C'est vrai Emma ?! J'adore cette quatrième! Elle me fait penser à une collègue !!
Mais ce n'est pas moi qui écris. Ce sont mes doigtsC'est toujours très bien Bouya... Mais qu'est ce que tu peux avoir comme préjugés sur les étrangers
Et puis, j'habite dans la résidence étudiante où l'Université de Bourgogne case la majorité des étudiants étrangers de Dijon (d'ailleurs il semble qu'il y ait eu une méprise sur ma nationalité quand on m'y a installé, et que l'administration m'ait pris pour une Espagnol). Du coup, même si la majorité des clichés sont faux, j'ai pu remarquer que quelques-uns étaient fondés
Cinquième bondagette, appréciée par quelques inscrits du forum : l'Espagnole
L'Espagnole n'est pas qu'une bondagette. C'est en fait un assortiment de femmes prêtes à être ligotées, contenues dans un seul corps. Un joli corps d'ailleurs tout en grâce et en énergie, dont la peau bronzée et les longs cheveux noirs bouclés rappellent ses origines à la fois européennes et nord-africaines, ainsi que les climats ensoleillés où elle vit. Et dans ce joli corps, il y a de nombreuses personnalités. En effet, si la Belge est schizophrène et la Suissesse doublement schizophrène, l'Espagnole aurait besoin qu'on invente un mot pour la désigner. Un jour la superbe Basque, un jour la splendide Catalane, un jour la merveilleuse Galicienne, un jour la belle et orgueilleuse Andalouse, un jour la dominante Castillane. On pourrait se demander si il y a une limite à ceci. En tout cas, malgré les désagréments que cela engendre, cela comporte un avantage absolument majeur : la personne qui la ligotera sera confrontée à toute une série de bondagettes aussi diverses que délicieuses.
Néanmoins, il y a un point commun entre ses personnalités : l'Espagnole est orgueilleuse. Jamais elle ne demandera à ce qu'on la ligote, jamais elle ne répondra « avec plaisir ! » si on lui propose une séance de bondage. Par exemple si la Britannique lui demande « Est-ce que tu voudrais que je t'attache ? », l'Espagnole ne s'y précipitera pas. Elle s'approchera de la Britannique, rejettera ses cheveux en arrière avec majesté, et sans dire un mot elle lancera aux pieds de sa partenaire les rouleaux de cordes. Ensuite, toujours sans parler, elle se retournera, et elle s'agenouillera en gardant la tête haute et le dos droit, et présentera ses poings dans son dos. Tandis qu'ils seront liés ensemble, elle ne dira rien et gardera un air digne. Et au fur-et-à-mesure que le bondage progressa, elle se pliera aux consignes données par sa maîtresse, mais jamais son air mi-dédaigneux mi-supérieur ne quittera son envoûtant visage.
L'Espagnole, ne voulant pas donner l'impression qu'elle supplie sa bondageuse, ne demandera qu'une chose : elle veut choisir son bâillon. Et elle prend toujours le même. Une bourre de tissu enfoncée dans sa bouche, et une couche de microfoam pour la maintenir et recouvrir son visage du menton jusqu'au nez. Ce microfoam dénote peut-être une légère attirance pour les jeux de respiration, mais il a surtout l'avantage de dissimuler le visage de l'Espagnole. En effet, une fois ligotée, elle adore plus que tout au monde être chatouillée et caressée aux endroits agréables. Et même son bâillon ne suffit pas à étouffer ces cris de plaisir incroyablement énergiques.
Une autre chose trahit son amour immodéré pour le bondage : la tenue qu'elle porte. Lorsqu'elle veut que l'on l'attache, l'Espagnole porte des tenues spéciales. Auparavant, dans ce genre de cas, elle ne portait qu'une robe de flamenco, moulante, transparente, avec rien en-dessous, et l'éclat de son beau visage rehaussée par une rose rouge piquée dans sa chevelure d'ébène. Maintenant, il arrive qu'elle porte parfois une autre tenue, pas beaucoup plus pudique : un simple bikini. En effet, l'Espagnole connaît des plages réputées, et surtout se promener dans le club en bikini est un signal facile à décrypter et difficile à ignorer.
Même si elle aime le bondage plus que tout, l'Espagnole n'est pas si facile que ça à satisfaire. Si jamais les caresses ne lui ont pas convenue, malheur à la bondageuse ! Une fois libre, l'Espagnole en furie se jette dessus, et la fautive finit vite menottée et enchainée. Même l'Allemande, les rares fois où elle ne joue pas assez bien de la cravache, n'y échappe pas. Une fois que les fers justiciers de l'Espagnole recouvre sa victime, la superbe vengeresse conserve son rictus et fait subir à la pauvre demoiselle en détresse ce qui lui passe par la tête. C'est-à-dire les tourments de joie et de douceur qu'elle aurait voulu goûter.
Une fois qu'elle s'est défoulée et que la fautive a retenu la leçon, l'Espagnole reprend son visage digne, détache sa partenaire, lui lance des cordes, et s'agenouille mains dans le dos. Cette fois, l'ex-fautive a intérêt à assurer. Aucune n'a échoué deux fois d'affilé, à la grande joie cachée de l'Espagnole.