prit d'autres cordes et entoura en premier lieu les chevilles de Sonia. Il noua un nœud bien solide. Une fois cette première tâche effectuée, l’homme vint vers Ada et sentit à son tour une corde restreindre encore plus ses chevilles.
Elle vit de suite qu’avec le restant des deux cordes, il relia celui d’Ada aux chevilles de Sonia et vice versa. Elle se trouvait sur le flanc en face de sa « camarade » et commençait à comprendre ou voulait en venir leur agresseur avec les « harnais ».
Les genoux des deux demoiselles connurent le même sort.
Alexis s’amusa à créer plusieurs nœuds entre leurs harnais respectifs (notamment au niveau des seins). Elles étaient plutôt bien collées l'une et l'autre en face à face. Ada et Sonia ne pourraient s'échapper facilement. Même si le tape des poignets de l’une commençait à se détendre très légèrement mais ça, il ne le vit pas ...
Aveuglée, immobilisée et bâillonnée, Sonia se demandait si elle avait bien fait d’accepter ce « contrat ». Lorsqu’elle sentit une main « experte » caresser ses jambes. Elle cria de suite d'indignation et de honte. Ça aussi ce n’était pas prévu ! Mais pour qui se prenait-il cet Alexis !!? En plus il lui avait enlever ses outils pour qu’elle ne puisse se délivrer !
- HMMMM!!! Ada rougit d'embarras face à la proximité dont elle se retrouvait avec Sonia. Ses seins (plus volumineux que ceux de la rousse) étaient plaqués contre ceux de son « amie ». Cette position montrait la différence flagrante de taille entre les 2 femmes et l’homme ne pouvait le nier. Ada recommença à se débattre mais sans grand succès pour l'instant. Elle avait de la chance pensait-elle, elle avait encore la possibilité de voir de ses yeux. C’est à ce moment qu’elle entendit l’homme parler.
- Je vais chercher quelque chose ... dit il sournoisement. Et partit le chercher dans son sac.
Comme s’il avait oublié quelque chose, il sortit un objet long et noir de sa poche. Il fit demi tour rapidement pour aveugler Ada par un bandeau de PVC noir qu’il serra fortement. Avec ça, elle n’arriverait pas à l’enlever ! Même Sonia qui était entraînée a eu un châtiment moins sévère avec son bandeau ...
-HMMMM!!! cria Ada de peur lorsqu’elle sentit que le bandeau lui bloqua la vue. Elle fut effrayée de se retrouver ainsi dans le noir. Vu comme il était serré, elle n’irait pas bien loin avec !
Dans leurs tentatives de se sortir de là, les filles entendirent Alexis faire un aller retour qui dura un petit moment. Il devait sûrement avoir préparé un plan qui n’allait pas leur plaire. Et justement, elles avaient vu juste ...
Quant à lui, Alexis prit tout son temps. Il le savait, il en disposait ! Dans un premier temps, Il descendit la jupe de Sonia qui hurla dans son bâillon. Il le savait, elle était très en colère et heureusement qu’il avait fait en sorte de bien la faire taire.
Il sortit deux œufs vibrant de sa propre invention. La particularité première de ses objets étaient qu’ils détenaient une batterie extrêmement performante. Elles découvriraient bien les autres sous peu. Il en plaça un tout d'abord chez Sonia. Une fois bien fixé sous ses collants et surtout au bon endroit, il lui remonta ses bas noirs ainsi que sa jupe. Sonia cria de plus belle mais Ada ne pouvait savoir ce qui se passait exactement.
Par réflexe, Ada cria elle aussi en entendant Sonia. Peut-être qu'à elles deux elles pourraient alerter quelqu'un de l'extérieur. Elles devaient au moins essayer !
Même si c'était pour le travail, Alexis se réjouissait de ligoter deux aussi belles filles qu'Ada et Sonia. Ça n’arrivait pas tous les jours pour sûr ! Il descendit la jupe d’Ada petit à petit ainsi que ses collants blancs d’une lenteur toute calculée. Tout aussi lentement, il bloqua son bassin et lui imposa l’œuf sans l'actionner encore. Ensuite il la rhabilla et resserra les cordes pour rabattre les hanches des jeunes filles entre elles sous leur gémissements. Il arriva à voir des larmes couler le long des joues d’Ada.
Celle-ci ignora ce que l'homme avait fait. Mise à part que quelque chose se trouvait actuellement dans son entrejambe. Elle ne savait pas ce que c’était précisément mais elle se douta bien de la suite. Comme Sonia, elle ne put lancer que des cris étouffés sous le tissus épais qui recouvrait ses lèvres sans oublier cette maudite boule noire !
Pour finir, Alexis plaça sur deux tables de chevets deux petites télécommandes. Il s'agissait en fait de deux petits outils électronique rond. Chacun pouvait stopper un œuf et modifier sa puissance ainsi que sa fréquence. Il plaça « l'emetteur » de Sonia du côté d'Ada et vice versa. Enfin, il actionna les œufs en appuyant sur les appareils sur une puissance et une fréquence basées sur le hasard et au bout de quelques secondes, la réaction fut immédiate.
- HMMMMMMM !!!!!!!! Ada cria à pleins poumons alors quelle sentit une vibration dans son entrejambe. Elle se débattait férocement dans ses restrictions pour tenter de se libérer. Ses craintes s’avéraient fondées … Malheureusement, Sonia la gênait et elle s’en doutait, elle-même devait la gêner aussi.
- Je vais maintenant faire un petit tour dans cette jolie villa. Si de petites choses disparaissent, c'est normal ! Hahahaha.
Il claqua sa main sur la fesse de Sonia qui "hurla" de plus belle. Elle tremblait sous l’action de son appareil.
- D'ailleurs mesdemoiselles, si vous voulez que les vibrations s'arrêtent, il va falloir trouver les télécommandes qui permettront de les couper. Elles se trouvent sur les deux tables de chevets. Sur ce, je vous souhaite bonne chance ! Avant de partir il caressa de ses doigts les hanches d'Ada.
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- Ça c'est une surprise ma jolie blonde, je reviens avec l'autre !
Il descendit chercher Sonia. Quand il arriva devant elle, celle-ci lui lança un regard de travers :
- Tu m'as fait mal en me balançant tout à l'heure dit elle en chuchotant. Normalement j’étais d’accord pour être prisonnière mais pas de cette manière ! Persifla t-elle.
Pendant que l'homme partit chercher Sonia, Ada ne se découragea pas. On ne maltraitait pas une Arnistal dans sa propre maison ! Elle se dandina sur le matelas et se mis assise. Elle bougea du mieux qu’elle put pour se placer au bord. Une fois prête, elle essaya de se lever. Malheureusement, avec les pieds croisés et liés de cette manière, elle perdit l’équilibre et retomba sur la literie. Elle grommela et se leva du lit pour de bon à la deuxième tentative. Essoufflée, elle sautilla dans la pièce tout en essayant de se libérer ses poignet. Elle ne se rendait pas compte que ces seins rebondissaient légèrement sous sa veste blanche cintrée.
Tandis qu’Ada essayait de s’en sortir. Sonia continua sa comédie même si elle commençait à douter de son camarade. Comme beaucoup d'autres personnes à sa place, tout en sanglotant, elle cria pour qu’on vienne la « secourir ». Mais l'homme, impitoyable, transporta et balança cette dernière sur le matelas qui se trouvait dans la chambre d'en face d’où se trouvait Sonia.
Il ferma la porte et revint vers Ada qu'il repoussa sur le lit. Il était amusé de la voir se débattre de cette manière.
Il reprit son sac et en sortit un bâillon qu’il cacha partiellement.
Ada se figea en voyant l'homme sortir quelque chose de son sac. Elle voyait mal mais c'était une boule noir a trous. Elle ignorait à quoi lui servirait cet outil mais elle sentait que ça n’allait pas être bon pour elle. Lorsqu’elle vit entièrement ce que tenait le ravisseur, que la boule noir était en fait reliée à une sangle. A ce moment là, elle comprit et eu peur pour elle.
- Pas ça par pitié ...
Sourd à ses supplications, Alexis enfonça le bâillon dans la bouche de sa prisonnière. Il dut la plaquer sur le lit en lui bouchant le nez pour qu'il réussisse à le faire de manière correcte. Il serra la sangle fortement. Une fois bien enfoncée, il recouvrit le visage d'Ada par un long tissus noir. Sa mâchoire et son nez furent masqués. Il ne lui restait que ses yeux pour s'exprimer. La partie du tissus qui recouvrait son nez était moins épais que le reste. Ceci lui permettait de respirer correctement.
Il en profita de la chatouiller pour tester le bâillon. Le tissus par dessus était serré, normalement ceci devrait être efficace !
-HMMMMMMRMRM!!!! Ada ne pu s’empêcher de rire nerveusement. Elle était de nature extrêmement chatouilleuse. Elle cria de toute ses forces mais le bâillon étouffa ses appels à l'aide. En se débattant, elle n’arrivait même pas à lui échapper ne serait-ce que de peu. A son plus grand dam !
Aimant de ce qu'il entendait et voyait, Alexis caressa l'entrejambe d'Ada pour l'embêter de plus en plus. Pour finir, il tâta légèrement ses seins.
- NMMMMMM!!!! Ada se débattit comme elle peut face aux caresses de cet homme. Son visage rougit de honte alors que ses yeux montraient clairement son effarement.
- C'est bien ma petite, tu t'es bien attachée. Je vais pouvoir faire un tour dans cette jolie petite maison et prendre deux trois choses au passage. Il allait continuer lorsqu’il entendit Sonia crier à l'aide il pesta comme l’aurait fait n’importe quel ravisseur à sa place.
- Je vais la faire taire elle aussi. Reste sage !
Qu’allait-il faire à cette pauvre fille ? Ada était somme toute plutôt rassurée à l’idée qu’elle n’était pas la seule dans ce calvaire. Lorsque Ada vit l'homme partir en fermant la porte, elle se releva et tenta une nouvelle fois de se défaire le tape qui la maintenait prisonnière.
Alexis se dirigea vers Sonia. Il ferma bien évidemment la porte.
- Je suis désolé très chère collègue, mais je vais devoir continuer pour le réalisme.
Inquiète, Sonia demanda :
- Que vas-tu faire ?
- Te bâillonner bien-sûr mais pas pour faire semblant.
- Je te préviens que … Non ! Non NON ! Cria t-elle en voyant ce qu’avait préparé Alexis.
« Comme prévu », il la bâillonna avec un outil spécial. Il s'agissait d'une plaque en cuir dans lequel était scellait un morceau de caoutchouc. Il bloqua sa tête et installa son outil. Il gonfla à l'aide d'une poire la boule pour bâillonner de façon satisfaisante sa collègue. Il fallait que le tout fasse vrai pour faire peur à Ada.
- Voilà, maintenant, tu pourras mieux jouer ta scène de théâtre !
Évidemment elle n’était pas d’accord … Même pas d’accord du tout.
- Mmpphmmmmmmm !!!! fit elle dans des sons étouffés.
Elle fut encore plus énervée lorsqu’elle compris son intention finale.
Il prit un bandeau qui « traînait » dans son sac, lui mit un bandeau sur ses yeux. Elle secouait sa tête de droite à gauche. Malheureusement pour elle, Alexis était bien plus fort qu’elle et malgré elle, elle aussi était tombé dans un piège mais ça, elle le comprendrait qu’un peu plus tard.
- Mmppphmmmmm !!!!!!!???
- Ne t’en fais pas, comme je te l’ai dit avant, c’est un test que tu passes.
Il la porta sous ses gémissements (elle ne faisait presque plus semblant) pour l'installer dans l'autre chambre avec Ada. Il fut consterné voir la jeune blondinette se débattre debout. Il plaça Sonia sur le lit (elle se débattait toujours farouchement) et dit d'une voix grave : "cette fois, je vais vraiment m'occuper de toi ! "
-HLLLMMM!!! LMMMMM MMMM GMMMM!!!!!!!! Ada se débattit une nouvelle fois tout en essayant de crier le plus fort quelle pouvait. Le bruit fut étouffé par son bâillon.
Alexis força encore une fois Ada à retourner sur le lit. Dans sa main droite, le jeune fille vit qu’une longue corde se présentait. Il enroula la corde plusieurs fois autour de son torse pour faire une sorte de harnais qui mettait en valeur ses seins.
Ensuite, il la laissa et fit de même avec Sonia. Ada entendait la pauvre rousse se débattre mais le ravisseur le lui imposa même s’il eut plus de mal. Une fois fait, il prit d'autres cordes et entoura en premier lieu les chevilles de Sonia. Il noua un nœud bien solide. Une fois cette première tâche effectuée, l’homme vint vers Ada et sentit à son tour une corde restreindre encore plus ses chevilles.
Elle vit de suite qu’avec le restant des deux cordes, il relia celui d’Ada aux chevilles de Sonia et vice versa. Elle se trouvait sur le flanc en face de sa « camarade » et commençait à comprendre ou voulait en venir leur agresseur avec les « harnais ».
Les genoux des deux demoiselles connurent le même sort.
Alexis s’amusa à créer plusieurs nœuds entre leurs harnais respectifs (notamment au niveau des seins). Elles étaient plutôt bien collées l'une et l'autre en face à face. Ada et Sonia ne pourraient s'échapper facilement. Même si le tape des poignets de l’une commençait à se détendre très légèrement mais ça, il ne le vit pas ...
Aveuglée, immobilisée et bâillonnée, Sonia se demandait si elle avait bien fait d’accepter ce « contrat ». Lorsqu’elle sentit une main « experte » caresser ses jambes. Elle cria de suite d'indignation et de honte. Ça aussi ce n’était pas prévu ! Mais pour qui se prenait-il cet Alexis !!? En plus il lui avait enlever ses outils pour qu’elle ne puisse se délivrer !
- HMMMM!!! Ada rougit d'embarras face à la proximité dont elle se retrouvait avec Sonia. Ses seins (plus volumineux que ceux de la rousse) étaient plaqués contre ceux de son « amie ». Cette position montrait la différence flagrante de taille entre les 2 femmes et l’homme ne pouvait le nier. Ada recommença à se débattre mais sans grand succès pour l'instant. Elle avait de la chance pensait-elle, elle avait encore la possibilité de voir de ses yeux. C’est à ce moment qu’elle entendit l’homme parler.
- Je vais chercher quelque chose ... dit il sournoisement. Et partit le chercher dans son sac.
Comme s’il avait oublié quelque chose, il sortit un objet long et noir de sa poche. Il fit demi tour rapidement pour aveugler Ada par un bandeau de PVC noir qu’il serra fortement. Avec ça, elle n’arriverait pas à l’enlever ! Même Sonia qui était entraînée a eu un châtiment moins sévère avec son bandeau ...
-HMMMM!!! cria Ada de peur lorsqu’elle sentit que le bandeau lui bloqua la vue. Elle fut effrayée de se retrouver ainsi dans le noir. Vu comme il était serré, elle n’irait pas bien loin avec !
Dans leurs tentatives de se sortir de là, les filles entendirent Alexis faire un aller retour qui dura un petit moment. Il devait sûrement avoir préparé un plan qui n’allait pas leur plaire. Et justement, elles avaient vu juste ...
Quant à lui, Alexis prit tout son temps. Il le savait, il en disposait ! Dans un premier temps, Il descendit la jupe de Sonia qui hurla dans son bâillon. Il le savait, elle était très en colère et heureusement qu’il avait fait en sorte de bien la faire taire.
Il sortit deux œufs vibrant de sa propre invention. La particularité première de ses objets étaient qu’ils détenaient une batterie extrêmement performante. Elles découvriraient bien les autres sous peu. Il en plaça un tout d'abord chez Sonia. Une fois bien fixé sous ses collants et surtout au bon endroit, il lui remonta ses bas noirs ainsi que sa jupe. Sonia cria de plus belle mais Ada ne pouvait savoir ce qui se passait exactement.
Par réflexe, Ada cria elle aussi en entendant Sonia. Peut-être qu'à elles deux elles pourraient alerter quelqu'un de l'extérieur. Elles devaient au moins essayer !
Même si c'était pour le travail, Alexis se réjouissait de ligoter deux aussi belles filles qu'Ada et Sonia. Ça n’arrivait pas tous les jours pour sûr ! Il descendit la jupe d’Ada petit à petit ainsi que ses collants blancs d’une lenteur toute calculée. Tout aussi lentement, il bloqua son bassin et lui imposa l’œuf sans l'actionner encore. Ensuite il la rhabilla et resserra les cordes pour rabattre les hanches des jeunes filles entre elles sous leur gémissements. Il arriva à voir des larmes couler le long des joues d’Ada.
Celle-ci ignora ce que l'homme avait fait. Mise à part que quelque chose se trouvait actuellement dans son entrejambe. Elle ne savait pas ce que c’était précisément mais elle se douta bien de la suite. Comme Sonia, elle ne put lancer que des cris étouffés sous le tissus épais qui recouvrait ses lèvres sans oublier cette maudite boule noire !
Pour finir, Alexis plaça sur deux tables de chevets deux petites télécommandes. Il s'agissait en fait de deux petits outils électronique rond. Chacun pouvait stopper un œuf et modifier sa puissance ainsi que sa fréquence. Il plaça « l'emetteur » de Sonia du côté d'Ada et vice versa. Enfin, il actionna les œufs en appuyant sur les appareils sur une puissance et une fréquence basées sur le hasard et au bout de quelques secondes, la réaction fut immédiate.
- HMMMMMMM !!!!!!!! Ada cria à pleins poumons alors quelle sentit une vibration dans son entrejambe. Elle se débattait férocement dans ses restrictions pour tenter de se libérer. Ses craintes s’avéraient fondées … Malheureusement, Sonia la gênait et elle s’en doutait, elle-même devait la gêner aussi.
- Je vais maintenant faire un petit tour dans cette jolie villa. Si de petites choses disparaissent, c'est normal ! Hahahaha.
Il claqua sa main sur la fesse de Sonia qui "hurla" de plus belle. Elle tremblait sous l’action de son appareil.
- D'ailleurs mesdemoiselles, si vous voulez que les vibrations s'arrêtent, il va falloir trouver les télécommandes qui permettront de les couper. Elles se trouvent sur les deux tables de chevets. Sur ce, je vous souhaite bonne chance ! Avant de partir il caressa de ses doigts les hanches d'Ada.
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Re:Histoire de ligotage - Cambriolage chez les Arnistal (Rp)
-GMMMM !!!!
Ada se tortilla dans son ligotage pour tenter d’échapper aux mains de l’homme mais avec l'objet qui vibrait dans son entrejambe, c’était très difficile de se concentrer. Elle tenta de communiquer avec Sonia avec des sons étouffés.
Ravi de ce spectacle, Alexis commença par fouiller dans les chambres et prit tout ce qui était facilement revendable : bijoux et petits objets de décoration pour commencer. Viendrait ensuite les gros sac pour de choses plus … onéreuses.
-GMMMSMMMM!!
Ada tenta de communiquer avec Sonia en espérant qu’elle puisse la comprendre.
Sonia, qui ne s'attendait pas à ça, était vraiment en colère et et paniquée. Elle sentait qu' Ada voulait dire quelque chose. Elle gémit en sentant une vibration plus forte que la précédente. Elle "cria" deux fois sous son bâillon.
Ada tenta de lui dire pitoyablement sous son bâillon quelle devait tenter de trouver les émetteurs qui pourrait arrêter les 2 œufs vibrants.
- Mmpphmmmmmmooffffffaannnntttteeuurr !?
Sonia pensait savoir ce que voulait dire l'autre prisonnière. Elle la comprenait bien, elle était d'accord avec elle ! Elle frotta son bandeau contre le front d'Ada pour essayer de l'enlever et pouvoir la voir de ses propres yeux.
Ada ne comprit pas trop ce que faisait Sonia mais elle suivit son mouvement et frotta elle aussi son front contre une texture de tissu pensait-elle. Elle ne pouvait en être sûr à cause du bandeau en PVC qui lui bloquait la vue.
Sonia continua en ce sens, et réussis à baisser son bandeau de moitié. C'était mieux que rien ! elle encouragea Ada. De son menton, elle essaya de lui baisser le bandeau mais ce n'était pas aisé, il était large et vraiment serré !
Ada comprit finalement et suivit le mouvement. Le problème était que son bandeau était trop bien ajusté pour le retirer de cette façon. Elle essaya de lui faire comprendre en faisant un signe négatif de la tête.
-gmmmmooonnn
Voyant qu'elle n'arriverait à rien avec Ada, Sonia gigota dans ses liens en espérant qu'ils lâcheraient. C’était un doux espoir mais elle n’avait d’autre choix. Quelques secondes ou minutes passèrent et toujours rien. Elle espérait que sa partenaire réussirait mieux qu'elle !
Elle entendait Alexis qui sifflotait dans le couloir. Ce salopard de pervers le paierait cher ! Elle s’en fit la promesse (en réalité, son sort était déjà scellé au sein de la compagnie depuis bien longtemps).
Ada se tortilla dans ses liens mais rien ne bougea. Soudain elle eu une idée. Elles pourraient peut-être se déplacer comme ceci. Elle prit une grande inspiration et sans prévenir, bascula de son côté droit soit à l’arrière de son dos. Après quelques tentatives, elle réussit. Elle se trouvait dorénavant sur son dos, Sonia au dessus d'elle qui lui comprimé le ventre dans un équilibre précaire.
Surprise et ne pouvant l’en empêcher (même si elle était entraînée, dans sa situation, Ada restait plus forte physiquement). Sonia se retrouva sur le ventre d'Ada. Son corps s'écrasait complètement sur celui de l'autre fille. Elle se dandina et lança un gémissement interrogateur à l’autre captive. Elle ne savait pas ce qu'elle faisait !
Ada couina, bien que Sonia ne soit pas lourde, elle restait quand même un certain poids sur elle qui écrasait ses seins. Puis avec un autre effort elle réussit à se tourner, les refaisant mettre dans leur position initiale mais cette fois, Ada se retrouva à la gauche de sonia. Avec ça, elles résussirent à bouger … un petit peu.
Sonia gémit de plus belle lorsqu'elle sentit un orgasme arriver. Elle fit de son mieux pour éviter de gémir mais elle en fut incapable, elle se déhancha en même temps afin de le fuir et sentit qu'elle gênait en fait encore plus sa camarade. Elle lança un juron intérieur.
Mais bordel Alexis ! Qu'est ce que tu ffoouuussssssssss
-gmmmm!!! smmmm!!!! Ada espéra que Sonia avait compris ce quelle voulait faire car maintenant c’était à elle de se tourner pour continuer à bouger. La vibration dans son entrejambe se fit d’un coup plus fort la faisant pousser un fort gémissement.
Sonia attendit que la « vague passe ». Elle profita d’un répit puis réessaya de redégager le bandeau d'Ada. Elle se sentait réellement prisonnière dorénavant et n’attendait pas vraiment le secours d’Alexis.
-smmmmm!!!! Ada voulu lui faire comprendre de faire la même chose qu’elle. Le bandeau n'allant pas s'enlever si facilement, il fallait d'abord trouver un moyen d'arrêter ces vibrations plus que gênantes ! Qu’elle bouge à son tour au lieu de s’essayer à des choses inutiles !
Elle voulut montrer son exaspération en donnant un ton impérieux à Sonia :
- Mmphmmm, mmphmm mmmmm !!!!!
Voyant qu'elle n'arrivait toujours à rien et en entendant la fille « râler », Sonia eu l'idée de toucher la cheville d'Ada avec son pied, peut-être qu'elle répondrait à cet appel ?
-gmmm?
Ada sentit quelque chose toucher sa cheville.
Sonia répéta ce geste : "Mphmm?"
-Mphmmmmm!!
Ada tenta de pousser comme elle pu Sonia avec son corps comme pour lui dire ce qu’elle voulait faire.
Surprise par autant de velléité, Sonia suivit le mouvement de sa hanche et compris plus ou moins les ambitions de la jolie blonde. Elle essaya de voir ou étaient ces fameuses télécommandes mais ce fut impossible, le bandeau bloquait toujours une partie de sa vue sans compter son torse immobilisé ainsi que le reste …
Ada continua à se débattre dans ses lien puis en frottant ses poignets sur le matelas, elle et Sonia entendirent un léger son de décollage.
-hmmm!? Fit-elle intriguée
Sonia, surprise, sentit l’espoir renaître en elle. Qu'est ce qui avait été décollé ? Elle fit le test : ce n’était pas le tape de ses poignets … ni de ses jambes et de ses coudes. Ceci devait être le tape d’ Ada ! mais où exactement ?!
Ada avait compris que c'était le tape de ses poignets qui commençait à se décoller. Peut-être que si elle continuait comme ça elle arriverait à s’en délivrer. Elle continua à frotter ses poignets contre le matelas, tentant de suffisamment les décrocher pour se libérer.
Sonia attendit un petit peu espérant le tout pour le tout. Si Ada arrivait à se délivrer partiellement, le reste serait difficile mais plus faisable. Ses bras devaient toujours être collés à l'arrière de son dos.
La rousse fit un effort physique important, elle réussit à se déplacer plusieurs fois de plusieurs centimètres en arrière en attirant Ada. Par manque de chance, elle ne put s'empêcher d’effectuer un brusque mouvement sous une vague de vibrations arrivant sans prévenir et ce, de manière intense. Sans le vouloir, elle arriva sur le bord du matelas et fut déséquilibrée. Elle joua de ses abdos pour tenir en espérant qu’Ada l’aiderait. Mais celle-ci, surprise et plus occupée avec ses poignets ne put réagir à temps.
-hmm?HMMMmm!!!!
Le déséquilibre de Sonia les fit toutes deux tombées du lit. Ada se retrouva sur Sonia et leurs fronts se percutèrent l’un et l'autre. Les deux gémirent de douleur.
- Mmphmmmm !!
-hmmmmm!!...…
Le choc bien que non brutal (il n’y avait pas une grande hauteur de sommier) leurs firent tout de même assez mal.
Ada remua dans ses liens ; écrasant un peut plus sans le vouloir Sonia sur la moquette.
Sonia gémit sous les gesticulations d'Ada et sentit par contre une légère distorsion du tape au niveau de ses chevilles. Enfin, le moment tant attendu était à porté ! Elle les secoua de son mieux en tout sens en espérant qu'Ada comprendrait le message et qu’elle se basculerait de l'autre coté. Sonia était trop écrasée pour tenter quoi que ce soit. Elle commençait même à respirer avec de plus en plus de difficulté par son nez.
Sonia bougea moins, mais soudain elle sentit une poussée dans son entrejambe.
« Non pas ennnncccooorrrrreeeeeee ! »
-GMMMMMMMm!!!!!!!
Cette sensation la fit bouger beaucoup plus la faisant tombée sur le côté.
Se doutant ce qui s'était passé, Sonia put respirer un peu plus plus et prit une grande inspiration nasale. Elle joua de ses chevilles pour essayer de briser le tape.
Pendant ce temps là, Alexis continuait son forfait. Il entendait tout ce qui se passait dans la chambre car il avait placé le blouson de Sonia proche d'elles. Elle ne s'étaient pas encore libérées mais il avait pris les devant. Il avait fermé à clé toutes les portes de sorties, fermé tous les volets et coupé l'électricité. Il attendait qu'elles se dégagent de leurs liens pour mieux les surprendre dans le noir … si elles y arrivaient !
Alors que les 2 jeunes femmes se débattaient dans leurs restrictions et qu’Alexis cambriolait la maison, une voiture arriva et se gara devant la façade. Une jolie femme aux longs cheveux blond, habillée d'une robe de soirée verte émeraude en descendit. Elle laissait entrevoir un agréable décolleté. Une fois sortie de la voiture, on ne pouvait que remarquer qu’il s'agissait de la mère d’Ada détenant le nom de Victoria. Visiblement, elle est entrée plus tôt qu’elle ne l’aurait dû et ce, sans son mari. Elle se dirigea vers la porte de sa propriété et sortit de son sac les clés de la porte pour les insérer dans la serrure.Alexis, paré à toute éventualité, se calma immédiatement et attendit patiemment. Il était un expert e il ne se laisserait pas malmener pour si peu. Il était même amusé par la venue inopinée de la propriétaire des lieux.
Ada se tortilla dans son ligotage pour tenter d’échapper aux mains de l’homme mais avec l'objet qui vibrait dans son entrejambe, c’était très difficile de se concentrer. Elle tenta de communiquer avec Sonia avec des sons étouffés.
Ravi de ce spectacle, Alexis commença par fouiller dans les chambres et prit tout ce qui était facilement revendable : bijoux et petits objets de décoration pour commencer. Viendrait ensuite les gros sac pour de choses plus … onéreuses.
-GMMMSMMMM!!
Ada tenta de communiquer avec Sonia en espérant qu’elle puisse la comprendre.
Sonia, qui ne s'attendait pas à ça, était vraiment en colère et et paniquée. Elle sentait qu' Ada voulait dire quelque chose. Elle gémit en sentant une vibration plus forte que la précédente. Elle "cria" deux fois sous son bâillon.
Ada tenta de lui dire pitoyablement sous son bâillon quelle devait tenter de trouver les émetteurs qui pourrait arrêter les 2 œufs vibrants.
- Mmpphmmmmmmooffffffaannnntttteeuurr !?
Sonia pensait savoir ce que voulait dire l'autre prisonnière. Elle la comprenait bien, elle était d'accord avec elle ! Elle frotta son bandeau contre le front d'Ada pour essayer de l'enlever et pouvoir la voir de ses propres yeux.
Ada ne comprit pas trop ce que faisait Sonia mais elle suivit son mouvement et frotta elle aussi son front contre une texture de tissu pensait-elle. Elle ne pouvait en être sûr à cause du bandeau en PVC qui lui bloquait la vue.
Sonia continua en ce sens, et réussis à baisser son bandeau de moitié. C'était mieux que rien ! elle encouragea Ada. De son menton, elle essaya de lui baisser le bandeau mais ce n'était pas aisé, il était large et vraiment serré !
Ada comprit finalement et suivit le mouvement. Le problème était que son bandeau était trop bien ajusté pour le retirer de cette façon. Elle essaya de lui faire comprendre en faisant un signe négatif de la tête.
-gmmmmooonnn
Voyant qu'elle n'arriverait à rien avec Ada, Sonia gigota dans ses liens en espérant qu'ils lâcheraient. C’était un doux espoir mais elle n’avait d’autre choix. Quelques secondes ou minutes passèrent et toujours rien. Elle espérait que sa partenaire réussirait mieux qu'elle !
Elle entendait Alexis qui sifflotait dans le couloir. Ce salopard de pervers le paierait cher ! Elle s’en fit la promesse (en réalité, son sort était déjà scellé au sein de la compagnie depuis bien longtemps).
Ada se tortilla dans ses liens mais rien ne bougea. Soudain elle eu une idée. Elles pourraient peut-être se déplacer comme ceci. Elle prit une grande inspiration et sans prévenir, bascula de son côté droit soit à l’arrière de son dos. Après quelques tentatives, elle réussit. Elle se trouvait dorénavant sur son dos, Sonia au dessus d'elle qui lui comprimé le ventre dans un équilibre précaire.
Surprise et ne pouvant l’en empêcher (même si elle était entraînée, dans sa situation, Ada restait plus forte physiquement). Sonia se retrouva sur le ventre d'Ada. Son corps s'écrasait complètement sur celui de l'autre fille. Elle se dandina et lança un gémissement interrogateur à l’autre captive. Elle ne savait pas ce qu'elle faisait !
Ada couina, bien que Sonia ne soit pas lourde, elle restait quand même un certain poids sur elle qui écrasait ses seins. Puis avec un autre effort elle réussit à se tourner, les refaisant mettre dans leur position initiale mais cette fois, Ada se retrouva à la gauche de sonia. Avec ça, elles résussirent à bouger … un petit peu.
Sonia gémit de plus belle lorsqu'elle sentit un orgasme arriver. Elle fit de son mieux pour éviter de gémir mais elle en fut incapable, elle se déhancha en même temps afin de le fuir et sentit qu'elle gênait en fait encore plus sa camarade. Elle lança un juron intérieur.
Mais bordel Alexis ! Qu'est ce que tu ffoouuussssssssss
-gmmmm!!! smmmm!!!! Ada espéra que Sonia avait compris ce quelle voulait faire car maintenant c’était à elle de se tourner pour continuer à bouger. La vibration dans son entrejambe se fit d’un coup plus fort la faisant pousser un fort gémissement.
Sonia attendit que la « vague passe ». Elle profita d’un répit puis réessaya de redégager le bandeau d'Ada. Elle se sentait réellement prisonnière dorénavant et n’attendait pas vraiment le secours d’Alexis.
-smmmmm!!!! Ada voulu lui faire comprendre de faire la même chose qu’elle. Le bandeau n'allant pas s'enlever si facilement, il fallait d'abord trouver un moyen d'arrêter ces vibrations plus que gênantes ! Qu’elle bouge à son tour au lieu de s’essayer à des choses inutiles !
Elle voulut montrer son exaspération en donnant un ton impérieux à Sonia :
- Mmphmmm, mmphmm mmmmm !!!!!
Voyant qu'elle n'arrivait toujours à rien et en entendant la fille « râler », Sonia eu l'idée de toucher la cheville d'Ada avec son pied, peut-être qu'elle répondrait à cet appel ?
-gmmm?
Ada sentit quelque chose toucher sa cheville.
Sonia répéta ce geste : "Mphmm?"
-Mphmmmmm!!
Ada tenta de pousser comme elle pu Sonia avec son corps comme pour lui dire ce qu’elle voulait faire.
Surprise par autant de velléité, Sonia suivit le mouvement de sa hanche et compris plus ou moins les ambitions de la jolie blonde. Elle essaya de voir ou étaient ces fameuses télécommandes mais ce fut impossible, le bandeau bloquait toujours une partie de sa vue sans compter son torse immobilisé ainsi que le reste …
Ada continua à se débattre dans ses lien puis en frottant ses poignets sur le matelas, elle et Sonia entendirent un léger son de décollage.
-hmmm!? Fit-elle intriguée
Sonia, surprise, sentit l’espoir renaître en elle. Qu'est ce qui avait été décollé ? Elle fit le test : ce n’était pas le tape de ses poignets … ni de ses jambes et de ses coudes. Ceci devait être le tape d’ Ada ! mais où exactement ?!
Ada avait compris que c'était le tape de ses poignets qui commençait à se décoller. Peut-être que si elle continuait comme ça elle arriverait à s’en délivrer. Elle continua à frotter ses poignets contre le matelas, tentant de suffisamment les décrocher pour se libérer.
Sonia attendit un petit peu espérant le tout pour le tout. Si Ada arrivait à se délivrer partiellement, le reste serait difficile mais plus faisable. Ses bras devaient toujours être collés à l'arrière de son dos.
La rousse fit un effort physique important, elle réussit à se déplacer plusieurs fois de plusieurs centimètres en arrière en attirant Ada. Par manque de chance, elle ne put s'empêcher d’effectuer un brusque mouvement sous une vague de vibrations arrivant sans prévenir et ce, de manière intense. Sans le vouloir, elle arriva sur le bord du matelas et fut déséquilibrée. Elle joua de ses abdos pour tenir en espérant qu’Ada l’aiderait. Mais celle-ci, surprise et plus occupée avec ses poignets ne put réagir à temps.
-hmm?HMMMmm!!!!
Le déséquilibre de Sonia les fit toutes deux tombées du lit. Ada se retrouva sur Sonia et leurs fronts se percutèrent l’un et l'autre. Les deux gémirent de douleur.
- Mmphmmmm !!
-hmmmmm!!...…
Le choc bien que non brutal (il n’y avait pas une grande hauteur de sommier) leurs firent tout de même assez mal.
Ada remua dans ses liens ; écrasant un peut plus sans le vouloir Sonia sur la moquette.
Sonia gémit sous les gesticulations d'Ada et sentit par contre une légère distorsion du tape au niveau de ses chevilles. Enfin, le moment tant attendu était à porté ! Elle les secoua de son mieux en tout sens en espérant qu'Ada comprendrait le message et qu’elle se basculerait de l'autre coté. Sonia était trop écrasée pour tenter quoi que ce soit. Elle commençait même à respirer avec de plus en plus de difficulté par son nez.
Sonia bougea moins, mais soudain elle sentit une poussée dans son entrejambe.
« Non pas ennnncccooorrrrreeeeeee ! »
-GMMMMMMMm!!!!!!!
Cette sensation la fit bouger beaucoup plus la faisant tombée sur le côté.
Se doutant ce qui s'était passé, Sonia put respirer un peu plus plus et prit une grande inspiration nasale. Elle joua de ses chevilles pour essayer de briser le tape.
Pendant ce temps là, Alexis continuait son forfait. Il entendait tout ce qui se passait dans la chambre car il avait placé le blouson de Sonia proche d'elles. Elle ne s'étaient pas encore libérées mais il avait pris les devant. Il avait fermé à clé toutes les portes de sorties, fermé tous les volets et coupé l'électricité. Il attendait qu'elles se dégagent de leurs liens pour mieux les surprendre dans le noir … si elles y arrivaient !
Alors que les 2 jeunes femmes se débattaient dans leurs restrictions et qu’Alexis cambriolait la maison, une voiture arriva et se gara devant la façade. Une jolie femme aux longs cheveux blond, habillée d'une robe de soirée verte émeraude en descendit. Elle laissait entrevoir un agréable décolleté. Une fois sortie de la voiture, on ne pouvait que remarquer qu’il s'agissait de la mère d’Ada détenant le nom de Victoria. Visiblement, elle est entrée plus tôt qu’elle ne l’aurait dû et ce, sans son mari. Elle se dirigea vers la porte de sa propriété et sortit de son sac les clés de la porte pour les insérer dans la serrure.Alexis, paré à toute éventualité, se calma immédiatement et attendit patiemment. Il était un expert e il ne se laisserait pas malmener pour si peu. Il était même amusé par la venue inopinée de la propriétaire des lieux.
Re: Histoire de ligotage - Cambriolage chez les Arnistal (Rp)
Victoria entra dans sa maison. Fatiguée de sa soirée. Elle voulait se changer et surtout, dormir. Elle pesta.
- Elle aurait pu au moins laisser les volets ouverts …
Elle appuya sur l'interrupteur du hall d’entrée afin de l’éclairer. Clac. Rien. Elle réessaya et aucune lumière ne vint illuminer la pièce.
"Étonnamment", aucune n’apparut même après d’autres tentatives. Alexis portait des lunettes à vision nocturne. Il attendait toujours la suite. A ce qu'il comprenait, les filles étaient toujours solidement ligotées …
- Il y a une panne d’électricité ? Il va falloir appeler l’électricien demain matin si ça continue.
La jolie femme prit son portable et le mis sur le mode flashlight. Sa nouvelle source de lumière éclairait un petit peu les alentours.
Tout souriant, Alexis se félicita de l’efficacité des bâillons imposés aux filles. La mère ne les avait pas encore entendues.
Victoria se prépara à monter vers l'étage allant vérifier si tout ce passait bien. Parfois, Ada travaillait jusqu’à très tard dans la nuit et avait du mal à se réveiller le lendemain. Avec la panne, peut-être qu’elle s’était couchée ?
Alexis décida de la suivre discrètement sans se faire entendre. Sonia quant à elle, essayait toujours de se libérer .
De son côté, Ada réussit à se calmer. L’œuf vibrant avait peut-être moins de batterie. Elle retenta de défaire le tape entourant ses poignets. Elle le sentait, elle y arriverait au bout d’un moment nom de dieu !
Parallèlement, Victoria avançait pas à pas à l’étage.
Avec beaucoup de soulagement, Sonia entendit un déchirement au niveau du tape entourant ses chevilles. Elle put gigoter un peu plus. Encore un peu et elle pourrait les décoller parfaitement. Cependant, ses genoux étaient toujours aussi bien emprisonnés. Elle ne le savait pas mais Ada, arrivait de mieux en mieux à se déloger les poignets. Encore un peu de patience ...
Pendant ce temps, Victoria se trouvait devant la porte de la chambre de sa chère fille. Elle l'ouvrit … pour n’y apercevoir personne.
- Elle n'est pas là !?
Voulant détourner l'attention de la mère, Alexis fit du bruit dans le couloir et disparut tout aussi vite
Sonia quant à elle réessaya à nouveau d'enlever le bandeau d'Ada. Il fallait qu’elles arrivent à se voir toutes les deux !
Victoria entendit du bruit et se retourna pour ne rien apercevoir. Était-ce le vent ou juste le plancher qui craquait ? Cela arrivait souvent.
De son coté, Ada gémissait de plus belle : l’œuf entre ses jambes lui refit de l’effet. Sous la gêne, elle se tortilla une nouvelle fois, empêchant Sonia de retirer son bandeau.
Sonia, voyant qu'Ada pensait à autre chose, voulut séparer ses genoux un maximum pour détendre le tape. Elle gémit sous l'effort et sous les vibrations qui étaient toujours présentes. Elle ne savait pas depuis combien de temps elles étaient attachées et elle n'aimait pas ça !
-GMMMM.
Ada ne réussissait pas à penser clairement. Le bourdonnement l'empêchait de rester calme. La faisant se tortiller sans cesse.
L’autre prisonnière voulut changer un peu la donne. Actuellement à la gauche de sa camarade, elle se bascula sur son ventre pour la faire bouger de place. Mais lors du changement de côté, Ada se cogna contre du mobilier assez lourdement.
-GMMM!!!
Ada gémit de douleur lors de l'impact de son corps contre la table.
Juste à quelques mètres de là, la mère avait vaguement entendu quelque chose. Mais, avant de se retourner, elle vit du coin de l’œil une feuille accrochée sur la porte de sa fille mais de l’intérieur. Intriguée, elle avança pour regarder de plus près. Elle la décrocha et la lit.
Alexis se souvint de la fausse capture d'écran qu’il avait imprimée.
Le message disait :
« Je ne sais pas trop Ada. Je n'ai jamais tenté ce genre de chose auparavant. Es-tu certaines que c'est sans risque ? Et que penseraient tes parents s'ils nous surprenait ?
Je te renvoi la liste souhaitée avec tes modifications. Je te conseille de la conserver et à ce qu'elle soit visible lorsque tu prépareras la séance (de nombreux matériaux de bondage apparaissaient dans une liste à puce) ».
Victoria, interloquée, relis le message plusieurs fois.
« Qu'est ce que c’est que ça !? Ma chère fille ne peut pas vouloir de ce genre de chose. Ce n’est pas son genre se dit-elle ».
Dans sa détresse, la femme avait totalement oubliée le bruit entendu quelques instants auparavant. Elle commença à composer le numéro de sa fille … Bien entendu, ça ne marcha pas par manque de réseau.
Dans sa lutte, Sonia arrivait petit à petit à détendre le tape de ses genoux, devenue toute rouge sous l'effort.
Ada réussit à se remettre du choc avec l'armoire. Mais à peine remise, l’œuf dans son entrejambe lui rappela sa présence.
-MMMMM!!!! STMMMM!!!!!
Gênée par Ada, la jolie rousse reprit son souffle en attendant que la "crise" passe. Elle espérait qu'elle non plus n'en n'aurait pas de nouvelles. Elle regarda partout, à la recherche de ces fameuses télécommandes.
Victoria, stressée pour sa fille, commençait à imaginer le pire des scénarios. Elle n’eut pas l’idée de regarder dans la chambre d’amis car, il était improbable qu’elle se trouve dedans. Elle n’avait rien à y faire de toute façon. Elle était sûrement partie de la maison ! Ceci ne faisait aucun doute.
La femme à la poitrine voluptueuse retourna au rez-de-chaussée. Toujours avec son portable pour avoir une source de lumière.
-Peut-être que les voisins pourront me prêter leur téléphone, ils ont sûrement du réseau !
Alexis qui entendit tout rigola intérieurement : "réveiller les voisins aussi tard dans la nuit ?"
Victoria ne perdu pas de temps et remis maladroitement ses talons hauts pour aller se rendre chez les voisins en voiture.
Alexis se dit que ce n'était pas si grave que ça. De toute manière, le portable de sa fille ne captait rien ... tandis qu'elle allait voir les voisins, il commença le début de la fin de son travail. Il récupéra encore du liquide, quelques éléments décoratifs et mis le tout dans le gros sac. Cependant, il prépara ses outils de bondage, il en aurait bientôt besoin …
Après de moult recherches, Sonia crut enfin voir ou était placé l’une des télécommandes. Elle était tombée à terre non loin d’Ada ! Elle tenta de la prévenir : "mmhmmapmmm euurr"
-Gmmmmrmr??!
Tandis qu’Ada et Sonia tentaient de communiquer, Victoria arriva chez les voisins. Bien qu'ils soient très mécontent d'être réveillés à plus de 2h00 du matin, ils laissèrent la femme utiliser leur téléphone fixe. Une vingtaine de minutes plus tard, elle n'avait aucune bonne nouvelle. Sa fille ne répondit à aucun de ses appels, son mari était sans doute encore trop occupé à faire la fête pour s'apercevoir que sa femme l’appelait. Enfin, l’agence spéciale qui gérait l’électricité lui dit que de leur côté, rien ne clochait et qu’elle devait redémarrer le tableau électrique. Ou qu’au pire, le tout devrait revenir dans la journée du lendemain. Ils pouvaient tout relancer à distance mais pas ce soir. Le personnel était en vacances.
Plutôt furieuse, elle rentra chez elle. Elle n’allait pas appeler la police et montrer les messages de sa fille tout de même !
Alexis revit la mère revenir avec une drôle de tête. Il se dit rapidement qu'il allait la laisser monter à au premier étage et surtout dans la chambre d'amis pour voir ce que sa fille "faisait de ses soirées" héhéhé.
Il avait déjà tout préparé pour la mère avec ce qui lui restait. Un beau panel de cordes, de morceaux de tissus et de foulards principalement.
Désespérée, Sonia se dit qu'elle n'arriverait jamais à aller chercher cette foutue de télécommande si Ada ne l'aidait pas. Elle tapota les chevilles de celle-ci 3 fois en essayant de dire "mmm -fff - rrrr" (pour émetteur)
-Gmmm nnr mmm!!
Ada tenta de lui avouer qu’elle ne comprenait pas ce qu’elle disait.
De son côté, Victoria remonta à l'étage d’un air décidé. Elle allait fouiller la maison de fond en comble !
Gémissant de désespoir, Sonia souffla un bon coup et essaya de se reposer tant bien que mal pour mieux se délivrer. Elle ressentit l’œuf vibrer une nouvelle fois et de rage, elle trembla. Elle en avait plus que marre ! Elle voulait que tout s’arrêêêêêêêêêêête !!!
Ada se battait toujours avec le tape de ses poignets.
Lorsque Victoria passa dans le couloir, elle entendit un bruit très léger. Curieuse, elle voulut voir de plus près. Il lui paraissait étonnant que ce bruit provenait de la chambre d’amis !
Sonia cru entendre Alexis devant la porte et elle hurla dans son bâillon ( il avait intérêt à avoir finit, elle n'en pouvait plus, c'était trop réaliste à son goût mais elle reconnaissait bien là son collègue. La blague étaient enfin finie !)
Victoria ouvrit la porte et vit un spectacle qu’elle n'aurait jamais souhaité voir de sa vie.
-Qu'est ce que ... fit-elle interloquée.
Victoria vit sa fille au sol, ligotée avec une autre jeune femme. Elles étaient collées l'une avec l’autre soutenues par du tape noir et des cordes. La jolie rousse avait l’air complètement ahurie . Victoria ne put s’empêcher de penser que cette dernière portait comme bâillon une sorte de muselière. Elle vit un point de pression au milieu de la « plaque noir ».
Complètement « abasourdie » par la surprise, Sonia se rendit compte très vite que ce n’était pas Alexis qui avait ouvert la porte mais Victoria, la mère d'Ada. Elle se tut mais ne put rester muette à cause de l'appareil posé sur son entrejambe. Elle vit Victoria, stupéfiée se diriger vers sa fille.
Victoria s’agenouilla devant Ada et s’attaqua à son bandeau. Celui-ci étant en PVC et fortement serré, elle eut du mal à le lui retirer.
Elle reconnu immédiatement le visage de sa fille en pleur qui lui fit des signes de tête. La mère, voulant l’aider, essaya de la détacher avec ses mains en commençant par les chevilles. Malheureusement pour elles, la mère n'y parvint pas. De plus, le tape était trop serré et le nœud de son bâillon était trop petit. Elle remarqua que le tissus qui lui bloquait la voix était épais du menton jusqu’en dessous du nez contrairement à la partie qui recouvrait justement ce dernier jusqu’en dessous des yeux.
Sur un ton de reproche, Sonia entendit les premières paroles de la mère.
- Mais qu'as tu fais ma pauvre Ada ? Qui t'a mis cette idée en tête ?! Je vais essayer de trouver quelque chose pour te délivrer.
Ce fut au tour des prisonnières d’être stupéfaites. Que pensait-elle pour demander une telle chose ? Elle ne voyait pas qu’elles avaient besoin d’aide ?!
Ne comprenant pas, Sonia et Ada voulurent l'interpeller. Surtout Ada mais sa mère se releva et se dirigea vers la table. Elle cherchait quelque chose, sûrement des ciseaux ?
Victoria fouilla sur la table et vis plusieurs feuilles de papiers. Des textes étaient écrits dessus. Il s’agissait pour la plupart de conversations messenger. D’autres, des documents word imprimés ou encore des mails. Elle mit quelques petites minutes le temps de tout lire. Elle y découvrit « beaucoup de choses » sur sa fille.
Alexis voyait de loin victoria lire le contenu de la feuille. Il y avait tout un tas de faux message qu'Ada aurait écrit à sa partenaire. Des idées de bâillons, de liens, d'éléments ... coquins. Et il était bien mis en évidence qu'elle pensait faire fi des bases élémentaires de sécurité. Sur les messages étaient clairement inscrits que sa partenaire la suivait de manière très timide .
En voici quelques extrais :
« Mais aller ! Il n’y aura aucun problème ne t’en fais pas. Ça fait longtemps que j’attends ce moment et toi aussi tu m’as avoué que tu étais attirée par une séance. Ma maison est grande, elle sera vide, on aura tout le temps nécessaire !
Oui mais … je sais pas trop Ada. Ce que tu m’as proposé au téléphone tout à l’heure m’a l’air dangereux. Tu es sûre que le tape se détendra presque « automatiquement » après quelques minutes ? Même si ça marche sur un test au niveau des chevilles, rien ne nous dit que ce sera le cas avec les couches successives. Tu ne veux vraiment pas prévoir de solution de secours ? J’ai pas envie de rester la nuit ligotée contre toi.»
Un autre message affichait ceci :
« C’est bon avec ce que tu as acheté Ada et avec ce que j’ai de mon côté, on sera équipée au maximum. Je ne savais pas que tu aimais les bâillons boules petite coquine. On rajoutera autre chose dessus […] et je te laisse le choix de mon bâillon. Je sais que ça te fera plaisir … Heureusement que Thibaut ne sait rien de tout ça !;) »
Une fois que Victoria finit de lire la totalité des messages, elle regarda longuement sa fille et son amie d’un air clairement mécontent. Enfin, elle soupira longuement sous le regard des deux prisonnières.
- Très bien jeunes femmes. Je suis un peu déçue et pas très contente en prime. Pour la peine, vous allez comprendre une chose ...
D’un pas déterminé, Victoria reprit le bandeau de sa fille et le remis sur ses yeux en le serrant aussi fortement qu’Alexis quelques temps auparavant. Il s’était même resserré au grand dam d’Ada.
- Je vais faire comme si je n'avais absolument rien vu de tout ceci. Comme c’est ton souhait, je vais te laisser comme ça toi et ta copine. Après tout, j'imagine que vous avez tout prévue jeune femme je me trompe ? Même les règles élémentaires de sécurité ? affirma t- elle d'un d’un ton sec.
Sa pauvre fille ne comprenait rien. Pourquoi sa mère était si en colère contre elle ? Complètement déboussolée par sa perte de vue, elle voulut demander de l’aide à sa mère.
-GMMMMMRMRMR!!!!!
-Ne crie pas sur moi Ada ! Je te l’interdis ! Ton père et moi allons avoir une discussion à ce sujet. Je ne sais pas si tu t’en rends compte, mais tout ceci peut être terriblement dangereux pour toi comme pour elle ! Finit-elle en montrant du doigt Sonia qui comme Ada, ne comprenait rien au discours de Victoria. Son courroux lui paraissait complètement irréel.
D’ailleurs, Victoria regarda Sonia avec un regard encore plus sombre que sa fille. Elle affirma :
-Et vous, j'imagine que vous l'avez pas aidée à la dissuader ma chère Sonia ?
En entendant son nom sortir de la bouche de Victoria, Sonia fit les gros yeux. Comment pouvait-elle la connaître ? Une seule solution : Alexis …
- Bien que ce ne soit pas vous la principale investigatrice, vous auriez pu faire preuve de plus de jugeote ! Elle se déplaça rapidement et arriva près d’elle.
Victoria, depuis qu’elle était entrée, avait remarqué que le bandeau de cette jeune fille n’était pas correctement ajusté. Et pour une raison simple ! Le bandeau a mal été mis à la base. Il était long certes, mais deux tours pour bien aveugler la rousse s’avérer nécessaire avant de serrer le nœud à fond.
- D’ailleurs Sonia, pourquoi voyez-vous et pas ma fille ? Je vais régler ça de suite.
En bref, elle réajusta le bandeau sur les yeux verts de la rousse et comme si c’était de sa faute entière, elle serra au plus fort qu’elle put sous les différentes gesticulations et couinements de la pauvre étudiante.
Elle regarda aussi son ligotage en général. Il lui paraissait injuste qu’elle ait les chevilles libres ainsi que ses genoux décollés. Puis, elle vit le rouleau de ruban adhésif posé au sol.
- Et en plus vous vous êtes mal attachées mes chères filles. Si vous aimez tant que ça à être ensemble, laissez-moi remédier à cela.
Sans hésitation, elle récupéra ce rouleau et commença la punition par la première étape : enrouler les chevilles de Sonia soigneusement. 2 ème étape : immobiliser ses genoux.
-Bien Sonia est maintenant parfaite. Voyons pour toi Ada.
Après son inspection, elle empêcha sa fille de se libérer les poignets et immobilisa ces derniers une bonne fois pour toute. Étant en colère, le tape serré les membres de façon tout à fait satisfaisante.
Pour la fin, elle entoura 2 fois les cuisses des 2 jeunes femmes ce qui rajouta encore une étape dans leur mobilité réduite. Puis elle entoura leurs deux paires de cuisses ensemble avec le reste du rouleau. Elle n’avait vu à aucun moment les deux appareils …
-Comme vous semblez aimées être proches, je me suis permise de corriger votre posture pour mieux vous satisfaire. Tout en touchant Sonia de son haut talon droit entre ses omoplates, elle finit sur ces paroles :
-Je vais aussi avoir une conversation avec tes parents.
La regard de la mère dériva sur le sol et vit un petit appareil. Elle ne savait pas trop de quoi il s'agissait mais décida quand même de le prendre.
-Je vous souhaite une joyeuse soirée mesdames.
Fit-elle avec un ton toujours sombre tout ignorant superbement les hurlements étouffés des deux jeunes femmes ligotées. Elle sortit de la chambre et ferma la porte.
- Elle aurait pu au moins laisser les volets ouverts …
Elle appuya sur l'interrupteur du hall d’entrée afin de l’éclairer. Clac. Rien. Elle réessaya et aucune lumière ne vint illuminer la pièce.
"Étonnamment", aucune n’apparut même après d’autres tentatives. Alexis portait des lunettes à vision nocturne. Il attendait toujours la suite. A ce qu'il comprenait, les filles étaient toujours solidement ligotées …
- Il y a une panne d’électricité ? Il va falloir appeler l’électricien demain matin si ça continue.
La jolie femme prit son portable et le mis sur le mode flashlight. Sa nouvelle source de lumière éclairait un petit peu les alentours.
Tout souriant, Alexis se félicita de l’efficacité des bâillons imposés aux filles. La mère ne les avait pas encore entendues.
Victoria se prépara à monter vers l'étage allant vérifier si tout ce passait bien. Parfois, Ada travaillait jusqu’à très tard dans la nuit et avait du mal à se réveiller le lendemain. Avec la panne, peut-être qu’elle s’était couchée ?
Alexis décida de la suivre discrètement sans se faire entendre. Sonia quant à elle, essayait toujours de se libérer .
De son côté, Ada réussit à se calmer. L’œuf vibrant avait peut-être moins de batterie. Elle retenta de défaire le tape entourant ses poignets. Elle le sentait, elle y arriverait au bout d’un moment nom de dieu !
Parallèlement, Victoria avançait pas à pas à l’étage.
Avec beaucoup de soulagement, Sonia entendit un déchirement au niveau du tape entourant ses chevilles. Elle put gigoter un peu plus. Encore un peu et elle pourrait les décoller parfaitement. Cependant, ses genoux étaient toujours aussi bien emprisonnés. Elle ne le savait pas mais Ada, arrivait de mieux en mieux à se déloger les poignets. Encore un peu de patience ...
Pendant ce temps, Victoria se trouvait devant la porte de la chambre de sa chère fille. Elle l'ouvrit … pour n’y apercevoir personne.
- Elle n'est pas là !?
Voulant détourner l'attention de la mère, Alexis fit du bruit dans le couloir et disparut tout aussi vite
Sonia quant à elle réessaya à nouveau d'enlever le bandeau d'Ada. Il fallait qu’elles arrivent à se voir toutes les deux !
Victoria entendit du bruit et se retourna pour ne rien apercevoir. Était-ce le vent ou juste le plancher qui craquait ? Cela arrivait souvent.
De son coté, Ada gémissait de plus belle : l’œuf entre ses jambes lui refit de l’effet. Sous la gêne, elle se tortilla une nouvelle fois, empêchant Sonia de retirer son bandeau.
Sonia, voyant qu'Ada pensait à autre chose, voulut séparer ses genoux un maximum pour détendre le tape. Elle gémit sous l'effort et sous les vibrations qui étaient toujours présentes. Elle ne savait pas depuis combien de temps elles étaient attachées et elle n'aimait pas ça !
-GMMMM.
Ada ne réussissait pas à penser clairement. Le bourdonnement l'empêchait de rester calme. La faisant se tortiller sans cesse.
L’autre prisonnière voulut changer un peu la donne. Actuellement à la gauche de sa camarade, elle se bascula sur son ventre pour la faire bouger de place. Mais lors du changement de côté, Ada se cogna contre du mobilier assez lourdement.
-GMMM!!!
Ada gémit de douleur lors de l'impact de son corps contre la table.
Juste à quelques mètres de là, la mère avait vaguement entendu quelque chose. Mais, avant de se retourner, elle vit du coin de l’œil une feuille accrochée sur la porte de sa fille mais de l’intérieur. Intriguée, elle avança pour regarder de plus près. Elle la décrocha et la lit.
Alexis se souvint de la fausse capture d'écran qu’il avait imprimée.
Le message disait :
« Je ne sais pas trop Ada. Je n'ai jamais tenté ce genre de chose auparavant. Es-tu certaines que c'est sans risque ? Et que penseraient tes parents s'ils nous surprenait ?
Je te renvoi la liste souhaitée avec tes modifications. Je te conseille de la conserver et à ce qu'elle soit visible lorsque tu prépareras la séance (de nombreux matériaux de bondage apparaissaient dans une liste à puce) ».
Victoria, interloquée, relis le message plusieurs fois.
« Qu'est ce que c’est que ça !? Ma chère fille ne peut pas vouloir de ce genre de chose. Ce n’est pas son genre se dit-elle ».
Dans sa détresse, la femme avait totalement oubliée le bruit entendu quelques instants auparavant. Elle commença à composer le numéro de sa fille … Bien entendu, ça ne marcha pas par manque de réseau.
Dans sa lutte, Sonia arrivait petit à petit à détendre le tape de ses genoux, devenue toute rouge sous l'effort.
Ada réussit à se remettre du choc avec l'armoire. Mais à peine remise, l’œuf dans son entrejambe lui rappela sa présence.
-MMMMM!!!! STMMMM!!!!!
Gênée par Ada, la jolie rousse reprit son souffle en attendant que la "crise" passe. Elle espérait qu'elle non plus n'en n'aurait pas de nouvelles. Elle regarda partout, à la recherche de ces fameuses télécommandes.
Victoria, stressée pour sa fille, commençait à imaginer le pire des scénarios. Elle n’eut pas l’idée de regarder dans la chambre d’amis car, il était improbable qu’elle se trouve dedans. Elle n’avait rien à y faire de toute façon. Elle était sûrement partie de la maison ! Ceci ne faisait aucun doute.
La femme à la poitrine voluptueuse retourna au rez-de-chaussée. Toujours avec son portable pour avoir une source de lumière.
-Peut-être que les voisins pourront me prêter leur téléphone, ils ont sûrement du réseau !
Alexis qui entendit tout rigola intérieurement : "réveiller les voisins aussi tard dans la nuit ?"
Victoria ne perdu pas de temps et remis maladroitement ses talons hauts pour aller se rendre chez les voisins en voiture.
Alexis se dit que ce n'était pas si grave que ça. De toute manière, le portable de sa fille ne captait rien ... tandis qu'elle allait voir les voisins, il commença le début de la fin de son travail. Il récupéra encore du liquide, quelques éléments décoratifs et mis le tout dans le gros sac. Cependant, il prépara ses outils de bondage, il en aurait bientôt besoin …
Après de moult recherches, Sonia crut enfin voir ou était placé l’une des télécommandes. Elle était tombée à terre non loin d’Ada ! Elle tenta de la prévenir : "mmhmmapmmm euurr"
-Gmmmmrmr??!
Tandis qu’Ada et Sonia tentaient de communiquer, Victoria arriva chez les voisins. Bien qu'ils soient très mécontent d'être réveillés à plus de 2h00 du matin, ils laissèrent la femme utiliser leur téléphone fixe. Une vingtaine de minutes plus tard, elle n'avait aucune bonne nouvelle. Sa fille ne répondit à aucun de ses appels, son mari était sans doute encore trop occupé à faire la fête pour s'apercevoir que sa femme l’appelait. Enfin, l’agence spéciale qui gérait l’électricité lui dit que de leur côté, rien ne clochait et qu’elle devait redémarrer le tableau électrique. Ou qu’au pire, le tout devrait revenir dans la journée du lendemain. Ils pouvaient tout relancer à distance mais pas ce soir. Le personnel était en vacances.
Plutôt furieuse, elle rentra chez elle. Elle n’allait pas appeler la police et montrer les messages de sa fille tout de même !
Alexis revit la mère revenir avec une drôle de tête. Il se dit rapidement qu'il allait la laisser monter à au premier étage et surtout dans la chambre d'amis pour voir ce que sa fille "faisait de ses soirées" héhéhé.
Il avait déjà tout préparé pour la mère avec ce qui lui restait. Un beau panel de cordes, de morceaux de tissus et de foulards principalement.
Désespérée, Sonia se dit qu'elle n'arriverait jamais à aller chercher cette foutue de télécommande si Ada ne l'aidait pas. Elle tapota les chevilles de celle-ci 3 fois en essayant de dire "mmm -fff - rrrr" (pour émetteur)
-Gmmm nnr mmm!!
Ada tenta de lui avouer qu’elle ne comprenait pas ce qu’elle disait.
De son côté, Victoria remonta à l'étage d’un air décidé. Elle allait fouiller la maison de fond en comble !
Gémissant de désespoir, Sonia souffla un bon coup et essaya de se reposer tant bien que mal pour mieux se délivrer. Elle ressentit l’œuf vibrer une nouvelle fois et de rage, elle trembla. Elle en avait plus que marre ! Elle voulait que tout s’arrêêêêêêêêêêête !!!
Ada se battait toujours avec le tape de ses poignets.
Lorsque Victoria passa dans le couloir, elle entendit un bruit très léger. Curieuse, elle voulut voir de plus près. Il lui paraissait étonnant que ce bruit provenait de la chambre d’amis !
Sonia cru entendre Alexis devant la porte et elle hurla dans son bâillon ( il avait intérêt à avoir finit, elle n'en pouvait plus, c'était trop réaliste à son goût mais elle reconnaissait bien là son collègue. La blague étaient enfin finie !)
Victoria ouvrit la porte et vit un spectacle qu’elle n'aurait jamais souhaité voir de sa vie.
-Qu'est ce que ... fit-elle interloquée.
Victoria vit sa fille au sol, ligotée avec une autre jeune femme. Elles étaient collées l'une avec l’autre soutenues par du tape noir et des cordes. La jolie rousse avait l’air complètement ahurie . Victoria ne put s’empêcher de penser que cette dernière portait comme bâillon une sorte de muselière. Elle vit un point de pression au milieu de la « plaque noir ».
Complètement « abasourdie » par la surprise, Sonia se rendit compte très vite que ce n’était pas Alexis qui avait ouvert la porte mais Victoria, la mère d'Ada. Elle se tut mais ne put rester muette à cause de l'appareil posé sur son entrejambe. Elle vit Victoria, stupéfiée se diriger vers sa fille.
Victoria s’agenouilla devant Ada et s’attaqua à son bandeau. Celui-ci étant en PVC et fortement serré, elle eut du mal à le lui retirer.
Elle reconnu immédiatement le visage de sa fille en pleur qui lui fit des signes de tête. La mère, voulant l’aider, essaya de la détacher avec ses mains en commençant par les chevilles. Malheureusement pour elles, la mère n'y parvint pas. De plus, le tape était trop serré et le nœud de son bâillon était trop petit. Elle remarqua que le tissus qui lui bloquait la voix était épais du menton jusqu’en dessous du nez contrairement à la partie qui recouvrait justement ce dernier jusqu’en dessous des yeux.
Sur un ton de reproche, Sonia entendit les premières paroles de la mère.
- Mais qu'as tu fais ma pauvre Ada ? Qui t'a mis cette idée en tête ?! Je vais essayer de trouver quelque chose pour te délivrer.
Ce fut au tour des prisonnières d’être stupéfaites. Que pensait-elle pour demander une telle chose ? Elle ne voyait pas qu’elles avaient besoin d’aide ?!
Ne comprenant pas, Sonia et Ada voulurent l'interpeller. Surtout Ada mais sa mère se releva et se dirigea vers la table. Elle cherchait quelque chose, sûrement des ciseaux ?
Victoria fouilla sur la table et vis plusieurs feuilles de papiers. Des textes étaient écrits dessus. Il s’agissait pour la plupart de conversations messenger. D’autres, des documents word imprimés ou encore des mails. Elle mit quelques petites minutes le temps de tout lire. Elle y découvrit « beaucoup de choses » sur sa fille.
Alexis voyait de loin victoria lire le contenu de la feuille. Il y avait tout un tas de faux message qu'Ada aurait écrit à sa partenaire. Des idées de bâillons, de liens, d'éléments ... coquins. Et il était bien mis en évidence qu'elle pensait faire fi des bases élémentaires de sécurité. Sur les messages étaient clairement inscrits que sa partenaire la suivait de manière très timide .
En voici quelques extrais :
« Mais aller ! Il n’y aura aucun problème ne t’en fais pas. Ça fait longtemps que j’attends ce moment et toi aussi tu m’as avoué que tu étais attirée par une séance. Ma maison est grande, elle sera vide, on aura tout le temps nécessaire !
Oui mais … je sais pas trop Ada. Ce que tu m’as proposé au téléphone tout à l’heure m’a l’air dangereux. Tu es sûre que le tape se détendra presque « automatiquement » après quelques minutes ? Même si ça marche sur un test au niveau des chevilles, rien ne nous dit que ce sera le cas avec les couches successives. Tu ne veux vraiment pas prévoir de solution de secours ? J’ai pas envie de rester la nuit ligotée contre toi.»
Un autre message affichait ceci :
« C’est bon avec ce que tu as acheté Ada et avec ce que j’ai de mon côté, on sera équipée au maximum. Je ne savais pas que tu aimais les bâillons boules petite coquine. On rajoutera autre chose dessus […] et je te laisse le choix de mon bâillon. Je sais que ça te fera plaisir … Heureusement que Thibaut ne sait rien de tout ça !;) »
Une fois que Victoria finit de lire la totalité des messages, elle regarda longuement sa fille et son amie d’un air clairement mécontent. Enfin, elle soupira longuement sous le regard des deux prisonnières.
- Très bien jeunes femmes. Je suis un peu déçue et pas très contente en prime. Pour la peine, vous allez comprendre une chose ...
D’un pas déterminé, Victoria reprit le bandeau de sa fille et le remis sur ses yeux en le serrant aussi fortement qu’Alexis quelques temps auparavant. Il s’était même resserré au grand dam d’Ada.
- Je vais faire comme si je n'avais absolument rien vu de tout ceci. Comme c’est ton souhait, je vais te laisser comme ça toi et ta copine. Après tout, j'imagine que vous avez tout prévue jeune femme je me trompe ? Même les règles élémentaires de sécurité ? affirma t- elle d'un d’un ton sec.
Sa pauvre fille ne comprenait rien. Pourquoi sa mère était si en colère contre elle ? Complètement déboussolée par sa perte de vue, elle voulut demander de l’aide à sa mère.
-GMMMMMRMRMR!!!!!
-Ne crie pas sur moi Ada ! Je te l’interdis ! Ton père et moi allons avoir une discussion à ce sujet. Je ne sais pas si tu t’en rends compte, mais tout ceci peut être terriblement dangereux pour toi comme pour elle ! Finit-elle en montrant du doigt Sonia qui comme Ada, ne comprenait rien au discours de Victoria. Son courroux lui paraissait complètement irréel.
D’ailleurs, Victoria regarda Sonia avec un regard encore plus sombre que sa fille. Elle affirma :
-Et vous, j'imagine que vous l'avez pas aidée à la dissuader ma chère Sonia ?
En entendant son nom sortir de la bouche de Victoria, Sonia fit les gros yeux. Comment pouvait-elle la connaître ? Une seule solution : Alexis …
- Bien que ce ne soit pas vous la principale investigatrice, vous auriez pu faire preuve de plus de jugeote ! Elle se déplaça rapidement et arriva près d’elle.
Victoria, depuis qu’elle était entrée, avait remarqué que le bandeau de cette jeune fille n’était pas correctement ajusté. Et pour une raison simple ! Le bandeau a mal été mis à la base. Il était long certes, mais deux tours pour bien aveugler la rousse s’avérer nécessaire avant de serrer le nœud à fond.
- D’ailleurs Sonia, pourquoi voyez-vous et pas ma fille ? Je vais régler ça de suite.
En bref, elle réajusta le bandeau sur les yeux verts de la rousse et comme si c’était de sa faute entière, elle serra au plus fort qu’elle put sous les différentes gesticulations et couinements de la pauvre étudiante.
Elle regarda aussi son ligotage en général. Il lui paraissait injuste qu’elle ait les chevilles libres ainsi que ses genoux décollés. Puis, elle vit le rouleau de ruban adhésif posé au sol.
- Et en plus vous vous êtes mal attachées mes chères filles. Si vous aimez tant que ça à être ensemble, laissez-moi remédier à cela.
Sans hésitation, elle récupéra ce rouleau et commença la punition par la première étape : enrouler les chevilles de Sonia soigneusement. 2 ème étape : immobiliser ses genoux.
-Bien Sonia est maintenant parfaite. Voyons pour toi Ada.
Après son inspection, elle empêcha sa fille de se libérer les poignets et immobilisa ces derniers une bonne fois pour toute. Étant en colère, le tape serré les membres de façon tout à fait satisfaisante.
Pour la fin, elle entoura 2 fois les cuisses des 2 jeunes femmes ce qui rajouta encore une étape dans leur mobilité réduite. Puis elle entoura leurs deux paires de cuisses ensemble avec le reste du rouleau. Elle n’avait vu à aucun moment les deux appareils …
-Comme vous semblez aimées être proches, je me suis permise de corriger votre posture pour mieux vous satisfaire. Tout en touchant Sonia de son haut talon droit entre ses omoplates, elle finit sur ces paroles :
-Je vais aussi avoir une conversation avec tes parents.
La regard de la mère dériva sur le sol et vit un petit appareil. Elle ne savait pas trop de quoi il s'agissait mais décida quand même de le prendre.
-Je vous souhaite une joyeuse soirée mesdames.
Fit-elle avec un ton toujours sombre tout ignorant superbement les hurlements étouffés des deux jeunes femmes ligotées. Elle sortit de la chambre et ferma la porte.
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Mad Hatter
- JdL, c'est ma vie
- Messages : 2044
- Inscription : 19 juil. 2013, 17:25
- Ce que j'adore : Le jeu d'acteur, les bandes dessinées, les nouvelles, les ballades en vélo, l'histoire
- Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
- Localisation : Partout et nulle part à la fois.
Re: RP : Moimoi2 - Snaikurumi. Cambriolage chez les Arnistal
https://rule34.xxx/index.php?page=post& ... id=3603724Cet Alexis est un sacré malin, un as de la prédiction en un mot un virtuose.
http://www.hentai-foundry.com/pictures/ ... 85060/BaitDe l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham
les synonymes de fou sont intéressants
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham
les synonymes de fou sont intéressants
-
Azazel
- Nouveau(elle)
- Messages : 12
- Inscription : 20 janv. 2021, 14:09
- Ce que j'adore : Ligoter et être ligoté, et j'ai un énorme faible pour les baillons de toute sorte.
Re: RP : Moimoi2 - Snaikurumi. Cambriolage chez les Arnistal
Vite une suite svp 
-
Mad Hatter
- JdL, c'est ma vie
- Messages : 2044
- Inscription : 19 juil. 2013, 17:25
- Ce que j'adore : Le jeu d'acteur, les bandes dessinées, les nouvelles, les ballades en vélo, l'histoire
- Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
- Localisation : Partout et nulle part à la fois.
Re: RP : Moimoi2 - Snaikurumi. Cambriolage chez les Arnistal
Beaucoup d'enthousiasme, mais une présentation s'impose au registre.
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham
les synonymes de fou sont intéressants
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham
les synonymes de fou sont intéressants
Re: RP : Moimoi2 - Snaikurumi. Cambriolage chez les Arnistal
Effectivement, ça fait toujours plaisir de voir des réponses sur les différentes histoires mais il faut se présenter dans le registre en premier lieu 
La suite arrivera un jour, j'ai pas finis de réécrire le Rp ^^
La suite arrivera un jour, j'ai pas finis de réécrire le Rp ^^
Re:Histoire de ligotage - Cambriolage chez les Arnistal (Rp)
Voilà la fin ^^
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- Mphmmm !!! Sonia, lança un gémissement colérique lorsque Victoria lui re-bloqua la vue. Mais pourquoi ?!! Elle ne comprenait pas. Quelques secondes passèrent et soudain, une poigne ferme lui relia ses chevilles et ses genoux par le tape. Elle se débattit mais rien à faire.
Sous une totale incompréhension, elle supplia la mère d'arrêter. Le plus dur se passa lorsqu'elle serra ses cuisses, les vibrations se firent ressentir plus intensément encore.
Qu'avait fait Alexis ! Elle espérait que ses parents ne seraient jamais avertis !
-MMMMMMM MMMMM!!!! De son coté Ada tenta d'avertir sa mère que ce n’était pas un jeu et qu’un voleur rôdait dans la maison. Toutes ses supplications furent inutiles. Elle essaya jusqu’au bout, même lorsque ses poignets furent correctement réagencés par quelques tours de ce maudit scotch noir !
Sonia, durant ce « deuxième ligotage », essaya quant à elle d’attirer l’attention de la mère. Ne voyant rien, elle ne put que crier de son mieux autour d’elle sa frustration !
Pendant que les deux jeunes femmes se débattaient tant bien que mal, Victoria s’était installée dans le salon, assise sur le sofa. La lumière de son portable était toujours allumée pour faire office de source d ‘éclairage. Elle se massa les tempes.
-Rah là là, je vous jure les jeunes d’aujourd’hui n’ont plus aucun contrôle. Je ne sais pas comment le dire à son père !
Sur ces derniers mots, elle se mis à inspecter le petit appareil qu'elle avait ramassé.
- Hummm fit-elle songeuse, à quoi sert-il ?
Pour essayer elle appuya sur le bouton ''off'' de l'appareil.
Sonia, toujours en train de se débattre du pétrin dans lequel la mère les avait fourrées, gémissait toujours autant à cause de l’œuf entre ses jambes. Le pire était que sa situation avait nettement empirée. La mère avait mis une réelle force lorsqu'elle l'avait rattachée ! Que lui avait-elle pris à cette folle ? Intérieurement, elle insultait copieusement Alexis.
Ada, dans ses tentatives d’évasion, sentit que l'objet dans son entrejambe s'arrêta net. Sous la surprise et le soulagement, elle ne put retenir un petit couinement étouffé.
-Hmmm?
Au rez-de-chaussée, Victoria attendit quelques secondes mais rien ne se passa. Elle appuya sur le bouton ''on'' puis sans savoir le supplice qu’elle allait infliger à sa fille, elle appuya sur tous les bouton.
Ada ne savait pas ce qui se passait mais, sa source de tous ses maux si situant dans son entrejambe, redémarra … et repartit de plus belle ! Elle le remarqua vite, il alternait la cadence de façon erratique. C’était pire que ttouutttt !!
-NMMMMMMMM!!! PLMMMMmm!!!! STMMMMMPPPP!!!!!!!!!!!!!!
Surprise par le soudain changement chez Ada, Sonia ne put que subir avec elle son tourment. Elle respirait mal et elle avait l'impression d'être secouée dans tous les sens. Est-ce qu'Ada paniquait ? Sonia devait se l'avouer, elle était tombée dans un piège et elle aussi ne tarderait pas à craquer vu sa situation .
Ada, en pleine détresse, espérait que sa mère l'entende !
Mais du côté de cette dernière, Victoria avait finalement arrêté de tester l'appareil. Le laissant sur ''on'' avec le chiffre 2 allumé.
- Bon que vas-tu faire Victoria ? Il va bien falloir que interroger cette fille pour que je puisse contacter ses parents … après leur punition bien-sûr !
Alexis, souriait à pleine dents. Il s'était caché à l'extérieur de la villa et entendait tout du sort que subissaient son ancienne camarade et Ada. Il avait caché des micros dans les autres pièces principales de la demeure. Il attendait patiemment le bon moment. Il était satisfait. Il fera en sorte que Victoria croit jusqu'au bout à la version du jeu. Pour mieux y arriver, il avait remis plusieurs objets à leur juste place. Il était rare qu'il s'amusait autant au travail !
Victoria poussa un profond soupir et se coucha sur le canapé.
-Un peu de sommeil me fera un grand bien se dit-elle à elle-même, avant de fermer les yeux.
Entendant les paroles de la mère, Alexis sut que le moment était presque arrivé. Pour le moment elle était juste couchée sur le canapé ce qui voulait dire qu'elle n'était pas sagement allongée dans son lit. Il prépara la seringue …
Après dix minutes, victoria s’endormit enfin. Ce qui signifiait que les deux jeunes femmes à l'étage ne devaient pas espérer d'aide de si tôt.
Ne sachant si elle était réellement endormie, Alexis décida d'inspecter. Il rentra délicatement par une fenêtre qu'il avait préalablement entrouverte un peu plus tôt. Elle se situait à 1 mètre de hauteur, ce fut un jeu d'enfant. Il entendait encore dans son oreillette les filles qui cherchaient toujours une échappatoire . Il avança très len te ment
Victoria dormait, sa respiration lente faisait monter sa poitrine de haut en bas.
Il la vit bien rapidement. Il décida de passer à l'action. Tout d'abord, il vérifia que la piqûre était prête. Il approcha la seringue du coup de la mère et rapidement, il injecta l'anxiolytique. Il attendit que la réaction chimique atteigne son cerveau dans son sommeil. Il le savait, il lui faudrait cinq minutes environ pour qu’elle soit « prête ».
Une fois sûr que c'était bon, il décida de préparer ses outils. Il prit le soin de les mettre à portée de mains. Il commença tout d'abord par lui ligoter ses chevilles tout doucement. Il ne serra pas tout de suite. Il fit de même avec les poignets en les ramenant à l'avant de son ventre.
Les cordes rugueuses étaient en place sur les poignets et chevilles, Alexis n’avait qu'à les serrer pour restreindre les mouvements de la femme aux cheveux blonds.
Il était presque prêt. Enfin il se décida, il serra d'un coup sec le nœud aux poignets. Les voilà maintenant bien serrés ! Il se dépêcha de faire de même pour les chevilles .Les liens montaient même à mi-mollets pour être précis. Il voyait qu'elle commençai à gigoter, il décida de la bâillonner . Qu'allait-il choisir ?
Ce qui restait à Alexis en terme de bâillons se composaient de différents tissus et foulards de différentes couleurs.
Haussant les épaules, il noua en boule un tissus noir qu'il enfonça de manière adéquate dans la bouche de sa victime. Ensuite, il noua fortement un foulard rouge autour plusieurs fois pour bien le recouvrir. Voyant qu'elle commençait à vraiment se réveiller, il la retourna à plat ventre sur le canapé. Il prit le long restant de cordes du lien des poignets pour le passer à son entrejambe. Ensuite il fit le tour de sa hanche et serra fortement .
-gmmm.......mmmm
Victoria se réveilla lentement. Son esprit brumeux, elle tenta de se souvenir de ce qui c’était passé. Elle tenta de se lever… sans y arriver !!!!??
Victoria constata rapidement la raison pour laquelle elle ne pouvait bouger ou même se mouvoir : ELLE ÉTAIT LIGOTÉE !
Enfin, la mère commençait à comprendre !
- Bonsoir madame, je vous ai vu entrer tout à l'heure. Comme vous aviez laissé la porte ouverte, je me suis permis de m'inviter chez vous (c’était faux mais qu'importe). J'ai inspecté la maison et vu que votre fille et son amie aiment être relativement proche . J'ai lu toutes leurs conversations. Mais ne vous inquiétez pas, vous ne vous souviendrez de rien demain matin de notre rencontre. Par contre, vous pouvez remercier votre fille. Grâce à elle, j'ai trouvé tout ce qu'il fallait pour vous ligoter. C’est une coquine, elle a une sacrée collection !
-mm?! MMMMM!!!? LMMMM MMM GMMM!!!!!!!!!!!!!
Victoria tenta de se débattre, mais la drogue faisait toujours effet et le peu de fois ou elle réussissait à rassembler le peu de force pour bouger, ceci ne faisait que serrer la corde à soin entrejambe. Elle se calma rapidement.
- Très bien, très bien. Je vais faire un petit tour maintenant si vous me le permettez. Restez bien sage !
Il partit vaquer à ses occupations. La drogue l’empâtait toujours mais ceci ne durerait pas bien longtemps. Il rassembla tous les objets qu'il avait replacé dans le sac. Ensuite, il continua en volant des petites décorations en cristal. Ça ne valait pas 10 000 euros, mais c'était toujours ça de gagné.
Victoria lui cria dessus mais ceci ne fit que l'épuiser d'avantage avec ces cordes n’étaient pas prêtes de s'enlever de sitôt.
De loin, Alexis sentit que la mère reprenait ses esprits mais dommage pour elle, elle ne pouvait parler. Se rendait-elle compte de son bâillon ? Il sifflota pour la provoquer.
Cette dernière jura intérieurement sur les tissus qui lui recouvraient ses lèvres. En plus, par rapport à ce qu’elle comprenait, par la faute de sa fille.
Alexis, en repensant aux deux prisonnières se demanda intérieurement : "que deviennent-elles" ?
La situation des 2 filles ne s’était pas améliorer d’un iota. La mère les avait condamnées.
Ada mit toute son énergie à gigoter sans cesse sans aucune amélioration notable. Ada commençait à pleurer, tout ce qu’elle voulait c'était une soirée à étudier pour ces examens.
Sonia quant à elle avait compris ce qu'elle ne souhaitait pas comprendre plus tôt. Elle s'est faite avoir en beauté. Elle n'a était qu'un appât pour mieux servir les intérêts de "son groupe". Elle ne se contrôlait que peu et des larmes coulaient le long de ses yeux. Ce satané bandeau était tellement serré ! Elle décida tout de même d'essayer de se déplacer. Elle plia les genoux en essayant d'attirer les jambes d'Ada par la même occasion. Elle couina trois fois pour attirer l'attention de l'autre fille.
Peut-être qu'Ada comprenait la réaction de sa mère ?
Mais Ada n'écoutait plus, elle était maintenant dans son propre monde, monde ou elle restait prisonnière et personne pour la sauver, elle éclata en sanglot.
Ada perdait pieds. Sonia, en colère contre Alexis (s'il s’appelait vraiment Alexis) voulut reprendre les choses en mains. Elle prit une inspiration et d'une impulsion se retrouva sur le ventre d'Ada. Elle ne pourrait pas l'ignorer !
Que faisait sa mère bon sang ?!
Ada sentit le corps de Sonia maintenant sur elle.
-hmmm?
Tenta-t-elle de demander entre 2 sanglots.
-Mphmmm , Mppphmm fit cette dernière en tirant un maximum sur ses chevilles pour encourager Ada à les bouger aussi. A deux, elles pouvaient se déplacer petit à petit pour se retrouver devant le sommier. Son œuf vibrant battait de moins en moins. C'était le moment idéal pour détendre le tape à deux. Même si elles devaient rester plusieurs heures dans cet état, elles finiraient bien par y arriver ! Elle se doutait qu'Alexis avait du neutraliser Victoria d'une manière ou d'une autre. Même si elle ne comprenait toujours pas sa réaction. Maudit Alexis !
Son dernier gémissement était plus un essai pour se donner du courage à elle même. Ada bougea tout comme Sonia ses chevilles espérant pouvoir enfin faire quelque chose.
Enfin, Sonia sentait qu'Ada suivait son mouvement ! Elle se replaça à côté d'elle d'un mouvement de hanche. Elle recommença sa démarche. Elle se gaina, tendit ses jambes le plus possible et avec un mouvement de balancier en prenant appui sur ses chevilles, elle bougea de quelques cm vers le « bas ».
Ada sentit ce que tentait de faire Sonia et suivit le mouvement. Malgré elle, elle suait sous l’effort.
Enfin encouragées, Sonia et Ada commencèrent leur manœuvre. Elles espéraient tout de même que Victoria les aideraient.
L’espérance des filles était loin d'être entendu. Victoria était toujours sur le canapé à se débattre tant quelle pouvait dans ses propres liens.
-Mpphmmm !!
Alexis décida d'aller la voir, il avait profité de ces 20 dernières minutes pour rafler ce qu'il pouvait. Le reste étant trop volumineux, mieux valait en rester là. Il avait aussi ramené sa voiture au plus près de la porte d'entrée. Étant électrique, elle ne faisait quasiment aucun bruit. Il retourna voir la mère et s'assit à côté d'elle l'air de rien. Il avait écarté ses jambes pour pouvoir se placer sur le canapé.
- J'espère que vous êtes bien installée ?
-FMMMM YMMMMM!!!!! Victoria lui cria après dessus lui lançant un regard noir.
Et ! c'est pas ma faute. A la base je voulais juste voir ce que ça donnait dit-t’il en tapotant les fesses de victoria. D'ailleurs j'ai l'impression que vous n'êtes pas bien comme ça je me trompe ? Attendez, je vais voir dans les affaires de votre fille ... Je reviens ! sur ces dernières paroles, il se leva et partit bel et bien vers les chambres à l’étage.
-GMMMMRMRM!!!!
Juste avant, il fit un petit tour dans le hall. Une boîte l'attendait. Une fois prise, il alla dans la chambre d'amis. Sans rien dire et sans rien faire aux filles, il s'amusa à ranger quelques outils "érotiques" de toutes sortes dans les armoires ou à terre qu'il sortait du carton. Chose drôle, une facture au nom d’Ada s'y trouvait aussi sans compter une étiquette collée sur le carton qui indiquait en toute lettre son adresse. Cette boîte "vide" ; il la mettrai dans la chambre d’Ada.
Des outils classiques, cordes, menottes, divers bâillons boules furent placés et quelques autres liens sur le lit. Tout ceci pour faire croire à ses parents qu'elle avait réellement préparer la séance avec la pauvre Sonia. En pensa à elle, il la fixa. Il ne dit rien mais se délecta de leur détresse.
Les 2 jeunes femme réussirent tant bien que mal à se mouvoir, arrivant à améliorer leur synchronisation.
Voyant leur mouvement, Alexis se dit qu'elles étaient plutôt douées. Il prit quelques photos de son smartphone en mode silencieux. Ensuite, il prit le blouson de Sonia et récupéra les micros et autres outils électroniques cachés dedans. Tout ceci était précieux ! Les filles avaient remarqué sa présence mais il ne dit rien
Ada avait envie de crier sur la personne qui était rentrée mais elle se dit que cela ne servirait a rien alors elle s'occupait plutôt de continuer sur son moyen d’évasion.
Sonia aussi avait entendu ou cru entendre quelqu'un mais elle, cria de rage. Dommage qu'elle ne voyait rien ! La personne (elle devina que c'était Alexis) se plaça près d'elle et lui caressa son bas du dos ainsi que ses fesses. De rage elle essaya de donner un coup mais ce fut inutile à part embêter Ada.
-gmmm!!
Ada sentit un mouvement brusque de Sonia qui l’empêcha de continuer.
Alexis, releva la jupe de Sonia et descendit légèrement ses collants noir. Il reprit son invention du mieux qu'il put, ce tape qui lié leur cuisse était emmerdant ! Il remplaça son œuf par un œuf plus classique, acheté sur un certain site (surtout, le produit apparaissait sur la facture). Il remit en place la tenue de Sonia et fit de même avec Ada.
-mmmm!!! Ada rougit en sentant le cambrioleur descendre ses collants et retirer l'objet vibrant pour en remettre un autre ! Ceci ne finirait donc jamais ??!
L’homme récupéra son émetteur personnel. Pour les deux autres plus classiques, il actionna les œufs et cala bien comme il faut les télécommandes dans les paumes des deux filles. Auparavant, il les avait entouré d'une ficelle qu'il avait reliée à leurs chevilles respectives ...
Il leur expliqua la suite :
- Si vous continuez d'appuyer, le vibro s'arrêtera mais si vous le lâchez, il se ré actionnera ... à vous de faire attention !
Ada grogna, il allait être plus compliqué de bouger si elle devait garder ce truc dans sa main tout en maintenant la pression !
Sonia quant à elle ne put s'empêcher de gigoter pour attirer l'attention d'Alexis, elle ne fit pas attention à la tension de la fine cordelette et elle entendit la télécommande glissée loin d'elle et hors de portée. Tout de suite, les vibrations reprirent pour son plus grand malheur
- mmphmmmmmmmmm !!!!!!
Sonia gigota tellement qu’elle gêna Ada lui faisant presque tomber la télécommande des mains.
Sur ce dernier geste, Alexis chatouilla Ada entre ses côtes et sur la plante de ses pieds. Mais elle réussissait à tenir !
-gmmm stmmmmm!!!!
Ada gigota tout en gardant une main ferme sur la télécommande...il faisait exprès!!
Voyant qu'elle ne lâcherait rien, il arrêta.
- Sur ce mesdemoiselles , je vais vous laisser, je fus ravi de vous connaître. J'espère que vous vous souviendrez longtemps de moi et il leur donna à chacune une petite fessée. Est-ce qu'Ada lâcherait prise ?
Il partit ensuite de la chambre en emportant une corde pour ... victoria
Ada gémit de surprise, mais réussit a garder la télécommande dans sa main.
Alexis alla retrouver Victoria. Elle s'était levée de son canapé et essayait de sautiller mais dans le noir complet, il était difficile de garder le sens de l'orientation, surtout dans sa position !
A chaque saut que faisait Victoria, ces seins rebondissaient, pouvant presque faire penser qu’ils sortiraient de sa robe.
-gmmmm!!!!!
Alexis la reprit rapidement, la porta sur peu de distance et la lança dans le canapé. Avec sa corde, il relia les chevilles au bassin de Victoria dans une sorte de hogtied.
- Vous n'êtes plus de première jeunesse ma brave dame mais vous êtes encore souple haha !
Victoria cria dans son bâillon et tenta de se débattre, mais rien ne marchait pour se sortir de la.
- Je passe un appel et je reviens vers vous dit-il. Il lui imposa des boules quies pour être sûr qu'elle n'entende rien. Il sortit de la pièce et appela son patron.
-GRMMMM!!!!
Après avoir perdu la parole, voila maintenant quelle n’entendait plus rien......elle aura une large discussion avec sa fille quand elle sortira ce pétrin.
- Oui monsieur c'est Alexis. Tout est ok, je pense qu'on en aura pour environ 60 000 euros. Des bijoux principalement. Oui, Sonia a été neutralisée comme prévu. La mission est bouclée. Je reviens voir la mère. [...] Bien-sûr monsieur je comprends.
A bientôt.
Il revint vers elle comme prévu. Il lui retira les boules quies. "Êtes-vous prêtes" ? dit il en préparant quelque chose …
Victoria continua à lui crier dessus sans arrêt avec colère.
Cette fois, il lui fit respirer un dédoction. Il lui plaqua un tissu imbibé de sa toxine et attendit patiemment. Il savait qu'au bout de 10-15 secondes, elle serait « prête ».
Victoria tenta de dégager sa tête mais sans succès, puis son corps devint lourd, sans pour autant perdre conscience.
Vu comment elle réagissait, il savait qu'il avait atteint son objectif. Il la délivra totalement de ses liens, bâillons compris. Ensuite, il prit sa petite pendule et commença à l'hypnotiser.
Il voulait tester ses compétences qu'il avait acquises récemment. Pas sûr que ça marcherait à 100 % mais il voulait absolument tester son « nouveau jouet ! »
-Écoutez le son de ma voix
-o...oui. Victoria répondit faiblement n’ayant plus toutes ses capacités mentales.
Votre fille a prévu une séance bondagesque avec l'une de ses amies. Vous les avez surprises en pleine séance et pour leur faire comprendre votre mécontentement, vous leur avez donné une bonne leçon.
Victoria répéta la phrase faiblement
-Ma fille a prévu une séance bondagesque avec une amie. Je l'ai surprise donc j'ai décidé de les punir..…
- Vous vous êtes allongée de fatigue et vous avez besoin d'avoir une discussion avec elle et son amie. D'ailleurs toutes les preuves se trouvent dans les chambres.
Mais un cambrioleur en a profité pour entrer juste avant que vous vous endormiez et il vous a droguée pour vous endormir. Vous vous réveillerez sous peu avec un mal de crâne. Il vous a attaqué à cause de la négligence de votre fille et de son amie qui sont toujours solidement ligotées.
Victoria répéta tout le discours d’Alexis comme un robot.
- Vous ne devrez pas contacter les parents de Sonia, il ne faut pas que d’autres personnes soient au courant pour votre fille. L'enquête sera conclue rapidement et vous ferez tout pour que ceci n’apparaisse pas dans les journaux.
- Et vous vous endormez.
Victoria répéta s’endormit, son corps étendu dans le canapé.
Sonia essayait de se libérer. Elle sentait un très léger avancement mais elle en aurait pour longtemps encore !
Et dire qu’Alexis partait vers une direction inconnue.
Ada se débattait comme sonia et avait toujours la télécommande dans la paume de sa main.
-gmmmm!!!!
Alexis, qui ne s’appelait pas Alexis d’ailleurs retira la peau de PVC qui recouvrait son visage ainsi que ses lentilles. Il avait couvert sa face depuis le début de sa "relation" avec Sonia pour son "test d'entrée". Mais bien-sûr, c'était un piège bien ficelé. Sans ce « masque », il ne pourrait être recherché !
Sans plus de cérémonie, il actionna le moteur et partit pour de bon. La mère se réveillerait bientôt et il voulait être loin.
15 minutes s'écoulèrent et Victoria se réveilla en baillant. Elle se rappelait de ce qui c'était passé avec sa fille mais le reste était encore flou.
Un mal de crâne lui vrilla les tempes. D’un coup, elle se souvint vaguement d’avoir été droguée. Elle dormait lorsque qu’un homme ou une femme lui avait mis un affreux tissus sur ses voies respiratoires.
Une fois levée, elle chercha un doliprane, un grand verre d’eau avala le médicament. Ensuite, elle fit le tour de la maison et remarqua que l’électricité était revenu. Elle repéra aussi ce que le cambrioleur avait volé. Elle était énervée car de la faute de sa fille, ce dernier a eu le champ libre à 300 %. Heureusement pour le couple, ils possédaient une bonne assurance et avaient encore de quoi faire. Il n’avait pris qu’une petite partie de leurs biens et pas les plus chers ...
Après ça, elle fouilla les chambres une par une. Trouvant par la même occasion les preuves concernant les deux jeunes demoiselles. Elle les rassembla dans le carton pour leur montrer.
Elle se dirigea ensuite vers la pièce ou se trouvaient les filles. Elle ouvrit la porte.
-Je suis revenue mesdames. Et je suis très énervée ! Fit-elle en les enjambant et en plaçant son paquet sur le matelas.
Sonia, supplia Victoria de la libérer. Elle n’en pouvait plus !
- Mmpphmmmmmmmmmmm !!
-Silence jeune femme et tu vas bien sagement m'écouter dit Victoria d'une voix autoritaire.
- Mphmmm ? fit cette dernière vraiment inquiète.
- Après un petit somme j'ai les idées un peu floues. Mais je sais très bien comment régler votre compte à toutes les deux. Sachez qu’un cambrioleur en a profité pour venir et nous a dérobé plusieurs pièces de valeurs. Il a eu le temps de me droguer et comme vous étiez ligotées, il a eu le temps de repérer les lieux bien avant ma venue. Vous n’avez pas été très intelligentes mais bon, j’imagine que je dois être rassurée qu’il ne vous ai pas fait de mal.
-J’aimerais vous montrer quelque chose ... Jusqu’à ce que vous ayez compris, vous serez en position de bon...bondo.....pref votre ''activité''.
En retournant vers elles, Victoria défit les bandeaux des deux jeunes filles. Ensuite, elles les tourna sur le sol pour faire en sorte qu’elles soient juste devant le lit lorsque l’on entre directement dans la chambre.
Ignorant leurs pleurs, elle reprit la boîte sur le matelas et le montra à Ada. Étonnée, celle-ci voulut répliquer mais était toujours bâillonnée.
- Et oui Ada, j’ai retrouvé ta dernière commande. Il y a même une facture à ton nom, comme c’est étrange ! J’ai vérifié entre temps, ce site internet existe bel et bien. Et j’ai tout un tas d’objet ... Elle souffla longuement.
- Ma foi, je ne peux critiquer votre activité. On est comme on est après tout, ça je ne pourrai pas te l’interdire même si je suis contre. Mais tout de même ! Vous vous êtes mises dans une situation regrettables mes chères filles. Imaginez ce qui aurait pu se passer si le cambrioleur n’avait pas eu juste des vues sur la maison ! Il aurait pu vous enlever. Pensez-y la prochaine fois.
Elle leur montra par la même occasion tous les faux documents qu’avait préparé Alexis. Complètement ahuries, Ada et Sonia ne pouvaient rien faire. Surtout Sonia, elle n’allait pas avouer qu’à la base, elle devait les cambrioler. Elle était piégée ! Maudit Alexis !
La voyant, Victoria la regarda.
- Je ne dirai rien à vos parents mademoiselle car je veux vous voir moi-même de face à face. Comme vous l’avez écrit dans vos messages, vous restez ici pour la nuit. Il n’y aura aucun problème à ce sujet. Bien-sûr, vous appellerez vos parents pour leur dire que vous resterez ici quelques jours. J’aimerais être sûre que vous ne recommenciez pas votre activité comme vous l’avez fait cette nuit, sans aucune sécurité !
Mais dans quel monde de fou se trouvait Sonia !? Elle fit un signe de la tête pour montrer son désaccord !
-Il y n'y aura pas de non jeune femme. Vous aimez votre activité non ? Alors je vais simplement faire en sorte que vous en compreniez les risques. Je vais redescendre un petit instant le temps de contacter quelques personnes. Une fois fait, je reviendrai vous séparer et vous mettre au lit. Vous en avez besoin ! Sonia, nous avons des vêtements de rechange à ta taille je pense. Tu pourras te servir.
D’ici au déjeuner, j’aurai sûrement déjà trouver des personnes qui pourront vous expliquer quelques petites choses sur … votre loisir et mieux vous y préparer. En tout cas Ada, espérons que Thibaut n’ai pas connaissance de tout ça, il rappliquerait ici trop souvent.
Ada, rougit d’embarras. Sa mère le savait, elle avait un petit faible pour ce jeune homme et non ! Il ne devrait jamais savoir ce qui s’était passé ce soir.
Par contre, Victoria s'approcha de sa fille et lui arracha la télécommande qui traînait dans ses paumes.
-Même si j'ignore ce que sait, ceci doit bien vous permettre de vous aider non ? Et bien, je vous le confisque.
Victoria sortit de la chambre, sous les cris de détresse de sa fille alors que son vibrateur se remis à fonctionner. Ada avait peur des prochains jours. Comment convaincre sa mère que tout ça n’était qu’une ruse ? Que tous ces documents étaient faux ?
Comment Sonia allait avertir ses parents ? et pourquoi devait-elle encore subir tout ça ! En pleurs et désorientée, elle gémit longuement.
Ada subissait le tourment des vibrations. La force de se battre n’avait pas totalement disparu. Elle arriverait peut-être à convaincre sa mère un peu plus tard, en tout cas, elle avait dit qu’elle revenait vite !
Sonia sentit qu'elle n'arriverait à rien. Elle s’allongea du mieux qu'elle put en espérant que tout se termine rapidement. Elle avait mal partout !
Victoria descendit dans le salon et ralluma les lumières. Satisfaite, elle se dirigea dans la cuisine et se prépara une tasse de thé. Elle réfléchissait à ce qu’elle pourrait faire de sa fille et de son amie. Elle ne voulait pas leur faire mal juste leur faire peur.
Elle prit une gorgée de sa tasse de thé et appela un ami qui pourrait l’aider. Ensuite, elle se vengerait de cet enfoiré qui l’avait droguée. Elle mettrait tous les moyens en sa possession pour le lui faire regretté cette intrusion. ²
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- Mphmmm !!! Sonia, lança un gémissement colérique lorsque Victoria lui re-bloqua la vue. Mais pourquoi ?!! Elle ne comprenait pas. Quelques secondes passèrent et soudain, une poigne ferme lui relia ses chevilles et ses genoux par le tape. Elle se débattit mais rien à faire.
Sous une totale incompréhension, elle supplia la mère d'arrêter. Le plus dur se passa lorsqu'elle serra ses cuisses, les vibrations se firent ressentir plus intensément encore.
Qu'avait fait Alexis ! Elle espérait que ses parents ne seraient jamais avertis !
-MMMMMMM MMMMM!!!! De son coté Ada tenta d'avertir sa mère que ce n’était pas un jeu et qu’un voleur rôdait dans la maison. Toutes ses supplications furent inutiles. Elle essaya jusqu’au bout, même lorsque ses poignets furent correctement réagencés par quelques tours de ce maudit scotch noir !
Sonia, durant ce « deuxième ligotage », essaya quant à elle d’attirer l’attention de la mère. Ne voyant rien, elle ne put que crier de son mieux autour d’elle sa frustration !
Pendant que les deux jeunes femmes se débattaient tant bien que mal, Victoria s’était installée dans le salon, assise sur le sofa. La lumière de son portable était toujours allumée pour faire office de source d ‘éclairage. Elle se massa les tempes.
-Rah là là, je vous jure les jeunes d’aujourd’hui n’ont plus aucun contrôle. Je ne sais pas comment le dire à son père !
Sur ces derniers mots, elle se mis à inspecter le petit appareil qu'elle avait ramassé.
- Hummm fit-elle songeuse, à quoi sert-il ?
Pour essayer elle appuya sur le bouton ''off'' de l'appareil.
Sonia, toujours en train de se débattre du pétrin dans lequel la mère les avait fourrées, gémissait toujours autant à cause de l’œuf entre ses jambes. Le pire était que sa situation avait nettement empirée. La mère avait mis une réelle force lorsqu'elle l'avait rattachée ! Que lui avait-elle pris à cette folle ? Intérieurement, elle insultait copieusement Alexis.
Ada, dans ses tentatives d’évasion, sentit que l'objet dans son entrejambe s'arrêta net. Sous la surprise et le soulagement, elle ne put retenir un petit couinement étouffé.
-Hmmm?
Au rez-de-chaussée, Victoria attendit quelques secondes mais rien ne se passa. Elle appuya sur le bouton ''on'' puis sans savoir le supplice qu’elle allait infliger à sa fille, elle appuya sur tous les bouton.
Ada ne savait pas ce qui se passait mais, sa source de tous ses maux si situant dans son entrejambe, redémarra … et repartit de plus belle ! Elle le remarqua vite, il alternait la cadence de façon erratique. C’était pire que ttouutttt !!
-NMMMMMMMM!!! PLMMMMmm!!!! STMMMMMPPPP!!!!!!!!!!!!!!
Surprise par le soudain changement chez Ada, Sonia ne put que subir avec elle son tourment. Elle respirait mal et elle avait l'impression d'être secouée dans tous les sens. Est-ce qu'Ada paniquait ? Sonia devait se l'avouer, elle était tombée dans un piège et elle aussi ne tarderait pas à craquer vu sa situation .
Ada, en pleine détresse, espérait que sa mère l'entende !
Mais du côté de cette dernière, Victoria avait finalement arrêté de tester l'appareil. Le laissant sur ''on'' avec le chiffre 2 allumé.
- Bon que vas-tu faire Victoria ? Il va bien falloir que interroger cette fille pour que je puisse contacter ses parents … après leur punition bien-sûr !
Alexis, souriait à pleine dents. Il s'était caché à l'extérieur de la villa et entendait tout du sort que subissaient son ancienne camarade et Ada. Il avait caché des micros dans les autres pièces principales de la demeure. Il attendait patiemment le bon moment. Il était satisfait. Il fera en sorte que Victoria croit jusqu'au bout à la version du jeu. Pour mieux y arriver, il avait remis plusieurs objets à leur juste place. Il était rare qu'il s'amusait autant au travail !
Victoria poussa un profond soupir et se coucha sur le canapé.
-Un peu de sommeil me fera un grand bien se dit-elle à elle-même, avant de fermer les yeux.
Entendant les paroles de la mère, Alexis sut que le moment était presque arrivé. Pour le moment elle était juste couchée sur le canapé ce qui voulait dire qu'elle n'était pas sagement allongée dans son lit. Il prépara la seringue …
Après dix minutes, victoria s’endormit enfin. Ce qui signifiait que les deux jeunes femmes à l'étage ne devaient pas espérer d'aide de si tôt.
Ne sachant si elle était réellement endormie, Alexis décida d'inspecter. Il rentra délicatement par une fenêtre qu'il avait préalablement entrouverte un peu plus tôt. Elle se situait à 1 mètre de hauteur, ce fut un jeu d'enfant. Il entendait encore dans son oreillette les filles qui cherchaient toujours une échappatoire . Il avança très len te ment
Victoria dormait, sa respiration lente faisait monter sa poitrine de haut en bas.
Il la vit bien rapidement. Il décida de passer à l'action. Tout d'abord, il vérifia que la piqûre était prête. Il approcha la seringue du coup de la mère et rapidement, il injecta l'anxiolytique. Il attendit que la réaction chimique atteigne son cerveau dans son sommeil. Il le savait, il lui faudrait cinq minutes environ pour qu’elle soit « prête ».
Une fois sûr que c'était bon, il décida de préparer ses outils. Il prit le soin de les mettre à portée de mains. Il commença tout d'abord par lui ligoter ses chevilles tout doucement. Il ne serra pas tout de suite. Il fit de même avec les poignets en les ramenant à l'avant de son ventre.
Les cordes rugueuses étaient en place sur les poignets et chevilles, Alexis n’avait qu'à les serrer pour restreindre les mouvements de la femme aux cheveux blonds.
Il était presque prêt. Enfin il se décida, il serra d'un coup sec le nœud aux poignets. Les voilà maintenant bien serrés ! Il se dépêcha de faire de même pour les chevilles .Les liens montaient même à mi-mollets pour être précis. Il voyait qu'elle commençai à gigoter, il décida de la bâillonner . Qu'allait-il choisir ?
Ce qui restait à Alexis en terme de bâillons se composaient de différents tissus et foulards de différentes couleurs.
Haussant les épaules, il noua en boule un tissus noir qu'il enfonça de manière adéquate dans la bouche de sa victime. Ensuite, il noua fortement un foulard rouge autour plusieurs fois pour bien le recouvrir. Voyant qu'elle commençait à vraiment se réveiller, il la retourna à plat ventre sur le canapé. Il prit le long restant de cordes du lien des poignets pour le passer à son entrejambe. Ensuite il fit le tour de sa hanche et serra fortement .
-gmmm.......mmmm
Victoria se réveilla lentement. Son esprit brumeux, elle tenta de se souvenir de ce qui c’était passé. Elle tenta de se lever… sans y arriver !!!!??
Victoria constata rapidement la raison pour laquelle elle ne pouvait bouger ou même se mouvoir : ELLE ÉTAIT LIGOTÉE !
Enfin, la mère commençait à comprendre !
- Bonsoir madame, je vous ai vu entrer tout à l'heure. Comme vous aviez laissé la porte ouverte, je me suis permis de m'inviter chez vous (c’était faux mais qu'importe). J'ai inspecté la maison et vu que votre fille et son amie aiment être relativement proche . J'ai lu toutes leurs conversations. Mais ne vous inquiétez pas, vous ne vous souviendrez de rien demain matin de notre rencontre. Par contre, vous pouvez remercier votre fille. Grâce à elle, j'ai trouvé tout ce qu'il fallait pour vous ligoter. C’est une coquine, elle a une sacrée collection !
-mm?! MMMMM!!!? LMMMM MMM GMMM!!!!!!!!!!!!!
Victoria tenta de se débattre, mais la drogue faisait toujours effet et le peu de fois ou elle réussissait à rassembler le peu de force pour bouger, ceci ne faisait que serrer la corde à soin entrejambe. Elle se calma rapidement.
- Très bien, très bien. Je vais faire un petit tour maintenant si vous me le permettez. Restez bien sage !
Il partit vaquer à ses occupations. La drogue l’empâtait toujours mais ceci ne durerait pas bien longtemps. Il rassembla tous les objets qu'il avait replacé dans le sac. Ensuite, il continua en volant des petites décorations en cristal. Ça ne valait pas 10 000 euros, mais c'était toujours ça de gagné.
Victoria lui cria dessus mais ceci ne fit que l'épuiser d'avantage avec ces cordes n’étaient pas prêtes de s'enlever de sitôt.
De loin, Alexis sentit que la mère reprenait ses esprits mais dommage pour elle, elle ne pouvait parler. Se rendait-elle compte de son bâillon ? Il sifflota pour la provoquer.
Cette dernière jura intérieurement sur les tissus qui lui recouvraient ses lèvres. En plus, par rapport à ce qu’elle comprenait, par la faute de sa fille.
Alexis, en repensant aux deux prisonnières se demanda intérieurement : "que deviennent-elles" ?
La situation des 2 filles ne s’était pas améliorer d’un iota. La mère les avait condamnées.
Ada mit toute son énergie à gigoter sans cesse sans aucune amélioration notable. Ada commençait à pleurer, tout ce qu’elle voulait c'était une soirée à étudier pour ces examens.
Sonia quant à elle avait compris ce qu'elle ne souhaitait pas comprendre plus tôt. Elle s'est faite avoir en beauté. Elle n'a était qu'un appât pour mieux servir les intérêts de "son groupe". Elle ne se contrôlait que peu et des larmes coulaient le long de ses yeux. Ce satané bandeau était tellement serré ! Elle décida tout de même d'essayer de se déplacer. Elle plia les genoux en essayant d'attirer les jambes d'Ada par la même occasion. Elle couina trois fois pour attirer l'attention de l'autre fille.
Peut-être qu'Ada comprenait la réaction de sa mère ?
Mais Ada n'écoutait plus, elle était maintenant dans son propre monde, monde ou elle restait prisonnière et personne pour la sauver, elle éclata en sanglot.
Ada perdait pieds. Sonia, en colère contre Alexis (s'il s’appelait vraiment Alexis) voulut reprendre les choses en mains. Elle prit une inspiration et d'une impulsion se retrouva sur le ventre d'Ada. Elle ne pourrait pas l'ignorer !
Que faisait sa mère bon sang ?!
Ada sentit le corps de Sonia maintenant sur elle.
-hmmm?
Tenta-t-elle de demander entre 2 sanglots.
-Mphmmm , Mppphmm fit cette dernière en tirant un maximum sur ses chevilles pour encourager Ada à les bouger aussi. A deux, elles pouvaient se déplacer petit à petit pour se retrouver devant le sommier. Son œuf vibrant battait de moins en moins. C'était le moment idéal pour détendre le tape à deux. Même si elles devaient rester plusieurs heures dans cet état, elles finiraient bien par y arriver ! Elle se doutait qu'Alexis avait du neutraliser Victoria d'une manière ou d'une autre. Même si elle ne comprenait toujours pas sa réaction. Maudit Alexis !
Son dernier gémissement était plus un essai pour se donner du courage à elle même. Ada bougea tout comme Sonia ses chevilles espérant pouvoir enfin faire quelque chose.
Enfin, Sonia sentait qu'Ada suivait son mouvement ! Elle se replaça à côté d'elle d'un mouvement de hanche. Elle recommença sa démarche. Elle se gaina, tendit ses jambes le plus possible et avec un mouvement de balancier en prenant appui sur ses chevilles, elle bougea de quelques cm vers le « bas ».
Ada sentit ce que tentait de faire Sonia et suivit le mouvement. Malgré elle, elle suait sous l’effort.
Enfin encouragées, Sonia et Ada commencèrent leur manœuvre. Elles espéraient tout de même que Victoria les aideraient.
L’espérance des filles était loin d'être entendu. Victoria était toujours sur le canapé à se débattre tant quelle pouvait dans ses propres liens.
-Mpphmmm !!
Alexis décida d'aller la voir, il avait profité de ces 20 dernières minutes pour rafler ce qu'il pouvait. Le reste étant trop volumineux, mieux valait en rester là. Il avait aussi ramené sa voiture au plus près de la porte d'entrée. Étant électrique, elle ne faisait quasiment aucun bruit. Il retourna voir la mère et s'assit à côté d'elle l'air de rien. Il avait écarté ses jambes pour pouvoir se placer sur le canapé.
- J'espère que vous êtes bien installée ?
-FMMMM YMMMMM!!!!! Victoria lui cria après dessus lui lançant un regard noir.
Et ! c'est pas ma faute. A la base je voulais juste voir ce que ça donnait dit-t’il en tapotant les fesses de victoria. D'ailleurs j'ai l'impression que vous n'êtes pas bien comme ça je me trompe ? Attendez, je vais voir dans les affaires de votre fille ... Je reviens ! sur ces dernières paroles, il se leva et partit bel et bien vers les chambres à l’étage.
-GMMMMRMRM!!!!
Juste avant, il fit un petit tour dans le hall. Une boîte l'attendait. Une fois prise, il alla dans la chambre d'amis. Sans rien dire et sans rien faire aux filles, il s'amusa à ranger quelques outils "érotiques" de toutes sortes dans les armoires ou à terre qu'il sortait du carton. Chose drôle, une facture au nom d’Ada s'y trouvait aussi sans compter une étiquette collée sur le carton qui indiquait en toute lettre son adresse. Cette boîte "vide" ; il la mettrai dans la chambre d’Ada.
Des outils classiques, cordes, menottes, divers bâillons boules furent placés et quelques autres liens sur le lit. Tout ceci pour faire croire à ses parents qu'elle avait réellement préparer la séance avec la pauvre Sonia. En pensa à elle, il la fixa. Il ne dit rien mais se délecta de leur détresse.
Les 2 jeunes femme réussirent tant bien que mal à se mouvoir, arrivant à améliorer leur synchronisation.
Voyant leur mouvement, Alexis se dit qu'elles étaient plutôt douées. Il prit quelques photos de son smartphone en mode silencieux. Ensuite, il prit le blouson de Sonia et récupéra les micros et autres outils électroniques cachés dedans. Tout ceci était précieux ! Les filles avaient remarqué sa présence mais il ne dit rien
Ada avait envie de crier sur la personne qui était rentrée mais elle se dit que cela ne servirait a rien alors elle s'occupait plutôt de continuer sur son moyen d’évasion.
Sonia aussi avait entendu ou cru entendre quelqu'un mais elle, cria de rage. Dommage qu'elle ne voyait rien ! La personne (elle devina que c'était Alexis) se plaça près d'elle et lui caressa son bas du dos ainsi que ses fesses. De rage elle essaya de donner un coup mais ce fut inutile à part embêter Ada.
-gmmm!!
Ada sentit un mouvement brusque de Sonia qui l’empêcha de continuer.
Alexis, releva la jupe de Sonia et descendit légèrement ses collants noir. Il reprit son invention du mieux qu'il put, ce tape qui lié leur cuisse était emmerdant ! Il remplaça son œuf par un œuf plus classique, acheté sur un certain site (surtout, le produit apparaissait sur la facture). Il remit en place la tenue de Sonia et fit de même avec Ada.
-mmmm!!! Ada rougit en sentant le cambrioleur descendre ses collants et retirer l'objet vibrant pour en remettre un autre ! Ceci ne finirait donc jamais ??!
L’homme récupéra son émetteur personnel. Pour les deux autres plus classiques, il actionna les œufs et cala bien comme il faut les télécommandes dans les paumes des deux filles. Auparavant, il les avait entouré d'une ficelle qu'il avait reliée à leurs chevilles respectives ...
Il leur expliqua la suite :
- Si vous continuez d'appuyer, le vibro s'arrêtera mais si vous le lâchez, il se ré actionnera ... à vous de faire attention !
Ada grogna, il allait être plus compliqué de bouger si elle devait garder ce truc dans sa main tout en maintenant la pression !
Sonia quant à elle ne put s'empêcher de gigoter pour attirer l'attention d'Alexis, elle ne fit pas attention à la tension de la fine cordelette et elle entendit la télécommande glissée loin d'elle et hors de portée. Tout de suite, les vibrations reprirent pour son plus grand malheur
- mmphmmmmmmmmm !!!!!!
Sonia gigota tellement qu’elle gêna Ada lui faisant presque tomber la télécommande des mains.
Sur ce dernier geste, Alexis chatouilla Ada entre ses côtes et sur la plante de ses pieds. Mais elle réussissait à tenir !
-gmmm stmmmmm!!!!
Ada gigota tout en gardant une main ferme sur la télécommande...il faisait exprès!!
Voyant qu'elle ne lâcherait rien, il arrêta.
- Sur ce mesdemoiselles , je vais vous laisser, je fus ravi de vous connaître. J'espère que vous vous souviendrez longtemps de moi et il leur donna à chacune une petite fessée. Est-ce qu'Ada lâcherait prise ?
Il partit ensuite de la chambre en emportant une corde pour ... victoria
Ada gémit de surprise, mais réussit a garder la télécommande dans sa main.
Alexis alla retrouver Victoria. Elle s'était levée de son canapé et essayait de sautiller mais dans le noir complet, il était difficile de garder le sens de l'orientation, surtout dans sa position !
A chaque saut que faisait Victoria, ces seins rebondissaient, pouvant presque faire penser qu’ils sortiraient de sa robe.
-gmmmm!!!!!
Alexis la reprit rapidement, la porta sur peu de distance et la lança dans le canapé. Avec sa corde, il relia les chevilles au bassin de Victoria dans une sorte de hogtied.
- Vous n'êtes plus de première jeunesse ma brave dame mais vous êtes encore souple haha !
Victoria cria dans son bâillon et tenta de se débattre, mais rien ne marchait pour se sortir de la.
- Je passe un appel et je reviens vers vous dit-il. Il lui imposa des boules quies pour être sûr qu'elle n'entende rien. Il sortit de la pièce et appela son patron.
-GRMMMM!!!!
Après avoir perdu la parole, voila maintenant quelle n’entendait plus rien......elle aura une large discussion avec sa fille quand elle sortira ce pétrin.
- Oui monsieur c'est Alexis. Tout est ok, je pense qu'on en aura pour environ 60 000 euros. Des bijoux principalement. Oui, Sonia a été neutralisée comme prévu. La mission est bouclée. Je reviens voir la mère. [...] Bien-sûr monsieur je comprends.
A bientôt.
Il revint vers elle comme prévu. Il lui retira les boules quies. "Êtes-vous prêtes" ? dit il en préparant quelque chose …
Victoria continua à lui crier dessus sans arrêt avec colère.
Cette fois, il lui fit respirer un dédoction. Il lui plaqua un tissu imbibé de sa toxine et attendit patiemment. Il savait qu'au bout de 10-15 secondes, elle serait « prête ».
Victoria tenta de dégager sa tête mais sans succès, puis son corps devint lourd, sans pour autant perdre conscience.
Vu comment elle réagissait, il savait qu'il avait atteint son objectif. Il la délivra totalement de ses liens, bâillons compris. Ensuite, il prit sa petite pendule et commença à l'hypnotiser.
Il voulait tester ses compétences qu'il avait acquises récemment. Pas sûr que ça marcherait à 100 % mais il voulait absolument tester son « nouveau jouet ! »
-Écoutez le son de ma voix
-o...oui. Victoria répondit faiblement n’ayant plus toutes ses capacités mentales.
Votre fille a prévu une séance bondagesque avec l'une de ses amies. Vous les avez surprises en pleine séance et pour leur faire comprendre votre mécontentement, vous leur avez donné une bonne leçon.
Victoria répéta la phrase faiblement
-Ma fille a prévu une séance bondagesque avec une amie. Je l'ai surprise donc j'ai décidé de les punir..…
- Vous vous êtes allongée de fatigue et vous avez besoin d'avoir une discussion avec elle et son amie. D'ailleurs toutes les preuves se trouvent dans les chambres.
Mais un cambrioleur en a profité pour entrer juste avant que vous vous endormiez et il vous a droguée pour vous endormir. Vous vous réveillerez sous peu avec un mal de crâne. Il vous a attaqué à cause de la négligence de votre fille et de son amie qui sont toujours solidement ligotées.
Victoria répéta tout le discours d’Alexis comme un robot.
- Vous ne devrez pas contacter les parents de Sonia, il ne faut pas que d’autres personnes soient au courant pour votre fille. L'enquête sera conclue rapidement et vous ferez tout pour que ceci n’apparaisse pas dans les journaux.
- Et vous vous endormez.
Victoria répéta s’endormit, son corps étendu dans le canapé.
Sonia essayait de se libérer. Elle sentait un très léger avancement mais elle en aurait pour longtemps encore !
Et dire qu’Alexis partait vers une direction inconnue.
Ada se débattait comme sonia et avait toujours la télécommande dans la paume de sa main.
-gmmmm!!!!
Alexis, qui ne s’appelait pas Alexis d’ailleurs retira la peau de PVC qui recouvrait son visage ainsi que ses lentilles. Il avait couvert sa face depuis le début de sa "relation" avec Sonia pour son "test d'entrée". Mais bien-sûr, c'était un piège bien ficelé. Sans ce « masque », il ne pourrait être recherché !
Sans plus de cérémonie, il actionna le moteur et partit pour de bon. La mère se réveillerait bientôt et il voulait être loin.
15 minutes s'écoulèrent et Victoria se réveilla en baillant. Elle se rappelait de ce qui c'était passé avec sa fille mais le reste était encore flou.
Un mal de crâne lui vrilla les tempes. D’un coup, elle se souvint vaguement d’avoir été droguée. Elle dormait lorsque qu’un homme ou une femme lui avait mis un affreux tissus sur ses voies respiratoires.
Une fois levée, elle chercha un doliprane, un grand verre d’eau avala le médicament. Ensuite, elle fit le tour de la maison et remarqua que l’électricité était revenu. Elle repéra aussi ce que le cambrioleur avait volé. Elle était énervée car de la faute de sa fille, ce dernier a eu le champ libre à 300 %. Heureusement pour le couple, ils possédaient une bonne assurance et avaient encore de quoi faire. Il n’avait pris qu’une petite partie de leurs biens et pas les plus chers ...
Après ça, elle fouilla les chambres une par une. Trouvant par la même occasion les preuves concernant les deux jeunes demoiselles. Elle les rassembla dans le carton pour leur montrer.
Elle se dirigea ensuite vers la pièce ou se trouvaient les filles. Elle ouvrit la porte.
-Je suis revenue mesdames. Et je suis très énervée ! Fit-elle en les enjambant et en plaçant son paquet sur le matelas.
Sonia, supplia Victoria de la libérer. Elle n’en pouvait plus !
- Mmpphmmmmmmmmmmm !!
-Silence jeune femme et tu vas bien sagement m'écouter dit Victoria d'une voix autoritaire.
- Mphmmm ? fit cette dernière vraiment inquiète.
- Après un petit somme j'ai les idées un peu floues. Mais je sais très bien comment régler votre compte à toutes les deux. Sachez qu’un cambrioleur en a profité pour venir et nous a dérobé plusieurs pièces de valeurs. Il a eu le temps de me droguer et comme vous étiez ligotées, il a eu le temps de repérer les lieux bien avant ma venue. Vous n’avez pas été très intelligentes mais bon, j’imagine que je dois être rassurée qu’il ne vous ai pas fait de mal.
-J’aimerais vous montrer quelque chose ... Jusqu’à ce que vous ayez compris, vous serez en position de bon...bondo.....pref votre ''activité''.
En retournant vers elles, Victoria défit les bandeaux des deux jeunes filles. Ensuite, elles les tourna sur le sol pour faire en sorte qu’elles soient juste devant le lit lorsque l’on entre directement dans la chambre.
Ignorant leurs pleurs, elle reprit la boîte sur le matelas et le montra à Ada. Étonnée, celle-ci voulut répliquer mais était toujours bâillonnée.
- Et oui Ada, j’ai retrouvé ta dernière commande. Il y a même une facture à ton nom, comme c’est étrange ! J’ai vérifié entre temps, ce site internet existe bel et bien. Et j’ai tout un tas d’objet ... Elle souffla longuement.
- Ma foi, je ne peux critiquer votre activité. On est comme on est après tout, ça je ne pourrai pas te l’interdire même si je suis contre. Mais tout de même ! Vous vous êtes mises dans une situation regrettables mes chères filles. Imaginez ce qui aurait pu se passer si le cambrioleur n’avait pas eu juste des vues sur la maison ! Il aurait pu vous enlever. Pensez-y la prochaine fois.
Elle leur montra par la même occasion tous les faux documents qu’avait préparé Alexis. Complètement ahuries, Ada et Sonia ne pouvaient rien faire. Surtout Sonia, elle n’allait pas avouer qu’à la base, elle devait les cambrioler. Elle était piégée ! Maudit Alexis !
La voyant, Victoria la regarda.
- Je ne dirai rien à vos parents mademoiselle car je veux vous voir moi-même de face à face. Comme vous l’avez écrit dans vos messages, vous restez ici pour la nuit. Il n’y aura aucun problème à ce sujet. Bien-sûr, vous appellerez vos parents pour leur dire que vous resterez ici quelques jours. J’aimerais être sûre que vous ne recommenciez pas votre activité comme vous l’avez fait cette nuit, sans aucune sécurité !
Mais dans quel monde de fou se trouvait Sonia !? Elle fit un signe de la tête pour montrer son désaccord !
-Il y n'y aura pas de non jeune femme. Vous aimez votre activité non ? Alors je vais simplement faire en sorte que vous en compreniez les risques. Je vais redescendre un petit instant le temps de contacter quelques personnes. Une fois fait, je reviendrai vous séparer et vous mettre au lit. Vous en avez besoin ! Sonia, nous avons des vêtements de rechange à ta taille je pense. Tu pourras te servir.
D’ici au déjeuner, j’aurai sûrement déjà trouver des personnes qui pourront vous expliquer quelques petites choses sur … votre loisir et mieux vous y préparer. En tout cas Ada, espérons que Thibaut n’ai pas connaissance de tout ça, il rappliquerait ici trop souvent.
Ada, rougit d’embarras. Sa mère le savait, elle avait un petit faible pour ce jeune homme et non ! Il ne devrait jamais savoir ce qui s’était passé ce soir.
Par contre, Victoria s'approcha de sa fille et lui arracha la télécommande qui traînait dans ses paumes.
-Même si j'ignore ce que sait, ceci doit bien vous permettre de vous aider non ? Et bien, je vous le confisque.
Victoria sortit de la chambre, sous les cris de détresse de sa fille alors que son vibrateur se remis à fonctionner. Ada avait peur des prochains jours. Comment convaincre sa mère que tout ça n’était qu’une ruse ? Que tous ces documents étaient faux ?
Comment Sonia allait avertir ses parents ? et pourquoi devait-elle encore subir tout ça ! En pleurs et désorientée, elle gémit longuement.
Ada subissait le tourment des vibrations. La force de se battre n’avait pas totalement disparu. Elle arriverait peut-être à convaincre sa mère un peu plus tard, en tout cas, elle avait dit qu’elle revenait vite !
Sonia sentit qu'elle n'arriverait à rien. Elle s’allongea du mieux qu'elle put en espérant que tout se termine rapidement. Elle avait mal partout !
Victoria descendit dans le salon et ralluma les lumières. Satisfaite, elle se dirigea dans la cuisine et se prépara une tasse de thé. Elle réfléchissait à ce qu’elle pourrait faire de sa fille et de son amie. Elle ne voulait pas leur faire mal juste leur faire peur.
Elle prit une gorgée de sa tasse de thé et appela un ami qui pourrait l’aider. Ensuite, elle se vengerait de cet enfoiré qui l’avait droguée. Elle mettrait tous les moyens en sa possession pour le lui faire regretté cette intrusion. ²
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Mad Hatter
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- Inscription : 19 juil. 2013, 17:25
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- Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
- Localisation : Partout et nulle part à la fois.
Re: RP : Moimoi2 - Snaikurumi. Cambriolage chez les Arnistal
moimoi2 a écrit : ↑13 mars 2021, 15:41 uns rebondissaient, pouvant presque penser qu’il sortirait de sa robe.
-gmmmm!!!!!
Cette fois, il lui fit respirer un dédoction. Il lui plaqua un tissu imbibé de sa toxine et attendit patiemment. Il savait qu'au bout de 10-15 secondes, elle serait « prête ».
Victoria tenta de dégager sa tête mais sans succès, puis son corps devint lourd, sans pour autant perdre conscience.
Vu comment elle réagissait, il savait qu'il avait atteint son objectif. Il la délivra totalement de ses liens, bâillons compris. Ensuite, il prit sa petite pendule et commença à l'hypnotiser.
Il voulait tester ses compétences qu'il avait acquises récemment. Pas sûr que ça marcherait à 100 % mais il voulait absolument tester son « nouveau jouet ! »
-Écoutez le son de ma voix
-o...oui. Victoria répondit faiblement n’ayant plus toutes ses capacités mentales.
Votre fille a prévu une séance bondagesque avec l'une de ses amies. Vous les avez surprises en pleine séance et pour leur faire comprendre votre mécontentement, vous leur avez donné une bonne leçon.
Victoria répéta la phrase faiblement
-Ma fille a prévu une séance bondagesque avec une amie. Je l'ai surprise donc j'ai décidé de les punir..…
- Vous vous êtes allongée de fatigue et vous avez besoin d'avoir une discussion avec elle et son amie. D'ailleurs toutes les preuves se trouvent dans les chambres.
Mais un cambrioleur en a profité pour entrer juste avant que vous vous endormiez et il vous a droguée pour vous endormir. Vous vous réveillerez sous peu avec un mal de crâne. Il vous a attaqué à cause de la négligence de votre fille et de son amie qui sont toujours solidement ligotées.
Victoria répéta tout le discours d’Alexis comme un robot.
- Vous ne devrez pas contacter les parents de Sonia, il ne faut pas que d’autres personnes soient au courant pour votre fille. L'enquête sera conclue rapidement et vous ferez tout pour que ceci n’apparaisse pas dans les journaux.
- Et vous vous endormez.
Victoria répéta s’endormit, son corps étendu dans le canapé.
Pas mal du tout.
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham
les synonymes de fou sont intéressants
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham
les synonymes de fou sont intéressants