soubrette

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sakura

soubrette

Message par sakura »

Voici une histoire qui est une adaptation d'un rp que je fais avec un autre passionné de bondage.

Bonne lecture à tous :

Pour une énième fois, je me suis fait renvoyer de mon lycée, mais cette fois mes parents ne me laisse plus le choix, soit je me tiens tranquille à l’école, soit je me trouve un travail maintenant que j’ai 18 ans. C’était mon anniversaire il n’y a pas longtemps et je n’ai plus vraiment le choix, soit je trouve une école qui veut bien me prendre ou je me trouve un travail.
Je traine dans la rue pour passer le temps, je regarde les petites annonces que les gens laissent sur des panneaux d’affichage. Il y a de tous, cela va de la garde d’enfant, à promener le chien ou aider des jeunes à faire leurs devoirs, en passant par le nettoyage de jardin. En bas du tableau se trouve une petite annonce écrite à la main, il est écrit qu’un propriétaire d’une grande bâtisse est à la recherche d’une personne pour assurer les tâches ménagères, c’est un emploi à temps plein et en CDI. Je relève le numéro qui est écrit en tout petit à la fin de l’annonce, je le compose aussitôt sur mon téléphone portable.
Au bout de quelques bip, une personne me répond, je lui explique que je suis à la recherche d’un emploi et que cette annonce m’intéresse. Elle m’explique que Monsieur n’est pas rentré, mais que je peux prendre rendez-vous avec lui pour passer un entretien d’embauche. Il est fixé au lendemain en fin de matinée.
Je me présente donc à l’heure devant cette grande maison en pierre pour l’occasion j’ai mis ma plus belle jupe et un beau chemisier, je sonne au portail et un homme vient m’ouvrir. Je suis conduite à l’intérieur, on me demande d’attendre dans un petit salon, j’en profite pour regarder autour de moi la belle décoration. Une femme rentre :
« Monsieur va vous recevoir, veuillez me suivre. »
Je me lève aussitôt et je la suis vers un bureau, elle me fait rentrer au fond de la pièce, il y a un homme au téléphone, elle me demande de m’asseoir fasse au bureau et je m’exécute.
L’homme finit par raccrocher le téléphone :
« Désolé de vous avoir fait attendre, je me présente, je suis monsieur Grognar, je suis le propriétaire de cette maison. Vous devez être la demoiselle qui a répondu à l’annonce que j’ai mis sur le panneau hier. »
« Oui c’est bien moi. »
« Comme vous avez pu le constater, j’ai des personnes à mon service, mais j’ai encore un poste à pourvoir. Je vais donc vous posez plusieurs questions auxquels vous devrez répondre sans hésitation et avec sincérité. »
« Bien monsieur. »
« Déjà qu’elle est votre expérience professionnelle ? »
« Je n’en ai aucune, j’ai quitté le lycée sans diplôme, il y a quelques jours. »
« Et pourquoi donc avoir quitté le lycée ? »
« Je ne suis pas faite pour rester dans une classe à écouter une personne parler dans le vide. »
« Qu’est-ce qui vous a poussé à répondre à mon annonce ? »
« Le désir d’avoir mon indépendance et de partir de chez mes parents. »
Il me pose encore quelques questions sur mon âge, ce que j’ai faits avant. J’y réponds sans même réfléchir et sans avoir le temps de broder mes réponses. Il prend aussi mes mensurations, je ne comprends pas trop sur le coup mais je le laisse faire.
A la fin de l’entretien, il me fait un petit bilan :
« Bon, vous avez un profil intéressant, vous êtes jeune et dynamique. Vous n’avez pas peur de travailler et un bon argument pour accepter ce poste. Si vous êtes toujours prête à rejoindre mon service, je peux vous faire une proposition ferme avec un CDI dont les clauses ne sont pas négociables. »
Il me présente le dit contrat et je lui explique que je préfère le lire au calme chez moi pour prendre une décision. Il accepte et je suis reconduite au portail, puis je rentre chez moi. Durant l’après-midi, je me mets à mon bureau pour lire ce contrat de travail. Il est expliqué, que je serais logée sur place nourrit et blanchi, mon salaire sera de 1500 euros par mois net. J’aurais droit à un jour de repos dans la semaine et à 15 jours de congé par an. Durant mon service, je devrais porter en permanence un uniforme, mon téléphone portable me sera retiré et je ne pourrais pas mettre autres choses que les vêtements qui me seront fournis. Mon service commencera au levé de Monsieur jusqu’à ce qu’il me demande de me retirer pour la nuit. Il pourra occasionnellement faire appel à mes services la nuit et je ne devrais pas refuser. Je devrais en permanence me montrer souriante et courtoise. Il me sera demander de vouvoyer en permanence monsieur et je ne pourrais en aucun cas lui manquer de respect.
En fin d’après-midi, j’en parle à mes parents qui sont heureux de voir que j’ai enfin un travail. J’ai leur feu vert pour cet emploi. J’appelle aussitôt ce Monsieur qui va devenir mon employeur, je tombe sur femme et je lui explique qui je suis et que j’accepte ce travail. Elle me répond que je dois me présenter demain matin à 8h00 devant la grille d’entrée.
Je suis présente à l’heure, comme la veille je suis conduite dans la demeure, deux femmes sont là pour m’accueillir. Elles me demandent d’entrée de leur donner mon téléphone portable. Je l’éteints avant de le déposer dans un panier, elles me demandent aussi de retirer tous mes effets personnels et de garder le silence je ne dois prendre la parole que si j’en ai l’autorisation. Elles m’expliquent qu’ils me seront rendus très bientôt mais que le service de sécurité doit les contrôler.
Je les suis dans un couloir à l’étage, elles s’arrêtent devant une porte.
« Voici vos appartements, vous trouverez à l’intérieur de quoi ranger vos vêtements et des uniformes, que vous devez porter dès à présent. »
Je rentre dans la pièce qui me servira de chambre, sur une chaise est posée un uniforme, c’est une robe noir en soie, elle est plissée avec de la dentelle, il y a aussi un corset et un décolleté prononcé. Je me change et enfile ma nouvelle tenue de travail, elle a dû être faite sur mesure pour moi. Il y aussi une paire d’escarpin noir laqué et une paire de petite chaussette noir. Je ressorts de mes appartements dans ma nouvelle tenue et les femmes continuent de me faire visiter la maison. Je visite les cuisines, la blanchisserie et tous les lieux où je serais amenée à travailler.
En dernier lieu, je suis conduite au Bureau de Monsieur, on me demande de m’asseoir sur une chaise et aussitôt sans même que j’ai le temps de réagir, j’ai les mains attachées aux accoudoirs avec des cordes. Je ne comprends pas sur le coup, Monsieur se tourne vers moi :
« Ne soyez pas effrayer par ces deux petites cordes, elles sont uniquement là pour vous tenir compagnie. Je suis très heureux que vous ayez accepté ce poste, le seul souci, c’est que je vous ai légèrement menti durant l’entretien. En effet, d’être un homme qui aime les jeunes jolies filles, j’aime également les attacher et les bâillonner, vous ne ferez pas exception à la règle et j’aurais donc loisir à m’exercer sur vous. Je vous demanderais aussi de porter un gode quand je le désirerais afin que vous ne manquiez pas de plaisir. »
« C’est donc pour cela que vous ne trouviez personne, je comprends pourquoi vous ne trouviez persmmmmmmffff. »
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase, qu’une boule en plastique est logée entre mes dents avant d’être serrée autour de mon cou
« Je vous demanderais de garder de silence, car comme vous venez de le vivre, au moindre écart de conduite, je ne manquerais pas de vous punir en vous bâillonnant ou en vous ligotant. Je serais le seul à décider de vos punitions. »
Je pousse encore un petit cri et un épais foulard recouvre mes lèvres en plus de la boule.
« Je crois que vous n’avez pas compris, la principale qualité d’une soubrette ou d’une soumise dans votre position actuelle c’est de garder le silence et pour ce nouvel écart de conduite, je vais commencer par vous punir. »
Je comprends rapidement que je suis prise au piège, je suis détachée de mon fauteuil et mes mains sont attachées dans mon dos. Un étroit lassage emprisonne tout le haut de mon corps dans des anneaux de cordes blanches, une corde est rajoutée pour faire une laisse, je suis conduite dans une pièce où se trouve un fauteuil en cuir, je suis détachée et on me sangle dessus de la tête aux pieds, des sangles passent par-dessus mes épaules, sur mon ventre autour de mes bras et de mes avants bras, de mes cuisses et de mes mollets.
Je suis laissée un moment ainsi, puis une des femmes qui m’a attachée, m’annonce que je dois préparer le repas de midi de Monsieur et que je suis attendue en cuisine.
Elle commence par me changer mon bâillon pour me mettre un modèle en cuir plus rigide qui dispose d’une fermeture éclair par-dessus mes lèvres, elle est fermée avec un petit cadenas et ce bâillon est sanglé dans ma nuque puis maintenu en position avec un autre cadenas. Mes mains sont détachées puis menotter devant moi, elle fait exactement la même chose avec mes chevilles, elle me demande de la suivre, je marche en faisant des petits pas. Une fois dans la cuisine, je lui montre mes poignets pour qu’elle me détache.
« Vous pouvez très bien travailler ainsi, et faites vite Monsieur n’aime pas qu’on le fasse attendre. »
Je me mets aussitôt au travail avec mes entraves, je lui cuisine comme je peux un plat de pâtes carbonara et une coupelle de fruit coupé en petit dès avec de la crème chantilly.
J’entends la sonnette et je me presse pour amener son repas à monsieur, une fois dans la salle à manger, je le vois à table dans son beau fauteuil. Je pose le plat devant lui et je lui sers une bonne part, comme je ne connais pas encore son appétit, j’ai préparé une bonne portion. Comme je suis bâillonnée, je ne peux pas lui demander de me retirer pour commencer à faire la vaisselle et finir de préparer le dessert.
« Pourriez-vous avancer afin que je vous ouvre le bâillon afin que vous puissiez manger votre part. »
Je m’avance vers lui et il ouvre la fermeture éclair de mon bâillon, je lui explique qu’il faut que je retourne en cuisine pour apporter mes couverts et son dessert. Il accepte ma requête et je me rends dans la cuisine et je remonte avec le dessert et mes couverts, j’utilise un chariot, avec mes mains menottés j’aurais certainement fait du bris de porcelaine. De retour dans la salle à manger, je présente le dessert à monsieur, puis je me mets à table comme il me l’a demandé. Je mange ce qu’il reste dans le plat, visiblement il m’a gardé une part et il me garde aussi une part de dessert.
« Ce fut très bon mademoiselle, vous êtes une excellente cuisinière, vous avez mérité une petite récompense et une promotion. »
Je souris sous mon bâillon qui cache mes lèvres, je ne sais pas si j’ai le droit de parler, j’ai bien le bâillon d’ouvert mais je ne voudrais pas me faire punir une nouvelle fois.
« Puisque vous n’êtes pas très bavarde, je vais vous expliquer votre récompense. Pour le reste de l’après-midi, vous n’aurez plus les mains menottées. En ce qui concerne votre promotion, vous avez maintenant le droit de parler quand vous n’êtes pas bâillonnée mais attention pas un mot de travers ou sinon je vous retire ce droit. De plus si vous êtes bâillonné et que vous avez une remarque pertinente, vous pourrez pousser un petit cri dans votre bâillon afin que je l’ouvre et que vous puissiez vous exprimer. »
« Je vous remercie Monsieur, c’est vrai que pour vous demandez quelques chose, il est plus simple d’avoir les lèvres libres, mais je n’abuserais pas de ce nouveau droit. »
« Et vous avez bien raison, dès que vous aurez fini de manger, vous viendrez me voir pour que je referme votre bâillon. »
Une fois que j’ai fini, je referme le fermeture éclair et je m’approche de Monsieur qui remet le cadenas pour que je ne puisse plus l’ouvrir. Je lui présente mes mains pour qu’il les détache. Il sort un petit trousseau de clé et me détache enfin les mains. Je me retire dans la cuisine pour faire la vaisselle, cela me prend un bon petit moment car j’ai aussi celle du matin à faire. Une fois que j’ai fini, je fais un détour par le petit coin, puis je me dirige vers le bureau de Monsieur, je toque à la porte et il me dit que je peux rentrer.
« Si vous venez me voir c’est que vous avez fini la vaisselle. »
« MMMfffffff »
« Je vois que vous avez compris le language de soumise, un petit cri pour oui, un soupir pour poser une question et deux petits cris pour non. Comme je ne compte pas ouvrir votre bâillon avant ce soir, il vous faudra communiquer ainsi. »
« MMMffffff »
« Je n’ai rien de prévu pour vous cette après-midi, je vous laisse retourner dans vos appartements. »
Je pousse un petit cri, je fais une révérence puis je me retire dans mes appartements afin de les visiter.
J’ouvre la porte et je me dirige dans ma chambre, sur une table sont posés mes effets personnels, il manque mon téléphone portable, je les range dans un petit placard que je ferme à clé.
Ma chambre se compose d’un grand lit avec un ciel en velours, d’un secrétaire, d’une petite table, d’un très beau fauteuil en cuir, d’une autre chaise, j’ai également une télévision et une belle bibliothèque en bois précieux. Elle donne sur un immense placard dans lequel se trouve tous mes uniformes de travail, elles ne sont pas toutes identiques mais elles sont pour la plupart noir mais il y en a une blanche, une rose, une pourpre et une rouge. Il y a également une belle collection de petite culotte blanche ainsi que des soutiens gorges et des chaussettes. Une autre porte donne sur un petit salon avec un canapé deux fauteuils, un petit bar déjà rempli, il y a de la vaisselle en porcelaine et des verres en cristal. Derrière le salon, il y a une petite cuisine avec un frigo et un garde-manger que Monsieur a du remplir avant mon arrivée. De l’autre côté du salon, il y a les toilettes et une large salle de bain qui se compose d’une cabine de douche, d’une baignoire, d’un large meuble où je pourrais ranger tous mes produits, il y en a déjà pas mal mais ce ne sont pas mes préférés. J’ai aussi un large miroir et tout un ensemble de linge de bain d’une blancheur parfaite.
L’ensemble de mes appartements est de très bon goût et très chic, je sens que je vais aimer cet endroit. Maintenant que j’ai récupéré mes affaires, je remets à mon poignet ma montre en argent que je me suis offerte pour mes 16 ans. Il commence déjà se faire tard et je quitte mes appartements, je ne sais pas à quelle heure, il a l’habitude de manger, je me rends dans la cuisine. Pour le repas du soir, je vais lui préparer des filets de truites marinées au citron et aux herbes aromatiques, pour accompagner je prépare du riz aux pruneaux que je fais revenir avec un peu de sucre. En dessert, je lui prépare des choux à la crème, je les dispose en petits rochers que je nappe d’un coulis de caramel salé. Comme il me reste un peu de temps, je lui prépare des petites brochettes de filet de poulet que je parfume au gingembre, je rajoute des tranches de citron et d’orange confis.
J’entends la sonnette alors que je commençais ranger la cuisine. Je me dirige vers la salle à manger, comme pour ce midi, il y a deux couverts de près, je comprends qu’il veut que je mange une nouvelle fois avec lui, j’apporte l’entrée et pendant qu’il mange, je file à la cuisine pour amener sous cloche et sur un plateau le reste du repas. Avant de m’asseoir à ma place, je vais vers Monsieur pour qu’il ouvre mon bâillon. Je commence à manger après lui avoir servi le plat principal.
« Je vois que vous aimez ma cuisine. »
« Je dois avouer qu’elle a son charme et que vous êtes doué. »
« Et encore, je pourrais faire mieux, si je n’étais pas entravée. »
« Vous n’êtes là que depuis ce matin et vous commencez à revendiquer plus de liberté. »
« Bien sur j’ai signé pour vous servir et pas pour être attachée et réduite au silence. »
« Prenez le comme un supplément, vous savez j’ai plus une dizaine de femme sous mes ordres, j’ai eu l’occasion de toutes les attacher mais je n’ai pas encore trouvé le modèle qui me correspond. »
« Dois-je comprendre qu’il faut que je m’habitue à porter un bâillon et des entraves. »
« Tout à fait, je vous rassure, on s’y habitue vite. »

La discussion se continue jusqu’à la fin du repas, dès que j’ai l’autorisation de me lever, il referme mon bâillon et je pars en cuisine pour finir la vaisselle et ranger le tout pour demain matin. Une fois que j’ai fini, je vais dans le bureau de Monsieur, il n’a pas encore fini de travailler.
« Ah, vous tombez bien, j’allais vous appeler, votre service n’est pas encore fini, il se termine quand je pars me coucher et je travaille généralement tard le soir, mais bon pour le moment veuillez-vous approcher pour que je vous retire votre bâillon et que je vous détache les pieds. »
Je m’approche et je quitte enfin mon bâillon pour de bon et ma paire de menotte aux chevilles.
« Je dois vous avouez que je suis bien contente de quitter ce bâillon et en quoi puis je vous être utile ce soir. »
« C’est dommage car c’est l’un de mes bâillons préférés et vous risquez de le porter souvent mais ce n’est pas le sujet pour le moment. Maintenant on se tourne s’il vous plait et on croise ces mains dans le dos. »
Je comprends à sa phrase et à son sourire que ma liberté est temporaire, je lui tourne dos et je croise mes mains dans le dos. Très rapidement des anneaux de corde bloquent mes poignets, puis c’est au tour de mes coudes. Mes bras sont ensuite glissés dans un armbinder dont le lassage emprisonne mes bras, l’ensemble est ensuite sanglé contre mon dos, les sangles passent au-dessus et en dessous de ma poitrine. Il s’attaque ensuite à mes pieds qui sont attachés ensemble, puis des anneaux de corde encerclent mes jambes au-dessus et en dessous, puis pour finir à mi-cuisse. Mes jambes sont glissées dans un leg binder, il me fait asseoir sur une chaise, il prend alors un gros rouleau de tape et je suis collée contre la chaise du haut des épaules jusqu’au bout des orteils. Il me demande d’ouvrir la bouche et il glisse une bourre en tissu, puis un foulard avec un nœud en son centre est mis par-dessus et enfin deux autres sur mes lèvres.
« Voilà, maintenant je vais pour vous admirez pendant que je finis de travailler, veuillez ne pas faire trop de bruit sinon, je serais au regret de vous punir afin de vous remettre à votre place. »
Je reste donc silencieuse dans mes liens et mon bâillon, je me contente de me tortiller un peu dans mes liens sans faire trop de bruit, pendant tout le temps qu’il travaille, je reste ainsi assise en face de lui. Par moment, il lève la tête de ses dossiers pour me regarder et esquisse à chaque fois un petit sourire de satisfaction. Au fil des minutes, je m’habitue à la compression de mes différents liens, je commence à les trouver confortable, ils m’offrent une bonne sensation et je ne me sens pas comme prisonnière alors que je ne peux pas bouger.
Il doit être près de minuit, je commence à piquer un peu de nez, il est vrai que je suis debout depuis très tôt car je ne voulais pas être en retard.
« Vous commencez à fatiguer ? »
« MMfffff »
« Alors je ne vais pas vous retenir plus longtemps, je vais vous laisse retourner dans vos appartements. »
Il me détache et une fois que je suis libre, il me demande de garder mon bâillon sur les lèvres. Il me donne aussi deux paires de menottes.
« Demain matin vous devrez me servir mon petit déjeuner à 9h dans la salle à manger, vous devrez avoir au préalable remis votre bâillon et ces paires de menottes à vos mains et à vos poignets. »
Je fais une révérence et je rentre dans mes appartements.
Je ferme la porte et je retire mon bâillon, je recrache la bourre que j’avais entre les dents depuis plusieurs heures.
Je pose mon bâillon et les paires de menotte sur la table. Je prends une bonne douche bien chaude, je suis trop fatiguée pour me faire couler un bain. Je me sèche avec des serviettes toutes douces et moelleuses. J’enfile une des nuisettes que Monsieur m’a fournie, je m’enfonce dans mon lit sous la couette. Je suis si épuisée de ma première journée de travail, que je m’endors aussitôt, dans ma tête je refais le déroulement de ma journée.
Le lendemain, le réveil sonne trop tôt pour moi qui est l’habitude de dormir tard le matin, je me lève, je fais un bref passage à la salle de bain pour me faire belle, je pique dans mon garde mangé pour me préparer mon petit déjeuner. Je regarde ma montre fréquemment pour ne pas me mettre en retard.
Je mets mon uniforme, je glisse la bourre de tissu entre mes lèvres et je renoue mon bâillon, je prends ensuite les paires de menottes à mes mains et à mes pieds. Une fois que j’ai bien ajusté mes liens et mon bâillon, je sors de mes appartements pour me rendre aux cuisines. Je prépare le petit déjeuner de monsieur, je lui prépare des tartines de confitures, un œuf au plat avec du bacon pour lui donner de l’énergie, en boisson comme je ne sais pas ce qu’il boit en chaud, je prépare du thé, du café et du lait chaud. Comme il me reste un peu de temps, je finis par un cocktail de fruit frais que je presse pour en faire un jus, je rajoute une feuille de menthe et un peu de sirop de menthe pour apporter un peu de fraicheur. Je mets le tout sur un chariot et je monte à la salle à manger où je retrouve Monsieur déjà à table, je jette un bref coup d’œil à ma montre, je suis pile à l’heure, voir un peu en avance. Je ne peux pas lui dire bonjour et encore moins lui demander s’il a passé une bonne nuit à cause de mon bâillon. Je lui sers en premier l’œuf au plat et le cocktail de jus de fruit.
« Vous pouvez vous asseoir, pour déguster une part de votre sublime petit déjeuner, mais avant approchez-vous pour que je vous libère le visage. »
Je m’approche de lui et il me dénoue le bâillon, je m’installe sur la chaise à côté de lui et je me sers un verre de jus de fruit.
« Je n’ai pas très faim, j’ai déjeuné avant de prendre mon service. »
Je finis mon verre de jus de fruit, puis Monsieur se lève de sa chaise, il passe derrière moi et il me renoue brusquement le bâillon sur mes lèvres, je n’ai pas le temps de réagir et surtout je ne comprends pas pourquoi il me réduit au silence. Je pousse un bref petit soupir d’incompréhension.
« Sachez mademoiselle, que je n’apprécie pas que vous mangiez avant moi le matin et vous serez en conséquence punie durant le temps que je souhaiterais. Mais avant de vous punir, vous allez rangé toute la cuisine, puis vous irez à la blanchisserie pour récupérer mes vêtements et vous les rangerez dans mes appartements, puis vous viendrez me voir afin que je vous punisse. »
Je me suis déjà fait punir pour des motifs futiles, mais là c’est la palme d’or, je ne savais pas qu’il y avait un protocole à respecter même quand je ne suis pas en service. Je débarrasse la table et je range la cuisine avec la rage au ventre, il aurait pu me le dire avant, j’ai l’impression qu’il cherche à tout prix un moyen de me punir. Je me rends à la blanchisserie, puis à ces appartements, je range ces vêtements dans les différents tiroirs. Je me rends directement à son bureau en trainant un peu des pieds. J’arrive à son bureau, je toque à la porte pour entrer, je me présente devant lui sans sourire.
« Ne soyez pas si mauvaise joueuse, les punitions font partie de votre travail et je me montrerais intransigeant sur ce point mais pour le moment vous allez me suivre au sous-sol. »
Je lui fais un signe de la tête pour lui dire que j’ai compris, nous nous mettons en route vers le sous-sol, on arrive dans un grand couloir, avec des portes tout le long, il s’arrête devant l’une et l’ouvre avec une grosse clé ancienne. Il ouvre la porte et je découvre une petite pièce humide avec un poteau en son centre, un matelas en paille au fond contre une petite fenêtre avec des barreaux rouillés. »
« Je vais vous détacher, je vous demanderez de ne faire aucun mouvement brusque sinon la punition sera doublée. »
Il me retire les menottes et je dénoue mon bâillon, puis je me plante devant lui.
« Maintenant vous allez mettre ce gode entre vos cuisses. »
Il me donne le gode et sous son regard malicieux, je descends ma petite culotte pour mettre le gode entre mes cuisses, je tiens la télécommande dans ma main.
« Allez, on se tourne et on croise les mains dans son dos et on se laisse faire. »
Je me tourne comme il me le demande et je croise mes mains dans le dos, très vite une corde est enroulée autour de mes poignets, mes bras sont ensuite glissées dans un armbinder qui est sanglé pour plaquer mes bras contre mon dos. Il prend une longue corde et il m’attache les pieds, puis il remonte le long de mes jambes en laissant des anneaux de cordes sur mes mollets, au-dessus et dessous de mes genoux et sur mes cuisses. Il prend ensuite un bâillon boule qu’il glisse entre mes dents, celle-ci est percé en plusieurs points. Il m’aide à sautiller jusqu’au poteau, il prend alors une très longue corde toute blanche et il me saucissonne contre. Il prend la télécommande de mon gode est l’active au maximum de sa puissance, cela fait vibrer mes cuisses et mon vagin. Je ne peux retenir un petit cri à travers mon bâillon, alors qu’un fin filet de bave fait son apparition.
« Ce petit artifice devrait vous tenir compagnie, je vous rassure, j’ai pris le soin de mettre des piles neuves et j’en ai un plein carton en réserve. Comme vous ne pourrez pas me préparer mon déjeuner, je vous utiliserais pour une autre tâche. Je vous ferais apporter votre repas par l’une de mes secrétaires. Je vous souhaite un bon moment de solitude et de plaisir.
J’allais oublier de vous rappeler que vous êtes tenue de garder le silence. »
Il ferme la porte de la pièce qui est aménagée comme une cellule, je me tortille dans mes liens en espérant qu’il lâche mais rien ne bouge et je bave de plus en plus, une tache se forme sur mon uniforme alors que quelques gouttes tombent au sol. Je sens que l’intérieur de mes cuisses humidifie rapidement et je ne peux retenir quelques petits cris de plaisir.
Je continue de baver et d’avoir du plaisir, je sens que je transpire un peu et que mon ventre commence à être vide. J’entends une clé dans la serrure de la porte de ma cellule, une des secrétaires de Monsieur fait son entrée avec dans les mains mon repas, elle le pose au sol, le temps de défaire mon bâillon.
« Vous pourriez baisser la puissance du gode, pendant que je mange, cela m’évitera d’en mettre partout sur mon uniforme. »
« Et pourquoi donc je vous ferais ce plaisir, sachez mademoiselle que nous avons toute subi cette punition et que je ne vais pas vous la rendre plus douce. »
Sa réponse est ferme et froide, mon repas se compose de pomme de terre avec des lardons, elle les écrase et met une fourchette dans ma bouche, je la mâche et je l’avale.
« Vous pourriez manger plus vite, j’ai du travail à faire. »
Je ne sais pas qu’elle mouche là piquer, j’accélère un peu le mouvement pour que Madame puisse continuer son travail. Je finis mon assiette, elle m’enfonce une petite bouteille d’eau entre mes lèvres. Je la bois rapidement en même temps, je n’ai pas le choix si je ne veux pas me noyer dans aussi peu d’eau.
« Je fais comment pour faire mes besoins, j’ai une envie pressante et je ne peux pas aller aux toilettes. »
« Vous vous retenez, ce n’est pas mon problème. »
Elle m’enfonce la boule entre les lèvres et la serre fortement, je ne peux me retenir de pousser un mmmfffff.
« Puisque vous ne savez pas garder le silence, je vais vous aider. »
Elle prend un rouleau de tape, elle en coupe une bande et la colle sur mes lèvres, puis elle en rajoute une demi-douzaine. Elle en coupe une dernière plus longue que les précédentes, elle me demande de fermer les yeux et elle me bande les yeux avec, au passage, elle emprisonne quelques mèches de cheveux.
« C’est mon petit cadeau de bienvenu et pas un mot à Monsieur sinon la prochaine fois ce sera sur les lèvres de votre vagin ma petite dame. »
Elle referme la porte de la cellule, me laissant à mon sort. J’alterne entre des petits mouvements pour me dégager de mes liens et des petits cris de plaisir et de douleur à cause du tape qui tire mes cheveux.
Je ne sais pas combien de temps cela a duré, avant que la porte soit ouverte une nouvelle fois, je reconnais la voix de la secrétaire, elle s’avance vers moi et arrache violement le tape de mon visage. Ce qui m’arrache un grand cri de douleur et une petite larme au coin de l’œil.
« Monsieur ne va tarder à venir vous libérez et je ne tiens pas à ce qu’il voit mon petit cadeau. Un seul mot sur mon cadeau à Monsieur et c’est moi qui vous punirez. »
Je lui fais un signe positif, elle tourne les talons et claque la porte de ma cellule. Quelques instants plus tard, Monsieur fait son entrée visiblement la punition a assez duré.

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Emma
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Ce que je déteste : les obsédés, les curieux mal intentionnés, les trolls, les prétentieux et les pédants
le bâillon, les épinards, le fromage qui ne sent pas bon

Re: soubrette

Message par Emma »

Très bon récit Sakura! J aime beaucoup ce style d écriture. Une suite sans aucun doute!! :)
:gagged: :bandeau: L'art si attachant du bondage :bandeau: :gagged:

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voldenuit
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Ce que j'adore : le ligotage dans toutes positions , par tous les moyens, et uniquement ça .
Ce que je déteste : la vulgarité

Re: soubrette

Message par voldenuit »

c'est direct , clair précis et tranchant comme une lame de rasoir . ça donne envie de connaître la suite des aventure de cette jeune demoiselle ...
Mais tout finit toujours par s'arranger .... même mal ...

sakura

Re: soubrette

Message par sakura »

Merci beaucoup pour vos commentaires, je vais tenter de faire une suite aussi bien que le premier épisode.

The Man

Re: soubrette

Message par The Man »

:bravo:

alias

Re: soubrette

Message par alias »

j'aime bien. Rien à dire de plus :)

stephanie
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Ce que j'adore : Beaucoup de choses en fait, même si je suis une fan des blouses nylon et de la soumission. Surtout être ligotée strictement et bâillonnée, à la merci d'un maître ou une une maîtresse exigeant(e), avec caresses et punitions alternées. Mais j'aime aussi dominer et avoir à mes pieds une soubrette attendant mon bon plaisir.
Ce que je déteste : Les relations uro-scato, la violence non consentie, la vulgarité, les a priori sur les autres.

Re: soubrette

Message par stephanie »

Très belle histoire.
Stéphanie, soubrette en blouses nylon

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