Chantage

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Nina

Chantage

Message par Nina »

Bonjour à tous.

Je me permet de publier une autre histoire, qui est dans le même univers que mon récit de Nina. La première personne n'est pas Nina, mais une fille qui est apparue dans l'épisode l'arnaque. D'autre personnages que Nina a connu feront ultérieurement la connaissance de ma seconde protagoniste. L'histoire est liée à celle de Nina. Mon but était d'incarner une fille moins fragile que Nina, moins gentille également, mais toujours très mignonne. Et surtout qui a aussi un dont pour se faire capturer :)

Bonne lecture à tous, j'espère que l'histoire vous plaira.





Prénom: Alicia
Nom: Duca
Age: 23 ans
Taille: 1m60
Poids: 55 kg
Couleur des yeux: brun foncé
Couleur de cheveux: chevelure noire


Autre: Peau blanche, cheveux long, sans époux
Profession: Stripteaseuse/prostituée
sport: Pole dance, dance divers, effeuillage; initiée au krav maga

Jour 1: chantage

Mmmmhh...je me réveille tranquillement. Il est lundi, 14h30, je suis pas encore sorti du lit. Le boulot hier soir a durer jusqu'à 03h00 du matin, les clients étaient vraiment chaud. Je ne regrette pas pourtant, mes danses sensuelles ont beaucoup rapportés. Depuis 11h00 je me suis gardé le même pigeon, il a dû me débourser plus de 1000.- durant la soirée. J'adore en prendre à leur argents, ces imbéciles sont tellement facile à dépouiller, un peu de maquillage, une tenue bien existante, une petite danse qui va avec et tu fais ce que tu veux d'eux. Aujourd'hui je ne bosse pas à la boite, mais j'ai un autre coup intéressant. Il s'agit d'un homme d'affaire millionnaire, je l'ai trouvé à la boite il y a de ça une semaine. Ce con m'a raconté sa vie pendant une danse: Il est extrêmement riche, aimait sa femme lorsqu'il l'a épousée, mais l'a déjà trompé plusieurs fois, il a deux enfants qu'il ne voit presque jamais à cause de son travail. Il est le pdg d'une grande entreprise de location de voiture, il travaille énormément et est fier de sa fortune. Après à peine une heure, je l'ai convaincu de me payer pour une séance de galipette privée. Je le vois en fin d'après-midi, juste après son travail, il m'a donné rendez-vous à sa résidence privée. Je lui ai imposé un tarif de 5'000.-, il m'a déjà payé à la boite. J'aurais pu le laisser en plan et me barrer avec ses sous, mais je préfère en profiter pour lui en soutirer d'avantage: je déposerai une caméra discrète dans la chambre, puis une fois terminé, je le forcerai a me payer bien plus, si il ne veut pas que je donne à sa femme un motif en béton pour le divorce. Je crois que je vais me lever maintenant:

Je passe sous la douche. Une fois sortie, je commence à enfiler ma tenue: Tout d'abord j'enfile un short en jeans, très court, afin de montrer toutes mes jambes entièrement épilée. Je mets ensuite cette veste en cuir, brune, laissant la fermeture suffisamment ouverte afin de faire ressortir mes seins. Je ne porte absolument rien sous cette veste. Puis j'enfile encore ces cuissardes brunes. Je termine par le maquillage afin d'enjoliver mon beau visage de roumaine. Je suis prête.
Je prends ma voiture et je me rends à sa résidence secondaire où l'on a rendez-vous. J'en ai pour environ 3/4 d'heure depuis chez moi. Sa résidence secondaire est presque une forteresse, une grille protège l'accès, et un garde se trouve devant, j'en vois 3 autres à l'intérieur de la clôture. Je me dirige vers la grille d'entrée, le garde me fait:
"-Vous êtes madame Duca?"

"-Dans le mille mon beau" je réplique.

Il semble me regarder avec beaucoup de plaisir, au point même de mettre 2 minutes avant de saisir sa radio pour avertir son chef:

"-M. Bocan, Alicia est arrivée" puis il me redit:

"-Entrez, prenez la porte principale, mon collègue vous amènera vers M. Bocan".

Quand j'y pense, dommage que je n'ai pas pu donner de faux nom, malheureusement mon millionnaire voulait à tout prix connaitre mon vrai nom et l'a demandé au patron de la boite. Peu importe. Une fois que j'aurais mon film, il ne pourra plus m'atteindre. Je me dirige vers la porte principale. Un autre garde m'ouvre et me fait:

"-Suivez-moi, il vous attend en haut".

"-Avec plaisir beau gosse" je réponds.

Le garde reste bouche bée, illuminé par ma tenue, je lui fait:

"-Nous y allons?"

"-Euh, oui, oui..suivez moi".

Nous montons à l'étage, il m'ouvre la porte d'une chambre à coucher. J'entre et j'y trouve mon homme qui se prénomme Alfred Bocan. Il est encore en costard, c'est un homme d'environ 50 ans, il se croit playboy avec sa fortune et ses cheveux poivre sel, c'est pas du tout mon genre, mais peu importe, c'est pas la première fois que je couche sans éprouver de plaisir. Je lui fais:

"-Bonjour Alfred, j'aime beaucoup ta belle maison! Toute cette sécurité...c'est très excitant!!"

"-Bonjour Alicia, tu es magnifique. Ecoute moi bien, c'est très important, personne ne doit savoir, personne ne devra savoir!!

"-Personne ne le saura bien sûr, tu es trop tendu mon beau" je lui dis en me mettant derrière lui et en lui massant les épaules. Il me répond :

"-Désolé Alicia, j'ai vraiment eu une journée éprouvante, au travail, tout ce stress, je dois tout diriger, tout contrôler".

"-Normal, c'est toi le patron, c'est pour ça que je suis à toi". Pendant que je lui parle, je sors de mon sac à main ma caméra discrète, elle est dissimulée dans une fausse bouteille de parfum.

"-Oui, tu as parfaitement raison, c'est moi le patron" me répond-t-il.

"-Oh, oui, montre moi qui est le patron" je lui dis en enlevant ma veste, étant maintenant nue du haut du corps. Il se dépêche de déboutonner sa chemise en me faisant:

"Oui, oui, je vais te montrer qui est le patron".

Voilà qu'il enlève sa chemise et me prend pour m'embrasser. Je l'embrasse à pleine bouche en insérant ma langue dans la sienne. Aussitôt nous allons au lit, lui ayant enlevé son pantalon, et moi
Ayant tout enlevée, je suis complètement nue.

Il m'embrasse encore à pleine bouche en plotant mes seins, caressant ma chevelure, il est complètement dingue de moi. Puis il commence à pénétrer son engin dans mon petit bidon. Je ne ressens rien, mais je fais semblant, je crie:

"-Oh oui, oh oui, va-z-y!!Patron!!!"

Lui jouit, et n'est pas en train de simuler:

"Alicia, je t'aime, oui, ouiouioui...aahhaaaaaahhhhhhhh..." et voilà, déjà fini, j'étais sûr qu'il ne mettrait pas plus de 15 minutes avant de cracher. Toutefois, j'en ai déjà eu qui ont été encore plus rapide que lui, mais c déjà pas mal. Il me fait complètement envouté:

"Alicia, je t'aime, tu le sais ça?" Je réponds désintéressée en me rhabillant:

"Oui, oui, bien sûr que je le sais"

"Tu es un ange, j'ai beaucoup aimé ma femme dans le temps, et je l'ai trompé de nombreuses fois, mais toi tu es la plus belle femme que je n'ai jamais vue!!"

"Tu me flattes sincèrement" je réponds désintéressé, en enfilant ma veste. Il continue:

"J'aime tout en toi, ton corps, ton odeur, ton parfum" aïe, il prend la bouteille factice, vaut mieux qu'il la repose, sinon je devrai intervenir.

"Eh ben, c'est lourd pour une petite bouteille, comment ça s'ouvre...derrière...mais qu'est ce que c'est...mon dieu, mais c'est nous, tout est filmé!!!"

Avant qu'il ne tourne la tête je lui donne un grand coup avec son radio réveil sur sa tête. Il s'effondre assommé.

Je reprends la bouteille que je glisse dans mon sac à main, et je repars tranquillement. Je m'approche vers la sortie de la maison, je dis au garde devant la porte:

"J'en ai terminé avec lui pour aujourd'hui, il a dit que ne voulait pas être dérangé"

"Très bien. Bonne soirée" me fait-il.

J'ouvre la porte et je me dirige vers la grille. Je fais au garde:

"Terminus pour aujourd'hui mon beau, mais ne t'inquiète pas, je reviendrai"

"Très bien, je vous ouvre" me fait-il.

Au moment même où il sort la clé, il reçoit un appel de la radio, Alfred a déjà repris connaissance et hurle:

"Elle m'a pigée, a tous les agents, ne la laisser pas sortir!!"

Avant qu'il n'ait le temps de réagir, le je le frappe de mon pied de toute mes forces dans les parties, puis je lui donne un grand coup de poing dans la tempe, le garde d'effondre. Je me saisis de la clé. Mais j'entends une autre vois:

"Main en l'air, ma jolie, ne fais surtout pas de geste brusque!!".

Eh merde, un autre garde pointe son arme sur moi, je ne peux rien faire, je dépose la clé et mets mes mains en l'air. Les deux autres gardes de l'extérieur sont déjà vers moi également. Là je suis vraiment mal. Le premier qui m'a retrouvée alerte son boss.

"C'est bon patron, on la tient, on la ramène à l'intérieur"

"Emmenez là dans la cave, je vous y attend"

Le garde que j'ai étalé semble se relever, les quatre gardes m'emmène, l'un d'entre eux me tient par le bras, pointant son arme dans mon dos, pendant que les autres marche autour de moi. Mais
pourquoi ce con s'est réveillé aussi vite, me voilà dans la merde maintenant. Nous passons la porte d'entrée et descendant à la cave à vin. Alfred m'y attendais et me crie dessus:

"Espèce de garce, tu t'es foutu de moi, tu voulais m'espionnez, à qui voulais tu montrer tout ça! A mes concurrents! Ou était-ce pour ma femme, tu comptais me faire du chantage peut-être?"

"Qu'est-ce que tu croyais espèce de vieux saumon, que j'allais baisser avec toi juste pour un peu d'argent de poche?" je réplique.

"Répond à ma question, que comptais tu faire exactement avec ce film?" réplique-t-il. Je reste silencieuse. Il reparle à ses hommes:
"Attachez-la, et par précaution bâillonnez-la également, ensuite reprenez vos poste, pour l'instant on va la garder ici quelque temps! Tu n'aurais pas dû me trahir Alicia, tu ne vas pas sortir d'ici avant longtemps, crois-moi!"

Alfred sort de la pièce, pendant que les gardes prennent des cordes et se mette sur moi. Le premier ramène mes mains derrière le dos en les croisant, et passe les cordes autour de mes poignets.
En même temps, un autre m'attache les pieds, passant les cordes autour de mes bottes. Je n'ai jamais été attachée encore, j'espère que je pourrai me dégager. Puis il me descende au sol, passant maintenant les cordes autour des jambes juste au-dessus de mes genoux, puis aux bras, passant les cordes au-dessus et au-dessous de mes seins. Ils serrent les nœuds, me voilà complètement ligotée. Le dernier garde prend un foulard blanc, le passant dans ma bouche et me bâillonnant ainsi. Me voilà ligotée et bâillonnée. Les gardes se disent:

"Aller les gars on reprend nos postes!"

"On y va. Quand même, j'espère qu'il nous la laissera, elle est vraiment canon!"

Puis ils s’en vont, me laissant seule et fermant la porte.

Réflexion faite, je n'aime vraiment pas la sensation d'être attachée. Il va vite falloir que je trouve un moyen de m'enfuir, sinon je vais servir de petite chienne à tous ces pourris. Je tente de me dégager de mes cordes...pas facile, elles sont vraiment serrée...J'y met toute mes forces....impossible, ils m’ont bien attachée. Je tente de crier:
"MMMHHHHH...MMMMMMHHHH...GMMMMHHHHHH...MMMMMMHHH", rien à faire, mon bâillon m'empêche de sortir un mot. Me voilà dans une belle merde, je suis prisonnière de mon pigeon, totalement à sa merci désormais.

Je tente de bouger, je me retourne, j'essaie de me dégager des cordes. Rien à faire, je me retourne, sur le dos, et je redresse mon corps, laissant mes jambes allongée au sol. Il va pourtant falloir que je trouve un moyen, personne ne sait que je suis ici, personne ne viendra à mon secours. Si seulement j'aurais eu quelques minutes de plus pour passer cette grille, je n'en serais pas là.




La suite sera postée ce soir? ou demain? Comme vous voudrez :)

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fredchl
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Re: Chantage

Message par fredchl »

Un bon début !...
Je crois que sa carrière de maitre-chanteuse va être brêve !... :lol:

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Utten
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Re: Chantage

Message par Utten »

Tout à fait: bon commencement. La suite ce soir, ça serait bien... En tout cas, je l'attends.

stephanie
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Ce que je déteste : Les relations uro-scato, la violence non consentie, la vulgarité, les a priori sur les autres.

Re: Chantage

Message par stephanie »

Oui, si seulement elle avait eu quelques secondes de plus…
Mais nous serions privés de cette histoire.
Bises,
Stephanie

Floxy
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Re: Chantage

Message par Floxy »

Debut très prometteur :) Hâte de lire la suite

Nina

Re: Chantage

Message par Nina »

Merci pour vos message, ça me fait SUPER plaisir :) :) :) Voici la suite !!!!!




Cela fait déjà deux heures que je suis restée attachée et bâillonnée dans cette cave, J'entends quelqu'un arriver. Alfred ouvre la porte et me fait:

"Alicia, comment tu as pu me faire ça à moi. Malgré tout je t'aime tu sais, c'est pour ça que je ne t'ai pas fait tuer. C'est pour ça que je me suis contenté de te faire attacher." me dit-il.

Quel con, si je n'avais pas mon bâillon, je lui dirai à quel point il est idiot. Puis il continue.

"Je ne pourrai pas me séparer de toi, tu vas rester ici...pour toujours...avec le temps, tu t'y feras, quand tu m'aimeras, je n'aurai plus besoin de t'attacher".

Il me saisit la tête et m'embrasse sur la joue en me disant:

"Je t'aime Alicia, même si je pense que tu n'es pas fier de ce que je te fais, mais je t'aime, et tu t'y feras, crois-moi!"

Si seulement je n'étais pas attachée, je lui arracherais les couilles. Mais je ne peux rien faire pour l'instant. Il repart, me laissant ligotée et bâillonnée.

Voilà encore une demi-heure que je suis ligotée dans cette pièce depuis qu'il est parti. Il faut vraiment que je trouve un moyen de me dégager des cordes et de m'enfuir!

Avec ce qu'il vient de me dire, je suis vraiment dans un sacré foutoire. Réfléchissons, avec quoi je pourrai couper ces liens. Il y a des bouteilles de vin un peu partout. En ben voilà, je n'ai qu’à en casser une et utiliser le verre pour couper mes cordes. Pourquoi je n'y a pas pensé plus tôt!? Je m'approche d'une étagère à vin, je donne de grand coup comme je le peux, malgré les liens.
L'étagère tremble et commence à basculer, je donne encore des coups avec mes pieds attachés, puis encore...l'étagère bascule et tombe brisant toutes les bouteilles. Gagné!! Je me saisis d'un des bout de verre. Je commence par scier les cordes enlaçant mes poignets...pas facile, les cordes sont tout de même solide...allez c'est ma seule chance...encore.....OUI, la corde est coupée!!
Je continue en détachant la corde enlaçant mes bras..pas évident...mais j'y arrive!! Plus que mes jambes et mes pieds: je commence par mes jambes...les nœuds sont tout de même bien serré...Mais voilà que j'y arrive, mes jambes sont détachées, allez plus que les cheville, je m'y mets... et voilà libre, j'enlève immédiatement mon bâillon.

"ahhah" je fais soulagée. Il va falloir sortir prudemment, mais j'entends un des gardes arriver. Je me cache derrière la porte. Il arrive à l'intérieur et voit les cordes au sol, il s'écrie:

"Mais qu'est-ce que" puis avant qu'il réagisse je lui donne un grand coup dans les parties, et lui tord le poignet le privant de son arme. Je me saisis de son pistolet, je lui fais:

"Bouge pas, ou je te tue tout de suite".

"T'énerve pas" me répond-t-il.

"Ou sont les autres gardes" je réplique.

"Il dorme, je suis seul a veillez pour l'instant, il n'y a toujours qu'un garde pendant la nuit, je prends ma relève dans 1 heure".

"Si tu me ment, je tire dans la tête" je réplique

"C'est la vérité, je te le jure!!!" répond-il.

"Emmène-moi à la caméra que j'avais dissimulé" je réplique

"D'accord" il me fait.

Nous montons pendant que je le tiens en joue, nous entrons dans le salon, et il m'amène près d'un coffre-fort, me disant:

"Je n'ai pas la clé".

Je le fait éloigner, je tente la date de son mariage, il m'a tellement bassiné avec ça quand il était à la boîte...le coffre s'ouvre, j'en étais sûr. Le coffre contient ma caméra, mais aussi un sac remplis de petits diamants, il y en a pour une fortune, je mets le tout dans mon sac que j'ai déjà récupéré. J'assomme l'abruti de garde avec mon arme en donnant un grand coup de crosse derrière sa tête. Je prends le soin de laisser un lettre dans le coffre:

"Mon cher Alfred,

A l'heure qu'il est je suis déjà très loin. Comme tu peux le constater, j'ai déjà récupérer ton film. Comme tu t'en doutais, tu devras me convaincre avec une somme importante d'argent de ne pasle remettre à ta femme. Si tu tentes de me retrouver ou de me faire quoi que ce soit, une personne de confiance enverra immédiatement notre petit film à ta femme. Je prends également les diamants, c'est pour m'avoir attachée et bâillonnée, voici ci-dessous les instructions pour le premier paiement, ne manque pas de le faire, ou tu perdras plus de la moitié de tes bien à ton divorce.
Salutation
Alicia"

Et voilà, je sors de la résidence, je traverse la grille, et prend ma voiture. Je rentre chez moi, je m'en suis finalement tirée, je finis toujours par m'en tirer. Je gagne à tous les coups!

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fredchl
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Re: Chantage

Message par fredchl »

Une bonne suite ! Tout est bien qui finit bien pour cette partie !
Je pensais que cela allait mal finir pour le garde, mais non ! Même pas ! :lol:

Floxy
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Re: Chantage

Message par Floxy »

Perso... Je penser qu'elle aller réster enfermé un peu plus longtemps...
Mais bon. J'ai quand même envi de savoir la suite.

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Mad Hatter
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Ce que je déteste : Le manque de respect envers autrui, les bettraves, les chiens quand ils veulent jouer avec les cyclistes ;p
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Re: Chantage

Message par Mad Hatter »

Alfred va t-il en rester là ? Ça va chauffer :twisted: .
De l'Ordre nait le Chaos.
Ou est-ce l'inverse ?
Jervis Tetch dans L'asile d'Arkham


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Nina

Re: Chantage

Message par Nina »

Bonjour, voici la suite!!!

Petite précision. Ces événements se passe légèrement après que Nina se soit échappé du centre où Alicia l'avait livrée.Ces évènements se passent également légèrement avant L'épisode "prise d'hotage" de Nina.

Bonne lecture à tous :) :) :)




Capturée dans les prés

Nous sommes mardi matin, je suis réveillée. J’ai passé la nuit avec Tad, il va falloir que je le réveille. Tad est un assez bel homme, je couche avec lui quand ça me chante. Je sais qu'il espère que je devienne sa petite copine, hélas je ne prends jamais de petit ami, je préfère coucher avec des hommes par ci, par-là, sans jamais avoir de compte à leur rendre. En fait, je l'ai connu dans un centre de prostitution, ma boite m'avait parlé d'un centre ou des filles étaient prisonnière en permanence, elles étaient des touristes enlevée, puis finissait leur vie dans ce centre à passer sous des hommes en manque. Tad a eu travaillé pour eux, son job consistait à draguer des jeunes minettes étrangères, puis une fois qu'il gagnait leur confiance, il les livrait au centre, puis nos jolies touristes se faisaient piégées, et serait contrainte à la prostitution. Je l'ai déjà eu aidé pour ce job, je me rendais amicale avec certaine de ces étrangères, afin de renforcer leur confiance, et je disais que Tad était un jeune étudiant plein d'avenir, tellement gentil, tellement honnête, et tout et tout. Un bon baratin au final. Depuis, nous travaillons occasionnellement pour divers arnaque, vol, ou kidnapping. Notre meilleure coup était cette jolie jeune femme, Nina. Cela fait maintenant une semaine, cette pétasse avait démasqué une arnaque je procédais avec des chèques en bois, elle a tenté de me faire chanter, avec l’aide de Tad nous l’avions enlevée et livrée au centre en question. On s’en est mis plein les poches. Oh, rien de surprenant, cette fille était incroyablement jolie.
Mais ce matin nous devons aller voir le boss. Je réveille Tad, nous prenons la voiture et parvenons à son QG. Le boss était passé en personne à la boîte hier soir. Je pensais qu'il venait juste voir si les affaires marchaient bien, mais il est venu vers moi et m'a demandé de le retrouver à son QG pour ce matin. Je pouvais pas refuser, ce n’est pas le genre de personne à qui on pose un lapin, il dirige tout, la boîte de striptease ou je travaille, parmi tant d'autre, le centre de prostituions, ainsi que plein d'autre affaires du même genre. Il s'agit d'une des personnes des plus puissantes du pays, d'origine Ukrainienne, il dispose d'une fortune et d'assez de porteflingue pour en faire une armée. Son nom est connu partout chez nous, le nom de Yvan Soumarov. Son exploitation était tellement importante, qu'il avait même commencer à exploiter la France, jusqu'à ce qu'il soit contraint de quitter le pays, la police française ayant eu des preuves contre lui et tenté de le faire arrêter. Je le connais en personne étant donné que je suis active dans plusieurs de ses business. C'est surtout en enlevant des filles pour le centre que j'ai fini par le connaître. J'ignore pourquoi il m'a convoquée aujourd'hui. Nous attendons en ce moment même au sein du qg avec Tad qu'il nous reçoive. Ma tenue est la même qu'a ma dernière arnaque, qui a failli me foutre dans la merde. Voilà déjà 10 minutes que nous attendons. Soudain, l'un de ses sbires vient à nous:

"-M. Soumarov va vous recevoir dans son bureau, veuillez me suivre".

"-Oui, on vient" je fais. Je n'ai pas envie de faire la maligne ici, contrairement à mes habitudes.

Nous entrons dans son bureau, il y a deux gardes du corps dans la pièce et Yvan est assis à son bureau. Il nous fait:

"-Je vous souhaite la bienvenue messieurs dames".

"-Bonjour M. Soumarov" je réponds.

"-Allons, assoyez-vous" réplique-t-il "je vous serre un rafraîchissement?"

"-Sans façon, merci" répond Tad.

"-Merci, ça ira" je réponds également.

-"Très bien. Je ne vais pas vous faire mourir de mystère trop longtemps et vous expliquer de suite pourquoi vous êtes là" reprend-t-il. Il continue:

"-Vous vous souvenez, il y a de ça maintenant une semaine, vous avez livré une jolie jeune demoiselle au centre, du nom de Nina Averine".

"-Oui, c'est exact, nous l'avons recueillis en France, avant de faire le trajet et la livrer jusqu'ici" répond Tad.

"-Très bien, nous sommes déjà sur la même longueur d'onde. Pourriez-vous m'expliquer comment vous êtes tombé sur cette demoiselle?" demande Yvan. Je réponds:

"-Je me suis servie, comme beaucoup de nos compatriotes des chèques en bois, il y a quelque semaines déjà". Yvan me coupe:

"-Je connais ce concept, on fait un faux chèque pour un achat quelquonque supérieur à la somme du prix du même achat, l'acheteur nous rembourse en espèce, le remboursement est le gain de l'arnaque. Vous pouvez continuer." réplique-t-il. Je continue:

"-C'est exact. Il y a un peu plus d'une semaine, une jeune femme, Nina Averine, voulais vendre sa voiture, j'ai donc voulu utiliser l'arnaque avec elle. Seulement, elle voulait que je la paie chez elle, et que je reprenne sa voiture sur place. J'y suis allée, avec Tad à proximité au cas où les choses tourneraient mal. C'était le cas, cette femme connaissait par cœur le coup, elle m'a ligotée chez elle, et voulait que je la paie pour qu'elle ne me dénonce pas à la police, même si je suis sûr qu'elle m'aurait tout de même dénoncée. J'ai pu prévenir Tad, il nous a retrouvé et m'a libérée, nous avons ensuite kidnappé Nina, et avons décidé de la remettre au centre."

"Voilà qui est intéressant" reprend Yvan "en effet vous aviez failli commettre une belle erreur en tentant de la doubler". Il continue:

"-A moi de vous expliquer comment je connais Nina Averine, lors de mon exploitation en France, une très belle femme soi-disant nommée Natasha a commencer à travailler pour moi, et est même devenue ma compagne. Il s'avéra que cette Natasha s'appelait en réalité Nina Averine, qui était une reporter en mission d'infiltration, en train de rechercher des preuves contre moi pour le compte de la police. Elle n'était pas loin de me faire arrêter, ça n'a tenu qu'a un cheveu. J'ai été forcé de quitter le pays à cause de sa trahison. Mais voilà qu'il y a une semaine, en consultant la liste des nouvelles filles du centre, je tombe justement sur le profil de Nina Averine. Voilà qui était amusant. Seulement, ce qui est d'ailleurs moins amusant, c'est qu'avant que je vienne en personne pour la revoir, on m'apprend que la jeune femme avait déjà réussi à s'enfuir, et en prime à tuer un de nos plus fidèle client. Voilà, pourquoi vous êtes ici aujourd'hui".

"-Elle était attachée jusqu'à ce qu'on la remette au centre, ils l’ont même menottée dans une des chambres, on n'y est pour rien dans sa fuite". Réplique Tad.

"-En réalité, il ne s'agit pas d'une faute ou non faute. Je me trouve maintenant face à un dilemme, qui me met de mauvaises humeurs. Heureusement, vous deux, pouvez rendre ma semaine plus agréable."
réplique Yvan.

"-Que désirez-vous M. Soumarov" je réponds.

"-Deux choses" reprend Yvan. "D'abord transmettez-moi l'adresse exacte de Nina Averine, où vous l'avez récupérée. Ensuite, je vous confierai une mission pour le centre".

"- Vous avez toute notre attention" réplique Tad.

"-Très bien. Mon frère a fait un petit séjour dans un village Autrichien. Après avoir fait des avances à l’une des femmes du village, et quelques caresses innocentes, cette dernière a été pleuré aux responsables du village. Mon frère a été expulsé pendant ses vacances. Il m’a dit combien les filles étaient ravissantes et combien ces pourris avaient été stupides de le renvoyer. Ainsi, en guise de punition, vous devrez kidnapper plusieurs de leurs plus jolies femmes, que nous livrerons à l’une de mes bases qui se trouve en Autriche, puis elles seront transportées au centre. Vous allez donc partir pour l'Autriche pour m'en ramener. Il nous en faudrait huit. Je vous ai choisi car il faut une personne de confiance pour ces filles, Alicia, tu es justement une belle femme, et tu es doué pour attirer la confiance des jeunes femmes. De plus à vous deux, vous faite partie de mes meilleures kidnappeurs. Votre avion part dans deux heures, mes hommes vont vous remettre vos billets et 2000.- pour les frais de la mission. Revenez avant vendredi, et surtout ne rentrez pas bredouille."

"-Entendu M. Soumarov, on ne vous décevra pas!" je réplique.

"-Très bien, alors je vous dis au revoir, et bon voyage!" termine-t-il.

Nous prenons la route, je suis passée chez moi prendre quelque effet puis nous prenons l'avion en question. Après moins de deux heures, nous arrivons à Innsbruck. Après une heure de plus au sein d'une voiture louée, nous arrivons dans un petit village du Tyrol, le village dont Soumarov nous avait parlé.

J'ai déjà pris le temps de me changer à l'aéroport: Je porte des sous-vêtement blanc. Pour le haut, j'ai enfilé un bustier noir, couvrant mes seins, il s'arrête au-dessus de mon nombril, laissant mon ventre nu. J'ai également enfilé cette jupe à volant blanche, elle s'arrête au-dessus de mes genoux. Je porte de bottines brunes avec des motifs blancs, elle m'arrive à mi-hauteur des mollets, couvrant mes chevilles. Mes cheveux sont toujours longs je porte un bracelet doré assez large à ma main gauche.

Nous descendons de la voiture à l'entrée du village. Un homme en vieille chemise avec un chapeau de paille nous dit:

"-Bonjours, chers étrangers, bienvenue au Frische Wiese!". Je m'approche de lui et lui fait:

"-Merci beaucoup, nous désirions passer quelque nuits dans un gîte, votre village peut-il nous en proposer un?" je réplique.

"-Bien sûr, permettez-moi de vous offrir une visite du village, durant laquelle nous pourrons vous présenter nos différents gites d'altitude" répond-t-il.

"-Oui, avec plaisir" je réplique.

"-Très bien, je vous laisse entrer, vous pouvez parquer votre véhicule sur les places libres à l'entrée sur la droite, je vous retrouve de suite".

"-Merci, a tout à l'heure" réplique Tad.

Nous rentrons dans notre voiture et commençons le parcage. Je m'entretiens avec Tad:

"-Parfait, cette visite, nous verrons assez vite quelles filles feront l’affaire" je lui dit.

"-C'est clair. Aujourd'hui on fait la visite, on commencera les enlèvements à partir de la nuit, l'idéal serait d'avoir terminé d'ici demain soir au plus tard, je ne veux pas m'attarder ici"

"-Moi non plus, on va faire au plus vite" je termine. Nous sortons de la voiture, l'homme qui nous a accueillis nous rejoins:

"-Suivez-moi, je vais vous faire visiter les lieux...notre village est très riche pour les produits frais, hommes et femmes travaille dur pour des produit digne de nos humble visiteurs".

Durant la visite, nous voyons de multiple femme, jeune, belle, ça correspond parfaitement. Je me joins à un leur groupe pour sympathiser: une jolie blonde me fait:

"-Et dites-moi, d'où venez-vous au juste"

"-Mon mari et moi vivons en république-chèque" je réponds.

"-ça doit vous changer d'arriver en campagne" me demande une autre.

"-Oui, c'est tellement agréable" je réponds.

"-En tout cas, votre jupe est magnifique, elle vous va très bien" me lance une autre.

"-Ohh, merci, c'est gentil," je réplique.

Je rejoins ensuite Tad qui vient de s'entretenir avec un groupe d'homme, nous sommes seul à seul, il me dit:

"-Ces abrutis te trouve sublime, ils bavent tous devant toi, et avec les filles comment ça va?"

"-Des vrais conne naïve, ce sera réalisable, même pour 8 femmes" je réponds.

Avant d'arriver au village, nous avons réservé un autre gîte, à l'extérieur du village, environ 1 km plus loin. Tad me fait:

"-Le gîte qu'on a réservé ici est plus petit mais plus confortable. On préparera la soirée ici, puis on mettra les filles dans l'autre, ils ne se douteront pas que l'on a pris un deuxième logement".

"-Parfait, on peut y aller maintenant, on va faire les inventaires" je réponds.

Une fois arrivé au gîtes, nous préparons le coup de ce soir:

"-Bien on a des cordes, des tissus pour les baillons, du chloroforme, c'est parfait. Dommage qu'on ait pas pu se procurer d'arme" je réplique.

"-Ce sera surement pas nécessaire, si on la joue discret, ils verront rien, pi ce n’est pas une base militaire" répond Tad.

"-La nuit est en train de tomber, on va pouvoir commencer" je termine.

Tad est part pour le deuxième gite, pendant que je commence l'opération. Je marche calmement dans le village, je vois une de ces jolie brune avec qui je discutais tout à l'heure, elle a des cheveux bruns courts et des yeux bleu. Elle s'approche vers moi et me fait:

"Bonjour, alors vous prenez l'air frais de la montagne" me dit-elle.

"Oui, ça me fait du bien de marcher un peu, puis il faut trop chaud le jour" je réplique.

"J'imagine que vous n'êtes pas habitué à la chaleur, cela doit beaucoup vous changer" me répond-t-elle.

Je fais semblant de voir quelque chose derrière elle. Je m'écrie:

"Je...est-ce bien du feu là-haut sur dans cette forêt?!"

Elle se retourne, c'est le moment, je sors mon mouchoir imbibé de chloroforme, elle me fait:

"Je ne vois rien, où l'avez-vou...MMMMMMMHHHHHHHhhhhhhhhhh...." et voilà elle est endormie. Je la transporte jusqu'à ma voiture. Il faudra faire vite, son sommeil durera environ une heure. Je me rends ensuite vers son domicile. Sur le chemin, je trouve sa petite sœur, elle a la vingtaine c'est parfait, je lui fait:

"Oh mon dieu tu es là, vite, viens avec moi, j'ai besoin d'aide", je lui fais avec un air angoissée.

"Quoi, mais que se passe-t-il" me répond-elle".

"C'est ta sœur, nous avons fait un tour en voiture, mais elle s'est évanoui quand je suis arrivé, viens avec moi vite"

"Oui, oui d'accord".

Nous arrivons vers la voiture, alors qu'elle voit sa sœur à l'intérieur endormie, je sors mon mouchoir, elle s'interroge:

"Oh, mon dieu, comment est-elle..." je colle de suite mon mouchoir contre sa bouche:

"MMMMMMMHHHHhhhhhhhh...."La voilà endormie également. Encore une et ça devrait déjà suffire pour ce trajet. Et voilà qu'en repartant, je vois une autre jolie blonde arriver, je me cache derrière un arbre, elle ne m'a pas vue. Je lui colle mon mouchoir contre sa bouche:

"MMMMHHHHHHH", mais c'est qu'elle est coriace celle-là, elle est en train de se débattre. Après quelque minute, le somnifère fait effet. Je la transporte également à la voiture. Je pars pour l'autre gites.

Après un quart d'heure, j'arrive et retrouve Tad. Il me fait:

"La pêche a été bonne? Combien?"

"J'en ai eu trois déjà, aide moi à les transporter à l'intérieur"

Nous emmenons les trois filles dans une cave, au sous-sol. Tad attache la jolie brune pendant que je ligote sa sœur, brune également avec des cheveux plus longs. Je passe les cordes autour de ces poignets. Je dois dire que curieusement, j'aime attacher d'autre fille, alors que je déteste être moi-même ligotée. Je passe ensuite aux chevilles...puis au bras... et voilà, la voilà toute ligotée, je passe encore un foulard autour
de sa bouche pour la bâillonner. Tad a déjà ligoté et bâillonné l'autre fille. Nous nous occupons de la dernière, pendant que j'attache ses cheville, Tad attache ses poignets en me disant:

"Alors, comme ça nous sommes mariés maintenant"

"T'emballe pas, je leur ai aussi dit qu'on était Tchèque".

"Tu sais que tu es très sexy dans cette tenue, on pourrait..."

"Je vais d'abord aller en cueillir au moins une autre, après pourquoi pas"

"J'ai hâte" me fait-il.

La dernière fille est également attachée et bâillonnée. Je reprends ma voiture. Je me promène calmement dans le village, quand je tombe sur une autre jolie brune, je passe innocemment à côté d'elle puis dès que nous avons croisé le chemin, je me retourne et colle mon mouchoir contre sa bouche. Elle s'effondre calmement. Soudain, j'entends une autre voix féminine:

"Eh, mais tu es folles, laisse la tranquille espèce de peste" une autre femme, blonde cheveux court m'a vue, elle accourt vers moi.

Elle m'attrape les poignets et tente de me mettre au sol. Je déjoue sa saisie, et créant une torsion à son bras, puis avant qu'elle ne crie, je lui donne un grand coup de poing dans la tempe. La voilà assommée, vite il ne faut pas trainer. Ma voiture est tout proche, je les trainent dedans et ramène la voiture au gîte.

Tad me voyant arriver me fait:

"C'est parfait, deux autres, ça devrait suffire pour cette nuit"

"Attachons les d'abord, ensuite, je suis tout à toi playboy" je lui réponds.

Nous les attachons de la même manière que les trois autres, qui sont déjà réveillée. Elle tente toutes de crier:

"GGGMMMMHHH..MMMMMMHHHH..MMMHHHHH" puis tente de se débattre, mais aucun risque, on les a bien ligotée, leurs chevilles sont reliées à une vieille barre qui devait servir pour l'étable. Elle ne peuvent pas se déplacer ainsi.

Nous allons au lit, Tad s'approche de moi en me faisant:

"Je trouve agréable ce voyage, finalement, c'est une bonne occasion"

"Tait toi!" je lui dis et je l'embrasse à pleine bouche. En quelque secondes, nous sommes déjà nus au lit. Pendant que nous faisons l'amour, il jouit si fort, je crie également, sans simuler pour une fois. Il tient environ 25 minutes avant de cracher. Il fait:

"ahaaaah" et semble épuisé. Je réplique

"Tu t'améliores, tu as tenu un petit moment cette fois. Mais avec ce que tu viens de spermer, je pense que tu vas rester à blanc au moins jusqu'à demain".

"Oui, oui, là c'était parfait...merveilleux...t'es toujours autant bonne...incroyable.."

"Allez repose toi maintenant, il faut encore qu'on dorme un peu pour demain".

Puis nous commençons à somnoler....

.....


Nous sommes le lendemain, il est 11h00, je viens de me réveiller, je donne une grande tape sur le bras de Tad en lui faisant:

"Allez, debout Roméo, on a du job encore"

"Déjà...ahhhh...je suis encore crevé" me dit-il péniblement.

Je remets la même tenue que celle de mon arrivée. Je me rends au village, pendant Tad surveille les filles en m'attendant.

Il est déjà 13h00 de l'après-midi, je suis au village, ces imbéciles n'ont rien remarqué, je me promène tranquillement. J'observe les cibles, ainsi que les environs, il ne faut pas que je sois repérée. Après avoir fait un bref tour, je décide de m'en prendre à une jolie blonde, occupée à faire les foins, pas très loin de la voiture, il n'y a pour l'instant personne dans les environs.
L'endormir serait trop compliqué pour le transport, je m'arroche d'elle appuie sur un point sensible au-dessus de son épaule proche du coup et met ma main sur sa bouche, elle fait:

"MMMHHHHH" je la coupe aussitôt:

"Chut, je sais que ça fait mal, tais-toi, et j'arrête de te faire souffrir, si tu tentes de résister, je te ferai beaucoup plus mal!"

La fille arrête de se débattre et reste calme. Je continue:

"Maintenant, tu vas mettre tes mains derrière le dos et te laisser faire, si tu résiste, je t'assomme, c'est clair, lui dis-je en enlevant ma main de sa bouche. Elle me répond:

"Très clair, ne me faites pas de mal". Puis je commence à enlacer ses poignets à l'arrière. Puis avant qu’elle ne recommence à parler je la bâillonne avec un foulard. Je lui fais:

"Avance, sur mon ordre, et arrête toi quand je te le demande".

Elle fait oui de la tête, nous avançons vers la voiture...personne pour l'instant. Nous y sommes, je ligote ces chevilles, ainsi que ses bras. Avant de refermer la portière, j'entends une voix masculine cette fois.

"Maudite étrangère, tu enlèves nos femmes, je vais te le faire payer" me dit un des paysans. Il m'attrape aussitôt à la gorge, en me plaquant contre ma voiture. Il sert fort, je tente de dégager ses mains avec les miennes mais, je n'y parviens pas. Alors de suite, je garde une de mes mains contre les siennes et utilise mon autre main pour enfoncer mon doigt brusquement dans le creux de sa gorge, ça marche, il me relâche. Aussitôt, je le saisi derrière la nuque, et je le frappe de mon genoux dans le bas du bassin. J'ignore si j'ai percuté le bassin ou ses couilles, mais aprèsquatre bon coup, il s'effondre au sol. Je me saisis d'un cailloux et envoi un très grand coup contre sa tempe. Le voilà assommé pour plusieurs heures. Pas le temps de le tuer pour l'instant, je le l'enferme dans le coffre de sa jeep, se trouvant tout proche. Puis je repars dans le village. Il faudra faire vite, avant que quelqu'un d'autre n'arrive.

Coup de chance, une autre jeune blondinette est en train de faire son jardin, tout près, personne dans les environs. Je passe mon bras autour de son cou, l'étranglant, je lui dis:

"Ne crie, pas ne te débat pas, et tout ira bien, c'est compris"

Elle me fait signe de la tête qui oui, aussitôt je lui dis en la relâchant:

"Met tes mains derrière le dos tout de suite".

Elle croise ses mains à l'arrière. Elle me fait:

"Mais qu'est-ce qui vous arrives vous êtes folles!!?"

"La ferme, maintenant!!" je lui dis fermement, ce qui semble marcher, vu qu'elle arrête de parler. Après avoir enlacé ses poignets, je serre le nœud, puis je passe un bâillon autour de sa
bouche. Puis j'attache également ses bras. J'aime ces femmes qui ne se débattent pas, qui se laisse ligoter. Je l'ai bien attachée, nous nous dirigeons vers la voiture, soudain, je vois sur la route deux paysant marchant ensemble une fourche à la main, je cache derrière une veille grange et colle ma main contre la bouche de ma prisonnière, malgré le fait qu’elle a déjà un bâillon. Je lui chuchote:

"Pas un mot, sinon tu es mortes!"

Les deux paysans n'ont rien remarqué, ils continuent leurs routes, je reprends la mienne en contournant la grange. Je la mets dans la voiture après avoir attaché ses chevilles. Un quart d'heure plus tard j'arrives au gîtes, Tad arrives. Après ce qui vient de se passer, je ne regrette pas d'avoir assimilé des techniques du krav maga, ce n’est pas la première fois que ça me sauve. Nous transportons les filles au sous-sol avec les autres. Avant de repartir Tad me fait:

"Plus qu'une, pas de risque inutile, soit prudente". Je lui réponds.

"T'inquiète, je suis de retour dans une heure au plus tard, a plus".

Je reprends le volant et arrives un quart d'heure plus tard au village, il est déjà 15h30, je vais finir ça rapidement, et on reprendra l'avion le soir même. Je passe devant la jeep, elle est toujours au même endroit, cet enculé de raciste est toujours au pays des merveilles.

Je me promène à la recherche d'une autre fille. Il va falloir faire gaffe tout de même, ces imbéciles vont bien finir par s'apercevoir que des filles ont disparues. Je me rends au cœur du village malheureusement, ma voiture est plus loin, mais je suis bien obligée, il n'y a plus de fille assez jolie à l'entrée du village. J'avance encore, je vois plusieurs jolie brunes au loin dans les champs. Je commence à avancer vers elle lorsqu'une voix familière me dit:

"Eh, bonjour, comment se passe vos vacances" me dit une des jolie blondes avec qui je discutais hier soir. Je réponds

"Très bien, merci. Votre village est magnifique, je crois que je serais même prête à habiter ici." je réponds.

"Oh, je comprends tellement" me répond-t-elle.

"Par contre, je dois dire que j'ai encore du mal à m'habituer au chaud" je réplique.

"Oh, attendez, venez chez moi, je vous offre un verre!"

"Très volontiers" je termine.

Blondasse, tu crois vraiment que je voudrais vivre dans ce trou du cul de la montagne. Sans façon, une journée c'est déjà assez. Nous entrons, je remarque que personne d'autre n'est dans la maison elle entre dans la cuisine, me disant.

"Qu'est-ce qui vous ferais plaisir?".

"Je prendrais bien un thé" je réponds.

Il va falloir agir vite. Je m'approche d'elle la prend en clé de bras et la plaque aussitôt au sol. Elle est sous le choc de mon attaque, j'en profite pour attacher ses poignets...je serre le nœud. Elle reprend ses esprits et me fait:

"Mais tu es folle, comment oses-tu, relâche moi!!"

Je prends un couteau et revient vers elle en disant fermement:

"La ferme, je n'ai pas envie de te faire de mal, mais si tu cries et que tu ne coopère pas, je n'aurais pas de regret à te tuer!"

Elle se calme. Pendant que j'attache ses bras elle me demande:

"Isabelle, Mireille, ce n'est pas par hasard que personne ne les a revus. C'était toi. Que vas-tu faire?"

Je la bâillonne sans lui répondre. Je la relève. Comme je le pensais, ils se sont rendu compte qu'au moins deux filles ont disparus. Je guette par la fenêtre dehors, personne, on va pouvoir sortir.

Nous sommes dehors, je la prends avec moi. Nous avançons prudemment, mais pour l'instant il y a personne, je passe derrière les maisons, là où personne ne passe. Pour l'instant tout va bien, personne sur la route, espérons que ça dure, nous sommes à environ 200 mètre de la voiture, allez, on y est bientôt. Soudain, j'entends un paysan:

"Eh toi là, où tu vas comme ça!?"

Aussitôt je lance ma captive par terre. L'homme arrive vers moi, dès qu'il est assez prêt, je lui donne un immense coup dans les prunes, il s'effondre au sol. Je relève immédiatement ma blondasse et repart, espérons que personne ne nous a entendu. Mais après quelques mètres, je tombe sur trois autres paysans. L'un d'eux me fait:

"Relâche la et rend toi, tu n'as aucune chance".

Impossible de fuir, je jette ma blondasse et me prépare pour le combat. Il faut que je vise les parties génitales, ils s'effondreront plus vite. Les trois hommes arrivent vers moi: aussitôt ils me prennent chacun un bras, je n'arrive rien à faire, puis le troisième me frappe au ventre, ce qui me coupe le souffle. Le même homme dit à un autre:

"Vite passe-moi une corde, je m'en charge!"

Puis il commence à attacher mes poignets derrière mon dos. Je ne peux pas réagir, je suis affaiblie, et les deux hommes me maintiennent en plus. Il serre le nœud, me voilà attachée les mains derrière le dos.
Puis aussitôt, il passe un foulard blanc par-dessus ma bouche. Me voilà aussi bâillonnée. Le même homme dit aux deux autres:

"Bon boulot les gars, emmenons la dans la grange, et détachez Josiane".

Ils ont détachez ma captive, et m'emmène de force avec l'homme que j'avais mis HS juste avant qui est revenu, traversant le chemin principale, je tente de me débattre, l'un d'eux me fait:

"Inutile de résistée ma jolie, tu n'iras nulle part".

De toute façon ça ne sert à rien, ils me tiennent mes deux bras, et en plus mes mains sont attachées. D'autre gens du village nous voient, j'entends des messages divers:

"C'est elle, c'est elle qui a enlevé toute nos fille"

"Heureusement qu’ils l’ont chopée"

"Quelle garce tout de même, elle jouait bien la comédie".

Puis nous arrivons vers la grange, à l'extérieur, plusieurs personne nous attendent, probablement les leaders du village, ils discutent:

"Quelle crapule, on nous a signalé déjà 6 filles disparues. On appelle la police?"

"Oui, pour qu'il l'emmène et qu'ils passent des heures à discuter autour d'un café. Non on va s'occuper d'elle nous même."

"Je suis bien d'accord, on la fera parler bien plus vite. Attachons là dans la grange!"

"Très bien, tu voulais capturer des filles, maintenant à ton tour d'être attachée!!"

"MMMMHHHHHHHH" je tente de crier, mon bâillon m'empêchant de parler.

Puis il m'emmène à l'intérieur de la grange, trois hommes sont avec moi. Ils m’amènent vers un gros pieux en bois implanté au sol même de la grange, d'environ 1 mètre de haut et d'un diamètre d'environ 10 centimètres. Ils passent mes bras pour qu’ils soient autour du pilier et me font assoir au sol, puis l'un commence à attacher mes chevilles, passant les cordes autour de mes bottes, pendant qu'un autre attache mes bras ensemble, passant les cordes autour des pieux, puis le troisième me ligote les jambes, passant les cordes justes au-dessus de mes genoux. Ils ont serrés les nœuds, et m'ont bien attachée, je tente aussitôt de me débattre, mais je sens que les cordes me maintient immobilisé. L'un d'eux fait:

"Bien bien, elle est vachement sexy, d'autant plus ligotée comme ça".

"Puisqu'elle se permet d'enlever nos filles comme ça, on fera ce qu'on veut d'elle maintenant!".

"Oui, et je sens que ça va être un vrai plaisir, elle est vraiment mignonne, mais je pense qu'on va la laisser mijoter un peu, pour commencer".

Aussitôt l'homme que j'avais assommé et enfermé dans la voiture entre dans la grange, avec une marque sur le côté de la tête. Il s'écrie:

"C'est elle! Oui, c'est elle qui m'a agressée, je l'ai prise la main dans le sac, elle a enlevée Isabelle, saleté d'étrangère! Je le savais!!!"

"Quoi, attend, tu t'es fait péter la gueule par une jeune minette. Ben c'est la honte de ta vie!" lui fait un des hommes. le rescapé réplique:

"La ferme, vous me la laisserez, dans leur pays, ils violent nos femmes, je vais faire pareil, je ne vais pas me gêner!" dit-il, pendant que j'entends, toujours attachée et bâillonnée dans cette grange. Un autre lui répond:

"T'inquiète pas, on va bientôt la faire parler, après tu pourras y aller, mais faudra attendre ton tour, il y aura de la queue".

"Bon c'est pas tout ça les gars, on va délibérer, et la laisser réfléchir à ce qu'elle vient de faire en attendant. Vous deux vous restez à l'entrée de la grange, vous êtes responsable de la surveiller, on revient dans un moment."

Putain, ils ne veulent pas encore mettre des chiens de gardes autour de moi tant qu'ils y sont: je suis attachée de partout, bâillonnée, reliée à ce fichu pieux, je ne peux même pas me déplacer, et ils me foutent encore deux gardes, ils abusent un peu. Ben pour l'instant me voilà dans un sacré foutoir! Je n'ai rien avec moi, pi même si j'avais un objet coupant, ces trou du cul me surveille, ils sont à 20 mètres de moi. Quand je pense que je me suis fait capturée par ces abrutis de paysans, si j'avais pu juste enlevée encore cette conne, je partais et je n'entendais plus jamais parler de ce village maudit. Au lieu de ça, me voilà maintenant prisonnière dans ce trou perdu. Les deux gardes sont en train de discuter:

"Quand même, tu t'en serais douté toi, une femme aussi mignonne, qu'elle soit une criminelle"

"C'est justement le but, ils envoient des belles femmes pour tromper les apparences, ils sont malins tout de même ces pourris"

"Quand même, pour une si jolie femme elle doit avoir du punch, elle a quand même mis KO Bertrand."

"Oui, mais maintenant elle ne va pas aller très loin, on l'a bien saucissonnée"

"Vivement qu'on retrouve les filles, après elle sera toute à nous".

Voilà déjà une heure que je suis prisonnière dans cette grange. Je tente de me dégager des cordes autour de mes poignets, je les ressens, elles sont juste au-dessous de mon bracelet. Je tente de dégager ma main...impossible, c'est dingue, ils m'ont vraiment bien arrangée. Soudain, trois autre personnes rentre, l'un d'eux est un qui prenait les décisions, que j'ai croisé tout à l'heure, c'est probablement le leader du village. Les trois hommes sont près de moi, le leader me fait.

"Je vais enlever ton bâillon, le temps de t'interroger, inutile de crier, on est entre nous, personne ne va t'aider, c'est compris"

Je fais oui de la tête. Pendant qu'il enlève mon bâillon il me dit:

"Inutile de te préciser que tu es dans une position très délicate. Les meilleures chances pour toi de t'en sortir c'est de nous dire où tu enlevée nos filles" dit-il en venant d'enlever mon bâillon. Je lui réponds.

"Me prends pas pour une conne, si je vous dis où elles sont, vous me garderez quand même, et vous me violerez à tour de rôle. Ensuite, quand vous serez abreuvé, vous m'amènerez au flic. Voilà mon offre: vous me détachez et vous me laissez une voiture, une fois que ce sera fait, je vous dirais où vous pourrez trouver vos filles."

"Regardes-toi" me répond-il "nous sommes une centaine de citoyen dans ce village contre toi, toute seule, et en plus notre prisonnière. Crois-moi tu n'es pas en position de négocier quoi que ce soit. Maintenant dis-moi où elles sont!"

"Dans tes rêves" je réponds et reste muette.

"OU SONT ELLES!" crie-t-il. Je ne réagis pas, je reste muette. Il reprend:

"Ok, puisque tu ne veux pas parler, remettez-lui son bâillon!"

L'un des hommes me re bâillonne. Puis un autre m'étrangle de ses deux mains en me criant:

"OU SONT ELLES SALOPES!!PARLE MAINTENANT!!!!"

Je reste silencieuse, malgré le fait que j'ai de la peine à respirer. Il me relâche avant que j'étouffe. Puis après quelques secondes de répits il recommence en criant encore:

"DIS MOI OÙ ELLES SONT, OU JE VAIS T'ETRANGLER POUR DE BON!!!"

Je subis sans succomber. Il s'arrête. Puis il me gifle à plusieurs reprises. Puis il me re crie dessus:

"OU SONT ELLES CONNASSE!!??" mais je reste silencieuse. Le leader reprend la parole.

"Arrête, visiblement ça ne sert à rien. Ecoute moi bien maintenant, demain, nous décideront de ton sort, mais beaucoup sont déjà favorable pour que tu sois pendue. Ce sera organisé à la fin de la semaine. Si d'ici demain, tu nous dis où sont les filles, tu y échapperas, c'est d'ailleurs probablement ta seule chance. Réfléchis-y ma jolie."

Avant de partir, l'homme qui m'a étranglée et giflée me dit:

"Tu feras moins la maligne salope, quand je t'enfoncerai ma grosse dans ton joli petit cul, crois-moi tu feras moins la fière!!"

Devant l'entrée de la grange, je les entends discuter avec les gardes:

"Combien de fille a-t-elle enlevée?"

"7 filles ont disparue, pi elle était encore sur le point d'enlever Josiane". Le leader reprend la parole:

"C'est bon, on peut y aller, à moins qu'elle soit magicienne, elle se dégagera jamais de ses cordes. Allez régulièrement voir si elle est toujours là quand même."

Ben, voyons, j'en attendais pas moins bande de parano. Dans cette tenue, je sais pas combien de temps je vais faire avant qu'un de ces porcs viennent me faire des attouchements. La nuit est déjà tombée. Depuis qu'ils sont partis, ça fait une heure de plus que je suis attachée dans cette grange. Quelqu'un semble arriver, ma relève évidemment. Elle ouvre la porte, c'est Josiane, la fille que j'ai tenté d'enlever en dernier. Et c'est parti, la voilà qu'elle me dit:

"Salope, tu voulais m'enlever, hein! Maintenant c'est toi ma prisonnière, tu fais moins la maligne maintenant, n'est-ce pas!"

Mais ça l'amuse vraiment de me parler alors que je suis bâillonnée? Faut croire que oui, elle continue?

"Quand même, je dois avouer qu'elle est très sexy, ma petite prisonnière. Mais je dois aussi reconnaitre que pour l'instant elle est dans de sacré sales draps, et qu'elle va y rester longtemps"
Me dit-elle en me caressant les cheveux. Voilà maintenant qu'elle me traite comme sa chienne, si seulement je n’étais pas attachée, tu verrais, connasse!! Et elle continue:

"D'ailleurs ça tombe bien que tu sois aussi belle, les hommes vont te sauter dessus comme une biche. Quoiqu'une pute comme toi doit bien avoir l'habitude je suppose?"

"mmmmmhhhhhhhh" je fais en essayant de la traiter de pétasse. Elle me répond:

"Ohh, c'est vrai tu ne peux pas parler. Tu ne pourras pas parler non plus quand nos hommes te baiserons, ni quand tu seras pendue, et quand ça arriveras, je serai au première loges, ce sera un beau spectacle." dit-elle en me tirant les cheveux cette fois. Quand est-ce qu'elle me lâche ça commence à faire mal. Puis elle s'arrête en me disant encore:

"Je repasse plus tard, éclate toi bien sur ton pieux salope" puis elle quitte la grange.

Et voilà, je suis toujours dans cette fichue grange, attachée et bâillonnée depuis des heures. Dire que je suis dans le même état que mes proies. Mais d'ailleurs j'y pense, qu'est-ce qu'il fout Tad, ça lui ferait chier de venir me donner un coup de main. Je lui avais dit que j'étais de retour dans une heure, depuis le temps, il doit quand même comprendre qu'il y a un souci quelque part.
J'espère qu'il ne s'est pas déjà barré avec les filles. J'aurai bien besoin de lui, je ne vois pas comment je pourrais me dégager de ces cordes autrement. Il n'y a rien près de moi, aucun objet pour couper mes liens. Et c'est qu'une question de temps avant qu'un de ces pourris viennent me violer. Une autre relève arrive, ça doit être le troisième. Il ouvre la porte, c'est Bertand, l'abruti que j'ai enfermé dans la jeep. Il me fait:

"Saloperie d'étrangère diabolique. Je vais te baiser!! C'est comme ça qu'ils font dans ton pays avec nos femmes, hein!! Pour l'instant je dois me remettre encore de coup que tu m’as donné, mais demain matin, je serai en forme, et crois-moi, je vais te sauter et te purifier en même temps. Pi t'as de la chance, qu'un sang pur comme moi te confie son pénis".

Il se fout de moi là!! Un vieux porc comme lui, aucune femme ne voudrait même lui faire la bise à ce vieux laidron. Qui sait, avec moi il va peut-être spermer dans son pantalon avant de se déshabiller ce con. Puis il continue:

"Demain matin, saletés d'étrangères, et estime toi heureuse". Puis il s'en va.

Heureuse, je serai heureuse seulement quand ce sera fini oui. Et voilà des heures, et des heures que je suis attachée et bâillonnée. J'en peux plus, être à la merci de tous ces abrutis, il faut que je me libère!! Je tente encore de me dégager en y mettant toutes forces... c'est sans résultat évidemment. Je tente tout de même de crier:

"MMMMHHHH....GGGMMMMMMHHHHH..MMMMMMHHH...MMMMMMMHHH!!!" inutile, de toute façon ils veulent tous ma peau. Bof, et tant qu'à faire, autant dormir, faudra que je sois en forme demain, si je veux tenter de trouver un moyen de m'enfuir. Ah, la la, quelle fichue mission. Je sens la fatigue monter, malgré le fait que je sois ligotée, je m'endors.....

........

Mmmmmhhh, je me réveille gentiment. Putain, je suis toujours attachée dans cette ferme de merde, c'est juste. Oh, quel cauchemar. Je sens encore ce foulard sur mes lèvres, je suis toujours bâillonnée aussi. Le soleil commence à se lever. Mais j'y pense, l'autre raciste va encore s'amener pour me violer. Ils n’auraient pas pu me pendre avant ces cons. Bon c'est bien beau de dormir, mais je sais toujours pas comment je vais sortir d'ici. Je pense que je peux faire une croix sur l'aide de Tad. Soudain j'entends quelqu'un venir, ce doit être Bertrand, la journée est déjà gâchée. Gagné, c'est bien lui, il a une boîte à outil à la main. Il me fait:

"Toujours là, saleté d'étrangère, ne t'en fais pas, je vais bientôt m'occuper de toi, je dois juste réparer la clôture derrière, pi je m’occuperai de toi".

Je donne un coup avec mes pieds attachés dans la boite à outil. Elle tombe et se renverse, parfait. Je continue de lui donner des coups, faisant semblant de vouloir lui faire mal. Il se jette sur moi.

"Ah sale garce, tu essaie encore de me frapper. C'est inutile, attachée comme tu l'es tu ne peux rien me faire!" s'écrie-t-il. Pendant qu'il me parle je regarde ce qui est tombé: des tournevis, marteau, visse, clou, et ... un cutter et plusieurs lames de rechanges sont éparpillées autour, mon plan fonctionne. Il me saisit au coup me disant:

"Moi par contre, je peux te faire très mal, je n'ai pas de pitié pour les saletés de pestes étrangères comme toi, crois-moi". Pendant qu'il me parle, je fais glisser une lame de cutter.
Je pose mes bottes dessus afin de la cacher. Il me relâche et me dit en ramassant ses outils:

"J'en ai que pour une petite heure, sois sage" puis il vient vers moi et me plote les seins. Ce trou de balle est déjà en pleine extase. Puis il repart. Il n'a pas remarqué que je lui ai piqué une lame de cutter, c'est ma chance. Il n'y aura pas d'autre relève avant qu'il revienne.

Je fais glisser la lame grâce à mes pieds. Difficile, faut dire que je suis si bien attachée...heureusement je suis assez souple, je parviens à faire glisser la lame vers mes mains...je l'ai saisie! Vite il ne faut pas trainer, voilà déjà 10 minutes que Bertrand est partis, je commence à scier les cordes enlaçant mes mains comme je peux...pas facile de s'en défaire alors que mes mains sont attachées, puis ces cordes sont solides...mais je sens que ma lame les scient progressivement....saloperie de cordes, qui font de moi une prisonnière depuis un soir et toute une nuit...elles vont se rompre oui?..... Après une demi-heure d'effort, je parviens à rompre mes liens aux poignets, le plus dur est fait. Il faut faire très vite, Bertrand sera surement là dans 20 minutes, si je n'ai pas fini quand il arrive, tout est perdu. Je scie aussitôt la corde de mes bras, c'est déjà plus facile... et voilà coupé, puis encore mes jambes...détachée, puis mes chevilles....
Et voilà, après 10 minutes de plus, je me suis entièrement libérée. Maintenant je dois être prête, il va arriver d'une minute à l'autre, je prends la lame du cutter et me cache derrière la porte.
Pendant ce temps je réfléchis à la suite: tout le monde sait ce que j'ai fait, je ne peux pas être vue. Par contre, ils me croient tous dans la grange prisonnière, personne ne vas me chercher.
Puis je l'entends arriver en sifflant.

Il ouvre la porte: avant qu'il s'aperçoive que je ne suis plus là, je saisi sa tête et lui ouvre la gorge avec ma lame. Les cordes vocales sont tranchées, il ne peut plus crier, il s'effondre au sol je le regarde dans les yeux et lui dit:

"Maintenant tu vas mourir comme une merde enfoiré de nazi!!"

Je le laisse agoniser et se vider de son sang jusqu'à sa mort. Je vole son téléphone et les billets de son portefeuille. J'appelle aussitôt Tad:

"Oui allo, qui est à l'appareil" fait-il

"C'est moi Alicia"

"Alicia, tu vas bien, il t'es arrivé quoi"

"Ferme la et fais ce que je te dis. Trouve un véhicule assez grand pour mettre les filles"

"C'est fait, j'ai pu louer un minibus, il est assez grand pour toutes les filles"

"Très bien, ne le charge pas encore, il faudra que tu te tiennes prêt, je vais tenter de sortir du village. Une fois dehors, il faudra que tu viennes me chercher, je te rappel"

"D'accord, mais Alicia..." je raccroche avant qu'il termine.

Bon maintenant comment sortir sans se faire repérer, je guette à l'extérieur, je vois une jeep arriver. Josiane descend du véhicule. Elle ouvre la porte. Avant qu'elle ait le temps de donner l'alerte, je l'assomme avec le téléphone, elle s'écroule au sol. Et merde, le téléphone à l'air foutu par contre, peu importe. J'attache Josiane les mains derrière le dos et aux pieds. Je guette à l'extérieur. Une chance qu'il n'y ait personne, je peux sortir, je la mets dans le coffre, je roule sur le chemin, ils sont tous dans les champs, ils peuvent voir la voiture, mais sont trop loin pour voir que c'est moi qui conduit.
J'arrive à la sortie du village, je roule en direction des gîtes. Un quart d'heure plus tard je retrouve Tad, il me fait:

"Alicia tu es revenue, j'ai déjà chargé les filles, ça allait plus vite"

"Oui, charge encore celle-là, et merci d’être venu à mon secours mauviette! Je débrouillerai aussi bien toute seule les prochaines fois !!"

Nous repartons avec les huit filles dans le minibus. Après deux heures de routes nous arrivons au centre d’Yvan, le responsable nous y attends et nous dit:

"J'espère que vous avez de bonne nouvelles !!

"Voici de quoi le consoler" puis nous lui livrons les filles. Il est satisfait, Yvan le sera aussi.
Je lui fais :
"Yvan a retrouvé Nina ? "
"La reporter a changé d'adresse, mais il pense pouvoir la retrouver tout de même. Nous avons pu obtenir son adresse de travail. Yvan est allé en personne en France."

Nous prenons un jet privé pour repartir afin d'éviter les polices, puis le soir même j'arrive dans mon pays, je reprends ma voiture et j'arrive chez moi. Quand j'y pense, je me suis bien débrouillée toute seule, même si je l'ai échappée belle.

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