Le contrat du centre équestre

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moimoi2
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Re: Le contrat du centre équestre

Message par moimoi2 »

Merci pour vos commentaires. Voilà une petite suite (elle risque d'être moins intéressante que le reste de l'histoire)

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Stella

J'avais écouté toute la conversation et su que le moment était venu. On s’était mis d'accord tout à l'heure avec Alex, il retiendrait la fille juste avant qu'elle ne sorte du club-house et moi j'en profiterai pour l'attraper.

 La jeune cavalière ouvrit la porte, mais devant elle à quelques mètres se trouvait Alex.
- Vous l'avez trouvée ? demanda t-il 
- Oh que oui ! Je ne la connaissais pas comme ça je vous l'avoue mais chacun son truc comme on dit. Je l'ai laissée sur sa chaise. Une question, quel âge avez vous ? Vous avez l'air bien plus vieux que Jessica. 
Alex sourit.
- J'ai seulement 4 ans de plus. C'est pas si vieux 29 ans ! 

 Avant qu'elle ne puisse répondre je me jetais sur elle. Je commençais par la bâillonner de mes mains en lui enserrant ses bras au passage. Rapidement, Alex révéla le rouleau de tape et fit plusieurs tour sur les cuisses de la jeune fille, continua au-dessus des genoux. Non sans mal, il réussit à lui enlever les bottes pour enrouler son tape sous les genoux de notre victime et sur ses chevilles. Une fois ses jambes immobilisées, on porta la cavalière dans le club house pour la jeter sur le canapé. Elle réussis à réaliser quelques cris avant qu'on ne la retourne sur le ventre et qu'on lui empoigne les bras à l'arrière de son dos sévèrement. La douleur la fit hoqueter. On lui colla les bras ensemble, on  lui relia ses coudes du mieux que nous pouvions pour ensuite croiser ses poignets et les relier à leur tour. Ses gants en cuir ne nous gênèrent absolument pas. Une fois immobilisée, il fallait la faire taire. Je la bâillonna de mes mains en attendant qu'Alex sorte son bâillon préféré (le bâillon qu'il adore poser sur ses victimes). C'était un bâillon boule un peu spécial. Devant la boule se trouvait une large plaque en cuir mais ce n'était pas tout. Une petite tige pouvait être vissée au milieu de la plaque. Ceci servait à gonfler la boule pour l'augmenter de volume. Voyant cela, je sentis que la fille fermait sa bouche. Je lui bouchais donc le nez. 

 Elle tint tout de même une vingtaine de secondes. Une fois qu'elle en pouvait plus on lui inséra de force le bâillon, Alex le serra assez fort puis il gonfla l'intérieur. A force que la boule prenait de l'ampleur, la fille essayait de se soustraire à son traitement. 
-- Mpphmm !
Alex le gonfla encore. 
- ****
- Et voilà, enfin silencieuse la petite ! dit-il fièrement. 
Pour finir,  je la redressa en position assise et je me saisis du rouleau pour attacher ses bras à son dos. Je fis 3 premiers tours dans le sens horaire. Ensuite, 3 tour dans l'autre sens. Alex aussi l'avait scotchée de cette manière pour ses jambes et ses bras. C'est pour cette raison que le tape était très serré et qu'elle n'arriverai jamais à s'en sortir ! Je ramassais sa cravache tombée à terre et par le bout je luis caressais son corps : 
- Je ne pensais pas que tu aimais ce genre de choses petite coquine, on est surprise parfois !  
 Je voyais dans ses yeux gris qu'elle reconnaissait ses propres paroles, elle me jeta un mauvais regard. 
- *** !
Pendant ce temps Alex était allé chercher Jessica. Il lui avait laissé les jambes libres mais pour la guider il lui mis une boucle de corde très épaisse qu'il tenait par l'autre bout. Intelligent ! 
- Je promène ma jument ! dit-il pour rigoler en lui tapotant son fessier.
Pour toute réponse je levais les yeux au ciel mais je pu voir que ce n'était pas du tout du goût de la monitrice qui essaya de lui donner un coup de boule, Alex évita le coup malhabile. 
- Tu peux me prêter ta cravache ? Je sens qu'elle est réticente. 
Je savais qu'il plaisantait et je décidais de rentrer dans son jeu. Je lui tendit la cravache pour qu'il la prenne. 
Il la montra bien en évidence à sa captive : 
- Encore une fois et tu sentiras ce que tu fais à ton cheval, compris ? 
Elle hocha la tête, honteuse d'être dans cette situation. 
Il me donna la corde et alla porter dans ses bras l'autre cavalière. 
- N'es tu pas heureuse d'être secourue par un preux chevalier ? 
- Mmpphm !
- Ça doit surement dire oui. On y go ! 
Je tirais sur la corde pour faire avancer Jessica. Une fois dehors, on rejoignit nos 3 complices qui étaient en train de mettre le cheval de notre nouvelle captive dans le box. L'une d'elles s'approcha vers nous :

- Dès que j'ai reçu ton message on est venu aussi vite qu'on le pouvait. C'est là qu'on a trouvé les affaires de Célia, un sac de cours et son sac à main. Oui, celle que tu tiens dans tes bras Alex s'appelle Célia Rodriguez. C'est une étudiante espagnole qui est venu en France pour avoir une licence. Elle a de la famille à proximité mais elle habite seule dans un studio. On aura aucun soucis avec elle. 
- A la bonheur ! s'exclama Alex. Tu entends ça ma douce ? Tu vas pouvoir rester avec nous plus longtemps que prévu !  Seulement un coup de genoux rageur (et raté) lui répondit. 
-Tu verras si tu vas encore faire ta maligne ! Pour le moment tu es bien trop libre de tes mouvements. Choppez là ! 

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Narrateur 

Et c'est ainsi que les 2 jeunes filles furent emmenées. Leurs ravisseurs installèrent Célia dans le coffre d'une BMW X6 alors que la monitrice était installée à l'arrière de la voiture, Alex s'assit à côté d'elle sans oublier de lui bander les yeux. Celui qu'on appelle le chauffeur démarra la voiture à la plaque d'immatriculation verte. Ils partirent vers une destination inconnue. 
Stella et une de ses complices récupérèrent le 4*4 dans lequel Stella était arrivée et les 2 autres choisirent leur camionnette. Elles avaient toutes comme destination l'habitation de Pauline. 

Will et Maeva ne tarderont pas à avoir une petite visite ... 

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Will

Malgré mes douleurs aux jambes, je fut quand même chez Pauline en un peu moins de 20 minutes de route. Maeva devrait être là normalement. Je sortais de ma voiture et sonnais à la grille. 
- Oui ? 
- Salut Maeva ! C'est Will, je viens ramener une bricole à ta sœur et il faut charger le portable de Jessica, elle viendra elle aussi un peu plus tard. 
- Je t'ouvre, le bip retentit et je pénétrais dans le jardin.
J'arrivais à la porte d'entrée lorsque celle-ci s'ouvrit, Maeva était derrière la porte. 
- Je suis étonnée ! Je te voyais plus te précipiter dans ta chambre pour jouer à ton ordi. 
- Ce n'est qu'une légende ! 
- C'est toi qui le dit !

Elle ressemblait beaucoup à sa sœur Pauline. Malgré qu'on soit né que de quelques mois d'écart (elle avait 19 ans et moi 20) elle mesurait environ la même taille que sa sœur et elle avait les mêmes cheveux cuivrés. Cependant ses yeux étaient de couleur noisette et avait le teint plus foncé que sa sœur, elle ressemblait plus au père qu'à la mère.
Je trouvais qu'elle était plutôt bien habillée pour un jour comme celui-ci, elle portait un chemiser blanc enfoncé dans une jupe noir lui arrivant jusqu'aux genoux. Elle portait des collants de même couleur qui lui galbait bien ses jambes. Je voyais dans un même temps qu'elle s'était douchée, ses cheveux étaient humides. Ils lui arrivaient aux épaules. 

- Tu dois sortir ? lui demandais-je en lui faisant la bise. 
- Oui ! Après on doit aller boire un verre avec Pauline et Thibaut. Si tu veux tu pourras venir. Par contre excuse moi mais va te doucher s'il te plaît, on peut pas dire que ton odeur est des plus agréables ! 
- Désolé j'ai pas d'affaire de rechange. Et au pire Thibaut va bientôt arriver non ? 
- Je m'en fous tu y vas tout de suite ! Tu as oublié tes affaires de sport la dernière foi, ils sont lavés tu n'as qu'à mettre ça en attendant. Avant d'y aller, on ira chez toi pour que tu puisses te changer. 
- Chef oui chef ! 
 A bien y réfléchir il était vrai que je devais sentir le fennec. Entre mon odeur de transpiration, l'odeur du cheval et le purin ...   A sa place j'aurais aussi un peu râlé. Je me dépêchais tout de même. Je me dirigeais donc vers la chambre d'ami ; je retrouvais vite mes affaires et rentrais précipitamment dans la salle de bain. En jetant un coup d’œil à la fenêtre, je vis une camionnette qui se garait non loin de la maison. Je ne sais pas pourquoi mais ce détail me préoccupait. Je haussais les épaules avant de me déshabillé et d'entrer dans la douche.  

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Maeva

Parfois j'ai envie de le secouer celui-là ! Il pensait vraiment attendre ici puant presque la merde ? Depuis 15 ans que je le connais, il n'a pas changé sur ce point, il est toujours aussi peu préoccupé sur l'impression qu'il donne aux autres. Je remontais à l'étage. Je devais chercher un peigne dans la salle de bain. Quand je rentrais, j'entendis une protestation : 
-  Et ! C'est privé ! 
- Je suis chez moi je fais ce que je veux. Et depuis le temps qu'on se connait tu peux pas dire que je t'ai jamais vu à poils ! En plus on peut pas voir au travers les vitres de la douche, c'est dommage ! ou pas ... 
- C'est pas une raison pour débouler comme ça. Tu peux toquer non ? 
- Nan. Je passe rapidement. Tu m'en voudras pas si je met tes affaires dans un sac plastique ? J'ai pas envie que tu enfumes la maison. 
- Comme tu veux ! 
- J'espère bien ! 
 Une fois mon peigne récupéré et ses vêtements dans le sac, je descendis. Pendant que je me peignais, j'entendis la sonnette de la grille. Intriguée, je ne m'attendais pas à ce que Thibaut vienne si tôt. J'allais voir sur la caméra et décrocha : 
- Bonsoir, C'est pour quoi ? C'était une livreuse. 
- Bonsoir, désolé pour l'heure tardive mais on a deux colis pour Pauline LUTTI.
- Ah ? je ne savais pas qu'elle avait commandé des articles. Il faut une signature ? 
- Oui, juste pour dire que les colis sont bien arrivés.  
- Très bien, je vous ouvre ! 

 Curieuse de voir ce que c'était, j'ouvris la porte d'entrée. Je voyais les livreuses arrivées. 
- On peut entrer ? Il y a 2-3 papiers à remplir. 
- Bien-sûr ! je vais chercher un stylo. 

Je rentrais dans le salon et alla chercher un stylo, une fois revenue, je voyais que la porte était refermée. La première me donna un colis, c'était bien au nom de ma sœur mais rien sur le carton pouvait me renseigner sur l'expéditeur. Je ne fis plus attention à la seconde employée. Elle se mit derrière moi et fouilla dans son sac. Surement pour me donner le deuxième colis ou un autre papier. J'allais leur demander où signer lorsque quelque chose m'en empêcha. 
- Où on doit sign*** ??!

Alexandre Tape
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Re: Le contrat du centre équestre

Message par Alexandre Tape »

Wow, j'adore :gagged: :admire:

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moimoi2
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Re: Le contrat du centre équestre

Message par moimoi2 »

Merci Alexandre Tape.

Une suite un peu courte. Cette fois j'ai voulu aller un peu plus loin que d'habitude (un tout petit peu ;) ).

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Stella


-Où on doit sign*** ??!

Pour la deuxième fois de la soirée je ceinturais une jolie fille. C'est dingue quand on voit qu'on y prend goût ! J'avais cette fois des gants en cuir me permettant de mieux résister aux morsures de la jeune. Ma collègue vint m'aider et elle put lui scotcher les poignets et les coudes derrière son dos. Et oui encore du tape mais quand on doit être rapide, on peut pas faire dans la dentelle ! J'étais toujours sur Maeva lorsque ma camarade alla fouiller le reste de la maison. Au bout de 5 minutes, je la vis revenir avec une boîte en carton.

En voyant la boîte, Maeva se débattit d'un coup comme une diablesse et faillit réussir à s'échapper de ma poigne.
- Arrête tes conneries ! lui sifflais-je à l'oreille.
- Mmpphmm ! gémit-elle.
Mais qu'est ce qu’elle a tout d'un coup ?
- Regarde ce que j'ai trouvé dans sa chambre ! On ne va même pas avoir besoin d'utiliser notre propre matériel.
Curieuse, je regardais le contenu. Quelle surprise ! Il se trouvait à l'intérieur plusieurs outils. Un bâillon boule blanc avec un espace dédié sur la sangle à la mise en place d'un petit cadenas, lequel se trouvait juste en dessous. Deux paires de menottes avec clés, plusieurs bandes de tissus, surement en polyester et ... un vibromasseur ! Je souris en voyant ce dernier détail.
- On peut dire que tu sais t'amuser !
La pauvre était devenue plus rouge après ma remarque. Ma collègue suivie.
- Tu penses que le jeune homme qui se douche sait pour tout ça ?
- On aura qu'à lui montrer !

Voyant ou on en voulait venir, Maeva cria de son mieux pour appeler à l'aide et donna des coups de pieds. Bien plus forte qu'elle, je n'eu aucun mal à encaisser les coups et je la laissais s'épuiser.
On commença par prendre un morceau de tissus plus petit que les autres dans la boîte et on lui enfonça profondément dans la bouche. Ensuite on lui inséra son propre bâillon blanc sans oublier d'y insérer le cadenas. En entendant le clic, notre captive gémit longuement, certaine qu'on l'avait sous notre coupe.
Une des paires de menottes arriva sur ses chevilles, il était possible régler la longueur de la chaîne, ce qu'on fit avec plaisir.Elle se retrouva avec la longueur minimale, soit 5 centimètres environ. Avec une bande de tissus synthétique, on lui attacha le haut de ses genoux en serrant bien fort les nœuds (avant et arrière). Ce n'était pas de la basse qualité ! Une fois le nœud serré, je remarquais qu'il serait extrêmement difficile pour Maeva d'essayer de le desserrer. Elle était maintenant à terre. On décida de la remettre sur une chaise.
- On lui met ou pas ? demandais-je à ma collègue.
- J'hésite, normalement il faudrait attendre le direct.
- Mmpphm ??!
On ignora totalement la jeune fille.
- C'est vrai, mais attendons que le garçon se douche et on lui enlèvera après.
- Ok on fait comme ça !

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Maeva

- C'est vrai, mais attendons que le garçon se douche et on lui enlèvera après.

Non ! Will met toujours 15 ans à se doucher et s'habiller. Que voulaient-elles dire ? Me mettre quoi ? Quel direct ?

Commençant à paniquer je regardais la pièce de tous les côtés pour comprendre. D'un coup, je vis une des ravisseuses se retourner vers moi avec le vibro en main . Soudain je compris. Prise au piège, il fallait absolument prévenir Will. J'espère que Thibaut aussi pourra venir m'aider. Tentant le tout pour le tout je me levais et essaya de renverser la table ou au moins ce qu'il y avait dessus pour que Will entende quelque chose ! Je m'étais levé brusquement et failli réussir mais une des intruses réussis à m'en empêcher en me repoussant assez violemment. Si l'autre ne m'avait pas rattrapée, je serais tombée lourdement sur le carrelage.
- Elle se laisse pas faire !
- Je vois ça. Au moins au niveau des vidéos, ce sera plus intéressant pour l'audience !
Vidéo ? Audience ? Mais qui sont-elles ?

L'une me prit les jambes et l'autre mon torse. Malgré mes coups et mes mouvements brusques elles ne me lâchèrent pas. Elles me portèrent de cette façon jusqu'au salon où elles me déposèrent sur le canapé. Je jetais un coup de pieds en pliant les genoux mais en vain. L'une s'assit sur mon torse et m'écrasa de tout son poids tandis que l'autre se plaçait sur mes jambes tout en baissant ma jupe.

Comprimée comme je l'étais je ne pouvais qu'émettre de légère plainte à travers mon bâillon. Malgré ma résistance, l'une réussit à m'écarter les cuisses juste assez pour faire passer le vibro. Elle enlaça ensuite celui-ci de deux fines cordes, l'une s'enroula autour de ma cuisse gauche et l'autre à droite. Pour être sûre qu'il tienne en place, l'autre s'enleva de mon buste et je pu enfin respirer comme avant. Celle-ci me souleva le bassin et le tape s'enroula autour du haut de mes cuisses pour bien les serrer. Sachant à quoi m'attendre j'essayais de vainement de l'arrêter. Enfin, celle qui m'avait ceinturer m'enleva complètement la jupe. Je me retrouvais en chemisier blanc avec seulement des collants fins et noir.
- Fais pas cette tête ! Tu es tellement mieux comme ça. Je suis sûr que Will te trouveras irrésistible ...
Je secouais négativement la tête. Il ne fallait surtout pas !
- Gggphm, phmm !

Elles me transportèrent une dernière fois mais cette fois-ci, jusque dans ma chambre. Une fois sur mon lit 2 places à plat ventre, deux cordes relièrent mes chevilles aux pieds de mon lit. Une me tirait les pieds vers la droite et l'autre à gauche. Après ça, une corde fut enroulée sur mes poignets pour les rattacher à mes chevilles. Ceci eu pour effet de me tirer en arrière, ne pouvant plus remuer mes bras comme je le souhaitais. Elles fouillèrent plus en détails ma chambre et l'une d'elle tomba sur un vêtement un peu spécial emballé dans du papier.
-Mais qu'est ce que c'est que ça ? demanda l'une.
C'était une de mes tenues de voltige. Rien d'extraordinaire.
-On garde, ça pourra être utile pour plus tard ! Maintenant on va en terminer avec toi.

Je savais à quoi m'attendre et je les suppliais du regard de ne pas continuer mais elles le firent tout de même, l'une des 2 mit en route l’appareil et je sentis immédiatement de grands frissons m'envahir, je ne pouvais pas y résister ! Celle qui avait pris la tenue me pinça fortement plusieurs fois au niveau de la hanche
- MMpphmmmm !!! Gppphmm !
- C'est bon, le bâillon est bien fait. Will ne pourra pas l'entendre facilement !
- On va l'attendre bien tranquillement maintenant, à tout à l'heure Maeva !
Elles partirent non sans prendre quelques photos.

Je fus réduite - la tête dans l'oreiller - à émettre des couinements étouffés tout en subissant silencieusement les vibrations intensément excitantes diffusées par l'appareil.

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moimoi2
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Re: Le contrat du centre équestre

Message par moimoi2 »

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Will

Il me semblait avoir entendu du bruit depuis 5-10 minutes et je me demandais ce que pouvais bien faire Maeva ! Je sortais de la douche et m'habillais. J'optais pour le jogging bleu et le tee shirt noir tout simple en coton. Je pris dans les bras le pantalon et le haut de running pour les ranger plus tard dans la voiture. Je sortais de la salle de bain et directement, j'eu un pressentiment. J'attendis quelques secondes pour voir si quelque chose bougeait mais non. Comme si de rien n'était, je retournais dans la salle de bain. Je revis par la fenêtre la même camionnette que tout à l'heure et je me mis à me douter de plus en plus que quelque chose se tramait. Très prudemment, je montais d'un étage, celui des chambres dont celle de Maeva. J'entendais justement quelque chose chez elle. Un peu rassuré, j'accélérais le pas. Je ne vis rien de spécial en entrant dans sa chambre, sauf des bruits montant dans les aigus. Elle était dans son lit, la couette recouverte sur elle. Intrigué j'approchais et vit sa tête. Elle était bâillonnée !

Je lui soulevais la couette et découvrit sa situation. Elle était reliée à son lit, légèrement vêtue, seulement de ses collants et de son chemisier. Je remarquais que son bâillon était cadenassé, pas pratique pour le lui enlever !
Elle s'est faite une séance de self-bondage ? Je sais que de temps en temps elle s'y adonne et que je l'ai même aidée quelque fois à l'attachée (et parfois elle aime échanger les rôles même si je ne suis pas un grand fan) mais vu sa position, ça ne devait pas être le cas. Sûrement Thibaut ! Il a dû la mettre dans cet état et partir, c'est bien dans son genre.
- Sacré Thibaut ! Il est arrivé bien plus tôt que je ne le pensais.

Elle geignait énormément, elle me faisait signe avec sa tête en me montrant de son mieux, son dos. D'un coup elle monta dans les aigus et elle souffla du nez un long moment. Par son regard, je devinais qu'elle me demandait de faire quelque chose. Je me mis sur le lit et j'essayais de la détacher. Je commençais par les liens qui la reliaient aux pieds du lit mais c'était impossible, les nœuds étaient trop serrés, je n'arrivais à rien même après quelques minutes d'acharnement. Des menottes lui attachaient les chevilles, je n'avais pas de clés donc aucune chance. Le lien de ses genoux en synthétique était impossible à enlever sans l'aide d'outils et le scotch était trop serré. Je n'osais pas l'enlever avec les dents de peur de lui faire mal. Tout ce que je réussis à faire, c'est de délier ses chevilles à ses poignets mais apparemment, elle recommençait à geindre et à haleter de plus en plus fort.
- Désolé, je n'arrive à rien faire d'autre. Je vais en bas chercher des ciseaux. Je me dépêche !
-GGPPHMMMMMM !!!

Je partais en courant -mes vêtements sous le bras- sûr qu'il n'y avait personne d'autre à l'intérieur de la maison . Une question me taraudait l'esprit, pourquoi criait-elle à ce point ? Je haussais les épaules, je le saurais lorsque j'arriverai à la sortir de là.
Au rez de chaussé, je couru jusque dans la cuisine. Une fois arrivé, j'entendis un bruit derrière moi. Sans pouvoir me retourner, je sentis une douleur fulgurante à l'arrière de mon crâne et tout devint noir.

--------------------------------------------
Maeva

J'entendais quelqu'un arriver. Était-ce Will ? Oui ! Je le voyais qui me regardais avec étonnement. Dépêche toi de m'enlever tout ça ! Je n'en peux ppppplluuuusssss. Je gémit assez fort sur le coup, ça n'allait pas tarder ! Il retira la couette qui me recouvrais. C'est déjà ça et maintenant au lieu de me mater boouggge ttoiiiii !!
- Sacré Thibaut ! Il est arrivé bien plus tôt que je ne le pensais.

Thibaut ?! Mais non du con ! Il est même pas au courant pour le ligotage, juste toi !
Je sais pas ce que nous voulaient les 2 femmes mais c'était plus qu'inquiétant. Je voulais le prévenir que des intrus étaient dans la maison, je me rendis compte que c'était totalement impossible. Je soufflais de dépit en espérant qu'il arrive à me délivrer.

Du mieux que je pouvais, je lui fis des signes de tête en direction de mes cuisses pour lui faire comprendre que ce devait être sa priorité ! Malheureusement, il ne comprit pas, je le voyais dans ses yeux. Je me maudis de n'avoir jamais osé lui parler du vibro. Dans ce cas, il serait tout de suite aller l'enlevé et ça m'aurait évité cette situation plus que dérangeante. Peut-être qu'un autre aurait compris mais Will étant assez peu intéressé par ces choses, il était peu probable qu'il devine mon plus gros problème du moment.

Il commença à s’attaquer aux cordes aux pieds du lit, mais quel con ! Elles étaient trop fines ! Il fallait prendre des ciseaux. Son cerveau lent le comprit au bout de 2 minutes. Enfin il se mit sur le lit pour m'enlever les liens des genoux. Pas mal mais ce serait plus intelligent de commencer par la corde qui relie mes poignets à mes chevilles mais passons, je ne suis plus à ça prêt. D'un coup, je sentis en moi l'extase qui montait. Je faisais un effort surhumain pour m'empêcher de bouger lorsque Will essayait de me délivrer les genoux. Ses tests infructueux me faisaient sentir le vibro placé sous le tape plus intensément. Après ça, il passa au scotch sur mes cuisses ! Je me dandinais pour éviter que le vibro se fasse plus virulent mais c'était une erreur. Will faisait de son mieux mais au lieu de m'aider il ne fit qu’accélérer le processus.
Enfin il me délia les chevilles des poignets, j'étais en train d'haleter, comprenant qu'il n' arriverait jamais à me dégager à temps. Je gémis très fort. C'était le point de non retour. D'un coup je sentis monter en moi la première vague.

- Désolé, je n'arrive à rien faire d'autre. Je vais en bas chercher des ciseaux. Je me dépêche !
En entendant ces mots durant l'orgasme, je voulu le prévenir de ne pas y aller.
- GGPPHMMMMMM !!! Il partit quand même.

Il me fallut une minute pour reprendre totalement mes esprits. Même n'étant pas consentante, le fait d'être attachée accentuait le plaisir. J'essayais de respirer calmement. Je sentais déjà les vibrations qui me refaisaient de l'effet.
Mes bras n'étant plus reliés à mes chevilles, je les bougeais dans tout les sens dans l'espoir de desserrer le tape et enfin enlever l'outil entre mes cuisses !
Dans mon combat, j'entendis soudain une voix féminine.
- N'y pense même pas !

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fredchl
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Re: Le contrat du centre équestre

Message par fredchl »

Une bonne suite ! J'adore la narration du point de vue différent des deux personnages, c'est original... :-)

Alexandre Tape
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Re: Le contrat du centre équestre

Message par Alexandre Tape »

C'est une longue pause ou la fin de l'histoire? :s

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moimoi2
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Re: Le contrat du centre équestre

Message par moimoi2 »

fredchl a écrit :Une bonne suite ! J'adore la narration du point de vue différent des deux personnages, c'est original... :-)
Merci merci ;)
Alexandre Tape a écrit :C'est une longue pause ou la fin de l'histoire? :s
Bah ça va, il y a eu que 6 jours d'attente :P

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Stella.

Je voyais la jeune qui se battait pour empêcher l'inévitable. Je souriais. Dommage que nous ne pouvions filmer cette scène pour le commanditaire ! Le contrat était clair, il fallait des cavalières cette fois et seulement des cavalières. Rien ne nous empêchait de faire des vidéos mais elles sortiront seulement plus tard et non en direct. C'était dommage mais la vie est ainsi. Bien-sûr, s'il y avait de la demande pour le garçon, on le prendrait avec.

Maeva n'avait pas l'air d'apprécier d'être retenue de la sorte chez elle, contre son gré et surtout avec son propre équipement ! D'un certain point de vue, je la comprenais.
Mais après tout, elle avait l'air d'être une adepte du bondage donc logiquement on n'a fait que de l'aider non ? Elle ne m'avait pas vu et je décidais d'entrer en scène.
- N'y penses même pas !
Elle s'arrêta d'un coup en me regardant d'un air qui voulait dire "si j'étais pas attachée, je t'exploserais la gueule".
- Le tape est impossible à enlever seule mademoiselle. Je peux te laisser essayer je n'y vois aucun inconvénient. Après tout, tu offres un spectacle intéressant !
Elle m'ignora en essayant de retirer le vibro par tous les moyens.
- Tu as eu ton premier n'est-ce pas ? Tu vas voir, les autres vont arrivés bien assez vite. Cette fois elle réussis à sortir des sons plaintifs.

Je la regardais se débattre encore un peu lorsque le portable de ma captive sonna. J'allais voir sur son bureau.
- C'est Thibaut qui t’appelle dis-je en lui montrant son smartphone. On va le laisser dans le silence, c'est mieux pour nous fis-je avec un clin d’œil.
- PPhhmmfgpphm !
- Non, non et non ! Je te trouve très bien comme ça.
J'attendais la fin de l'appel et peu de temps après un SMS indiquait que Thibaut avait laissé un message vocal. Je composais le numéro et mis sur haut parleur.
" Salut Maeva ! Désolé de prévenir que maintenant mais au final je dois retourner chez les grands parents. Ils ont besoin d'aide pour le déménagement. On boira un coup une autre fois. À demain surement !"
Ma captive était dorénavant sûre de ne plus attendre l'aide dont elle espérait.
- Mes amies s'occupent de Will.
- mmphm ?
- Oui oui de Will. Elles vont surement le brusquer un petit peu mais je suis sûr que tout se passera bien. On est 4 chez toi maintenant. On verra pour Thibaut plus tard. C'est pas tout mais j'ai du boulot !
Je fouillais dans ses armoires et trouvait facilement ce que je cherchais. Plusieurs culottes d'équitation de différentes couleurs avec son casque. Je prenais aussi ses bottes qui avaient l'air neuves, ses hauts de sport et au passage, les chaussettes d'équitation. Je mis le tout dans un énorme sac poubelle.
- Je reviens vite ! lançais-je à une Maeva désespérée.
Une fois de retour à l'entrée, je déposais le sac à terre. J'appelais dorénavant Alex :
- Oui ?
- C'est Stella. On est presque prêtes. Maeva est sous notre contrôle et bientôt Will, il est déjà assommé. On le prend avec ou on le ramène chez lui sous contrôle ? Au fait, Thibaut ne viendra pas, il a eu un empêchement mais il risque de nous emmerder demain.
- Parfait ! On improvisera pour Thibaut. Pour Will par contre, j'en ai parlé au patron et apparemment plusieurs de ses clientes seraient intéressées. Fais un tour chez lui avant de venir.
- Ok et de ton côté ?
- Nickel rien à redire. Elles sont installées et demain on pourra commencer à travailler.
- Très bien, à tout à l'heure.
- A plus.
Je fis part de la conversation à mes collègues et on décidait de faire un saut chez Will avant de revenir ici avant de commencer définitivement notre travail. Elles me demandèrent si je pouvais les aider à le monter, je ne me fis pas prier.

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Pauline (et aurélie)


Rapide rappel de leur situation.

[hidden]Tout d'abord, je sentis pour la deuxième fois aujourd'hui une boule s’enfoncer dans ma bouche à un détail près : il n'était pas dans un foulard en soie et à la place, une plaque en cuir vint me sceller définitivement ma bouche. J'essayais de me défendre mais ils étaient à 2 contre moi, je ne savais pas ce qui se passait pour Aurélie et d'ailleurs elle non plus ne devait rien savoir pour moi.

Ils me retirèrent les menottes aux poignets pour les remplacer par une longue corde. Sans rien pouvoir faire, je me retrouvais avec les poignets attachés vers l'avant. Après ça, l'enfoiré baissa la corde pour me la faire passer entre mes jambes, tira d'un coup sec pour enfin enroulé le reste du lien autour de mon buste en passant sous mes seins. Je me retrouvais maintenant les bras tirés vers l'avant sans pouvoir les relever tout en pouvant sortir quelques couinements étouffés par le bâillon.

Il me porta pour me mettre dans un grand lit. Après quoi, il relia à l'aide d'un autre lien mes chevilles à partir des menottes sur ce que je suppose être les barreaux du lit. Cette position était rageante car si j'essayais de lever mon torse, mes bras bougeaient immédiatement et la corde frottait sur mon entrejambe mais si je ne faisais, rien la tension continue me ferait perdre la tête rapidement. Pour mettre fin à mes mouvements brusque, l'homme me glissa 2 choses sous mes deux épaules et serra. Ceci eu pour effet de me bloquer et m'empêcha de relever mon haut du corps. J'étais totalement piégée ! Je pestais, râlait mais je me rendais compte d'une chose : j'étais totalement à sa merci et ceci m'enrageait de plus belle.
- Tu te sens bien ?
Connard ! Trou du cul ! Salopard !

Mais seulement des "MMpphhmm" colériques se firent entendre avec d' autres gloussements.
Vint le tour d'Aurélie et je compris à ses plaintes que le même sort l'attendait. Elle fut immobilisée sur le lit à côté de moi en moins d'une minute. Un silence se fit et je m'inquiétais sur ce qui nous attendais.
[/hidden]


Après ce qui me semblait être des heures dans cette position, j'entendis 2 personnes entrées dans la pièce. A leur voix, leur identités m'était inconnues. Une des deux me retira le bandeau. Les hommes ou femmes portaient des cagoules et il m'était impossible de différencier leur voix.
- Mais dis donc on dirait bien Pauline LUTTI ! On a quelque chose pour toi.
Il me montra sur son smartphone une vidéo et je m'offusquais immédiatement. Ils ont capturé Maeva ! Et vu comme elle était habillée je ne me posais pas beaucoup de questions sur ce qu'ils pouvaient lui faire. Elle se débattait énormément dans ses liens.
- MMMPPHMMM !!! j'essayais de bouger vers l'avant mais bien-sûr inutilement, les sangles me retenant toujours autant.
- Pas la peine de râler ! Elle va bientôt te rejoindre et je suis sûr qu'on va faire un carton avec vous 2.
L'homme ou la femme se mit à me toucher. J'envoyais une brusque secousse et il ou elle retira sa main précipitamment.
- Pour le moment je laisse passer mais tu verras que demain, ce sera une autre histoire ! Regarde en face de toi.

Il se poussa et je pu voir ce dont il parlait et j'écarquillais les yeux. Ces salauds étaient en train de nous filmer ! - Je suis sûr que vous allez attirer beaucoup d'audience avec les autres. On s'est aussi occupé de Célia, Jessica et de Will en plus de vous 2. On m'a donné l'ordre de préparer Aurélie pour la suite. Un long programme vous attend !

Célia et Jessica ? Mais pourquoi elles ? Qu'avaient-elles faits pour faire partir des cibles ? Will je comprenais, il venait souvent chez moi mais pas pour les 2 autres cavalières. En réfléchissant j'en venais à une conclusion, ils avaient dû repérés les lieux depuis longtemps et avaient profité de la faible présence dans les écuries de propriétaires pour enlever Jessica et Célia.

J'entendis et vit Aurélie qui gémissait pendant que les 2 ravisseurs s'occupaient à la détacher du lit. En regardant mieux, je voyais dorénavant 2 bracelets de fer qui pendaient au plafond et je devinais aisément la suite qui vint rapidement. Une fois debout, ils délièrent la corde qui retenait ses poignets vers le bas, enlevant ainsi son crochtope. Le lien à ses poignets connu le même sort et cette fois, les bracelets de fer vinrent s'enfermer sur ses poignets. Une poulie s'actionna et les bras de mon amie furent tirés vers le haut, la mettant sur la pointe des pieds. Ses genoux et cuisses toujours attachées avec ses chevilles menottées au maximum la déséquilibrait totalement et elle ne tenait en place que grâce aux bracelets de fer. Ses poignets furent croisés.
- Elle est vraiment pas mal celle-là ! On a bien fait de choisir ce centre équestre.

Celui qui venait de parler se mit à "rhabiller" en quelque sorte Aurélie en lui mettant bien sa chemise de concours dans son pantalon, s'attardant un peu trop longtemps sur ses postérieurs. Aurélie essaya de lui mettre un coup de boule mais elle était trop en déséquilibre pour réussir quoique ce soit. Une fois sa chemise remise, le ravisseur choisit de remettre ses gants noirs et de tirer les chaussettes de même couleur vers le haut pour plus d'esthétisme. Il avait desserré la corde sur les genoux pour pouvoir le faire.

- Très très jolie !
Sur ce point, il n'avait pas tort.
Aurélie gémit pour toute réponse lorsque l'homme serra de nouveau très fortement le lien des genoux. Moi aussi je m'inquiétais de la suite et ce que dit l'autre personne restée près de moi ne me rassura pas le moins du monde.
- Pour le moment le programme c'est : quelques coups de cravaches, hogtied et une surprise. Je trouve qu'Aurélie est parfaite pour le premier évènement et on attendra Maeva pour le hogtied, on le fera sur les 2 sœurs. Et puis à la fin ils seront tous dans la même position donc autant laisser planer le suspens !

Hogtied ?! Mais que cela veut il dire ? Je ne connaissais pas ce mot. Par contre pour le premier je comprenais parfaitement et plaignait d'avance mon ami.

En entendant ces mots, Aurélie bougea de son mieux mais elle trembla tout au plus tout en s'agitant de gauche à droite. Sa réaction dû faire plaisir aux ravisseurs(euses). Il est vrai que s'ils nous filmaient, Aurélie devait être plus qu'attirante et devait donc attirer de l'audience. Forcément habillée comme elle l'était ça arrangeait les choses pour eux. Les pantalons de concours étaient bien connus pour donner l'impression d'être plus moulants grâce à leur couleur blanche, les chemises étaient souvent coupées près du corps . Quant aux chaussettes et gants noirs, ils offraient un contraste agréable à l'œil. Enfin les yeux verts de mon amie et ses cheveux blond ressortaient bien par rapport au blanc de sa tenue.

Plusieurs caméras furent placées autour d'elle. Une juste devant elle, elle devait filmer tout son corps, une autre sur le côté et à mi-hauteur visait ses jambes sur l'arrière et une dernière pointait sur ... ses fesses. Voyant mon regard désapprobateur, un des ravisseurs eu l'idée de s'excuser :
- C'est pas ma faute si les clients n'ont pas d'originalité. Le programme est définis en temps réel et je n'ai pas mon mot à dire, je ne suis qu'un exécutant, mais un exécutant bien payé pour un week-end de boulot !

L'autre continua.

- C'est bien vrai ! Franchement, cette situation avec tous nos jeunes me fait penser à quelque chose de similaire. Tu te souviens des collègues du nord qui ont séquestré le fils d'un procureur et ses amis ? Ils les ont pris lors d'un jeu de rôles, ils étaient 8 je crois ! L'un de leur groupe n'a rien trouvé de mieux à faire que d'utiliser une cravache sur les filles et même sur les garçons je crois. Si tu veux mon avis il faudrait passer à d'autres idées. La cravache c'est vieux comme le monde ...
- Je suis d'accord mais un contrat est un contrat. On l'exécute et tout le monde est content. Enfin sauf vous évidemment. Il nous montra d'un vague geste de la main mais je fut "heureuse" qu'il parlait enfin de nous. Aurélie et moi crièrent en même temps.
- GGmmpphh !
L'homme continua (j'arrivais d'un coup à mieux entendre sa voix).
- Si tu veux mon avis, le coup de la cravache chez le fils du procureur n'est qu'un simple manque d'inspiration de son auteur. Le boulot qu'on réalise nous permet d'avoir une grande marge de manœuvre !
- Arrête de parler et bosse un peu ! Pour le moment on a pas de marge de manœuvre.
- Oué oué. Combien de coups ils demandent les clients ?
- Et clientes continua la femme. Alors pour l'instant une vingtaine de coups et il faut aller par force croissante. D'abord on attend l'argent et après on commence. A 10 coups on fait une pause pour voir les commentaires. Dès que je reçois le feu vert je te le dis. Ah ! Il faut enlever le bandeau de la fille. Une cliente a payé un petit surplus rien que pour ça.

L'homme souffla.
- Très bien.
Je le vis qu'il l'enlevait et je pu voir les yeux vert d'Aurélie. Je remarquais rien qu'à son regard que ça ne lui plaisait pas du tout d'être prise pour une marchandise.
- J'apprécie lorsqu'on ne se laisse pas faire ! C'est toujours positif pour le porte monnaie.
- GGpphmmm ! répondit Aurélie.
- Tu peux commencer ! L'admonesta la femme.
- C'est partit !
Je voyais l'homme se placer derrière Aurélie.
- Belle vue !
- Ta gueule et dépêche ! On est pas payé à la seconde triple idiot !

Les supplications d'Aurélie, transformées en couinements et diverses bruits dans des tons aigus n'empêchèrent pas l'homme de commencer sa tâche. Le premier coup fut tendre, à la limite un petit claquement amical. Aurélie ne put s'empêcher de trembler et d'effectuer un petit sursaut en avant qui la fit légèrement tourner sur elle-même. Plus l'homme cravachait fort et plus les couinements d'Aurélie se faisaient entendre.
Au bout du quatrième coup, je me démenais pour me sortir de mes liens. Malgré mes efforts, ce fut un échec. Je ne pouvais qu'assister au grand désarroi de mon amie en me demandant bien ce qu'ils réservaient à ma sœur et à moi-même.

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Maeva


Avant que la troisième vague n'arrive, les 4 femmes entrèrent dans ma chambre en transportant Will. L'une d'elle s'exclama :
- Et bien Maeva, je vois qu'on a beaucoup bougé !
Effectivement, je me suis beaucoup débattue et étais presque en nage. Je ne pouvais pas voir ce qu'elles faisaient à Will dans ma position. Enfin, la troisième vague arriva et les ravisseuses étaient réjouies.
- Tu penses qu'on en aura pour combien? demanda l'une.
- Beaucoup je pense.
Mais de quoi parlaient- elles encore une fois ? Celle qui m'avait parlé tout à l'heure s'approcha, coupa le tape m’emprisonnant les cuisses et enleva enfin le vibromasseur. Je soupirais de soulagement. Elle continua :
- On ne te l'a pas dit mais on a installé des petites caméras dans cette pièce, on a tout filmé, autant ton ligotage que ce qui c'est passé après. Tout ça va être vendu sur le net et grâce à toi et ton jolie minois, on va en gagner des thunes !

Les salopes ! Voilà leur objectif ! J'enrageais de plus belle en pensant qu'elles m'avaient eu chez moi. J'avais entendu parler il y a quelques semaines aux informations qu'un groupe criminel se faisait payer par des riches pour enlever des personnes. Le plus souvent c'étaient des jeunes d'entre 19 et 25 ans. Ils s'amusaient à les séquestrés et les filmés. Ces vidéos valaient un prix d'or sur le darkweb. L'un des plus humiliants se basait sur le fait qu'ils envoyaient ensuite leurs vidéos à leurs victimes.
J'étais sûre d'être tombée entre leurs griffes. Ce qui voulait dire 2 choses : la première, c'était assez rassurant car je ne risquais pas de finir entre les mains de proxénètes, je resterai en vie et dans 2 jours maximum, ils me laisseront en paix.
La mauvaise nouvelle était que sur le coup, j'étais loin d’être sortie d'affaire.

- Je vois que tu commences à comprendre, c'est bien ! Maintenant passons à la suite.

Ce fut très rapide. tous les liens sur mes jambes et y compris les menottes à mes chevilles me furent enlevés. Une pression sur mon dos m’empêchait de bouger et m'obligeait à rester sur mon lit. Chose à laquelle je ne m'attendais pas, mon collant me fut retiré. De surprise, je secouais mes jambes pour les empêcher d'aller plus loin mais je me trompais. Elles me sortirent du lit, j'étais toujours dans l’incapacité de voir Will. J'ai étais contrainte d'enfiler quelque chose sur mes jambes. Je regardais et vit que c'était une autre sorte de collant noir. Il était plus épais et galbais parfaitement mes gambettes. La différence avec l'autre était que celui-ci ne laissait pas entrevoir ma peau, c'était une sorte de legging enfermant mes pieds. Par contre, ils ne changèrent rien au niveau de mon chemisier blanc. On me retourna de force face à Will et je restais clouée sur place. Je ne l'avais jamais vu comme ça. Il dormait ou il était assommé ? Cela importait peu car ça ne changerais rien quant à sa situation. Il était installé sur une des chaises du salon. Elles l’avaient munis de son collant et du tee-shirt à manche longue de running. Il utilisait ces vêtements pour jouer au foot par temps froid en général. Quand je le voyais dans ces vêtements, il avait toujours un short et un maillot de foot par dessus.

Dans le cas présent il n'en n'avait pas et je ne pouvais pas dire que je restais insensible quant à la vision que me donnait (involontairement certes) mon ami. Il était un peu plus grand que moi, fin mais sportif. Il n'arrivait pas à la cheville d'acteurs bien connus mais sa musculature sèche n'était pas désagréable. Le haut noir faisait ressortir ses abdos et pectoraux, comme ses épaules et biceps. Pas la peine d'en dire plus pour le collant de même couleur, le nom en lui-même suffisait amplement. Elles me poussèrent presque jusqu'à lui. Je le voyais bâillonné par du tissus, surement un foulard en soie ou satin. Il en avait de la chance ! Lui au moins n'était pas bloqué par un cadenas. On me prit sous les épaules et par les hanches pour me soulever. Ne voyant rien venir, je ne pu rien faire pour les en empêcher. On m'installa à califourchon sur Will. Je finis les chevilles attachées sur les pieds arrières de la chaise. Bien entendu, j'avais toujours les bras retenus derrière le dos. Pas très confortable comme position ! On était tout les 2 très proche l'un de l'autre, lui les jambes attachées par des cordes sur les pieds avant et les poignets retenus à l'arrière du dossier de la chaise et moi dans le sens inverse. Je comprenais très bien le sous entendu et devint subitement plus rouge que tout à l'heure.
Plusieurs des ravisseuses prirent des photos malgré mes protestations.
- Qu'ils sont mignons ces 2 là ! commenta l'une d'entre elles.

Mais ta gueule ! Après avoir pris quelques photos, elle sortirent pour aller je ne sais où. En regardant Will de plus près, je me rendis compte qu’effectivement, il est mignon. Con certes mais mignon tout de même !

Une fois sûre qu'elles étaient parties, je pinçais fortement Will sur sa cuisse gauche. Voyant qu’il ne bougeait pas, je recommençais jusqu'à avoir une réaction, il fallait qu'on sorte de là !

Alexandre Tape
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Re: Le contrat du centre équestre

Message par Alexandre Tape »

Désolé pour ma question que a surement semblé montré de l’impatience, mais c'est juste qu'il y a tellement d'histoire qui sont abandonner sur se forum.

Continu ton bon travail, je suis entré a 100% dans ton histoire et j'ai vraiment hâte de lire t'est prochaines lignes! :)

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Re: Le contrat du centre équestre

Message par Jeypeyo »

Franchement j'adore tes histoires :D.
Je viens chaque soir ici voir si une suite à était posté haha, continue comme ça !

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moimoi2
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Re: Le contrat du centre équestre

Message par moimoi2 »

Alexandre Tape a écrit :Désolé pour ma question que a surement semblé montré de l’impatience, mais c'est juste qu'il y a tellement d'histoire qui sont abandonner sur se forum.

Continu ton bon travail, je suis entré a 100% dans ton histoire et j'ai vraiment hâte de lire t'est prochaines lignes! :)

Pas de soucis pour l'impatience mais j'essaie toujours de finir mes histoires. Le loup garou et halloween par exemple ça va pas venir rapidement, j'ai encore rien écrit ^^ J'ai d'autres idées en cours pour de futures "nouvelles" ;) (dont une avec pplleiiinnnn d'araignées :D )
Jeypeyo a écrit :Franchement j'adore tes histoires :D.
Je viens chaque soir ici voir si une suite à était posté haha, continue comme ça !
Merci ! Ça fait plaisir d'avoir des commentaires ^^ Mais j'aimerais savoir plus en détail ce qui est bien écrit et le contraire, là où mon écriture pêche, ce que je pourrais faire pour améliorer l'écriture etc .

Je met la suite, j'ai eu du mal à l'écrire et c'est pas ma partie préférée, ça risque de ne pas être très très bon ;)

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Will


Je dormais d'un sommeil profond lorsque quelque chose commença à me réveiller. Une douleur à la jambe me sortait de ma torpeur.. Puis vint une autre et encore une troisième. Énervé, j'ouvris les yeux et m'étonna de ce que je voyais. Maeva était bâillonnée et me regardait sévèrement, ses yeux en attestaient. Je voulais me lever mais je me rendis immédiatement compte que j'étais attaché sur la même chaise qu'elle et que c'était son poids que je sentais sur mes cuisses.

Toujours l'esprit un peu embrumé, je sentis d'un coup une forte douleur et sursautais. Ce faisant, je donnais un coup de tête involontaire à Maeva ce qui me réveilla encore un peu plus.  J'obtins le droit de supporter un regard colérique de sa part. Je secouais ma tête pour retrouver mes esprits et je commençais seulement à  comprendre la situation. J'étais attaché !  Mes bras sont croisés à l'arrière du dossier et j'étais dans l'impossibilité d'atteindre les nœuds. Mes jambes étaient retenues sur les pieds avants de la chaise ce qui me séparé mes membres l'un de l'autre. Je tirais immédiatement sur mes liens mais je réussis juste à mordre ma chaire des poignets et de mes jambes. Je paniquais encore plus en oubliant la présence de Maeva lorsque celle-ci me rappela qu'elle était présente. 

- GGrrpphmm !

Je ne l'avais pas vu immédiatement, mais mon "combat" a failli basculer mon amie vers l'arrière. Sa situation n'aurait pas été agréable ! Enfin pour elle ...

Cette fois-ci c'était à mon tour de lui lancer un mauvais regard. Soudain,je me souvenais du coup reçu dans la nuque mais pas le fait d'être habillé de la sorte !  J'avais soudain plus chaud en découvrant nos tenues respectives. Je déglutis (non sans rougir légèrement) et luis posais une question, comment on s'est retrouvé là ?
- Cmmpphmmgnn ma ?

Merde j'étais aussi bâillonné ! J'essayais de jeter un œil sur mon bâillon mais c'était peine perdue. 

- mpphmm !!! gggrprpmmmh ! fit elle en secouant sa tête devant moi.
Sur son ton, je su que Maeva perdait de plus en plus patience.

Elle s'était redressée et me dépassé de toute sa hauteur. Ce n'était pas pratique car pour la regarder face à face, je devais lever ma tête et ceci me comprimais encore plus la mâchoire à cause du bâillon. Mais, elle ne pouvait pas reposer son buste donc elle devait utiliser ses abdos pour rester droite. Ça ne me gênait pas de la voir ainsi attachée (outre le fait que j'avais souvent ses cheveux dans la gueule) mais ce qui me faisait moins plaisir était le fait que je me retrouvais dans le même cas qu'elle. De plus, elle devrait vraiment penser à perdre du poids, elle commençait à m'étouffer ! 

Nous nous étions par le passé déjà attachés mutuellement avec des ligotages pour le moins sommaire mais je ne m'étais jamais retrouvé dans cette position. J'avais toujours eu mon mot à dire et bien souvent, c'était elle la "victime". Je préfère être l’attacher que l'attachée, je soufflais de dépit en sachant qu'elle devrait malgré tout aimer qu'on soit tous les 2 dans le même cas. Je la connaissais trop. 
- MMMPPPHHMMM ! "cria" t - elle.
Mais qu'est ce qu'elle voulait ? Moi aussi j'essais de m'en sortir ! Le pire c'est qu'elle me donnait des ordres ?! Je me dandinais pour essayer d'enlever les liens et lui fit un petit cri interrogateur.
- GGpphmm ?
- *** !
Ah mais je comprenais ! En me débattant et en penchant mon torse vers l'avant je la gênait dans ses mouvements à elle. De plus dans mon cas, on ne pouvait rien faire pour me libéré vu qu'ils étaient bloqués à l'arrière du dossier. Je luis dis de la tête que j'avais compris. Je restais à présent totalement immobile.
Elle souffla longuement en me regardant l'air de dire "boulet".

Elle essaya de me faire comprendre une nouvelle chose avec un signe de tête. Bien-sûr, ses paroles étouffés ne l'aidaient guère. Je rebougeais lorsqu'elle m'en dissuada immédiatement  par un énième pincement.
- *** !
Ah mais elle pouvait pas communiquer autrement ? Après 2 secondes de réflexion, je me dis que non.

Elle rapprocha son visage vers le mien et avec son bâillon, essayait d'enlever le mien en le bougeant de haut en bas tout en se tordant le dos. En faisant ceci, son torse était presque collé au mien, elle accentuait donc l'excitation qui montait en flèche. Mon sexe commençais à devenir de plus en plus dur ... Un peu gêné, j'essayais de reculer mais elle s'arrêta soudain, me regardant d'un mauvais œil et je compris qu'elle aussi l'avait sentit. La proximité actuelle, avec l'épaisseur de nos vêtements devaient y être pour beaucoup.

Je la regardais et elle réessaya sa manœuvre. Au bout d'un moment je compris et l'aidait de mon mieux dans sa démarche. A tour de rôles, on essayait de se défaire de nos liens mais je sentais que c'était de l'énergie gâchée. Au bout d'une dizaine de minutes, nous avions chaud et nous étions fatigués. Elle abandonna sa lutte et crevée, se laissa tomber sur moi. Je fis de mon mieux pour nous éviter un nouveau moment de gêne.

Après un léger repos,, les inconnues pénétraient en grand fracas avec plusieurs morceaux de tissus en main. Sachant à quoi m'attendre, j'essayais directement de faire en sorte des les gêner un maximum dans leur objectif.
- Oh pas de ça mon petit ! Stella, vas- y !
Surement était-ce Stella mais l'une d'entre elles se plaça derrière moi et pour me coller un tissus sur le nez pendant qu'une autre retenait Maeva vers l'arrière. 
Je me débattis de mon mieux durant une minute ou 2 mais la drogue faisait effet et je basculais lentement mais surement dans un second sommeil ... 

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Maeva

Dès que Stella avait commencé à droguer Will, une autre des femmes m'avait ceinturé par le torse et retenue largement en arrière. Voyant que je ne pouvais rien faire sans me fatiguer plus, je décidais d'attendre tranquillement. Une fois que Will arrêta de se débattre, Stella s'exclama :
-  Ca y est il est endormit !

On me détacha  Après m'avoir remise sur pied, je fut de nouveau enchaînée aux chevilles. Deux cordes s'enroulèrent autour de mes cuisses et genoux. 
 
Ensuite, 3 femmes portèrent Will pour l'installer dans une sorte de grand sac noir assez fin.
- Pas la peine de l'attacher, vu ce qu'on lui a mis comme dose ça devrait suffire. 
Ma première ravisseuse me regarda. 
- Aller ! Suis-le ! 
Je me glaçais et fit un grand signe de dénégation en secouant la tête de droite à gauche. Et même si je le voulais, je devrais sautiller sur place, pas très pratique ! 
Comme vous pouvez l'imaginer, mon accord ou désaccord importait peu. Je fut basculée, une me pris les jambes et une autre le torse. On m'installa de force dans le sac malgré mes gesticulations. Will étant placé sur le dos, on me mit à plat ventre sur lui. Ma tête fut plaquée contre le torse de Will et je sentis une piqûre dans ma nuque. 
- MMppphmmmmmmmm !! ?
Mais la poigne était trop forte.
- C'est pour que tu restes calme ! Sur ce, bonne sieste ! 

Le zip du sac se fermait, ainsi que plusieurs ficelles sur tout le long. Je me retrouvais encore plus comprimée et plus fatiguée qu'avant. D'un coup, je me sentais lasse et fermais les yeux. 

Je tombais dans l'inconscience en un temps record.


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Narrateur

Pendant que Stella et ses 3 complices s'occupaient à emmener Will et Maeva, les 2 plus jeunes des victimes, laissez-moi vous compter les péripéties de Jessica et de Célia, prises toutes les 2 au centre équestre.

Après avoir passé une demie heure dans le coffre de la voiture pour Célia, un endroit étroit, sombre et inconfortable ; à l'arrière de la BMW X6 pour Jessica, elles arrivèrent enfin à destination. Il était près de 22 heures.
Le schéma est le même que celui d'Aurélie et Pauline. Elles furent enfermées dans la salle miroir, pouvant marcher tout en essayant de se défaire de leurs liens. D'expérience, le groupe des criminels savait que ce genre de scène agissait comme une parfaite mise en bouche. Après ceci, elles furent inviter à se restaurer .

Enfin, elles purent s'installer dans une salle vide de tout mobilier et de toutes fenêtres. On enchaîna leurs chevilles à leur plus grand dam.

Le style vestimentaire de Célia et Jessica était classique. Culotte d'équitation d'hiver pour Jessica avec des boots et minis chaps noir et culotte bleu nuit pour Célia. Malheureusement pour cette dernière, elle marchait sans ses bottes (qui lui furent retirées plus tôt dans la soirée).
Les criminels attendaient dorénavant les 2 derniers jeunes pour pouvoir préparer leurs prisonniers à une longue nuit inoubliable.

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