Rp Snaikurumiet Moimoi2 : Kidnapping de l'autre monde

[moimoi2]

Hello tout le monde, voilà une petite intro à notre RP qui fait environ 120 pages. Cette intro se passe après les évènements principaux du RP, c'est une sorte d'accroche pour l'histoire. J'espère que ça vous plaira !

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6 mois après leur "long voyage" …

Sophie, une jeune rousse de 25 printemps n’oublia jamais son « séjour » dans l'école qu'elle détestait tant. Plusieurs mois auparavant, durant une exploration d'une école abandonnée depuis plusieurs années, elle et ses 3 amis furent enlevés pour être formées de force dans un pensionnat tenu par des esprits complètement pervers. A dire vrai, elle doutait chaque jour d’avoir réellement vécu toute cette histoire dans cet "autre monde". Elle se demandait si elle n'était pas folle et qu'elle avait inventée toute cette histoire.

Sauf qu’Ellie, Stéphanie et Lucas (ses meilleurs amis) en parlèrent plusieurs lors de réunions de leur groupe après leur retour chez eux. De plus, la combinaison en simili-cuir avec laquelle elle était revenue était toujours rangée dans l’une de ses armoires, afin qu’elle soit sûre que tout ceci ai réellement existé.
Cependant, ils n’avaient jamais pu en discuté en dehors de leur cercle d’amis car dès qu’ils essayaient, une sorte de mutisme les en empêchaient et un malaise pointait le bout de on nez. C’était presque tant mieux car, personne ne pourrait les prendre pour des fous ou des mytomanes.

Depuis cet évènement troublant, elle avait mis de côté cette histoire et a trouvé un petit ami se nommant Alexandre. Ils étaient dans les débuts de leur relation amoureuse et pour l’instant, tout se passait bien. Elle était heureuse dans sa vie de jeune adulte tout juste diplomée : premier appartement seule, premier travail fin bref tout allait pour le mieux !

Mais, lors d’un soir, tandis qu’elle était seule chez elle attendant son nouveau petit-ami, elle découvrit bien vite que certaines personnes de "l’autre côté" ne l’avait pas oubliée.

Elle ne savait pas pourquoi, cette journée là l’avait éreintée plus qu’à l’accoutumée. Il faisait déjà nuit en ce début de soirée d’hiver. Sophie, munie d'un pantalon de sport et d’une brassière s’assoupit dans son canapé.
Elle ne le savait pas mais, son calvaire allait redemarré sous une autre forme ...

Toutes les lumières s’éteignirent progressivement et quelques minutes plus tard, un bruit vif la réveilla en sursaut. Elle fut étonnée de se retrouver dans le noir : elle ne se souvenait pas d’avoir tout éteint et d’avoir fermé les volets !

Maugréant pour elle même tout en se releavnt, elle actionna l’interrupteur le plus proche pour éclaircir la pièce mais celui-ci ne fonctionna pas. Interloquée elle mit la lampe torche de son téléphone et voulut changer de pièce pour accéder au tableau électrique. Surement les plombs qui avaient encore sautés.

Arrivée à la porte, cette dernière se referma aussitôt dans un grand claquement avant que Sophie n'ai pu actionner la poignée !
Un petit rire se fit entendre dans la pièce. Non, deux rires. Deux jeunes femmes. Elle fut térrifiée.

- Qui, qui êtes vous ?

Une tape sur ses fesses la fit sursauter et elle se retourna d’un coup.
-Sophie, pourquoi nous avoir quitté si tôt ? Ce n’était pas très gentil de ta part …
Ces voix, elle les reconnaissait ! Il s’agissait de deux anciennes « dominantes » de ses souvenirs. Et ils dieu savait qu'ils n'étaient pas agréables ...

-C’est, c’est impossible bégaya t'elle ! En passant ce portail, nous étions définitivement coupé de cette école !
-Ah bon ? C’est inexact.

Brusquement, deux cercles de fer s’enroulèrent autour des poignets de notre jeune adulte et ces derniers furent maintenus vers le plafond. Elle était presque sur la pointe des pieds tellement que ses bras la tiraient.

- En fait, on ne peut plus te ramener chez « nous ». Mais comme tu n’as pas totalement finit ta formation, ton esprit reste perméable à nos attaques lors de certains moments de l’année. Donc à chaque fois, on reviendra vers toi te rappellent ta traitrise.
- Au ssseeccouuurrsss !!

Les filles ricanèrent. Elles apparurent en forme fantomatique mais leurs traits étaient visible.
- Personne ne t’entendra crier ma jolie. On a pu isoler phoniquement ton appartement vois-tu. Malheureusement on manque de temps donc on doit faire vite !

Une troisième personne, tout aussi fantomatique vint derrière elle pour la ceinturer de ses bras. Vu la force et la carrure, c’était surement un homme !

De force, ses tortionnaires lui enlevèrent son pantalon et sa brassière. Elle se retrouva quasiment nue face aux 3 agresseurs.

- Dis voir Sophie, apparemment tu as gardé un souvenir ? fit-elle en montrant le catsuit.

Voyant ou elles voulaient en venir, Sophie voulut se dégager à coups de pieds mais ses coups ne rencontrèrent que du vide.

La suite se devina facilement malgré une petite touche d’originalité : une clé fut scotchée sur la plante de son pied, une pair de collant noir lui fut imposée avec des gants en nylon avant le catsuit en lui-même. A l’aide de l'homme, les filles purent le lui enfiler même difficilement sous ses cris stridents.

Sans aucune zip, la tenue lui recouvrit le corps jusqu’au haut de son cou. Elle fut simplement mais efficacement bâillonnée : un morceau de tissus lui obstrua la mâchoire suivi d’une plaque de plusieurs tours de tape noir. Ils prirent bien garde à soulever sa chevelure au niveau de sa nuque pour plus d’esthétisme et cachèrent le tape sous un beau foulard de couleur émeraude, comme ses yeux. Un bandeau noir lui bloqua la vue. Elle sentit comme un collier entourer son coup. Elle entendit également un cadenas se refermer sur le mécanisme à l’arrière. Par contre, une nouvelle fermeture éclair apparut à son entrejambe et un autre cadenas se referma dessus. Elle fut étonnée, même ici ils arrivaient à utiliser leurs facultés, elle le savait : c'était très difficile donc elle avait peu de chance de leur échapper !

En un rien de temps, elle fut saucissonnée comme il se le devait. Ses bras finirent en boxtied avec de longues sangles en cuir. Le tout formait un jolie harnais. Les noeuds étaient tous sécurisés par des cordes bien ficelées.
Pour finir, des chaussures à hauts talons se glissèrent à ses pieds. Des boucles de fer se refermèrent reliée à deux chaînes parralèlles. Un écart de 30 cm environ se fit voir entre ses deux chevilles. Sophie gémit, elle ne voulait pas revivre le même cauchemar ! Elle fut amenée au beau milieu du salon et de force, ils lui lièrent son torse sur une chaise à haut dossiers. Une boucle de corde se forma au milieu des chaines de ses chevilles et se relia aux pieds arrière de la chaise. Ce qui lui laissait que très peu de marge de manoeuvre.

Le garçon en profita de ses mains baladeuses. Satisfait des cris étouffés il caressa le visage de Sophie.

- A plus tard ma belle.

Juste après ses paroles, deux coups cinglèrent ses cuisses. La rousse gémit de douleur mais resta sur sa chaise.

- On a laissé une lettre à l’intention d’Alexandre. Je pense qu’il sera ravie de te voir ! Hahhaa

Sophie rougit d’embarras, qu’avaient-elles préparées ?

- Ne t’en fais pas, il s’occupera très bien de toi … Maintenant on doit rendre une petite visite à ta copine Stéphanie. Quant à Ellie, elle, elle en bave déjà depuis plusieurs heures. Chacun son tour ! hihihihihi .

Ils disparurent tous de la pièce. Elle se débattait dans ses liens mais rien à faire. Qu’allait-elle dire à Alexandre ?? !!! Il ne fallait pas qu’il la découvre dans cet état !! Et surtout, comment prévenir Stéphanie et Lucas ?

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Alexandre, pressé de voir Sophie fut surpris de trouver la porte d’entrée entrouverte. Intrigué il entra en s’annonçant mais n’entendit rien hormis un petit bruit. Il ferma la porte derrière lui. Il alluma la lumière, déposa son blouson et traversa le couloir pour arriver au salon.

-Soophhiiiee ! C’est mo.. ah ben merde !
Il venait de se rendre compte que Sophie, ligotée et bâillonnée dans une tenue plus que Sexy se trouvait devant lui à quelques mètres. Elle gigotait sur sa chaise sans parvenir à se faire comprendre ni à s’en sortir seule. L’excitation monta en lui en un rien de temps en remarquant tout l'attirail autour d'elle. Il la cotempla une bonne minute avant de reprendre ses esprits.

Il remarqua qu'une lettre était posée par terre juste devant lui. Il la ramassa et la lut à voix haute.

« Alexandre,

Sophie rêve depuis peu d’une relation un peu plus dynamique entre elle et toi. De nature plutôt soumise et ouverte au bondage, nous l’avons aider à la rendre désirable rien que pour toi ce soir avec son accord. Elle a eu du mal à se lancer sache le mais elle se sentait prête (je l'avoue, on a serré fort les liens vant que tu n'arrives).

Un cadenas enferme son collier et un autre la petite fermeture éclaire qui t’intéressera forcément à un moment ou un autre. A toi de les trouver, cela fait partie du jeu. Elle sait ou se trouve l’un des deux mais si tu souhaites lui parler, fais en sorte qu’elle se taise rapidement, elle est insupportable lorsqu’elle se fait ligotée même de son plein grés, on en sait quelque chose !

Amusez-vous bien petits coquins. Vous avez intérêts !

Stéphanie et Ellie »

Alexandre n’en croyait pas ses yeux. Il en avait de la chance ! Ignorant les gémissements de sa chère et tendre, il voyait bien qu'elle voulait dire quelque chose, il fit le tour de la chaise tout en caressant sa conjointe. Elle surssauta et sa respiration se fit plus rapide.

- Sophie, comme tu l'as entendu, je viens de lire la lettre. Tu aurais pu m’en parler avant ce soir mais sache que j’apprécie beaucoup cette petite surprise et la confiance que tu me témoignes. Je comprends que tu aies eu du mal à te lancer mais ne t’en fais pas, je ne serai pas brusque fit il en chatouillant les hanches de la jeune femme.
Celle-ci, reconnaissant bien Alexandre fut à la fois soulagée mais aussi pressée de s’en sortir. Il n’allait pas la laisser là tout de même ?

-PPhmmm !!?
- Je ne sais pas depuis combien de temps tu es ici exactement mais si j'en crois Stéphanie, tu es là depuis peu de temps. Tu vas donc attendre encore un peu avant de parler. En plus, Stéphanie me dit que tu dois rester bâillonnée et je suis d'accord avec elle. Si tu râles, tous les voisins vont t'entendre ! Je suis tout aussi pressé que toi de tester les jouets à côté de toi petite coquine.

Désespérée, Sophie voulait lui faire comprendre que c'était un piège mais mission impossible ! Elle le savait au fond d'elle, elle avait perdue ...

-Mpphmmmmmmmm !!! essayea sophie en faisant non de la tête.

- Je te l'ai dit, j’ai tout mon temps. Une fois que je trouverais les clés de cette petite chose on pourra s’amuser avec ce que je vois à côté de toi.
Il tâta vers sa partie la plus intime et elle sentit la fermeture éclaire. Un petit cadenas fermait le tout !

Mais lorsqu’il la caressa de nouveau sensuellement, elle ne put retenir des signes d’excitation qui confirmèrent à son petit ami qu’elle avait plus ou moins tout prévu. Elle par contre, savait de quoi exactement il en retournait elle compris à cet instant l'objectif de ses tortionnaires : bien qu’ils ne puissent plus l’enlever, ils veulent faire en sorte de la faire passer plus ou moins pour une soumise pour lui purrir la vie. Et elle aura du mal à le nier car, Stéphanie et Ellie seront dans l’obligation de témoigner en ce sens. Qu'en sera -til de Lucas ? Mystère ...

Alexandre continua de taquiner sa petite amie pendant 5 bonnes minutes. Ensuite, sans rien dire, il dénoua le bandeau pour observer les yeux verts de la rousse.

Il déposa un doigt sur ses lèvres et lui dit doucement .
- Je reviens .

Souriant sous le regard noir de Sophie, il lui remit le bandeau en le serrant bien fort malgré les mouvements rapides de la tête de sa copine.
- Depuis combien de temps tu t'adonnes à ce genre d'activité ? fit-il rieur.
Une bonne soirée s’annonçait et il allait prendre son temps.

Sophie quant à elle était assez énervée mais tout de même excitée par la suite. Elle avait confiance en Alexandre même si elle aurait souhaitée ne pas être dans cette situation de cette manière.
Depuis combien de temps ? se demanda t-elle intérieurement. Ça, c'est une longue histoire qui commença 6 mois auparavant ...

[cowboygf]

vite la suite , encore un mecs vainard

[Mad Hatter]

Il remarqua qu'une lettre était posée par terre juste devant lui. Il la ramassa et la lut à voix haute.

« Alexandre,

Sophie rêve depuis peu d’une relation un peu plus dynamique entre elle et toi. De nature plutôt soumise et ouverte au bondage, nous l’avons aider à la rendre désirable rien que pour toi ce soir avec son accord. Elle a eu du mal à se lancer sache le mais elle se sentait prête (je l'avoue, on a serré fort les liens vant que tu n'arrives).

Un cadenas enferme son collier et un autre la petite fermeture éclaire qui t’intéressera forcément à un moment ou un autre. A toi de les trouver, cela fait partie du jeu. Elle sait ou se trouve l’un des deux mais si tu souhaites lui parler, fais en sorte qu’elle se taise rapidement, elle est insupportable lorsqu’elle se fait ligotée même de son plein grés, on en sait quelque chose !

Amusez-vous bien petits coquins. Vous avez intérêts !

Stéphanie et Ellie »

Puisque c'est si gentiment demandé la suite me rend curieux.

[moimoi2]

Merci pour vos messages, ça fait plaisir
Voilà la suite ! (j'ai décidé de finir cette "mini histoire" avant de lancer le RP).

Sophie attendit Alexandre au minimum 10 minutes si ce n'était plus ? Difficile de savoir dans son état. Les liens étaient toujours serrés et elle n'arriverait pas à se sortir de là toute seule. Qu'allait faire Alexandre ?! Elle pensa à Stéphanie : que lui était-il arrivée ? Et à Ellie ?

Des questions sans réponses qui n'étaient pas les plus importantes pour le moment. Alexandre devait sûrement rechercher l'une des clés des cadenas. Un enfermait son "collier" et l'autre la zip placée … pile sur son sexe. Difficile de présenter un sous entendu aussi criant.

Ses liens étaient trop serrés ! Elle se dandinait du mieux qu'elle pouvait mais les lanières ne bougeaient pas d'un pouce. Sans compter ce bâillon qui étouffait ses cris, autant dire qu'aucun voisin ne pourrait venir l'aider et surtout, plaider en sa faveur. Il fallait qu'il lui enlève ce bâillon pour qu'elle s'explique. Mais que dirait-elle ? Que des individus venant d'ailleurs l'ont mis dans cet état ?

Sophie rageait intérieurement. Elle fut coupée brusquement dans sa velléité de délivrance.
- Tu es belles quand tu t'impatiente, tu le sais ?

"Sors moi de là ! Tu t'es assez rincé l'œil !" mais seulement des mmphmmmmm rageurs sortir de sa bouche.

- J'ai trouvé une clé au milieu du lit. Je me demande quel cadenas il ouvre ... Tu as une idée ? fit-il moqueur.
Elle fit non de la tête.
- Voyons voir ça.
Il se glissa derrière Sophie et essaya d'entrer la clé du cadenas qui retenait son "collier". Ce fut un échec.
- Dommage, ce n'est pas celle-ci !

Il défit la boucle qui retenait la chaîne de ses chevilles aux pieds arrières de la chaise. Elle eu les jambes libres.

Alexandre s'asseya sur les genoux de Sophie, ils étaient face à face. Avec sa main droite, il caressa lentement sa compagne du cou jusqu'à son bas ventre tandis que l'autre titillait caressait le sein gauche de la jeune rousse.
Ne tenant que peu, Sophie sentit que ses mamelons gonflèrent légèrement, de plus, une chaleur au bas de son ventre vint peu après. Bien qu'il ne soit pas pressé, il savait y faire l'enfoiré !
- Ah tu vois ! Je ne suis pas un rustre. Il enleva une bonne fois pour toute le cadenas et put ouvrir la zip.
- Mpphmmmmm !!!

Sophie se doutait ce qu'il allait se passer mais ne savait comment réagir : elle était excitée d'être dans cette position face à son petit ami mais à la fois furax car, ce n'était pas du tout de son fait et de Stéphanie. Et une fois cette soirée passée, il sera compliqué pour elle de convaincre Alexandre qu'elle n'était à la base, aucunement une bondagette.

Peu de temps plus tard, elle sentit les doigts d'Alexandre attoucher sa partie intime.Comme par hasard, une fente se trouvait dans le collant précédemment imposé.
Ne pensant plus à grand chose d'autre, elle gémissait mais ne sortait que des petits bruits étouffés. Sa respiration s'accéléra et on voyait clairement les lanières de cuir retenir les mouvements de la jeune femme. Le poids du garçon lui comprimait les cuisses et elle ne pouvait rien faire pour l'en dégager.

Ceci continua durant de nombreuses minutes pour Sophie. Puis, pour la frustrer, Alexandre stoppa net son action. Il attendit qu'elle reprenne une respiration normale. Cependant, elle émit des sons catégoriques pour lui signifier qu'elle aimerait être détachée. Ca, Alexandre l'avait bien compris !

Il lui dénoua lentement son bandeau. Les yeux de la rousse lui lancèrent des éclairs. Puis, il retira le foulard vert émeraude qui cachait le tape noir.

- Je vais chercher des ciseaux, à tout de suite ! dit-il en se mouvant ttrrèèss lenntteemmmennt.

De rage, elle trembla de tous ses membres sur sa chaise pour lui signifier son mécontentement en râlant un maximum. Elle tapa de ses talons le sol de l'appartement.

- Heureusement que tu es bien bâillonnée ma chérie ! Sinon, les voisins seraient déjà venus voir ce qu'il se passe pour râler ! C'est bien d'habiter au rez-de chausseée, on n'embête pas les voisins du dessous ...

Elle souffla de dépit et attendit.
Il revint tout aussi lentement. Elle le fusilla du regard. Doucement, il coupa le tape et le lui retira en faisant attention de lui faire mal le moins possible. Des petits cris de douleur se firent entendre. Alexandre lui retira le morceau de tissus qui lui bloquait sa mâchoire.
Elle toussa un peu et but par la bouteille que le garçon lui tendait.

Avant qu'elle n'ai pu pipé mot, le jeune homme lui bloqua la tête de ses mains et l'embrassa. Ceci la calma quelque peu et ils profitèrent tous les deux d'un langoureux baisé .

Dès leurs lèvres séparées, une chose se passa à laquelle Sophie ne s'attendait pas. Elle prit la parole mais ce n'était pas elle qui contrôlait ses dires ! Elle sentit comme une présence contrôlant son corps. Les satanées filles de "l'autre école" étaient encore là !

- Tu en a mis du temps ! s'entendit-t-telle prononcer d'une voix effrontée. Maintenant, détache moi de cette chaise ! Ses jambes partirent mais le coup de talons ne rencontra que du vide. Alexandre rebloqua les jambes de Sophie en s'asseyeant sur les cuisses de la prisonnières.

- Pas tout de suite. D'ailleurs, je pense que tu as des choses à me dire après cette mise en scène forte appréciable. Si jamais tu cries ou que je te retrouve malpolie, je n'hésiterai pas à te refaire taire et à te laisser là encore lonnngggtemmppss.

Elle prit sa respiration avant de "répondre".

- Ce ... nétait pas vraiment prévu. Stéphanie savait que j'avais des penchants pour ... tout ça. Pour déconner, on s'est inscrite à une soirée "bondage" l'année dernière. Plus tard, on a acheté toutes les 2 cette tenue. Suite à ça, on a un peu continué de notre côté.
Ellie de son côté m'a fait croire vouloir essayer une position ce soir et en fait, lorsque j'étais à moitié ligotée, Stéphanie est venue pour finir le travail avec Ellie. Elles m'ont mise sur la chaise un quart d'heure avant que tu n'arrives. Je n'ai pas pu faire grand chose ! D'ailleurs Ellie est en ce moment même à une de ces soirées. Tu connais la suite ... effectivement, j'ai déjà pensé à ce genre de moments avec toi.

"Mais que ce que je raconte !! Arrête !!" se disait la jeune femme. Elle n'arrivait pas à stopper ce flux de paroles insensées !" . Elle entendit un ricanement sans sa tête.

- Dis voir, tu es plutôt dominante ou ... soumise ? demanda le garçon avec calme.
- Plus du côté de la soumission fit-elle d'une petite voix. Stéphanie et Ellie l'ont vite compris. Surtout Stéphanie qui est plus devenue une dominante au fur et à mesure du temps lors de nos memes soirées. Ellie est "switch", elle varie.

"NNonnnnnnnnnnnnn ! je n'arrive pas à contrôler ce que je dis. Mais qu'est ce qui se passe ?"

- Je remercierai tes deux amies pour ce soir.
- Bon, maintenant tu peux me détacher de cette PU TAIN de chaise ??!! râla la fille en sous Alexandre.
- Très bien je te détache de ta chaise.

Ensuite, il enleva les cordes retenant Sophie au sommier de sa chaise mais laissa son harnais ainsi que les chaînes entre ses deux hauts talons.

- Et le reste ? fit la jeune fille en voyant Alexandre repartir. Il y a encore du boulot !
- Tu te déboruilles ! Tu m'as dits de te détacher de la chaise, pas de m'ouccuper du reste héhéhé.
- Et mais ce n'est pas ...
- Chut ! je ne veux pas t'entendre, sinon tu sais ce qui va se passer ma chérie fit-il d'un ton mi moqueur mi sérieux. Fais comme d'habitude et imagine que tout ça n'existe pas.
- Enfoiré ! Tu verras, lorsque j'ariverai à t'avoir, tu feras moins le fier ! fit provocatrice la "fausse Sophie".
Tandis qu'Alexandre se préparait ailleur, la jeune femme sentit que quelque chose d'invisible redressait son dos. Comme un corset ! Elle entendit une voix familière qui lui chuchotait :
- Il faut bien se présenter devant son amant ma coquine ... redresse ton dos !
Elle voulut crier de surprise mais un tout autre son sortis de sa bouche.

- Alex, qu'est ce que tu fais ?
- C'est une surprise !

Sophie n'en savait rien, mais qu'est ce qu'Alexandre lui préparait ?

[cowboygf]

superbe!! j'espère qu'Alexandre bâillonné cette petite sotte

[moimoi2]

Merci pour ton commentaire

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Après une moult insistance, Alexandre accepta de détacher Sophie pour qu'elle puisse s'étirer et surtout, aller aux toilettes. La combinaison la gênait (le collier cadenassé bloquait toujours son habit au niveau du cou) mais elle put le faire sans trop de problèmes. Evidemment, ses chevilles étaient toujours reliées par cette satanée chaîne.
L'esprit qui contrôlait son corps en profitait pour se moquer de la jeune fille. Le débat se déroulait dans sa tête.
"Allez, avoue le, tu es heureuse de faire plaisir à ton chéri ! Crois-moi, après ça, il ne va pas te lâcher ... Et surtout, tu es hyper sexy. Tu pourrais me remercier".
"Mais va te faire foutre ! Je ne t'ai rien demandé ! Pourquoi tu me laisses pas tranquille ? J'ai quitté cet endroit pour ne plus être enfermée !"
"Oui mais, tu ne nous a pas quitté par la bonne sortie, maintenant, subis en les conséquences."

Une fois de nouveau prête, l'esprit dirigea lentement Sophie vers son amant. Elle lui enlaça le torse tout en l'embrassant dans le cou :
-Alors jeune homme, déjà fatigué ? Dit-elle en le voyant bâiller.
- Oh j'ai bossé comme un dingue aujourd'hui, mais ne t'en fais pas, ce sera une soirée mémorable pour toi aussi.
- J'espère bien ... elle lui caressa les épaules et le dos.
"Je te déteste !"
Un ricanement lui répondit.
"Je sais ..."

Aussi rapide qu'un serpent, le garçon se retourna et enferma les poignets de la belle dans deux cercles de fer.
- Hummm ... vous êtes pressés jeune homme ?
Pour toute réponse il la tira par les menottes jusqu'à l'entrée de leur chambre. Il l'ouvrit.
- Tu sais, je ne vais pas me laisser faire facilement dit-elle en voyant tout l'attirail.
Un nombre important d'objets coquins les attendaient.

Elle parla un peu plus fort :
- Au secourrrrrssssss .
- Arrête tes conneries tu vas ...
- A l'aide ! continua t'elle un peu plus fort.
Comprenant son jeu, il vint derrière elle et la bâillonna de sa main. Il l'envoya sur le grand lit en une puissante poussée. Il se rejoignit à elle et réussit à la ceinturer dans le lit : elle se débattait pour de vrai !

Tout en la bloquant avec ses jambes et à étouffer plus ou moins ses cris avec sa main, il réussit à attraper un grand bâillon boule blanc. Il du tout de même forcer pour que la boule se loge correctement dans sa mâchoire. Sous ses gesticulations, Sophie sentit la sangle se refermer à l'arrière de sa nuque. Pour la peine, Alexandre lui remit le foulard émeraude sur le bas de son visage, fit 2 tours bien ajustés et serra le nœud comme il se le devait.

"Sophie" cria fort dans son bâillon, cette fois personne en dehors de son petit ami ne pouvait l'entendre. Cependant, il eu plus de mal pour l'attacher sur le lit. Se débattant réellement, il avait tout d'abord déclipsé les deux anneaux sur ses chevilles pour les séparer. Les chaussures à talons suivirent peu après. Il les attacha tout deux aux bords du lit à l'aide de sangle relié à un bracelet en cuir. Ses chevilles furent enfermés. Il dut se poser sur le torse de sa prisonnière pour la bloquer et fit de même avec ses poignets. Elle fut liée en étoile de mer.
- Tu ne me facilites pas la tâche ... mais j'aime ça !
Elle le regarda effrontément.
- Tu sais ce que je pense ? Que je n'aime pas ton regard ...
Il prit un bandeau en cuir et lui imposa.

Une dizaine de secondes plus tard, un claquement retentit : il l'avait cravacher assez fortement sur sa cuisse !
Ne s'y attendant pas, elle gémit et se trémoussa.
"Tu es entre de bonnes mains. Je te laisse maintenant, bonne nuit ! héhéhé".
Elle reprit le contrôle de son corps brusquement et des"Mpphmmm" rageurs sortirent de sa gorge. Mais ils n'étaient pas à destination de son petit ami qui sourit à pleine dent.

Il ouvrit les fentes de sa tenue et tout doucement, elle sentit un vibromasseur se coller à son entrejambe ainsi qu'un attirail de sangles entourant sa taille et ses cuisses. Ce qui faisait qu'elle ne pouvait pas s'en débarrasser ! Elle sentit évidemment les vibrations ...

- Je vais attendre que tu te tiennes tranquille avant de passer à la suite .
Un nouveau de claquement retentit et elle gémit.
"Bordel mais c'est pas vrai ! Je fais comment moi maintenant ?"

Ne restait plus qu'à attendre. Elle se dandinait bien tant que mal mais au fond, elle savait qu'elle avait perdue.

Lorsqu'elle entendit la porte de l'appartement s'ouvrir et se refermer elle eu peur.
"Il ne m'a pas laissée toute seule quand même ? Ou pire, quelqu'un d'autre vient ?" Elle cria pour avoir des réponses.
-MMPPPHMMMM !!!
Sans aucune réponse, elle fut réduite à émettre des couinements étouffés tout en subissant silencieusement les vibrations intensément excitantes diffusées par l'appareil.

Elle ne le vit pas mais elle reçut un message sur son téléphone. C'était une photo de son amie Ellie.

On la voyait au milieu d'une pièce, ligotée à 3 barre de fer posées comme un cadre au dessus d'elle. Elle était habillée d'une mini jupe noir en latex, possédait des collants noirs et de grandes bottes à lacets. Un corset enserrait son torse, ses poignets, reliées à des chaînes la tirait légèrement vers le haut. De grands gants noir habillaient ses bras.

Elle aussi passait une drôle de soirée ...

[Mad Hatter]

Oh j'aime bien cette idée de personalité qui est mise en muet, très bien trouvé.

[moimoi2]

Merci merci ^^ voilà le vrai début du RP. Comme c'est plutôt long, vous aurez la possibilité de masquer l'introduction si vous le souhaitez pour passer directement aux "choses sérieuses". Même si je ne peux que vous conseiller de tout lire.

J'ai joué Sophie et Lucas. Snaik quant à lui a joué les persos d'Ellie et de Stéphanie.

Bonne lecture !


Voyons de plus prêt ce qu’il s’était passé il y a 6 mois environ.

J'ai tellement hâte d'entrer !!!

La personne enthousiaste qui avait dit ces paroles n'était autre qu’Ellie, aventureuse et fouineuse dans l’âme. Cette jeune femme avait eu vent de certaines rumeurs sur l'école abandonnée qui se dressait devant elle. Comme quoi des choses louches s'y passaient sans explications.Cela faisait des semaines qu'Ellie et son amie préparaient cette soirée … enfin surtout Ellie. Son amie était surtout là pour montrer à quel point ces rumeurs étaient ridicules. Le vent frais du soir caressa la peau de la jeune femme, il faut dire qu’elle était légèrement vêtue. Un simple gilet noir, une jupe à carreaux rouge, munie de collant noir avec des chaussures bleu. Elle frissonna au contact du vent. Dès son amie présente, elles pourront enfin commencer leur formidable excursion.

Sophie, embêtée de sortir par une nuit pareille, rouspétait et son amie Ellie n'y était pas pour rien. La jeune rousse aux yeux verts s'était habillée pour l'occasion d'un legging de sport et de solides baskets. Sous son manteau noir et son écharpe, elle était munie d'un tee-shirt à manches longues. Celui-ci lui couvrait bien le haut de son corps et lui tenait chaud. Une fois sa voiture verrouillée, elle se dépêcha de traverser le petit sentier forestier pour rejoindre Ellie .
- Salut Ellie ! Fit cette dernière en arrivant. Et oui je suis venue. Figure-toi que Lucas nous rejoindra et peut-être même Stéphanie ! Mais ça reste à voir.

Ellie sourit largement en voyant Sophie sortir du petit chemin et lui répondit à sa salutation.
- Alors prête pour notre excursion ??! Dit-elle visiblement excitée.

Sophie se contenta de hocher la tête.

Texte caché 

Souriant à pleine dent, l’aventurière ouvrit la marche. Elle poussa la grille qui bloquait l’accès principal. Pour une raison quelconque, elle n'était pas verrouillée. Sûrement des squats ...

Une fois passé le parking délabré, elles purent entrer dans le premier bâtiment. Les 2 amies virent un carrelage qui avait pris des couleurs foncées au fil du temps ainsi qu'une panoplie de casiers en mauvais état.

Sophie sortit sa lampe torche et éclaira les lieux.

Allez, c'est parti ! On fait vite fait un tour et après on s’en va !

-Aow, me dit pas que tu veux partir vite car tu as peur? Dit Ellie en regardant Sophie avec un sourire narquois.
-Mais pas du tout, affirma cette dernière agacée. S'il n'y a rien en bas, c'est qu'il n'y a rien en haut. Et ça peut être dangereux ! Le plancher peut être pourri par le temps et personne ne sait qu’on se trouve ici.
-Oh allez, si c'était aussi dangereux tu penses pas qu’il y aurait eu plein de rubans jaunes autour de l'établissement pour empecher quiconque d'entrer ? Prononça Ellie comme si elle venait de dire la plus logique au monde.
- Roh et merde ! Visitons le tout et comme ça je serai enfin en paix avec tes conneries.

Elles ne remarquèrent rien, mais elles étaient observées … 2 silhouettes fantomatiques les suivaient de loin.

-Ou plutôt soulagée de quitter cet endroit lugubre dit Ellie en accentuant le mot lugubre comme pour lui donner un effet dramatique, elle se positionna à côté de Sophie. Leur taille était bien différente : Ellie mesurait au moins une tête de moins que son amie.
- Pffff, allez viens, quelle pièce veux-tu visiter maintenant ? Il n'y a rien ici à part des casiers vides. L'école est grande et on a tout notre temps !

Ellie mit ses doigts en dessous de son menton et regarda le plafond, comme si celui-ci allait lui donner une réponse, puis elle claqua des doigts et regarda son amie.

-Commençons par une salle au hasard. Je ne connais pas l'école, donc je pourrais pas dire quelle pièce correspond à quoi.
- Très bien, prenons à droite ! cria presque la jeune rousse.
- Pourquoi pas tout droit ? demanda Ellie.
- Les aventuriers ne vont jamais tout droit ! répliqua t'elle en riant, fière de sa petite blague
- C'est toi qui à la lampe, je te suis. Ellie suivit son amie vers une destination inconnue, enfin ce qu’une école pouvait tenter d'offrir d'inconnu.

Elles fouillèrent tout le rez-de-chaussée sans trouver quelque chose d'intéressant. Des bureaux sans intérêt, sûrement ceux du personnel. Le tout était en mauvais état. Certaines portes donnaient à l'extérieur sur de petits carrés d'herbe. Elles continuaient à fouiller lorsqu'un bruit les firent sursauter. Ça se passait à l'étage !!

-Ohoh c'est peut être ce que l'on cherchait!! fit Ellie enthousiaste et fonça droit vers l'escalier le plus proche pour accéder à l'étage.

Sophie, un peu trouillarde mais ne voulant pas le montrer marcha sur les pas d’Ellie, avait-elle le choix ?
La jeune aventurière arriva à l'étage et ne vit … rien du tout.
Puis son regard se tourna vers une porte entrouverte, elle s'y dirigea et ouvrit totalement la porte.

-Sophie, viens m'éclairer !

Elle éclaira une salle de classe vide. Une estrade avec un bureau seulement se présentaient sans la salle. Mais une chose parut bizarre à Sophie.
- Tout est propre ! Tu ne trouves pas ça bizarre ?

Elle sentit soudain une poigne sur son épaule et cria de peur. Elle jura lorsqu'elle vit Lucas et Stéphanie bien équipés souriant à pleine dent.
- Vous êtes trop cons bordel ! râla-t-elle.
- Oh ça va, on vous attendait depuis longtemps ! répondit le garçon
- Oui ! fit Stéphanie. On ne pouvait pas découvrir le reste sans vous.
Stéphanie était une jeune femme aux longs cheveux violet. Elle avait les yeux bleus, des lunettes de la même couleur ornaient son front. Elle était vêtue d'un tee-shirt à manche longue mauve et d'un jean noire.Pour finir, elle portait des chaussures vertes.

Lucas quant à lui était un jeune homme d'un mètre 85 environ, cheveux bruns foncés avec des yeux bleus également. Il était assez maigre mais sa vivacité faisait vite disparaître cette impression. Il s'était habillé d'une simple jean, de boots en cuir et de plusieurs couches de vêtements bien chaudes pour l'évènement. Un sac de sport contenait tout son attirail : lampes de poches, piles, lumière à gaz, pied de biche ...


- On découvre la suite ? fit-il enthousiaste
-Je suis pour!! fit Ellie alors qu'elle avait finit de rire aux dépens de Sophie. Stéphanie acquiesça également.
Le quatuor visita pièce après pièce, sans rien de concluant, puis Ellie eu une idée.

- Et si on se séparait en équipe de 2 ?!
- Hummm pourquoi pas, on décidera des équipes une fois cet étage entièrement visité ? Qu'en pensez-vous ? rétorqua Lucas.
Ils acquiesçèrent et continuèrent leur exploration de l'étage.
Sophie était troublée, toutes les salles étaient vides, comme si l'école avait été vidée de son contenu. Et à l'étage, le plancher n'avait pas l'air d'être abîmé par le temps. Elle en fit la remarque à Ellie.
-hmmm ptête qu'un concierge vient faire le ménage une fois de temps ou il a été remplacé? dit Ellie sachant elle même que son explication était loin d'être solide.

Lucas trouvait tout ceci intriguant. Sophie quant à elle, continua à les suivre. Un moment, ils arrivèrent à une intersection. Deux longs couloirs à droite et à gauche se présentaient ainsi qu'un escalier en colimaçon droit devant eux. Lucas, s'exclama :

- Je crois que c'est maintenant qu'on se sépare ! Avez-vous toutes votre matériel ?
Ellie et Stéphanie montrèrent leur matériel. C’était ok pour elles.
Sophie haussa les épaules. Pareil pour elle.
- Ça marche fit Lucas.

- Heureusement j'avais prévu cette situation affirma Ellie en sortant 4 bâtonnets de la poche de sa jupe.
Prenez chacun un bâton, il y a 2 couleurs qui donneront les équipes.
Stéphanie obtint un rouge ainsi que Sophie. Lucas était donc avec Ellie !
- Je propose que moi et Lucas prenons à gauche et vous à droite, ça vous va ?
Aussitôt dit, aussitôt fait.

Ellie et Lucas commencèrent à inspecter le couloir, il y avait diverses portes sur toute la longueur.

Ellie ouvrit avec énergie une porte au hasard sur sa droite.
-Ooh mais on commence à voir des choses intéressantes !

Effectivement, la salle était drôlement aménagée. Toujours une estrade et un bureau mais il y avait des poteaux installés au milieu de la pièce sur toute la hauteur. Bien-sûr, tout était propre.

Ellie s'approchait des poteaux.

-A ton avis ils servaient à quel usage ? Ça ne me semble pas bien pratique.
- Je ne sais pas, on sait ce qui était enseigné dans cette école ?
-J'ai cherché, mais je n’ai absolument rien trouvé de précis.

Ellie continua à inspecter la pièce et Lucas vit qu'il n'y avait rien d'autre.
- On continue ?
L’un des êtres qui les suivaient chuchota quelque chose à l’oreille de la camarade de Lucas : "Bienvenue la nouvelle” d’un air enjoué
Ellie tourna sur elle-même pour voir d'où venait la voix.
-Tu as entendu?
Souriant, Lucas demanda :
Entendu quoi ? Tu commences à avoir peur ? fit il malicieux
-non je t'assure j'ai vraiment entendue quelque chose.

- Moouuaiiiss fit il moqueur. On continue ?

Faisant fi de ce commentaire, la jeune fille sortit de la pièce et ouvrit une autre porte au hasard. C'était une salle comme l'autre sauf que cette fois-ci, plusieurs bureaux étaient installés en cercle. Au milieu, un autre poteau trônait comme dans l'autre pièce.
Le petit groupe fut étonné mais passa rapidement à autre chose.

Ils reprirent leur avancée dans le couloir mais aucune porte ne voulait plus se présenter à eux. Au bout d’un moment, Lucas marmonna à voix haute.

-Qui l'aurait cru, en théorie on aurait dû tomber sur d’autres pièces !


Dès qu’il prononça ces paroles, ils tombèrent sur une dernière salle.
Il s’y engouffra en ignorant les moqueries de son amie mais Ellie le suivi avec entrain.
Ils y découvrirent une salle vide. Enfin pas totalement, six crochets pendaient encore au plafond.
- Ils accrochaient peut-être de la viande ? dit Lucas pour plaisanter.
-Ça ne doit pas être dans un congélateur normalement ? répliqua Ellie.
- Si si, bien bizarre comme endroit !

“L'esprit” envoya un à Ellie. D'un coup, elle vit la pièce occupée par ses occupants. Des élèves ligotées venant de tous horizons accrochés au plafond !

Ellie recula d'un coup avant que la pièce ne redevienne vide.
-Qu'est ce que...
- Ça va ? fit Lucas. Tu es toute pâle, on dirait que tu as vu un fantôme !
-Non je vais bien, vraiment qu’un petit mal de tête. Désolé.

Dans un même temps, Lucas s'engagea dans le couloir en soutenant Ellie lorsqu'il sentit quelque chose lui caresser son cou.
Une voix féminine se fit entendre dans sa tête : " Salut beau gosse. On manque de garçons comme toi par chez nous".
Il sursauta.
-Tout va bien ? demanda Ellie en voyant Lucas sursauter.
- Oui oui, j'ai eu une baisse de tension, ça m'arrive haha.

"J'ai dû rêver" se dit-il et il oublia aussitôt ce mauvais moment.
Il se demanda ce que faisaient les deux autres filles ...

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Stéphanie et Sophie

Stéphanie inspectait le palier dans lequel elle et Sophie s'aventuraient.
Du nouveau de ton côté?

- Pas vraiment. Je ne vois pas grand-chose. Le mieux est d'avancer !
Stéphanie acquiesça et laissa Sophie prendre les devants.

Texte caché 

Sophie et Stéphanie marchèrent durant quelques temps. Sans rien voir de spécifique. Elles n’avaient toujours pas atteint le bout !
“Il est pas long ce couloir ?” se demanda Sophie. Elle proposa de faire demi tour à sa partenaire et cette dernière refusa dans un premier temps.
On arrivera bien à atteindre la fin au bout d’un moment. Attends un peu encore.
Peu de temps après cette conclusion, elles arrivèrent à un autre palier et sur leur droite, une nouvelle issue se présentait.

-Enfin ! Sophie voulut clancher la porte mais elle n'y parvint pas.
- Et merde ! maintenant qu'on est là, j'ai envie de savoir ce qu'il y a derrière
Stéphanie inspecta la porte.
-hmmm sa semble totalement stupide mais ... elle toqua à la porte. Sophie voulut rebrousser chemin en levant les yeux au ciel mais la porte s’ouvrit dans un grincement.
- Ah fit Sophie contrariée. J’ai dû l'ouvrir et avec ton poing tu as fait le reste ! fit elle, légèrement ahurie
- Allons- y ! Stéphanie ouvrit la porte. Dans le noir, elle avait du mal à voir dans quelle type de pièce elles se retrouvaient toutes les deux. Il y avait plusieurs rangées de lits tout du long.
Stephanie alluma sa lampe et inspecta la pièce.
-Ça ressemble à une infirmerie?
Effectivement, elle avait raison ! Les lits étaient agencés comme dans un "hôpital".
Stéphanie remarqua qu'il y avait des sangles accrochées aux lits. Elle se dirigea vers un bureau ou il y avait de la paperasse dispersée dessus.

- Sophie vient voir ce que j'ai trouvé !
- J'arrive ! Qu'est ce que c'est ?
On dirait des dossiers médicaux des élèves qui se trouvaient ici.

Elle en regarda un en détail. Celui d’une fille aux longs cheveux auburn, il y avait ses mensurations, sa date d'anniversaire, toutes les infos de base et des équipements pour la restreindre ??!
Stéphanie tenta de lire mais une grande partie du texte était illisible. Mais surtout : pourquoi restreindre des élèves ? Que faisaient-ils dans cette école ?


Prise des ses réflexions, les deux filles entendirent la porte se refermer dans un grand fracas
- Mais c'était quoi ça ? fit Sophie, paniquée. Elle se trouvait non loin de sa camarade et inspectait les lits.

Surement un courant d’air qui a poussé la porte !
Stéphanie continua d'inspecter le document, il y avait aussi le terme ''isolation'' sur la fiche et il était écrit 3 mois d’isolement ! Qu'est ce que ça voulait dire ?

Une voix se fit entendre dans les oreilles de Stéphanie " alors, on fouille dans les vieux dossiers ? La curiosité est un vilain défaut tu sais".
Stéphanie se tourna vers Sophie.
- Tu m’as parlé?
- Non, pourquoi ?

Elle haussa les épaules, elle avait dû rêver bien entendu. Stéphanie continua ses recherches.
Sophie remarqua que sur le fond de la pièce, une porte s'y trouvait. Elle décida d'aller voir.

Une fois devant, elle l’ouvrit. Très surprise, elle tomba sur une pièce bien différente. Un beau parquet ciré était posé sur le sol. La pièce, bien éclairée par un énorme lustre en laiton, laissait apparaître le vide de la pièce. Seul un tableau ornait le mur en face d'elle. Un tableau recouvert d'une toile blanche. "Ce n'est pas possible" se dit-elle. Elle referma la porte, la rouvrit et tomba ... sur une salle de rangement qui était plus en accord dans le style de l'infirmerie.

- Mais je deviens folle ??!
Stéphanie entendit les paroles de sa camarade.

-Tout va bien Sophie?!
- Oui oui ne t’en fais pas ! Il n’y a rien d'intéressant ici à part de vieux médicaments et des armoires !
-Moi, seulement des trucs de plus en plus bizarre au sujet de ces documents médicaux
- Ils racontent quoi de beau ?
-Et bien regarde ça, certains étaient ''prêts'' pour être transférés, d'autres en isolement pour un temps indéfini.
- Bizarre oui ! On ne serait pas dans une sorte d’ancien centre pénitencier ?
-Pas à ma connaissance, mais ça expliquerait en partie pourquoi des sangles sont accrochées aux lits de l'infirmerie. Pourquoi pas un asile psychiatrique ? Bref allons retrouver Ellie et Lucas.

Stéphanie se dirigea vers la porte d’entrée et tenta de l'ouvrir pour constater que celle-ci était belle et bien bloquée.

Sophie essaya à son tour : c'était coincé !

- Je te jure que lorsqu'on sortira de là, vous m'entendrez toi et Ellie ! dit elle en s'acharnant sur la porte
- Eh tu as accepté de venir je te rappelle.
Puis la lampe de poche que tenait Stéphanie commença à clignoter, jusqu'à s'éteindre complètement.
Comme par hasard ! souffla Sophie

Stéphanie sortit à son tour sa lampe torche et éclaira la salle. Elles entendirent de suite un bruit de pas à quelques mètres d’elles.
- Viens ! fit Sophie paniquée. Elle attira son amie et elles coururent en direction de la porte du fond.
Stéphanie vit Sophie ouvrir la porte, mais ne s'occupèrent pas de ce qui s’y trouvait à l’intérieur.
Ce fut l'erreur qui coûta cher à Stéphanie tout en particulier …
Cette fois, les armoires de rangement furent remplacées par un tout autre matériel Notamment : tout ceci ressemblait à des baillons, des cordes et surtout une camisole !
Sophie fut la plus rapide.
- Au final, la pièce d'à côté était pas mal du tout non ? Elle fit rapidement demi-tour. Sauf que la porte se referma sur Stéphanie avec qu'elle n'ai eu le temps de sortir !
- Stéphanie tu m'entends ?? !! cria Sophie en tambourinant la porte.

-SopMMMMMMM!? Avant que Stéphanie ne puisse finir sa phrase, une sorte de muselière en cuire avec un bout long en caoutchouc vint s'enfoncer dans sa bouche. De ce fait, une plaque en cuir recouvrait la moitié inférieure de son visage.
-HUMMM!?! Stéphanie fonça de panique vers la porte tout en essayant d’enlever son bâillon mais une camisole de force vint la bloquer. Comme si des mains invisibles la tenaient immobile, la camisole se referma solidement sur elle. Ses bras se croisèrent à l'intérieur et la jeune fut solidement piégée avec les sangles de la camisole, 4 en tout, ainsi qu’une dernière qui vint se placer entre ses jambes.

Puis vint des sangles noires qui vinrent lui ligoter les jambes. Une pour les cuisses, les genoux et les pieds.
Stéphanie tenta d’alerter Sophie. Malheureusement pour elle et pour une raison quelconque, elle entendit des paroles qui ne venaient pas d’elle.
-Oui je vais bien, la porte est verrouillée. Vas voir si tu ne peux pas trouver quelque chose pour crocheter la poignée fit la fausse voix de Stéphanie.
- Très bien, j'y vais ! Attends- moi ici ! Et reste calme surtout ! répondit la jeune rousse.

-HMMMRMRMRMR!!!!!!!!!!!!!

Au grand dam de Stéphanie, Sophie n’entendit pas ses cris étouffés. Celle-ci se débattit dans sa camisole, mais la sangle à son entrejambe l’empêcha d’aller bien loin dans ses velléités de délivrance. Mais que se passait-il ??!!

Sophie quant à elle courut à l'autre porte pour sortir de l'infirmerie. Étonnamment, celle-ci s'était ouverte comme par magie ! Elle la poussa d'un coup d'épaule. S'attendant à entrer dans le couloir, elle se retrouva ... dans la salle au tableau !
- Mais c'est pas possible !

Elle voulut faire demi-tour, mais un mur tapissé l'en empêchait dorénavant. Sophie se retrouvait bloquée !

Comme venue de nulle pars un gros courant d'air passa dans la salle, faisant bouger le drap blanc sur le tableau jusqu'à le faire tomber.
N'étant pas sûr de ce que voyait Sophie, elle s'approcha. Elle avait l'impression que le sujet du tableau bougeait devant elle comme si elle regardait un film ! Pourtant elle en était certaine, aucun câble électrique traînait à terre. Elle voyait une femme, au visage avenant lui sourire. Elle entendit une voix : “approche” lui disait-elle. Inquiète, Sophie avança pas à pas.
A à peine un mètre du tableau, le visage de la femme se fit plus sévère.
- Je t'attendais depuis longtemps Sophie. Nous t'attendions.

Très surprise, Sophie voulut reculer mais elle ne put le faire. Elle était figée !

- Viens à moi ! La rousse eut l'impression d'être happée par une force invisible et elle fut aspirée par le tableau. Elle perdit connaissance sur l'instant ...

[Mad Hatter]

Enfin je me connecte.

Et bien ça va être intéressant de voir l'hospitalité de ces personnes. https://www.deviantart.com/saneperson/a ... -733128699

https://aster-effect.com/2021/05/27/san ... -fangirls/


https://www.deviantart.com/dna-1/art/Al ... r-81304633

Il y a des images qui restent dans la tête.

[moimoi2]

Je suis retombé sur le RP écrit il y a longtemps et je me dis qu'il serait temps d'y mettre la suite. Mais attention c'est long, ça va venir au fur et à mesure ! ^^

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Sophie se réveilla petit à petit.

Elle retrouva progressivement la vue. La jeune femme voulut bouger mais elle en fut empêchée. Quelque chose entravait ses mouvements. Encore groggy, elle se rendit compte que des liens en cuirs écartaient ses bras vers le plafond et surtout, elle se trouvait en sous-vêtements !

Devant elle, elle pouvait voir la salle où elle se trouvait précédemment. Comme si elle était passée de l'autre côté ! Elle donna un coup de pied, mais une chose invisible et dur bloqua son mouvement. Elle tourna la tête, un lit en baldaquin y était placé. La moquette était de couleur marbre. Et le plafond, elle n'en voyait pas le bout ! Mais où se trouvait-elle ?! La femme qu'elle avait vu auparavant se matérialisa devant elle. La trentenaire était habillée en tailleur. Comme un uniforme. Cette dernière sourit :

- Bienvenue mademoiselle. Et merci de ta venue en ce lieu ... pittoresque
- Mais qui êtes-vous ?! Et qu'est ce que je fais là ?

- Tu découvriras un peu plus tard le pourquoi du comment. En attendant, tu vas bientôt faire connaissance des autres invités.
-Les autres ? demanda Sophie

La femme rit de bon cœur et disparut.

Quelque chose remonte le long de ses chevilles et les bloquèrent au sol !
Mais qu'est-ce que c’est cette merde ! des lanières en cuir lui entravaient désormais ses chevilles !
La pauvre n'était pas au bout de ses peines, elle sentait une matière ramper sur son ventre et son cou. Elle vit 2 autres personnes en uniforme venir vers elle avec des équipements. Elle fit les yeux ronds. Mais ce n’était pas tout, elle voyait désormais Lucas et Ellie en face d’elle, ils étaient dans la salle au tableau !


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Ellie et Lucas

Durant 20 bonnes minutes, Ellie et Lucas n'avaient absolument rien trouvé. Las de tourner en rond, ils décidèrent de rebrousser chemin afin de monter les escaliers. Sur le palier suivant, ils virent au bout d’un petit couloir une petite porte. N'ayant rien d’autre à faire, ils la passèrent. Une fois dans la nouvelle pièce, Lucas vit un tableau bien étrange. Il regarda plus attentivement et d’un coup, il commença à paniquer.


- C'est impossible ! s'écria t’il.

Il se rapprocha mais il avait vu juste. Il y avait une fille ligotée dans le cadre. Devant un grand lit en baldaquin. Ses poignets étaient retenus par des liens accrochés au plafond semblait-il. Mais comme s'il regardait un film, cette dernière se débattait face à ses agresseurs. L'image bougeait et il était certain de reconnaître Sophie. Cette dernière essayait d'empêcher une femme à l'âge indéfinissable et d'autres personnes de l'habiller d'un ... uniforme ?! Sophie était en sous vêtement et plusieurs personnes la forçaient à mettre sa tenue. Des collants noirs lui furent imposés, une mini jupe de même couleur. Une chemisette blanche vint compléter le tout et surtout, un corset en cuir bien serré finit de lui enserrer le torse. Ils partirent ensuite laissant Sophie seule.

Qu'est ce qui ce passe ? questionna Ellie. Elle n’avait pas encore regarder en détail le tableau.

- Regarde le tableau devant toi. Celui où l'image bouge. Tu n'as pas l'impression de reconnaître le personnage qui nous regarde ? insista-t-il.
Elie s'approcha du tableau pour mieux l’observer et ses yeux s'écartèrent en voyant le tableau.

- C'est … une blague!?
- J'ai l'air de rigoler ? Et regarde autour de toi, dans la salle entière, il y en a plusieurs dizaines !

Il disait vrai. Des jeunes femmes allant de la vingtaine à la quarantaine étaient ligotées, baillonnées dans des positions diverses et variées. Sur certains tableaux, on pouvait remarquer un minuteur. Et un en particulier indiquait plusieurs années ! C'était tout simplement irréel ! Par contre, elles n'étaient pas toutes habillées de la même manière, parfois en bonne comme Sophie, d'autres en catsuit, parfois nues ... Tout ça dans une ambiance bizarre et irréelle. Et sur d'autres il remarqua aussi des hommes ! Cet endroit lui donna la chaire de poule.

- Je ne suis pas du genre à paniquer, j'ai un esprit très terre à terre mais là je t'avoue que je commence à me poser des questions. Marmonna Lucas assez fort pour que tout le monde l'entende. Imagine que Sophie est vraiment enfermée dans le tableau. Comment fait-on pour l'en sortir ?
- J'en sais strictement rien. il doit bien y avoir un moyen.

Le jeune homme s'approcha du tableau. Il voulut le toucher de ses doigts. Mais juste avant que ses phalanges ne le frôle, un mur invisible le bloqua. Il décida alors de lui parler.
- Tu nous entends Sophie ?

Ellie resta derrière, espérant qu'il se passe quelque chose.

Sophie bougea dans tous les sens pour affirmer qu'elles les voyaient et entendaient. Mais malheureusement, eux ne l'entendaient pas.Comment tout ceci était possible ?
- Mais où est passé Stéphanie en fait ?? s’exclama Ellie.
-Je ne sais pas, elle devait être avec Sophie, mais visiblement elles ont été séparées.
- Première chose à faire : quand on ne sait pas, on fonce ! cria Lucas

Lucas prit de l'élan et fonça sur le tableau pied en avant. Il donna un énorme coup de pied mais un champ de force le fit vaciller et le repoussa de suite . Il tomba en arrière et se releva avec du mal.Il était à demi assommé.
- Au final, mieux vaut réfléchir avant de taper.

Soudain, un rire se fit entendre dans la pièce. Ellie regarda autour d'elle mais ne vit rien.

D'un coup la salle s'assombrit et ils se retrouvèrent dans un noir quasi total. Quelque chose frôla le corps d'Ellie. Elle lâcha un cri suraiguë.
Lucas, déjà fatigué par le champ de force, tomba face contre terre.. Il avait l'impression qu'un étau enserrait son crâne, il était au bord de l'évanouissement.

Parallèlement, Ellie entendit un son lourd comme si quelque chose était tombé.
-Lucas? tu es là? allez réponds-moi !
Lucas, à terre, ne répondait plus. Par contre, l'esprit se faisait de plus insistant auprès d'ellie.
- Voilà une nouvelle élève ! fit-il joyeusement.
Ellie qui avait entendu la voix regarda partout autour d'elle.
-Qui...qui êtes vous?
- Ta nouvelle professeure !

Puis soudain, elle sentit quelque chose de rugueux entourer son corps au-dessus et en-dessous de ses seins. Puis la meme matière se balada sur son haut du corps lui donnant l'incapacité de se mouver correctement
-Au se coouursssss mmmphmmmmmm !

Sa voix fut coupée net par un épais morceau de tissu enroulé dans sa bouche. Puis un autre bloqua sa nuque l'empêchant de recracher la boule de tissus. Pour finir, des cordes vinrent ligoter ses cheville et cuisses. Elle tomba à terre sous des gémissements.

Une lueur bleue apparut dans la pièce. L'esprit traîna Ellie vers elle. Elle cria sous son bâillon dans un élan de panique.
Lucas quant à lui, était dans définitivement évanoui. Lui aussi était tir vers cette étrange lueur. Ellie put voir des filles dans une lueur fantomatique qui les traînait tous les deux vers un lieu inconnu ...


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Stéphanie.

- GMMMMRMR!!! Stéphanie se débattait depuis elle ne sait combien de temps dans sa camisole de force, mais il semble que rien n'ait changé depuis.

Le bruit de fins talons claquant au sol se fit entendre : quelqu’un allait la délivrer !
-nmmm? GNMMMMM!!! La porte s'ouvrit, pour faire apparaitre une femme à blouse blanche, blonde. Ses cheveux en chignon derrière la tête lui donnaient un air strict. Elle portait des talons haut noir.
- Bienvenue mademoiselle, veuillez me suivre s'il vous plaît. Et dépêchez-vous, je n'ai pas toute la journée ! Elle claqua des doigts et les jambes de Stéphanie furent libres de bouger.

N’ayant pas le choix, Stéphanie ne su pas quoi faire mais elle suivit de son mieux la femme.

- Vous êtes bien arrivée j'espère ? fit-elle pour la conversation. Stéphanie avait du mal à la suivre, elle devait presque courir pour être près d'elle. Soudain, elle trébucha et tomba. La femme se retourna avec colère.

- Jeune femme, à peine venue, vous commencez déjà à m'agacer. Je ne le répéterai pas, levez-vous ! Une force invisible fit lever Stéphanie et une grande claque se fit entendre sur son fessier. Stéphanie gémit de peur et de douleur.
-gmmmmrnrm!!!!
- Ah oui, vous n'êtes pas encore autorisée à prendre la parole. Alors n'essayez même pas de me supplier, ça aggraverait votre cas. Passons dans le bureau de la directrice, elle saura où vous mettre en attendant que vous découvriez votre rôle principal.

Une force invisible força Stéphanie a suivre l'infirmière, alors qu'elle continuait à se débattre dans sa camisole de force. Voyant celà, la nouvelle venue s’énerva :
- Cessez de geindre ! ça ne vous mènera à rien. Essayez de paraître un peu plus digne que vous ne l'êtes réellement

Elle continua à marcher dans un dédale de couloir.
Alors que Stéphanie ne voulait plus écouter “l'infirmière”, elle sentit sa camisole de force se resserrer sur elle.
-GRMRM!?
- Et oui, lorsque l'on n'est pas sage mademoiselle, il faut s'attendre à être un peu plus restreinte. Mais je vous comprends, vous êtes nouvelles et ne vous attendiez pas à ça.

Stéphanie jeta un regard noir à la femme, puis elle s'arreta devant une porte, très luxueuse, avec des couleurs rouge et or.

La femme toqua 3 fois à la porte.
-Entrez ! fit une voix sévère.

L'infirmière ouvrit la porte. La salle était somme toute classique. Un grand bureau en chêne se trouvait devant elle, avec tout l'attirail des proviseurs : des classeurs placés sur le bureau, des outils de bureau. La directrice demanda :

- Quelle est la raison de votre venue ?
-Madame la directrice, une nouvelle élève est arrivée, je suis donc venue vous l'amener pour discuter de où elle serait placée. Dit l'infirmière en désignant Stéphanie.
- Hummmmm, combien de temps avons-nous mis pour la faire venir jusqu' ici ? demanda la directrice et prenant stéphanie du menton d'une poigne ferme, comme si elle observait une bête
- au maximum 30 minutes. Elle semble ne pas avoir été très résistante de l'autre côté, mais maintenant elle semble ne pas vouloir se laisser faire.
- En général, plus on les prend rapidement et plus elles doivent se montrer obéissantes .Son esprit est plutôt faible. J'avais pensé à une nouvelle section, madame. Voulez-vous que je vous dévoile mon projet ?

-Je vous écoute dit-elle poliment.
Pour l'instant nous avons trois catégories : les serviteurs qui doivent obéir à tous les professeurs et aux dominateurs/rices, les dominants qui se font obéir de tous mais doivent respecter les agents de l'école et les novices, qui doivent obéir à tous mais qui peuvent apprendre à se défendre et à ligoter .Nous sommes d'accord ?

- Je pensais à créer une section : les dominé(ées). Ils devront obéir à tout le monde y compris les serviteurs. Honnêtement, que pensez-vous de cette jeune femme ? dit la directrice toujours en train d'examiner stéphanie
-Et bien ça serait...intéressant je dirais, de plus elle semble un peut trop rebelle pour être une bonne servante. Je suis daccord madame la directrice.

-GMMRMRRM!!! Stéphanie avait entendu toute la conversation et ce débattait dans sa camisole.

- Très bien ! Chère élève, vous voilà une dominée. La règle est simple : vous devez obéir à n'importe qui ici tant que nous restons dans les règles. Et arrêtez de gigoter, sinon je vous assure que cette camisole ne s'enlèvera pas de sitôt ! fit-elle d'une voix sévère.

Stéphanie regarda la directrice avec un regard sévère, cette femme lui faisait peur, mais pas question de lui montrer.

-Pour le moment madame la directrice, ou seront entreposé ces dominées?
- Oh c'est très simple, nous allons replacer nos pensionnaires avec les nouveaux et nous les placerons au deuxième étage. Votre collègue a déjà tout préparé. Il a créé un nouveau dortoir rien que pour eux ! Il est rapide ce cher "Fred".

- Par contre nous avons un souci avec un certain Lucas. L'avez-vous déjà vu de l'autre côté ?
-Pas à ma connaissance, quel est le problème?
- Nous avons beaucoup de mal à le faire venir. Je ne sais pourquoi, mais son esprit est extrêmement perméable à nos attaques. Rien à voir avec cette pauvre créature, dit-elle en montrant Stéphanie du doigt. Peut-être que nous pourrons utiliser ses 3 amies comme appât si ça continue ?
-En dernier recours dans ce cas, pour l'instant je vais apporter celle-ci à son endroit désigné. l'infirmière s'inclina et sortit de la pièce avec Stéphanie.
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Sophie

Sophie n'en menait pas large, une fois que Lucas et Ellie avaient disparu de son champ de vision, les affreuses femmes l'avaient laissée dans sa tenue et toujours enchaînée au plafond. Son corset la serrait affreusement et elle avait du mal à respirer, elle ne pouvait prendre de grandes bouffées d'air. Elle entendit des bruits de pas marchant vers elle ...

-Coucou la nouvelle. Celle qui avait dit ça apparue. Une jeune femme au long cheveux roux, elle devait avoir le même âge que Sophie.
- Mais qui-êtes vous ? fit-elle en essayant de respirer au mieux. Plus elle se débattait et plus elle avait l'impression d'étouffer !
-Ta nouvelle maîtresse. Dit-elle avec un sourire. Ou du moins celle qui va te donner des ordres pour le moment.
- Quoi ? Et puis quoi enco.... le corset s'était trop fortement renfermer qu'elle en eu le souffle coupé.
-chut.
Elle posa un doigt sur ses lèvres.

-Tu est une servante, tu fait seulement ce qu'ont te dit, ce qui signifique que tu ne parles que lorsque l'on te le demande.
- Mais ce n'est pas posss hmmm ! encore une fois, son souffle fut coupé. Elle put reprendre un souffle normal après plusieurs secondes
-Haha, tu comprend pas vite hein, je te laisse quelque mots avant de faire en sorte que cette jolie bouche ne disent plus rien de cohérent.
- Ou suis-je ? Et pourquoi devrais tu me donner des ordres ? De quel droit ?! Et pourquoi je suis enchaînée !
-Pour te répondre dans l'ordre. Tu est en quelque sorte dans une sorte "d'autre monde". Je ne sais pas comment ni pourquoi mais c'est un fait. Des esprits retords et pervers l'ont créé et sont les maîtres des lieux. Le seul moyen d'en sortir est de graver les échelons pour devenir assez forte et disparaître. Mais c'est très long ... N'espère pas en sortir d'ici avant au moins quelques années.
- Années ? fit Sophie choquée.
- Oui, des années ici ne durent que quelques instants sur Terre m'a t'on dit. C'est tout ce que tu pouvais poser comme questions, maintenant regarde.


Elle sortit une malette.

-Faisons taire cette petite bouche ahaha.

Pour commencer elle sortit un morceau de tissus légèrement humide.
- Mais que vas tu faire ? fit Sophie, paniquée
La jeune femme rentra de force le bâillon dans la bouche de Sophie.
- Mpphmmmmm !!!! fit cette dernière, complètement affolée. Elle voulut recracher la chose affreuse dans sa bouche mais sa tortionnaire avait prévu quelque chose … une plaque en cuir s'écrasa sur la bouche de Sophie et des sangle s'attacha derrière sa tête, la particularité de ce bâillon est que sur la plaque apparu un plumeau.

-Te voila bien baîllonée tout en pouvant faire ton travail !
- Mpphmmm ?? Sophie essayait de se débattre mais elle était toujours encahaînée. D'ailleurs, elle était encore pieds nues
-Un problème? je suis pas sur d'avoir compris, tu articules mal. Dit-elle en sortant divers outils de sa malette.
- MMPPHMMMMM !!!! d'un coup, le corset la fit taire pour de bon, sans air, impossible d'émettre le moindre son !
-Oh ? Tu veux plus de restrictions ? Il fallait me le dire, au lieu de me poser toute ces questions.
Elle prit des chaussures en cuire, faite pour empecher de marcher librement.
-Elles te vont comme un gant !

Une fois que sa nouvelle "maîtresse" lui fit ses lacets bien gentiment. Sophie se dandina pour trouver son équilibre. Elle n'irait pas bien loin avec ces chaussures ! Comment se déplacer avec ces choses au pied ? Elle attrapera une tendinite en moins de deux !
-Et maintenant pour tes bras. Elle sortit un armbinger. Les chaînes de la jeune femme disparurent mais ce fut de courte durée. Immédiatement, la tortionnaire enfila son nouvel outil sur les bras de Sophie.

Sophie était morte de trouille, elle crut s'évanouir lorsque la jeune femme rousse lui donna son premier ordre :
-Tu doit nettoyer cette porcherie. Dit-elle d'un geste théatral et la lumière fut. La pièce ou elles se trouvaient s'éclaira et révella une salle remplie de poussière et de saletés.
- Oh j'allais oublier.
La dominante se raprocha, lui glissa quelque chose entre ses jambes et l'actionna.
-Le niveau augmenteras a chaque 30 minute. il y a 5 puissances, je te conseille d'avoir finir avant que n'arrive le 5ème car peu de personnes sont capables de rester debout. Elles s'éffondrent toutes en hurlant !

- Mpphmm !! se débattit la jeune femme. Mais ça ne servait à rien, sa "patronne" s'était subitement volatilisée. Elle ne savait pas si c'était un cauchemard ou non mais elle ressentait très bien les vibrations ! Par contre, aucune douleur dans les bras ou dans les chevilles. Bizarre ... Elle le savait très bien, il lui serait impossible de finir le tout ainsi accoutrée. Elle s'y essayea tout de même en espérant que tout ceci n'était qu'un mauvais rêve. Où étaient Ellie ? stéphanie et Lucas ? Quel était ce bordel ??!!